FR2731140A1 - Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale - Google Patents

Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale Download PDF

Info

Publication number
FR2731140A1
FR2731140A1 FR9502605A FR9502605A FR2731140A1 FR 2731140 A1 FR2731140 A1 FR 2731140A1 FR 9502605 A FR9502605 A FR 9502605A FR 9502605 A FR9502605 A FR 9502605A FR 2731140 A1 FR2731140 A1 FR 2731140A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
mattress
block
triangle
blocks
point
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR9502605A
Other languages
English (en)
Other versions
FR2731140B1 (fr
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
Individual
Original Assignee
Individual
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Individual filed Critical Individual
Priority to FR9502605A priority Critical patent/FR2731140B1/fr
Publication of FR2731140A1 publication Critical patent/FR2731140A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR2731140B1 publication Critical patent/FR2731140B1/fr
Anticipated expiration legal-status Critical
Expired - Fee Related legal-status Critical Current

Links

Classifications

    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C27/00Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas
    • A47C27/14Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas with foamed material inlays
    • A47C27/142Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas with foamed material inlays with projections, depressions or cavities
    • A47C27/146Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas with foamed material inlays with projections, depressions or cavities on the outside surface of the mattress or cushion
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C27/00Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas
    • A47C27/14Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas with foamed material inlays
    • A47C27/148Spring, stuffed or fluid mattresses or cushions specially adapted for chairs, beds or sofas with foamed material inlays of different resilience

Landscapes

  • Mattresses And Other Support Structures For Chairs And Beds (AREA)

Abstract

Un nouveau type de matelas d'un ou plusieurs blocs assemblés permettant d'étirer dans les directions voulues la colonne vertébrale lors de la mise en charge de ce matelas par l'utilisateur. Ceci dans le but d'obtenir une autoélongation vertébrale et paravertébrale, optimiser par le relâchement du sommeil. Ceci ayant des bienfaits bénéfiques pour le corps humain dans son ensemble. Le matelas est constitué de préférence en mousse polyuréthanne ou latex ou association de ces matières ou autre, d'au moins un bloc dit "à surface inférieure triangulaire" (1) concave en bas, présentant une face supérieure (2), une face inférieure matérialisée par les deux côtés du triangle, l'un plus long (BC), l'autre plus court (AB) reliés par un sommet (B), par convention le point (C) représentera l'arrière du bloc du matelas, ce bloc présentera un bord antérieur (3) et un bord postérieur (4). La base du triangle sera représentée par le support du matelas, par exemple un sommier (5), telle que l'invention trouve une application principale dans le respect anatomique du sujet et surtout la recherche d'une autoélongation vertébrale et paravertébrale (parties molles) physiologique pendant le sommeil du sujet et donc la mise en charge du matelas par l'utilisateur. Le dispositif selon l'invention est en général, destiné à tous, et en particulier, aux personnes ayant le dos sensible.

