FR2606451A1 - Dispositif de manoeuvre pour porte coulissante suspendue - Google Patents

Abstract

LE DISPOSITIF DE MANOEUVRE POUR UNE PORTE COULISSANTE SUSPENDUE A UN RAIL SUPERIEUR 3 COMPORTE : AU MOINS UNE POIGNEE MOBILE DE MANOEUVRE 13, 26 PORTEE PAR LE VANTAIL 2; AU MOINS UN ELEMENT D'APPUI FIXE 14 PORTE PAR LE DORMANT 1 AU VOISINAGE DU RAIL 3; AU MOINS UN ELEMENT COMPLEMENTAIRE 15 PORTE PAR LE VANTAIL 2 POUR COOPERER AVEC L'ELEMENT D'APPUI FIXE 14 ET POUR POUVOIR SE DEPLACER VERTICALEMENT PAR RAPPORT A CELUI-CI; ET DES MOYENS 16 DE COUPLAGE ENTRE LA POIGNEE ET L'ELEMENT COMPLEMENTAIRE, L'ENSEMBLE ETANT TEL QUE, LORSQUE LA POIGNEE EST ACTIONNEE DANS LE SENS A DE L'OUVERTURE POUR LA POSITION FERMEE DU VANTAIL, L'ELEMENT COMPLEMENTAIRE 15 COOPERE AVEC L'ELEMENT D'APPUI FIXE 14 POUR SOULEVER AU MOINS LOCALEMENT LE VANTAIL.

Description

La presente invention est relative aux portes coulissantes du type à rail de suspension, c'est-à-dire à des portes coulissantes qui comportent un vantail suspendu au rail par des jeux de galets roulant sur la surface supérieure du rail.

Parmi ces portes coulissantes, l'invention concerne celles du type dans lequel le vantail, quand il atteint sa position de fermeture, subit par rapport à son plan de coulissement un mouvement qui présente une composante verticale et/ou perpendiculaire au plan du vantail et dirigée vers le dormant. Ce type de porte coulissante est généralement utilisé dans le bâtiment ou l'industrie, ou plus généralement dans les locaux techniques , par exemple pour la réalisation d'une fermeture étanche.

Ce mouvement du vantail de la porte est obtenu, de façon connue, à l'aide d'encoches ou dépressions qui sont ménagées dans la surface supérieure du rail et dans lesquelles les galets tombent en fin de course de fermeture.

Pour l'ouverture de la porte, il faut que celle-ci, à partir de sa position de fermeture, se soulève légèrement pour que les galets sortent des encoches. Actuellement, ce mouvement de soulèvement est obtenu à l'aide d'une poignée qui est articulée sur le vantail pour constituer un levier et dont une extrémité vient coopérer avec une butée fixe portée par un montant latéral du dormant.Lors du basculement de la poignée dans un plan parallèle à celui du vantail, l'extrémité libre du levier vient en appui contre la butée fixe, ce qui sollicite, par réction, le vantail à se déplacer sensiblement dans son plan dans le sens de l'ouverture,
Toutefois, un tel agencement présente divers inconvénients d'une part, la poignée et la butée sont en saillie à une hauteur située entre 1,50 et 2 m du sol, ce qui présente un danger d'accrochage pour le personnel, les pièces étant au surplus inesthétiques et difficiles à nettoyer ; cet inconvénient est aggravé par le fait que, pour verrouiller la serrure, il'est nécessaire de prévoir une serrure séparée, ellememe généralement également en saillie ; d'autre part, pour les vantaux de faible largeur et de grande hauteur, ceux-ci ont tendance, à l'ouverture, à se mettre en biais du fait que l'axe de la poignée, sur lequel s'exerce l'effort de réaction, est situé trop près du sol et au-dessous du centre de gravité du vantail.

L'invention a pour but de remédier à ces inconvénients en proposant un dispositif de manoeuvre qui réduise au maximum le nombre de pièces en saillie et qui permette d'ouvrir le vantail, à partir de sa position de fermeture, sans aucun risque de basculement du vantail dans son plan.

