FR2752741A1 - Dispositif pour realiser des mouvements de gymnastique, notamment reeducative - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un dispositif pour réaliser des mouvements de gymnastique, notamment rééducative. Selon l'invention, ce dispositif comporte: - un cadre (2) à l'intérieur duquel sont tendus, décalés angulairement, des éléments élastiques (E1 , E2 , E3 , E4 ) à deux brins (B1 , B2 , ces éléments se croisant sensiblement dans la région centrale (10) du cadre (2); - un organe de contention et de retenue (3) desdits éléments (E1 , E2 , E3 , E4 ), en place dans ladite région centrale (10) et bordé par les deux brins (B1 , B2 ) de chacun desdits éléments, cet organe pouvant être déplacé à l'intérieur du cadre par un utilisateur, selon des directions généralement parallèles aux plans qui contiennent les éléments élastiques et à l'encontre des forces de résistance desdits éléments élastiques.

Description

DISPOSITIF POUR REALISER DES MOUVEMENTS DE
GYMNASTIQUE, NOTAMMENT REEDUCATIVE
La présente invention conceme un dispositif pour réaliser des mouvements de gymnastique, notamment réëducative.

Un tel dispositif permet de pratiquer par exemple des exercices procédant par des mouvements giratoires contrés par des résistances élastiques, en vue de fortifier, éduquer ou rééduquer les organes qui servent à articuler les membres humains, ou pour réduire des déficits d'habileté ambivalente ou de sensibilité proprioceptive.

Il est bien connu que les exercices de gymnastique qui permettent de fortifier et d'éduquer le corps humain de manière rationnelle et non hypertrophiante procèdent par mouvements giratoires. Ces mouvements sont exécutés à l'encontre de charges ou de résistances élastiques qui les rendent d'autant plus efficaces s'ils sont exécutés alternativement dans le sens des aiguilles d'une montre, puis en nombre égal, dans le sens contraire.

Or, les pratiquants d'activités sportives qui réalisent des exercices de gymnastique travaillent le plus souvent en manipulant des masses pesantes par mouvements de va-et-vient ou à plusieurs temps décomposés. Associés à des tractions ou à des flexions, ces mouvements privilégient des pratiques frontales, latérales, et verticales de sorte que ce sont les organes qui servent naturellement aux activités humaines qui sont les plus sollicités. Les organes qui peuvent être sévèrement éprouvés lors d'évolutions sportives ne reçoivent donc pas un entraînement spécifique.

Notamment chez les pratiquants de football, l'usage préférentiel de l'une des deux jambes qui résulte d'une plus grande habileté, entraîne fréquemment une atrophie mineure de l'autre jambe, car elle est peu sollicitée en raison de sa maladresse.

Malheureusement, les méthodes actuelles préconisées à ces footballeurs pour leur faire acquérir une habileté ambivalente présente l'inconvénient de ne pas comporter une réduction préalable et systématique des déficits musculaires tendineux et ligamenteux de leurs articulations, avant de contribuer éventuellement à éduquer l'habileté des deux jambes.

La présente invention a notamment pour but de remédier à ces inconvénients.

En d'autres termes, elle vise à fournir un dispositif qui permet de réaliser des mouvements de gymnastique procédant par mouvements giratoires et permettant ainsi, de fortifier, éduquer ou rééduquer des organes d'une manière rationnelle et non hypertrophiante.

Selon l'invention, le dispositif est caractérisé par le fait qu'il comporte:
- un cadre à l'intérieur duquel sont tendus, décalés angulairement, des éléments élastiques à deux brins, ces éléments se croisant sensiblement dans la région centrale du cadre;
- un organe de contention et de retenue desdits éléments, en place dans la région centrale et bordé par les deux brins de chacun desdits éléments, cet organe pouvant être déplacé à l'intérieur du cadre par un utilisateur, selon des directions généralement parallèles aux plans qui contiennent les éléments élastiques et à l'encontre des forces de résistance desdits éléments élastiques.

