FR2643321A1 - Dispositif d'entrainement debrayable pour transporteur du type aerien suspendu ou rampant - Google Patents

Abstract

Le transporteur comporte deux éléments parallèles fixes de guidage 9, 10 le long desquels sont guidés des galets fous 7, 8 équipant un chariot porteur 1 coopérant avec un dispositif d'entraînement par chaîne 18. Suivant l'invention, le dispositif d'entraînement comporte une pluralité de chaînes sans fin motorisées 18 alignées parallèlement aux éléments de guidage 9, 10 et en prise avec au moins un pignon d'attelage 32, 33 monté tournant autour d'un axe 35, 53 du chariot et relié à une partie fixe dudit chariot par un moyen de friction 44 dont la résistance est supérieure au seuil à partir duquel la transmission du mouvement au chariot chargé s'effectue sans glissement.

Description

Dispositif dWenL,-ainement delxrayable pour transporteur du type aérien suspendu ou rampant.

La présente invention concerne un transporteur du type aérien suspendu ou rampant, qui, durant sa circulation, peut s'arrêter à poste fixe ou en accumulation.

Le brevet allemand n0 59.651 décrit un dispositif permettant de transférer une charge entre deux voies aériennes. Ce dispositif comporte un chariot constitué par deux éléments de rails faisant corps chacun avec deux chandelles munies en tête de paliers qui supportent un essieu dont les roues reposent sur des profilés de guidage s'étendant orthogonalement aux éléments de rails ; par ailleurs, les paliers sont reliés, parallèlement aux profilés de guidage, par des crémaillères engrenant avec des pignons calés sur un arbre à situation fixe, commandé en rotation par une chaîne pendante. En agissant sur celle-ci, les pignons provoquent la translation des crémaillères et ainsi des éléments de rails pour les amener sélectivement en regard de l'une des deux voies ou de l'autre.

Ce dispositif connu ne permet pas de déplacer indépendamment des chariots sur la même voie, de façon que chacun d'eux puisse être immobilisé, sans que le moyen d'entraînement commun interrompe son mouvement, soit à un poste d'arrêt fixe, soit en accumulation contre le chariot précédent.

Le brevet US nO 2.761.544 concerne un transporteur dont un élément mobile présente une tige descendante interposée entre deux chaînes sans fin s'étendant dans un plan horizontal commun, les maillons de l'une de ces chaînes comportant des doigts saillants destinés à prendre en charge la tige et à l'entraîner en translation.

Comme le dispositif précédent, il n'est pas prévu de déplacer par la même chaîne plusieurs mobiles indépendamment l'un de l'autre et d'immobiliser chacun d'eux sans interrompre le mouvement de certains au moins des autres.

La présente invention se propose d'atteindre ce but en prévoyant que l'immobilisation puisse être opérée à poste fixe d'arrêt ou en butée contre le mobile précédent en cas d'accumulation. Bien entendu, ce but doit s'accompagner de la recherche d'une grande robustesse et d'une fiabilité maximale, avec l'obtention d'un faible prix de revient à la construction et à l'installation, laquelle installation doit être simple, facile et rapide à exécuter que ce soit au sol ou en aérien.

Dans ce but, le transporteur comporte, comme ceux qui sont connus, deux éléments parallèles fixes de guidage le long desquels sont guidés des galets fous équipant un chariot porteur coopérant avec un dispositif d'entraînement par chaîne.

Conformément à l'invention, le dispositif d'entraînement comporte une pluralité de chaînes sans fin motorisées, alignées parallèlement aux éléments de guidage et en prise avec au moins un pignon d'attelage monté tournant autour d'un axe du chariot et relié à une partie fixe dudit chariot par un moyen de friction dont la résistance est supérieure au seuil à partir duquel la transmissicn du mouvement au chariot chargé s'effectue sans glissement.

Suivant une forme de réalisation particulièrement avantageuse, le chariot supporte deux pignons à friction engrenant avec une ou deux chaînes, la résistance du pignon antérieur étant plus faible que celle du pignon postérieur.

