FR2559071A1 - Perfectionnement aux appareils entraineurs de sportifs - Google Patents

Abstract

L'INVENTION CONCERNE DES APPAREILS ENTRAINEURS DE SPORTIFS. ELLE EST CARACTERISEE PAR LE FAIT QUE L'UNITE DE CONTROLE A UNE STRUCTURE ANALOGUE A CELLE D'UN DISTRIBUTEUR DE BILLETS COMPRENANT UN SYSTEME INFORMATIQUE AVEC : -UNE IDENTIFICATION DU SPORTIF PAR LECTURE D'UNE CARTE PROPRE A L'INDIVIDU ET INCORPORANT EN MEMOIRE TOUTES LES INFORMATIONS; -UN CLAVIER 4; -UN ECRAN VIDEO 5; -UNE IMPRIMANTE 6; -UNE MEMOIRE 7; -UN ENSEMBLE 8 A BASE DE MICRO-PROCESSEUR PERMETTANT LA LIAISON DES ELEMENTS PRECEDENTS, LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS RECUES ET L'ENVOI DES SIGNAUX PAR LES MOYENS DE TRANSMISSION.

Description

Domaine technique L'invention concerne des perfectionnements aux appareils

entraineurs de sportifs, généralement sur une piste, en particulier un stade, une piscine, un vélodrome, un autodrome ou autre qui présentent des émetteurs de signaux à l'égard du sportif, à partir de blocs avertisseurs répartis sur le.parcours, lesdits signaux étant programmés et personnalisés pour chaque sportif à partir d'une unité centrale et étant

susceptibles d'être modifiés.

Problème posé Le problème est le même que celui qui a été évoqué dans le brevet français 2 155 149 mais, en plus, devant pouvoir posséder une plus grande gamme d'utilisation pour être appliqué sur n'importe quel parcours en s'affranchissant des

installations fixes.

Etat de la technique et inconvénients L'état de la technique en la matière est établi

dans le brevet 2 155 149 et dans le brevet 2 105 662.

Ces brevets décrivent un système central à base de logique électromécanique comprenant, notamment, des moteurs et des minuteries. Toutes les commutations de puissance se font au niveau central et les liaisons électriques sont faites par câbles point à point, c'est-à-dire que chaque lampe est reliée physiquement par un fil au poste central. La section de ces fils doit avoir au minimum un millimètre carré environ. Le réglage des rythmes de course est peu souple; en particulier, il n'y a pas de possibilités de mémorisation de performances antérieures, des records en particulier. La précision et la fiabilité de ces dispositifs sont limitées par celles des dispositifs électromécaniques, c'est-à-dire celles des pièces

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en mouvement. Il existe une usure et une sensibilité aux

conditions extérieures.

Il existe aussi un système avec automates programmables, avec le même principe de ce qui vient d'être indiqué, mais dans lequel les automates remplacent l'électromécanique. On a l'avantage d'une facilité de programmation, des possibilités de mémorisation de records et de la précision électronique (au 100ème de seconde). Cependant, on a encore les inconvénients des liaisons électriques point à

point en étoile et du coût élevé des interfaces de sortie.

La présente invention est destinée à remédier à ces inconvénients. Exposé de l'invention L'appareil entraineur de l'invention est caractérisé principalement par le fait qu'il met en oeuvre une unité centrale, des blocs avertisseurs émetteurs de signaux et des moyens de transmission qui utilisent des moyens récents de l'électronique et de l'informatique en combinant: a) une unité centrale comprenant - des moyens d'identification du sportif, - des moyens d'information du sportif sur 1) les performances de sportifs types, 2) des temps intermédiaires réalisés par les sportifs au passage de chaque bloc avertisseur, - des moyens d'introduction de données et de dialogues, tels que clavier, écran ou imprimante permettant d'introduire, notamment, la temporisation entre la mise en marche du programme et le moment du départ, - les temps intermédiaires que se propose de réaliser le sportif au passage en face de chaque bloc avertisseur émetteur

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de signaux, - du temps total de la course, - de la série de signaux personalisés choisie, - des moyens de programmation des éléments affichés et de mise en marche du programme. b) de blocs avertisseurs émetteurs de signaux combinant: 1) des moyens de détection de signaux qui lui sont destinés, 2) des moyens de mise en oeuvre desdits signaux, 3) des moyens personalisés pour le sportif et assurant l'avertissement de l'approche du départ, 4) des moyens assurant les commandements du départ, ) des moyens prévenant de la différence de temps en plus ou en moins, au passage du sportif par rapport au temps programmé, c) des moyens de transmission depuis l'unité de contrôle jusqu" aux blocs avertisseurs émetteurs pour déclencher successivement, au moment voulu, dans ceux-ci le processus

d'avertissement prévu en b).

