FR2730059A1 - Dispositif de controle, par ressuage, d'une zone annulaire d'une face peripherique d'un corps - Google Patents

Dispositif de controle, par ressuage, d'une zone annulaire d'une face peripherique d'un corps Download PDF

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Abstract

L'invention concerne un dispositif de contrôle, par ressuage, d'une zone annulaire, transversale, d'une face périphérique d'un corps longitudinal. Ce dispositif comporte: - un rail annulaire transversal (5), solidaire de ladite face périphérique, - un chariot (87, 88) guidé le long du rail (5), - des matériels (204 à 207) embarqués sur le chariot (86, 87, 88) et comportant des buses (246 à 248) de projection respectivement d'un produit pénétrant, d'un produit de lavage du produit pénétrant, d'un produit révélateur d'un ressuage de produit pénétrant, des moyens (244) de séchage du produit de lavage et des moyens (207) de téléobservation, - des moyens (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) de télécommande pour provoquer des parcours successifs du rail (5) par le chariot (86, 87, 88) et, lors de parcours successifs, respectivement, provoquer sur ladite zone une projection de produit pénétrant, une projection de produit de lavage, un séchage, une projection de liquide révélateur et l'observation de ladite zone (129) par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207).

Description

La présente invention concerne un dispositif de contrôle, par ressuage, d'une zone annulaire, transversale, d'une face périphérique d'un corps longitudinal.
le procédé de ressuage, utilisé pour détecter la présence de pores ou de microfissures débouchant dans une face d'un corps, par exemple la face périphérique intérieure ou extérieure d'un corps tubulaire, notamment au niveau d'une soudure, consiste à appliquer sur la face en question, après nettoyage de celle, un produit pénétrant, c'est-à-dire présentant une viscosité telle qu'il s'insinue dans les pores ou microfissures éventuels, nettoyer cette face pour en ôter le produit pénétrant qui n'aurait pas effectivement pénétré dans des pores ou microfissures, puis appliquer sur cette face un produit révélateur d'un ressuage de produit pénétrant hors de ces pores ou microfissures et observer, à des intervalles de temps déterminés, I'apparition sur ladite face de taches révélant un ressuage de produit pénétrant, c'est-à-dire la présence des pores ou des microfisswes. Plusieurs observations décalées dans le temps permettent à un technicien, en fonction de la forme et des dimensions que présentent les taches lors des observations successives, de déterminer avec un certain degré de précision les formes et dimensions des différents pores ou microfissures ainsi détectés et par conséquent de déterminer s'ils présentent un risque, par exemple de perte d'étanchéité de la paroi tubulaire, dans l'exemple précité, et d'intervenir en conséquence.Après cette série d'observations décalées dans le temps, les traces de produit révélateur et de produit pénétrant ayant ressué sont enlevées par un nettoyage approprié de la face en question, généralement après que le technicien ait effectué un relevé précis des taches, de leur position, de leur forme et de leurs dimensions, habituellement directement sur un papier calque posé sur ladite face. Une comparaison entre les relevés ainsi effectués de façon répétée, par exemple mensuellement ou annuellement, permet de suivre l'évolution des pores ou microfissures tant qu'ils ne présentent pas de risque, et d'intervenir lorsqu'ils semblent présenter un tel risque.
Tel qu'il est actuellement pratiqué, le procédé de ressuage nécessite la présence permanente sur site, c'est-à-dire directement en regard de la face à contrôler, d'un personnel qui effectue dans l'ordre approprié, manuellement, les nettoyages, applications de produits notamment pénétrant et révélateur, et pratique des observation par vision directe et des relevés sur calque à intervalles de temps déterminés, c'est-à-dire généralement immédiatement après l'application de révélateur, puis sept minutes après cette application, pour déterminer le positionnement des taches éventuelles, puis 30 minutes après cette application pour déterminer le dimensionnement de ces taches éventuelles
n résulte que, tel qu'il est actuellement pratiqué, le procédé de ressuage ne peut entre appliqué qu'à des zones directement accessibles d'une face périphérique d'un corps, d'une part, et qu'à la condition qu'une présence prolongée de personnel à la proximité de ce corps ne présente pas de danger, d'autre part, ce qui exclut a priori une utilisation de ce procédé de contrôle en centrale nucléaire, par exemple
le but de la présente invention est de remédier à cet inconvénient, c'est-à-dire d'augmenter le champ d'application possible du procédé de contrôle par ressuage et, à cet effet, la présente invention propose un dispositif de contrôle du type indiqué en préambule, caractérisé en ce qu'il comporte:: - un rail annulaire, solidaire ou susceptible d'être rendu solidaire de ladite face périphérique, dans une position transversale décalée longitudinalement par rapport à ladite zone annulaire, - un chariot monté ou susceptible d'etre monté sur le rail et guidé le long de celui-ci pour parcourir une trajectoire transversale déterminée autour de ladite face périphérique, - des matériels embarqués, portés par le chariot et comportant::
une buse de projection d'un produit pénétrant, susceptible d'être dirigée vers ladite zone,
* une buse de projection d'un produit de lavage du produit pénétrant, susceptible d'être dirigée vers ladite zone,
* des moyens de séchage du produit de lavage, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone,
* une buse de projection d'un produit révélateur d'un ressuage de produit pénétrant, susceptible d'être dirigée vers ladite zone,
* des moyens de téléobservation, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone, - des moyens d'alimentation desdites buses respectivement en produit pénétrant, en produit de lavage et en produit révélateur, - des moyens de télécommande pour provoquer des parcours successifs de ladite trajectoire par le chariot et, lors de parcours successifs, respectivement, provoquer sur ladite zone annulaire une projection de produit pénétrant, une projection de produit de lavage, un séchage, une projection de liquide révélateur et l'observation de ladite zone par l'intermédiaire des moyens de téléobservation.
Un homme du métier comprendra aisément que, grâce à un tel dispositif, le procédé de contrôle par ressuage peut etre appliqué à des zones sur lesquelles on ne pourrait appliquer différents produits par projection à la main puis pratiquer une observation visuelle directe et des relevés sur calque, et permet en outre de limiter le temps de présence du personnel sur site au temps nécessaire au montage et au démontage du dispositif, ce qui permet une application du procédé de contrôle par ressuage dans des zones dans lesquelles une présence prolongée du personnel ferait courir des risques à celui ci. Notamment, une application devient possible au contrôle des tuyauteries en centrale nucléaire, cet exemple n'étant nullement limitatif.
Par 'moyens de téléobservation", naturellement, on entend non seulement des moyens optiques d'observation visuelle à distance, notamment une transmission d'images par fibre optique, mais également des moyens télévisuels mettant en oeuvre une caméra et un éclairage appropriés, parmi les matériels embarqués portés par le chariot.
Dans ce cas, on peut prévoir, de façon particulièrement avantageuse, que le dispositif selon l'invention comporte outre des moyens d'enregistrement télévisuels de l'observation de ladite zone par l'intermédiaire des moyens de téléobservation. En complément, le dispositif peut aussi comporter des moyens d'enregistrement de la position d'un point choisi, lors de l'observation de ladite zone par les moyens de téléobservation, et d'informations au sujet de ce point, et des moyens d'entrée de telles informations dans les moyens d'enregistrement.
Naturellement, la notion d'enregistrement de la position d'un point choisi englobe celle d'enregistrement de la position de plusieurs points choisis au fur et à mesure de l'observation d'un ressuage éventuel, c'est-à-dire notamment celle de l'enregistrement précis des positions respectives des extrémités d'une microfissure telle qu'elle apparait en début de ressuage, ainsi que de la forme de cette microfissure et des taches auxquelles elle donne naissance au fur et à mesure du ressuage.A cet égard, on remarquera que l'utilisation du dispositif selon l'invention permet non seulement de conserver en mémoire de nombreuses informations permettant de comparer des contrôles successifs par ressuage, de façon répartie par exemple au cours d'une année, mais également de suivre l'évolution du ressuage au cours d'une meme opération de contrôle, lors de parcours successifs du rail par le chariot à des intervalles de temps beaucoup plus rapprochés que ne l'autorise l'enregistrement traditionnel sur papier calque. Ce suivi du ressuage pratiquement en continu permet de déduire beaucoup plus d'informations quant à la forme des pores ou microfissures détectés.
L'observation successive des zones dans lesquelles on constate l'apparition d'un ressuage immédiatement après l'application d'un produit pénétrant peut être facilitée si, suivant un mode de réalisation préféré du dispositif selon l'invention, les matériels embarqués comportent des moyens de marquage localisé, susceptibles d'etre dirigés vers un point choisi de ladite zone pour le marquer, et si les moyens de télécommande sont propres à provoquer de façon commandée à volonté le marquage d'un tel point choisi de ladite zone, après l'observation de celle ci par les moyens de téléobservation et nettoyage du produit révélateur.
Naturellement, cette notion de marquage d'un point choisi englobe celle du marquage de plusieurs points choisis, c'est-à-dire notamment du dessin d'un contour enveloppe d'une tache formée par ressuage, lors de l'observation. Il est bien entendu que lorsque les moyens d'enregistrement précités sont prévus, ils peuvent avantageusement etre utilisés pour enregistrer également la position du ou des points choisis par téléobservation du ressuyage, afin de piloter le retour ultérieur du chariot à ces points pour en effectuer le marquage, ainsi que toute information que l'on introduit à leur sujet, c'est-à-dire généralement au sujet de la tache à laquelle ils correspondent
L'exploitation des résultats du contrôle par ressuage en vue de comparaisons avec d'autres contrôles par ressuage effectués sur la meme zone nécessite un repérage précis des taches, c'est-à-dire des pores ou des microfissures qui les génèrent, sur la face périphérique du corps. On peut aisément prévoir sur le rail, s'il est monté de façon amovible sur la face en question, des moyens permettant de le monter toujours dans la même position sur cette face en vue des contrôles successifs. n importe aussi que la position du chariot et des matériels embarqués le long de ce rail puisse également être déterminée avec précision.A cet effet, on préfère que les moyens de télécommande comportent des moyens moteurs embarqués, portés par le chariot, pour assurer l'entralnement de celui le long du rail ce qui permet d'assurer un entralnement aussi direct que possible et l'obtention, par des moyens de codage associés aux moyens moteurs, d'informations aussi précises que possible, à chaque instant, sur la position effective du chariot le long du raiL Cette position est déterminée de façon particulièrement précise si, de façon préférée, les moyens de télécommande comportent en outre une crémaillère annulaire, solidaire du rail et longeant celui-ci, pour coopérer avec les moyens moteurs embarqués.Cependant, d'autres modes d'entrainement du chariot le long du rail peuvent etre choisis, à savoir notamment des moyens moteurs fixes par rapport au rail, entrainant le chariot par l'intermédiaire d'une transmission par chaine ou une transmission funiculaire. Cette solution présente toutefois un inconvénient, par rapport à celle des moyens moteurs embarqués, en ce qu'elle oblige pratiquement à choisir un rail ouvert, c'est-à-dire présentant deux extrémités par lesquelles accèdent les moyens de transmission et qui limitent la trajectoire possible du chariot.
par contre, le choix de moyens moteurs embarqués permet d'utiliser, de façon préférée, un rail continu, fermé sur lui-meme, ce qui est particulièrement avantageux. En effet, ce choix permet de faire accomplir au chariot un tour complet de la face périphérique du corps lors de l'une quelconque des phases de ressuage, c'est-à-dire de traiter et contrôler intégralement la zone annulaire concernée pour un positionnement déterminé du rail et, meme, d'enchainer plusieurs parcours intégraux successifs du rait dans le même sens, par le chariot pour mettre en oeuvre les phases successives du ressuage, dans les limites autorisées par la liaison entre le chariot, d'une part, et la partie des moyens d'alimentation des buses, des moyens de télécommande et des moyens d'enregistrement qui est fixe par rapport au rail, d'autre part'
A cet égard, on prévoit avantageusement que les moyens d'alimentation comportent des moyens embarqués de stockage de produit pénétrant et de produit révélateur, portés par le chariot. En ce qui concerne les autres liaisons entre le chariot et des moyens d'alimentation des buses, ainsi que son raccordement à la partie non embarquée des moyens de télécommande, assuré par câbles et/ou conduits souples, on prévoit de préférence que le chariot comporte un guide d'enroulement d'une nappe de tels câbles et/ou conduits souples.
Lorsqu'on pratique le ressuage au moyen du dispositif selon l'invention comme lorsqu'on le pratique par les moyens traditionnels, il est préférable de procéder à un nettoyage de la zone à contrôler avant l'application de liquide pénétrant
A cet effet, les matériels embarqués, c'est-à-dire portés par le chariot, comportent de préférence des moyens de nettoyage préliminaire, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone, et les moyens de télécommande sont propres à provoquer le nettoyage de ladite zone par les moyens de nettoyage préliminaire lors d'un parcours de ladite trajectoire par le chariot précédant le parcours de projection de liquide pénétrant.Ces moyens de nettoyage préliminaire comportent par exemple une buse de projection de liquide dégraissant, auquel cas sont prévus des moyens d'alimentation de cette buse en liquide dégraissant, et ils comportent de préférence en outre des moyens escamotables de brossage.
En outre, notamment lorsque la face dont on contrôle une zone est destinée à être placée au contact de fluides qu'il y a lieu de ne pas souiller par des traces de produit utilisé lors du contrôle par ressuage, on pratique un nettoyage final de la zone contrôlée et à cet effet, les matériels embarqués comportent de préférence des moyens de nettoyage final, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone, auquel cas les moyens de télécommande sont propres à provoquer le nettoyage de celle-ci par les moyens de nettoyage final lors d'un parcours final de ladite trajectoire par le chariot, suivant le parcours de pulvérisation de liquide révélateur et l'observation de ladite zone par l'intermédiaire des moyens de téléobservation.
L'abondance des matériels embarqués sur le chariot, et leur encombrement, peuvent s'accomoder d'un chariot unitaire mais on peut également prévoir, notamment pour faciliter le montage du chariot sur le rail, que ce chariot soit constitué de plusieurs modules dont chacun est monté ou susceptible d'être monté sur le rail et guidé le long de celui-ci pour parcourir ladite trajectoire et qui sont attelés entre eux, chacun des modules portant certains desdits matériels et moyens embarqués. Ainsi, on peut prévoir que le chariot soit constitué de deux modules, dont l'un porte ce que l'on a désigné comme des matériels embarqués, à savoir les buses de pulvérisation, les moyens de téléobservation, les moyens de séchage, les éventuels moyens de nettoyage préliminaire et final, et dont l'autre porte ce que l'on a désigné comme les moyens embarqués, c'est-à-dire les moyens de stockage de produit pénétrant et de produit révélateur et les moyens moteurs
Un tel choix est particulièrement judicieux lorsqu'il est prévu que le dispositif selon l'invention comporte des moyens de réglage de la position des matériels embarqués par rapport au chariot en direction longitudinale et/ou transversale et/ou orientation, notamment lorsque ces moyens de réglage comportent une potence portée par le chariot, réglable en direction longitudinale par rapport à lui et portant les matériels embarqués, dont les moyens de réglage de la position par rapport au chariot comportent alors des moyens de raccordement de ces matériels embarqués à la potence. le recours à une telle potence permet d'assurer un positionnement longitudinal d'ensemble de tous les matériels embarqués, c'est-à-dire de tous les matériels qui doivent occuper une position précise par rapport à la zone à contrôler, chacun de ces matériels étant en outre réglé individuellement, à volonté, en position par rapport à cette potence.Lorsque le chariot est formé de plusieurs modules, c'est avantageusement un seul de ces modules qui porte la potence
De préférence, les moyens de télécommande sont propres à provoquer un réglage de la position des matériels embarqués par rapport au chariot en direction longitudinale, ce qui permet notamment d'effectuer un contre par ressuage sur une zone de dimension longitudinale plus importante que si les matériels embarqués étaient fixes longitudinalement par rapport au chariot A cet effet, lorsque les moyens de réglage comportent la potence précitée, on prévoit avantageusement que les moyens de télécommande soient propres à provoquer un réglage de la position de la potence par rapport au chariot en direction longitudinale, ce qui permet un réglage longitudinal d'ensemble de ces matériels; en outre, ce montage facilite la connaissance permanente, et le cas échéant l'enregistrement permanent, de leur position longitudinale, par l'intermédiaire de moyens de codage associés à la motorisation alors prévue pour régler longitudinalement la potence par rapport au chariot, au même titre que de leur position circonférentielle par l'intermédiaire des moyens de codage de préférence associés aux moyens moteurs d'entraînement du chariot le long du rail.
