FR2620845A1 - Dispositif de visualisation et/ou d'affichage a diodes electroluminescentes - Google Patents

Abstract

Le dispositif D de visualisation et/ou d'affichage à diodes électroluminescentes e disposé suivant une matrice à n lignes et p colonnes, comprend un branchement séparé pour chaque diode e, et des moyens de commande C pour mettre sous tension ou hors tension des branchements prédéterminés afin d'allumer ou d'éteindre les diodes associées, et d'obtenir une représentation d'un graphisme ou équivalent. Les moyens de commande C comprennent, d'une part, des moyens M de maintien sur les branchements d'un signal d'allumage ou d'extinction selon la diode considérée pour permettre, lors d'une phase d'affichage, d'assurer un éclairage permanent du graphisme ou équivalent, et, d'autre part, des moyens d'édition E d'un tel graphisme qui comportent des moyens de balayage 4, 5 propres, après extinction de toutes les diodes, à produire séquentiellement une impulsion lumineuse sur chaque diode, et des moyens optiques J de repérage d'une diode au passage de l'impulsion, une commande de validation 14 ou d'effacement 15 de la diode considérée étant en outre prévue.

Description

DISPOSITIF Dk VISUALISATION El/OU D'AFFICHAGE A DIODES
ELECTROLUMINESCENTES.

L'invention. réalisée au sein du L!\bOATOIklE d'OPTOELECTRONIQUF de l'Université de POITIERS, est relative à un dispositif de visualisation et/ou d'atfichage å diodes électroluminescentes disposées suivant une matrice à n lignes et p colonnes. comprenant un branchement séparé pour chaque diode, et des moyens de commande pour mettre sous tension ou hors tension des branchements prédéterminés afin d'allumer ou d'éteindre les diodes associées, et d'obtenir une représentation d'un graphisme ou équivalent.

On sait que les diodes électroluminescentes ont une luminance très élevée qui permet d'assurer un affichage bien visible, même avec une lumière environnante parasite, comme ce peut être le cas un jour de soleil. En outre, ces diodes électroluminescentes présentent un bon rendernent lumineux. de telle sorte qu'elles permettent de réaliser des économies d'énergie électrique. par rapport a des dispositifs de visualisation utilisant des lampes à incandescence ou meme des tubes f lucrescents ou a dc-harge.

Toutefois. la réalisation d'un dispositif d'affichage nécessite un grand nombre de diodes et représente un investissement non négligeable.

Il est donc souhaitable qu'un méme dispositif puisse permettre d'afficher plusieurs graphismem. ou équivalents. selon les nécessités du moment. La répartition des diodes selon une matrice, tormant écran, permet par sélection des diodes appropriées d'afficher un graphisme quelconque contenu à l'intérieur des limites de l'écran.

Toutefois, le problème de la sélection des diodes pour afficher le graphisme souhaite, et d'une manière plus générale. le problème de la création ou de la modification d'un graphisme quelconque, par un utilisateur non spécialiste. n'a pas reçu, jusqu'à ce jour, une solution satisfaisante tant au point de vue de la simplicité que de la rapidité de mise en oeuvre. L'invention a pour but, surtout. de fournir un dispositif de visualisation et/ou d'affichage à diodes électroluminescentes qui permette a un utilisateur non spécialiste de crèer ou de modifier d'une maniere simple et rapide les graphismes. symboles. lettres ou équivalents. qu'il souhaite art nicher sur l'écran et cela sans diminution de la luminance des diodes électroluminescentes lors de l'affichage.

Selon l'invention, un dispositif de visualisation et/ou d'affichage à diodes électroluminescentes, du genre défini précédemment. est caractérisé par le fait que les movens de commande comprennent, d'une part, des moyens de maintien sur les branchements d'un signal d'allumage ou d' extinction selon la diode considérée. pour permettre, lors d'une phase d'affichage, d'assurer un éclairage permanent du graphisme ou équivalent. et. d'autre part, des moyens d'édition d'un tel graphisme qui comportent des moyens de balayage propres. après extinction de toutes les diodes, å produire séquentiellement une impulsion lumineuse sur chaque diode, et des moyens optiques de repérage d'une diode au passage de l'impulsion, une commande de validation ou d'effacement de la diode considérée étant en outre prévue.

Le dispositif conforme a 1' invention permet donc d'avoir une intensité lumineuse suffisante de l'affichage, grâce a la permanence de l'éclairage, sans trop sol I iciter les diodes en outre, les créations ou modifications de gui alisme sont très simples et très rapides.

Les moyens de maintien du signal d'allumage ou d'extinction sur chaque diode comprennent. de préférence, au moins un registre a décalage à entrée série et a sorties parallèles, chaque sortie de registre étant reliée a une diode différente. La liaison entre ladite sortie et la diode peut etre effectuée par l'intermédiaire d'une cellule de méworisation et d'une porte, notamment a trois états.