Suivant une forme préférée de réalisation, l'unité centrale de contrôle a une structure analogue à celle d'un distributeur de billets comprenant un système informatique avec - une identification du sportif par lecture d'une carte propre à l'individu et incorporant en mémoire toutes les informations nécessaires, - un clavier autorisant l'introduction des données, - un écran vidéo, - une imprimante délivrant sur un support matériel les renseignements demandes, - une mémoire,

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- un ensemble à base de micro-processeurs permettant la liaison des éléments précédents, le traitement des informations reçues

et l'envoi des signaux par les moyens de transmission.

Généralement, les blocs avertisseurs émetteurs de signaux ont un moyen de décodage permettant de recevoir et de traiter les informations émises par l'unité centrale et des moyens qui émettent des signaux du type lumineux et sonores avec des lampes de couleurs différentes, chacune des couleurs de lampes correspondant à un sportif différent, - les signaux lumineux étant émis par un dispositif clignotant avant le passage prévu par le sportif au niveau dudit bloc, et étant continu à partir du temps prévu pour ledit passage, - les signaux sonores assurant les appels réglementaires pour le départ, notamment les trois appels "à vos marques", "prêts,

"partez".

Pour améliorer la commodité, on prévoit que les signaux lumineux du bloc destinés à assurer le départ sont prévus avec un dispositif clignotant à fréquence croissante au

fur et à mesure qu'on se rapproche du moment du départ.

Les signaux sonores peuvent être émis par sonnerie

mais ils sont généralement émis par haut-parleurs.

Les blocs avertisseurs émetteurs peuvent être alimentés par un cablage séparé mais, pour la commodité de l'installation et du déploiement de l'ensemble, on prévoit

généralement une alimentation indépendante pour chacun d'eux.

Cette dernière alimentation est particulièrement commode 'si on s'affranchit de tous cablages en assurant un moyen de transmission constitué par une combinaison de communication hertzienne avec un émetteur dans l'unité centrale et un

récepteur dans chacun des blocs avertisseurs.

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Cependant, les moyens de transmission peuvent aussi être constitués par un câble bifilaire dans lequel sont envoyés des signaux de sensibilisation indidividuels de chacun des

blocs avertisseurs.

Solution au problème, avantages et r6sultats industriels On comprend immédiatement que le dispositif de l'invention s'affranchisse de tous les inconvénients qui ont été cités au début du présent mémoire et qu'il présente une

très grande souplesse d'utilisation.

En effet, il y a beaucoup moins de cablage et même on peut s'en affranchir totalement dans le cas d'une liaison hertzienne. On peut ajouter des blocs avertisseurs émetteurs de signaux supplémentaires à volonté. On peut programmer avec une grande facilité, à partir de l'unité centrale puisque celle-ci

possède un ordinateur.

Dans l'état actuel de la technique, le coût de cet appareillage est plus faible que celui de l'appareillage prévu antérieurement. Leur fiabilité est grande; leur dépannage est facile car on peut prévoir, comme on le verra, des cartes

électroniques et des bornes banalisées.

L'invention sera mieux comprise à l'aide de la

description suivante qui en donne quelques exemples non

limitatifs de réalisation pratique et qui sont illustrés dans

les dessins joints.

Brbve description des figures

Dans- ces dessins, la figure i est une vue schématique synoptique

simplifiée d'une unité centrale et d'un bloc avertisseur.

La figure 2 est une vue extérieure d'un bloc

0 avertisseur.

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La figure 3 est un organigramme de fonctionnement

d'un bloc avertisseur.

La figure 4 est un schéma d'installation de

l'ensemble avec un système à liaison par paires torsadées.

La figure 5 est un schéma d'installation de

l'ensemble d'un système à transmission par liaison hertzienne.

Description de quelques modes de réalisation

Le dispositif est composé d'une unité centrale (1)

et de blocs avertisseurs émetteurs de signaux (2).

L'unité centrale (1) comprend un moyen d'identification du sportif (3) par lecture d'une carte propre audit sportif; cette carte incorpore en mémoire toutes les informations relatives à celui-ci. L'unité centrale (1) comporte encore un clavier (4) autorisant l'introduction des données, un écran vidéo (5), une imprimante (6), délivrant les informations sur un papier, une mémoire (7) et un ensemble (8) à base de micro-processeurs permettant la liaison avec les éléments précédents, le traitement des informations reçues et l'envoi des signaux par des moyens de transmission qui vont

être décrits ci-après.