A cet effet, le dispositif de manoeuvre selon l'invention est caractérisé par le fait qu'il comporte : au moins une poignée mobile de manoeuvre portée par le vantail ; au moins un élément d'appui fixe porté par le dormant au voisinage du rail ; au moins un élément complémentaire porté par le vantail pour coopérer avec l'élément d'appui fixe pour pouvoir se déplacer verticalement par rapport à celui-ci et des moyens de couplage entre la poignée et l'élément complémentaire, l'ensemble étant tel que, lorsque la poignée est actionnée dans le sens de l'ouverture pour la position fermée du vantail, l'élément complémentaire coopère avec l'élément d'appui fixe pour soulever au moins localement le vantail.

Avec un tel agencement, la manoeuvre de la poignée dans le sens de l'ouverture amène en coopération l'élément d'appui fixe, voisin du rail supérieur, et l'élément complémentaire pour créer sur le vantail une force verticale ascendante permettant à celui-ci de sortir des encoches.

De préférence, l'élément complérentaire est constitué par au moins un galet qui est monté sur un axe horizontal perpendiculaire au plan du vantail.

Suivant un mode de réalisation préféré, l'élément complémentaire est monté sur un coulis seau qui est attelé à une tige verticale couplée à la poignée par une bielle, la tige verticale et la bielle étant avantageusement noyées dans le vantail et la tige verticale sortant du vantail à travers le chant supérieur horizontal de celui-ci. Cet élément complémen taire peut etre disposé au voisinage immédiat du galet avant en considérant le sens de fermeture du vantail.

Suivant un premier mode de réalisation, l'élément d'appui fixe est constitué par une rampe inclinée vers le bas et vers l'arrière pour que le soulèvement local du vantail s'accompagne d'un déplacement horizontal dans le sens de l'ouver ture.

Suivant un autre mode de réalisation, l'élément d'appui fixe est constitué par une piste horizontale permettant seulement le soulèvement du vantail lors du basculement de la poignée, le déplacement horizontal du vantail étant assuré par une action correspondante sur la poignée.

En variante, le dispositif peut comporter deux éléments d'appui fixes situés au voisinage des galets avant et arrière , et deux éléments complémentaires associés.

Suivant une autre caractéristique, la poignée est associée à une serrure propre à désaccoupler la poignée et les moyens de couplage pour la position verrouillée de la serrure.

Cette poignée est située du côté extérieur du vantail, une poignée intérieure étant prévue et reliée en permanence aux moyens de couplage.

Suivant une autre caractéristique, le dormant porte un élément de verrouillage qui est situé sur le trajet de l'élément complémentaire ou d'un élément associé à celui-ci pour ne permettre l'ouverture du vantail que lorsque ledit élément complémentaire est en position basse commandée par la poignée.

On comprendra bien l'invention à la lecture du com plément de description qui va suivre et en référence aux dessins annexés dans lesquels
Fig. 1 est une vue schématique en élévation montrant le type de porte coulissante suspendue auquel est appliquée l'invention
Fig. 2 est une vue en perspective, avec arrachement, de la partie supérieure avant de la porte de la Fig. 1 équipée du dispositif selon un mode de réalisation de l'invention;
Fig. 3 est une vue en élévation avant suivant la flè che III de la Fig. 2
Fig. 4 est une vue partielle en plan de la porte des
Figs. 2 et 3 ; et
Fig. 5 est une vue en élévation en bout suivant la flèche V de la Fig. 2.

On a schématiquement représenté sur la Fig. 1 une porte coulissante suspendue à laquelle est appliquée l'invention. Cette porte est par exemple établie suivant la demande de brevet français nO 85 07 598 de la Demanderesse.

Cette porte coulissante est constituée par un dormant 1 et un vantail coulissant 2. Pour le coulissement du vantail 2, le dormant 1 porte, à sa partie supérieure, un rail hori-.

zontal 3 qui coopère, par sa surface supérieure, avec un jeu de galets avant 4 et un jeu de galets arrière 5 portés par une monture avant 6 et une monture arrière 7 d'accrochage du vantail 2. La position du vantail2 peut être réglée par ajustement de la position du vantail 2 par rapport aux montures 6,7 ou par ajustement des galets 4,5 par rapport à ces montures.

Dans le mode de réalisation décrit ici, chaque ensemble de galets comporte par exemple un galet unique.