D'autres caractéristiques et avantages du dispositif selon l'invention sortiront de la description ci-dessous, relative à un exemple non limitatif de réalisation, ainsi que des dessins annexés qui font partie intégrante de cette description.
- La figure 1 montre une vue schématique d'ensemble d'un dispositif mettant en oeuvre l'invention et destiné au contrôle, par ressuage, de la face périphérique extérieure de la paroi d'un corps longitudinal tubulaire, ce dispositif étant vu en perspective dans un sens repéré par une flèche I à la figure 2.
- La figure 2 montre une vue schématique de ce même dispositif, en perspective, dans un sens repéré par une flèche II à la figure 1.
- La figure 3 montre ce méme dispositif en élévation, dans un sens longitudinal repéré en 111 à la figure 1.
- La figure 4 montre, en une vue dans un sens radial centrifuge, repéré en 1V à la figure 3, et considéré en référence à un axe longitudinal de la paroi tubulaire, des moyens de solidarisation mutuelle, rigide, entre deux tronçons du rail de guidage du chariot du dispositif de ressuage illustré aux figures à 3, les deux tronçons étant illustrés mutuellement écartés, tels qu'ils se présentent préalablement à leur assemblage ou après leur séparation alors qu'ils sont illustrés à l'état mutuellement assemblé sur les autres figures.
- La figure 5 montre une vue du rail en coupe par un demi-plan longitudinal, incluant l'axe de la paroi tubulaire et repéré en V-V à la figure 3.
- La figure 6 montre une pige montée à demeure sur le rail pour autoriser son positionnement longitudinal par rapport à un repère détenniné de la face périphérique extérieure de la paroi tubulaire, en une vue dans un sens radial centripète, repéré par une flèche VI à la figure 3 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire, la pige étant illustrée en position escamotée, en trait plein, et en position déployée, en trait mixte.
- La figure 7 illustre une vue de la pige de la figure 6, à l'état escamoté, en coupe par un plan transversal repéré en VII-VII à la figure a
- La figure 8 montre une vue partielle de cette pige à l'état déployé, dans un sens circonférentiel, repéré en VIII à la figure 6 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire.
- La figure 9 montre une pige montée sur curseur, susceptible de remplacer la pige illustrée aux figures 6 à 8, en une vue dans un sens longitudinal repéré par une flèche IX à la figure 10.
- La figure 10 montre une vue de cette pige sur curseur, en coupe par un demi-plan incluant l'axe de la paroi tubulaire et repéré en X-X à la figure 9.
- La figure 11 montre un détail de la figure 10, en coupe par un plan longitudinal, parallèle à l'axe de la paroi tubulaire et repéré en XI-XI à la figure 10.
- La figure 12 montre une vue de moyens d'accrochage amovible et de guidage du chariot sur le rail, en coupe par un plan incluant l'axe de la paroi tubulaire et repéré en XII-XII à la figure 3.
- La figure 13 montre une vue des moyens de commande manuelle de ces moyens d'accrochage, en coupe par un plan parallèle à l'axe de la paroi tubulaire et repéré en XIII-XIII à la figure 3.
- La figure 14 montre une vue analogue à celle de la figure 12 si ce n'est qu'au lieu d'être illustrés en position de préhension du rail comme à la figure 12, les moyens en question sont illustrés en position de dégagement du chariot par rapport au raiL
- La figure 15 montre une vue de moyens d'appui du chariot en direction longitudinale par rapport au rail, en coupe par un demi-plan incluant l'axe de la paroi tubulaire et repéré en XV-XV à la figure 3.
- La figure 16 montre, en une vue analogue à celle de la figure 3 si ce n'est qu'elle est partiellement éclatée, le montage d'une potence réunissant sur le chariot l'ensemble des matériels de ressuage dont la position par rapport à la face à contrôler et la connaissance de cette position présentent une importance dans la mise en oeuvre du ressuage et l'exploitation de ses résultats.
- La figure 17 montre une vue de ce montage dans un sens radial centripète, repéré en XVII-XVII à la figure 16 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire.
- La figure 18 montre également ce montage, alors que la potence est assemblée au chariot, dans un sens circonférentiel, repéré en XVIII
XVIII à la figure 3 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire.
- La figure 19 montre, en une vue analogue à celle de la figure 3 mais agrandie, de buses de projection de liquides faisant partie des matériels de ressuage portés par la potence.
- La figure 20 montre une vue de ces buses dans un sens radial centripète, repéré en XX à la figure 19 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire.
- La figure 21 montre une vue de l'une de ces buses, destinée à la projection d'une poudre en suspension dans un liquide, formant révélateur de ressuage, en coupe par un plan incluant l'axe de la paroi tubulaire et repéré en XXI-XXI à la figure 19.
- La figure 22 illustre une vue de cette même buse dans un sens radial centrifuge, repéré en XXII à la figure 21 et considéré en référence à l'axe de la paroi tubulaire.
- Les figures 23, 24, 25 illustrent trois autres buses, destinées à la projection respectivement d'un liquide dégraissant, d'air de séchage et de liquide de ressuage, en coupe par un plan longitudinal respectif repéré respectivement en XXIII-XXIII, XXIIII-XXIIII et XV-XV à la figure 19 et parallèle au plan repéré en XXI XXI à cette figure 19.
- La figure 26 montre, en une vue de détail issue de la figure 3 mais agrandie, un dispositif de brossage faisant partie des matériels portés par la potence.
- La figure 27 montre une vue de ce dispositif de brossage dans un sens circonférentiel correspondant au sens repéré en XVIII à la figure 3.
- La figure 28 montre, en une vue extraite de la figure 3 mais agrandie, une buse de projection de liquide de lavage associée à ce dispositif de brossage.
- La figure 29 montre, en une vue analogue à celle de la figure 27, une caméra de télévision faisant partie des matériels portés par la potence
- La figure 30, en une vue analogue à celle des figures 27 et 29, un dispositif de marquage, également porté par la potence.
Toutes ces figures illustrent un dispositif 1 destiné à pratiquer le contrôle, par ressuyage, de la face périphérique extérieure 2, cylindrique de révolution autour d'un axe longitudinal 3, de la paroi d'un corps tubulaire rigide 4 tel qu'une conduite, et il sera décrit en référence à cette application, c'est-à-dire en fonction des positions que ses différents composants occupent par rapport à ce corps tubulaire 4 lorsque le dispositif 1 est en service. Son adaptation à d'autres formes de face périphérique extérieure à contrôler, de même qu'au contre d'une face périphérique intérieure, relève des aptitudes normales d'un Homme du métier et entre dans le cadre de la présente invention, bien qu'elle ne soit pas décrite spécifiquement.
Les notions de sens radial centrifuge ou centripète, de sens circonférentiel, de longitudinalité ou de transversalité s'entendront par référence à l'axe longitudinal 3 du corps tubulaire 4, par commodité de language.
Pour assurer son montage directement sur la face périphérique extérieure 2 du corps 4, le dispositif 1 comporte un rail annulaire, continu 5 disposé transversalement et présentant une forme générale de révolution autour de l'axe 3, avec une section courante constante, lorsqu'il est vu en coupe par un quelconque plan incluant cet axe.
Comme le montre par exemple la figure 5, cette section présente la forme générale d'un T, défmie par une âme transversale 6 et par deux ailes longitudinales 7 disposées respectivement de part et d'autre de l'âme 6, dans le prolongement longitudinal l'une de l'autre, et constituant une seule pièce rigide, par exemple métallique, avec cette âme 6.
Le rail 5 ainsi constitué présente une symétrie générale par rapport à un plan transversal 8 par rapport auquel l'âme 6 est symétrique et les deux âmes 7 mutuellement symétriques
L'âme 6 constitue la partie du rail 5 la plus proche de la face périphérique extérieure 2 du corps 4 et présente vers cette face 2 une face périphérique intérieure 9 cylindrique de révolution autour de l'axe 3 avec un diamètre supérieur, par exemple de quelques centimètres, au diamètre de cette face 2. La face 9, symétrique par rapport au plan 8, présente suivant ce dernier une gorge annulaire, continue 10, de révolution autour de l'axe 3 et elle-meme symétrique par rapport au plan 8.Dans le sens d'un éloignement par rapport à ce plan 8, respectivement de part et d'autre de celui-ci, l'âme 6 est délimitée par deux faces frontales 1 1 planes, transversales, mutuellement symétriques par rapport au plan 8 et respectivement annulaires de révolution autour de l'axe 3. Dans le sens d'un rapprochement par rapport à celui-ci, ces faces frontales 1 1 se raccordent à la face périphérique intérieure 9.
Les deux ailes 7 constituent la partie du rail 5 la plus éloignée de la face 2 vers laquelle chacune d'entre elles est délimitée par une face périphérique intérieure 12 cylindrique de révolution autour de l'axe 3 avec un même diamètre supérieur à celui de la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6, chacune de ces faces périphériques intérieures 12 étant placée en porte-à-faux par rapport à une face frontale 1 1 respective, à laquelle elle se raccorde dans le sens d'un rapprochement par rapport au plan 8.Dans le sens d'un éloignement par rapport à celui-ci, chaque face périphérique intérieure 12 se raccorde à une face frontale respective 13 de l'aile 7 correspondante, les deux faces frontales 13 étant mutuellement symétriques par rapport au plan 8 et tournées dans le sens d'un éloignement par rapport à celui-ci. Chacune de ces faces frontales 13 présente une forme plane, annulaire de révolution autour de l'axe 3, et se raccorde dans le sens d'un éloignement par rapport à celui-ci à une face périphérique extérieure 14 commune aux deux ailes 7. Cette face périphérique extérieure 14 est cylindrique de révolution autour de l'axe 3 avec un diamètre supérieur à celui des faces périphériques intérieures 12 mais elle est creusée, suivant le plan 8, d'une gorge 15 annulaire de révolution autour de l'axe 3 et symétrique par rapport au plan 8.
Par la face périphérique extérieure 14 des ailes 7, d'un côté du plan 8, c'est-à-dire au niveau de l'une des ailes 7, le rail 5 porte de façon solidaire une crémaillère rigide 16 qui peut etre réalisée en une seule pièce avec lui ou rapportée de façon solidaire sur lui. Cette crémaillère 16 présente une forme générale annulaire de révolution autour de l'axe 3 avec, par exemple, une section rectangulaire lorsqu'elle est vue en coupe par un quelconque plan incluant cet axe.Par exemple dans le sens d'un éloignement par rapport à celui, la crémaillère 16 présente une denture d'engrenage 17 également continue, étant entendu que d'autres positionnements de la denture 17 sur la crémaillère 16 de meme que d'autres positionnements de cette dernière pourraient être choisis, bien que le positionnement qui vient d'être décrit soit préféré.
Afin de permettre son montage solidaire sur la face périphérique extérieure 2 du corps 4 et son démontage par rapport à oeluicî, respectivement avant et après un contrôle par ressuage, le rail 5 est formé de l'assemblage mutuel, solidaire mais amovible, de plusieurs tronçons rigides dont chacun correspond à un arc de cercle, en référence à l'axe 3, et comporte un tronçon respectif de la crémaillère 16, dont les différents tronçons se raccordent de préférence à fond de dents.
Dans l'exemple non limitatif illustré, le rail 5 est ainsi formé de l'assemblage de deux tronçons Sa, 5b dont chacun présente en référence à l'axe 3 un développement angulaire de 180 et porte solidairement un tronçon respectif de crémaillère 16a, 16b. Lorsque le rail 5 est formé de l'assemblage de plus de deux tronçons, ceux-ci sont dimensionnés angulairement, en référence autour de l'axe 3, de telle sorte que le cumul de leurs développements angulaires en référence à cet axe soit de 360..
L'assemblage mutuel des tronçons Sa, Sb est assuré par des moyens d'assemblage bout à bout illustrés plus particulièrement aux figures 3 et 4, auxquelles on se réfèrera à présent à cet égard.
n en ressort que chaque tronçon Sa, 5b, délimité par des parties correspondantes des faces 9, 11, 12, 13, 14, et avec chaque tronçon 5a, Sb de rail le tronçon correspondant de crémaillère 16a, 16b, présente deux faces planes d'extrémité, respectivement 18a, 19a et 18b, 19b, situées suivant un plan géométrique incluant l'axe 3. Plus précisément, compte tenu du développement angulaire de chacun des tronçons Sa, Sb, 16a, 16b dans l'exemple illustré, les deux faces d'extrémité 18a, 19a du tronçon Sa et du tronçon 16a sont situées suivant un même plan incluant l'axe 3, et il en est de meme des deux faces d'extrémité 18b, 19b du tronçon Sb et du tronçon 16b, ces deux plans coïncidant lorsque le rail S est installé sur la face 2 comme on l'a illustré notamment à la figure 3.
Afin d'assurer une continuité sans gradin entre les parties respectives des faces 9, 11, 12, 13, 14 correspondant aux tronçons Sa et 5b de rail, de meme que pour assurer une continuité circonférentielle entre les tronçons 16a et 16b de la crémaillère 16, les tronçons Sa, de façon illustrée à la figure 4, et 5b, de façon non illustrée, portent en saillie sur leurs faces extrêmes 18a, 18b, deux tenons rectilignes tels que 20, en saillie suivant un axe respectif tel que 21 perpendiculaire à la face extreme correspondante telle que 1 8a, c'est-à-dire approximativement suivant une direction circonférentielle en référence à l'axe 3 lorsque le rail 5 est installé sur la face 2.
Complémentairement, la face 19a du tronçon Sa, de façon non illustrée, et la face 19b du tronçon Sb, de façon illustrée à la figure 4, sont creusées de deux trous borgnes respectifs tels que 22 rectilignes, d'axe respectif 23 perpendiculaire à la face extrême telle que 19b, c'est-à-dire également approximativement circonférentiel par rapport à l'axe 3 lorsque le rail S est installé sur la face 2.Les tenons tels que 20 et les trous borgnes tels que 22 présentent une section sensiblement identique perpendiculairement à leur axe respectif et les positions des axes tels que 23 sur les faces 19a, 19b coïncident avec celles des axes tels que 21 sur les faces 18a, 18b de telle sorte que, lorsque le rail 5 est installé sur la face 2, chaque tenon tel que 20 pénètre dans un trou borgne respectif tel que 22, avec coincidence des axes respectifs 21, 23, lorsque la face 18a est accolée à plat à la face 19b et que la face 18b est accolée à plat à la face 19a, de telle sorte que cet accolement mutuel extrême des tronçons Sa, Sb s'accompagne nécessairement de l'établissement d'une continuité entre les parties respectives des faces 9, 11, 12, 13, 14, ainsi que d'une continuité entre les tronçons 16a et 16b de la crémaillère . A cet égard, le raccordement précité, à fond de dents, résulte du fait que les plans géométriques respectifs des faces extremes 18a, 18b, 19a, 19b passent par des fonds de dents respectifs de la denture 17, en constituant par exemple un plan de symétrie pour le creux de denture reconstitué par aboûtement des tronçons 16a, 16b lorsque le rail 5 est installé sur la face 2.