Description

La présente invention concerne un nouveau type de matelas d'un ou plusieurs blocs assemblés permettant d'étirer dans les directions voulues la colonne vertébrale lors de la mise en charge de ce matelas par l'utilisateur. Ceci, dans le but d'obtenir une autoélongution vertébrale et paravertébrale, optimiser par le relâchement du sujet pendant son sommeil.
L'ensemble du système apportant des bienfaits bénéfiques sur le corps humain dans son ensemble.
On sait que la plupart des matelas dits "traditionnels" sont construits ou réalisés uniquement pour respecter l'anatomie c'est-à-dire les formes du corps dans sa globalité, et ainsi, repartir les pressions de toutes ses courbures différentes.
D'autre part, beaucoup d'études ont été faites dans le but d'améliorer le confort du sujet, ou bien encore, divers fabricants ont essayé d'apporter une réaction correcte du matelas en fonction du poids exercé sur celui-ci aux divers endroits. Par exemple, au niveau des fesses ou du bas du dos, certains matelas seront renforcés.
Par contre, tous ces divers systèmes et toutes ces recherches ne vont pas dans le sens que nous recherchons. Ainsi donc, il n'y aura aucun effet d'étirements permanents au niveau de la colonne vertébrale et paravertébrale, c'est-èdioe les muscles, capsules, ligaments, tendons. Ainsi donc, I'imbrication et compression des disques, des artères et des paquets vasculo-nerveux restent identiques et néfastes.
Dans aucun matelas actuel n'est étudié l'effet d'élongation, c'est-8aire d'étirements, décompressions des vertèbres les unes par rapport aux autres et par la même étirant tout ce qui est autour de ces vertèbres, comme les muscles qui sont souvent responsables de douleurs importantes lorsqu'ils sont contractés. Tous ces types de matelas n'ont aucun roule actif, ils sont purement passifs. Ils s'adaptent, plus ou moins bien, à la forme anatomique du corps mais ils ne tendent pas l'étirer pendant le sommeil.
L'invention a en conséquence pour but, notamment, de foumir un matelas d'un type nouveau qui répond mieux que jusqu'à ce jour aux diverses exigences de la pratique et qui, en particulier, présente une forme structurelle qui respecte totalement l'anatomie du corps humain et notamment, de la colonne vertébrale que ce soit sur le côté ou allongé sur le dos.
Mais qui, également, apporte un rôle actif primordial c'est-à-dire qui permet une autoélongation de la globalité de la colonne vertébrale.
Dans l'exposé qui suit, nous essaierons d'exprimer la façon dont nous allons étirer le colonne vertébrale dorsale puis cervicale subissant une élongation vers la tète et la colonne lombaire sacrum coccygienne vers le bas (vers les pieds) subissant une élongation podale. Et, ces deux directions d'élongations vont optimiser l'effet, encore davantage que si l'on avait un point fixe tel que les fesses et que l'on étirerait vers le haut le reste de la colonne. A partir donc, des dernières vertèbres dorsales, nous ferons subir à la colonne vertébrale un étirement de direction opposée, tout en maintenant un confort optimum.
Le dispositif selon l'invention, permet donc de remédier aux inconvénients des matelas actuels, c'est-à-dire avant tout leur passivité. En effet, afin de rendre actif notre matelas, celui-ci comporte, selon une première caractéristique, un ou plusieurs blocs dont au moins l'un de ces blocs, et de préférence deux, ait une surface inférieure concave en bas, et de préférence, formant un triangle quelconque, de part la face inférieure du matelas matérialisant les deux côtés et le support de ce matelas matérialisant la base du triangle tel qu'un sommier.
Lesquels blocs de "surface inférieure triangulaire" ayant pour conséquence de s'affaisser et de s'allonger, lors de la mise en charge du matelas, créant ainsi une rotation postérieure des vertèbres, notamment cervicales et lombaires, ainsi qu'une autoélongation de le colonne vertébrale dans sa globalité.
Selon des modes particuliers de réalisations: la surface inférieure dite "triangulaire", d'au moins un bloc, et de préférence deux, soit matérialisée par deux côtés d'inégales distances, le côté le plus court étant le plus vertical. Ces deux côtés sont donc joints par le sommet du triangle, c'est-à-dire le sommet de la concavité de la surface inférieure du matelas ou du bloc de matelas.
Cette surface inférieure sera concave en bas et la base de ce triangle est matérialisée par le surface supérieure du plan sur lequel repose le matelas ou bloc de matelas , par exemple un sommier.
Le deuxième côté du triangle sera plus long et sera, ainsi, moins vertical ou pius horizontal que sur le côté opposé. La surface supérieure des blocs ou du matelas aura, de préférence, une inclinaison en haut et en arrière, c'est-à-dire une légère inclinaison montante allant dans la direction de l'étirement.
Nous placerons, de façon préférentielle, le sommet de la concavité de la surface inférieure du matelas ou du bloc de matelas au niveau du point le plus lourd de la région à étirer.
Dans l'exemple qui suit, il s'agira d'une part, du point dorsal haut ou d'autre part, au niveau des fesses. D'autre part, dans la portion ou dans l'espace vide intérieur de ce triangle, nous pourrons avoir des supports, notamment, pour éviter un écrasement transversal du looc ou des blocs de matelas, possédant cette surface inférieure triangulaire, soit grâce à divers additifs comme de la mousse, un gonflage d'air, I'utilisation de ressorts, d'eau, de systèmes hydraulique ou électrique. Ceci permettant la stabilité du système sur le plan du transversal, mais aussi permettant un affaissement et un allongement progressif du matelas.
D'autre part, dans cet espace vide triangulaire, nous pourrons nous servir de celui-ci comme d'une chambre d'aération permettant d'aérer b surface du matelas grâce à des trous ou des canaux reliant cet espace à la superficie du matelas.