Pour réaliser une fermeture étanche, le vantail 2 est équipé, sur son bord inférieur, d'un joint d'étanchéité 8 tandis que, sur ces trois autres côtés, il porte un joint 9 placé sur sa face qui est tournée vers le dormant 1
Quand il atteint la position fermée, le vantail 2 subit un léger mouvement de descente et de rapprochement du dormant 1, de sorte que le joint inférieur 8 vient appuyer contre le sol 10 et que le joint 9 vient appuyer sur la face extérieure du dormant 1.

Ce léger mouvement du vantail 2, en fin de course de fermeture, est obtenu grâce à une encoche ou dépression avant 11 et une encoche ou dépression arrière 12 portées par la face supérieure du rail 3 sur laquelle roulent les deux galets 4 et 5.

Pour réaliser l'ouverture du vantail 2, à partir de sa position fermée représentée sur la Fig. 1, le vantail doit subir un léger mouvement de soulèvement lui permettant de sortir des encoches 11 et 12. Pour réaliser ce début de course d'ouverture du vantail, on a recours au dispositif suivant l'invention qui sera maintenant décrit en référence aux Figs.

2 et 5.

Ce dispositif comporte, dans le mode de réalisation représenté, une poignée mobile de manoeuvre 13 qui est portée par la face extérieure du vantail 2, un élément d'appui fixe 14 porté par le dormant 1 au voisinage du rail 3, au moins un élément complémentaire 15 porté par le vantail pour coopérer avec l'élément d'appui fixe 14 et pour pouvoir se déplacer verticalement par rapport à celui-ci, et des moyens 16 de couplage entre la poignée 13 et l'élément complémentaire 15, l'ensemble étant tel que, lorsque la poignée 13 est actionnée dans le sens de l'ouverture, comme montré par la flèche A, à partir de la position fermée du vantail, l'élément complémentaire 15 vienne coopérer avec l'élément d'ap- pui fixe 14 pour soulever au moins localement le vantail 2.

La poignée 13 actionne une tige carrée 17 perpendiculaire au plan du vantail 2 et solidaire d'une biellette 18 à l'extrémité libre de laquelle est articulée l'extrémité inférieure d'une tige verticale 19 dont l'extrémité supérieure filetée est accrochée, avec possibilité de débattement angulaire, à une patte horizontale 20 faisant partie d'un coulisseau 21. Le coulisseau 21 peut se délacer verticalement,comme montré par la double flèche B, en étant reçu dans une glissière 22 portée fixement par la monture 6 de manière réglable . Le coulisseau 21 porte à son extrémité supérieure un axe 23 qui est perpendiculaire au plan du vantail 2 et qui reçoit de manière tournante l'élément complémentaire 15 constitué par un galet.

Comme montré en particulier sur la Fig. 2, la biellette 18 et la tige 19 sont noyées dans le vantail 2, la tige 19 sortant du vantail par le chant supérieur horizontal 24 de celui-ci.

La tige carrée 17 constitue la tige de sortie d'une serrure 25 reliant la poignée extérieure 13 à cette tige 17.

La serrure 25, en elle-même connue, est agencée pour ne solidariser la poignée 13 et la tige 17 que lorsqu'elle est en position ouverte, alors que la poignée 13 est folle quand la serrure est fermée.

La tige carrée 17 porte fixement une poignée intérieure 26, obligatoire dans certains locaux, qui permet d'ouvrir le vantail 2 quelle que soit la position de la serrure 25.

Le galet 15 est situé au voisinage immédiat et en avant du galet de suspension 4 en considérant le sens de fermeture C du vantail.

L'élément d'appui fixe 14 est solidaire d'une plaque verticale 27 qui est elle-même montée, de manière réglable, sur un support 28 porté par le dormant 1 et supportant le rail 3.

Dans le mode de réalisation représenté, l'élément d'appui 14 est situé immédiatement au-dessus du rail 3 et en avant de l'ensemble constitué par les galets 4 et 15 en considérant le sens de fermeture C. Dans ce mode de réalisation, l'élément d'appui 14 est en forme de cornière dont une aile 14a est inclinée vers le bas et vers l'arrière pour coopérer avec le galet 15.

