FR2748220A1 - Machine pour le triage de fruits et de legumes - Google Patents

Abstract

Machine pour le triage de fruits ou de légumes du type comprenant au moins une vis sans fin (50) horizontale et un barreau de guidage (55), des moyens pour entraîner ladite vis afin d'amener les objets sur des organes d'éjection (78), caractérisée en ce qu'elle comporte des moyens de pesage de chaque objet comprenant des coupelles (71) portées chacune par une queue (70) mobile verticalement sur un support (68) monté sur une chaîne (65) entraînée de manière que les coupelles (71) se déplacent à la même vitesse que les objets à trier, une came (76) soulève les coupelles (71) pour qu'elles prélèvent un objet et redéposent celui-ci après être passées sur une balance électronique (77).

Description

Machine pour le triage de fruits et de légumes
La présente invention vise une machine pour le triage de fruits ou de légumes.

La présente invention se rapporte à une machine destinée, à une vitesse relativement élevée, de trier une quantité importante de fruits et de légumes.

La technique antérieure connaît une machine qui comprend des moyens pour recevoir les objets à trier, des moyens pour déplacer lesdits objets le long d'une table et des moyens pour vérifier les caractéristiques de chaque objet et les transmettre à un ordinateur pour les comparer avec des données préalablement mises en mémoire et une série d'éjecteurs disposés le long de la table et commandés par l'ordinateur en fonction de la comparaison établie afin d'éjecter de la table, vers un organe de réception, chaque objet au moment de son passage au droit de l'éjecteur commandé et sélectionné par l'ordinateur.

Dans une telle réalisation sur la table étaient mobiles une série de nappes souples et élastiques destinées à recevoir, chacune, un objet, ladite table comportant une balance électronique de manière à peser chaque objet au passage de la nappe souple.

Une telle disposition, bien que donnant d'excellents résultats, présente l'inconvénient que le déplacement des nappes souples sur la table doit être relativement lent.

L'un des buts de la présente invention est notamment de remédier à cet inconvénient.

La machine, selon l'invention, est du type comprenant un bâti supportant au moins une vis sans fin horizontale et un organe de guidage tel qu'un barreau ou une vis sans fin et, s étendant parallèlement à la vis sans fin, des moyens pour amener les objets à trier sur la vis, des moyens pour entraîner ladite vis afin d'amener les objets un à un pour les déposer sur une table, des moyens pour peser chaque objet, des moyens pour vérifier l'aspect de chaque objet, des moyens pour envoyer ces paramètres à un ordinateur afin de les comparer avec des paramètres pré-enregistrés dans l'ordinateur, et une série de moyens d'éjection, d'ensachage ou autres disposés le long de la table et correspondant, chacun, à une sélection et commandés par l'ordinateur, ladite machine étant caractérisée en ce que les moyens de pesage de chaque objet comprennent une série de coupelles s'étendant sous la vis sans fin, et l'organe de guidage entre ceux-ci, chaque coupelle étant portée par une queue montée coulissante entre des moyens de guidage portés par des moyens entrainés en rotation, de manière que les coupelles se déplacent à la même vitesse que les objets à trier le long de l'organe de guidage, une came étant prévue de manière que les queues, en coopérant avec la came, soulèvent les coupelles pour qu'elles prélèvent un objet de la vis sans fin et le redéposent sur celle-ci; la came comporte dans la partie correspondant au prélèvement de l'objet une balance électronique contre laquelle porte l'extrémité inférieure de la queue.

Grâce à cette disposition, on réalise une machine qui permet un triage à une grande cadence.

De préférence, chaque queue est guidée sur un support, les supports étant montés sur une chaîne à des intervalles réguliers, ladite chaîne passant sur deux pignons dont l'un est calé sur l'arbre de sortie d'un moteur.

Suivant une variante de réalisation, chaque queue est guidée radialement sur une roue calée sur l'arbre dhln moteur, les queues coopérant avec une came disposée autour de l'arbre et présentant une ouverture dans laquelle est logée la balance électronique.

Suivant un détail constructif, les supports comportent, sur une face, des galets de guidage coopérant avec des rainures de deux faces opposées de la queue.