Si la mousse sera notre structure préférentielle (polyuréthanne, latex ou autre moulé, injecté ou transformé), nous utiliserons, de préférence, des densités différentes, notamment plus fermes au niveau des points les plus lourds. Ce qui aura l'avantage, d'autre part, de permettre un allongement et un affaissement du matelas d'une façon plus progressive qu'avec une mousse de structure de faible densité.
Nous pourrons associer divers types de matières pour un même matelas à savoir, par exemple, toute la base en mousse et la partie supérieure en latex pour un confort optimum du sujet.
Toujours selon un mode particulier de réalisation, le sommier ou le support du matslas pourra être un adjuvant tout à fait utile, notamment, en limitant et dirigeant l'affaissement du matelas grâce, notamment, à un système hydraulique, électrique ou mécanique permettant, ainsi, un affaissement tout à fait progressif, notamment, une relaxation totale du sujet ou un endormissement qui permettra un étirement optimisé du fait de son relâchement.
Le sommier pourra éventuellement se substituer à la surface inférieure triangulaire du matelas et s'affaisser ainsi progressivement du point fixe vertébral (dorsal bas) vers les pieds et du point fixe vertébral (dorsal bas) vers la tête.
La fiaure 1 représente, en coupe, le dispositif préférentiel selon l'invention avec deux blocs à "surface inférieure triangulaire" et un troisième bloc fixe ou passif.
La fipure 2 représente une variante du dispositif avec une interposition d'un bloc neutre entre les deux blocs actifs dits à "surface inférieure triangulaire".
La fiaure 3 représente, en coupe, une variante de ce dispositif, variante simplifiée représentant un matelas monobloc à "surface inférieure triangulaire ou concave en bas".
La fioure 4 représente un bloc à "surface inférieure triangulaire" mettant en avant les diverses forces qui s'exercent sur les différents points de ce bloc de matelas afin d'étayer le théorie d'activité du matelas.
La fiacre 5 par opposition à la figure 4, montre ce même bloc en position affaissée et écrasée.
La fiaure 6 représente, de façon schématique, un sujet endormi reposant sur notre matelas ou dispositif préférentiel, en schématisant par des flèches les diverses actions agissant sur le corps de ce sujet.
La fiaure 7 montre, de façon schématique, une perspective du matelas selon l'invention.
La fiaure 8 montre de façon schématique, une perspective du matelas et du sommier selon l'invention se substituant au système de surface inférieure triangulaire.
Se proposant, par exemple, de réaliser un matelas anatomo physiologique conforme à un mode de réalisation préféré de l'invention, on lui fera comporter au moins un bloc dit à "surface triangulaire' c'est-à-dire concave en bas (1), présentant une face supérieure (2), une face inférieure matérialisée par les deux côtes du triangle, I'un plus long (BC), l'autre plus court (AB) reliés par un sommet (B).
Par convention, le point (C) représentera toujours l'arrière du bloc du matelas et le sens, par ailleurs, de la direction voulue. Ce bloc présentera un bord antérieur (3) et un bord postérieur (4). La base du triangle sera représentée par le support du matelas, par exemple un sommier (5). La structure même de ce matelas ou bloc de matelas sera avantageusement réalisée en mousse polyuréthanne, latex ou autre. Cette mousse pourra être moulée ou injectée.
En référence à ces dessins, le dispositif ou matelas comporte donc un ou plusieurs blocs. Dans le mode de réalisation préféré de l'invention, nous avons placé trois blocs différents: deux dits à "surface triangulaire" et l'autre à "face inférieure plane".
Selon l'étude d'un bloc de matelas à "surface inférieure triangulaire", nous observons la face supérieure de ce bloc (2) qui, de préférence, sera une surface inclinée en haut et en arrière, sachant que l'arrière du matelas sera toujours représenté par le point (C).
Au niveau des courbures cervicales et lombaires, cette surface supérieure du bloc de matelas pourra présenter un léger bourrelet afin d'épouser au mieux cette courbure et créer un point d'ancrage pour l'élongation (6).
Toujours selon l'étude d'un bloc de matelas à 'surface inférieure triangulaire', nous observons un rebord postérieur, de préférence, biseauté en haut et en arrière afin de ne pas limiter le mouvement par un contact, par exemple, avec la tête de lit ou le troisième bloc de matelas dit 'neutre'.
Ainsi donc, lors de l'affaissement et de l'allongement de sa surface inférieure (7), le biseautage (4) laissera la liberté de mouvement et le recul du point (C), quel que soit son positionnement.
Le rebord antérieur (3) sera, de préférence, plan afin d'éviter tout mouvement de ce côté et créer ainsi un point fixe à cet endroit afin d'optimiser le mouvement dans le sens opposé.
La surface inférieure de ce bloc de matelas présentera deux côtés : un côté plw court, de préférence, (AB) qui fera également un angle plus ouvert avec l'horizontal et un côté plus long (BC) faisant un angle plus fermé avec l'horizontal. Ces deux côtés étant reliés par un sommet, le point (B). On obtient, donc, une base ou une surface inférieure concave en bas.
Et, lors de la mise en charge de ce matelas, comme nous le verrons par la suite, nous obtiendrons par un affaissement, notamment, du côté (AB) entraînant un allongement du matelas, notamment de la distance (AC).
Cette distance (AC) n'est autre que la base de ce fameux triangle. Cette base de ce triangle (5) sera, de façon préférentielle, le support du matelas ou du bloc du matelas tel qu'un sommier. De façon préférentielle, nous éviterons une trop grande longueur de ces blocs pour ne pas créer un effondrement inefficace de ceux-ci.
L'agencement préférentiel de nos trois blocs de matelas dont deux à surface inférieure triangulaire' se fera de la façon suivante : le premier bloc sera orienté d'avant en arrière, du dos à la tète, c'est-a-dire que la partie du bord antérieur (3) sera la partie la plus podale de ce bloc alors que le rebord postérieur (4) sera la partie la plus crânienne et touchera la têêe de lit.