De préférence, les moyens de commande du dispositif comprennent :
- un microprocesseur équipé d'un quartz, propre a eérel- les diverses ponctions, les moyens de balayage étant également gérés par microprocesseur
- une mémoire morte contenant le logiciel de traitement, pour permettre au microprocesseur la gestion des fonctions
- une mémoire vive d'écran, propre à stocker l'état de chaque diode de l'écran à un instant donné
- et une interface entrée/sortie entre les moyens optiques de repérage d'une diode et le microprocesseur.

De préférence, le dispositif comprend
- une mémoire vive non volatile divisée en plusieurs zones permettant de mémoriser dans chaque zone un graphisme particulier destiné à entre visualisé ultérieurement
- un clavier avec des touches de fonction å savoir : une touche de "remise à zéro" générale. provoquant l'effacement total de l'écran
- une touche "mêmur isation" combinée avec des moyens d'adressage tels qu'une roue codeuse. pour Permettre de stocker. a une adresse de la mémoire vive nui volatile, le graphisme affiché
- une touche "rappel permettant, en combinaison avec les moyens d'adressage, d'afficher un graphisme stocké une adresse de la mémoire non volatile.

Avantageusement, le clavier cumporte une touche recopie" qui permet de recopier. sur l'écran. en un point quel conque, un motif alimentaire mis en mémoire précédemment. Un potentiomètre est avantageusement prévu pour le réglage du niveau lumineux des graphismes.

Le quartz équipant le microprocesseur est de préférence un quartz 18 MHz.

Les moyens optiques de repérage comprennent, de préférence. un stylet muni d'un photo-détecteur rapide, et équipé de deux touches de fonction respectivement "validation" et- "effacement", ce stylet étant destiné à être place en face d'une diode lors de la phase d'édition, la sélection de la touche "validation" demandant l'allumage de la diode pointée par le stylet. tandis que la sélection de la touche ""effacement" dommande l'effacement de la diode pointee.

Les moyens d'6dition comprennent des moyens pour remettre a zéro l'ensemble des diodes de la matrice. se trouvant dans un état d'affichage permanent, avant que le balayage ne soit effectué, et des moyens pour remettre l'ensemble des diodes, à la fin du balayage, dans un état permanent de sorte qu'un graphisme ou équivalent apparaisse sur l'écran, la durée du balayage entre les deux états d'affichage permanent étant choisie sut f isamment faible pour que l'extinction des diodes, pendant la phase a'édition ne soit pas perceptible a l'oeil.

Avantageusement, les moyens de balayage, en vue du repérage d'une diode quelconque. sont agencés pour effectuer. dans une premiere phase. le balayage suivant toute la hauteur d'une colonne, cette première phase permettant donc de déterminer la colonne dans laquelle se trouve la diode coisidérée, puis. au cours d'une deuxième phase. un balayage est realisé suivant une direction incline. notamment a 45 .

par rapPort a la direction des lignes. cette deuxième phase permettant de déterminer la position de la diode considérée dans la colonne identifiee précédemment.

L'écran peut être divise en q bandeaux de n lognes. ces bandeaux. comportant p/q colonnes. étant mis er cascade.

Dans un exemple, le nombre de bandeaux q est égal å 6. tandis que le nombre n de lignes est égal a 8 et le nombre p de colonnes est égal a 192. c'est-a-dire que dans chaque bandeau il y a 32 colonnes (192/6').

Chaque ligne de l'écran est associée å un registre a décalage. Dans l'exemple numérique considéré, où les lignes élémentaires, comportant 32 diodes, des 6 bandeaux places en cascade, sont équivalentes a une seule ligne de 6x32 = 192 diodes. chaque registre a décalage associe à une line équivalente est constitué de 24 registres élementaires a 8 bascules mises en cascade ; le transfert d'une bascule d'un registre â la bascule suivante est commandé par un signal d'horloge.

L'invention consiste. mises a part les dispositions exposées ci-dessus, en un certain nombre d'autres dispositions dont il sera plus explicitement question ciaprès a propos d'un mode de réalisation particulier décrit avec référence aux dessins ci-annexbs, mais qui n'est nullement limitatif.

La figure i. de ces dessins. est un schéma d'ensemble d'un dispositif de visualisation et/ou d'affichage à diodes électroluminescentes conforme à l'invention.

La figure 2 est un schéma simplifié, å plus grande échelle. de l'écran formé par une matrice de diodes, un nombre réduit de ces diodes avant été représenté pour ne pas surcharger la figure.

La figure 3 est un schéma illustrant les phases de balayage destinées à déterminer la position d'une diode dans la matrice.

La figure 4 est un schéma partiel des moyens de maintien comprenant des registres à décalage.

La figure 5. enfin. est un organigramme résumant le fonctionnement du dispositif assuré Par le logiciel de traitement du microprocesseur.

En se reportant å la figure i. on peut voir un dispositif D de visualisation et/ou d'affichage à diodes électroluminescentes e disposées suivant une matrice à n lignes et p colonnes, de manière a former un écran S.

Cet écran c est mieux visible sur la figure 2.

