FR2744784A1 - Support modulable ergonomique pour elements parallelepipediques, utilisable notemment, en imagerie medicale - Google Patents

Abstract

Couples de deux plans modulables (1), (2), à inclinaison respective sur l'horizontale, modulable, faisant un angle proche de 90 deg. l'un par rapport à l'autre, séparés par des cloisons modulables (11), tous arrimés réversiblement à une enceinte (16), (22), (20) contribuant à l'agencement des loges modulables ainsi constituées, destinées à assurer un calage parfait et une accessibilité maximale, des éléments parallélépipédiques (ou de formes avoisinantes), qui y sont méthodiquement rangés et facilement utilisables, notamment en imagerie médicale. Ce dispositif est articulé avec son plateau (25) et des tiers éléments fixes, semi-fixes, ou mobiles (tel un pied mobile avec axe télescopique (37) lui conférant mobilité et possibilités, de régler sa hauteur et de transporter sans efforts les accessoires parallélépipédiques). Des systèmes annexes, réversiblement arrimés au dispositif, permettent d'y greffer des éléments annexes, de rangement pour accessoires parallélépipédiques ou non, de marquage (36), ou destinés à d'autres finalités.

Description

n s'agit de couples modulables, de deux plans (un antérieur appelé plancher et un postérieur appelé dos), dont l'inclinaison respective, spécifique, sur l'horizontale, assure, avec les cloisons modulables (intercalées entre deux ou plusieurs couples de plans inclinés) un parfait calage et une accessibilité maximale, (à l'utilisateur), des accessoires, matériels, ou autres, de formes parallélipipédiques (ou avoisinantes), rangés méthodiquement dans les loges modulables, ainsi constituées par ce dispositif.

À titre d'exemple non limitatif, l'utilisation de ce dispositif, en imagerie médicale, au sens large du terme, rentre dans le cadre du domaine technique de ce dernier.

En effet, également à titre d'exemple non limitatif, cassettes et/ou magasins (chargeurs) pour films médicaux, sont, parmi d'autres accessoires parallélipipédiques (ou de formes avoisinantes), quotidiennement et obligatoirement manipulés, à une fréquence variable selon leur format respectif.

Actuellement, n'existent dans ce domaine que le passe-cassettes, le coffre fixe et le coffre mobile, permettant le dépôt des seules cassettes pour films radiologiques, à l'exclusion de tout autre accessoires et/ou matériels quotidiennement utilisés en imagerie médicale.

Le passe-cassettes est une sorte de petit tunnel sombre, fixe, transmural, servant à déposer en vrac, exclusivement, des cassettes pour films radiologiques, à l'exclusion de tous autres accessoires et/ou matériels quotidiennement utilisés en imagerie médicale.

ll s'agit d'un parallélépipède creux, à grand axe horizontal.

Chacune de ses extrémités, fermée par un volet, débouche respectivement dans l'une des deux pièces mitoyennes l'une de l'autre, que le mur dans lequel il est fixé, sépare.

n ne possède aucun plan incliné, ni cloison de séparation, modulables, permettant le rangement méthodique des cassettes radiologiques qu'il contient, à l'exclusion de tous autres accessoires et/ou matériels utilisés en imagerie médicale. Sa capacité de stockage est réduite.

n est la plupart du temps, non tapissé par un revêtement antichoc, antibruit. ll peut être ou non protégé contre les rayons X. Il présente un cumul de plusieurs inconvénients:
Non ergonomique sur le plan locomoteur:
L'absence de couples de plans, à inclinaisons respectives modulables, et de cloisons modulables, impose le dépôt des cassettes radiologiques en vrac dans le passeàssettes.

Pour l'utilisation de ces dernières, un tri préalable sera donc nécessaire, d'où fatigue supplémentaire de l'utilisateur et perte de temps de ce dernier.

La mauvaise accessibilité des accessoires à la main de leur utilisateur, due au défaut d'orientabilité du passe-cassettes et à la couverture de la quasi-totalité des surfaces des cassettes (à l'exception de la tranche de leur largeur), par les autres cassettes et/ou les parois du passe-cassettes, favorise la fréquence et la violence des chutes et des entrechocs de ces dernières.

La capacité de stockage faible et non modulable, et la spécificité fonctionnelle (utilité pour les cassettes radiologiques exclusivement), font que l'utilisateur n'a pas immédiatement à portée de main tous les accessoires et matériels dont il aurait immédiatement besoin.