Pour assurer une solidarisation mutuelle, amovible des tronçons ainsi aboûtés mutuellement dans une position relative précise grace à la coopération des tenons tels que 20 et des trous borgnes formant mortaises tels que 22, ou par tout autre système équivalent, peuvent etre prévus différents moyens, mais on a illustré un mode de réalisation particulièrement simple, sous forme de moyens de verrouillage mutuel à genouillère 24, 25, de préférence prévus en deux exemplaires, à savoir sur chacune des faces frontales 11, au niveau de chacun des raccordements des deux tronçons Sa, 5b de rail bout à bout.Afin que ces moyens de verrouillage mutuel ne constituent pas d'entrave au parcours du rail S par un chariot 86 qui sera décrit par la suite, on les choisira dimensionnés de telle sorte qu'à l'état verrouillé, ils soient intégralement placés en retrait vers le plan 8 par rapport aux faces 13 des ailes 7 et que, suivant des directions radiales en référence à l'axe 3, ils se situent entre un cylindre géométrique non référencé passant par la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 et les faces périphériques intérieures 12 des ailes 7 comme on l'a schématisé à la figure 12 où l'on a fait apparaître le contour général des moyens de verrouillage à genouillère 25 correspondant à la face extrême 19a du tronçon Sa et à la face exXne 18b du tronçon Sb, dans un état de verrouillage, et où l'on remarque en outre que les moyens de verrouillage à genouillère 25 laissent subsister entre eux et la face 13 de l'aile 7, qui est située respectivement du meme côté du plan 8 qu'eux, une zone marginale de la face périphérique intérieure 12 de cette aile 7 afin que cette zone marginale constitue tout autour du rail S un chemin de roulement pour le chariot 86 ; il en est de meme des moyens de verrouillage à genouillère 24.
Afin d'assurer la coaxialité entre le rail 5 et la face 2 sont prévues, sous forme régulièrement répartie angulairement autour de l'axe 3 avec positionnement en alternance d'un côté ou de l'autre du plan 8, sur chacun des tronçons Sa et Sb du rail S, des butées 26 d'appui sur la face 2, réglables radialement en référence à l'axe 3. On a illustré à la figure 3 un mode de réalisation comportant huit de ces butées réparties à raison de quatre par tronçon Sa, Sb du rail S, mais un nombre différent pourrait naturellement être choisi ce nombre devant de préférence etre au total, c'est-à-dire pour l'ensemble du rail S, au moins égal à trois afin d'assurer la fonction souhaitée de positionnement coaxial par rapport à la face 2.
Plusieurs conceptions de ces butées d'appui 26 peuvent etre envisagées, mais on a illustré plus particulièrement aux figures 3 et 5 une conception actuellement préférée, en raison de sa grande simplicité de réalisation et d'utilisation.
Selon cette conception, chaque butée d'appui 26 comporte une console 27 fixée par exemple par vissage sur la face frontale 11 correspondante, au niveau du tronçon Sa ou Sb correspondant, cette console 27 respectant les mêmes impératifs d'encombrement que les moyens de verrouillage à genouillère 24 et 25 afin de préserver le chemin de roulement précité. Suivant un axe 28 qui peut être radial en référence à l'axe 3, de façon non illustrée, ou qui, tout en étant situé dans un plan induant l'axe 3, est incliné par rapport au plan 8 comme c'est le cas dans l'exemple illustré à la figure S, la console 27 est percée de part en part d'un trou taraudé 29 dans lequel est engagée coaxialement une tige filetée 30 que l'on peut déplacer en translation suivant l'axe 28 par rapport à la console 27 en la faisant tourner autour de cet axe 28 à l'intérieur du trou 29. A cet effet, la tige filetée 30 présente de façon solidaire une tete de manoeuvre 31, par exemple à six pans, entre la console 27 et l'aile 7 correspondante, suffisamment espacées mutuellement à cet effet au moins au niveau du trou 29, en référence à une direction radiale par rapport à l'axe 3. On peut accéder à cette tête de manoeuvre 31, pour visser ou dévisser la tige filetée 30 par rapport à la console 29, soit latéralement entre l'aile 7 respectivement correspondante et la face 2, au moyen d'une dé, soit par la face 14 de l'aile 7, au moyen d'un outil coaxial de manoeuvre 32 tel qu'un tournevis, à travers un trou 33 traversant l'aile 7 suivant une direction respective 34 radiale en référence à l'axe 3.Les trous 33 correspondant aux différentes tiges filetées 30, de meme que d'autres trous analogues prévus dans les ailes 7 uniquement dans le but d'alléger le rail 5, et les têtes 31 des tiges filetées 30 sont disposés suffisamment près de la face frontale 1 1 correspondante et du plan 8, c'est-à-dire suffisamment loin de la face 13 de l'aile 7 correspondante, et dimensionnés de façon à laisser subsister entre eux et cette face 13 une zone annulaire continue des faces périphériques intérieure 12 et extérieure 14 de l'aile 7, à usage de chemin de roulement pour le chariot 86, comme il apparaîtra plus loin.
A l'opposé de sa tête 31 par rapport à la console 27, c'est-à-dire entre cette dernière et la face 2, la tige filetée 30 présente une extrémité libre d'appui sur cette face 2, par exemple sous forme d'un tampon 34 qui peut etre réalisé d'une pièce avec la tige filetée 30 ou être rapporté de façon solidaire sur cette dernière et alors réalisé de préférence en un matériau présentant l'élasticité du caoutchouc, afin d'être susceptible de prendre appui sur la face 2 sans endommager celle-ci et avec un certain effet de friction, propre à retenir au moins provisoirement le rail S à l'encontre d'un déplacement longitudinal intempestif par rapport à cette face 2.A cet effet, par action sur la tige filetée 30 au moyen de l'outil 32, on peut placer le tampon 34 plus ou moins en saillie, par rapport à un cylindre géométrique correspondant à la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 du rail S, vers l'axe 3.
Lors du montage du rail S sur la face 2, les différents tampons 34 sont initialement rétractés au maximum, c'est-à-dire accolés ou pratiquement accolés aux consoles 27, et c'est alors que l'on place les tronçons Sa et Sb bout à bout, autour de la face 2, en engageant les tenons tels que 20 dans les trous borgnes formant mortaires tels que 22, avant d'agir sur les moyens de verrouillage à genouillère 24 et 25 dans le sens du verrouillage. Alors, par exemple au moyen d'outils 32 convenablement introduits par les trous 33 correspondants, on agit sur les têtes 31 des différentes tiges filetées 30 pour les visser plus ou moins dans les consoles 27 afin d'amener leur tampon 34 en appui sur la face 2, en assurant la coaxialité recherchée du rail S et de la face 2.
Les butées d'appui 26 pourraient constituer le seul moyen de retenue du rail S par rapport à la face 2, mais on préfère affermir cette retenue par des moyens plus efficaces, qui ressortent plus particulièrement des figures 3 et 5 où l'on voit qu'à la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 est accolé de façon solidaire, pour chaque tronçon
Sa, Sb du rail, un boudin gonflable, plat, respectif 35a, 35b qui, drconférentiellement en référence à l'axe 3, s'étend pratiquement sur la totalité du tronçon Sa, Sb correspondant du rail 5.Chacun des boudins 35a, 35b est ici directement accolé à la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 mais on pourrait également prévoir entre chaque boudin et cette face une cale rigide respective, d'épaisseur constante en référence à des directions radiales en référence à l'axe 3, de façon non représentée mais aisément concevable par un Homme du métier, afin d'autoriser le montage d'un même rail S sur des faces 2 présentant des diamètres différents, dans une gamme aussi large que possible.
Les boudins 35a et 35b ont été illustres à l'état dégonflé, dans lequel ils présentent une section rectangulaire lorsqu'ils sont vus en coupe par un plan quelconque incluant l'axe 3. Si l'on se réfère au boudin 35a que montre la figure S et auquel le boudin 35b est identique, cette forme est définie par une paroi périphérique extérieure 36 longeant la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 du rail 5, au niveau du tronçon correspondant tel que Sa de celui-ci, par une paroi périphérique intérieure 37 parallèle à cette paroi périphérique extérieure 36, et par deux parois frontales plates 38 perpendiculaires à l'axe 3 et raccordant mutuellement les parois périphériques intérieure 37 et extérieure 36 dans des positions mutuellement symétriques par rapport au plan 8 et en léger porte-à-faux par rapport aux faces frontales 1 1 sans toutefois parvenir jusqu'aux tiges filetées 30 et aux tampons 34 des butées d'appui 26.Vers l'axe 3, la paroi périphérique intérieure 37 présente une face périphérique intérieure non référencée qui, à l'état dégonflé, présente la forme d'une partie de cylindre de révolution autour de l'axe 3 avec un diamètre faiblement supérieur à celui de la face 2 ; à titre d'exemple non limitatif, ces diamètres peuvent présenter une différence de l'ordre de 1 millimètre à quelques millimètres. Dans la paroi périphérique extérieure 36 est aménagée, dans une position chevauchant le plan 8, une surépaisseur 39 qui forme une nervure pénétrant dans la gorge 10 de la face périphérique intérieure 9 du rail S, au niveau du tronçon correspondant tel que Sa de celui a, et présente suivant plusieurs axes 40 du plan 8, radiaux en référence à l'axe 3 et régulièrement répartis angulairement autour de celui, des trous borgnes taraudés 341 ouverts vers l'extérieur du boudin tel que 35a, c'est-à-dire en sens centrifuge en référence à l'axe 3. Coaxialement en regard de chaque trou borgne 341, le tronçon correspondant tel que Sa du rail S présente un trou traversant respectif 342, débouchant d'une part dans la gorge 10 et d'autre part dans la gorge 15 pour recevoir coaxalement un boulon respectif 343 de fixation solaire du boudin tel que 35a sur le tronçon tel que Sa correspondant du rail 5.Chaque boulon 343 est vissé dans un trou borgne 341 respectif et prend appui sur le tronçon correspondant tel que Sa du rail S à l'intérieur de la gorge S, par une tete 344 ainsi totalement escamotée vers l'axe 3 par rapport à un cylindre géométrique incluant la face périphérique extérieure 14 des ailes 7 du rail S. En cas de présence d'une cale d'épaisseur entre chaque boudin tel que 35a et la face 9, chaque boulon 343 traverse également coaxialement un trou traversant respectif de cette cale, pour l'enserrer solidairement entre le boudin tel que 35a et la face 9.
En direction circonférentielle, chacun des deux boudins 35a, 35b est délimité par deux parois plates non référencées dont chacune est disposée au moins approximativement suivant un plan passant par l'axe 3, et l'une de ces parois de chacun des boudins 35a, 35b présente un embout respectif 39a, 39b de raccordement à des moyens pneumatiques commandés 40 de type connu, propres à permettre un gonflage, à volonté, des boudins 35a, 35b de façon à appliquer leur paroi périphérique intérieure 37 sous pression contre la face 2, vers l'axe 3, avec un effet de friction mutuelle assurant la fixation du rail S par rapport à la face 2, cette opération de gonflage survenant après un centrage au moyen des butées d'appui 26, puis à assurer le maintien des boudins 35a et 35b en pression pour conserver cet effet d'immobilisation relative, et enfin à permettre de dégonfler les boudins 35a et 35b pour dégager leur paroi 37 de la face 2, en préalable au démontage du rail 5.
Pour permettre de positionner ce dernier avec précision, suivant une direction longitudinale, par rapport à une référence choisie de la face 2 avant gonflage des boudins 35a et 35b mais de préférence après que l'on ait assuré sa coaxialité vis-à-vis de la face 2 au moyen des butées d'appui 26, dont on visse alors suffisamment peu les tiges filetées 20 pour autoriser encore un coulissement longitudinal du rail S sur la face 2, ce rail 5, ou plus précisément l'un des tronçons Sa, Sb de celui, comporte de préférence des moyens de repérage longitudinal par rapport à une telle référence ; un premier exemple de réalisation de tels moyens a été illustré aux figures 3, 6, 7, 8, et un deuxième exemple aux figures 9, 1Q 11.
On se réfèrera en premier lieu aux figures 3, 6, 7, 8 où l'on a illustré ces moyens de repérage longitudinal sous forme d'une pige escamotable 41, montée à demeure sur l'une des faces 1 1 du rail 5, ou plus précisément du tronçon Sa de celui, par l'intermédiaire d'une console 42 fixée sur cette face 1 1 par exemple par vissage et respectant le gabarit indiqué à propos des moyens de verrouillage à genouillère 24, 25 ; il en est de meme de l'ensemble de ces moyens de repérage longitudinal lorsque la pige 41 occupe sa position d'escamotage illustrée en trait plein aux figures 3, 6, 7, alors que ce respect du gabarit n'est pas indispensable lorsqu'elle occupe sa position de service, c'est-à-dire d'utilisation en vue du repérage longitudinal du positionnement du rail S par rapport à une référence choisie de la face 2 ; cette position de service est illustrée en trait mixte aux figures 6 et 8.
n ressort de la figure 7 que la console 42, disposée au plus près d'un cylindre géométrique correspondant à la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 du rail 5, porte de façon solidaire, en saillie vers la face périphérique intérieure 12 de l'aile 7 correspondante, un pivot 43 présentant un axe 44 parallèle au plan 8, non visible sur cette figure, et approximativement radial en référence à l'axe 3. Autour de cet axe 44 est monté au pivotement sur la console 42, par l'intermédiaire du pivot 43, un berceau 45 allongé, perpendiculaire à l'axe 44, et plus précisément formant une glissière 46 d'axe 47 perpendiculaire à cet axe 44.Des moyens d'encliquetage élastique 48 de type connu, comportant par exemple une bille portée par la console 42 en regard du pivot 43 et susceptible de s'escamoter élastiquement dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 44, d'une part, et des encoches susceptibles de recevoir cette bille alternativement et aménagées dans le berceau 45, dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 44, sont prévus pour retenir élastiquement le berceau 45 à l'encontre d'un pivotement par rapport à la console 42, autour de l'axe 44, à moins d'une intervention volontaire d'un opérateur, dans deux positions prédéterminées, à savoir une position dans laquelle l'axe 47 est parallèle au plan 8, c'est-à-dire longe la face 11, ce qui correspond à la position d'escamotage de la pige 41, et une position dans laquelle l'axe 47 est perpendiculaire au plan 8, c'est-à-dire parallèle à l'axe 3, ce qui définit la position de service de la pige 41.
Cette dernière présente elle-meme une conception télescopique suivant l'axe 47, par l'intermédiaire de la glissière 46, par rapport au berceau 45. Plus précisément, elle présente la forme d'une tige rectiligne d'axe 47, montée au coulissement suivant cet axe à l'intérieur de la glissière 46 de forme tubulaire, sans possibilité de rotation relative et avec imposition de deux limites à ce coulissement relatif suivant l'axe 47, au moyen d'un montage connu comportant une clavette 49 perpendiculaire à l'axe 47, solidaire de la pige 41 dans une zone extreme de celle-ci comparativement proche de l'axe 44, et susceptible de coulisser à l'intérieur d'une lumière 50 parallèle à l'axe 47, aménagée dans la glissière 46 et présentant deux extrémités, formant butée pour la clavette 49, respectivement dans le sens d'un rapprochement vis-à-vis de l'axe 44 et dans le sens d'un éloignement par rapport à celui-ci. Afin de permettre d'immobiliser la pige 41 dans toute position voulue, dans les limites imposées par la coopération de la clavette 49 avec la lumière 50, par rapport à la glissière 46 est prévue dans une zone de cette dernière comparativement éloignée de l'axe 44 une vis 51 de blocage, vissée coaxialement dans un trou taraudé 52 traversant la paroi tubulaire de la glissière 46 dans une zone de celle-ci comparativement éloignée de l'axe 44, suivant un axe 53 perpendiculaire à l'axe 47, de telle sorte qu'en vissant cette vis 51, on puisse appliquer une pression à la pige 41, à l'intérieur de la glissière 46, afin d'assurer une immobilisation relative et qu'en dévissant la vis 51, on puisse libérer la pige 41 vis-à-vis d'un coulissement suivant l'axe 47 par rapport à la glissière 46.