Dans l'exemple de réalisation considérée, l'écran S est constitué par 32x48, c'est-a-dire 1536 diodes électrolumines centes e. de 5 mm de diamètre. réparties selon une disposition matricielle suivant un pas h de 8 mm. Pour la clarté de la figure 2, on a été conduit à augmenter artificiellement le pas suivant la direction des lignes. mais en fait le pas est le meme suivant les lignes et les colonnes orthogonales aux lignes.

Sur le plan de l'organisation électrique. l'écran
S est divisé en a bandeaux de n lignes et p/q colonnes. mis en cascade.

Dans l'exemple envisagé, le nombre q de bandeaux est égal a 6 comme visible d'après la figure 2 où les bandeaux sont représentés par 6 rectangles allongés superposés.

Chaque bandeau comporte 8 lignes et 32 colonnes. Le premier bandeau. sur la figure 2. est constitué par le bandeau supérieur dont les colonnes sont numérotées i à 32. La colonne n' i, comme indiquée sur la figure 2. est formée par 8 diodes électroluminescentes el... ee alignées verticalement. situées au voisinage du bord gauche selon la figure 2.

La 32e colonne de ce premier bandeau. repérée par le chiffre 32. est située au voisinage du bord droit de l'écran.

La première colonne du deuxième bandeau est située sur le bord gauche et fait immédiatemment suite. au point de vue organisation électrique, å la 32e colonne. Cette premiers colonne du deuxième bandeau est repérée par le chiffre 33 sur la figure 2. La dernière colonne du deuxième bandeau est repérée par le chiffre 64 et se trouve au voisinage du bord droit de l'écran.

La numérotation des colonnes se succède de la meme manière jusqu'a la dernière colonne du sixième bandeau.

situé en bas et à droite de l'écran et portant le numéro 192.

L'écran ainsi agencé est équivalent. au point de vue organisation électrique. à un bandeau unique de 8 lignes et de 192 colonnes.

L'écran S peut être considéré comme un module élémentaire. l'association de plusieurs modules permettant la réalisation d'écrans de plus grandes dimensions sans perte de pas.

Le dispositif comprend un branchement séparé bl, b9... (voir figure 4) pour chaque diode telle que el. eS... Chaque branchement comprend un conducteur électrique de liaison relié à l'anode de la diode associée : la cathode de la diode est reliée a la masse.

Des moyens de commande C sont prévus Pour mettre sous tension ou hors tension des branchements tels que bl.

b9... prédéterminés afin d'allumer-ou d'eteindre les diodes associées et d'obtenir la représentation d'un graphisme ou équivalent, à l'aide de la succession de diodes allumées.

Les moyens de commande C comprennent des moyens de maintien M propres à établir et a conserver sur les branchements bi. b9... un signal d'allumage ou d'extinction selon la diode considérée. POUr permettre. lors d'une phase d'affichage, d'assurer un éclairage permanent du graphisme ou éauivalent.

Ces moyens de maintien M comprennent. pour chacune des lignes de ltecran S. un registre å décalage Ri... R8 à 192 pas, a entrée série et å sorties parallèles. On rappelle qu'une ligne de l'écran est formée Par la succession des 6 lignes de même rang des 6 bandeaux disposés en cascade comme chaQue ligne de bandeau. dans l'exemple considéré.

comporte 32 diodes. la ligne d'écran comporte 32x6 = 192 diodes. Autrement dit. le nombre de pas du registre à décalage associé a une ligne est au moins égal au nombre de diodes de cette ligne.

Suivant la numérotation adoptée sur la figure 2 POUr les diodes successives. on voit nue la première ligne de l'écran. formée par la succession des lignes suPérieures de chaque bandeau. aura une première diode designée par el.

tandis que la deuxième diode sera désignée par e9, et ainsi de suite.

On a représenté, sur la figure 4, les deux premières diodes de cette ligne. lesquelles sont reliées.

par les branchements bl. b9 a deux sorties associées 01. 02 du registre Ri.

Pratiquemment. chacun des 8 registres R1... R8 å 192 pas. est constitue par 24 registres élémentaires à 8 bascules mises en cascade. Sur la figure 4. on a représenté schématiquement les deux premières bascules Fi. F2 du premier des 24 registres élémentaires de Pi.

L'entrée telle que il d'un registre tel que PI est constituée Par l'entrée de la première bascule Fi du premier des 24 registres élémentaires. L'entrée i2 de la bascule suivante F2 est reliée å la sortie Ol de la première bascule
FI et ainsi de suite.

Chaque bascule Fi, F2... comporte une entrée d'horloge CL1. CL2... reliée à un même conducteur l sur leauel sont envoyés les signaux dthorloee. D'une manière classique. chaque signal d'horloge permet le transfert d'une bascule d'un registre. telle que la bascule Fi. à la bascule suivante telle que F2 : autrement dit. l'état sur l'entrée il est transféré sur la sortie 01, tandis aue l'état qui existait sur cette sortie 01 est transféré sur la sortie 02.

et ainsi de suite. a chaque coup d'horloge.

ChaQue sortie telle que 01. 02... d'un registre à décalage est reliée a la diode correspondante el. e9... Par l'intermédiaire d'une cellule de mémorisation ml.m2...

et d'une Porte a trois états G1. G2... L'entrée de chaque cellule mi. m2 est reliée à la sortie corresPondante 01.