Des vaet-vient et donc de la fatigue supplémentaire lui sont imposés.

Mauvaises postures, ampleur importante des mouvements et donc fatigue supplémentaire, sont le plus souvent imposées à ses utilisateurs, du fait de sa fixité, de sa hauteur et de son orientabilité non modulables.

Longueur et fréquence des déplacements des utilisateurs ne peuvent être réduits : la distance séparant le point d'utilisation des cassettes (exemple : table de radiologie) et le passecassettes ne pouvant être réduite.

Le transport des cassettes, et a fortiori des autres accessoires, ne peut être assuré par le passe-cassettes, qui par essence, est fixe. La charge de leur transport sera donc assumée dans son intégralité, directement, par ses utilisateurs.

Non ergonomique sur le plan visuel:
L'intérieur d'un passe-cassettes est sombre, non vastement ouvert sur l'extérieur.

Seule la tranche d'une des deux largeurs de la cassette radiologique, stockée en vrac dans le passeàssettes, est accessible à la vue de son utilisateur.

D'où nécessité d'un tri visuel avant la préhension, d'où fatigue supplémentaire et perte de temps.

Non ergonomique sur le plan auditif:
Le plus souvent, le passe-cassettes n'est pas tapissé par des revêtements antichocs, antibruits. Ce facteur, joint aux facteurs décrits dans le paragraphe concernant ses lacunes sur le plan locomoteur, contribue à accentuer le nombre et la violence des chocs entre, d'une part, la cassette et le passe-cassettes, lors de la dépose de cette dernière dans ce dernier, et d'autre part, les cassettes elles-mêmes (non séparées par des cloisons modulables).

Ne permet pas d'améliorer la longévité des cassettes radiologiques:
Chocs et chutes voient leur violence et leur fréquence accentuées pour les mêmes raisons que celles décrites dans les paragraphes concernant les lacunes sur les plans locomoteur et visuel.

D'où une détérioration, voire un bris accélérés de ces dernières, imposant leurs réparations, voire leur renouvellement itératifs et donc un surcoût.

La sécurité des personnels n'est pas assurée, pour les mêmes raisons que celles précédemment énoncées : risques de chute des cassettes sur le corps des utilisateurs.

Un gaspillage budgétaire peut être engendré par:
Les pertes de temps imposées à l'utilisateur du passe-cassettes.

La fréquence et la longueur des arrêts de travail, des utilisateurs, du fait de la non ergonomie du passe-cassettes et du risque de chute des cassettes sur ces derniers.

Le même passe-cassettes ne peut être utilisé successivement dans plusieurs locaux différents, du fait de sa fixité. D'où nécessité de multiplier les installations dans les centres d'imagerie médicale, et d'où surcoûts budgétaires.

La longévité des cassettes n'est pas protégée par le passe-cassettes, d'où surcoût budgétaire pour leurs réparations itératives et leur remplacement.

Le coffre fixe : posé à même le sol, dans le local où il est destiné à être utilisé, il présente un plancher fixe et quatre parois verticales, perpendiculaires les unes aux autres, également fixes, ainsi qu'un couvercle rabattable.

n est protégé ou non contre les rayons X.

Ses inconvénients sont les mêmes que ceux présentés par le passe-cassettes mais, de plus, il présente:
Des inconvénients ergonomiques, sur le plan locomoteur, encore plus prononcés: son utilisateur devra se courber de façon très prononcée, un nombre égal de fois, à celui du nombre de toutes les manipulations de cassettes radiologiques qu'il devra effectuer.

Un inconvénient supplémentaire sur le plan de l'hygiène : le coffre ne pouvant être déplacé, le parfait nettoyage du sol, à son emplacement, ne pourra être effectué.

Le coffre sur roulettes: I1 présente les inconvénients d'une passe-cassettes et d'un coffre fixe, à Pexoeption relative de ceux liés à la fixité de ces derniers:
En effet, sa mobilisation est bien précaire: son utilisateur devra rester penché sur le coffre, pour toute manipulation de cassette radiologique et pour toute mobilisation du coffre.