Dans sa zone extreme la plus éloignée de l'axe 44, la pige 41 constitue une chape 54 de guidage, au pivotement sur 90' autour d'un axe 55 parallèle à l'axe 3 dans la position d'escamotage et au plan 8 dans la position de service, pour un manchon 56 de retenue et de guidage d'un pointeau 57 destiné à venir au contact de la paroi 2, lorsque la pige 41 est en position de service, au niveau de la référence à prendre en compte.
Dans une position limite correspondant à l'escamotage de la pige 41 et illustrée à la figure 7 ainsi qu'en trait plein à la figure 6, le manchon 56 définit entre la glissière 46 et la face 12 correspondante un couloir rectiligne 59 d'axe 58 parallèle à l'axe 47. Dans ce canal 59 est guidé au coulissement suivant l'axe 58, par rapport au manchon 56, et retenu par friction de telle sorte que ce glissement nécessite une intervention d'un opérateur, le pointeau 57 qui est rectiligne et lui-meme d'axe 58. Dans cette position d'escamotage, le pointeau 57 longe la glissière 46, entre cette dernière et la face 12 de l'aile 7, et présente une extrémité pointue 60 dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 44, auquel l'axe 58 est alors perpendiculaire.Cette extrémité pointue 60 est alors située à l'opposé de l'axe 44 par rapport au manchon 56, à proximité immédiate de ce dernier.
Vers l'axe 44, dans cette position d'escamotage, le pointeau 57 présente une autre extrémité 61, comparativement plus éloignée du manchon 56 et quant à elle retenue, à l'encontre d'un basculement conjoint avec le manchon 56, autour de l'axe 55, par rapport à la pige 41 et la glissière 46, dans un sens qui l'éloignerait de cette dernière, par une butée 62 fixée de façon solidaire, par exemple par vissage, sur la face 11 du tronçon Sa du rail 5, et respectant le gabarit précité.La butée 62 ne constitue toutefois pas d'entrave à ce que l'extrémité 61 du pointeau 57, avec la pige 41 et la glissière 46, pivote autour de l'axe 44 par rapport à la console 42, ce qui dégage l'extrémité 61 de la retenue exercée par cette butée 62 et permet par conséquent à l'ensemble formé par le pointeau 57 et le manchon 56 de pivoter autour de l'axe 55 par rapport à la pige 41 et à la glissière 46, pour venir occuper une position de service illustrée à la figure 8, dans laquelle l'axe 58 est perpendiculaire à l'axe 47 et l'extrémité pointue 60 tournée vers la face 2, avec laquelle on peut l'amener en contact par coulissement du pointeau 57 à l'intérieur du manchon 56.Avantageusement, le manchon 56 et le pointeau 57 sont retenus dans cette orientation dans laquelle l'axe 58 est perpendiculaire à l'axe 47 par encliquetage élastique du pointeau 57 dans une pince extrême 63 de la pige 41, sans limitation quant à la possibilité de coulissement coaxial du pointeau 57 dans le manchon 56.
Pendant le montage du rail S sur la paroi 2 ou lors de l'utilisation du rail S pour guider le chariot 86, dans des conditions qui apparaitront plus loin, la pige 41 occupe sa position d'escamotage, dans laquelle le berceau 45 et, avec lui, la glissière 46 sont rabattus le long de la face 1 1 de l'âme 6 du rail S, ou plus précisément du tronçon Sa de celuici dans l'exemple illustré, la pige 41 est escamotée au maximum à l'intérieur de la glissière 46 et le pointeau 57 rabattu sur la glissière 46 de telle sorte que la butée 62 retienne son extrémité 61.
lorsqu'on désire utiliser la pige 41 pour positionner le rail S par rapport à une référence donnée de la face 2, telle qu'une soudure 64 à contrôler par ressuage, on fait pivoter l'ensemble formé par le berceau 45, la glissière 46, la pige 41 et le pointeau 57 autour de l'axe 44 par rapport à la console 42, de façon à orienter les axes 47 et 58 perpendiculairement au plan 8, ctest-à-dire parallèlement à l'axe 3, ce qui correspond à la position illustrée en trait mixte aux figures 6 et 8 ; au cours de ce mouvement, l'extrémité 61 du pointeau 57 se dégage de la butée 62.Ensuite, on desserre la vis 51 et l'on extrait la pige 41 de la glissière 46, par coulissement relatif suivant l'axe 47 sur une amplitude prédéterminée en fonction des conditions géométriques du contrôle par ressuage à effectuer, et l'on resserre la vis 51 pour immobiliser à nouveau la pige 41 dans la glissière 46, dans la position prédéterminée ainsi obtenue, illustrée en trait mixte à la figure 6.On peut d'abord faire pivoter l'ensemble du pointeau 57 et du manchon 56 autour de l'axe 55 par rapport à la pige 41, pour amener l'axe 58 dans une orientation perpendiculaire à l'axe 47, en tournant l'extrémité pointue 60 du pointeau 57 vers la face 2, dont on rapproche ensuite l'extrémité pointue 60 du pointeau 57 par coulissement de celui à l'intérieur du manchon 56 le long de l'axe 58, comme le montre la figure 8.Alors, en déplaçant le rail S longitudinalement sur la face 2, en lui conservant sa transversalité par rapport à l'axe 3, on amène l'extrémité pointue 60 du pointeau 57 en coïncidence avec la référence choisie, en l'espèce une soudure 64 apparaissant sur la face 2, ce qui définit parfaitement la position du plan 8 par rapport à cette référence; alors, en gonflant les boudins 35a et 35b, on immobilise le rail S qui restera ainsi immobilisé jusqu'à la fin des opérations de ressuage qui seront décrites ultérieurement, avant d'être démonté.
Une fois ce positionnement longitudinal du rail effectué, la pige 41 est escamotée d'abord par rabattement du pointeau 57 de telle sorte que son axe 58 soit à nouveau parallèle à l'axe 47, puis escamotage de la pige 41 à l'intérieur de la glissière 46 par coulissement coaxial, avec manoeuvres appropriées de la vis 51, et enfin rabattement de l'ensemble formé par le berceau 45, la glissière 46, la pige 41 et le pointeau 57 le long de la face 11 de l'âme 6 du rail S, ou plus précisément du tronçon Sa de celui-a, comme le montrent la figure 7 et, en trait plein, la figure 6.
Les figures 9 à 1 1 illustrent quant à elles une pige amovible 65 qui, lorsqu'elle est montée sur le rail S, est en permanence orientée longitudinalement alors que la pige 41 n'est ainsi orientée que lorsqu'elle est en position de service
A cet effet, la pige 65 est portée par un berceau ou curseur 66 qui peut être emboité sur le rail S, et plus précisément sur l'aile 7 de celui portant la crémaillère 16 et sur cette crémaillère 16 elle-meme, et solidarisé provisoirement avec le rail 5, par exemple par vissage de serrage sur la crémaillère 16, comme on l'a schématisé en 67, dans n'importe quelle position angulaire en référence à l'axe 3, étant entendu que la forme générale annulaire de révolution du rail 5 et de la crémaillère 16 assure un positionnement constant du berceau 66 en direction longitudinale ainsi qu'en direction radiale en référence à l'axe 3, quelle que soit la position circonférentielle du berceau 66 autour de cet axe, sur la crémaillère 16 et l'aile 7 correspondante du rail 5.
le berceau 66 porte de façon solidaire, dans une zone chevauchant la face 13 de l'aile 7 correspondante du rail 5, une glissière 68 rectiligne, présentant un axe 69 perpendiculaire au plan 8, c'est-à-dire parallèle à l'axe 3, dans toute position circonférentielle du berceau 66 autour de cet axe 3. La glissière 68 est placée en porte-à-faux par rapport au berceau 66 dans le sens d'un éloignement par rapport au rail 5.
La glissière 68 est tubulaire et reçoit intérieurement, coaxialement, la pige 65 qu'elle guide au coulissement coaxial, c'est-à-dire longitudinal, sans possibilité de rotation relative autour de l'axe 69 et dans des limites imposées par coopération d'une gorge longitudinale 70 aménagée dans la pige 65 et présentant deux extrémités définies, et d'une clavette 71 longitudinalement fixe par rapport à la glissière 68 et pénétrant à l'intérieur de celle-ci pour s'engager dans la gorge 70, dans des conditions qu'un Homme du métier déduira aisément de la description, cidessus, de la coopération mutuelle de la clavette 49 et de la gorge 50.Dans l'exemple de réalisation illustré, la clavette 71 est constituée par une extrémité d'une vis 72 d'axe 73 perpendiculaire à l'axe 69 et en prise avec un trou taraudé 74 aménagé dans la glissière 68, et plus précisément dans une zone extrême de celle-ci comparativement éloignée du plan 8 lorsque le berceau 66 est installé sur le rail S et la crémaillère 16.La vis 72 combine ainsi les fonctions de la clavette 49 et de la vis 51 décrites en référence aux figures 6 à 8 en ce sens que, d'une part, elle impose deux limites au coulissement longitudinal de la pige 65 à l'intérieur de la glissière 68 et empeche leur rotation relative autour de l'axe 69, et d'autre part, par vissage dans le trou taraudé 74, elle assure par serrage mutuel l'innnobffisation de la pige 65 à l'encontre d'un coulissement longitudinal à l'intérieur de la glissière 68 dans toute position relative choisie entre les limites précitées alors que, desserrée par action volontaire d'un opérateur, elle libère la pige 65 vis-à-vis d'un tel coulissement longitudinaL
Quelle que soit la position qu'elle occupe par coulissement longitudinal à l'intérieur de la glissière 68, la pige 65 présente en saillie hors de cette dernière, dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8, une zone extrême 75 présentant la forme d'une pince par aménagement, suivant un plan 76 incluant l'axe 3, d'une fente 77 dégageant deux mâchoires 78 disposées respectivement de part et d'autre du plan 76 et susceptibles de se rapprocher, avec rétrécissement de la fente 77 et fléchissement élastique, sous l'action d'une vis de serrage 79 qui, selon un montage connu en lui-méme, est disposée suivant un axe 80 perpendiculaire au plan 76 et relie mutuellement les deux mâchoires 78 à travers la fente 77.
A l'intérieur de cette fente 77, chacune des mâchoires 78 présente une gorge respective 81 située à proximité de la vis 79, par exemple entre cette dernière et la glissière 68, et les deux gorges 81 se complètent mutuellement, respectivement de part et d'autre du plan 76, selon un même cylindre géométrique de révolution autour d'un axe 82 situé dans le plan 76 et perpendiculaire aux axes 69 et 3, en l'absence de fléchissement élastique des mâchoires 78.
Les gorges 81 définissent ainsi ensemble un passage de réception et de guidage au coulissement coaxial pour un pointeau 83 présentant une extrémité libre 84 de commande de coulissement coaxial à l'intérieur des gorges 81 lorsque la vis 79 est desserrée, cette extrémité 84 étant tournée dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, alors que le pointeau 83 présente vers cet axe 3, c'est-à-dire vers la face 2, une extrémité pointue 85 que l'on peut ainsi rapprocher plus ou moins de l'axe 3 pour l'amener au contact de la face 2, en regard de la référence choisie pour le positionnement longitudinal du rail 3, telle que la soudure 64, l'ajustement du positionnement longitudinal du rail 3 s'effectuant alors que le pointeau 83 est immobilisé par rapport à la pige 65, par serrage de la vis 79.
Un Homme du métier déduira aisément le mode d'utilisation de la pige 65 du mode d'utilisation, décrit ci-dessus, de la pige 41 naturellement, les phases de mise en position de service et d'escamotage décrites en référence aux figures 6 à 8 sont remplacées par des phases de mise en place du berceau 66 et de démontage de celui-ci par rapport au rail S et à la crémaillère 16, dans le cas de ce mode de réalisation des figures 9 à 11.
On observera que les dispositions qui viennent d'etre décrites, tant en ce qui concerne le montage du rail 5 sur la face 2 que le positionnement longitudinal du rail S sur cette face, par rapport à une référence déterminée de celle-ci, sont compatibles avec des diamètres différents de la face 2, dans une large gamme déterminée de ces diamètres Comme on l'a indiqué plus haut, on peut compenser une trop grande différence de diamètre entre la face périphérique intérieure 9 de l'amie 6 du rail S et la face 2 en intercalant de façon solidaire, entre chaque boudin gonflable 35a, 35b et la partie de la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 correspondant au tronçon Sa, Sb de rail concerné, une cale d'épaisseur, convenablement incurvée, de façon non représentée mais aisément compréhensible par un Homme du métier, afin que cette trop grande différence de diamètre entre la face périphérique intérieure 9 de l'âme 6 du rail 5 et la face 2 n'impose pas un gonflage trop important des boudins 35a, 35b, ce qui risquerait de porter atteinte à la stabilité du rail 5 par rapport à la face 2.
Le rail S qui vient d'etre décrit est destiné à recevoir, de préférence après montage et positionnement longitudinal voulu sur la face 2, et a guider selon une trajectoire annulaire, transversale, de révolution autour de l'axe 3, un chariot 86 qui, dans l'exemple illustré, est formé de deux modules 87, 88 mutuellement juxtaposés circonférentiellement, c'est-àdire le long du rail S, et montés et guidés indépendamment l'un de l'autre sur ce dernier notamment pour des raisons d'encombrement ; les deux modules 87, 88 sont cependant attelés entre eux de façon à se comporter comme un tout solidaire lors du parcours du rail S en vue des opérations de contrôle de la face 2 par ressuage.Les moyens assurant cet attelage n'ont pas été détaillés, mais peuvent avantageusement consister en une articulation mutuelle 164, autour d'un axe parallèle à l'axe 3, d'appendices circonférentiels rigides respectifs que les modules 87 et 88 présentent l'un vers l'autre, par l'intermédiaire d'un pivot démontable de façon à permettre de dissocier les deux modules lors de leur mise en place sur le rail 5 ou de leur démontage vis-à-vis de ce dernier.
Aux fins de ce montage et de ce démontage par rapport au rail S sont prévus, sur chacun des modules 87 et 88, deux exemplaires respectifs de moyens d'accrochage amovible et de guidage le long du rail S lorsque cet accrochage est réalisé, chacun de ces moyens étant disposé dans une zone longitudinalement extrême respective du module 87, 88 concerné.
On a désigné par 89 ceux de ces moyens d'accrochage amovible et de guidage qui correspondent à la zone circonférentiellement extrême 90 du module 87 la plus éloignée du module 88, par 91 ceux de ces moyens qui correspondent à la zone circonférentiellement extrême 92 du module 87 la plus proche du module 88, par 93 ceux de ces moyens qui correspondent à la zone circonférentiellement extrême 94 du module 88 la plus proche du module 87, et par 95 ceux de ces moyens qui correspondent à la zone circonférentiellement extrême 96 du module 88 la plus éloignée du module 87.
Les moyens 89, 91, 93, 95 sont mutuellement identiques, de même que leur montage sur le module respectivement correspondant 87, 88, si bien que l'on ne décrira que les moyens 89 et leur montage sur le module 87, en référence aux figures 12 à 15 auxquelles on se réfèrera à présent, étant entendu qu'un Homme du métier en déduira aisément le montage des moyens 91 sur le module 87, et le montage des moyens 93 et 95 sur le module 88.
Ie module 87, comme le module 88, est formé d'un chassies rigide, par exemple métallique, comportant notamment deux joues latérales plates 97 (respectivement 98) orientées perpendiculairement à l'axe 3 et mutuellement symétriques par rapport au plan 8 lorsque le module est monté sur le rail S. Chacune des joues 97 (ou 98) est alors placée en regard d'une aile 7 respective en laissant dégagée une zone marginale de la face périphérique extérieure 14 vis-à-vis de la face frontale 13 respective, la crémaillère 16 étant toutefois placée alors entre les deux joues 97 (ou 98).