Le galet 15, sous la commande de la poignée 13 ou 26, peut être déplacé entre une position haute, représentée sur les dessins, pour laquelle il est situé au niveau supérieur de l'élément fixe 14, et une position basse pour laquelle il est situé à la partie inférieure de cet élément fixe.

On décrira maintenant le fonctionnement du dispositif selon l'invention. A partir de la position fermée du vantail pour laquelle los galets 4,5 sont situés dans les encoches respectives 11, 12, l'opérateur, après avoir déverrouillé la serrure 25, actionne la poignée 13 ou 26 dans le sens A. Ce mouvement de la poignée provoque une rentrée de la tige verticale 19 dans le vantail, ce qui amène le galet 15 à rouler sur le plan incliné 14a de l'élément fixe 14. La poursuite du basculement de la poignée 13 ou 26 provoque la descente du galet 15 le long du plan incliné 14a, ce mouvement présentant une composante horizontale dirigée dans le sens D d'ouvertu re du vantail.Cette composante horizontale, qui est transmise du galet 15 à la monture 6 et au galet avant 4, provoque un déplacement du vantail dans le sens D pour le faire sortir non seulement de l'encoche avant 11, mais également de l'encoche arrière 12. Du fait que cette composante horizontale d'ouverture est appliquée à la partie supérieure du vantail, il n'y a aucun risque que le vantail, même s'il est de grande hauteur, se mette en biais. I1 est à noter que l'opérateur n'a pas à exercer sur la poignée 13 ou 26 une traction dans le sens de l'ouverture, mais simplement un mouvement de basculement. Quand les galets sont sortis des encoches, à la fin de la descente du galet 15 par rapport au plan incliné 14a, l'opérateur n'a plus alors qu'à tirer sur la poignée 13 ou 26 dans le sens de l'ouverture du vantail.

Avantageusement, on prévoit, en association avec la serrure 25, des moyens permettant de verrouiller le vantail 2 quand la serrure est fermée et la poignée 13 ou 26 en position verticale de fermeture. Ces moyens sont constitués par un élément de verrouillage ou loquet 29 qui est situé sur le trajet du galet 15 ou de son axe 23 pour la position haute du galet. Le loquet 29 est porté par le support fixe 28. I1 est constitué par un levier vertical qui est articulé à sa partie supérieure sur le support 28 et dont l'extrémité inférieure est biseautée pour constituer une rampe. Le loquet 29 est rappelé vers sa position verticale de verrouillage soit par gravité, soit par un ressort. Son biseau inférieur est situé dans un plan vertical parallèle au plan du vantail 2 qui contient l'extrémité de l'axe 23 du galet 15.

En hauteur, le biseau du loquet 29 est situé au même niveau que l'axe 23 en position haute.

On comprendra que, lorsque la serrure 25 est fermée, et que par conséquent la poignée 13 est folle, la tige verticale 19 ne peut pas être actionnée depuis l'extérieur, et par conséquent le galet 15 et son axe 23 ne peuvent pas être descendus. Si, par conséquent, on exerce sur la poignée 13 une action de traction dans le sens de l'ouverture du vantail 2, celui-ci se déplace très légèrement dans le sens de l'ouverture mais l'axe 23 vient buter très rapidement contre le loquet 29, ce qui interdit l'ouverture du vantail. Au contraire, lorsque la serrure 25 est ouverte, le galet 15 et son axe 23 peuvent être descendus par basculement de la poignée 13, ce qui permet à l'axe 23 d'échapper au loquet 29. Bien entendu, ces moyens de verrouillage sont inactifs quand la porte est ouverte depuis l'intérieur du local, car la poignée intérieure 28 est couplée en permanence à la tige verticale 19.Lors de la fermeture du vantail, l'axe 23 passe sous le loquet 29 si la poignée 13 est en position d'ouverture ou, si celle-ci est en position de fermeture, il est en position haute et fait basculer le loquet 29 qui retombe ensuite derrière lui.

A titre de variante pour les moyens de décollement de la porte, on pourrait prévoir l'élément fixe sous la forme d'une piste horizontale permettant seulement le soulèvement du vantail par la manoeuvre de la poignée, le déplacement horizontal du vantail étant ensuite assuré par une action correspondante sur la poignée.