A partir de ce dispositif, et de la mémoire, le sportif peut obtenir des informations sur les performances de sportifs qu'il connait déjà grâce à la mémoire (7) à l'ensemble à base de micro-processeur (8) par lesquels il transmettra ces questions posées par le clavier (4) et à partir desquelles il obtiendra une réponse par l'écran vidéo (5) et/ou l'imprimante (6). Le sportif pourra aussi programmer la performance qu'il désire réaliser en agissant sur le clavier (4). Il pourra, en particulier, introduire la temporisation entre la

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mise en marche du programme de sa course et le moment du départ, ainsi que les temps intermédiaires qu'il se propose de réaliser au passage en face de chaque bloc avertisseur émetteur de signaux (2) qui sont répartis sur le parcours comme dans les réalisations antérieures. Il peut aussi introduire le temps total de la course et la série des signaux personnalisés qu'il

veut obtenir de chaque bloc avertisseur émetteur (2).

En gros, chaque bloc avertisseur émetteur (2) (figure 2) se compose d'un socle étanche (9) surmonté d'un poteau (10) qui supporte un ensemble de galettes (11) colorées de diverses manières et qui peuvent émettre des signaux lumineux. Il peut être surmonté d'un haut-parleur (12) donnant des indications vocales. En gros, le socle (9) comporte un moyen de décodage (13) permettant de recevoir et de traiter les informations émises par l'unité centrale (1), traitement qui est fait dans l'élément (14). L'ensemble comprend son alimentation en énergie (15), par exemple, une batterie d'accumulateur. La ligne (27) conduit les signaux à la série de galettes (11) et au haut-parleur (12) pour commander et ordonner la course. Par exemple, des signaux lumineux émis clignotent avant le passage prévu par le sportif au niveau dudit bloc et sont continus à partir du temps prévu pour ledit passage. Le haut-parleur (12) assure les appels réglementaires pour le départ notamment les trois appels "à vos marques", "prêts" et "partez". De façon plus élaborée, on peut prévoir que les signaux lumineux du bloc destinés à assurer le départ à partir des galettes (11), sont prévus avec un dispositif clignotant à fréquence croissante au fur et à mesure qu'on se rapproche du moment du départ. I1 est évident qu'on prévoit autant de galettes que l'on veut de couleur spécialisée pour

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chacun des sportifs.

D'une manière plus détaillée, représentée à la figure 3, on voit que le socle (9) comporte un appareillage (27) recevant les données dès que le permet un appareillage (17) autorisant le début des opérations. En (18) est représenté un dispositif traitant le premier octet reçu et déterminant l'adresse de la borne. (19) opère le rangement des octets dans le buffer. (20) détermine le numéro de la lampe de la galette (11) à commander dans la

lecture du deuxième octet.

(21) assure la lecture du troisième et du quatrième octet pour examiner la temporisation destinée à la durée du clignotement de la lampe de la galette (11) considérée. (22) autorise la validation du fonctionnement de la lampe

considérée. (23) est une unité de clignotement.

(24) est un circuit temporisateur qui arrête le

fonctionnement de l'ensemble à la fin de l'opération.

(25) est un dispositif qui commande l'allumage fixe

de la lampe considérée.

A la figure 4, on a représenté un système avec une liaison par paire de cables torsadés. Dans ce cas, l'alimentation par un cable bifilaire peut être centralisée. Le cable sert évidemment à envoyer des signaux de sensibilisation

individuels de chacun des blocs avertisseurs (2).

A la figure 5, on a supprimé la liaison par câble et on l'a remplacée par une liaison hertzienne que l!on a

symbolisée par des antennes (26).

On comprend donc qu'il y a une unité centrale (1) et un nombre "n" de bornes lumineuses qui, pratiquement, peuvent facilement atteindre un chiffre aussi élevé que 128 et

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qui sont réparties à la périphérie de la piste, tout le long du parcours. Le fonctionnement de l'ensemble va maintenant être décrit. Le processus est fondé sur un système de transmission de données fonctionnant simplement avec un cable bifilaire (ler cas) sur lequel toutes les bornes lumineuses

sont connectées en parallèle.