Au niveau des moyens d'accrochage 89 (comme à celui des moyens d'accrochage 91, 93, 95, respectivement), les joues 97 (ou 98) jouxtent directement, toutefois sans contact, la face périphérique extérieure 14 de l'aile 7 respectivement correspondante et portent, à la rotation autour d'un même axe 99 (respectivement 100, 101, 102), parallèle à l'axe 3, par l'intermédiaire d'un tourillon 103 (non référencé en ce qui concerne les moyens 91, 93, 95), un galet respectif 104 (respectivement 105, 106, 107) d'appui vers l'axe 3 et de roulement sur la face périphérique extérieure 14 de l'aile 7 respectivement correspondante, dans une zone marginale de cette aile 14 jouxtant directement la face frontale 13 de cette aile.
Les moyens d'accrochage 89 (respectivement 91, 93, 95) comportent en outre sur chaque joue 97 (ou 98), de façon solidaire une console 108 (respectivement 109, 110, 111) portant elle-meme de façon solidaire un tourillon 112 (non référencé en ce qui concerne les consoles 109, 110, 111) d'axe respectif 113 (respectivement 114, 115, 116) perpendiculaire à l'axe 3 et placé en regard de la face frontale 13 de l'aile 7 respectivement correspondante. Chacun des tourillons 112 (de même que les tourillons correspondant aux consoles 109, 110, 111) porte, à la rotation autour de son axe 113 (respectivement 114, 115, 116), sans autre possibilité de déplacement relatif, un galet respectif 117 (respectivement 118, 119, 120) d'appui vers le plan 8 et de roulement sur la face frontale 13 de l'aile 7 respectivement correspondante.L'écartement mutuel, perpendiculairement au plan 8, des galets 117 correspondant aux moyens 89 (de même que celui des galets 118 correspondant aux moyens 91, celui des galets 119 correspondant aux moyens 93 et celui des galets 120 correspondant aux moyens 95) est sensiblement égal à la distance séparant mutuellement, perpendiculairement au plan 8, les deux faces frontales 13 de telle sorte que les galets 117 (respectivement 118, 119, 120) assurent un guidage latéral, c'est-à-dire perpendiculaire au plan 8, précis du module 87 (ou 88) par rapport au rail S.
On remarquera que les galets 104, 105, 106, 107 qui assurent l'appui des modules 87, 88 du chariot 86 vers l'axe 3 sur le rail S, ainsi que les galets 117, 118, 119, 120 qui assurent l'appui des modules 87 et 88 vers le plan 8 sur le rail 5 occupent une position fixe par rapport aux modules 87, 88, ce qui permet de placer les modules 87 et 88 sur le rail S, en appui vers l'axe 3 et en appui vers le plan 8 ou dans le sens d'un éloignement par rapport à celui, de façon particulièrement aisée lors de l'installation du dispositif mais on pourrait également prévoir que ces galets soient montés de façon mobile par action volontaire d'un opérateur, selon une technique qui va être décrite à présent, à propos d'une retenue amovible, à volonté, des modules 87 et 88 du chariot 86 sur le rail 5 dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3.
A cet effet, les moyens d'accrochage 89 (respectivement 91, 93, 95) comportent, de façon solidaire sur chaque joue 97 (ou 98) une chape 121 (respectivement 122, 123, 124) en saillie dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8, plus loin de l'axe 3 que le galet respectivement correspondant 104 (respectivement 105, 106, 107) d'appui sur le rail 5 vers l'axe 3. Cette chape 121 (respectivement 122, 123, 124) forme une gorge rectiligne 127 (non référencée en ce qui concerne les chapes 122, 123, 124) orientée au moins approximativement radialement par rapport à l'axe 3 et ouverte dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8 comme dans le sens d'un éloignement et celui d'un rapprochement vis-à-vis de l'axe 3.Suivant un axe 125 (non référencé en ce qui concerne les chapes 122, 123, 124) parallèle au plan 8 et perpendiculaire à la direction au moins approximativement radiale, en référence à l'axe 3, de la gorge 127 (ou de la gorge correspondante des chapes 122, 123, 124), celle-ci est traversée de part en part par un tourillon 126 (non référencé en ce qui concerne les chapes 122, 123, 124) de réception et de guidage au pivotement, autour de l'axe 125 (ou de l'axe respectivement correspondant des chapes 122, 123, 124), d'un bras respectif 128 (respectivement 129, 130, 131) approximativement rectiligne, perpendiculaire à l'axe 125 (ou à l'axe respectivement correspondant de la chape 122, 123, 124) et susceptible d'occuper ainsi, par pivotement autour de l'axe 125 (respectivement à l'axe correspondant des chapes 122, 123, 124) une position illustrée à la figure 12, dans laquelle il est parallèle au plan 8, par rapport auquel les deux bras 128 (respectivement 129, 130, 131) sont alors mutuellement symétriques, ce qui définit une position de préhension de l'aile 7 respective, et une position illustrée à la figure 14 dans laquelle les deux bras 128 (respectivement 129, 130, 131) divergent mutuellement dans le sens d'un rapprochement vis-à-vis de l'axe 3, ce qui définit une position de dégagement vis-à-vis des ailes 7 du rail 5.
Plus précisément, entre l'axe 125 (respectivement l'axe correspondant des chapes 122, 123, 124) et l'axe 3, chaque bras 128 (respectivement 129, 130, 131) présente vers cet axe 3 une extrémité libre 132 (respectivement 133, 134, 135) placée en regard, longitudinalement, d'une face frontale 11, respective de lame 6 du rail 5 et portant de façon solidaire, en saillie vers cette face frontale 1 1 suivant un axe respectif 136 (respectivement 137, 138, 139) longitudinal, c'est-à-dire parallèle à l'axe 3, dans la position de préhension, un tourillon respectif 140 (non référencé en ce qui concerne les bras 129, 130, 131) de montage à la rotation autour de l'axe 136 (respectivement 137, 138, 139), sans autre possibilité de déplacement relatif, d'un galet 341 (respectivement 342, 343, 344) d'appui contre la zone marginale précitée de la face 12 de l'aile 7 respective et de roulement sur cette zone marginale, directement en regard d'un galet 104 respectif (respectivement d'un galet 105, 106, 107) dans la position de préhension illustrée à la figure 12. A cet effet, dans cette position, les axes 99 et 136 sont situés dans un meme plan incluant l'axe 3, de meme que les axes 100 et 137, 101 et 138, 102 et 139, respectivement, et l'écartement mutuel, en direction radiale en référence à l'axe 3, entre un galet 341 et le galet 104 qui lui fait face, de meme qu'entre chacun des galets 105,106,107 et le galet 342, 343, 344 qui lui fait respectivement face, est sensiblement égal à l'épaisseur de l'aile 7 correspondante, mesurée entre ses faces 12 et 14, radialement en référence à l'axe 3.Par contre, pour des raisons de facilité de montage, les galets 117, 118, 119, 120, d'appui latéral, c'est-à-dire d'appui sur la face frontale 13 des ailes 7, sont légèrement décalés circonférentiellement par rapport aux autres galets faisant respectivement partie des mêmes moyens d'accrochage 89, 891, 93, 95, en référence à l'axe 3.
Le passage de chaque paire de bras 128, 129, 130, 131 de la position d'accrochage, illustrée à la figure 12 en ce qui concerne les bras 128, à la position de dégagement, illustrée à la figure 12 à propos des memes bras, s'effectue par écartement mutuel des extrémités libres 132, 133, 134, 135, respectivement, c'est-à-dire par écartement vis-à-vis du plan 8 au niveau du galet respectivement correspondant, par pivotement autour de l'axe tel que 125 d'articulation sur la chape 121, 122, 123, 124 respectivement correspondante.
A cet effet, à l'opposé de son extrémité libre (respectivement 132, 133, 134, 135) par rapport à l'axe d'articulation sur la chape respective 121, (respectivement 122, 123, 124), chaque bras 128 (respectivement 129, 130, 131) présente la forme d'une fourche 142 (respectivement 143, 144, 145) traversée par un tourillon respectif tel que 143 (en ce qui concerne la fourche 142, les tourillons correspondant aux fourches 143, 144, 145 n'étant pas visibles) définissant un axe de pivotement relatif 143 (en ce qui concerne la fourche 142, les axes correspondant aux fourches 143, 144, 145 n'ayant pas été figurés) parallèle à l'axe de pivotement 125 (en ce qui concerne le bras 128, les axes de pivotement des bras 129, 130, 131 n'ayant pas été illustrés) du bras sur la chape correspondante.
Autour de chaque axe 147 est articulée, sur le bras 128 respectivement correspondant( respectivement 129, 130, 131), une biellette respective 148 (respectivement 149, 150, 151) tournée vers le plan 8 par rapport auquel, respectivement, les deux biellettes d'une meme paire sont mutuellement symétriques et au niveau duquel les deux biellettes d'une même paire se raccordent, par l'intermédiaire d'une articulation à rotule respective 152 (non référencée en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151), à un embout respectif 153 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151), d'axe 154 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151) passant par les deux rotules, perpendiculaire au plan 8 et commun aux deux embouts 153 correspondant à une même paire de biellettes 148 (respectivement 149, 150, 151), lesquels embouts 153 sont mutuellement symétriques par rapport au plan 8 et fixés sur un levier 155 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151) disposé suivant le plan 8 et symétrique par rapport à celui ci, comme le montre la figure 13. Comme le montre également la figure 13, ce levier 155 (ou le levier respectif similaire) est par ailleurs solidaire d'un arbre 157 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151) disposé suivant un axe 156 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151) perpendiculaire au plan 8 et décalé par rapport à l'axe 154 (ou à l'axe respectif correspondant), auquel il est ainsi parallèle.Cet arbre 157 (ou l'arbore respectif similaire) est monté tourillonnant, autour de l'axe 156 (ou de l'axe respectif correspondant), dans les deux joues 97 (ou 98) à proximité immédiate de chacune desquelles il porte de façon solidaire un autre levier respectif 158 (non référencé en ce qui concerne les biellettes 149, 150, 151). Les deux leviers 158 (ou les leviers respectifs similaires) sont rectilignes, mutuellement parallèles et mutuellement symétriques par rapport au plan 8, et s'étendent à l'opposé du levier 155 (ou du levier respectif similaire) par rapport à l'axe 156 (ou à l'axe respectif correspondant).A l'opposé de leur raccordement solidaire avec l'arbre 157 (ou l'arbre respectif similaire), les leviers 158 (ou les leviers respectifs similaires) sont raccordés mutuellement, de façon solidaire, par une poignée de manoeuvre 160 (respectivement 161, 162, 163) en forme de barre rectiligne d'axe 159 (non référencé en ce qui concerne les poignées 161, 162, 163) parallèle aux axes 156 et 154 (ou aux axes respectifs correspondants) et au moins approximativement coplanaire avec ces derniers.
Chacun des moyens d'accrochage 89, 91, 93, 95 est muni d'une telle poignée 160, 161, 162, 163 de manoeuvre des bras respectivement correspondants 128, 129, 130, 131 entre leur position de préhension du rail
S et leur position de dégagement vis-à-vis de celui-ci.
Comme il ressort plus particulièrement de l'examen des figures 14, à propos des moyens d'accrochage 89, et comme il est vrai également des moyens d'accrochage 91, 93, 95, le levier tel que 155 constitue avec les biellettes telles que 148 et les bras tels que 128 un mécanisme à franchissement de point mort, faisant une position stable de la position de préhension du rail 5. A cet effet, dans cette position, l'axe tel que 154 est légèrement décalé, dans le sens d'un éloignement vis-à-vis de l'axe 3, par rapport aux axgs tels que 147 des tourillons tels que 146 d'articulation des biellettes telles que 148 sur les bras tels que 128, les biellettes telles que 148 s'éloignant ainsi progressivement de l'axe 3, vers le plan 8.
Par contre, dans la position de dégagement illustrée à la figure 14,
I'axe tel que 154 est décalé vers l'axe 3 par rapport aux axes tels que 147, les biellettes telles que 148 se rapprochant de l'axe 3 dans le sens d'un rapprochement vis-à-vis du plan 8.
Cet effet de franchissement de point mort peut résulter d'un tolérancement approprié des pièces en jeu et de leur montage, ou encore de l'introduction d'une élasticité dans certaines de ces pièces, par exemple dans les biellettes telles que 148, entre l'axe d'articulation sur le bras respectivement correspondant tel que 128 et la rotule correspondante telle que 152, ou encore dans les embouts tels que 153, suivant l'axe tel que 154.
Le choix et la réalisation de telles dispositions relèvent des aptitudes normales d'un Homme du métier.
Un tel Homme du métier comprendra aisément combien chaque module 87, 88 du chariot 86 peut être accroché aisément, par basculement des poignées 160, 161, 162, 163 correspondantes, dans le sens d'un rapprochement vis-àvis de l'axe 3, pour amener les bras correspondants 128, 129, 130, 131 de la position de dégagement à la position de préhension, puis dégagé du rail S par traction sur les bras 160, 161, 162, 163 dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, pour ramener les bras 128, 129, 130, 131 de la position de préhension à la position de dégagement, les actions ainsi exercées sur les poignées 160, 161, 162, 163 correspondant à des mouvements naturels, respectivement de poussée du module correspondant 87 ou 88 vers le rail 5 pour le mettre en appui sur la face 14 des ailes 7 de celuci, vers l'axe 3, en engageant les ailes 7 entre les galets 117, 118, 119, 120, et de rupture de cet engagement mutuel, respectivement avant mise en place et après démontage de l'attelage 164 entre eux.
Les moyens permettant d'assurer la pratique du ressuage sont répartis entre les deux modules 87 et 88 d'une façon qui va être décrite à présent et qui, bien qu'actuellement préférée, ne constitue cependant qu'un exemple non limitatif.
En particulier, le module 87 est moteur alors que le module 88 est tracté ou, le cas échéant, poussé, le long du rail 5 par le module 87.
A cet effet, les joues 97 du module 87 portent de façon solidaire, entre elles, un moteur 165, de préférence électrique, entrainant par l'intermédiaire d'une chaine cinématique non détaillée, dont la réalisation relève des aptitudes normales d'un Homme du métier, un pignon 166 également logé entre les joues 97, sur lesquels il est monté à la rotation autour d'un axe 167 parallèle à l'axe 3, dans une position telle qu'il vienne en prise permanente avec la crémaillère 16 lorsque les bras 128 et 129 occupent leur position de préhension du rail S, comme il ressort des figures 3 et 12.L'alimentation du moteur 165 en électricité et l'arrêt de cette alimentation, pour commander respectivement le déplacement conjoint des modules 87 et 88 le long du rail 5 dans un sens ou dans l'autre ou leur arrêt, s'effectuent de façon télécommandée à volonté par un opérateur disposant à cet effet d'un clavier 168, comme le montre la figure 1, par l'intermédiaire d'une nappe 169 de câbles et de conduites souples attelée au module 87 par un dispositif connu 370 du type dit 'boa", permettant à la nappe 169 de suivre les évolutions du module 87 le long du rail S sans risque de débranchement ou de coincement.
La nappe 169 regroupe les câbles et conduites souples nécessaires à la commande d'autres fonctions, qui seront décrites plus loin, de même que des câbles de transmission d'information, notamment d'information télévisuelle sur l'évolution du ressuage, grâce à un matériel qui sera également décrit plus loin, et qui est embarqué sur le module 88, et à un écran de visualisation 170 associé au clavier 168, de préférence avec enregistrement sur des moyens appropriés 171 permettant en outre d'enregistrer des informations, introduites de façon automatique, par exemple quant à la position angulaire du chariot 86 autour de l'axe 3 par rapport à une référence déterminée, ou encore de façon volontaire par action sur le clavier 168, notamment en fonction des observations effectuées sur l'écran 170.