02... du registre associé. La sortie de chaque cellule de mémorisation est reliée à l'entrée de chaque porte G1. G2...

La sortie des portes GI. G2 est reliée au conducteur b1.

b9.

Chaque cellule mi. m2... comporte une entrée de commande h1. h2... reliée å un conducteur 2 sur leauel est envové un signal de verrouillage qui permet le transfert de l'information contenue dans une bascule du registre et disponible sur les sorties 01. 02... dans la cellule de mémorisation correspondante mi. m2...

Chaque porte G1. G2... comporte une entrée de commande vi. v2... reliée à un conducteur 3 sur lequel est envové un signal de validation permettant la mise en haute impédance de la sortie Etrois états de la cellule de mémorisation ce qui permet de valider ou non la commande de la diode ei. ... associée à l'étage considéré.

Les signaux de commande ainsi que les signaux d'horloge. les signaux de verrouillage et de validation évoqués ci-dessus, proviennent d'un microprocesseur 4 équipé d'un quartz de préférence à î MHz par l'intermédiaire d'une interface 9. Dans un exemple de réalisation le microprocesseur utilisé est un 8885 INTEL ; bien entendu, on peut utiliser d'autres types de microprocesseurs.

Une mémoire morte 5 (ROM) suPportant le logiciel de traitement. est combinée avec le microprocesseur 4.

Les moyens de commande C comprennent. en outre.

une mémoire vive 6 (RAM) d'écran dans laquelle est stocké, a un moment donné. l'état de chaque diode de la matrice de l'écran : dans un exemple de réalisation la mémoire vive 6 est une mémoire de 256 octets ce qui est suffisant pour l'exemple considéré puisque, comme déja exPliqué précédemment, l'écran ou matrice comporte 192 colonnes de 8 diodes. Un octet permettant de définir l'état de toute une colonne de 8 diodes. 192 octets seront suffisants pour définir l'état de la matrice complète.

Une mémoire vive 7 non volatile est en outre prévue pour permettre la mémorisation de graphismes destinés à être visualisés ultérieurement. Cette mémoire 7 comporte plusieurs zones. de 192 octets dans l'exemple, chaaue zone permettant le stockage d'une page d'écran S.

Le microprocesseur et les différentes mémoires sont reliées entre eux par un bus 8 (faisceau de conduc tueurs), ainsi qu'à une interface 9 E/S (entrée/ sortie).

Cette interface 9 est reliée par un bus de données îe et par un bus de commande il aux registres RI... R8. Le bus de données I transmet les informations destinées aux entrées tel les que il des registres. tandis que le bus de commande 11 transmet les informations telles que signaux d'horloge, signaux de verrouillage et de validation (voir figure 4).

Le dispositif D de visualisation comprend des moy- ens d'édition E d'un graphisme ou équivalent. qui comportent des moyens de balayage assurés Par le micro-processeur 4 et son logiciel de traitement contenu dans la mémoire 5. et des movens optiques J de repérage d'une diode au passage d'une impulsion.

Ces moyens optiques J sont avantageusement constitués Par un stylet 12 muni d'un photo-detecteur rapide 13 destiné a être placé en face d'une diode lors de la phase d'édition. Ce stylet 12 est équipé de deux touches de fonction 14. 15 respectivement pour commander la validation ou l'effacement de la diode considérée.

Les moyens de balayage, assurés par le microprocesseur 4 et son logiciel de traitement. sont propres, après extinction de toutes les diodes de l'écran S. å produire séauentiellement une impulsion lumineuse brève sur chaque diode. La durée du balayage entre deux états permanents correspondant à l'affichage d'un graphisme. est choisie suffisamment faible pour que l'extinction des diodes e. rendant la phase d'édition. ne soit pas perceptible à l'oeil. Dans l'exemple considéré. où le nombre de diodes de l'écran S est de 1 536. la durée de l'impulsion électrique sur chaque diode. lors du balayage. est de l'ordre de 15 micro-secondes de telle sorte que le temps de balayage com plet de l'écran soit au plus égal a 1/25è de seconde.

Les signaux. pour le balayage. apparaissent suc cessi vement sur les sorties telles que 01. 02 des registres à décalage. Lors du balayage (phase d'édition) les cellules ml, m2... et les portes Gi. G2... sont transparentes de sorte que le signal présent sur 01. 02... se retrouve immédiatement sur bl. b9....

Le stylet 12 est relié par un cable 16 a l'interface 9, Qui transmet les informations recueillies par le stvlet au micro-processeur 4. Les moyens de balayage peuvent etre agencés pour effectuer un balayage de tout l'écran S. diode par diode. Par exemple. le signal est apiisue successivement aux 192 diodes de la première ligne puis à celles de la ligne suivante et ainsi de suite.

