FR2783299A1 - Embrayage de verrouillage pour un appareil d'accouplement hydrocinetique, notamment de vehicule automobile - Google Patents
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Abstract
L'invention concerne un embrayage de verrouillage dans lequel le piston est attelé au carter, avec possibilité de déplacement axial relatif, par des languettes (30) dont les extrémités sont traversées par des tiges de fixation (40) qui traversent des trous formés dans le piston, une cale rugueuse (60) étant interposée entre les languettes (30) et le piston (12) pour supprimer toute possibilité de déplacement relatif, dans le plan radial, des languettes (30) par rapport au piston après fixation de ce dernier sur les tiges (40) au moyen de bagues de serrage.
Description
La présente invention concerne un embrayage de verrouillage
pour un appareil d'accouplement hydrocinétique.
L'invention concerne plus particulièrement un embrayage de verrouillage pour dispositif d'accouplement hydrocinétique comportant au moins une garniture de frottement disposée axialement entre deux éléments comprenant une paroi transversale fixe en translation et un piston solidaire en rotation de la paroi fixe et montée mobile axialement par rapport a celle-ci. Ces éléments délimitent une chambre de commande. Comme il est connu du document FR-A-2.726.620, la solidarisation en rotation des deux éléments est assurée par l'intermédiaire de languettes sensiblement allongées tangentiellement à une circonférence de l'ensemble, dont des premières extrémités sont reliées à un premier des deux éléments par l'intermédiaire d'une rondelle d'entraînement commune à l'ensemble des languettes et qui est
attelée à ce premier élément.
Les secondes extrémités des languettes, montées dans la chambre de commande, sont attelées au second élément par des moyens de fixation, dits par commodité seconds moyens de fixation, dont chacun comporte une première partie, assujettie à la seconde extrémité d'une languette, comprenant une tête qui se prolonge axialement par une tige de fixation qui traverse un perçage correspondant de la seconde extrémité de la languette pour s'étendre axialement au-delà d'une face latérale interne de la languette qui est serrée axialement, contre une face latérale externe d'appui formée en
vis-à-vis sur le second élément.
Les seconds moyens de fixation proposés dans ce document comportent de l'autre côté du second élément une seconde partie qui vient en prise avec la première partie. Ces moyens qui sont mis en oeuvre pour l'attelage des languettes au piston, qui constitue le second élément, permettent, avec un nombre réduit de composants, de procéder " en aveugle " au montage par un simple empilage des composants suivant un même sens axial, en assurant tout d'abord un engagement du piston sur les premières parties des moyens de fixation portées par les secondes extrémités des languettes, puis en assurant ensuite très simplement la mise en place des deuxièmes parties des moyens de fixation qui, pour venir en prise avec les premières parties associées, ne
nécessitent de n'intervenir que d'un seul côté du piston.
Pour permettre les opérations de montage et de fixation, il est toutefois nécessaire qu'il existe un jeu radial entre le corps de chaque tige d'une première partie des moyens de fixation et le trou d'orientation axiale du piston à travers lequel elle s'étend. Le simple effet de serrage axial résultant de l'engagement des secondes parties sur les premières parties ne permet pas d'éviter des déplacements ultérieurs intempestifs
et nuisibles du piston par rapport aux tiges, dans un plan radial.
D'une manière générale les seconds moyens de fixation comportent au moins une première partie dotée d'une tête qui se prolonge axialement par une tige de fixation assujettie à la seconde extrémité de la languette et qui traverse à jeu radial le second élément pour faciliter le montage de ce second élément sur les tiges ou le
montage des tiges sur le second élément.
Il importe donc d'éviter des déplacements ultérieurs du second
élément par rapport aux tiges et ce de manière simple et économique.
Afin de répondre à ce souhait l'invention propose un embrayage de verrouillage du type mentionné précédemment, caractérisé en ce qu'une cale, traversée par la tige de la première partie des seconds moyens de fixation, est interposée axialement entre la face latérale interne de la languette et la face latérale externe d'appui du second élément, et en ce que la portion de la face latérale interne de la cale, qui est serrée axialement contre le second élément, est une
portion de surface rugueuse.
Grâce à la cale rugueuse, on évite un déplacement du second élément par rapport aux tiges tout en ayant un montage aisé du second
élément sur les tiges ou des tiges sur le second élément.
Cette cale est une pièce de forme simple en sorte que la
solution selon l'invention est simple et économique.
En outre la cale est peu encombrante axialement et n'est pas
gênante.
Ainsi dans le cas o les languettes sont fixées sur une rondelle d'entraînement commune, la présence des cales ne nécessite
pas de modifier cette rondelle, qui ainsi est une pièce du type standard.
Ces cales sont des pièces légères en sorte que dans le cas o le second élément est le piston le mouvement axial de ce piston n'est
pas gêné par la présence des cales rugueuses.
Les seconds moyens de fixation peuvent être en deux parties
comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.
Dans une autre forme de réalisation ces moyens comportent une seule partie et consistent par exemple en des rivets plus légers et
économiques que des seconds moyens de fixation en deux parties.
A cet effet il faut prévoir des trous de passage dans le premier élément, comme décrit dans le document PCT/FR98/01393, pour pouvoir intervenir des deux côtés du second élément à l'aide d'un outil et d'un contre-outil pour réaliser le rivetage. En effet le contre-outil traverse le trou de passage concerné pour venir en contact avec la tête du rivet montée par avance avec la cale sur la languette, I'outil écrasant I'extrémité libre de la tige du rivet au contact soit du piston enfilé de manière aisée sur les tiges, soit de la paroi transversale ou d'une pièce
solidaire de celle-ci après traversée aisée des tiges.
Ces trous sont obturés en final par des obturateurs d'étanchéité tels que des bouchons, des plaques, des capsules ou des
pastilles.
Bien entendu, du fait que l'on peut intervenir des deux côtés du second élément, grâce aux trous de passage, les seconds moyens de
fixation peuvent consister en des boulons.
Les tiges peuvent donc être filetées en partie. Bien entendu avant le rivetage final on met en place le disque de friction, dont le ou les garnitures de frottement sont destinées à être serrées entre le piston
et la paroi transversale.
