FR2632579A1 - Ensemble constitue par un siege verrouillable sur un plancher et ses organes de verrouillage - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un ensemble constitué d'un siège verrouillable sur un plancher et de ses organes de verrouillage. Cet ensemble est caractérisé par le fait que le siège comporte un châssis comprenant au moins une entretoise 2 qui est munie à chacune de ses extrémités d'un pène 3 coopérant avec une gâche 4 fixée sur le plancher, ladite entretoise 2 portant des moyens 13 pour dégager simultanément ses deux pènes 3 des gâches correspondantes 4. Application aux sièges de véhicules automobiles.

Description

ENSEMBLE CONSTITUE PAR UN SIEGE VERROUILLABLE SUR UN PLANCHER
ET SES ORGANES DE VERROUILLAGE.

L'invention concerne un ensemble constitué par un siège verrouillable sur un plancher et ses organes de verrouillage, en particulier dans un véhicule automobile.

Actuellement, un siège automobile comprend un châssis comportant deux entretoises transversales et reposant sur le plancher en- quatre points équipés de quatre v.errous, qui s'enclenchent sur des gâches fixées sur le plancher du véhicule, le châssis lui-meme étant indépendant de ces verrous.

De tels dispositifs sont relativement compliqués, et leur temps de montage sur la chaine de production est important, ce qui entraine un coût de production anormalement élevé.

Le but de la présente invention est donc de proposer un dispositif de- verrouillage du genre spécifié ci-avant, qui soit plus simple que les systèmes actuels, en vue de diminuer le temps de montage et les coûts de production.

Selon l'invention, ces buts, et d'autres qui apparaitront par la suite, comme la réalisation d'un système fiable et susceptible de s'adapter à de multiples situations, sont atteints grâce à un dispositif du genre spécifié plus haut qui est caractérisé par le fait que le siège comporte un châssis comprenant au moins une entretoise qui est munie à chacune de ses extrêmités d'un pène coopérant avec une gâche fixée sur le plancher, ladite entretoise portant des moyens pour dégager simultanément ses deux pênes.des gâches correspondantes.

On comprend que, grâce à cette disposition, le système de verrouillage selon l'invention, par comparaison avec les dispositifs connus, se trouve reporté pour l'essentiel sur le châssis du siège, les entretoises qui portent les pênes participant à la rigidité du siège ce qui n'est pas le cas dans les systèmes connus.

Avantageusement, chacun des penes du dispositif selon l'invention est monté sur son entretoise en pouvant coulisser parallèlement à cette dernière entre une position de verrouillage où il pénètre dans la gauche correspondante et une position de libération où il est dégagé de cette guiche.

Selon une forme de réalisation avantageuse, chacun de ces pênes coulisse dans un fourreau solidaire de l'entretoise et fait saillie hors de ce fourreau dans sa position de verrouillage. Ce sont alors les moyens de dégagement spécifiés plus haut qui font coulisser les pènes en question de leur position en saillie hors du fourreau, ou position de verrouillage, vers leur position rétractée dans le fourreau, ou position de libération.

De préférence, un ressort rappelle chacun des pènes du dispositif vers sa position de verrouillage, et un câble, dont une extrémité est solidaire de chaque pêne, est relié a des moyens de traction destinés a tirer le pêne vers sa position de libération à l'encontre de ce ressort. On comprend qu'il suffit alors de tirer sur ce cible, a l'encontre des ressorts précités, pour effacer les deux pênes correspondants dans leur fourreau et déverrouiller le système.

En ce qui concerne les moyens de traction précités, ils peuvent comprendre un tambour traversé par le câble d'actionnement des pênes, ainsi que des moyens pour faire tourner ce tambour autour de son axe.

Selon une variante, ces moyens de traction comprennent au moins deux organes entre lesquels passe le cible et qui peuvent tourner dans leur ensemble autour d'un axe perpendiculaire à la ligne moyenne dudit cible.