Chaque pignon d'attelage coopère avec une rondelle de friction pressée contre le pignon considéré par un organe élastique, tel qu'un ressort hélicoîdal, un empilage de rondelles parapluie..., dont la tension est réglée par un écrou vissé sur l'extrémité filetée de l'axe correspondant.

Les axes des deux pignons d'attelage sont montés sur un support relevable articulé sur le chariot par l'intermédiaire d'un axe antérieur et coopérant avec un dispositif de relevage destiné à commander l'arrêt à poste fixe ou en accumulation de ce chariot.

L'axe d'articulation du support relevable sur le chariot est confondu avec l'axe de rotation du pignon antérieur d'entainement à friction faible.

Le dispositif de relevage comporte au moins un tampon antérieur monté sur le chariot, relié à un organe de rappel élastique vers l'avant et susceptible de coopérer avec un organe d'arrêt constitué par l'arrière du chariot précédent lorsqu'il est immobilisé en accumulation ou par une butée escamotable disposée au poste d'arrêt, le tampon faisant corps avec une tige guidée longitudinalement dans le chariot et munie d'un doigt traversant au moins une lumière du support, qui descend vers l'arrière
Divers autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortent d'ailleurs de la description détaillée qui suit
Une forme de réalisation de l'objet de l'invention est représentée, à titre d'exemple non limitatif, sur le dessin annexé.

Sur ce dessin
- la figure 1 est une vue en plan schématique d'un chariot du transporteur conforme à l'invention,
- la figure 2- est une coupe longitudinale prise suivant la ligne II-II de la figure 1,
- la figure 3 est une coupe transversale prise suivant la ligne III-III de la figure 2,
- la figure 4 est une vue agrandie de la figure 3 montrant le montage pivotant du support relevable sur le chariot et le montage à friction faible du pignon d'attelage correspondant.

Ainsi que cela ressort du dessin, le transporteur représenté est du type aérien suspendu.

Il comporte des chariots 1 tous identiques entre eux.

Chaque chariot est constitué par un châssis 2 en forme de caisson ouvert en haut. Le fond 3 de ce châssis fait corps avec une structure descendante 4 dont la base est munie de moyens, non visibles sur le dessin, destinés à supporter la charge à véhiculer.

Les parois longitudinales 5 (figure 3) du châssis 2 sont équipées de deux essieux transversaux extrêmes 6 comportant chacun deux galets fous 7 et 8 destinés à rouler le long d'éléments fixes de guidage 9 et 10 respectivement. Le galet 7 présente des joues latérales 11 pour coiffer un rail 12 fixé sur l'aile inférieure 13 d'un profilé en G constituant l'élément de guidage 9, tandis que le galet 8 est exempt de joues latérales et repose directement sur le chemin de roulement que forme l'aile inférieure 14 d'un profilé en
U constituant l'élément de guidage 10. Les ailes supérieures 15 et 16 des profilés de guidage 9 et 10 respectivement sont suffisamment rapprochées des galets 7 et 8 pour que le chariot 1 soit prisonnier de ces profilés et ne puisse donc pas s'en déboîter.

Dans l'exemple représenté où les chariots 1 sont suspendus, les profilés 9 et 10 sont fixés de place en place sur des consoles aériennes 17 appartenant à l'ossature de l'installation. Par contre, si les chariots circulent au niveau du sol, lesdits profilés sont fixés sur des semelles ancrées dans ledit sol.

Outre les chariots 1 et les éléments de guidage 9, 10, le transporteur comporte des chaînes sans fin 18 motorisées et alignées les unes au bout des autres ; elles s'étendent parallèlement aux éléments de guidage 9, 10 et à proximité dse l'élément 9 profilé en G.

Chaque chaîne 18 est enroulée sur deux roues dentées extrêmes 19 et 20, l'une 19 étant motorisée et l'autre 20 étant folle. Dans l'exemple représenté, les roues 19, 20 sont calées sur des arbres 21 supportés par des paliers 22 fixés sur le rebord descendant 23 du profilé 9 et des pattes 24 faisant corps avec l'âme 25 de celui-ci (figure 3). L'arbre 21 de la roue menante 19 est prolongé au-delà de la patte 24 correspondante et une roue dentée d'entraînement 25 est accouplée à ce prolongement ; les roues 25 de toutes les chaînes 18 sont entraînées à la même vitesse par tout moyen approprié tel qu'une chaîne d'accouplement en prise avec le pignon d'un groupe motoréducteur. Par contre, l'arbre 21 de la roue menée 20 ne dépasse pas de la patte 24 correspondante.