Ainsi dans une forme de réalisation la paroi transversale présente des trous de passage en coïncidence axiale avec des rivets fixant les secondes extrémités des languettes au piston. Les cales rugueuses étant plus légères que la deuxième partie des seconds moyens de fixation de l'art antérieur, il en résulte un déplacement axial
plus aisé du piston.
Dans une autre forme de réalisation des trous de passage sont réalisés dans le piston en coïncidence axiale avec des moyens de fixation de la rondelle d'entraînement commune des languettes à la paroi transversale. Ces trous sont obturés en final par des obturateurs
d'étanchéité tels que des bouchons.
Grâce à ces dispositions on fixe d'abord les premières extrémités des languettes à la rondelle d'entraînement commune, puis on fixe le piston sur les deuxièmes extrémités des languettes, équipées des cales rugueuses et des tiges, en intervenant des deux côtés du piston. Ensuite, après mise en place du disque de friction, grâce aux trous de passage, on fixe la rondelle d'entraînement commune à la paroi transversale, puis on bouche en final les trous de passage à l'aide d'obturateurs d'étanchéité tels que des bouchons, des plaques, des pastilles ou des capsules comme décrit dans la demande internationale
précitée à laquelle on se reportera pour plus de précisions.
Grâce aux trous de passage on peut fixer en final par collage ou soudage la rondelle d'entraînement à la paroi transversale métallique. En variante la rondelle d'entraînement est fixée par rivetage à la paroi transversale grâce aux trous de passage permettant le passage d'un ou de plusieurs outils venant en contact, de manière connue, avec
les rivets lors de l'opération de rivetage.
Par exemple les rivets sont d'un seul tenant avec la paroi transversale en étant obtenus par extrusion. Dans ce cas les rivets peuvent être équipés de cales rugueuses en contact avec la tête des
rivets formée par la paroi transversale.
La portion de surface rugueuse est alors destinée à venir en
contact avec la rondelle d'entraînement.
La fixation des languettes et de la rondelle d'entraînement peut donc être obtenue par rivetage, les tiges des seconds moyens de
fixation traversant à jeu radial le second élément.
Plus précisément dans cette forme de réalisation les rivets associés aux premières extrémités des languettes traversent la rondelle d'entraînement avec un jeu radial plus faible que celui existant entre les tiges des seconds moyens de fixation et les trous associés, par exemple
des perçages, du piston.
Bien entendu les languettes peuvent être fixées directement sur des bossages saillants axialement rapportés par soudage sur la paroi transversale ou issus par emboutissage de la paroi transversale
comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.
Dans ce cas le second élément est la paroi transversale et le
premier élément le piston.
Ainsi on fixe d'abord les premières extrémités des languettes au piston à l'aide par exemple d'une série de premiers rivets dont les
tiges traversent des perçages du piston.
Puis, après mise en place du disque de friction, on fixe les secondes extrémités des languettes, équipées des cales rugueuses et des rivets, sur les bossages, à l'aide de rivets dont les tiges traversent à
jeu radial des trous formés dans les bossages.
Le piston présente à cet effet des trous de passage en coïncidence axiale avec les bossages pour le passage d'un ou de contre-outils de rivetage prenant appui sur les têtes des rivets; les cales étant interposées axialement entre les bossages et les secondes extrémités des languettes. A l'aide d'un ou de plusieurs outils, intervenant du côté de la paroi transversale tournée vers l'extérieur à
l'opposé du piston, on écrase les tiges des rivets.
Après l'opération de rivetage on bouche de manière étanche les trous de passage à l'aide des obturateurs montés par exemple par emmanchement à force, encliquetage ou collage dans les trous de passage. Les tiges des seconds rivets de fixation traversent les trous des bossages avec un jeu radial supérieur à celui existant entre les
tiges des premiers rivets de fixation et les trous associés du piston.
Aucun déplacement ne se produit donc entre les languettes et
le piston du fait du gonflement des tiges des premiers rivets de fixation.
Grâce aux cales aucun mouvement axial ne se produit entre les
languettes et la paroi transversale.
Bien entendu les seconds moyens de fixation peuvent consister en des boulons et dans ce cas il faut prévoir des rondelles d'étanchéité. En variante les bossages peuvent être remplacés par la
rondelle d'entraînement commune.
Ainsi on fixe par exemple par rivetage, d'une part, la rondelle d'entraînement sur la paroi transversale et, d'autre part, les premières
extrémités des languettes sur le piston.
Ensuite on fixe par rivetage les secondes extrémités des languettes équipées des cales rugueuses sur les pattes que présente à
cet effet en saillie axiale la rondelle d'entraînement.
Pour ce faire, le piston et la paroi transversale présentent, en coïncidence axiale avec les pattes de la rondelle d'entraînement, des trous de passage pour le passage respectivement du ou des outils de
rivetage et du ou des contre-outils de rivetage.
Après le rivetage on bouche de manière étanche les trous de
passage à l'aide d'obturateurs.
Les cales sont interposées axialement entre les pattes et les secondes extrémités des languettes; les tiges des seconds rivets de fixation traversant à jeu radial des trous prévus dans les pattes de la rondelle d'entraînement en coïncidence axiale avec les trous de passage
du piston et de la paroi transversale.
La paroi transversale, via la rondelle d'entraînement, constitue
donc le second élément.
Dans une autre forme de réalisation une cale rugueuse est associée a chacune des extrémités des languettes. Toutes les
combinaisons sont possibles grâce a la présence de trous de passage.
Selon d'autres caractéristiques de l'invention: - la portion de surface rugueuse est une portion de surface, par exemple annulaire, qui entoure un trou de la cale traversé par la tige de fixation; - la cale rugueuse est assujettie à la seconde extrémité de la languette pour éviter tout mouvement, parfaire encore la liaison second élément - languettes, faciliter le montage de la tige de fixation, et rendre
imperdable la première partie des moyens de fixation.