Ce dispositif est caractérisé par des couples modulables de deux plans (un antérieur appelé plancher et un postérieur appelé dos) dont l'inclinaison modulable, respective, spécifique, sur lthorizontale, assure avec les cloisons modulable (intercalées entre deux ou plusieurs couples de plans inclinés) un parfait calage et une accessibilité maximale (à l'utilisateur) des accessoires, matériels ou autres, de formes parallélipipédiques (ou avoisinantes), rangés méthodiquement dans les loges modulables ainsi constituées.

La capacité de chaque loge modulaire est modulable par le choix d'un nombre de couples de deux plans inclinés sur l'horizontale, plus ou moins important, compns entre deux cloisons modulables. Ainsi au format statistiquement le plus utilisé, l'utilisateur du dispositif peut faire correspondre la loge modulable de la plus importante capacité ; elle pourra ainsi contenir le plus grand nombre d'unités, du format le plus utilisé. L'inverse est également possible, ainsi que toutes les variantes intermédiaires.

La surface respective des deux plans inclinés sur l'horizontale (d'un même couple) et des cloisons, modulables, devra dans chaque cas spécifique, être déterminée, de façon à assurer l'harmonieux cumul des deux fonctions apparemment contradictoires, de calage optimum et d'accessibilité maximale des éléments parallélipipédiques (ou de formes avoisinantes), rangés méthodiquement dans ce dispositif.

Les surfaces de ces derniers, recouvertes par les trois plans (plancher, dos et cloisons modulables) de ce dispositif, seront donc réduites au minimum (pour assurer leur accessibilité maximale), compatible avec leur parfait calage.

Des systèmes annexes, intégrés et/ou adaptés au dispositif, permettront d'optimiser ses qualités et d'élargir le champ de son domaine d'utilisation.

Ainsi au total, le dispositif, avec ses systèmes annexes, pourra cumuler les caractéristiques de support solide, stable, ergonomique et modulable, de plus, mobile (dans sa variante mobile). I1 permettra le cumul des possibilités d'utilisation aisée, de rangement méthodique mais simple (si nécessaire de grande capacité) et de transport sans efforts (dans sa variante mobile) d'éléments parallélipipédiques (et/ou de formes avoisinantes) voir d'éléments d'autres formes (grâce à ses annexes modulables), utilisés en imagerie médicale (domaine cité à titre d'exemple non limitatif). Le même dispositif pourra successivement être utilisé dans différents locaux d'un même centre d'imagerie médicale. n contribuera à la sécurité des personnels, à la protection et à la longévité des matériels, à des économies budgétaires, et à l'amélioration de l'hygiène des locaux.

En référence aux dessins, ce dispositif est caractérisé par:
Le plancher (1): C'est un plan incliné sur l'horizontale, oblique vers le bas et vers carrière.

I1 est destiné à recevoir la tranche inférieure d'un ou plusieurs éléments parallélipipédiques (types cassettes et/ou magasins pour films médicaux). n a une double fonction : une fonction de support : il doit donc être solide et résistant, et une fonction de calage des accessoires, par son obliquité sur l'horizontale qui est également modulable.

n peut constituer la face supérieure d'un module appelé module antérieur.

Le module antérieur, dans l'exemple choisi, illustré par des dessins, est caractérisé par six faces : une supérieure, (le plancher (1)), rectangulaire, oblique vers le bas et vers l'arrière par rapport à lthorizontale, une face postérieure (5), une face antérieure (3) et une face inféneure (4); ces quatre faces sont rectangulaires.

Ses deux faces latérales ont une forme trapèze, parallèles l'une à l'autre, symétriques, leur bord supérieur (1) est rectiligne, oblique vers le bas et vers carrière.

Un revêtement (15) antichoc, antibruit, de forme adaptée, connu en soi, peut adhérer au plancher (1) de façon temporaire (afin de permettre son changement après usure).

Un système connu en soi est avantageusement intégré au module antérieur, afin de l'arrimer de façon réversible à l'enceinte (16) conférant ainsi à chaque plancher son caractère modulaire, complétant sa fonction de calage:
Le système d'arrimage (9) peut être, à titre d'exemple:
un système d'emboîtement mutuel type (mâle-femelle),
un système de crochetage, de suspension,
un système à glissière, système à coulisse,
un système de clips,
un système pivotant qui permet par une simple bascule d'arrière en avant du module antérieur d'escamoter un plancher (c'est à dire un module) hors de l'enceinte, et inversement,
un ou des système(s) permettant la modulation de l'angle d'inclinaison du plancher, connu(s) en soi (eux), peuvent également être intégré(s) ou adapté(s) aux planchers, dans une variante, non illustrée, du dispositif.

n peut être couplé avec un (des) système(s) de type crémaillère ou vis sans fin, motorisable(s), automatisable(s), télécommandable(s).