Chaque chariot 1 est muni d'un dispositif d'attelage débrayable 31 devant être en prise permanente avec le brin supérieur 26 de celle des chaînes 18 en regard de laquelle le chariot considéré se trouve situé. Ce dispositif comprend au moins un pignon à friction porté par le chariot 1 et en prise avec le brin de chaîne 26. La friction est réglée pour que le pignon ne tourne pas autour de son axe lorsque le chariot est chargé au maximum et que la chaîne l'entraîne ; par contre, lorsque le chariot est arrêté par un moyen quelconque, le pignon doit pouvoir tourner autour de son axe en faisant patiner la friction.

Dès lors qu'un attelage tournant est établi entre le ou les pignons et les chaînes 18, le brin supérieur 26 de chaque chaîne doit être soutenu de façon rectiligne et à cet effet, les axes ou les rouleaux des maillons de ce brin reposent en défilant sur une règle fixe 27.

Par ailleurs, il peut être avantageux de rapprocher le brin inférieur 28 de chaque chaîne 18 du brin supérieur 26, ce qui confère à celle-ci la forme particulière illustrée par la figure 2.

A cet effet, les. axes ou les rouleaux des maillons du brin inférieur 28 reposent en défilant sur une règle fixe 29.

Les règles 27 et 29 peuvent être formées en saillie et en regard du même coté sur les ailes d'un profilé en U 30, profilé qui est alors fixé sur le rebord descendant 23 de l'élément de guidage 9.

Dans la formé de réalisation représentée sur le dessin, le dispositif d'attelage débrayable 31 comporte deux pignons 32 et 33 montés dans un support relevable 34 en forme de cadre. Le support 34 est articulé sur le chariot 1 par l'intermédiaire d'un axe antérieur 35.

Dans cette forme de réalisation, l'axe d'articulation 35 du support 34 est confondu avec l'axe de rotation du pignon antérieur 32 (figures 1 et 2) et le montage adopté peut être celui qui est illustré par la figure 4.

Dans ce cas, l'axe 35 présente, entre deux tourillons extrêmes 36 et 37, une collerette 38 pour l'appui du pignon 32, deux portées cylindriques étagées 39, 40 et un filetage 41 faisant saillie sur le tourillon 37 à partir de la collerette 38.

Au moins un méplat 42 ou autre moyen de calage angulaire est taillé dans la portée 39. Le pignon 32 est alors monté tournant autour de ladite portée 39, tandis qu'une rondelle pressante 43 dont l'orifice central présente la même section que la portée à méplat 42 est montée coulissante sur celle-ci. Un empilage de rondelles parapluie 44 ou autre organe élastique est enfilé sur la portée 40 et interposé entre la rondelle 43 et une autre rondelle 45 disposée contre un écrou 46 vissé sur le filetage 41 de l'axe.

En vissant cet écrou, les rondelles 44 se trouvent comprimées et exercent une pression sur le pignon 32 entre la collerette 38 et la rondelle 43 pour que la partie traitée sur l'une au moins des surfaces en contact génère par friction une force de freinage dudit pignon. Celui-ci ne tourne alors pas lorsqu'vil est tiré tangentiellement par la chaîne 18 et tourne lorsque le chariot est arrêté, alors que ladite chaîne continue à défiler.

Le tourillon 36 de l'axe 35 est, d'une part, soudé sur la paroi longitudinale 47 du support relevable 34 qu'il traverse et, d'autre part, monté tournant dans un orifice 48 de la paroi longitudinale voisine 5 du châssis 2 du chariot 1. Le tourillon 37 est engagé et goupillé dans un manchon 49 traversant l'autre paroi longitudinale 50 du support relevable 34 , ce manchon étant soudé sur celle-ci et monté tournant dans un orifice 51 d'une ferrure 52 fixée sur le fond 3 du châssis 2 du chariot 1.