De manière simple et économique, la première partie des seconds moyens de fixation est assujettie à la cale rugueuse par engagement à force de la tige de fixation dans le trou de la cale rugueuse. La seconde extrémité de la languette est assujettie à la première partie des seconds moyens de fixation par engagement à force de la tige de fixation dans le perçage correspondant de la seconde extrémité de la languette; - la cale rugueuse est assujettie à la seconde extrémité de la languette par adhérisation d'une portion de sa face latérale externe à la face latérale interne de la seconde extrémité de la languette, par exemple par collage ou par soudage; - la cale se prolonge radialement par un bras d'indexation, facilitant le montage, qui s'étend sensiblement dans le plan de la cale, qui est adjacent à la face latérale interne de la languette et qui comporte, au voisinage de son extrémité libre, deux pattes opposées d'indexation qui s'étendent axialement chacune le long d'un des deux bords longitudinaux et opposés de la languette; - le bras d'indexation forme un angle aigu par rapport au plan de la face latérale interne de la languette; - le premier élément est la paroi transversale d'un élément de carter, tandis que le second élément est le piston; - la seconde partie des moyens de fixation est une bague
sertie radialement sur un tronçon cranté de la tige de fixation.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention
apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui suit pour la
compréhension de laquelle on se reportera aux dessins annexés dans lesquels: - la figure 1 est une vue en section axiale d'un embrayage de verrouillage selon l'état de la technique; - la figure 2 est une vue de détail à plus grande échelle d'une partie de la figure 1 qui illustre le détail de conception des moyens de fixation des secondes extrémités des languettes conformément à l'état de la technique; - la figure 3 est une vue, selon la direction de la flèche F3 de la figure 1, qui illustre une rondelle d'attelage portant les languettes avec celles- ci équipées de leurs moyens de fixation de leurs secondes extrémités, I'ensemble étant réalisé conformément à un exemple de réalisation de l'invention; - la figure 4 est une vue de détail, à plus grande échelle, en section selon la ligne 4-4 de la figure 3; - la figure 5 est une vue de détail, à encore plus grande échelle, en section selon la ligne 5-5 de la figure 3; - la figure 6 est une vue de face à grande échelle de l'une des cales rugueuses illustrées aux figures 3 à 5; - la figure 7 est une vue en section selon la ligne 7-7 de la figure 6 et - la figure 8 est une vue en section selon la ligne 8-8 de la figure 7 - la figure 9 est une demi-vue en coupe axiale d'un embrayage de verrouillage pour une autre forme de réalisation selon l'invention; - - la figure 10 est une vue analogue à la figure 5 pour cet autre exemple de réalisation; - la figure 11 est une vue en coupe analogue à celle de la figure 5 pour cet autre exemple de réalisation; - - la figure 12 est une vue partielle montrant la fixation d'une languette au piston avec intervention d'une cale rugueuse et formation d'un trou de passage dans la paroi transversale pour un troisième
exemple de réalisation.
On a représenté sur la figure 1 un embrayage de verrouillage qui est destiné à équiper un dispositif d'accouplement hydrocinétique (non représenté sur la figure) d'axe de symétrie axiale X-X pour permettre de solidariser mécaniquement en rotation, directement ou indirectement, une roue de turbine de ce dispositif d'accouplement hydrocinétique à sa roue d'impulseur, sachant que la roue de turbine est destinée à être calée en rotation via un moyeu sur un arbre mené doté d'un canal de passage de fluide, tandis que la roue d'impulseur est
destinée à être calée en rotation sur un arbre menant.
L'embrayage de verrouillage 10 comporte au moins une garniture de frottement 11 qui est disposée axialement entre une paroi axialement fixe 12 et un piston 13 qui est monté mobile axialement par rapport à cette paroi fixe 12 tout en étant solidaire en rotation de cette dernière. Par paroi fixe 12, on entend simplement ici une paroi fixe axialement, mais il va de soi que la paroi fixe 12 est entraînée en rotation autour de l'axe X-X de l'ensemble. Cette paroi 12 est destinée à
être liée en rotation à un arbre menant.
Dans la partie basse de la figure 1, on voit une des saillies (non référencée) permettant de lier en rotation, de manière connue à
l'aide d'un flasque 21, la paroi 12 à l'arbre menant.
Dans l'exemple illustré à la figure 1, la paroi fixe 12 appartient à un carter et il s'agit plus précisément de la paroi de fond d'une coquille de carter 14, en forme générale de cloche ou de pot, dont est solidaire en rotation la roue d'impulseur du dispositif d'accouplement hydrocinétique, et à l'intérieur de laquelle s'étendent la (ou les)
garniture(s) de frottement 11 et le piston 13.
Dans l'exemple représenté, il est prévu deux garnitures de frottement 11 qui sont disposées chacune respectivement de part et d'autre d'un anneau de support 15 en forme générale d'anneau plat auquel elles sont assujetties par exemple par collage de manière à
former avec l'anneau 15 un disque annulaire de friction 16.
En variante l'anneau 15 est noyé dans une garniture de frottement. En variante les garnitures 11 sont fixées sur le piston 13 et sur
la paroi 12.
L'anneau de support 15 comporte, de place en place, à sa périphérie radiale externe, des pattes 18 qui, dirigées axialement, en s'étendant radialement au delà de la périphérie externe du piston 13, sont destinées (comme cela est représenté de manière schématique en traits interrompus à la figure 1) à solidariser en rotation par engrènement le disque de friction 16 à l'un des éléments constitutifs
d'un dispositif amortisseur de torsion 19, dont l'autre élément est lui-
même solidarisé en rotation à la roue de turbine du dispositif
d'accouplement hydrocinétique.
La paroi fixe 12 porte axialement en saillie dans sa zone centrale un nez de centrage 20 qui porte lui-même, annulairement, une bague 21 qui est calée axialement par rapport à lui et sur laquelle le piston 13 est monté coulissant, de manière étanche, par sa périphérie radiale interne. Le nez 20 permet de centrer le dispositif par rapport à
l'arbre menant.
La bague 21, distincte du nez de centrage 20, est directement en butée contre la paroi fixe 12 en présentant en saillie, de place en place, à cet effet des bossages 22 axiaux et elle est engagée sur une portée 24 du nez de centrage 20. Les bossages 22 permettent un
passage de fluide ici de l'huile.