Dans les deux cas, la rotation du tambour ou de l'ensemble des organes enserrant le cible a lieu avantageusement grâce au fait qu'ils sont montés A une extrémité d'un pivot coaxial qui traverse l'entretoise précitée et dont l'autre extrémité est solidaire d'un levier de manoeuvre. La mise en rotation de ce levier, par exemple par action sur un organe de préhension constitué d'une oreille, tire les pènes de l'entretoise concernée par l'intermédiaire de leur cible et les amène & se rétracter dans leur fourreau vers leur position de libération ou de déverrouillage.

Selon une autre forme de-réalisation, les moyens de traction agissant sur le câble' comprennent au moins un organe de déplacement transversal d'un point du câble qui peut être une tirette coulissant transversalement munie d'un ergot d'appui pour le câble. En effet, le déplacement transversal d'un point du câble, qui est- par exemple son milieu, entraîne la diminution de la distance entre les extrémités de ce câble qui sont fixées aux pênes, et donc la rétractation de ces derniers dans leurs fourreaux, c'est-A- dire leur passage à leur position de déverrouillage.

En ce qui concerne maintenant les gâches, chacune d'telles comporte, de préférence, au moins deux organes longitudinalement espacés pour l'introduction du pêne correspondant, ce qui permet de choisir entre autant de positions différentes du siège par rapport au plancher qu'il y a d'organes sur les gâches.

Avantageusement, chaque gâche est constituée par une tige qui est recourbée pour former au moins un arceau s'étendant vers le haut pour l'introduction du pêne correspondant. Grâce à cette disposition, la gâche est facile a fabriquer et peu coûteuse, et, en outre, on peut faire tourner le pêne dans sa gâche autour de son axe longitudinal, et donc faire basculer autour de ce pêne le siège dont il est solidaire.

Afin de faciliter ce basculement et d'améliorer le contact entre l'arceau de la gâche et le pène qui s'y introduit, la partie de ce dernier qui fait saillie hors de son fourreau lorsqu'il est en position de verrouillage se présente avantageusement sous la forme d'un bec à section transversale circulaire.

Pour permettre l'introduction du pêne dans l'arceau correspondant depuis le haut, sans qu'il soit nécessaire d'agir sur les organes qui commandent sa rétractation dans son fourreau, l'arceau présente avantageusement, à sa partie supérieure, une zone convexe vers le haut, la partie inferieure du bec précité du pêne étant en biseau pour former une rampe inclinée destinée à glisser sur le haut de l'arceau.

De préférence, le dispositif selon 11 invention comprend deux des entretoises spécifiées ci-avant, respectivement à l'avant et å l'arrière du siège, ce qui permet de faire basculer ce dernier vers l'avant et vers l'arrière.

Avantageusement, chacune de ces entretoises repose sur un carter solidaire du plancher du véhicule avec interposition d'au moins un tampon élastique de rattrapage de Jeu et, selon une forme avantageuse de réalisation, ce tampon est un manchon qui entoure l'entretoise au voisinage de ses extrémités et qui s'appuie sur un rebord ménagé sur le carter en question, légèrement en arrière de chaque organe ou arceau d'introduction du pène correspondant.

La description qui va suivre, et qui ne présente aucun caractère limitatif, permettra de bien comprendre comment la présente invention peut être mise en pratique. Elle doit être lue en se référant au dessin annexé.

Sur ce dessin
- la figure l représente une vue en coupe d'une entretoise de siège d'un ensemble selon l'invention, selon son plan de symétrie longitudinal
- la figure 2 montre une vue selon la ligne Il-Il de la figure l
- la figure 3 montre une vue selon la ligne
III-III de la figure l
- les figures 4 et 5 représentent, de manière sche- matique et dans deux positions différentes, une première variante du mecanisme d'actionnement des pènes de l'entretoise de la figure l ; et
- les figures 6 et 7 sont respectivement analogues aux figures 4 et 5, mais elles montrent une deuxième variante de réalisation dudit mécanisme d'actionnement.