Avantageusement, on peut y adapter un système de verrouillage, connu en soi, à titre d'exception, afin d'éviter tout acte de vandalisme.

Le dos (2) est un deuxième plan incliné sur l'horizontale, oblique vers le bas et vers l'avant. n est destiné, en complémentarité avec le plancher (1), à recevoir la tranche postéro-inférieure d'un ou plusieurs éléments parallélipipédiques (type cassettes et/ou magasins pour films médicaux, selon l'exemple illustré choisi).

Comme le plancher (1), il a une double fonction:
une fonction de support ; il doit donc être solide et résistant,
et une fonction de calage des accessoires, par son obliquité.

n peut constituer la face supérieure (2) d'un module appelé module postérieur ; elle (2) fera avec la face supérieure du module antérieur (1), couplée avec elle, un angle proche de 900.

Le module postérieur, comme le module antérieur, est constitué de six faces:
Quatre faces rectangulaires:
La supérieure (2), oblique vers le bas et vers l'avant, faisant un angle proche de 900, environ, avec le plancher (1).

La face antérieure (6), qui sera de forme et de surface rigoureusement égales à celles de la face postérieure du module antérieur (5). Elle sera placée contre cette dernière, frontalement, les deux modules antérieur et postérieur, ainsi couplés étant rigoureusement dans l'axe de l'un et de autre.

Une face postérieure (8) verticale dans notre exemple.

Une face inférieure (7):
Les deux faces latérales droite et gauche, ont également une forme de trapèze, leur bord supérieur (2) respectif est rectiligne, oblique vers le bas et vers l'avant.

Comme pour le plancher: un revêtement (15) antichoc, antibruit, connu en soi, de forme adaptée, peut adhérer de façon temporaire au dos (afin d'en permettre son renouvellement après usure).

Comme pour le plancher, un système d'arrimage (10), connu en soi, le solidarise de façon réversible à l'enceinte (20), lui conférant sa caractéristique modulaire (les systèmes sont les mêmes que ceux décrits en exemple non limitatif pour le plancher (1)).

Comme pour le plancher, un (des) système(s) connu(s) en soi (eux), peut (peuvent) être intégré(s) ou adapté(s) au dos, permettant une modulation de l'angle d'inclinaison du dos par rapport à l'horizontale.

n peut être couplé à un système type crémaillère ou vis sans fin, motorisable, automatisable, télécommandable, à tire d'exemples non limitatifs.

À titre d'exception, on peut y adapter avantageusement un système de verrouillage (23), connu en soi, pour éviter tout acte de vandalisme.

Les cloisons modulables (11) sont intercalées entre deux ou des séries de plusieurs couples de plans inclinés antérieur(s) (1) postérieur(s) (2):
Dans l'exemple choisi, illustré par des dessins, elles sont placées verticalement.

Leur forme est celle d'un trapèze, leur bord supérieur est rectiligne, oblique vers le bas et vers l'avant, joignant en arrière le bord supérieur des plans inclinés postérieurs (2) contigus et en avant et en bas, le bord supérieur des plans inclinés antérieurs (1) contigus.

Elles participent avec ces dernièrs à la constitution de loges modulables. Elles permettent d'en déterminer le nombre et avec les couples modulables de plans inclinés (1) et (2), la capacité respective, adaptée, de chacune d'elle.

Elles contribuent au parfait calage (transversal en particulier), antichoc, antichute, des accessoires parallélipipédiques, ainsi méthodiquement rangés, contribuant à la protection de leur longévité, à la protection des personnels et à des économies.

Leur forme et leurs dimensions, complémentaires de celles des couples de plans inclinés antérieurs (1) et postérieurs (2), rendent compatible le parfait calage des accessoires parallélipipédiques, avec une accessibilité maximale de ces derniers à l'utilisateur.