On remarquera que l'entraînement du module 87 et, avec lui, du module 88 par l'intermédiaire d'un système moteur électrique - pignon crémaillère permet de déterminer à chaque instant, avec précision, la position angulaire du chariot 86 autour de l'axe 3, par rapport au rail S et par conséquent par rapport à la face 2, et de transmettre des informations précises à cet égard au moyen de tout codeur approprié associé au moteur 165
En outre, comme le montrent plus particulièrement les figures 1 à 3, le module 87 porte de façon solidaire deux bonbonnes 172, 173 pour deux des produits liquides mis en oeuvre par le procédé de contrôle par ressuage, à savoir respectivement le liquide pénétrant, dit 'rouge', et le liquide contenant, en suspension, une poudre révélatrice du ressuage, dit 'blanc'. Pour maintenir la suspension, cette bonbonne 173 destinée au révélateur est munie d'un agitateur 174 mu par de l'air comprimé amené par une conduite, non représentée, de la nappe 169, en provenance des moyens 40 et de façon commandée par le clavier 168.
On remarquera que les bonbonnes 172 et 173 peuvent être montées en permanence sur le module 87, auquel cas elles sont de préférence remplies avant la mise en place de celui-ci sur le rail S ; elles pewent également être montées de façon amovible sur le module 87, auquel cas elles pewent être installées, à l'état rempli, après montage du module 87 sur le rail S.
Chaque bonbonne 172, 173 comporte un embout 175, 176 de raccordement à une conduite respective, non représentée, d'arrivée d'air sous pression en provenance des moyens pneumatiques 40, intégrée à la nappe 169 et commandée, quant à la fourniture ou l'absence de fourniture d'air comprimé en provenance des moyens 40, par le clavier 168.
Chaque bonbonne 172, 173 comporte en outre un embout 177, 178 de sortie du produit respectivement correspondant, sous l'action de l'air comprimé ainsi introduit sur commande, chaque embout 177, 178 étant raccordé par une conduite souple non représentée à une buse respective, portée par le module 88 qui va être décrit à présent, plus particulièrement en référence aux figures 1 à 3 et 16 à 30.
En se référant plus particulièrement aux figures 16 à 18, on voit que les joues 98 du module 88 portent de façon solidaire, à l'opposé du rail S, c'est-à-dire dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, deux rails 179 rectilignes, parallèles à l'axe 3 et mutuellement symétriques par rapport à un plan 180 qui inclut l'axe 3, est par conséquent perpendiculaire au plan 8 et constitue un plan de symétrie pour le module 88. Par l'intermédiaire de patins 181, les rails 179 portent, au coulissement relatif parallèlement à l'axe 3 sans autre possibilité de déplacement relatif, un chariot embarqué 182 ainsi susceptible d'accomplir une course limitée, parallèlement à l'axe 3, par rapport au module 88, c'est-à-dire également par rapport au rail S et par rappon à la surface 2 qui le porte.Ces mouvements peuvent être provoqués et arrêtés, dans une position longitudinale déterminée du chariot embarqué 182 sur les rails 179, de façon télécommandée à partir du clavier 168 et par l'intermédiaire de câbles de la nappe 169, par tout moyen approprié et par exemple au moyen d'un moteur électrique 183, porté de façon solidaire par le module 88 et en prise d'entraînement, à la rotation autour d'un axe 184 parallèle à l'axe 3, avec une vis 185 disposée suivant cet axe 184 et elle-même en prise avec un écrou non référencé, solidaire du chariot 182. Des moyens de codage sont avantageusement associés au moteur 183 pour transmettre aux moyens d'enregistrement 171, par l'intermédiaire de chables de la nappe 169, la position longitudinale effective du chariot embarqué, par rapport au module 88, au rait 5 et à la face 2.
Le chariot 182 est symétrique par rapport au plan 180 et présente de façon solidaire, dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, un tenon 186 symétrique par rapport à ce plan 180, présentant une section en queue d'aronde aussi bien lorsqu'il est vu en coupe par un quelconque plan perpendiculaire à l'axe 3 ou suivant cet axe, comme le montre la figure 16, que lorsqu'il est vu dans un sens centripète par rapport à cet axe comme c'est le cas à la figure 17, de façon à pouvoir recevoir de façon amovible, mais dans une position relative rigoureusement déterminée, une platine porte-outils 187, rigide, présentant une mortaise 188 de forme rigoureusement complémentaire de celle du tenon 186. la mise en place de la platine 187 sur le chariot 182 s'effectue par un déplacement longitudinal dans un sens repéré par une flèche 189 à la figure 17 et, lorsqu'une position relative prédéterminée est atteinte dans laquelle la mortaise 188 épouse le tenon 186 sans possibilité de déplacement relatif autre qu'un coulissement longitudinal en sens opposé au sens 189, la platine 187 est immobilisée par rapport au chariot 182 par tout moyen approprié, autorisant leur démontage ultérieur à nouveau.A cet effet, on peut par exemple prévoir un doigt d'indexage 190 traversant de part en part la platine 187 suivant le plan 180, qui constitue un plan de symétrie également pour cette platine 187 lorsqu'elle est supposée fixée en position sur le chariot 182 ; le doigt d'indexage 190 est orienté suivant un axe 191 radial en référence à l'axe 3 et sollicité dans le sens d'un rapprochement vis-à-vis de ce dernier de façon à pénétrer dans un trou borgne 192 aménagé complémentairement dans le tenon 186. D'autres dispositions pourraient naturellement être choisies à cet effet.
la platine 187 porte elle-meme de façon solidaire, dans des positions mutuellement symétriques par rapport au plan 180 si on la suppose immobilisée sur le chariot 182, deux fourreaux 193 rectilignes, d'axe respectif 194 parallèle à l'axe 3, et dans chacun desquels est montée au coulissement coaxial, sans autre possibilité de déplacement relatif, une tige rigide, rectiligne, respective 195.Chaque tige 195 peut être immobilisée à volonté, de façon amovible, dans toute position longitudinale relative voulue, à l'intérieur du fourreau 193 respectif, par tout moyen approprié et par exemple au moyen d'une vis respective de serrage 196 vissée dans le fourreau respectif 193 perpendiculairement à l'axe respectif 194 pour serrer et immobiliser la tige respective 195, ou dévissée pour desserrer cette tige 195 respective et la libérer vis-à-vis d'un coulissement longitudinal à l'intérieur du fourreau 193 respectif.
A l'extérieur des fourreaux 193, du même côté du rail S que la pige 41 ou 65 de positionnement longitudinal de celui, les deux tiges 195 se raccordent de façon solidaire, par une extrémité libre respective non référencée, à une potence porte-outils 197, rigide, qui, ainsi, est juxtaposée longitudinalement au chariot embarqué 182 et placée en porte-à-faux par rapport au module 88 correspondant et au rail S, parallèlement à l'axe 3, et occupe en regard de la face 2 une position que l'on peut régler longitudinalement d'une part sous forme d'un préréglage manuel de la position longitudinale des tiges 195 à l'intérieur des fourreaux 193, prealablement aux opérations de contrôle de la face 2 par ressuage, pendant lesquelles ce préréglage est maintenu par vissage des vis 196, et d'autre part de façon télécommandée, en cours de contrôle de la face 2 par ressuage, en commandant le moteur 183 au moyen du clavier 168. Par ailleurs, la potence 197 se déplace en rotation autour de l'axe 3 conjointement avec le chariot 86, de façon également commandée à partir du clavier 168, pour tourner autour de la face 2 en conservant une position radiale constante, en référence à l'axe 3, par rapport à cette face 2 du fait de la coaxialité du rail 5 avec celle-ci et du guidage efficace du module 88 le long du rail S.
La potence 197 porte l'ensemble des éléments qui doivent occuper une position précise par rapport à la face 2, longitudinalement comme radialement en référence à l'axe 3, pour effectuer l'opération de contrôle par ressuage, et chacun de ces moyens peut etre réglé individuellement, notamment en direction radiale en référence à l'axe 3 pour permettre une adaptation à des faces 2 de diamètre différent, de même qu'en orientation par rapport à une direction radiale en référence à l'axe 3, comme il ressortira de la description de ces différents moyens, faite à présent en référence aux figures 1 à 3, 16, 17 à 30 auxquelles on se réfèrera à présent.
On définira en premier lieu un sens 198, circonférentiel par rapport à l'axe 3, constituant un sens préféré de déplacement du chariot 86, le long du rail S, autour de la face 2, et en référence auquel le module 87 est placé en avant du module 88, de telle sorte que les modules 87 et 88 soient respectivement tracteurs et tractés. Ce sens servira de référence aux notions d'avant et d'arrière apparaissant par la suite.
La potence 197 présente une forme générale plate, perpendiculaire à l'axe 3, lorsqu'elle est vue suivant une direction radiale en référence à celui-ci comme c'est le cas à la figure 17 alors que, lorsqu'elle est vue suivant l'axe 3, elle présente une forme générale incurvée propre à envelopper approximativement la face 2 et définie par trois tronçons approximativement rectilignes de potence 197, à savoir un tronçon central 199 qui chevauche le plan 180, perpendiculairement et symétriquement par rapport à celui, et s'étend de l'une à l'autre des tiges 195, et des tronçons respectivement avant 200 et arrière 201 qui se raccordent solidairement au tronçon central 199 au niveau d'une tige 195 respective et s'étendent respectivement vers l'avant et vers l'arrière, approximativement symétriquement l'un de l'autre par rapport au plan 180, jusqu'à une extrémité libre respective 202, constituant l'extrémité avant de la potence 197, ou 203 constituant l'extrémité arrière de celle-ci.
Entre ses extrémités avant et arrière 202, 203, la potence 197 présente dans l'exemple illustré un développement angulaire de l'ordre de 60' sans les matériels de ressuage qu'elle porte et de l'ordre de 90' avec ces matériels, dont elle porte certaines par ses extrémités 202 et 203, alors que le module 88 présente un développement angulaire de l'ordre de 609 et le module 87 un développement de l'ordre de 45, en référence à l'axe 3. n doit etre bien entendu, toutefois, que ce dimensionnement angulaire peut varier dans une large mesure, notamment du fait que des matériels différents peuvent etre montés sur la potence 197, dont la dimension circonférentielle doit alors être adaptée, d'une part, et que ces dimensions angulaires peuvent également varier en fonction du diamètre de la surface 2 à traiter puisque, à matériel embarqué identique sur le chariot 86, ce matériel et ce chariot présenteront un développement angulaire d'autant plus faible, en référence à l'axe 3, que le diamètre de la face 2 à traiter sera grand, comme le comprendra aisément un Homme du métier.
D'avant en arrière, en référence au sens 198, la potence 197 porte: - des moyens 204 de nettoyage de la surface 2, montés sur le tronçon avant 200, à proximité immédiate de l'extrémité avant 202, et pour l'essentiel placés en porte-à-faux vers l'arrière par rapport à cette extrémité avant 202, - un groupe 205 de buses de projection de divers produits liquides, notamment de pénétrant puis de révélateur de ressuage, monté sur le tronçon central 199 et chevauchant le plan 180, pour l'essentiel symétriquement par rapport à celui, - des moyens 206 de marquage localisé d'un point choisi de la face 2, portés par le tronçon arrière 201 à proximité immédiate de son raccordement au tronçon central 199, - des moyens 207 de téléobservation, associés à l'écran 170 et aux moyens d'enregistrement 171.
Les moyens 204 de nettoyage, le groupe 205 de buses, les moyens 206 de marquage et les moyens 207 de téléobservation sont constitués et agencés d'une façon qui va être décrite à présent.
Les moyens 204 de nettoyage sont illustrés plus particulièrement aux figures 26 à 28, d'où il ressort qu'ils sont raccordés au tronçon 200 de la potence 197 par l'intermédiaire d'un support rigide 208 réglable par rapport au tronçon 200 de la potence 197 suivant une direction 209 radiale en référence à l'axe 3, par exemple par l'intermédiaire de glissières 210 orientées dans cette direction 209 et assurant un guidage à la translation relative suivant cette direction 209, d'un système d'encliquetage élastique 211 dans plusieurs positions relatives prédéterminées, radialement en référence à l'axe 3, en fonction notamment du diamètre de la face 2, et d'une manette 212 de serrage mutuel perpendiculairement à la direction 209, pour assurer une immobilisation ferme mais amovible du support 208 suivant la direction 209 par rapport au tronçon 200 de la potence 197 dans la position relative choisie. Le système d'encliquetage élastique 211 est d'un type connu, mettant en oeuvre une bille portée par la potence et sofficitée élastiquement vers le support 208, et une pluralité d'encoches aménagées dans ce dernier, suivant un alignement de direction 209, pour recevoir sélectivement la bille.
Le support 208 forme ainsi, suivant la direction 209, une saillie plus ou moins prononcée par rapport au tronçon 200 de la traverse 197, vers l'axe 3 et la face 2, sans toutefois entrer en contact avec cette dernière, vers laquelle il présente une extrémité libre 213 par laquelle il porte de façon solidaire un tourillon 214 d'axe 215 parallèle à l'axe 3. Sur le tourillon 214 est monté, au pivotement autour de l'axe 215 par rapport au support 8, un bras 216 rectiligne, rigide, portant lui-meme en porte-à-faux par rapport à l'axe 215 une brosse rotative 217, approximativement cylindrique de révolution autour d'un axe 218 autour duquel elle est montée à la rotation par rapport au bras 216.La brosse 217 est enfermée de toute part, sauf vers la face 2, c'est-à-dire dans le sens d'un rapprochement Msà-vis de l'axe 3, par un carter 219 lui-meme solidaire du bras 216.
Ce dernier porte en outre de façon solidaire, en retrait par rapport à la brosse 217 dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, un moteur électrique 220 d'entrainement de cette brosse 217 à la rotation autour de l'axe 218 par rapport au bras 216, de façon télécommandée à partir du clavier 168 auquel ce moteur 220 est raccordé par un cabre de la nappe 169, ainsi qu'un embout rigide 221 d'évacuation des résidus de brossage, raccordé au carter 219 de façon rigide, et recevant une conduite souple 222 de raccordement à des moyens aspirateurs 223 avantageusement montés sur le module 87 et télécommandés eux aussi à partir du clavier 168, par l'intermédiaire d'un cible de la nappe 169.
Par pivotement commandé du bras 216 autour de l'axe 215 par rapport au support 209, la brosse 217 peut être escamotée par rapport à la face 2, dans le sens d'un éloignement vis-à-vis de l'axe 3, afin de ne pas entrer en contact avec cette face 2, ou bien etre amenée en contact avec cette face par un mouvement de rapprochement vis-à-vis de l'axe 3, avec entrainement en rotation autour de l'axe 218 et aspiration, pour nettoyer une zone localisée de la face 2. Comme le montre la figure 16, le carter 219, pour l'essentiel rigide, présente de préférence autour de la zone de la brosse 217 la plus proche de l'axe 3 la forme d'un rideau de touffes de poils qui s'appliquent sur la face 2 ou s'en écartent avec la brosse 217, pour fermer le carter 219 sur la face 2 pendant le brossage et l'aspiration.
Pour commander ces mouvements de rapprochement et d'éloignement vis-à-vis de l'axe 3 et de la face 2, le support 208 porte de façon solidaire, entre le tronçon 200 de la potence 197 et le tourillon 214, le corps 224 d'un vérin pneumatique 225 télécommandé à partir du clavier 168, en fluide sous pression provenant par exemple des moyens pneumatiques 40 et acheminé par une conduite souple intégrée à la nappe 169, pour provoquer la rentrée et la sortie d'une tige de vérin 226, suivant un axe 227 parallèle au plan 8 et approximativement perpendiculaire à tout plan 228 passant par les axes 3 et 218, dans les limites du débattement de cet axe 218 au pivotement autour de l'axe 215 correspondant aux conditions normales d'utilisation de la brosse 217.