La bague 21 est calée axialement sur le nez de centrage 20 du côté opposé à la paroi fixe 12, par exemple, et, comme cela est représenté, par un refoulement de matière de l'extrémité correspondante du nez de centrage 20 aboutissant à un sertissage de celui-ci au-delà de
la bague 21.
La paroi fixe 12 et le piston 13 définissent, conjointement avec la bague 21, une chambre hydraulique 25 de commande à la périphérie externe de laquelle interviennent les garnitures de frottement 11 et qui, par des passages 26 intervenant radialement entre les bossages 22 de la bague 21, des perçages 27 prévus à cet effet dans le nez de centrage 20, et l'alésage axial 28 de celui-ci, est susceptible d'être mise en communication avec une source de fluide sous pression (non représentée). Plus précisément le canal de l'arbre mené communique
avec l'alésage axial 28.
Pour plus de précisions on pourra se reporter par exemple au document WO-A-94/07058 (US-A-5 590 750) dont le contenu est considéré comme annexé à la présente invention. Ce document montre également les roues de turbine et d'impulseur, sachant que la roue de turbine comporte un moyeu destiné à être calé en rotation sur l'arbre mené. De manière connue en soi, le piston 13, ici métallique, est solidarisé en rotation à la paroi fixe 12, ici métallique, par une série de languettes 30 qui, comme on peut le voir notamment à la figure 3, sont sensiblement allongées tangentiellement à une même circonférence de l'ensemble et sont déformables élastiquement selon la direction axiale pour laisser au piston 13 toute la mobilité axiale nécessaire par rapport
à la paroi fixe 12.
Les languettes 30 sont ici métalliques en étant en acier traité.
Par mesure de simplicité, on appelle ici languettes soit des languettes intervenant isolément, soit des languettes dont chacune est constituée par un empilage de languettes élémentaires, par exemple par l'empilage de deux languettes élémentaires de conception identique
comme cela est illustré sur l'ensemble des figures.
Les languettes 30 interviennent ici dans la chambre hydraulique 25 en étant disposées dans le volume qui s'étend radialement entre les garnitures de frottement 11 et l'axe X-X de l'ensemble. Elles sont attelées, soit directement, soit indirectement, à la paroi fixe 12 par une première 30A de leurs extrémités, et au piston 13
par une seconde 30B de leurs extrémités 30A, 30B.
Dans l'exemple illustré sur les figures, les languettes 30 sont attelées à la paroi fixe 12 par l'intermédiaire d'une pièce intermédiaire
32 qui est solidaire de la paroi 12.
En pratique, la pièce intermédiaire 32 est une rondelle d'attelage qui est commune à l'ensemble des languettes 30 et qui est solidarisée à la paroi métallique fixe 12 par des rivets 33 dont les corps ou tiges sont réalisés venus d'un seul tenant avec la paroi fixe 12, par exemple par extrusion. La rondelle 32 est donc une rondelle d'entraînement commune à toutes les languettes 30 et présente à sa périphérie radiale interne, de place en place, en étant décalée axialement en direction du piston métallique 13 par rapport à sa partie centrale courante ou partie principale, des pattes 34 saillantes axialement auxquelles les premières extrémités 30A des languettes 30
sont solidarisées par des rivets 35.
Conformément à l'état de la technique illustré aux figures 1 et 2, pour l'attelage des secondes extrémités 30B des languettes 30 au piston 13, on met en oeuvre des moyens de fixation 36 qui, tout en étant aptes à traverser globalement et de manière connue en soi les languettes 30 à la faveur d'un perçage 37 de celles-ci et le piston 13 à
la faveur de perçages 38 de celui-ci, comportent deux parties.
Ainsi, chaque moyen de fixation 36 qui assure la fixation d'une seconde extrémité 30B d'une languette 30 au piston 13, comporte une première partie 36A qui, par avance et suivant des dispositions décrites plus en détail ultérieurement, est assujettie à la languette 30 et une seconde partie 36B qui, pour venir en prise avec la première partie 36A, ne nécessite de n'intervenir que du côté du piston 13, c'est-à-dire du
côté gauche en considérant les figures 1 et 2.
Sur les figures, les moyens de fixation 36 associés à une languette 30 sont constitués par une fixation du type tige de boulon
sertie comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.
Chaque première partie 36A comporte une tige 40 et une tête 41. La tige 40 traverse avec jeu radial, comme on peut le voir plus en détail à la figure 2, un trou débouchant d'orientation axiale, par
exemple un perçage 38, formé dans le piston 13.
A partir de la tête 41, la tige 40 comporte, axialement et successivement de la droite vers la gauche en considérant les figures 1
et 2, un tronçon lisse 42, et un premier tronçon cranté 43.
La tête 41 délimite, à son raccordement avec la tige 40, une surface d'appui 47, d'orientation globalement radiale, qui est une surface plane par laquelle elle est apte à être appliquée axialement contre une surface latérale externe d'appui 46 formée en vis-à-vis sur la languette double 30 et qui s'étend autour du perçage 37 correspondant
de cette dernière.
La première partie 36A ainsi constituée des moyens de fixation 36 est par exemple assujettie à la languette associée 30 par engagement à force du tronçon lisse 42 de la tige 40 dans le perçage 37
de cette languette 30. Cette première partie 36A est ainsi imperdable.
Pour favoriser l'engagement à force, I'extrémité libre du
tronçon lisse 42 de la tige 40 est par exemple légèrement tronconique.
Selon une variante (non représentée), ou en combinaison, le tronçon
lisse 42 peut être moleté.
En variante, la première partie 36A des moyens de fixation 36 peut aussi être assujettie à la languette 30 par adhérisation de la surface d'appui 47 de sa tête 41 à la surface 46 de la languette 30, par
exemple par soudage ou collage.
La seconde partie 36B des moyens de fixation 36 est constituée par une simple bague destinée à être sertie sur le premier
tronçon cranté 43 de la tige 40 de la première partie 36A.
La bague 36B comporte ici, du côté du piston 13, une embase ou collerette 45, de plus grand diamètre, pour éviter son fluage dans le
perçage 38 du piston 13.