Ainsi, l'axe 35 fait corps avec le support relevable 34 et peut tourner relativement au chariot 1.

Le pignon postérieur 33 est monté tournant autour d'un axe 53 constitué et équipé de la même façon que l'axe antérieur 35 pour appliquer une friction réglable sur ledit pignon. Le tourillon extrême 54 de l'axe 53 et soudé sans dépassement dans la paroi 47 du support relevable 34 ; le tourillon extrême 55 de l'axe 53 est engagé et goupillé dans un manchon 56 soudé sans dépassement dans l'autre paroi 50 dudit support relevable 34.

Il est important de remarquer que les écrous 46 des deux pignons sont réglés de façon que la friction du pignon antérieur 32 soit plus faible que celle du pignon postérieur 33. Par ailleurs, la distance "D" des axes des pignons 32 et 33 est au moins égale à la distance "d" des extrémités voisines des brins supérieurs 26 de deux chaînes 18 contigues (figure 2). Dans cas conditions, lorsqu'un chariot 1 franchit l'espace séparant deux chaînes 18 contiguës Figures 2) son pignon antérieur 32 à friction faible échappe à la chaîne arrière, alors que son pignon postérieur. 33 à friction forte reste an prise avec cette chaîne arrière. Puis, le pignon antérieur 32 prend la chaîne avant, alors que le pignon postérieur 33 est toujours en prise avec la chaîne arrière.Enfin, le pignon postérieur 33 échappe à la chaîne arrière mais le pignon antérieur 32 en prise avec la chaîne avant tire le chariot 1.

Le fonctionnement exposé ci-dessus pour le franchissement de l'espace interchaîne n'est possible qu'en raison du maintien en position non relevée (représentée en trait plein sur la figure 2) du support 34.

Si le chariot 1 doit être arrêté, il faut qu'un dispositif de relevage 57 intervienne afin que, le support 34 occupant la position relevée (représentée en trait mixte sur la figure 2), le pignon postérieur 33 cesse d'être en prise avec le brin supérieur 26 de la chaîne correspondante 18.

Le dispositif de relevage 57 peut avantageusement être du type illustré par les figures 1 et 2. I1 comporte un tampon antérieur 58 prolongeant une tige 59 guidée en translation longitudinale à travers une bague 60 de la paroi transversale avant 61 du châssis 2 du chariot 1 et une patte 62 du fond 3 de celui-ci, cette tige traversant une ouverture antérieure 63 du support relevable 34. La tige 59 fait corps avec un doigt transversal 64 (figure 1) traversant des lumières 65 ménagées dans les parois longitudinales 47 et 50 de ce support relevable 34. Les lumières 65 s'étendent en descendant vers l'arrière, de sorte que si le tampon 58 repoussé par son ressort 66 fait saillie à l'extérieur, le doigt 64 de la tige maintient ledit support en position abaissée représentée en trait plein sur la figure 2.Par contre, si le tampon est enfoncé, le doigt 64 en se déplaçant horizontalement dans les lumières 65 inclinées vers le bas et l'arrière, provoque le relevage du support 34 jusqu'à la position relevée représentée en trait mixte sur la figure 2, position dans laquelle le pignon postérieur 33 échappe au brin supérieur 26 de la chaîne 18 correspondante.

Le tampon 58 peut s'enfoncer en rencontrant soit une butée escamotable 67 disposée à chaque poste fixe d'arrêt, soit un butoir 68 placé à l'arrière de chaque chariot 1.

Ainsi, lorsque le tampon 58 est enfoncé, le pignon postérieur 33 à friction forte est escamoté et seul le pignon antérieur 32 à friction faible est en prise avec le brin supérieur 26 d'une chaîne. Ce pignon 32 patine sans dommage du fait que la friction est limitée et le chariot 1 stationne, arrêté mais prêt à repartir ou à suivre le chariot qui le précède.