En fait, la surface inférieure triangulaire sera le triangle (CBA). A la suite de ce premier bloc de matelas, nous disposerons d'un deuxième bloc, toujours à 'surface inférieure triangulaire' mais dans un sens opposé. C'est-à-dire que les points (C) seront opposés et que les points (A) seront en contacts. Nos points (A) agiront comme des points fixes et l'allongement voulu sera fera vers les points (C) c'est-à-dire pour le premier bloc, du dos vers la tête, et le deuxième bloc, des lombaires vers les genoux, le troisième bloc à 'surface inférieure plane' aura une surface supérieure inclinée de bas en haut et d'avant en arrière c'est-à-dire vers les pieds du lit. Les pieds du lit seront plus haut pour faciliter le retour veineux (circulation de retour).Ces trois blocs de matelas seront posés, de façon préférentielle, sur tous types de sommiers ne limitant pas le mouvement de ces blocs de matelas, notamment, des points (C). II faut donc que nous ayons une surface de glissement efficace.
Le fonctionnement de ce type de matelas sera basée sur la théorie de la 'face inférieure triangulaire' du matelas, les deux côtés supérieurs matérialisés par la 'face inférieure du matelas' et la base du triangle matérialisée par le support du matelas, par exemple le sommier. Les côtés du triangle seront de longueurs différentes : (AB) plus court que (BC) et donc le côté (AB) fait un angle plus ouvert avec l'horizontal (sa base) que (BC).
La conséquence de ceci est donc que l'écrasement de ce triangle se fera, surtout, vers le point (C) arrière du bloc, selon notre convention, car ce point offre moins de résistance sur sa base et la résultante des forces entre le poids appliqué sur le matelas (P) et la réaction du plan horizontal (R1) au niveau du point (C) et (R2) au niveau du point (A) tend e allonger le face inférieure du matelas.
La résultante des forces en (C) sera (Fi) et en (A) (F2). On remarque que (Fi) est largement supérieur à (F2). Ainsi donc, l'avancée du point (C) sera optimisée. Le triangle s' écrase et s'allonge.
Le point (A) agira quasiment comme un point fixe et donc le côté (AB) va, plutôt, pivoter autour de son pivot (A) ce qui augmentera l'allongement vers le point (C). Le point (A) sera considéré comme un point fixe car, d'une part, comme nous l'avons expliqué précédemment, I'allongement naturel se fera plus vers le point (C) que le point (A). Mais, d'autre part, nous pourrons éviter la fuite du point (A) vers l'avant en bloquant son bord antérieur (3) du bloc de matelas par un contact avec le bloc voisin ou bien encore de la tête du lit.
Cet allongement de la face inférieure du matelas sera encore plus efficace qu'elle se fera avec une certaine progressivité et donc la matière (mousse, latex ou autre...) constituant le ou les blocs de matelas devra être suffisamment résistante à l'allongement, donc avoir une densité adaptée pour éviter un écrasement intempestif du matelas. Dans le cas contraire, une compensation de progressivité de l'allongement (affaissement) pourra etre mise en oeuvre par un élément extérieur, d'autre nature que le matelas lui-même bloc du matelas positionné dans le triangle (ABC) et limitant l'affaissement et l'allongement de la face inférieure du matelas, par exemple avec divers matériaux, éventuellement de la mousse de diverses densités : de l'eau, un système hydraulique ou électrique, des ressorts, des élastiques, de l'air.L'ensemble ayant pour but d'avoir un écrasement et un affaissement progressif et d'autre part, éviter un effondrement transversal du matelas par le poids du corps du sujet.
On peut imaginer un système avantageux et efficace à travers un sommier adapté à cet effet qui retiendrait, par exemple, les côtés (AB) ou (BC) ou les deux de façon progressive, ce plan dur du sommier pivoterait ou s'affaisserait en offrant une résistance mais qui, au bout de quelques minutes, s'effacerait dans le reste du sommier (cadre 10) laissent alors l'affaissement et l'allongement du matelas se produire.
L'affaissement dos - pied du sommier se ferait à partir du point fixe (A) qui peut ou non être combiné à un affaissement dos - tête à partir de ce même point fixe (A) (vertical des dernières vertebres dorsales de préférence la 8ème.
Les avantages d'une telle progressivité Sont, d'une part, que le système allongeant ne soit pas traumatisant et brusque, et d'autre part, la progressivité va permette au dormeur de s'installer tranquillement sur son lit, de se décontracter, de s'étendre puis de s'endormir.
C'est a ce moment que la notion d'étirement est importante car le sujet est relâché au maximum.
L'allongement du triangle (ABC) se fera, de préférence, vers le point (C). Le point (C) étant l'arrière du bloc de matelas, selon notre convention, comme nous l'avons expliqué précédemment. Ainsi, il suffira d'orienter un bloc de sa partie avant (A) vers la partie arrière (C) en fonction du but et de la volonté d'allonger telle ou telle partie du corps, dans une direction ou dans une autre.
D'autre part, il faudra tenir compte d'un équilibre en fonction du poids, de la taille et du sens d'allongement du sujet pour ne pas déséquilibrer le système. Or, comme nous voulons allonger la partie haute du corps, des vertèbres dorsales vers la tête (allongement vers le haut à partir des vertèbres dorsales)), et nous voulons allonger la partie basse du corps, donc la direction sera des lombaires jusqu'aux pieds (vers le bas). II faudra, de préférence, deux blocs de matelas à ftce inférieure triangulaire" et de sens opposé, leurs parties inférieures étant en contact.