Pour le montage, il peut être procédé de la manière suivante.
On procède tout d'abord à l'attelage des languettes 30, par
leurs premières extrémités tangentielles 30A, à la paroi fixe 12.
Pour ce faire, il est procédé à la constitution d'un sous-
ensemble 48 (voir figure 3), comportant la rondelle intermédiaire 32, les languettes 30 rapportées par des rivets 35 sur les parties 34 de la rondelle 32 et, portée par les languettes 30, la première partie 36A des
moyens de fixation 36.
Le sous-ensemble 48 est ensuite rapporté sur la paroi fixe 12 par les rivets 33, les pattes 34 présentant pour ce faire des trous pour le
passage des tiges des rivets 33.
On assure alors un engagement axial du piston 13 par ses perçages 38 sur les premières parties 36A des moyens de fixation 36 portées par les secondes extrémités tangentielles 30B des languettes 30. Cet engagement est aisé grâce au jeu radial entre les perçages 38
et les tiges 40.
De manière préférée, I'engagement du piston 13 sur la première partie 36A des moyens de fixation 36 se fait avec un centrage conjoint du piston 13 par rapport à la paroi fixe 12. A cet effet, il est par exemple tiré partie du nez de centrage 20, en utilisant un centreur (non représenté sur les figures), prenant appui d'une part intérieurement sur ce nez de centrage 20 et, d'autre part, extérieurement sur la rondelle
intermédiaire 32.
Grâce au centrage ainsi assuré, le piston 13, qui peut trouver sa place dufait de la présence du jeu radial intervenant entre ses perçages 38 et les tiges 40 des premières parties 36A des moyens de fixation 36, n'interfère avantageusement pas avec la bague 21, mais il
s'engage au contraire correctement à coulissement sur celle-ci.
Il suffit alors enfin d'assurer la mise en place de la deuxième partie 36B des moyens de fixation 36, c'est-à-dire d'engager sur les tiges 40 des premières parties 36A les bagues 36B constituant les deuxièmes parties jusqu'à la venue en butée axiale de celles-ci sur le
piston 16.
A cet effet, les faces radiales externes 50 des collerettes 45 viennent en appui axial contre la face latérale interne du piston 13 tandis que la face latérale externe 52 du piston, d'orientation globalement radiale, est en appui axial contre les portions de surface latérale interne en vis-à-vis 54 des secondes extrémités 30B des languettes 30. La face 52 est donc une face d'appui, dite face latérale
externe d'appui, formée localement dans le piston 13 par emboutissage.
Pour assurer ce serrage axial, à l'aide d'un outil spécialisé, il est procédé à l'exercice d'une traction sur les tiges 40 des premières parties 36A des moyens de fixation 36, puis à un serrage radial des deux deuxièmes parties 36B sur les premiers tronçons crantés 43 des tiges 40 pour assurer des opérations de sertissage. Selon des variantes non représentées sur les figures, et conformément aux enseignements du document FR-B-2 726 620, des languettes 30 peuvent aussi être réalisées d'un seul tenant par leurs premières extrémités 30A, avec la rondelle intermédiaire 32 par laquelle
elles sont attelées à la paroi fixe 12.
Comme cela a été mentionné précédemment, et comme on peut le voir à la figure 2, il existe, de par la conception des moyens d'assemblage 36 et du fait du procédé d'assemblage selon l'état de la technique, un jeu radial entre les perçages 38 et les tiges 40. Ce jeu facilite l'enfilage du piston 13 sur les tiges 40 et est plus important que celui existant entre les tiges des rivets 35 et les trous des pattes 34
traversées par les rivets 35.
Afin de remédier aux inconvénients résultant de ce jeu radial, et conformément aux enseignements de l'invention, une cale 60, traversée par la tige 40 de la première partie 36A des moyens de fixation 36, est interposée axialement entre la seconde extrémité 30B de
chaque languette 30 et ici le piston 13.
On décrira maintenant en détail la réalisation des cales
rugueuses 60 en se reportant plus particulièrement aux figures 3 à 8.
Comme on peut le voir sur la figure 3, la seconde extrémité B tangentielle de chacune des languettes doubles 30 est équipée
d'une cale rugueuse 60 conformément aux enseignements de l'invention.
Cette cale 60 est ici métallique et légère car elle est de faible épaisseur. Chaque cale rugueuse 60 est constituée pour l'essentiel par une partie principale 62 en forme générale de rondelle circulaire qui est délimitée axialement par une face latérale annulaire interne 64 en contact avec la face externe d'appui 52 du piston 13 et par une face latérale annulaire externe 66 en contact avec la seconde extrémité 30B
des languettes 30.
Conformément aux enseignements de l'invention, la face annulaire latérale interne 64 est une portion de surface rugueuse comme
cela est schématisé notamment à la figure 6.
La partie principale en forme de rondelle 62 comporte un perçage central 68 qui est prévu pour être traversé par le tronçon lisse cylindrique 42 à extrémité tronconique d'une tige 40 d'une première partie 36A d'un moyen de fixation 36, cette traversée étant par exemple assurée avec emmanchement à force de manière a assujettir la partie 62, et donc la cale 60, à la tige 40 et la seconde extrémité tangentielle
B de la languette double correspondante 30.
La cale 60 est ainsi imperdable avant la fixation du piston 13
sur les languettes.
Après assemblage du mécanisme d'embrayage, chacune des surfaces annulaires internes rugueuses 64 sera en contact avec une portion en vis- à-vis de la face latérale externe d'appui 52 du piston 13 et la coopération de frottement ainsi assurée entre les cales 60 et le piston 13 permettra, après serrage axial des moyens de fixation 36, d'éviter tout déplacement, dans le plan radial, des tiges 40 par rapport au piston 13. Selon une variante de réalisation (non représentée sur les figures), la cale rugueuse 60 peut être assujettie à la seconde extrémité B de la languette par adhérisation d'une portion de surface latérale externe 62 à la face latérale interne 54 de la seconde extrémité 30B de
la languette 30, par exemple par collage ou par soudage.