En effet, ce dispositif, assure par ses caractéristiques entre autres, d'inclinaisons spécifiques, de modulation et d'agencement respectifs complémentaires de ses composantes, une couverture minimale des surfaces des éléments parallélipipédiques ainsi rangés, assurant ainsi leur accessibilité maximale à l'utilisateur, quels que soient les formats déposés dans leurs différentes loges respectives.

Un revêtement antichoc, antibruit, de forme adaptée, connu en soi, peut adhérer de façon provisoire aux faces latérales des cloisons modulables, son renouvellement après usure étant ainsi possible.

Un double système d'arrimage (13) (14) est avantageusement adapté ou intégré à chaque cloison modulable:
un système d'arrimage antérieur (13) permet d'arrimer de façon réversible la tranche avant d'une cloison (11) à la paroi antérieure de l'enceinte (16), lui conférant son caractère modulable,
un système d'arrimage postérieur (14) permettant d'arrimer de façon réversible la tranche postérieure de la cloison modulable (11) à la paroi postérieure de l'enceinte (20) contribuant à donner à la cloison sa caractéristique modulable.

les systèmes d'arrimage antérieur (13) et postérieur (14) sont des systèmes connus eux, dont des exemples ont déjà été cités à propos des système s d'arrimage des planchers.

leur nombre, leur(s) point(s) d'encrage sur les cloisons modulables (11) et leur type, décrits dans cet exemple illustré par des dessins, ne sont pas limitatifs.

L'enceinte est principalement destinée à recevoir les couples de planchers (1) et de dos (2) modulables ainsi que les cloisons modulables (11), avec leurs revêtements (15) respectifs et leurs systèmes d'arrimage réversible (9), (10), (13), (14). Elle participe partiellement avec eux, à la constitution des loges modulables destinées à recevoir des accessoires et/ou matériels de formes parallélipipédiques (et/ou avoisinantes).

Elle contribue avec eux, au parfait calage de ces derniers, et à leur accessibilité maximale, par son ouverture optimale sur l'extérieur compatible avec un calage efficace.

En outre, y sont adaptés et/ou intégrés, différents systèmes, connus en eux, à savoir pour les principaux:
Des systèmes d'arrimage réversibles, antérieurs (17), communs à ceux des modules antérieurs (9), et de la tranche antérieure des cloisons modulables (13).

Des systèmes d'arrimage réversibles, postérieurs (21), communs à ceux des modules postérieurs (10), et de la tranche postérieure des cloisons modulables (14).

Des revêtements antichocs, antibruits, de formes adaptées pouvant adhérer de façon temporaire aux surfaces de l'enceinte, qui contribuent à la constitution de loges modulables et de rangements annexes.

Les surfaces de l'enceinte non utilisées par les loges modulables, donc restant libres, peuvent avantageusement présenter:
Des rainures et/ou points de fixation permettant l'arrimage réversible, modulable, d'éléments de rangements annexes ou de fonctionnalités autres.

Des systèmes, connus en eux, permettant l'arrimage modulable (18) de plots modulables (36) à double fonctionnalité : rangement annexe et marquage.

Des systèmes de verrouillage (23), (19), connus en eux, pour les éléments modulables principaux et annexes, les protégeant contre le vandalisme.

Des systèmes, connus en eux, permettant l'articulation des deux bras avec l'enceinte, appelés charnières des bras (24).

Des systèmes, connus en eux, permettant l'articulation des pieds du portique, avec l'enceinte, appelés articulations des pieds de portique (38).

Un système connu en soi, permettant d'articuler l'enceinte et son contenu, avec le plateau, appelé articulation enceinte/plateau, permettant l'orientation dans l'espace et la rotation de cette dernière, contribuant ainsi à améliorer l'accessibilité des matériels et accessoires qui y sont contenu, à l'utilisateur du dispositif.

Cette articulation peut être motorisable, automatisable, télécommandable.

Dans l'exemple que nous avons choisi d'illustrer, et utilisable en particulier en imagerie médicale, Enceinte est caractérisée par quatre parois, planes et rigides, résistantes, verticales.

Deux antérieures, parallèles l'une à l'autre, rectangulaires, la hauteur de la postérieure (20) étant très supérieure à celle de l'antérieure (16).

Deux parois latérales (22), parallèles entre elles, perpendiculaires aux deux premières. Leur bord supérieur respectif est rectiligne, oblique vers le bas et vers l'avant, rejoignant de chaque coté le bord supérieur de la paroi postérieure (20) en arrière, et le bord supérieur de l'antérieure (16) en avant.