Simultanément. le micro-processeur 4 effectue un comptage des ras accomplis par le signal. Lorsoue le stylet 12 transmet au micro-processeur 4 l'information d'excitation.

par le signal. de la diode sur laquelle le stylet est pointé. le micro-processeur 4 détermine la position de cette diode sur l'écran S d'après le comptage des pas de balayage effectués. Une telle façon de procéder est consommatrice de temps. en particulier si la diode a détecter se trouve vers la fin du tableau S. car il faudra attendre le balayage tota! de l'écran S. diode par diode. pour obtenir la détection. La durée complète du balayage. dans l'exemple considéré. serait de 1 536 x (période du signal de balayage).

Pour réduire le temps nécessaire å la détermination de la position de la diode sur l'écran S. on agence. avantageusement. les moyens de balayage de manière telle que. dans une première phase, un balayage soit réalisé suivant toute la hauteur d'une colonne telle que 16 (figure 3). Autrement dit. à chaque pas de balayage. les 8 diodes d'une colonne sont excitées simultanément. Le temps de balayage comPlet de l'écran S sera égal au nombre de colonnes multiplié par la période du signal de balayage.

Dans l'exemple considéré. ce temPs sera égal a 192 x (période du signal de balayage). Le comptage des pas de balayage colonne par colonne est effectué par le microprocesseur 4. Lorsque la colonne dans laquelle se trouve la diode pointée par le stylet 12 est excitée. ce stylet envoie un signal sur le micro-processeur 4 qui peut ainsi déterminer le rang de la colonne dans laquelle se trouve la diode pointée : L'arrêt de cette première phase de balayage est commandé.

Une deuxième phase de balayage de l'écran S est alors réalisée suivant une direction 17 (voir figure 3) inclinée par rapport a la direction des lignes de l'écran.

De préférence. la direction 17 est inclinée à 45' par rapport aux lignes d'écran. l'extrémité supérieure de cette ligne de balayage 17 étant située en avant de l'extrémité inférieure. Une telle ligne de balayage 17 est obtenue en décalant. dans le temps, les signaux de balayage appliqués aux lignes successives. Le signal de la deuxième ligne est en retard d'un pas sur le signal de la première ligne et ainsi de suite. Lorsque la ligne inclinée de balayage 17 passe par la diode pointée Par le stylet 12. ce dernier envoie un signal sur le micro-processeur 4 qui détermine la position de la diode. sur la colonne identifiée précédemment. Cette position est déduite de la comparaison du nombre de pas effectué par l'extrémité supérieure de la ligne inclinée 17 et du nombre de pas effectué Précedemment par la colonne.La différence entre ces deux nombres de pas correspond à la position de la diode. de haut en bas, dans la colonne identifiée précédemment.

Avec un tel agencement. le temps moven de balayage pour déterminer la position d'une diode sur l'écran S est sensiblement réduit uar rapport au temps de bu lavage qui serait nécessaire dans le cas d'un balayage point par point tel oue celui évoqué précédemment.

Le dispositif D comprend. en outre. un clavier 18 relié par un bus 19 à l'interface 9. Le clavier 18 comPorte
Plusieurs touches de fonction à savoir : une touche 2 de remise å zéro générale. provoquant l'effacement total de l'écran S. c'est-à-dire l'extinction de toutes les diodes de cet écran : une touche 21 de mémorisation combinée avec des moyens d'adressage tels qu'une roue codeuse 22. pour permet tre de stocker. dans une adresse de la mémoire vive non volatile 7, le graphisme affiché sur l'écran S : une touche "rappel" 23 permettant. en combinaison avec la roue codeuse 22, de rappeler un graphisme. ou équivalent. stocké dans une adresse de la mémoire 7 et d'afficher ce graphisme sur l'écran : une touche "recopie" 24 qui permet de recopier.

sur l'écran S. en un point 25 quelconque. désigné par le stylet 12. uii motit élementaire mis en memoire precodemment.

Dans un exemple dc realisation. le motif élementaire 20 s'inserit dans un carre de 8 x b diodes. et le point 2b désigne pal le stylet 12 constitue le sommet superieur gauche du carre contenant le motif recopié.

Un potentiometre (tion représenté) est prévu pour le réglage du niveau lumineux des diodes et donc des graphismes ou équivalents affichés.

Ceci étant, le fonctionnement du dispositif est le suivant.

Deux phases sont à considérer. a savoir la phase "d'affichage" et la phase "edition".

La phase d'atliohage sur l'écran est obtenue à partir des informations contenues dans la memoire d'écran 6.

Les donnes y sont structurees en octet, chaque octet correspondant a une colonne de 8 lignes de l'écran S.

L'affichage, commandé par le micro-processeur 4 consiste donc en une lecture de la memoire 6 et en une écriture serie. octet par octet, dans les registres a decalage Rt.

R8 de l'écran
Lorsque l'ensemble des registres est charge. le signal du verrouillage envoye sur le conducteur 2 (figure 4) permet la commande de l'ensemble des diodes e de l'écran S, le signal de validation etant présent sur le conducteur 3.

On obtient ainsi un art fichage permanent, c'est-adire que les diodes qui doivent être allumées, le sont en permanence ae sorte que pour l'émission d'un tlux lumineux d'un niveau détermine ces diodes sont soumises a un courant d'intensite beaucoup plus taible que Si elles étaient alimentées par un signal périodique. de rapport cyclique prédétermine. La durée de vie des diodes s'en trouve donc augmentée. sans diminution de la qualité de l'affichage lumineux.