Le corps 224 et la tige 226 du vérin 225 sont placés respectivement en regard de la brosse 217 et en regard du tourillon 214, suivant une direction respective radiale en référence à l'axe 3, plus loin de ce dernier que la brosse 217 et le tourillon 214 respectivement, et le bras 216 présente en regard de la tige 226 suivant l'axe 227, à l'opposé du corps 224, un retour rigide 228 vis-à-vis duquel la tige 226 respecte un jeu 229, suivant l'axe 227, lorsqu'elle est rentrée au maximum dans le corps 224, ce qui correspond à la position de brossage, c'est-à-dire de contact de la brosse 217 et des touffes de poils du carter 219 avec la face 2 ; ce contact est assuré par exemple par des moyens de sollicitation élastique du bras 216 au pivotement autour de l'axe 215 par rapport au tourillon 214, dans un sens 330 correspondant au rapprochement de l'axe 218 vis-à-vis de l'axe 3, de façon non détaillée mais aisément concevable par un Homme du métier.
Lorsqu'on provoque, de façon commandée, la sortie de la tige 226 du vérin 225, celle-ci franchit en premier lieu le jeu 229 puis vient au contact du retour 228 et, en appliquant à ce dernier une poussée, provoque coercitivement la rotation du bras 216 autour de l'axe 215, par rapport au tourillon 214, en sens opposé au sens 330 en rompant le contact de la brosse 217 et des touffes de poils du carter 219 avec la face 2 et en contraignant les moyens de sollicitation élastique précités.
On remarquera qu'en déplaçant de façon commandée le chariot 182 parallèlement à l'axe 3, par rapport au module 88, on peut effectuer au moyen de la brosse 217 un brossage de la face 2 sur une dimension longitudinale largement supérieure à la dimension longitudinale propre de la brosse 217, comme on l'a schématisé à la figure 27 où une position longitudinale de la brosse 217, par ailleurs en position de brossage de la face 2, a été illustrée en trait plein et une autre de ses positions en trait mixte, avec figuration des positions correspondantes de la potence également respectivement en trait plein et en trait mixte.
Comme le montrent plus particulièrement les figures 3 et 28, les moyens 204 de nettoyage comportent en outre, montée à demeure sur l'embout rigide 221, une buse 230 de projection d'un liquide dégraissant vers la face 2, et plus précisément immédiatement en avant de la brosse 217, de façon commandée au moyen du clavier 168. L'alimentation de la buse 222 s'effectue par l'intermédiaire d'un conduit souple 231 raccordé à des moyens d'alimentation en dégraissant qui peuvent être embarqués sur le module 87 et télécommandés au moyen d'un câble de la nappe 169, ou encore etre prévus dans une position fixe par rapport au corps 4, comme on l'a schématisé en 232 à la figure 1, auquel cas la conduite souple 231 est intégrée à la nappe 169.
L'ensemble des autres buses du dispositif constitue le groupe 205 qui
Va etre décrit à présent, plus particulièrement en référence aux figures 18 à 25, d'où il ressort notamment que ce groupe de buses est porté par un support rigide commun 233 en tout point comparable au support 208 des moyens 204 de nettoyage, quant à son montage sur la potence 197, et plus précisément sur le tronçon central 199 de celle-ci, avec guidage au coulissement relatif suivant une direction 234 radiale en référence à l'axe 3, par un dispositif à glissière 235, possibilité d'encliquetage élastique par des moyens appropriés 236 dans un certain nombre de positions relatives prédéterminées, suivant la direction 234, et possibilité d'immobilisation ferme à volonté, au moyen d'une manette indexable 237 de serrage mutuel, dans l'une de ces positions, sélectionnée en fonction du diamètre de la face 2.Le support 233 est localisé entre le tronçon central 199 de la potence 197 et cette face 2, toutefois sans contact avec cette dernière mais porte de façon solidaire une jupe 238 formant déflecteur, tournée vers la face 2 et parvenant jusqu'à proximité de cette dernière quel que soit le réglage du support 233 en direction radiale par rapport au tronçon 199 de la potence 197. Cette jupe 238 entoure le groupe de buses 205 proprement dit afin de circonscrire la projection de liquide, par chacune d'entre elles, vers la face 2 et de recueillir le cas échéant le liquide en excédent, dans certaines configurations de travail.
Lorsqu'il est vu suivant une direction radiale en référence à l'axe 3, comme c'est le cas à la figure 20, le support 233 présente la forme d'une chape symétrique par rapport au plan 180, ouverte dans le sens longitudinal d'un éloignement vis-à-vis de la potence 235 et du rail 5 et portant intérieurement, par l'intermédiaire de tourillons 239 de même axe 240 perpendiculaire au plan 180, une platine porte-buses 241, rigide, ainsi susceptible de pivoter autour de l'axe 240 par rapport au support 233, et d'occuper par un tel pivotement plusieurs orientations relatives prédéterminées par encliquetage élastique mutuel, par l'intermédiaire de moyens 243 connus en eux-mêmes, avec possibilité d'immobilisation ferme mais amovible par serrage mutuel au moyen d'une poignée indexable 242, de façon également aisément concevable par un Homme du métier.
La platine porte-buses 241 porte de façon solidaire le groupe de buses 205, lequel comporte dans l'exemple illustré cinq buses 244, 245, 246, 247, 248, se succédant dans cet ordre d'avant en arrière, en référence au sens 19 &
Suivant un même plan 249 parallèle à l'axe 240 et susceptible d'être orienté, par pivotement de la platine 241 autour de cet axe 240 à l'intérieur du support 233, soit perpendiculairement à l'axe 3, soit obliquement par rapport à ce dernier comme on l'a illustré à la figure 18, en fonction de la zone de la face 2 à atteindre par les projections de liquide, les buses 244, 245, 246, 247, 248 présentent un axe respectif 250, 251, 252, 253, 254, ces axes étant mutuellement parallèles et ainsi orientés à I'unisson, par orientation du plan 249,
lorsqu'on règle la position angulaire de la platine 241 autour de l'axe 240 à l'intérieur du support 233. Ces axes 250 à 254 définissent des directions moyennes respectives de projection de liquide ou d'air, respectivement, par les différentes buses, vers la face 2. On observera que la position de ces axes, c'est-à-dire celle du plan 249, parallèlement à l'axe 3 peut etre télécommandée par déplacement commandé du chariot 182 par rapport au module 88, à partir du clavier 168, comme c'est le cas de la position longitudinale des moyens 204 de nettoyage et de celle des moyens de marquage 206 et des moyens de téléobservation 207 également portés par la potence 197.
Les buses 245 et 247, destinées respectivement à la projection d'un liquide dégraissant et à la projection d'eau de lavage, présentent une conception identique, illustrée à la figure 23 en ce qui concerne la buse 245. Celle-ci est raccordée, dans les memes conditions que la buse 230 décrite en référence à la figure 28, à une source de dégraissant sous pression 232 à partir de laquelle elle est alimentée en dégraissant, de façon commandée par le clavier 168, par l'intermédiaire d'une conduite souple 354 intégrée à la nappe 169 ; elle comporte en outre un dispositif de purge pneumatique 255 également commandé à partir du clavier 168, et alimenté par l'intermédiaire d'un conduit souple 256 intégré à la nappe 169, à partir des moyens pneumatiques 40.La buse 247, également munie d'un dispositif de purge pneumatique 257 alimenté par conduit souple, non référencé, intégré à la nappe 169 à partir des moyens pneumatiques 40, sous la commande du clavier 168, est alimentée en eau de lavage sous pression, en provenance d'une source appropriée 258, sous la commande du clavier 168, par l'intermédiaire d'un conduit souple 259 également intégré à la nappe 169.
La buse 248, destinée à la projection de liquide pénétrant dit 'rouge' présente une conception voisine de celle des buses 245 et 247 et, comme celle-ci, comporte un dispositif de purge pneumatique 259 raccordé par un conduit souple 260, intégré à la nappe 169, aux moyens pneumatiques 40 et alimenté à partir de ces derniers de façon commandée par le clavier 168.Elle est raccordée par un conduit souple 261 à l'embout de sortie 177 de la bonbonne 172 portée par le module 87
La buse 248, plus particulièrement visible à la figure 25, est pratiquement identique aux buses 245 et 247 si ce n'est que son raccordement avec la conduite 261 diffère légèrement, en relation avec la nature du liquide qu'elle est destinée à projeter, du raccordement des buses 245 et 247 avec les conduites souples 254 et 259, respectivement,
La buse 246, également visible aux figures 21 et 22, diffère sensiblement des buses 245, 247, 248 qui viennent d'étire décrites dans la mesure où elle est destinée à la projection d'une émulsion, à savoir le produit révélateur, sur la face 2 à contrôler. A cet effet, elle est alimentée d'une part en produit révélateur, par l'intermédiaire d'une conduite souple 263 se raccordant par ailleurs à l'embout de sortie 178 de la bonbonne 173 de produit révélateur, et d'autre part, par l'intermédiaire d'une conduite souple 264 intégrée à la nappe 169, aux moyens pneumatiques 40, de façon commandée par le clavier 168. L'air ainsi amené par l'intermédiaire de la canalisation 264 sert à l'entralnement du produit révélateur arrivant par la conduite 263, par un système à venturi, de type connu, intégré à la buse 246. Cette dernière est par ailleurs équipée d'un dispositif de purge pneumatique 265, raccordé par une conduite souple 266 de la nappe 169 aux moyens pneumatiques 40, et commandée par le clavier 168.
Les quatre buses 245, 246, 247, 248 qui viennent d'être décrites comportent chacune, au niveau de leur raccordement respectif avec chacune des conduites correspondantes, un clapet anti-retour passant vers la buse; il en est de meme de la buse 23Q
Par contre, on peut se dispenser d'un tel clapet anti-retour sur la buse 244, qui va être décrite à présent, plus particulièrement en référence à la figure 24 d'où il ressort que cette buse, destinée à la projection d'air de sechage de la face 2, est reliée par une conduite souple 267, intégrée à la nappe 169, aux moyens pneumatiques 40 de façon commandée par le clavier 168.
A la différence des buses 245, 246, 247, 248 qui ne forment qu'une faible saillie, vers la face 2, par rapport à la platine porte-buses 241, la buse 244 présente la forme d'un tube d'axe 250 formant une saillie beaucoup plus importante par rapport à la platine porte-buses 241, de façon à parvenir jusqu'à proximité de la face 2, toutefois sans contact avec cette dernière.
Le tube 244 présente ainsi vers la face 2 une extrémité libre 268 par laquelle il se raccorde de façon solidaire à une rampe 269 disposée suivant un plan 370 parallèle au plan 180 et passant par l'axe 250. Si l'on observe la buse 244 dans ce plan 370, ou suivant une direction perpendiculaire à celui-ci comme le montre la figure 24, le tube 270 et la rampe 269 forment un T, la rampe 269 présentant certes une forme légèrement convexe vers la face 2 mais étant pour l'essentiel perpendiculaire à l'axe 250.
Le tube 270 est étanche, de même que la rampe 269 si ce n'est que cette dernière est percée, dans le sens d'un éloignement par rapport à la platine porte-buses 241, c'est-à-dire vers la face 2, d'une pluralité d'ajutages réguliérement répartis, dont on a simplement indiqué les axes 271.
On remarquera que la jupe déflectrice 238 protège des projections de l'un quelconque des produits issus des buses 244 à 248 les moyens de nettoyage préliminaire 204 placés devant, des moyens de marquage 206 et des moyens de téléobservation 207 placés derrière.
Avantageusement, sa paroi est munie au moins dans sa zone la plus proche de la face 2, vers les buses 244 à 248, d'un revêtement 272 propre à absorber les projections des liquides issus des buses 245 à 248, afin d'éviter de souiller la face 2.
Les moyens de marquage 206, portés par le tronçon arrière 201 immédiatement en arrière du groupe de buses 205, vont etre décrits à présent, plus particulièrement en référence à la figure 30.
Ces moyens 206 comportent un support 273 fixé rigidement au tronçon 201 de la potence 197 et formant une saillie par rapport à celle-ci, dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8 et d'un rapprochement par rapport à l'axe 3, suivant une pente de 45- par rapport à l'un et l'autre, jusqu'à une zone d'extrémité libre 274 ainsi tournée vers la face 2.
Dans cette zone d'extrémité libre 274, le support 273 porte une platine orientable 275 disposée suivant un plan moyen 276 incluant l'axe 3 et raccordée au support 273 par des moyens à glissière 277 autorisant un mouvement de rapprochement ou d'éloignement radial en référence à l'axe 3 ainsi qu'un basculement de la platine 275 suivant le plan 276, avec encliquetage mutuel de la platine 275 et du support 273, par des moyens 278 connus d'un Homme du métier, dans plusieurs positions relatives prédéterminées d'une part en éloignement vis-à-vis de l'axe 3 et d'autre part en orientation suivant le plan 276, et possibilité d'immobilisation énergique, amovible à volonté, au moyen d'une manette 279 de serrage mutuel, selon une disposition également connue d'un Homme du métier.
A cet effet, les moyens formant glissière 277 présentent la forme d'un Y, lorsqu'ils sont vus suivant une direction circonférentielle, avec une branche rectiligne principale, perpendiculaire à l'axe 3, en vue des réglages dans le sens d'un éloignement ou d'un rapprochement par rapport à celui, et une branche secondaire également rectiligne, se raccordant en oblique à la branche principale, et la platine orientable 275 reçoit, au vissage suivant un axe 281 perpendiculaire au plan 276, une tige filetée traversant les moyens formant glissière 277 de part en part suivant cet axe 281 et portant à l'opposé des moyens formant glissière 277 par rapport à la platine 275 la manette de serrage 279.La platine orientable 275 porte de façon solidaire deux glissières rectilignes 282 mutuellement parallèles, parallèles au plan 8 et sensiblement radiales en référence à l'axe 3 lorsque la platine 275 est orientée perpendiculairement à celui-ci.
Par l'intermédiaire des glissières 282, la platine orientable 275 porte un curseur 283 susceptible d'etre réglé en écartement vis-à-vis de l'axe 3, par coulissement sur les glissières 282, et immobilisé dans toute position réglée sur cellefrd par tout moyen approprié, et par exemple par serrage mutueL
La position du curseur 283 peut ainsi être réglée en fonction du diamètre de la face 2, pour un rail S déterminer.
En outre, le curseur 283 porte lui-meme une glissière 284 orientée parallèlement aux glissières 282, un marqueur 285 par exemple à encre, présentant vers la face 2 une pointe 286 qu'un coulissement commandé du marqueur 285 le long de la glissière 284 permet de rapprocher de la face 2 jusqu'à venir au contact de cette dernière pour y effectuer un marquage, ou d'écarter de cette face 2 dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3. Le marqueur 285 présente un axe 287, suivant lequel est disposé la pointe 286, et qui est orienté parallèlement au plan 276 et, lorsque la platine 275 est orientée perpendiculairement à l'axe 3, également radialement en référence à cet axe 3.Par inclinaison de la platine 275 par rapport à l'axe 3, comme on l'a illustré à la figure 30, on peut également orienter l'axe 287 du marqueur 285 obliquement par rapport à cet axe, de telle sorte que la pointe 286 soit tournée dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8 et d'un rapprochement par rapport à l'axe 3.
Les mouvements de coulissement du marqueur 285 le long de la glissière 284 sont provoqués par un vérin 288 alimenté par les moyens pneumatiques 40, par l'intermédiaire d'une conduite souple non représentée intégrée à la nappe 169, de façon commandée par le clavier 168.
On remarquera que les mouvements conjugués de déplacement du chariot 86 le long du rail 5 et de déplacement de la potence 197 parallèlement à l'axe 5, par rapport au module 88, alors que la pointe 286 du marqueur 285 est au contact de la surface 2 permettent non seulement de marquer des points déterminés de celle-ci mais également d'y dessiner, par exemple pour entourer l'emplacement d'une microfissure détectée lors du ressuage, par l'observation de l'écran 170 de visualisation des images obtenues par l'intermédiaire des moyens de téléobservation 207, comportant notamment une caméra de télévision raccordée par des câbles souples, intégrés à la nappe 169, à l'écran 170 et aux moyens d'enregistrement 171 qui permettent à un opérateur d'associer aux informations télévisuelles ainsi obtenues des annotations relatives au type de défaut constaté par ressuage, les coordonnées de ce défaut étant communiquées automatiquement aux moyens d'enregistrement 171, par
I'intermédiaire de câbles intégrés à la nappe 169, à partir de codeurs intégrés respectivement au moteur 165 d'entrainement du chariot 86 et au moteur 183 d'entraînement du chariot 182.