Ces quatre parois sont solidement fixées par leurs extrémités les unes aux autres, délimitant ainsi l'enceinte, dont la forme est rectangulaire. Cette dernière est complètement ouverte vers le haut. Elle est ouverte au maximum vers l'avant et vers le haut, ainsi que sur les cotés, également, vers l'avant et vers les haut ; ainsi son accessibilité à son contenu est maximale.

Sa base est plane, rectangulaire, solidement fixée sur un plateau (25), dans l'exemple non limitatif, choisi, illustré par des dessins. Tous les systèmes, connus en eux, intégrés et/ou adaptés aux parois de l'enceinte ont déjà été décrits plus haut.

Bien entendu, l'exemple choisi n'est pas limitatif:
La géométrie de l'ensemble (enceinte et contenu) peut être autre.

En effet, à titre d'exemples autres, le volume dessiné par les contours externes, les plus saillants, des parois (ou de la paroi) de l'enceinte, et des éléments qu'elle contient peut correspondre à une forme de toupie (forme lenticulaire en coupe), à une sphère, voire une demi-lune.

I1 reste parmi les variantes mobiles, la variante motorisée, automatisée, télécommandée.

I1 peut exister une variante protectrice des accessoires et/ou matériels contre les rayons X: un capot plombé vient englober ces derniers comme un couvercle s'encastrant sur l'enceinte et/ou le plateau également plombé et/ou sur un tiers élément, tel un pied mobile avec axe télescopique, ergonomique. Des panneaux plombés, en permettent son ouverture et l'accessibilité des accessoires et/ou matériels à l'utilisateur du dispositif.

La variante amagnétique : le dispositif est composé de matériaux amagnétiques, ainsi que les éléments tiers (tel le pied mobile ergonomique avec axe télescopique (37)) permettant ainsi l'utilisation du dispositif en imagerie médicale par exemple, dans des locaux de résonance magnétique nucléaire.

Le plateau, (25), est particulièrement résistant, destiné à supporter des poids et les contraintes de forces importantes. I1 supporte en premier lieu l'enceinte, ses loges modulables, et tous les dispositifs connus en eux, déjà décrits, qui y sont adaptés et/ou intégrés. n peut être articulé avec l'enceinte par un système, connu en soi, permettant d'orienter dans l'espace et de faire tourner cette dernière.

Ce dispositif peut être motorisable, automatisable, télécommandable.

Sa surface peut être supérieure à celle de l'enceinte, laissant ainsi des plages de surface libres. La projection verticale, des parties les plus externes, des accessoires et/ou matériels contenus dans l'enceinte, s'inscrivant alors à l'intérieur du périmètre du plateau, protégeant ainsi ces derniers.

Le plateau (25) est cerné par un pare-chocs (26). Dans l'exemple non limitatif choisi, illustré par des dessins, sur ses plages libres, existent des rainures et points de fixation, complémentaires à ceux existant au niveau des surfaces restantes de l'enceinte, non occupées par des loges modulables, leur finalité est identique et complémentaire.

De chaque coté, il présente les deux charnières des pieds du portique (27), (28) et les charnières de plateau de chacun des deux bras (29).

Des plots modulables (36) reposent sur les surfaces libres restantes du plateau (25), arrimés à l'enceinte par un système connu en soi (18), leurs fonctions étant celles de marquage et/ou de rangements annexes.

Un système connu en soi (30) permet la mise en place d'un cadenas et d'une chaîne antivol, et/ou de tringles de remorquage (de l'ensemble du dispositif et de l'élément tiers avec lequel il est articulé, dans ses variantes mobiles).

Dans les variantes mobiles, le plateau est articulé ou solidement fixé, avec l'axe télescopique d'un pied mobile, connu en soi, stable et solide (37); ainsi, ce réglage en hauteur du dispositif, adapté à celle de l'utilisateur, est rendu possible. De plus, ce pied mobile, avec axe télescopique, (37), confère au dispositif, par l'intermédiaire du plateau (25), une parfaite mobilité : translation et rotation, sans polarité de sens, ni limite de distance.