Selon d'autres caractéristiques avantageuses mais non limitatives de ce dispositif;
- lesdits éléments élastiques sont décalés en hauteur deux à deux;
- ledit cadre a une forme généralement cylindrique;
- ledit organe comporte une partie formant tube, qui s'étend dans ladite région centrale et dont chaque extrémité est pourvue d'une collerette annulaire, ces collerettes formant des butées aptes à retenir les éléments élastiques dans le volume délimité par le cadre;
- dans ledit tube est emmanché un axe qui supporte des moyens d'actionnement dudit organe;
- ledit axe est libre en rotation par rapport audit tube;
- lesdits moyens d'actionnement consistent en des moyens de réception et de retenue d'une main, d'un pied ou d'un autre membre de l'utilisateur, ce dernier imprimant un déplacement à l'organe de contention par l'intermédiaire de ces moyens d'actionnement;
- lesdits éléments élastiques consistent en des bracelets, des éléments gonflables ou des lames souples;
- lesdits éléments élastiques sont au nombre de quatre;
- le dispositif est solidaire de moyens-support qui permettent de le faire reposer de manière stable au sol ou de l'accrocher à un mur.

D'autres caractéristiques et avantages apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui va suivre d'un mode de réalisation préférentiel. Cette description sera faite en référence aux dessins annexés dans lesquels:
- la figure 1 est une vue en perspective d'un dispositif conforme à la présente invention;
- la figure 2 est une vue simplifiée et partielle de dessus du dispositif de la figure 1;
- la figure 3 est une vue de face d'un élément servant à former le cadre du dispositif;
- la figure 4 est une vue en coupe verticale du dispositif, selon un plan diamétral;
- les figures 5 et 6 sont des vues analogues à la figure 2, visant à montrer le dispositif, respectivement dans une position d'équilibre et dans une position visant à contrer les forces de résistances des éléments élastiques;
- les figures 7 à 9 sont des schémas visant à illustrer la forme générale des mouvements pouvant être réalisés à l'aide du dispositif;
- la figure 10 est un schéma visant à montrer comment on utilise le dispositif pour réaliser des mouvements à l'aide d'un pied.

Le dispositif 1 conforme à l'invention et représenté sur les figures comporte essentiellement un cadre 2, des éléments élastiques E1 à E4 et un élément de contention et de retenue 3.

Le cadre 2 est généralement cylindrique et est réalisé par exemple à partir d'une feuille de fer plat soudée à ses extrémités, comme le montre la figure 3. Il s'agit d'un cadre de faible hauteur par rapport à son diamètre, par exemple de l'ordre de 9 cm pour 60 cm.

Dans l'exemple illustré ici, le cadre est cylindrique. Toutefois, une telle forme n'est pas obligatoire ; il pourrait avoir un contour de forme carrée. Par ailleurs, il peut être réalisé en un autre type de métal ou en une matière plastique dure et résistante.

Comme le montrent notamment les figures 1 et 3, le cadre est pourvu de huit petites ouvertures rectangulaires 20. On expliquera ci-après leur fonction. Ces ouvertures sont régulièrement réparties angulairement et sont décalées en hauteur. Plus précisément, les ouvertures diamétralement opposées sont disposées à la même hauteur.

Selon un autre mode de réalisation, leur répartion pourrait être différente.

Le dispositif comporte également, comme précisé plus haut, des éléments élastiques. Dans l'exemple représenté, ils sont au nombre de quatre. Bien entendu, il s'agit d'un nombre non limitatif ; en l'espèce leur nombre pourrait être supérieur, par exemple égal à 6 ou 8.

Il s'agit par exemple de bracelets (anneaux) en caoutchouc naturel ou synthétique, nus ou gainés de tissage. Dans un tel cas, ils sont connus sous la dénomination SANDOW (marque déposée). Ils sont par exemple de type continu ou serti.

Comme le montrent les figures, ces éléments élastiques E1, E2, E3, E4 sont tendus à l'intérieur du cadre 2 et se croisent sensiblement dans la région centrale 10 du cadre 2. Plus précisément, chaque élément est disposé de façon à présenter deux brins B1 et B2 sensiblement parallèles.