Suivant une forme d'exécution particulière, les moyens de réception des objets et d'éjection de ceux-ci comprennent une série de boîtiers fixés le long d'une chaîne entraînée par un moteur et supportant, chacun, un axe pourvu de bras latéraux reliés par une bande souple destinée à recevoir les objets, des moyens étant prévus pour caler l'axe dans une position angulaire dans laquelle les bras et la bande souple supportent l'objet et des moyens étant prévus pour commander la libération de l'axe de manière que sous le poids des objets, les bras basculent afin que lesdits objets soient acheminés vers des moyens de réception.

Enfin, suivant une dernière caractéristique, l'axe supportant les bras comporte un doigt radial coopérant avec un crochet monté basculant contre l'action d'un ressort, et il est prévu une série d'électroaimants avec des noyaux commandés sélectivement afin de venir faire saillie sur le trajet des crochets pour commander leur basculement et ainsi la libération de l'axe.

L'invention va maintenant être décrite avec plus de détails en se référant à des modes de réalisation particuliers donnés à titre d'exemple seulement et représentés aux dessins annexés, dans lesquels
Figure 1 est une vue en perspective d'une machine, selon l'invention.

Figure 2 est une vue qui montre un détail de la table.

Figure 3 est une vue en coupe montrant un éjecteur.

Figure 4 est une vue en coupe suivant la ligne 4-4 de la figure 1 montrant le système de pesée.

Figure 5 est une vue en élévation en bout de la machine de la figure 1.

Figure 6 montre en perspective un détail du système de pesée.

Figure 7 est une vue en coupe d'une variante de réalisation de l'invention.

Figure 8 est une vue en perspective schématique montrant une autre forme d'exécution des moyens d'éjection des objets sélectionnés.

La machine présentée aux figures comporte un bâti 1 correspondant à l'amenée des fruits à trier, au pesage de ceux-ci, à la vérification de leur couleur, éventuellement de leur taille etc... et une bati 2 correspondant au triage.

Le bâti 2 comprend une table 3 supportée, à une extrémité, par deux pieds 4 et, à l'autre extrémité, par un montant 5 solidaire de deux pieds 6.

Sur un côté de la table 3 sont montés, à une extrémité, un pignon 7 et, à l'autre extrémité, un pignon 8 sur lesquels passe une chaîne 9 guidée sur un pignon 10 monté fou sur un axe 11 porté par le montant S et entraînée par un pignon 13 comportant un pignon d'angle 14 avec lequel coopère un pignon d'angle 15 calé sur l'arbre de sortie 17 d'un moteur électrique 16.

Sur la chaîne 9, à des intervalles réguliers, sont fixés des supports 18 prolongés, chacun, par un barreau 19 sur chacun desquels sont engagés deux passants 20 solidaires d'une nappe souple et élastique 21 avec, dans sa partie centrale, un trou borgne 22, les passants étant retenus par une butée 24 engagée sur le barreau 19.

Les barreaux 19 sont disposés pour s'étendre au-dessus de la table 3 perpendiculairement à son axe longitudinal, la chaîne 9 étant guidée dans une gouttière 25 située le long du bord correspondant de ladite table 3.

La table 3 comporte, en regard de son bord opposé à celui pourvu de la gouttière 25, une série de goulottes 27 destinées à acheminer les fruits triés vers des organes de réception, par exemple, des boîtes d'emballage pour des expéditions.

En regard des goulottes 27 sont disposés, dans des ouvertures 31 de la table 3, des éjecteurs 30 comprenant une barrette en L 32 dont une branche 32a s'étend dans l'ouverture 31, tandis que 1 autre branche 32 est située sous la table 3, ladite barrette étant articulée sur un axe 33 et la branche 32b étant reliée au noyau plongeur 34 d'un électro-aimant 35 par un ressort de traction 36.

Ainsi, lorsqu une nappe 21 passe en regard d'un éjecteur 30 et que celui-ci a été sélectionné, l'électro-aimant 35 est alimenté et commande le basculement de la barrette 32 dont la branche 32a, en faisant saillie à la surface de la table 3, soulève la nappe 21 de sorte que le fruit bascule vers la goulotte correspondante.