Le dispositif permet alors, ainsi couplé à un tiers élément mobile, en plus du parfait calage, de l'accessibilité maximale, du rangement modulable, et de l'utilisation ergonomique des accessoires, de transporter ces derniers sans efforts, et d'utiliser également le même dispositif successivement dans plusieurs locaux sa caractéristique modulaire permet ainsi l'immédiate adaptation fonctionnelle du dispositif, aux besoins spécifiques du moment. L'hygiène des locaux dans lesquels est utilisé le dispositif est très sérieusement améliorée, ce dernier pouvant être aisément déplacé, permettant ainsi un complet nettoyage du sol.

Une motorisation du pied mobile avec axe télescopique, (37), automatisée, télécommandée peut être intégrée et/ou adaptée, selon des systèmes connus en eux.

Dans les variantes fixes ou semi-fixes du dispositif, le plateau, (25), peut être le siège de dispositifs connus, intégrés et/ou adaptés, permettant sa solide articulation ou fixation, sur un tiers élément, tel un mur par exemple.

Dans les variantes avec éléments modulables, escamotables vers l'extérieur, le plateau, (25), peut être conçu selon des règles spécifiques de géométrie dans l'espace, adaptées à l'escamotage vers l'extérieur, de ces éléments modulables, (1), (2), (11).

Les bras (31) peuvent contribuer à orienter, à diriger et à immobiliser le dispositif (dans sa variante mobile), ou à l'articuler avec un tiers élément (dans sa variante fixe ou semi-fixe).

Selon des systèmes connus en eux, ils s'articulent au niveau des charnières de bras (29), avec le plateau et/ou avec l'enceinte (24) et/ou avec le pied mobile télescopique (37), (dans les variantes mobiles).

Les charnières de bras (24) et (29) permettent, en outre, de moduler l'angle d'inclinaison des bras par rapport à la verticale et donc au maximum de les escamoter en les rabattant complètement vers le bas.

Un système connu en soi (tel un système à coulisse) (32) permet de régler la longueur respective du chaque bras.

L'extrémité supérieure de chaque bras comprend une articulation de poignée (33) qui permet d'orienter dans l'espace la poignée (34) ainsi articulée avec le bras.

Une barre (35) peut rejoindre deux poignées (34), contribuant pour les variantes mobiles du dispositif à sa meilleure maniabilité, et pour ses variantes fixes ou semifixes à une meilleure articulation de ce dernier avec un tiers élément
Rainures et points de fixation permettent d'adapter sur les bras (31) des systèmes connus en eux, constituant des loges modulables annexes de rangement, pour élément parallélipipédiques ou non (exemple: gobelets à stylos, loge pour ordonnances, etc.)
Le portique : Élément annexe, ses pieds sont articulés par des chamières de pieds de portique avec l'enceinte (38), et/ou le plateau (27), (28), et/ou un tiers élément (tel un pied mobile avec axe télescopique (37)).

I1 permet de suspendre et/ou de ranger des accessoires et/ou matériels, parallélipipédiques ou non (tels, à titre d'exemple non limitatif, des cônes de focalisation des rayons X, voire des tabliers de plomb).

Claims (8)

REVENDICATIONS

1) Présentoir modulaire, ergonomique, pour objets parallélipipédiques (ou de

formes avoisinantes) utilisable, entre autre, en imagerie médicale, caractérisé en ce

qu'il comporte des couples modulables de deux plans, résistants et solides, un

antérieur (1) et un postérieur (2) dont l'inclinaison respective sur l'horizontale est

modulable, le postérieur (2), faisant avec l'antérieur (1) un angle proche de 900,

deux ou plusieurs couples de planchers (1) et de dos (2) modulables, étant

séparés par des cloisons modulables (11), planchers (1), dos (2), cloisons

modulales (11) et une partie des parois de l'enceinte (16), (20), (22) solide et

résistante qui les contient, constituant des loges modulables, permettant un parfait

calage des éléments parallélipipédiques (ou de formes avoisinantes), qu'elles sont

destinées à recevoir, compatible avec leur accessibilité maximale à l'utilisateur, la

surface de ces éléments (accessoires et/ou matériels de formes

parallélipipédiques), recouverte par les parois des loges modulables du dispositif,

étant réduite au minimum compatible, avec la fiabilité maximale de leur calage respective.