Ces brins sont sous tension. Ainsi, si le diamètre du cadre est de 60 cm, le périmètre des éléments élastiques est de l'ordre de 90 à 110 cm. Toutefois, cette tension n'est pas forcément égale d'un élément à l'autre.

Les "extrémités" des éléments, c'est-à-dire les zones où les brins B1 et B2 se réunissent, sont placées à l'intérieur des ouvertures 20 et ressortent du cadre. Des moyens non représentés, tels que des clavettes, sont placés entre lesdites ouvertures 20 et les extrémités des éléments, afin de les maintenir en place.

D'autres moyens de fixation, à la portée de l'homme du métier, peuvent être utilisés pour rendre les éléments élastiques solidaires du cadre.

On notera que la forme des ouvertures 20 peut être modifiée en fonction de celle des éléments 2.

Les éléments peuvent consister en des éléments gonflables, des tiges ou des lames souples. L'important est qu'il s'agisse d'éléments élastiques sous tension, c'est-à-dire susceptibles de déformer élastiquement quand ils sont soumis à une force, mais tendant à revenir naturellement vers une position de départ non déformée.

Ces éléments ne sont pas nécessairement annulaires. Ils peuvent consister en des tronçons linéaires pliés et noués une fois, ou en des tronçons parallèles fixés à leurs deux extrémités.

Vu de dessus, l'ensemble des éléments élastiques E1 à E4 (voir notamment la figure 2) forme une sorte de réseau en étoile à huit branches, chaque élément étant décalé en hauteur par rapport à l'élément voisin. Toutefois, ils se croisent tous dans la région centrale 10 du cadre, qui correspond à la zone où passe l'axe de symétrie du cadre.

Le dispositif comporte également un organe de contention et de retenue 3.

Il a une forme générale rappelant celle des bobines utilisées pour le stockage de films ou microfilms. Plus précisément, il comporte une partie intermédiaire formant tube 31, généralement cylindrique, dont les extrémités sont chacune pourvue d'une collerette annulaire 30. Elles s'étendent dans des plans parallèles, selon une direction généralement perpendiculaire à l'axe du tube 31. La hauteur de cet organe est voisine ou égale à celle du cadre. On notera que la collerette inférieure est d'une seule pièce avec une cloison formant fond pour l'organe 3.

En référence notamment aux figures 1 et 2, on montre que l'organe 3 est en place dans la région centrale 10 du cadre 2. Plus précisément, cet organe est placé de telle manière que chacun des brins B1 et B2 des éléments élastiques borde la partie intermédiaire 31.

Les collerettes 30 constituent en quelque sorte des butées aptes à confiner les éléments élastiques dans le volume délimité par le cadre 2.

Eventuellement, la surface externe de la partie 31 est pourvue de gorges annulaires dont la fonction est de maintenir en place les brins B1 et B2 des éléments élastiques qui y sont placés.

Bien entendu, pour la mise en place de l'organe 3 dans le cadre, il aura fallu écarter les uns des autres les brins de chaque élément. Ces derniers étant préalablement sous tension, ils enserrent l'organe 3 qui "flotte" dans le réseau ainsi constitué.

En quelque sorte, l'organe 3 est stabilisé par les tensions antagonistes des deux brins de chaque élément élastique qui l'enserrent en des points diamétralement opposés.

On comprendra aisément que si l'on saisit la surface supérieure de l'organe 3, il est possible de le déplacer à l'intérieur du cadre 2, selon des directions généralement parallèles aux plans qui contiennent les éléments élastiques. Ce déplacement se fait à l'encontre des forces de résistance des éléments qui tendent à le ramener en position d'équilibre (position des figures 1 et 2).

Cependant, de manière particulièrement avantageuse, il est prévu, conformément à l'invention, des moyens d'actionnement de l'organe 3.

Dans l'exemple représenté sur les figures, ces moyens comprennent une embase 5 supportée par un axe 4.