Dans tout ce qui va suivre, on supposera que l'ensemble selon l'invention comporte un siège monté d poste sur un plancher de véhicule automobile, ce qui donne tout leur sens à des expressions comme "longitudinal", "transver sal", supérieur" et "inférieur".On notera d'autre part que le dispositif de verrouillage du siège sur le plancher est symétrique par rapport au plan longitudinal médian du siège du véhicule, ce qui donne également une signification sans équivoque a des termes tels que "extérieur" et "intérieur't,
Le siège (non représenté) du véhicule est muni d'une paire de pattes avant et d'une paire de pattes arrière pour sa fixation au plancher, les pattes de chaque paire étant montées sur le siège de part et d'autre de celui-ci, symétriquement par rapport a son plan longitudinal médian.

A chacune de ces paires de pattes est associé un dispositif de verrouillage : seul celui monté à l'avant est décrit et représenté sur le dessin, le dispositif de verrouillage arrière étant identique à quelques détails près, qui seront précisés plus loin
Les pattes avant, dont il vient d'être question, sont représentées partiellement en 1 sur les figures l a 3, et la base de chacune est solidaire de l'extrémité d'une entretoise transversale 2. Cette dernière comporte à chacune de ses extrémités un pêne 3, qui coopère avec une gâche 4, pour constituer le dispositif de verrouillage de l'ensemble selon l'invention.

Plus précisément, l'entretoise 2 est constituée par un profilé creux à section rectangulaire, et elle porte au dessous de chacune de ses extrémités un fourreau 5 qui présente également une section rectangulaire, mais plus haute et moins large, et dans lequel peut coulisser un pène 3 qui se prolonge vers l'extérieur par un bec 6.

Dans sa face intérieure, donc opposée au bec 6, le pêne 3 comporte une cavité borgne 7 dans laquelle pénètre un ressort de compression 8 dont l'autre extrémité 51 appuie sur un rebord 9 du fourreau 5.

Dans la même face intérieure de chaque pêne 3 est ancrée une extrémité d'un câble 10 qui traverse, selon un diamAtre, dans sa partie centrale, un tambour il a axe vertical. Le tambour il est solidaire de l'extrémité inférieure d'un pivot 12, qui traverse l'entretoise 2 en son milieu et sur l'autre extrémité duquel est monté un levier 13 sensiblement parallèle d la face supérieure de l'entretoise 2 et muni d'une oreille de manoeuvre 14.

On comprend que la rotation du levier 13 autour du pivot 12 entraîne celle du tambour il et tire le câble 10 dans le sens des flèches f de la figure 1, ce qui rétracte les becs 6 des pênes 3 dans leurs fourreaux 5, à l'encontre des ressorts 8.

Les pênes 3 étant ainsi effacés et hors de prise des gâches 4, il est alors possible de soulever l'entretoise 2 avec la partie du siège å laquelle elle est fixée.

Chaque gâche 4 est constituée par une tige recourbée de façon à former deux arceaux 15 et 15' dont la forme, vue de coté, est telle que le pène correspondant 3 puisse exactement s'y insérer en coulissant vers l'extérieur dans son fourreau 5. En outre, les deux gâches 4, de part et d'autre du dispositif de verrouillage qui vient d'être décrit, sont fixées au plancher du véhicule par des moyens non representés, la distance entre elles étant légèrement supérieure à la longueur de l'entretoise 2-.

Les arceaux 15 et 15' sont convexes vers le haut et la partie inférieure du bec 6 du pêne 3 est un plan incliné vers le haut, dans la direction opposée å l'entretoise 2, de façon à former une rampe 6'.

Il est alors possible d'insérer l'entretoise 2 entre les arceaux arrière 15 ou avant 15', selon la position que l'on souhaite lui donner, les becs 6 des pènes 3 glissant sur le haut de ces arceaux en repoussant les pênes dans leurs fourreaux 5, et ce, sans qu'il soit necessaire d'agir sur le levier 13. Lorsque les becs e sont parvenus en regard des arceaux correspondants, ils y pénètrent sous l'effet des ressorts 8 et verrouillent le système.