Nous avons donc, de préférence, un point fixe en leurs parties antérieures (A) qui seront en contact, un bloc avec l'autre, ceci dans le voisinage des dernières vertèbres dorsales, par exemple au niveau de D8 à D9 (huitième ou neuvième dorsale). Puis, à partir de ce point (A) va partir vers la tête du sujet un côté (AB), (B) étant le sommet du triangle. Ce point (B) sera, de préférence, à la verticale de la quatrième ou cinquième vertèbre dorsale, point qui à l'importance de présenter un maximum d'efficacité quant au poids exercé par la sujet sur le matelas. De ce point (B) va redescendre le grand côté (BC) jusqu'à la verticale de la tète du sujet. La partie supérieure du bloc de matelas sera, de préférence, inclinée en haut et en arrière pour optimiser le rentré de menton et l'autoélongation.
Quant à son bord postérieur, il sera bien sOr, de préférence, biseauté en haut et en arrière afin de laisser de la liberté de mouvement au point (C), même si la partie supérieure de ce bord postérieur touche la tete de lit. Le mouvement de la face inférieure de ce bloc sera libre. A partir, également, de ce point (A) et du bloc voisin voulant étirer du dos jusqu'en direction des pieds, nous aurons, de préférence, un bloc partant du rebord antérieur du bloc de matelas le précédant, soit une liaison autour des dernières dorsales, par exemple de la huitième et neuvième vertèbre dorsale. Puis de ce point (A) va partir le côté (AB) en haut et en arrière (sachant que l'on se base toujours par rapport au bloc de matelas et l'arrière représentant le point (C)).Donc, à partir de ce point, la face inférieure de ce matelas va présenter un côté (AB) incliné en haut et en arrière jusqu'au sommet (B), lui même toujours sommet qui va se trouver à une place tout à fait importante et étudiée. C'est-àdire qu'il sera à l'aplomb ou à la verticale d'un point représentant le poids maximum de la région (fesses).
De ce point (B) redescend en arrière et en bas, le côté (BC) se terminant donc par le point (C), vertical des genoux.
La partie supérieure de ce bloc sera, de préférence, inclinée en haut et en arrière afin d'optimiser l'élongation et la rétroversion (rotation postérieure du bassin). L'extrémité distale de la face supérieure de ce bloc va, légèrement, se verticaliser lors de l'écrasement entratnant une détente des genoux, en légère flexion. Le bord postérieur sera, de préférence, incliné en haut et en arrière afin de laisser le mouvement toujours du point (C) même si la partie supérieure du bloc est bridée, donc l'allongement de la face inférieure du matelas pourra bouger.
Ainsi, à partir de la tête de lit, nous aurons, de préférence, un premier bloc tête - dos ayant comme base triangulaire (CBA), puis un deuxième bloc dos - genoux ayant comme base triangulaire (ABC). Enfin des genoux aux pieds, nous aurons, de préférence, un troisième bloc ayant sa face supérieure en déclive, plus haut au niveau qu'au niveau des genoux, ceci permettra un meilleur retour veineux (meilleure circulation sanguine de retour).
D'une façon générale, la force exercée sur le point (B) sera, de préférence, verticale et orientée de haut en bas. Elle va se matérialiser par le poids du corps du sujet allongé.
Ainsi donc et pour résumer, nous orienterons la base du matelas (triangle ABC) en fonction du sens de l'allongement voulu, sachant que l'allongement se fera du point (A) vers le point (C).
Néanmoins, il faut intégrer à ce système des notions d'équilibre par rapport au poids, à la taille et au système dans lequel nous voulons intégrer ce matelas. II est clair qu'en voulant étirer le bas de la colonne vertébrale (lombaire-sacrum-coccygienne) vers le bas, et le haut de la colonne vertébrale cervicale et dorsale vers le haut, il est judicieux de placer le point fixe entre ces deux régions, donc au niveau dorsal.
Et sachant que, nous avons trente deux vertèbres au total, nous pourrons placer notre point fixe (A) aux alentours de la huitième ou neuvième dorsale qui correspond en fait à la seizième vertèbre, donc la moitié de la totalité, et de diriger le sens de l'étirement de deux côtés opposes.
Quelques cas particuliers peuvent être rencontrés, par exemple pour un sujet particulièrement grand ou pour des raisons techniques, nous pouvons interposer un autre bloc statique, neutre à "surface inférieure plane" entre nos deux blocs à "surface inférieure triangulaire'. Par exemple, ce type de bloc neutre pourra être apporté afin d'équiper les lits d'hôpitaux qui nécessite une longueur bien précise afin de permettre une inclinaison indispensable de la partie haute du lit, en position dossier.
Comme nous l'avons exprimé précédemment, la localisation du poids susceptible d'exercer une pression, la plus efficace, sera positionnée à l'aplomb vertical du sommet de notre triangle (B > . Concrètement, la correspondance à la surface du matelas se trouvera, de préférence, entre la première et la douzième dorsale. On préférera, particulièrement, la troisième ou la quatrième.
Le poids du sujet va, également, intervenir au niveau de la surface portante. En effet, si l'on veut étirer le dos (rachis) dans son ensemble, il est obligatoire d'exercer deux forces opposées.
Donc, comme expliqué précédemment, nous aurons une force qui aura une direction 'dos/t8te' et une force "fesses/pieds", mais ces forces doivent être équilibrées. En effet, une seule partie du corps à étirer ne doit pas être trop importante par rapport à l'autre partie, sinon elle risquerait d'emmener la totalité du corps d'un côté et annulerait tout étirement.
Nous pourrons disposer de petits bourrelets (6). placer respectivement sous la colonne cervicale et sous la colonne lombaire. Ces deux segments de la colonne vertébrale, en effet, présentent une lordose ou cambrure.
Au delà du point de vue anatomique et de la répartition des pressions de cette colonne cervicale et lombaire sur ces bourrelets (6). ces bourrelets, nous aiderons à avoir un bon point d'accrochage et lors de l'allongement des blocs respectifs, le bourrelet va appuyer encore plus sur la tête ou la base du crâne (occiput) qui va avoir tendance à créer le rentré de menton.
II en est de même au niveau lombaire où ce bourrelet (6) va appuyer sur le bassin et tendre à lui faire une rétroversion.