Le pignon 8 comporte une couronne 40 qui entraîne un pignon d'angle 41 calé sur un arbre 42 guidé dans des paliers 43 du bâti 1. Sur l'arbre 42 est calé un pignon 44 qui entraîne une chaîne 45 entraînant des pignons 46 et 47 calés sur des axes de vis sans fin respectivement 48 et 50, ladite chaîne 45 étant guidée sur un pignon de renvoi 51, un tendeur 52 étant prévu.

Les vis sans fin 48 et 50 sont revêtues d'une épaisseur de matière souple et élastique de manière qu'elles n'abiment pas les fruits.

Les vis sans fin 48 et 50 ont un pas contraire et tournent en sens contraire l'une de l'autre, entre celles-ci s'étendant un barreau de guidage 55 revêtu également d'une épaisseur de matière souple et élastique.

Le bâti 1 est supporté par des pieds 56 qui supportent deux pignons 57 calés sur un arbre 58 entraîné par un moteur 59.

I1 est prévu, également, deux autres pignons 60 calés sur un arbre 61 porté par les pieds 4 du bâti 2.

Sur chaque paire de pignons 57 et 60 passe une chaîne sans fin 65.

Sur chaque chaîne sans fin 65 sont calés, à des intervalles réguliers, des organes de pesée 80 comprenant des supports 68 (voir figures 4 et 5) comprenant une platine s'étendant verticalement sur laquelle tournent fous quatre galets de guidage 69 d'une queue 70 dont l'extrémité supérieure supporte une coupelle 71.

La queue 70 comporte, sur deux faces opposées, une rainure 72, les galets 69 coopérant avec les rainures.

Au voisinage de la coupelle 71, la queue comporte une butée 74 pour limiter son coulissement vers le bas, une butée 75 étant prévue pour limiter le coulissement vers le haut. Ces butées sont également prévues pour éviter que la queue se désolidarise de la platine 68 lors du déplacement de la chaîne 65.

Entre les pignons 54 et 60 s 'étend une came 76 qui comporte, en un point intermédiaire de sa surface, une balance électronique 77. La came 76 présente une première partie 76a inclinée ascendante, une partie 76b sensiblement rectiligne et une partie 76c inclinée descendante.

La balance électronique est reliée à un ordinateur qui commande les éjecteurs 30.

Egalement, il est prévu un camescope 81 qui filme les fruits au fur et à mesure de leur déplacement le long des vis sans fin 48 et 50 et qui transmet les images à l'ordinateur 78 aux fins de comparaison avec des caractéristiques enregistrées dans un programme de celui-ci.

Les chaînes 65 sont entraînées en synchronisme avec les vis sans fin 48 et 50 de manière que chaque godet 71 se déplace à la même vitesse que les fruits pris entre le fond des pas de vis et la barre de guidage 55.

Le fonctionnement est le suivant
Les fruits arrivent par une goulotte (non représentée) située du côté du bâti 1 adjacent aux moyens d'entraînement des vis sans fin 48 et 50, les fruits se séparent les uns des autres automatiquement pour se placer dans le fond des pas de vis sans fin et glissent le long du barreau de guidage 55.

Lors de leur entraînement le long du barreau 55, les fruits tournent sur eux-mêmes ce qui permet au camescope de visionner l'ensemble de la surface des fruits et de transmettre ces images à l'ordinateur 78 pour les comparer avec celles de référence.

Les chaînes 65 sont entraînées à la même vitesse que le déplacement des fruits le long du barreau 55, et comme les queues 70 coopèrent avec la partie 76a de la came 76, en un point intermédiaire de la longueur des vis sans fin 48, 50, les coupelles 71 prélèvent, chacune, un fruit et le soulève au-dessus des vis et du barreau. Lorsque la queue 70 arrive ai-desss de la balance 77, l'information du poids est transmise à l'ordinateur 78, pipis lorsque les quelles 70 sont guidées par la partie 76c de la came, les coupelles 71 redéposent les fruits sir le barreau 55 et dans le fond du pas de vis des vis 48 et 50.