Selon une autre caractéristique de l'invention, chaque partie principale en forme de rondelle annulaire 62 d'une cale rugueuse 60 se prolonge radialement par un bras d'indexation 70 qui s'étend sensiblement dans le plan de la cale 60, qui est adjacent à la face latérale interne de la languette 30 et qui comporte, au voisinage de son extrémité libre, deux pattes opposées 72 d'indexation qui s'étendent axialement chacune le long d'un des deux bords longitudinaux et
opposés 74 de la languette 30.
Selon le mode de réalisation particulier qui est notamment illustré en détail aux figures 6 à 8, le bras d'indexation 70 forme un angle aigu par rapport au plan de la face latérale interne de la languette , c'està-dire qu'il forme un angle aigu par rapport au plan de la partie
principale en forme de rondelle rugueuse 62 de la cale rugueuse 60.
Ainsi la cale rugueuse selon l'invention est bloquée en rotation par rapport aux languettes 30. Elle est également indexée angulairement. Bien entendu les pattes 18 de l'anneau 15 peuvent être liées en rotation, par exemple par une liaison du type tenons-mortaises, à une pièce solidaire de la roue de turbine du dispositif d'accouplement hydrocinétique. Ici les extrémités 30A et 30B des languettes 30 ont une forme
arrondie et présentent un contour en forme de demi-cercle.
Les secondes extrémités 30B sont recouvertes par les cales
plus précisément par la rondelle annulaire 62 de celle-ci.
D'une manière générale les cales 60 recouvrent avantageusement les secondes extrémités 30B des languettes 30 et ont donc une forme complémentaire à celles-ci. Les secondes extrémités 30B des languettes 30 peuvent avoir en variante une forme rectangulaire. Dans ce cas la rondelle 62 est remplacée par une plaquette de forme rectangulaire et rugueuse. Les cales 60 masquent
les secondes extrémités des languettes 30 et protègent celles-ci.
La portion de surface rugueuse d'une cale entoure un trou 68
de la cale traversée par la tige de fixation.
En variante les secondes extrémités 30B des languettes 30 peuvent déborder par rapport aux cales 60. Cette solution est moins avantageuse car cela conduit à diminuer la portion de surface rugueuse
des cales.
Dans tous les cas la rondelle 32 est inchangée. En effet cette rondelle 32 présente des dégagements (figure 3) au niveau des secondes extrémités 30B des languettes 30 pour le passage des tiges et permettre un mouvement axial de la languette 30. La présence des
cales 60 ne modifie pas la forme des dégagements.
En variante les cales 60 peuvent déborder par rapport aux
secondes extrémités 30B des languettes 30.
Comme visible dans les figures 9 à 11 les moyens de fixation 36, dits par commodité seconds moyens de fixation, peuvent ne comporter qu'une seule partie et consister en des rivets; le tronçon lisse 42 étant prolongé axialement pour traverser à jeu radial le perçage 38 du piston 13. Dans cette variante on utilise la même rondelle 32 que celle de la figure 3 et il faut prévoir des trous de passage 124 dans le piston 13 et ce en coïncidence axiale avec les rivets 33 obtenus par extrusion à partir de la paroi 12. Les trous 124 permettent le passage d'au moins un outil pour le rivetage, plus précisément pour l'écrasement des tiges des rivets 33. Un contre-outil est prévu du côté de la paroi 12 opposé au piston 13 pour soutenir la paroi 12 lors de l'écrasement des
rivets 33.
Après l'opération de rivetage on bouche les trous 124 de manière étanche à l'aide d'obturateurs 123, ici bouchons, montés ici par encliquetage dans les trous 124. On peut monter en variante par
emmanchement à force les bouchons 123 dans les trous 124.
En variante on peut coller ou souder les bouchons 123 sur le piston. Les bouchons 123 peuvent être remplacés par des plaques ou des pastilles. Pour plus de précisions, on se reportera au document PCT/FR98/01393, toutes les formes de réalisation de ce document étant
envisageables.
Dans cette forme de réalisation on fixe d'abord les premières extrémités 30A des languettes 30 à la rondelle 32 à l'aide des rivets 35
en intervenant des deux côtés de la rondelle 32.
Puis on fixe le piston 13 par les rivets 36 sur les secondes extrémités 30B des languettes 30, équipées des cales rugueuses 60 par emmanchement à force du tronçon 42 dans les languettes 30 et les cales 60 comme dans les figures 1 à 8, ensuite, après mise en place du disque de friction, on fixe en final la rondelle 32 sur la paroi à l'aide des rivets 33, et des trous 124 obturés en final par les obturateurs 123 de manière précitée. Les rivets 35 traversent les pattes 34 comme dans les figures I à 8, c'est-à-dire avec un jeu radial inférieur à celui existant
entre les tiges 40 et les perçages 38 associés du piston 13.
Bien entendu on peut fixer la rondelle 32 sur la paroi 12 à l'aide de cales rugueuses intervenant axialement entre la rondelle 32 et la paroi 12, les tiges des rivets 33 traversant à jeu radial les ouvertures associées réalisées dans la rondelle 32 pour le passage des tiges des
rivets 33.
En variante on fixe d'abord les rivets 36 sur le piston 13 et la rondelle 32 sur la paroi 12, puis on fixe les languettes 30 sur les pattes 34 à l'aide de cales rugueuses. Dans ce cas il faut prévoir des trous de passage dans le piston 13 et la paroi 12 en coïncidence axiale avec les
rivets 35.
Les cales interviennent axialement entre les pattes 34 et les
languettes 30.
En final on bouche les trous de passage.
Ainsi on peut inverser les structures, les secondes extrémités des languettes 30 étant constituées par les extrémités associées aux
pattes 34 et donc à la paroi 12.
A la figure 9 on voit en 101 de manière schématique la roue de
turbine du dispositif d'accouplement hydrocinétique.
Cette roue de turbine à aubes présente à sa périphérie interne un anneau 102 fixé à l'aide de rivets 122 sur un moyeu 120 cannelé intérieurement pour liaison en rotation de la roue de turbine 101 avec l'arbre mené, dont le canal communique avec l'alésage 28 du centreur servant ici au guidage du piston 13; une rondelle 121 à faible coefficient de frottement étant interposée axialement entre le moyeu 120
et le centreur 20.