Les informations contenues dans la mémoire d'écran 6 peuvent être constituées par celle a'une page stockee fi une adresse de la memoire t ; pour cela, lors de l'allumage de l'appareil D, il sutura de placer la roue codeuse 22 sur un numero correspondant d la zone memoire contenant le graphisme que l'on veut rappeler, et d'appuyer sur la touche 23 de rappel qui chargera, dans la memoire 6. la page d'écran de la memoire 7 précedemment designee. Cette page sera affichée sur l'écran S.

La deuxième phase de lonctionnement ou phase "edition" concerne la création d'un graphisme, ou équivalent, ou sa modification. Cette phase "édition" fait intervenir le stylet 12.

L'utilisateur prend en main le stylet 12 et pointe IL photo-detecteur 1d sur une diode qu'il souhaite ai lune ou eteindre pour la constitution du graphisme envisagé.

Lorsque l'utilisateur opère de la sorte, ou bien un graphisme peut encore affiché sur l'écran S. ou bien toutes les diodes de cet euran peuvent être eteintes.

Ayant pointe le stylet 12 sur la diode, l'utilisateur appuie sur la touche 14 de "validation" ou sur la touche îrJ 15 d' d'"efiacement". Si uíl graphisme était attache sur l'ecran S. cet ecran est automatiquement remis a zero (extinction de toutes les diodes) par l'action sur la touche et l'ecran S est balave par une impulsion lumineuse qui peut être appliquée sequentiellement sur chacune des diodes, ou, de preference, de la manière explique précédemment pour realiser un balavage par colonnes suivi d'un balayage selon une diagonale.Le photodétecteur 13 équipant le stylet 12 reagit a cette impulsion et permet le repérage de la diode pointee.

Si l'utilisateur appuie la touche "validation", la valeur inscrite dans la position correspondante de la memoire d'écran 6. pour la diode considérée. correspond a l'allumage do cette diode.

Si l'utilisateur appuie sur la touche 15 "efiace- ment", la valuer inserite dans la position correspondante de la memoire 6 correspond à l'extinction de la diode.

A ta fin de ce balayage, une nouvelle phase d'"affichage" est alors enclenchée.

La phase "édition" ponctuelle doit être suffisamment coutre, notamment interieure a 1/25 seconde, pour ne pas être decelee par lòeil. Autrement dit, l'utilisateur peut niodil icr un graphisme affiche par l'fscrall S en contiquant a voir ce graphisme et sans percevoir les extlnc- tions tres courtes.

La creation ou modification du graphisme (atti- chage ou eiftacement) peut se faire point par point, l'utilisateur par exemple appuyant sur la touche 14 ou sur la touche 15 pour une positioii du stylet 12, puis relâchant cette touche alors que le stylet reste dans cette position.

La création peut également s'eliectuer e cor:- tinu ; par exemple, l'utilisateur déplace le stylet 12 er maintenant la touche "affichage" 14 enioncée de sorte que les clodos situées sur la trajectoire suivie par I 'extrénite du stylet 12 équipe du photo-detecteur 1 vont s'allumer successivement et rester allumees pour matérialiser le contour du nouveau graphisme.

Lorsque l'utilisateur maintient une touche 14 ou 15 enfoncee, les cycles de balayage de durée reluite se succedent en etant separes par un retour des diodes a un affichage d'une duree suttisante pour que le graphisme reste apparent sans donner l'impression de s'eteindre par moments.

La composition du graphisme. lors ce la phase "edition". peut s'effectuer en utilisant la fonction "recopie" introduite par la touche 24. Pour cela, l'utilisateur avec le stylet 12 pointe une diode par exemple en 25 figure 1) de l'écran S. L'utilisateur appuie alors sur la touche 14 de validation. ainsi que sur la touche 24 de recopie.Un motif 26, mis en memoire à une adresse correspondant à celle affichée par la roue codeuse 22, apparaît alors sur l'écran S. dans un carre de 8 x b diodes dont un point caractéristique. par exemple le sommet superieur gauche. est constitué par la diode 25. On peut repeter ce mot il divers endroits on renouvelant la procédure et en désignant, a l'aide du stylet TZ, le coin superieur gauche d'une autre zone ou l'on veut recopier le mu 6 t 1 I
Lorsque la phase "edition", faisant intervenir un balayage et done des extinctions momentanées des diodes, est terminee ou revient à l'affichage permanent.

Les différentes fonctions du dispositif sont gérées. par le microprocesseur 4 et le logiciel de traitement contenu par la memoire morte 5. selon l'organigramme don sur la figure 5 et commente ci-apres.

La première case correspond a la mise en route du dispositif D et à son initialisation, avec mise a zero de la memoire d'sera b.

La case Li correspond a l'affichage d'un graphisme sur l'écran S. Cet affichage peut être obtenu en rappelant.

a l'aide de la touche 2S, une page d'écran qui se trouve stocKee dans une adresse de la mémoire 7.