En section transversale, les becs 6 des pênes présentent une forme circulaire- correspondant a celle du haut des arceaux 15 et 15'. Lorsque le siège comporte deux entretoises analogues à l'entretoise 2 des figures 1 i 3, l'une a l'avant et l'autre à l'arrière, il suffit de déverrouiller une entretoise pour pouvoir faire basculer le siège autour des pênes ronds de l'autre.

D'autre part, l'entretoise 2 est entourée A chacune de ses extrémités, mais avant le fourreau 5, par un manchon en caoutchouc 16 servant au rattrappage de jeu, manchon par l'intermédiaire duquel elle s'appuie sur un rebord 17 ménagé sur un carter 18 légèrement en arrière de l'arceau 15. Le carter 18 peut être réalisé en matière plastique. Il repose à son tour, également avec interposition d'un tampon élastique 19, sur un berceau 20 solidaire du plancher du véhicule.

Un rebord 17' analogue au rebord 17 est, en outre, ménagé sur le carter 18 en arrière de l'arceau avant 15'. il sert a l'appui de l'entretoise 2 lorsque cette dernière est verrouillée dans les arceaux avant. Quant aux fourreaux 5, ils viennent se loger dans des évidements 21 du carter 18.

On notera encore que le levier de manoeuvre 13 peut comporter, à la hauteur de l'oreille 14, une patte de sécurité 22 qui est dirigée vers le bas, le long de la face arrière de l'entretoise 2, et qui empêche le déverrouillage accidentel du dispositif selon l'invention par rotation du levier 13 dans le sens inverse a celui qui est prévu.

Comme on le voit sur la figure 2, le plan de symétrie transversal de l'entretoise 2 et des pènes 3 est incliné d'environ 45' par rapport à la verticale. Dans le cas du verrouillage des pattes arrière non représentées, ce plan est sensiblement vertical, ou même légèrement incliné vers l'avant. D'autre part, le levier 13 peut ici être symétrique par rapport au pivot 12, ne pas comporter la patte de sécu rité 21 et etre muni d'une oreille d'actionnement 14 a chacune de ses extrémités.

Dans la variante représentée sur les figures 4 et 5, le câble destiné a l'actionnement du dispositif de verrouillage a été désigné par 30 ; il est ancré a ses extrémités dans les faces intérieures des pênes 3 et sa longueur est sensiblement égale a la distance entre ces faces lorsque les pênes 3 sont complètement sortis de leur fourreau 5. Le câble 30 passe Juste entre deux rouleaux 31 monté ensemble sur un plateau non représenté. Lorsque l'on actionne un levier qui est solidaire de ce plateau, ce dernier peut tourner autour d'un axe qui est parallèle à celui des rouleaux 31 et qui passe sensiblement par le point médiat 32 de ces rouleaux, ce qui est figuré par la flèche F de la figure 5.Comme on le voit sur cette figure, la rotation de ce système de rouleaux 31 déforme en S le câble 30 et raccourcit la distance entre ses extrémités, ce qui rapproche l'un de l'autre les pènes 3 et les amène à se rétracter dans leur fourreau 5 en déverrouillant ainsi le dispositif selon l'invention.

On retrouve un câble 30 dans la variante représentée sur les figures 6 et 7, mais le raccourcissement de la distance entre ses extrémités a lieu ici par une traction transversale sur le milieu du câble qui est indiquee par la flèche F' sur la figure 7. Cette traction peut être exercée par l'intermédiaire d'une tirette coulissante 33 munie d'un ergot 34 sur lequel s'appuie le câble 30.

Sans sortir du cadre de l'invention, de nombreuses modifications pourraient être apportées aux formes de réali satiot qui viennent d'être decrites. C'est ainsi que, moyennant des adaptations mineures qui sont å la portée des spécialistes en la matière, chaque pêne 3 pourrait coulisser, non plus dans un fourreau 5 monté sous l'entretoise creuse 2, mais dans cette entretoise elle-même.

De même, chaque gâche 4 pourrait présenter plus de deux arceaux 15, ce qui augmenterait d'autant le nombre de positions possibles pour le siège.

Il serait également possible d'associer les dispositifs de verrouillage avant et arrière et de les commander au moyen d'un levier unique.