L'amortisseur de torsion 19 comporte un voile 103 solidarisé
au moyeu 120 par les rivets 122.
Le voile présente à sa périphérie externe une portion conformée pour former une gorge 114 ouverte axialement en direction de la paroi 12. Des ressorts courbes 190 interviennent circonférentiellement entre l'anneau de support 15 et le voile 103. Pour ce faire l'anneau 15, et donc le disque de friction 16, présente à sa périphérie externe des pattes inclinées 140 pour soutenir les ressorts et des pattes axiales 141 avec des doigts non visibles saillants circonférentiellement pour pénétrer dans les extrémités
circonférentielles de deux ressorts 190 consécutifs.
Le voile 103 présente à sa périphérie externe des emboutis 146 pour appui des extrémités circonférentielles de deux ressorts 190 consécutifs montés dans la gorge 146. Les ressorts 190 sont ainsi
portés par le disque de friction 16 et se déplacent axialement avec celui-
ci dans la gorge 114 du voile 103.
Le couple est donc transmis élastiquement du disque 16 au voile 103 lorsque les garnitures de frottement 11 sont serrées entre le
piston 13 et la paroi 12.
En variante les ressorts 190 sont supprimés et le disque 16 par ses pattes 141 engrène directement avec le voile 103, grâce à une
liaison du type tenons-mortaises.
* Pour plus de précisions on se reportera au document FR98 02808 déposé le 3 mars 1988, décrivant également l'amortisseur
de torsion précité.
Dans toutes les figures, en faisant varier la pression de part et d'autre du piston 13, par exemple en faisant varier la pression dans la chambre 25, on déplace axialement le piston 13 dans un sens ou dans l'autre pour serrer les garnitures 11 entre le piston 13 et la paroi 12 ou
libérer celles-ci.
Lorsque les garnitures 11 sont serrées (embrayage verrouillé ou ponté) on évite tout mouvement relatif entre les roues de turbine et d'impulseur et le couple est transmis de l'arbre menant à l'arbre mené
par le disque de friction 16 et ce de manière élastique ou rigide.
Lorsque les garnitures 11 sont libres (embrayage déponté) la roue d'impulseur entraîne la roue de turbine grâce à la circulation d'huile entre les aubes de ces roues. Bien entendu grâce aux trous de
passage on peut remplacer les rivets 36 par des boulons.
Dans une forme de réalisation les trous de passage sont réalisés dans la paroi transversale 12 en coïncidence axiale avec les
seconds moyens de fixation des languettes au piston.
Ainsi à la figure 12, on voit en 224 un trou de passage étagé réalisé dans la paroi transversale en coTncidence axiale avec un perçage 38 du piston et un rivet de fixation 36 constituant un des seconds
moyens de fixation.
La cale rugueuse 60 est interposée axialement à serrage entre la face latérale interne, tournée vers la tête du rivet 36, d'une languette double 30 et la face externe d'appui 52 du piston 13 appartenant à un
bossage 152 formé localement par emboutissage du piston métallique.
Plus précisément on monte à fixation les rivets 36 et les cales sur les secondes extrémités des languettes 30 par emmanchement à force des tiges lisses des rivets 36 dans les perçages des languettes et des cales. On fixe ensuite par rivetage les premières extrémités des languettes 30 à la rondelle 32. Bien entendu on peut inverser l'ordre des
deux première opérations précitées.
Ensuite on fixe la rondelle 32 équipée des languettes 30 sur la
paroi transversale 12.
On met en place le disque de friction, la paroi 12 étant posée
à plat.
Après on enfile le piston 13 sur les tiges des rivets 36. Cette opération est aisée car les tiges des rivets traversent à jeu radial les
perçages 38 du piston.
Puis on procède à l'opération de rivetage des tiges des rivets 36. Pour ce faire un contre-outil traverse le trou 224, ici cylindrique, pour prendre appui sur la tête du rivet 36, dont l'extrémité
libre de la tige s'étend au-delà du piston 13.
A l'aide d'un outil on écrase l'extrémité libre du rivet 36 pour faire fluer la matière de celui-ci au contact de la face du bossage 152
tournée à l'opposée de la languette double 30, afin de serrer la cale 60.
Après on bouche le trou 224 à l'aide d'un bouchon 223 étagé emmanché à force dans le trou 224. En variante on soude ou on colle la tête du bouchon 223 sur la
paroi 12.
Bien entendu la rondelle 32 peut être d'un seul tenant avec les
languettes 30 comme décrit dans le document FR-A-2 726 620.
A la lumière de la figure 12, on voit que l'on fixe d'abord la rondelle sur la paroi 12 puis après on fixe sur le piston 13, grâce aux trous 224, les extrémités libres des languettes étant équipées des rivets
et des cales.
Dans tous les cas la cale rugueuse selon l'invention est interposée axialement à serrage en l'une des extrémités, dite seconde extrémité, de la languette 30, éventuellement constituée par au moins deux languettes superposées, et l'un des éléments piston - paroi
transversale, dit second élément.
Les seconds moyens de fixation comportent au moins une tige de fixation de forme lisse, crantée, ou filetee - qui traverse axialement des pièces à savoir la languette, la cale et le second élément à la faveur de trous, tels que des perçages, axialement alignées réalisés dans ces pièces. Grâce aux seconds moyens de fixation on sert la cale entre la face latérale 54 de la languette 30, dite par commodité face latérale interne, et une face latérale d'appui 52, dite par commodité face latérale externe d'appui 52, formées sur le second élément en vis-à- vis de la
face latérale interne de la languette.
Cette face latérale externe d'appui est formée dans les figures
à la faveur d'emboutis réalisés localement dans le piston 13 métallique.
Un tel embouti est visible en 152 dans les figures 11 et 12.
On appréciera que les languettes sont ménagées, et que dans le cas d'un rivetage le fluage de matière des tiges se produit au contact
du second élément sans destruction des languettes.
On notera que le centreur 20 de la figure 11 centre
directement le piston 13.