2) Dispositif selon la Revendication 1, caractérisé en ce que sont intégrés et/ou

adaptés, sur les planchers (1), les toits (2) et/ou les parois de l'enceinte (16), (20),

(22), des systèmes connus en eux, permettant la modulation de l'angle

d'inclinaison sur l'horizontale, respectivement des planchers (1) et des dos (2), des

modules antérieurs et postérieurs.

3) Dispositif selon les Revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que sont intégrés

et/ou adaptés, aux planchers (1), aux dos (2), aux cloisons modulables (11), aux

parois de l'enceinte (16), (20), (22), au plateau (25) et aux bras (31), des

dispositifs connus en eux permettant l'arrimage réversible des planchers (1), (9),

des dos (2), (10), des cloisons modulables (11), (13), (14), aux parois de

l'enceinte (17), (21), (27), leur conférant leurs caractéristiques modulaires, les

surfaces restantes non utilisées de l'enceinte (16), (20), (22), les surfaces libres du

plateau (25) extérieures à la surface d'enceinte, voir les surfaces des bras (31),

présentant des rainures et/ou points de fixation, permettant l'arrimage réversible,

d'annexes de rangement secondaires (36), pour éléments parallélipipédiques ou

non.

4) Dispositif selon l'une des Revendications 1, 2 ou 3, caractérisé en ce qu'un

plateau (25), solide et résistant est fixé, ou articulé, avec les parois de l'enceinte (16), (20, (22), ce plateau pouvant également être articulé avec un tiers élément, tel un pied mobile télescopique (37) conférant à l'ensemble du dispositif et à ses annexes, la caractéristique de mobilité, ou au contraire avec un tiers élément semifixe ou fixe, tel un mur, et servant de support pour les plots modulables (36), arrimés aux parois de l'enceinte (16), (20), (22), et ayant la double fonction de marquage et de rangement annexe, un pare-chocs (26) antibruit, de protection des personnels et des matériels, cernant sa circonférence, un dispositif connu en soi (30), y permettant la mise en place d'un cadenas et d'une chaîne antivols, et/ou de tringles de remorquage dans sa variante mobile, des rainures et des points de fixation, sur ses surfaces extérieures à celle de l'enceinte, en complémentarité, avec ceux de cette dernière, permettant l'aménagement de loges modulables de rangements annexes (36), pour accessoires et/ou matériels, de forme DarallélipiDédiaue ou non.

5) Dispositif selon l'une 'des Revendications précédentes, caractérisé en ce que des

revêtements (15), antichocs, antibruits, recouvrant de façon réversible les

différentes parois d'une part des loges modulables intérieures à l'enceinte et d'autre

part des annexes extérieures à l'enceinte (36).

6) Dispositif selon l'une 'des Revendications précédentes, caractérisé en ce que des

bras (31) sont articulés avec l'enceinte (24) et/ou le plateau (29) et/ou un tiers

élément, tel un pied mobile avec axe télescopique (37), ou un élément semi-fixe

ou fixe; dans la variante mobile du dispositif, ces bras (31) permettant d'orienter,

de mobiliser, de diriger et d'immobiliser le dispositif dans son ensemble, ou,

contribuant dans les variantes fixes et/ou semi-fixes du dispositif, son arrimage à

un tiers élément, tel un mur par exemple, étant avantageusement intégrés et/ou

adaptés aux bras (31), des systèmes connus en eux, permettant la modulation de

leur longueur respective (32), la modulation de leur inclinaison respective par

rapport au dispositif, permettant à l'extrême, l'escamotage complet des bras (24),

rorientation (33), des poignées des bras (34), I'introduction d'une barre (35) dans

les poignées des bras (34) pour améliorer la dirigeabilité du dispositif dans ses

variantes mobiles, ou son articulation avec des tiers éléments fixes ou semi-fixes.

7) Dispositif selonldes Revendications précédentes, caractérisé en ce qu'un portique

est articulé par ses pieds aux parois de l'enceinte (38), et/ou au plateau (25), (27),

(28), et/ou à un tiers élément, tel un pied mobile avec axe télescopique (37), dans

sa variante mobile.

8) Dispositif selon l'une quelconque des Revendications précédentes, caractérisé en

ce qu'un pied mobile avec axe télescopique (37) articulé (ou fixé), avec le plateau

(25) et/ou les parois de l'enceinte (16), (20), (22), et/ou les bras (31), et/ou le

portique, confère au dispositif une parfaite mobilité, assurant possibilités de

rotations et de translations.