L'axe est emmanché dans la partie tubulaire 31 de l'organe 3, de sorte que le cadre 2, l'organe 3 et l'axe 4 sont coaxiaux.

Le diamètre extérieur de l'axe 4 est inférieur au diamètre intérieur du cylindre 31. Entre eux sont intercalés des moyens aptes à rendre l'axe 4 mobile en rotation autour de son axe longitudinal. En l'espèce, il s'agit de roulements à billes 6 et 6'.

L'extrémité inférieure de l'axe 4 affleure au niveau de la face inférieure de l'organe 3.

A cet endroit est prévu le premier roulement à billes 6. Son extrémité supérieure surplombe de quelques centimètres le cadre 2. Le second roulement à billes 6' est intercalé sensiblement à mi-hauteur du cadre.

L'embase 5 est fixé au sommet de l'axe 4 par tout moyen adéquat. A cette fin, ils peuvent être rendus solidaires l'un de l'autre par vissage.

La forme de l'embase est par exemple adaptée pour recevoir la partie arrière d'un pied. Au besoin, des moyens d'immobilisation non représentés (courroies, lanières, etc.) peuvent être prévus.

La figure 10 représente de manière schématique un dispositif 1 conforme à l'invention, rendu solidaire de pieds 7 de sorte que l'ensemble peut être posé de manière stable au sol.

Une personne peut alors poser son pied P sur 1 'embase pour réaliser des mouvements.

Comme déjà dit, ces mouvements sont réalisés selon des directions généralement parallèles aux plans dans lesquels sont contenus les éléments élastiques.

Aux figures 5 et 6 est représenté schématiquement et partiellement le dispositif de l'invention, selon deux positions différentes.

La première correspond à une position d'équilibre. L'organe 3 est dans une position stable, au centre du cadre.

En déplaçant l'organe 3 dans le sens de la flèche F, à l'aide de l'embase et de l'axe associé, on arrive à la situation de la figure 6. L'organe 3 est excentré ; il repousse et déforme au moins l'un des deux brins B1 et B2 de chacun des éléments élastiques E1 à E4. Ce déplacement se fait à l'encontre des résistances qu'opposent les éléments élastiques.

On comprend aisément que vaincre ces résistances multiples constitue une épreuve d'endurance et un entraînement physique, ce qui fortifie les organes qui sont sollicités dans la réalisation de ces mouvements.

La meilleure sollicitation est réalisée lorsque l'utilisateur décrit avec le dispositif des circonvolutions qui présentent une symétrie optimale par rapport au point d'équilibre de l'organe 3.

Aux figures 7 à 9 sont représentées, sous forme de tracés fictifs F1, F2 et
F3, des figures décrites par l'organe 3. En l'espèce il s'agit de tracés en forme de "8", d'ellipse et de cercle, chacun étant centré sur la position d'équilibre de l'organe. Ces tracés correspondent respectivement à des figures de difficulté décroissante.

Le confinement des éléments élastiques par l'organe 3, ainsi que le montage 4 à l'aide de roulements à billes confèrent à l'ensemble un certain confort dans la réalisation des mouvements.

Le nombre de mouvements, réalisés de préférence alternativement et en nombre égal, dans le sens horaire et anti-horaire, peut être augmenté progressivement à chaque séance d'utilisation du dispositif. Cela fortifie de manière rationnelle les organes qui servent à exécuter ces mouvements, tout en permettant de rééduquer les capacités fonctionnelles de ces organes. Les mouvements elliptiques et/ou hélicoïdaux réalisés peuvent être différemment orientés, ce qui éduque et rééduque l'habileté de l'utilisateur, tout en réduisant son déficit d'habileté et de sensibilité proprioceptive d'une articulation, notamment lorsque celle-ci a été lésée.