II est évident qu'à partir de tout cet exposé, il est possible d'obtenir plusieurs variantes. Une de ces variantes, en fait, la plus simplifiée, est que nous ayons un seul bloc à base triangulaire et un seul matelas. C'est-àtire que le bloc représentera le matelas dans se totalité et ce matelas aura une face inférieure triangulaire". II faudra, dans ce cas précis, laisser libre les deux extrémités (A) et (C) et le point (A) se comportera, en fait, comme un point (C). Et, afin que l'étirement soit équilibré autour du sommet du triangle (B).
Le système, ainsi crée, supposera soit un matelas rigide de part la grande portance du système, soit un soutien de la face inférieure du matelas (7) pour éviter l'écrasement rapide de celleci, et ceci grâce, par exemple à un sommier ou à un support installé dans la partie vide de ce triangle.
Le système pourra incorporer un système de ventilation. En effet, le volume intérieur du triangle (ABC) jouant le rôle de chambre d'aération (9) et des canaux (8) reliant la face inférieure à la face supérieure du bloc de matelas seront aménagés. Ainsi, lors de l'affaissement du matelas, I'air sera chassé vers la surface du matelas aérant, ainsi, la partie supérieure.
Ce système agira à la manière d'un soufflet qui se rechargera en air, des que le sujet quittera le lit (Figure 3).
Ainsi donc, les effets créés sur notre dormeur vont être les suivants ( en se référant à la Figure 6) : le premier corollaire (1) sera l'hyper appui sur la colonne dorsale qui est en position voûtée (hypercyphose), le but est donc, de réduire cette hypercyphose, qui aura donc la conséquence d'étirer cette colonne. Cet hyper appui au niveau dorsal se fera par la léger verticalisation des bords antérieurs (3) de nos deux blocs actifs, selon notre mode de réalisation préféré.
L'allongement de nos blocs dans un sens opposé, par exemple du dos vers la tête, va créer une autoélongation (3) ainsi qu'un rentré de menton (4), notamment, dO à l'affaissement du matelas. Rentré de menton très important car il va diminuer la courbure cervicale (lordose cervicale).
Le même processus va se réaliser en ce qui concerne la partie basse du corps. A savoir, lors d'un étirement du dos vers les pieds de notre deuxième bloc, nous aurons, d'une part, une autoélongation (2) de direction opposée å celle précédemment décrite qui était alors (3). D'autre part, nous aurons une rotation postérieure du bassin ou rétroversion du bassin (5) qui tendra à diminuer la courbure lombaire ou lordose lombaire.
Lors de la mise en charge de ces blocs, nous aurons une verticalisation du bord postérieur de nos blocs, ainsi qu'une verticalisation des genoux qui va tendre fléchir ceux-ci et relâcher les muscles, notamment, postérieurs.
Dans le cas de la variante schématisée par la figure 8, le matelas 1, composé d'un ou plusieurs blocs sera neutre, c'est à dire de base plane et la surface inférieure triangulaire jusqu'alors inhérente au matelas sera physiquement remplacée par le sommier.
En effet, à partir du même point fixe (A) une partie articulée (11) du sommier va être inclinée en haut et vers la tête du lit podale (15) et l'autre partie articulée (12) va s'incliner en haut et vers la tête du lit craniale (13).
Entre ces parties articulees (11 et 12) et le cadre du sommier (10) nous aurons toujours une chambre d'aération (9) (pouvant également ventiler la surface du matelas) forment un triangle ayant un angle droit alpha entre le cadre du sommier (10) et les tètes de lit craniale et podale (13 - 15).
Le principe reste identique à la description principale, à savoir que lorsque le sujet va s'allonger le poids de son corps va s'exercer sur les plans inclinés qui tendent à s'affaisser et par là même créer une rotation postérieure sur ce sujet en plus d'une élongation.
La descente des plans inclinés peut etre réalisée de façon progressive et lente grace à un système (14) hydraulique (verrins) électrique ou mécanique.
Les avantages physiques de ces différents points sont nombreux. En effet, ils peuvent traiter maintes problèmes, sans toutefois, penser à une véritable guérison, mais normalement une nette amélioration, å savoir : un étirement postérieur, tout à fait indispensable de nos jours, notamment lorsque l'on manque de souplesse. D'autre part, cet étirement peut soulager des douleurs arthrosiques, diminuer les contractures musculaires, permettre un meilleur flux circulatoire paravertébral, décompresser les vertèbres et les disques intervertébraux. Cette décompression, pendant le sommeil, permet une meilleure régénération des disques qui, comme chacun sait, se remplissent la nuit, se régénerent.
Les effets sont, également, profitables lors de problèmes de hemies discales où la décompression des vertèbres peut favoriser la résorption de cette hemie. Les effets sont bénéfiques dans tous les problèmes de lumbagos ou lombalgies chroniques où les disques, notamment, lombaires sont affectés.
Cette liste est donnée å titre indicatif et n'est pas limitative. II va de soi qu'en ce qui conceme les variantes qu'un tel matelas peut être combiné à d'autres types de matelas.
A savoir, un matelas anti-escarre dit "gaufrier" peut avoir une surface adéquate antiescarre à sa face supérieure et une face inférieure dite wtriangulaire active" ou divers types de structures de matelas.
Ainsi donc, le dispositif selon l'invention est, en général, destiné à tous. Système apportant un confort absolu et un matelas actif permettant une autoélongation des vertèbres et de la colonne vertébrale et, en particulier, à toutes personnes ayant un dos sensible, voire pathologique.
Comme il va de soi et comme il résulte, d'ailleurs, de ce qui précède, I'invention ne se limite nullement à ceux de ces modes d'application non plus à ceux des modes de réalisations des différentes parties, ayant été plus spécifiquement indiquées. Et elle embrasse, au contraire, toutes les variantes.