Les fruits, en arrivant à l'extrémité du barreau 55, tombent dans les trous borgnes 52 des nappes 21 et l'ordinateur 78, en fonction des différents paramètres enregistrés et comparés à ceux de référence, commande l'électro-aimant 35 qui correspond à la goulotte 27 afin que les fruits, suivant leur poids, leur aspect, leur diamètre etc... soient envoyés vers l'organe de réception correspondant.

Aux figures, on a représenté une table permettant le triage des fruits, mais, bien entendu, l'invention s'applique à différentes sortes de triage, par exemple, ensachage ou autre.

La figure 7 montre schématiquement une variante de réalisation des moyens de pesage de la machine.

Sur cette figure, on a reporté les mêmes références que celles utilisées dans les figures précédentes pour désigner les organes correspondants mais affectées de la lettre "a".

Sous le bâti 1 sont calées, sur l'arbre de sortie 58a du moteur 59, deux roues 90 qui sont disposées pour s'étendre, l'une, juste au droit de l'intervalle séparant le barreau de guidage 55 de la vis sans fin 48 et l'autre également au droit de l'intervalle séparant le barreau 55 de la vis sans fin 50.

Au voisinage de chaque roue 90 est calée une came 91 présentant une ouverture 92 dans laquelle est disposée une balance électronique 77a située dans un plan parallèle à celui des vis sans fin 48 et 50.

Sur chaque roue 90 sont disposées radialement des queues 70a qui sont guidées entre des paires de galets 69a et dont le coulissement est limité par des butées 74a et 75a.

Les queues 70a sont destinées, par une extrémité correspondante, à coopérer avec la came 91 et la balance 77a, tandis que l'autre extrémité est solidaire d'une coupelle 71a.

Les roues 90 sont entraînées de manière que chaque coupelle 71a prélève un fruit à un emplacement déterminé de la vis sans fin et redépose celuici après qu'il ait été pesé et que l'information ait été transmise à l'ordinateur 78.

La figure 8 montre schématiquement en perspective une variante de réalisation.

Dans le mode de réalisation des figures 1 à 7, on a prévu en aval du bâti 1 une table 3 sur laquelle sont guidées des nappes souples et élastiques 21, dans la table étant prévus des éjecteurs 30 qui permettent de pousser un fruit logé sur une nappe 21 pour l'envoyer sur une goulotte 27 correspondant à une sélection ; la figure 8 montre une réalisation différente de celle représentée aux figures 1 à 3.

Dans ce mode de réalisation particulier, il est prévu une chaîne 100 qui est guidée de la même façon que la chaîne 9 sur des pignons 87, 10 et 13, ce dernier étant moteur.

Sur la chaîne 100 sont fixés, à des intervalles réguliers, des boîtiers 101 affectant une forme en U avec un fond 102 et deux ailes 103.

Dans les ailes 103 est tourillonné un axe 105 qui porte un doigt radial 106 et à chacune de ses extrémités une branche 107, lesdites branches supportant un organe de réception des fruits, par exemple, une toile souple 108.

Le fond 102 est traversé par des axes 110 et 111 qui constituent les axes d'articulation des maillons de la chaîne 100 et qui permettent la fixation des boîtiers 101, sur l'axe 111 étant articulé un crochet 112 contre l'action d'un ressort de rappel 113 tendant à maintenir ledit crochet contre une butée 114.

Le crochet 112 coopère avec le doigt radial 106 de manière à maintenir les bras 107 en position horizontale et il est prévu une série d'électro-aimants 116 disposés au voisinage des crochets 112 et montés de manière que, lorsqu'ils sont sous tension, leur noyau 117 fasse saillie, les crochets 112, en butant contre lesdits noyaux, étant basculés sur l'axe 111 contre l'action du ressort 113 de manière à relâcher le doigt 106 de sorte que l'axe 105, sous le poids du fruit, bascule, celui-ci tombant sur la goulotte correspondante 27.

Après que le fruit soit tombé sur la goulotte, l'6lectro-aimantrevient dans sa position initiale libérant le crochet.

Le boîtier 101 reste ainsi dans cette position jusqu a ce qu'il soit situé entre les pignons 10 et 13 et là, sous le poids des bras 107, le doigt 106 vient se replacer dans l'encoche du crochet 112.