L'usage du dispositif selon l'invention nécessite d'observer les principes généralement exposés par les praticiens paramédicaux et/ou préconisés par les spécialistes des techniques sportives. Ces principes sont relatifs notamment:
- aux postures corporelles de l'utilisateur lors de l'exécution des mouve ments;
- à l'augmentation progressive du nombre et de l'amplitude des mouve ments;
- à la pratique alternée des deux sens giratoires des mouvements, égaux en nombre à chaque sens;
- à l'augmentation progressive de la résistance des éléments élastiques, (remplacés par exemple par d'autres plus courts et/ou de diamètre supérieur);
- à l'exécution de mouvements d'une symétrie optimale;
- aux combinaisons d'exercices composées notamment de mouvements elliptiques et hélicoïdaux, axées successivement selon diverses directions, notamment diamétralement opposées;
- à la pratique alternée d'exercices que l'utilisateur exécute en ayant les yeux ouverts et qu'il renouvelle en fermant les yeux;
- à la maîtrise de l'équivalence bi-latérale des capacités physiques et des mensurations des membres de l'utilisateur par une programmation compensatoire du nombre des mouvements et de la spécificité des exercices;
- à la cessation temporaire ou à la limitation des pratiques gymniques quand le seuil de fatigue de l'utilisateur est atteint.

Les dimensions, formes et nombre des éléments qui constituent le dispositif peuvent être adaptés notamment aux capacités physiques, aux mensurations et à l'anatomie des membres de l'utilisateur.

De plus, il peut être prévu au niveau du fond du cadre une plaque d'obturation visant à empêcher que l'utilisateur ne déplace l'organe 3 vers ledit fond.

Bien entendu, le dispositif peut être utilisé dans n'importe quelle position, que l'axe du cadre soit horizontal, vertical ou dans une position intermédiaire. En l'occurrence, cela dépend du membre que l'utilisateur souhaite rééduquer.

Il en est de même pour l'axe 4 et l'embase 5 qui peuvent être remplacés par tout moyen susceptible de mieux s'adapter au membre que l'on désire faire travailler.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1. Dispositif pour réaliser des mouvements de gymnastique, notamment rééducative, caractérisé par le fait qu'il comporte:

- un cadre (2) à l'intérieur duquel sont tendus, décalés angulairement, des éléments élastiques (El, E2, E3, E4) à deux brins (B1, B2), ces éléments se croisant sensiblement dans la région centrale (10) du cadre (2);

- un organe de contention et de retenue (3) desdits éléments (E1, E2, E3, Ez), en place dans ladite région centrale (10) et bordé par les deux brins (B 1, B2) de chacun desdits éléments, cet organe pouvant être déplacé à l'intérieur du cadre par un utilisateur, selon des directions généralement parallèles aux plans qui contiennent les éléments élastiques et à l 'encontre des forces de résistance desdits éléments élastiques.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que lesdits éléments élastiques (E1, E2, E3, E4) sont décalés en hauteur deux à deux.

3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que ledit cadre (2) a une forme généralement cylindrique.

4. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que ledit organe (3) comporte une partie formant tube (31), qui s'étend dans ladite région centrale (10) et dont chaque extrémité est pourvue d'une collerette annulaire (30), ces collerettes formant des butées aptes à retenir les éléments élastiques dans le volume délimité par le cadre (2).

5 . Dispositif selon la revendication 4, caractérisé par le fait que dans ledit tube est emmanché un axe (4) qui supporte des moyens d'actionnement (5) dudit organe.

6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé par le fait que ledit axe (4) est libre en rotation par rapport audit tube (3).

7. Dispositif selon la revendication 5 ou 6, caractérisé en ce que lesdits moyens d'actionnement (5) consistent en des moyens de réception et de retenue d'une main, d'un pied ou d'un membre de l'utilisateur, ce dernier imprimant un déplacement à l'organe de contention (3) par l'intermédiaire de ces moyens d'actionnement (5).

8. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que lesdits éléments élastiques (E1, E2, E3, E4) consistent en des bracelets, des éléments gonflables ou des lames souples.

9. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que lesdits éléments élastiques sont au nombre de quatre.

10. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé par le fait qu'il est solidaire de moyens-support qui permettent de le faire reposer de manière stable au sol ou de l'accrocher à un mur.