Bien entendu, une certaine souplesse de fonctionnement pour arrêter chaque chariot et le redémarrer est souhaitable. A cet effet, le fond 3 du chariot supporte un amortisseur 69 dont le poussoir 70 est situé en regard et en alignement de l'extrémité postérieure 71 de la tige 59.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1.- Transporteur, du type aérien suspendu ou rampant, comportant deux éléments parallèles fixes de guidage (9, 10)' le long desquels sont guidés des galet fous (7, 8) équipant un chariot porteur (1) coopérant avec un dispositif d'entraînement par chaîne (18),

caractérisé en ce que la dispositif d'entraînement comporte une pluralité de chaînes sans fin motorisées (18), alignées parallèlement aux éléments de guidage (9, 10) et en prise avec au moins un pignon d'attelage (32, 33) monté tournant autour d'un axe (35, 53) du chariot et relié à une partie fixe dudit chariot par un moyen de friction (44) dont la résistance est supérieure au seuil à partir duquel la transmission du mouvement au chariot chargé s'effectue sans glissement.

2.- Transporteur selon la revendication 1, caractérisé en ce que le chariot supporte deux pignons à friction (32, 33) engrenant avec une ou deux chaînes (18), la résistance du pignon antérieur (32) étant plus faible que celle du pignon postérieur (33).

3.- Transporteur selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que chaque pignon d'attelage (32, 33) coopère avec une rondelle de friction (43) pressée contre le pignon considéré par un organe élastique, tel qu'un ressort hélidoidal, un empilage de rondelles parapluie (44)... dont la tension est réglée par un écrou (46) vissé sur l'extrémité filetée (41) de l'axe correspondant (35, 53).

4.- Transporteur selon la revendication 3, caractérisé en ce que les axes (35, 53) des deux pignons d'attelage (32, 33) sont montés sur un support relevable (34) articulé sur le chariot (1) par l'intermédiaire d'un axe antérieur et coopérant avec un dispositif de relevage (57) destiné à commander l'arrêt à poste fixe ou en accumulation de ce chariot.

5.- Transporteur selon la revendication 4, caractérisé en ce que l'axe d'articulation du support relevable sur le chariot est confondu avec l'axe de rotation (35) du pignon antérieur (32) d'entraînement à friction faible,

6.- Transporteur selon la revendication 4 ou 5, caractérisé en ce que le dispositif de relevage (57) comporte au moins un tampon antérieur (58) monté sur le chariot (1), relié à un organe de rappel élastique vers l'avant (66) et susceptible de coopérer avec un organe d'arrêt constitué par l'arrière (68) du chariot précédent lorsqu'il est immobilisé en accumulation ou par une butée escamotable (67) disposée au poste d'arrêt, le tampon (58) faisant corps avec une tige (59) guidée longitudinalement dans le chariot et munie d'un doigt (64) traversant au moins une lumière (65) du support (34) qui descend vers l'arrière.

7.- Transporteur selon la revendication 6, caactérisé en ce qu'un amortisseur (69) fixé dans le chariot (1) est situé en regard de l'extrémité libre arrière (71) de la tige de tampon (59).

8.- Transporteur selon la revendication 2, caractérisé en ce que chaque chaîne sans fin (18) enveloppe deux roues dentées (19, 20) dont une (19) est motorisée, la distance (D) des axes géométriques des pignons d'attelage (32, 33) portés par le chariot (1) étant au moins égale à la distance minimale (d) des extrémites voisines des brins supérieurs (26) de deux chaînes contiguës (18).

9.- Transporteur selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que chaque chariot (1) comporte deux essieux (6) équipés chacun d'un galet (7) à joues (11) coiffant l'un des éléments de guidage (9,12), ces galets étant maintenus prisonniers par un élément de retenue (15, 16) s'étendant au-dessus et à faible distance desdits galets.

10.- Transporteur selon la revendication 9, caractérisé en ce que le brin supérieur tendu d'entraînement (26) de chaque chaîne (18) s'étend tangentiellement aux roues dentées extrêmes (19, 20) tandis que le brin inférieur de retour (28) est relevé, ces brins étant guidés par des glissières (27, 29) fixées à l'un des éléments de guidage (9).