Dans l'unité centrale, l'utilisateur introduit le badge qui lui aura été préalablement délivré par le club ou par l'organisme dont il dépend. Ce badge, introduit dans le moyen d'identification (3) est répertorié et mémorisé pour être reconnu par l'ensemble (7, 8). L'unité centrale (1) peut d'ailleurs être enfermée dans un coffret avec une porte métallique l'ensemble préservant l'unité centrale pour

ressembler à un appareil distributeur de billets.

Dès l'introduction de la carte, un "menu" ou liste de question va apparaître à l'écran vidéo (5) dans le but de connaître des informations sur le type de courses que veut réaliser le sportif (100, 200, 400, 800, 1500, 5000 mètres, etc...). L'écran posera aussi des questions sur la performance à laquelle le coureur veut se mesurer, étant entendu que les performances de sportifs types sont aussi affichées et mémorisées en (7). Elles sont tenues régulièrement à jour par le responsable de l'installation. Le sportif répond alors par le clavier (4). L'écran interroge alors sur le temps total de

la course, les temps intermédiaires de chaque tour etc...

Le sportif peut d'ailleurs choisir les temps qu'il veut, c'est-à-dire soit choisir un course régulière, ce qui entraine un déploiement à vitesse constante des signaux

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lumineux, soit choisir un course irrégulière programmée, ce qui entraine un défilement régulier des signaux lumineux uniquement sur une

portion de course, ou d'un tour par exemple.

Le sportif, à l'aide du clavier (4), choisit aussi la couleur de la lampe de la galette (11) qu'il désire chbisir, et s'affecte ainsi cette couleur qu'il attribue à la

performance mémorisée à laquelle il s'attaque.

Ceci lui permet de se mesurer à un coureur fictif, dont l'allure est matérialisée par l'allumage des signaux

lumineux de la seconde lampe choisit.

Le sportif choisit encore, sur le clavier (4), le délai, par une temporisation, dont il souhaite disposer pour se rendre sur la ligne de départ qui lui sera d'ailleurs précisé sur l'écran vidéo (5) en fonction du type de course qu'il aura retenu. Il va de soi que ce qui est envoyé par le clavier (4) peut être controlé sur l'écran (5). Des vérifications peuvent être alors effectuées pour examiner notamment si le temps total prévu pour la course est bien égal à la somme des

temps intermédiaires.

Une validation ou confirmation est demandée au sportif; celle-ci étant faible, le sportif reçoit de l'imprimante (6) une note récapitulative de l'ensemble. On déclenche alors le commencement des opérations et la temporisation est alors déclenchée afin de permettre su sportif

de se rendre au départ et de se préparer à la course.

Dès ce moment, les lampes du bloc avertisseur (2) situées sur la ligne de départ, bloc qui a été choisit au préalable par le sportif pour matérialiser la performance à il 2559071 laquelle il s'attaque et la performance qu'il désire accomplir, se mettent à clignoter lentement puis de plus en plus vite jusqu'au moment du départ. Trois avertisseurs sonores placés dans le bloc simulent les trois phases du départ classique "à vos marques", "prêts" et "partez". Au top de départ, les lampes de la borne ne scintillent plus. Elles sont allumées de manière continue et ce sont alors les lampes correspondantes de la borne suivante qui se mettent à clignoter selon le principe précédent. Elles clignotent de plus en plus vite au fur et à mesure que le temps calculé par l'unité centrale pour parcourir la distance s'écoule. Le temps étant écoulé, la lampe correspondante est

éclairée de façon fixe et ainsi de suite.

L'unité centrale adresse donc des messages

successifs à toutes les bornes.

En ce qui concerne les bornes, elles reçoivent toutes les informations envoyées par l'unité centrale qui sont

constituées par l'adresse du sportif.

Les trois informations correspondant respectivement - aux numéros des lampes allumées, - à la durée pendant laquelle elles doivent rester allumées et clignotées,

- à la fréquence de clignotement etc...

Les blocs avertisseurs émetteurs ou bornes qui recoivent ces informations analysent l'adresse pour savoir si

oui ou non ces consignes lui sont destinées.

Lorsque le bloc s'est reconnu comme étant le destinataire de ces ordres, il les exécute ce qui entraine le

fonctionnement décrit ci-dessus.

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Evidemment, ce fonctionnement est exactement le même qu'il s'agisse d'un système de transmission per câble bifilaire, ou par tout autre transmission par- câble ou encore

par un système de transmission par ondes hertziennes.