La case 2b correspond à un test l'utilisateur appuie-t-il sur l'une des touches 14 "validation". lb "effacement", ou 24 "recopie".

S i la l-epoTlse est "non", le programme se déroule jusqu'a une autre case 29 correspondant a un autre test, pour savoir si l'utilisateur appuie sur l'une des touches 22 "memoire", ou 23 "rappel".

Si la reponse est "non". il y à retour à l'affichage qui est maintenu sans modification.

Si la reponse au test 29 est "oui", le programme se deroule avec un nouveau test correspondant a la case 30 pour savoir si l'utilisateur appuie sur la touche "memoire" 22.

Si la reponse est "non", cela signifie que l'utilisateur appuie sur la touche 25 "rappel" et la fonction correspondante est accomplie conformément a la case 31 avec rappel de la page stockée dans la mémoire 7 à l'adresse correspondant au numéro affiche par la roue codeuse 22. Il y a alors retour a l'affichage 27 qui fit apparaître cette page sur l'ecran S.

Si la reponse au test de la case 30 est "qui".

"c'est-à-dire si i 'utilisateur appuie sur la touche 21 "memoire", le graphisme attiche a ce moment sui l'ecran S est stocke dans la memoire 7 à l'adresse indique par la roue codeuse 22. La case 32 indique cette opération.

L'affichage de cette page sur l'écran S est maintenu.

On revient maintenant au test de la case 2111 pour examiner le déroulement du programme lorsque la réponse a ce test est oui . c'est-a-dire lorsque l'utilisateur appuie sur l'une des touches 14, 15 ou 24.

Le programme commande une remise a zero de la matrice constituce par l'écran S (extinction ce toutes les diodes, comme indiqué dans la case 33.

La première phase de balayage est ensuite déclenche avec un détilement d'une colonne de "1" (case J4)
Je maniere a provoquer un allumage par colonnes successives dos codes de l'écran S. L'allumage d'une diode cst obtenu en appliquant un signal "1" sur son anode.

Il peut arriver quu tout l'écran S soit balaye.

sans que le stylet 12 n'envole une impulsion au micro processeur 4 ce peut être le cas. par exemple. si le stylet 12 est mal orienté. Dans une telle hypothèse. a la fin de la première phase de balayage et du défilement de toutes les colonnes, il y a retour par la voie 35 a l'affichage 27 pour reprise du test 28.

Si le stylet 12 est bien orienté on tace d'une diode de l'écran S. au cours du défilement de la colonne de 1, le styleL 12 va envoyer une impulsion sur le microprocesseur 4, lorsque la colonne contenant la diode pointée est excitez. il y a alors interruption du débilement 'les colonnes et passage a la case suivante 36 correspondant au défilement d'une diagonale de signaux "1". Un réalise alors
le balayage suivant la diagonale 17 de la tigure S.

Dés que le stylet 12 envoie une impulsion au microprocesseur 4. au passage de la diagonale de "1", 11 y a interruption du defilement de la diagonale et passage a la case 37 pour le calcul de la coordonnee de la diode pointez par le stylet 12.

Le programme passe ensuite a un nouveau test correspondant a la case JU pour permettre de détecter si l'utilisateur aPpuie ur la touche recopie 24.

Si la repense a ce test est "oui", on passe à l'étape représentée par la case 39 qui consiste en la recopie, sur l'écran S. du motif contenu dans l'adresse indiquee par la roue codeuse ZZ de la memoire t. La diode pointue par le stylet 12 correspond à la diode 25 de la fig- ure 1 et constitue le sommet superieur gauche du carre dans lequel le mottai i recopie s'inscrit.

Si la réponse au test de la case bE est "non". Un nouveau test, représenté par la case 40, est ettectue pour savoir si l'utilisateur appuie sur la touche 15 "efface- ment".

52 la réponse est "non". c'est que l'utilisateur appuie sur la touche 14 validation ; la position de la memoire 6 correspondant à la coordonnée de la diode reperée est mise a l'état "1" cerrespondalit a l'allumage de cette diode. tomme indique par la case 41.

Si la réponse au test de la case 40 est "qui", la position de la memoire 6 correspondant a la diode reperée est m1se a l'état "d". ce qui correspond a l'eltacement ou a l'extinction de la ciode repérée. comme ilidique par la case 42.

Le dispositif de l'invention constitue un disposi tii interactif de création graphique sur panneau a diodes électroluminescentes. Il est d'une utilisation simple pour la création ou les modifications de graphisme, tout en assurant un attichage optimal.