Le nombre de cales rugueuses dépend des applications et du
nombre de languettes et du couple à transmettre.
Par exemple, à la figure 3 deux languettes 3 diamétralement opposées peuvent être dotées de cales rugueuses et les deux autres pas. La portion de surface rugueuse de la cale peut être obtenue par traitement mécanique de la face concernée de la cale ou par dépôt
sur cette face de la cale d'une couche rugueuse résistante à la pression.
Par exemple les cales sont en acier que l'on traite
mécaniquement pour les rendre rugueuses.
Bien entendu les deux faces de la cale peuvent être rugueuses
et le bras 70 peut être doté d'au moins une face rugueuse.
Claims (16)
1. Embrayage de verrouillage pour dispositif d'accouplement hydrocinétique comportant au moins une garniture de frottement (11) disposée axialement entre deux éléments comprenant une paroi transversale fixe en translation (12) et un piston (13) solidaire en rotation de la paroi (12) et montée mobile axialement par rapport à celle-ci, dans lequel la solidarisation en rotation des deux éléments (12, 13) est assurée par l'intermédiaire de languettes (30) sensiblement allongées tangentiellement à une circonférence de l'ensemble, dont des premières extrémités (30A) sont reliées à un premier (12) des deux éléments (12, 13), par exemple par l'intermédiaire d'une rondelle d'entraînement (32) commune à l'ensemble des languettes (30), et qui est attelée à ce premier élément (12), et dans lequel les secondes extrémités (30B) des languettes (30) sont attelées au second élément (13) par des moyens de fixation (36), dits seconds moyens de fixation, dont chacun comporte une première partie (36A), assujettie à la seconde extrémité (30B) d'une languette (30), comportant une tête (41) qui se prolonge axialement par une tige de fixation (40) qui traverse un perçage correspondant (37) de la seconde extrémité (30B) de la languette (30) pour s'étendre axialement au delà d'une face latérale (54) de la languette, dite face interne, qui est serrée axialement, contre une face latérale d'appui (52), dite face latérale externe d'appui, formée en visa-vis sur le second élément (13), caractérisé en ce qu'une cale (60, 62), traversée par la tige (40) de la première partie (36A) des moyens de fixation (36), est interposée axialement entre la face latérale interne (54) de la languette (30) et la face latérale externe d'appui (52) du second élément (13), et en ce que la portion de la face latérale (64) de la cale (60, 62), dite face latérale interne, qui est serrée axialement contre le second élément (13, 52), est une portion de surface rugueuse (64).
2. Embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la portion de surface rugueuse (64) est une portion de surface qui entoure un trou (68) de la cale (60, 62) traversé par la tige de
fixation (40).
3. Embrayage selon la revendication 2, caractérisé en ce que la portion de surface rugueuse (64) est formée sur une face d'une
rondelle circulaire (62) que comporte la cale rugueuse (60,62).
4. Embrayage selon l'une quelconque des revendications 1 à
3, caractérisé en ce que la cale rugueuse (60, 62) est assujettie à la
seconde extrémité de la languette (30).
5. Embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la première partie (36A) des seconds moyens de fixation (36) est assujettie à la cale rugueuse (60, 62) par engagement à force de la
tige de fixation (40) dans le trou (68) de la cale rugueuse.
6. Embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que la seconde extrémité (30B) de la languette (30) est assujettie à la première partie (36A) des moyens de fixation par engagement à force de la tige de fixation (40) dans le perçage correspondant (37) de la
seconde extrémité de la languette (30).
7. Embrayage selon la revendication 4, caractérisé en ce que la cale rugueuse est assujettie à la seconde extrémité de la languette par adhérisation d'une portion de sa face latérale externe à la face latérale interne de la seconde extrémité de la languette, par exemple par
collage ou par soudage.
8. Embrayage selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisé en ce que la cale (60, 62) se prolonge radialement par un bras d'indexation (70) qui s'étend sensiblement dans le plan de la cale, qui est adjacent à la face latérale interne de la languette et qui comporte, au voisinage de son extrémité libre, deux pattes opposées (72) d'indexation qui s'étendent axialement chacune le long d'un des deux bords longitudinaux et opposés (74) de la languette
(30).
9. Embrayage selon la revendication précédente, caractérisé en ce que le bras d'indexation (70) forme un angle aigu par rapport au
plan de la face latérale interne de la languette (30).
10. Embrayage selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisé en ce que ledit premier élément (12) est la paroi transversale d'un élément de carter (14), et en ce que ledit second
élément est le piston (13).
11.Embrayage selon l'une quelconque des revendications 1 à
9, caractérisé en ce que le second élément (12) est la paroi transversale d'un élément de carter (14) et en ce que le premier élément (13) est le
piston (12).
12. Embrayage selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisé en ce que les seconds moyens de fixation (36) comportent une seconde partie (30B) en prise avec la première partie (30A) des seconds moyens de fixation (36) pour serrer la cale rugueuse (60) entre la face latérale interne (54) de la languette (30) et la face latérale externe d'appui (52) du second élément (12,11) et en ce que la seconde partie (30B) des seconds moyens de fixation (36) et la languette (30) s'étendent de part et d'autre du second élément (12,11).
13. Embrayage selon la revendication 12, caractérisé en ce que la seconde partie (36B) des seconds moyens de fixation (36) est une bague sertie radialement sur un tronçon cranté (43) que présente la tige de fixation (40) de la première partie (301) des seconds moyens de
fixation (36).
14. Embrayage selon l'une quelconque des revendications 1 à
11, caractérisé en ce que les seconds moyens de fixation (36)
consistent en des rivets de fixation.
15. Embrayage selon la revendication 14, caractérisé en ce que le premier élément (12) comporte des trous de passage (224) en coïncidence axiale avec les rivets de fixation (36), lesdits trous étant
bouchés en final par des obturateurs d'étanchéité (223).
16. Embrayage selon l'une quelconque des revendications
précédentes, caractérisé en ce qu'une cale à portion de surface rugueuse est interposée entre la première extrémité de la languette
(30A) et le premier élément (12).
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