Comme les électro-aimants 35, les électroaimants 116 sont mis sous tension à partir d'une commande induite par l'ordinateur 78 suivant des critères de sélections pré-entregistrés.

Bien entendu, l'invention n est pas limitée aux modes de réalisation qui viennent d'etre décrits et représentés. On pourra y apporter de nombreuses modifications de détail sans sortir pour cela du cadre de l'invention.

Claims (6)

REVENDICATIONS

1. Machine pour le triage de fruits ou de légumes du type comprenant un bâti (1) supportant au moins une vis sans fin (48, 50) horizontale et un organe de guidage (55) tel qu'un barreau ou une seconde vis sans fin et, s'étendant parallèlement à la vis sans fin, des moyens pour amener les objets à trier sur la vis (48, 50), des moyens pour entraîner ladite vis afin d'amener les objets un à un pour les déposer sur des moyens de réception (19, 108), des moyens pour peser chaque objet, des moyens pour vérifier l'aspect de chaque objet, des moyens pour envoyer ces paramètres à un ordinateur (78) afin de les comparer avec des paramètres pré-enregistrés dans l'ordinateur, et une série de moyens d'éjection, d'ensachage ou autres disposés au voisinage des moyens de réception et correspondant, chacun, à une sélection et commandés par l'ordinateur (78), caractérisée en ce que les moyens de pesage de chaque objet comprennent une série de coupelles (71) s'étendant sous la vis sans fin (48, 50), et l'organe de guidage (55) entre ceux-ci, chaque coupelle (71) étant portée par une queue (70) montée coulissante entre des moyens de guidage portés par des moyens entraînés en rotation de manière que les coupelles (71) se déplacent à la même vitesse que les objets à trier le long de l'organe de guidage (55), une came (76) étant prévue de manière que les queues (70) en coopérant avec la came (76) soulèvent les coupelles (71) pour qu'elles prélèvent un objet de la vis sans fin et le redéposent sur celle-ci, la came comportant dans la partie correspondant au prélè-vement de l'objet une balance électronique contre laquelle porte l'extrémité inférieure de la queue (70).

2. Machine pour le triage de fruits ou de légumes, selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque queue est guidée sur un support (68), les supports étant montés sur une chaîne (65) à des intervalles réguliers, ladite chaîne passant sur deux pignons (57 et 60) dont l'un est calé sur l'arbre de sortie (58) d'un moteur (59).

3. Machine pour le triage de fruits ou de légumes, selon la revendication 1, caractérisée en ce que chaque queue (70a) est guidée radialement sur une roue (90) calée sur l'arbre (58a) d'un moteur (59), les queues coopérant avec une came (91) disposée autour de l'arbre (58a) et présentant une ouverture (92) dans laquelle est logée la balance électronique (77a).

4. Machine pour le triage de fruits ou de légumes, selon la revendication 2, caractérisée en ce que les supports (68) comportent, sur une face, des galets de guidage (69) coopérant avec des rainures (72) de deux faces opposées de la queue (70).

5. Machine pour le triage de fruits ou de légumes, selon la revendication 1, caractérisée en ce que les moyens de réception des objets et d'éjection de ceux-ci comprennent une série de boîtiers (101) fixés le long d'une chaîne (100) entraînée par un moteur et supportant, chacun, un axe (105) pourvu de bras latéraux (107) reliés par une bande souple (108) destinée à recevoir les objets, des moyens étant prévus pour caler l'axe (105) dans une position angulaire dans laquelle les bras (107) et la bande souple supportent l'objet et des moyens étant prévus pour commander la libération de l'axe (105) de manière que, sous le poids des objets, les bras basculent afin que lesdits objets soient acheminés vers des moyens de réception.

6. Machine pour le triage de fruits ou de légumes, selon la revendication 5, caractérisée en ce que l'axe (105) supportant les bras (107) comporte un doigt radial (106) coopérant avec un crochet (112) monté basculant contre l'action d'un ressort (113), et il est prévu une série d'électro-aimants (116) avec des noyaux (117) commandés sélectivement afin de venir faire saillie sur le trajet des crochets (112) pour commander leur basculement et ainsi la libération de l'axe (105).