Claims (12)

kE\ilENDl CAT IONS

1. Dispositif de visualisation etsou d'aflichagc a diodes électroluminescentes disposées suivant une matrice a n lignes et g colonnes. comprenant un branchement séparé

Pour chaque diode. et des moyens de commande pour mettre sous tension ou hors tension des branchements prédéterminés afin d'allumer ou d'éteindre les diodes associées, et d'obtenir une représentation d'un graphisme ou équivalent, caractérisé par le fait que les moyens de commande (C) comprennent. d'une part. des moyens (M) de maintien sur les branchements (bi, b9... ) d'un signal d'allumage ou d'extinction selon la diode considérée (el, e9...), pour permettre. lors d'une phase d'affichage. d'assurer un éclairage permanent du graphisme ou équivalent, et, d'autre part. des moyens d'édition (E) d'un tel graphisme qui comportent des moyens de balayage (4, 5) propres, apurés extine- tion de toutes les diodes (e), à produire séquentiellement une impulsion lumineuse sur chaque diode, et des moyens optiques (J) de repérage d'une diode au passage de I'imDulsion, une commande de val idatiori (14) ou d'effacement (15) de la diode considérée étant en outre prévue.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que les moyens (Mi de maintien du signal d'allumage ou d'extinction sur chaque diode comprennent au moins un registre a décalage (RI.. . R8) å entrée série et a sorties parallèles, chaque sortie (01, 02...) de registre étant reliée à une diode différente Cel, e9...).

3. Dispositif selon la revendication caractérisé par le fait que la liaison entre ladite sortie (01, 02...) et la diode tei, e9...) est effectuée par l'intermédiaire d'une cellule de mémorisation (ml, m2...) et d'une porte (G1, G2...).

4. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé parole fait que les moyens de commande (C) comprennent :

- un microprocesseur (4) équipé d'un quartz, proPre à gérer les diverses fonctions. les movens de balavage étant également gérés Par ce microprocesseur

- une mémoire morte (5) contenant le logiciel de traitement. pour permettre au microprocesseur (4) la gestion des fonctions

- une mémoire vive d'écran (6), propre a stocker l'état de chaque diode (e) de l'écran à un instant donné

- et une interface (9) entrée/sortie entre les moyens optiques (J) de repérage d'une diode et le microprocesseur (4).

5. Dispositif selon la revendication 4.

- un clavier (18) avec des touches de fonctions å savoir : une touche (2) de remise à zéro général provoquant l'effacement total de l'écran (S) ; une touche "mémorisation"(21) combinée avec des moyens d'adressage telle qu'une roue codeuse (22). pour permettre de stocker. a une adresse de la mémoire vive non volatile (7). le graphisme affiché : une touche "raPpel" (23) permettant. en combinaison avec les movens d'adressage (22). d'afficher un graphisme stocké à une adresse de la mémoire non volatile (7).

- une mémoire vive non volatile (7) divisée en plusieurs zones permettant de mémoriser dans chaque zone un graphisme particulier destiné a être visualisé ultérieurement

caractérisé par le fait qu'il comprend

6. Dispositif selon la revendication 5.

caractérisé par le fait que le clavier (16) comporte une touche "recoPie"(24) qui permet de recopier, sur l'écran (S), en un point quelconque (25), un motif élémentaire (26) mis en mémoire précédemment.

7. Dispositif selon l'une quelconque des revendications 4 à 6, caractérisé par le fait que le quartz équipant le microprocesseur (4) est un quartz 1 MHz.

8. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes. caractérisé par le fait que les moyens optiques (J) de reperage comprennent un stylet (li) muni d'un photodetecteur rapide (1), et equipe de deux touches ce ponctions respectivement "validation" (14) et "ettace- ment' (15 > , ce stylet etant destine a être place en tace d'une diode (es lors de la phase d'édition. la sélection de la touche "validation" (14) demandant l'allumage de la diode pointée par le stylet, tandis que la sélection de la touche "effacement" (15) demande l'effacement de la diode pointée.

9. Dispositif selon l'une quelconque des revendications precédentes. caractérisé par le rait que les moyens d'édition (E > comprennent des moyens (4, 5) pour remettre a zero l'ensemble ces diodes tei ce la matrice se trouvant dans un état d'atfichage permanent. avant que le balayage ne soit effectué. et des moyens 14. 7) pour remettre l'ensemble des diodes. a la fin du balayage. dans un état permanent de sorte qu'un graphisme ou équivalent apparaisse sur l'écran.

la durée du balayage entre les deux états d'affichage permanent étant choisi suffisamment faible pour que l'extinction des diodes. pendant la phase d'édition. ne soit pas perceptible a l'oeil.

10. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes. caractérisé par le fait que les moyens de balayage (4. 5) en vue du repérage d'une diode quelconque, sont agencés pour effectuer, dans une premiere phase. le balayage suivant toute la hauteur d'une colonne (16). cette première phase permettant donc de déterminer la colonne dans laquelle se trouve la diode considérée, puis.

au cours d'une deuxième phase. un balayage est réalisé suivant une direction inclinée (17), notamment å 45-, par rapport à la direction des lignes. cette deuxième phase permettant de déterminer la position de la diode considérée dans la colonne identifiée précédemment.

11. Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes. caractérisé par le fait que l'écran est divisé en q bandeaux de n lignes. ces bandeaux comportant p/g colonnes; étant mis en cascade. chaque ligne de l'écran étant associée à un registre à décalage.

12. Dispositif selon la revendication 11, caractérisé par le fait que le nombre n de lignes est égal a 6.