Les moyens de téléobservation 207, fixés à l'extrémité arrière 203 du tronçon arrière 201 de la potence 197 vont être décrits à présent plus particulièrement en référence à la figure 29. Ces moyens 207 comportent un support 289 monté sur l'extrémité 203 par l'intermédiaire de glissières 290 parallèles à l'axe 3 et permettant ainsi de régler le support 189 parallèlement à cet axe par rapport à la potence 197. Une immobilisation relative à cet égard peut être assurée au moyen d'une manette de serrage mutuel 291, dans les conditions décrites à propos des autres moyens de contrôle par ressuage, portés par la potence 197.
Le support 289 porte lui-meme une caméra de télévision 292 présentant un objectif 293 tourné vers l'axe 3 et la face 2, suivant un axe 294, et protégé lorsqu'il n'est pas en service par un couvercle 295 évitant notamment sa souillure par les différents produits projetés par les buses précédemment décrites.
La caméra 292 peut être orientée par rapport au support 289 de telle sorte que l'axe 294, tout en restant placé dans un plan incluant l'axe 3, puisse être orienté perpendiculairement à celui-ci ou, comme on l'a illustré à la figure 29, obliquement par rapport à cet axe, l'objectif 293 étant alors tourné dans le sens d'un éloignement par rapport au plan 8.
A cet effet, la caméra 292 est montée au pivotement sur le support 289 autour d'un axe 296 parallèle au plan 8 et perpendiculaire au plan précité incluant l'axe 3 et l'axe 294, et elle peut être immobilisée à l'encontre d'un pivotement autour de cet axe 296, dans toute orientation relative voulue, par rapport au support 289, par des moyens appropriés tels qu'une manette de serrage mutuel dont on n'a illustré que la tige filetée 297 formant tourillon autour de l'axe 296 en vue du montage de la caméra 292 sur le support 289 et qui peut être en tout point analogue à la manette de serrage mutuel 291.
Outre la caméra 292, les moyens de téléobservation 207 portent, de façon solidaire de celle-ci, des moyens d'éclairage associés à l'objectif 293.
L'ensemble formé par le module 88, la potence 197 qu'il porte et les composants portés par cette potence 197, de même que la jonction du module 88 avec le module 87 par l'intermédiaire de l'attelage 164 est enveloppé, dans le sens d'un éloignement par rapport à l'axe 3, par une goulotte 298 d'enroulement de la nappe 169 de câbles et conduites souples dans certaines positions angulaires du chariot 86 autour du rail S. Au niveau du module 87, le guidage et l'appui éventuel de la nappe 169 vers l'axe 3 peuvent être assurés par les bonbonnes 172, 173 et l'aspirateur 223.
De préférence, la goulotte 298 est solidarisée avec le module 88 par des moyens autorisant un montage et un démontage faciles, par exemple par clipsage élastique, et elle est fixe notamment longitudinalement par rapport au module 88, c'est-à-dire par rapport au rail S.
L'utilisation du chariot 86 et des différents composants qu'il porte pour réaliser le contrôle, par ressuage, de la soudure 64, supposée annulaire de révolution autour de l'axe 3, va être décrite à présent.
On supposera qu'initialement, le rail S a été mis en place et immobilisé dans une position coaxiale par rapport à la face 2, d'une part, et dans une position longitudinalement définie en référence à la soudure 64, grâce à l'utilisation de la pige 41, ensuite escamotée, ou 65, ensuite démontée, que les deux modules 87 et 88 du chariot 86 ont été accrochés sur le rail S et attelés entre eux par l'intermédiaire de l'attelage 164, que la goulotte 298 a été mise en place, les bonbonnes 72 et 73 emplies du produit respectivement correspondant, de même que les réservoirs 232 et 258 et que, alors que la potence 197 occupe une position longitudinale intermédiaire entre ses positions limites par commande appropriée du chariot 182, la brosse 217, les buses 230, 244 à 248, le marqueur 285 et l'ensemble objectif - éclairage de la caméra 292 sont tournés vers cette soudure, par un réglage approprié en distance radiale vis-à-vis de l'axe 3 et en orientation sur la potence 197. Grâce à l'entralnement du chariot 86 par coopération avec la crémaillère 16 du rail S, on peut définir avec précision une position angulaire initiale, de référence, du chariot 6 et de l'ensemble des composants qu'il porte par rapport à la face 2. La brosse et la pointe du marqueur sont initialement espacées de celle-ci.
On notera en premier lieu que le contrôle par ressuage, au moyen du dispositif qui vient d'etre décrit, peut concerner l'ensemble d'une zone annulaire de la face 2, comme ne concerner qu'un secteur d'une telle zone, sous la commande du clavier 168.
Un cycle de contrôle comporte par exemple la succession d'étapes suivantes, dont chacune peut s'effectuer au fur et à mesure de la circulation du chariot 86 le long du rail 5 et s'accompagner d'un mouvement de va-et-vient de la potence 197, et des divers moyens qu'elle porte, par va-et-vient longitudinal commandé du chariot 182 par rapport au module 88: - brossage: à cet effet, la brosse 217 est mise en rotation puis, au moyen du vérin 225, on la laisse venir au contact de la surface 2 en évacuant les poussières par l'intermédiaire de la conduite souple 222 et de l'aspirateur 223 convenablement mis en service ; avantageusement, ce brossage s'accompagne d'une projection de liquide dégraissant au moyen de la buse 230; - en complément ou en remplacement de cette projection de liquide de dégraissage au moyen de la buse 230, projection d'un tel liquide au moyen de la buse 245; - lavage du liquide dégraissant par projection d'eau au moyen de la buse 247, et séchage par projection d'air au moyen de la buse 270; - application de produit pénétrant par pulvérisation au moyen de la buse 248; - lavage du produit pénétrant, à l'eau, par projection au moyen de la buse 247 puis séchage par de l'air projeté par la buse 244;; - application de produit révélateur, par projection au moyen de la buse 246; - visualisation sur l'écran 170 et enregistrement vidéo par les moyens 171, par utilisation de la caméra 292 dont on dégage alors l'objectif 293 et les moyens d'éclairage, avec possibilité pour l'opérateur d'enregistrer au moyen du clavier 168, en outre, des informations telles que des marques ou coordonnées lorsqu'il repère une indication potentielle sur la face 2 ; ces marques seront utilisées ultérieurement pour repositionner la caméra à l'emplacement de la détection et suivre l'évolution du ressuage; - caractérisation des indications, c'est-à-dire dimensionnement, qui peut se faire soit en temps réel, auquel cas une indication est repérée, dimensionnée, typée par l'examen de l'image renvoyée par la caméra, directement sur l'écran 170, soit en temps différé, auquel cas ces opérations s'effectuent par examen de l'enregistrement vidéo effectué par les moyens 171; - retour du chariot 86 à une position repérée par une marque, précédemment, afin d'observer la zone localisée correspondante au moyen de la caméra et d'enregistrer éventuellement des informations complémentaires sur les moyens 171;; - nettoyage de la face 2, par pulvérisation d'eau et/ou de dégraissant au moyen des buses correspondantes 247,245 du groupe de buses 205.
Toutes les opérations précitées peuvent etre effectuées manuellement, par commande au niveau du clavier 168, ou etre télécommandées en fonction d'un programme enregistré dans les moyens 17L
Après le nettoyage final de la face 2, on peut effectuer sur celle-ci le marquage des microfissures ou porosités révélées par le ressuage, en ramenant le chariot 86 dans la position angulaire appropriée le long du rail S, dament enregistrée dans les moyens 171, en réglant la position du marqueur 285 longitudinalement, par déplacement approprié de la potence 197, et par mouvement du marqueur vers la face 2 jusqu'à ce que sa pointe 286 vienne au contact de cette dernière, avec possibilité de combiner des mowements de la potence et du chariot pour effectuer un marquage sous une forme quelconque.Ce marquage permet ensuite de faciliter considérablement les interventions de maintenance ou de réparation nécessitées par la présence de microfissures ou de pores.
En outre, les informations enregistrées dans les moyens 171 pewent être éditées.
On remarquera que les diverses opérations qui viennent d'etre décrites peuvent s'effectuer particulièrement rapidement, dans des conditions parfaitement déterminées par la position elle-meme parfaitement déterminée des différents composants portés par le chariot 86, vis-à-vis de la face 2 à contrôler, et qu'il est possible de pratiquer une téléobservation pratiquement en continu de l'évolution du ressuage, par déplacement continu ou pratiquement continu du chariot 86 le long du rail 5 après l'application du produit révélateur, avec exploitation immédiate ou différée par informatique, en obtenant ainsi par observation pratiquement continue du ressuage des informations beaucoup plus complètes que lorsque l'on met en oeuvre le ressuage par les moyens antérieurement connus.
Naturellement, un Homme du métier comprendra que le mode de mise en oeuvre de l'invention qui vient d'etre décrit ne constitue qu'un exemple non limitatif, par rapport auquel on pourra prévoir de nombreuses variantes sans sortir pour autant du cadre de la présente invention.

Claims (18)

REVENDICATIONS
1. Dispositif de contrôle, par ressuage, d'une zone annulaire (64), transversale, d'une face périphérique (2) d'un corps (4) longitudinal, caractérisé en ce qu'il comporte: - un rail annulaire (S), solidaire ou susceptible d'être rendu solidaire de ladite face périphérique (2), dans une position transversale décalée longitudinalement par rapport à ladite zone annulaire (64), - un chariot (87, 87, 88) monté ou susceptible d'etre monté sur le rail (S) et guidé le long de celui-ci pour parcourir une trajectoire transversale déterminée autour de ladite face périphérique (2), - des matériels embarqués (204 à 207), portés par le chariot (86, 87, 88) et comportant::
* une buse (248) de projection d'un produit pénétrant, susceptible d'être dirigée vers ladite zone (64),
* une buse (247) de projection d'un produit de lavage du produit pénétrant, susceptible d'etre dirigée vers ladite zone (64),
* des moyens (244) de séchage du produit de lavage, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone (64),
* une buse (246) de projection d'un produit révélateur d'un ressuage de produit pénétrant, susceptible d'être dirigée vers ladite zone (64),
* des moyens (207) de téléobservation, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone (64), - des moyens (172, 173, 258) d'alimentation desdites buses (241 à 248) respectivement en produit pénétrant, en produit de lavage et en produit révélateur, - des moyens (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) de télécommande pour provoquer des parcours successifs de ladite trajectoire par le chariot (86, 87, 88) et, lors de parcours successifs, respectivement, provoquer sur ladite zone annulaire (64) une projection de produit pénétrant, une projection de produit de lavage, un séchage, une projection de liquide révélateur et l'observation de ladite zone (64) par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207).
2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (171) d'enregistrement télévisuel de l'observation de ladite zone (64) par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207).
3. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 et 2, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (171) d'enregistrement de la position d'un point choisi, lors de l'observation de ladite zone (64) par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207), et d'informations au sujet de ce point, et des moyens (168) d'entrée de telles informations dans les moyens d'enregistrement (171).
4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les matériels embarqués (204 à 207) comportent des moyens (206) de marquage localisé, susceptibles d'etre dirigés vers un point choisi de ladite zone (64) pour le marquer, et en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 ) 170, 183 à 185) sont propres à provoquer de façon commandée à volonté le marquage d'un point choisi de ladite zone (64) après l'observation de celle-ci par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207).
5. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) comportent des moyens moteurs embarqués (165), portés par le chariot (86, 87, 88), pour assurer l'entraînement de celui-ci le long du rail (5).
6. Dispositif selon la revendication 5, caractérisé en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) comportent une crémaillère (17) annulaire, solidaire du rail (5) et longeant celuii, pour coopérer avec lesdits moyens moteurs embarqués (165).
7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que le rail (5) est continu, pour autoriser une trajectoire fermée du chariot (86, 87, 88).
8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que les moyens d'alimentation (172, 173, 258) comportent des moyens embarqués (172, 173) de stockage de produit pénétrant et de produit révélateur, portés par le chariot (86, 87, 88).
9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 8, caractérise en ce que le chariot (86, 87, 88) comporte un guide (298) d'enroulement d'une nappe (169) de cibles et/ou conduits souples.
10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce que les matériels embarqués (204 à 207) comportent des moyens (204, 245) de nettoyage préliminaire, susceptibles d'etre dirigés vers ladite zone (64), et en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) sont propres à provoquer le nettoyage de ladite zone (64) par les moyens (204) de nettoyage préliminaire lors d'un parcours de ladite trajectoire par le chariot (86, 87, 88) précédant le parcours de projection de liquide pénétrant.
11. Dispositif selon la revendication 10, caractérisé en ce que les moyens (204) de nettoyage préliminaire comportent une buse (230, 245) de projection de liquide dégraissant et en ce que sont prévus des moyens (232) d'alimentation de cette buse (230) en liquide dégraissant.
li Dispositif selon l'une quelconque des revendications 10 et 11, caractérisé en ce que les moyens (204) de nettoyage préliminaire comportent des moyens escamotables de brossage (217).
13. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, caractérisé en ce que les matériels embarqués (204 à 207) comportent des moyens (204, 245) de nettoyage final, susceptibles d'être dirigés vers ladite zone (64), et en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) sont propres à provoquer le nettoyage de ladite zone (64) par les moyens de nettoyage final (204, 245) lors d'un parcours final de ladite trajectoire par le chariot (86, 87, 88), suivant le parcours de pulvérisation de liquide révélateur et l'observation de ladite zone (64) par l'intermédiaire des moyens de téléobservation (207).
14. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, caractérisé en ce que le chariot (86, 87, 88) est constitué de plusieurs modules (87, 88) dont chacun est monté ou susceptible d'être monté sur le rail (S) et guidé le long de celui-ci pour parcourir ladite trajectoire et qui sont attelés entre eux, chacun des modules (87, 88) portant certains desdits matériels et moyens embarqués (165, 172,173,204 à 207).
15. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens (179 à 185, 187 à 197, 210 à 212, 235 à 242, 273 à 284, 288 à 291, 296, 297) de réglage de la position des matériels embarqués (204 à 207) par rapport au chariot (86, 87, 88) en direction longitudinale et/ou transversale et/ou orientation.
16. Dispositif selon la revendication 15, caractérisé en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) sont propres à provoquer un réglage de la position des matériels embarqués (204 à 207) par rapport au chariot (86, 87, 88) en direction longitudinale.
17. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 15 et 16, caractérisé en ce que les moyens (179 à 185, 187 à 197,210 à 212, 235 à 242, 273 à 284, 288 à 291, 296, 297) de réglage de la position des matériels embarqués (204 à 207) par rapport au chariot (86, 87, 88) comportent une potence (197) portée par le chariot (86, 87, 88), réglable en direction longitudinale par rapport à lui et portant les matériels embarqués (204 à 207).
18. Dispositif selon la revendication 17, caractérisé en ce que les moyens de télécommande (17, 165, 168 à 170, 183 à 185) sont propres à provoquer un réglage de la position de la potence (197) par rapport au chariot (86, 87, 88) en direction longitudinale.
19. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 17 et 18, caractérisé en ce que les moyens (179 à 185, 187 à 197, 210 à 212, 235 à 242, 273 à 284, 288 à 291, 296, 297) de réglage de la position des matériels embarqués (204 à 207) par rapport au chariot (86, 87, 88) comportent des moyens (210 à 212,235 à 242, 273 à 284,288 à 291, 296,297) de raccordent des matériels embarqués à la potence (197).
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