Claims (13)

- REVENDICATIONS

1. Ensemble constitué par un siège verrouillable sur un plancher et ses organes de verrouillage, caractérisé par le fait que le siège comporte un châssis comprenant au moins une entretoise (2) qui est munie d chacune de ses extrémités d'un pêne C3) coopérant avec une gâche < 4) fixée sur le plancher, ladite entretoise portant des moyens (13) pour dégager simultanément ses deux pênes (3) des gâches correspondantes (4).

2. Ensemble selon la revendication 1, caractérisé par le fait que chacun desdits pênes (3) est monté sur ladite entretoise (2) en pouvant coulisser parallèlement à cette dernière entre une position de verrouillage ou il pénètre dans la gâche correspondante (4) et une position de libération ou il est dégagé de ladite gâche (4).

3. Ensemble selon la revendication 2, caractérisé par le fait que chacun desdits pênes < 3) coulisse dans un fourreau (2, 5) solidaire de ladite entretoise et fait saillie hors dudit fourreau C2, 5) dans sa position de verrouillage.

4. Ensemble selon la revendication 3, caractérisé par le fait qu'un ressort (8) rappelle chacun desdits pênes < 3) vers sa position de verrouillage, et qu'un câble (10), dont une extrémité est solidaire de chaque pêne (3), est relié d des moyens de traction (11, 31, 33) pour tirer le pêne vers sa position de libération d l'encontre dudit ressort (8).

5. Ensemble selon la revendication 4, caractérisé par le fait que lesdits moyens de traction comprennent un tambour (11 > traversé par ledit câble < 10) et des moyens (12, 13, 14) pour faire tourner ledit tambour (11) autour de son axe.

Ensemble selon la revendication 4, caractérisé par le fait que lesdits moyens de traction comprennent au moins deux organes (31) entre lesquels passe ledit câble C10) et des mcyens pour faire tourner lesdits organes dans leur ensemble autour d'un axe perpendiculaire a la ligne moyenne dudit câble (10).

7. Ensemble selon l'une des revendications 5 ou 6, caractérisé par le fait que ledit tambour (11) est solidaire de manière coaxiale d'un pivot < 12) qui traverse ladite entretoise (2) et dont l'autre extrémité porte un levier de manoeuvre (13).

8. Ensemble selon la revendication 4, caractérisé par le fait que lesdits moyens de traction comprennent au moins un organe (33, 34) de déplacement transversal d'un point dudit câble (10).

9. Ensemble selon ltune des revendications 1 à 8, caractérisé par le fait que chacune desdites gâches (4) comporte au moins deux organes longitudinalement espacés (15, 15') pour l'introduction du pène (3) correspondant.

10. Ensemble selon l'une des revendications 1 a, 9, caractérisé par le fait que ladite gâche (4 > est constituée par une tige recourbée qui forme au moins un arceau (15, 15') s'étendant vers le haut pour l'introduction du pêne (3) correspondant.

11. Ensemble selon la revendication 10, caractérisé par le fait que ledit arceau (15, 15') présente à sa partie supérieure une zone convexe vers le haut, et que ledit pêne (3) comporte une rampe inclinée (6') à sa partie inférieure.

12. Ensemble selon l'une des revendications 1 d 11, caractérisé par le fait que la partie dudit pêne C3), qui pénètre dans ladite gâche < 4) lorsqu'il est en position de verrouillage, forme un bec < 6 > à section transversale circulaire.

13. Ensemble selon l'une des revendications 1 a 12, caractérisé par le fait que le siège comprend au moins deux desdites entretoises (2), respectivement à l'avant et à l'arrière du siège.

14. Ensemble selon l'une des revendications 1 à 13, caractérisé par le fait que ladite entretoise (2) repose sur un carter (18) solidaire du plancher avec interposition d'au moins un tampon élastique < 16).

15. Ensemble selon la revendication 14, caractérisé par le fait que ladite entretoise < 2) est entourée au voisinage de chacune de ses extrémités par un manchon élastique qui s' appuie sur un rebord (17) ménagé sur ledit carter (18).