Comme autre variante, on pourrait prévoir deux éléments d'appui fixe situés au voisinage des galets avant et arrière, et deux éléments complémentaires associés.

Comme autre variante, on pourrait également disposer le ou les éléments fixes, ainsi que les éléments complémentaires associés, sous le rail 3.

Il ressort de ce qui précède que, grâce au dispositif selon l'invention, le nombre de pièces en saillie est très réduit et que la porte quitte de manière fiable sa position de fermeture. Au surplus, quand on a recours à la serrure 25 et au loquet 29, toute tentative d'ouverture non-autorisée de la porte est vouée à l'échec, le fait que la poignée 13 est rendue folle empêchant au surplus tout effet de levier qui serait susceptible de dégrader les pièces.

L'invention n'est donc pas limitée au mode de réalisation qui a été décrit ; on pourrait au contraire concevoir diverses variantes sans sortir pour autant de son cadre.

Claims (10)

REVENDICAT I0TS

1. Dispositif de manoeuvre pour porte coulissante suspendue, la porte comportant un vantail (2) suspendu à un rail (3) par des galets (4,5) portés par le vantail et roulant sur la surface supérieure d'un rail (3) fixé sur le dormant (1) et présentant des encoches ou dépressions (11,12) agencées pour recevoir les galets en fin de course de fermeture du vantail pour que celui-ci, en atteignant la position fermée, se déplace suivant un mouvement ayant une composante verticale et/ou perpendiculaire au plan du vantail; caractérisé par le fait qu'il comporte : au moins une poignée mobile de manoeuvre (13,26) portée par le vantail (2) ; au moins un élément d'appui fixe (14) porté par le dormant (1) au voisinage du rail (3) ; au moins un élément complémentaire (15) porté par le vantail pour coopérer avec l'élément d'appui fixe (14) pour pouvoir se déplacer verticalement par rapport à celui-ci ; et des moyens de couplage (16) entre la poignée et l'élément complémentaire, l'ensemble étant tel que, lorsque la poignée est actionnée dans le sens de l'ouverture pour la position fermée du vantail, l'élément complémentaire coopère avec l'élément d'appui fixe pour soulever au moins localement le vantail.

2. Dispositif selon la revendication 1, caractérisé par le fait que l'élément complémentaire (15) est constitué par au moins un galet monté sur un axe horizontal (23) perpendiculaire au plan du vantail.

3. Dispositif selon l'une des revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que l'élément complémentaire (15) est monté sur un coulisseau (21) qui est attelé à une tige verticale (19) couplée à la poignée par une bielle (18) la tige verticale et la bielle étant de préférence noyées dans le vantail (2) et la tige verticale sortant du vantail à travers son chant horizontal supérieur (24).

4. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que I'élment complémentaire (15) est disposé au voisinage du galet avant (4) en considérant le sens de fermeture(C)du vantail

5. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que l'élément d'appui fixe (14) présente une rampe (14a) inclinée vers le bas et vers l'arrière pour que le soulèvement local du vantail s'accompagne d'un déplacement horizontal dans le sens (D) de l'ouverture.

6. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que l'élément d'appui fixe (14) est constitué par une piste horizontale permettant seulement le soulèvement du vantail, le déplacement horizontal du vantail étant assuré par une action correspondante sur la poignée.

7. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait ou'il comporte deux éléments d'appui fixes situés au voisinage des galets avant et deux éléments complémentaires associés.

8. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que la poignée (13) est associée à une serrure (25) propre à désaccoupler la poignée et les moyens de couplage (16) pour la position verrouillée de la serrure.

9. Dispositif selon la revendication 8, caractérisé par le fait que la poignée (13) est située du côté extérieur du vantail, une poignée intérieure (26) étant reliée en permanence aux moyens de couplage (16).

10. Dispositif selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisé par le fait que le dormant (1) porte un élément de verrouillage (29) qui est situé sur le trajet de l'élément complémentaire (15) ou d'un élément (23) associé à celui-ci pour ne permettre l'ouverture du vantail (2) que lorsque ledit élément complémentaire est en position basse commandée par la poignée.