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Claims (1)

REVENDICATIONS 1. Perfectionnement aux appareils entraineurs de sportifs, généralement sur une piste, en particulier un stade, une piscine, un vélodrome, un autodrome ou autre qui présentent des émetteurs de signaux à l'égard du sportif, à partir de blocs arvertisseurs répartis sur le parcours, lesdits signaux étant programmés et personnalisés pour chaque sportif à partir d'une unité centrale et étant susceptibles d'être modifiés c a r a c t é r i s é s par le fait qu'on met en oeuvre une unité centrale (1), des blocs avertisseurs émetteurs de signaux (2) et des moyens de transmission qui utilisent des moyens récents de l'électronique et de l'informatique en combinant: a) une unité centrale (1) comprenant - des moyens d'identification (3) du sportif, - des moyens d'information du sportif sur 1) les performances de sportifs types, 2) des temps intermédiaires réalisés par les sportifs au passage de chaque bloc avertisseur, -des moyens d'introduction de données et de dialogues, tels que clavier (4), écran (5) ou imprimante (6) permettant d'introduire, notamment, la temporisation entre la mise en marche du programme et le moment du départ, - les temps intermédiaires que se propose de réaliser le sportif au passage en face de chaque bloc avertisseur émetteur de signaux (2), - du temps total de la course, - de la série de signaux personalisés choisie, des moyens de programmation des éléments affichés et de mise en marche du programme. b) de blocs avertisseurs émetteurs de signaux (2) combinant: 1) des moyens (18) de détection de signaux qui lui sont destinés, 2) des moyens (14) de mise en forme desdits signaux, 3) des moyens (20) personnalisés pour le sportif et assurant l'avertissement de l'approche du départ, 4) de moyens (16) assurant les commandements du départ, ) de moyens prévenant de la différence de temps en plus ou en moins, au passage du sportif par rapport au temps programmé, c) des moyens (26) de transmission depuis l'unité de contrile jusqu'aux blocs avertisseurs émetteurs (2) pour déclencher successivement, au moment voulu, dans ceux- ci le processus d'avertissement prévu en b). 2. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini dans la revendication 1, c a r a c t é r i s é par le fait que l'unité de contrôle a une structure analogue à celle d'un distributeur de billets comprenant un système informatique avec - une identification du sportif (3) par lecture d'une carte propre à l'individu et incorporant en mémoire toutes les informations nécessaires, - un clavier (4) autorisant l'introduction des données, - un écran vidéo (5), - une imprimante (6) délivrant sur un support matériel les renseignements demandés, - une mémoire (7), - un ensemble (8) à base de micro-processeur permettant la liaison des éléments précédents, le traitement des informations reçues et l'envoi des signaux par les moyens de transmission. 3. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini 2559071 dans la revendication 1, c a r a c t 6 r i s 6 par le fait que les blocs avertisseurs émetteurs de signaux (2) ont un moyen de décodage (13) permettant de recevoir et de traiter les informations émises par l'unité centrale (1) et des moyens (23, 25, 12) qui émettent des signaux du type lumineux et sonores avec des lampes de couleurs différentes, chacune des couleurs de lampes correspondant à un sportif différent, - les signaux lumineux étant émis par un dispositif clignotant (23, 25) avant le passage prévu par le sportif au niveau dudit bloc, et étant continu à partir du temps prévu pour ledit passage, - les signaux sonores (12) assurant les appels réglementaires pour le départ, notamment les trois appels "à vos marques", "prêts", "partez". 4. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini dans la revendication 3, c a r a c t é r i s à par le fait que les signaux lumineux du bloc destinés à assurer le départ sont prévus avec un dispositif clignotant (23) à fréquence croissante au fur et à mesure qu'on se rapproche du moment du départ. 5. Appareil entraineur de sportifs tel que défini dans la revendication 3, c a r a c t 6 r i s 6 par le fait que les signaux sonores sont émis par haut-parleurs (12). 6. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini dans la revendication 3, c a r a c t é r i s 6 par le fait que les blocs avertisseurs émetteurs (2) ont leur propre source (15) d'alimentation d'énergie. 7. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini dans la revendication 1, c a r a c t 6 r i s 6 par le fait que les moyens de transmission sont constitués par un cable

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bifilaire dans lequel sont envoyés les signaux de sensibilisation individuelle de chacun des blocs avertisseurs (2). 8. Appareil entraineur de sportifs, tel que défini dans la revendication 1, c a r a c t é r i s é par le fait que les moyens de transmission sont constitués par une combinaison de.communications hertziennes avec - un émetteur dans l'unité centrale (1),

- et un récepteur dans chacun des blocs avertisseurs.