Claims (1)

    REVENDICATIONS i-Le matelas anatomo physiologique est caractérisé en ce que l'on obtient un dispositif d'un ou plusieurs blocs, dont au moins l'un de ces blocs, ait une surface inférieure concave en bas, pouvant s'écraser ainsi de façon antéro - postérieure. Et caractérisé en ce que la surface triangulaire inférieure d'au moins un bloc, et préférence deux, soit matérialisée par deux côtés d'inégales distances, le côté le plus court étant le plus vertical, joint par le sommet du triangle (Bl, partie intégrante du bloc de matelas, et plus particulièrement, sa face inférieure concave en bas, le côté (AB?, le plus court et le plus vertical, fera un angle plus ouvert avec la base du triangle que l'autre côté (BC). 2" - Dispositif selon la revendication 1 caractérisé en ce que la surface du matelas ou du bloc de matelas ait, de préférence, une inclinaison en haut et en arrière, l'arrière étant toujours représenté par le point (C), ceci afin d'optimiser le sens de la force de charge qui aura tendance à être perpendiculaire à la surface du matelas, et par la même, faire allonger le grand coté (BC) qui provoquera l'affaissement et l'allongement de la partie inférieure du matelas. 3" - Dispositif selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que le dispositif soit étudié pour placer le sommet du triangle (B) dans l'alignement vertical de la région du corps exerçant la plus grande force et optimisant ainsi, notre but (affaissement et élongation), soit par exemple à l'aplomb des vertèbres dorsales hautes pour un bloc et des fesses pour l'autre bloc. 4" - Dispositif selon l'une revendications précédentes caractérisé en ce que nous nous servirons de la partie inférieure du triangle (A ABC) comme d'une chambre d'aération qui ventilera la surface du matelas grâce à des canaux verticaux (8) - Figure 3 creusés dans l'épaisseur du matelas, à la manière d'un soufflet. 5" - Dispositif selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que à l'intérieur du triangle (ABC), nous ayons un dispositif évitant l'effondrement transversal du matelas et permettant, également, un affaissement progressif longitudinal de ce matelas ou bloc de matelas, soit par un système de mousse, de gonflage ou dégonflage d'air, de ressorts, d'eau, de systèmes hydraulique ou électrique ou autre.
  1. 60 - Dispositif selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que nos blocs
    qui, une fois mis bout à bout, constituent notre matelas, soient éventuellement de
    densité différentes les uns des autres, ou associant plusieurs matières différentes,
    notamment plus fermes au niveau des espaces les plus lourds (fesses, épaules) et
    permettant, par ailleurs, un affaissement plus progressif, notamment, si la longueur
    de ce bloc de matelas est grande.
    7" - Dispositif selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que nous
    ayons au point (A) un bord vertical.
    8 - Dispositif selon l'une des revendications précédentes caractérisé en ce que nous
    employons le sommier limitant et dirigeant l'affaissement du matelas par un système
    hydraulique, électrique, mécanique ou autre.
FR9502605A 1995-03-01 1995-03-01 Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale Expired - Fee Related FR2731140B1 (fr)

Priority Applications (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR9502605A FR2731140B1 (fr) 1995-03-01 1995-03-01 Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale

Applications Claiming Priority (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR9502605A FR2731140B1 (fr) 1995-03-01 1995-03-01 Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR2731140A1 true FR2731140A1 (fr) 1996-09-06
FR2731140B1 FR2731140B1 (fr) 1997-04-04

Family

ID=9476788

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR9502605A Expired - Fee Related FR2731140B1 (fr) 1995-03-01 1995-03-01 Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale

Country Status (1)

Country Link
FR (1) FR2731140B1 (fr)

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2750024A1 (fr) * 1996-06-21 1997-12-26 Buand Thierry Maurice Marie Assise, support, coussin ou siege anatomo physiologique permettant des effets de rotation anterieure (anteversion) d'un ou plusieurs elements du corps creant ainsi une autoelongation vertebrale

Citations (4)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP0036158A1 (fr) * 1980-03-15 1981-09-23 Peter Forster Surface de support pour une personne couchée ou assise
EP0181591A1 (fr) * 1984-11-07 1986-05-21 Peter Forster Support pour une personne couchée ou assise
US4832007A (en) * 1988-04-12 1989-05-23 Span-America Medical Systems, Inc. Traction pillow and method
WO1993014677A1 (fr) * 1992-01-29 1993-08-05 Horst Poths Dispositif pour detendre les muscles du squelette, notamment au niveau des vertebres cervicales et lombaires

Patent Citations (4)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
EP0036158A1 (fr) * 1980-03-15 1981-09-23 Peter Forster Surface de support pour une personne couchée ou assise
EP0181591A1 (fr) * 1984-11-07 1986-05-21 Peter Forster Support pour une personne couchée ou assise
US4832007A (en) * 1988-04-12 1989-05-23 Span-America Medical Systems, Inc. Traction pillow and method
WO1993014677A1 (fr) * 1992-01-29 1993-08-05 Horst Poths Dispositif pour detendre les muscles du squelette, notamment au niveau des vertebres cervicales et lombaires

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2750024A1 (fr) * 1996-06-21 1997-12-26 Buand Thierry Maurice Marie Assise, support, coussin ou siege anatomo physiologique permettant des effets de rotation anterieure (anteversion) d'un ou plusieurs elements du corps creant ainsi une autoelongation vertebrale

Also Published As

Publication number Publication date
FR2731140B1 (fr) 1997-04-04

Similar Documents

Publication Publication Date Title
KR101155211B1 (ko) 요추지지방석
JPS61265110A (ja) 身体に合わせた形状のマツトレス及び身体支持具
WO1995035054A1 (fr) Coussin support multiposition
US20050060808A1 (en) Antidecubitus heel pad
US7509699B1 (en) Leveling camping pad
JP2020525257A (ja) 首の痛みのためのヘッドレストクッションアセンブリ
US20050172408A1 (en) Supportive upper body constraint device
US7137961B2 (en) Method and portable apparatus for spinal adjustment
US5490717A (en) Lotus seat
US6902537B1 (en) Upper body support device
BE1009689A6 (fr) Coussin de relaxation.
US5718722A (en) Lower back heater mat with a leg support
FR2731140A1 (fr) Matelas anatomo-physiologique permettant des effets d'autoelongation activo-passifs de la colonne vertebrale
US20190320806A1 (en) Body Support
US20020079731A1 (en) Therapeutic lounge chair and method therefor
US20030230310A1 (en) Method and apparatus useful for reducing neuromusculoskeletal imbalance
WO2024084137A1 (fr) Dispositif de maintien et de confort
US8938831B2 (en) Framed air pillow for upright support sitting, and comfort sleeping pillow system
FR2573972A1 (fr) Oreiller de forme qui s'adapte a la morphologie de l'utilisateur et de consistance elastique
KR102420652B1 (ko) 근골격의 장력부하와 압박부하를 줄여주는 경사진 침대
KR102169005B1 (ko) 기능성 베개
KR20110002819A (ko) 높이조절코어가 구비된 베개
JP3145217U (ja) 枕および枕セット
GB2417897A (en) Support or pillow for a lying person
AU2004100637A4 (en) Therapeutic Pillow

Legal Events

Date Code Title Description
ST Notification of lapse
RN Application for restoration
TP Transmission of property
FC Decision of inpi director general to approve request for restoration
CD Change of name or company name
TP Transmission of property
CL Concession to grant licences
ST Notification of lapse

Effective date: 20061130