FR2554340A1 - Brosse-suceur d'aspiration a elements interchangeables pour usage menager - Google Patents

Abstract

CETTE BROSSE EST COMPOSEE, D'UNE PART, D'UN CORPS A COMPORTANT UNE CUVETTE TRANSVERSALE 2 QUI EST RACCORDEE DANS SA PARTIE CENTRALE A UN DOME 4 DELIMITANT UNE CAVITE INTERNE 3 DANS LAQUELLE FONT SAILLIES DES NERVURES SENSIBLEMENT VERTICALES DECALEES TRANSVERSALEMENT ET RESPECTIVEMENT LATERO-ANTERIEURE 10 ET LATERO-POSTERIEURE 12 ET, D'AUTRE PART, D'UN ELEMENT DE TRAVAIL B QUI, APTE A S'EMBOITER DANS LA CUVETTE 2 DU CORPS A ET A ETRE FIXE SUR CE DERNIER, PRESENTE AU MOINS UNE OUVERTURE 17A-17B COMMUNIQUANT AVEC LA CAVITE 3 DU DOME ET, SUR SA PARTIE DORSALE, AU MOINS UNE SAILLIE 16 QUI, APTE A VENIR DANS LA CAVITE 3 DU DOME 4 ET DANS LE PROLONGEMENT DE LA NERVURE LATERO-POSTERIEURE 12 PRESENTE, AU MOINS LOCALEMENT, UNE FACE INCURVEE 20B APTE A CREER UN FLUX TOURBILLONNAIRE AUTOUR D'UN FLUX D'ASPIRATION AXIAL.

Description

"Brosse-suceur d'aspiration à éléments interchangeables".

Cette brosse-suceur est destinée à être fixée à l'extrémité d'un flexible d'aspiration lui-même raccordé à une installation centralisée d'aspiration ou à un aspirateur.

Actuellement, les brosses-suceurs sont composées de plusieurs éléments dont l'assemblage nécessite du temps et, en conséquence, augmente leur coût.

L'un des objets de l'invention est d'abaisser le coût de cette brosse par une simplification de sa fabrication et de son montage tout en permettant l'interchangeabilité de ses composants, soit pour les remplacer en cas de défectuosité, soit pour les adapter à la nature de la surface à nettoyer.

Par ailleurs, l'usage montre que l'effficacité d'aspiration des brosses actuelles diminue au fur et à mesure que 1 ton se rapporche de leurs extrémités.

Un autre objet de l'invention est de fournir une brosse-suceur procurant une bonne aspiration sur toute sa largeur.

Cette brosse, du type se raccordant à un tuyau d'aspiration par un raccord coudé articulé sur elle, est composée d'un corps réalisé par moulage en une seule pièce et comportant une cuvette transversale qui, de forme générale rectangulaire et tournée vers le bas, est raccordée dans sa partie centrale à un dôme dont la paroi postérieure sensiblement verticale est munie d'une ouverture sur les bords de laquelle est encliquetée l'extrémité du raccord coudé, ce dôme délimitant une cavité interne dans laquelle, d'une part, débouchent deux rainures longitudinales postérieures de diffusion de l'aspiration et, d'autre part, font saillies de nervures sensiblement verticales décalées transversalement et respectivement latéro-antérieure et latéropostérieure, et d'un élément de travail qui, réalisé par moulage et apte à s'emboîter dans la cuvette du corps et à être fixé sur ce dernier, présente au moins une ouverture communiquant avec la cavité du dôme et, sur sa partie dorsale, au moins une saillie qui, apte à venir dans la cavité du dôme et dans le prolongement de la nervure latéro-postérieure présente au moins localement une face incurvée apte à créer un flux tourbillonnaire autour du flux d' aspiration axial.

Ainsi, lorsque la brosse est parcourue par un flux d'aspiration sa structure interne donne, à au moins une partie de ce flux, un mouvement tourbillonnaire qui, en créant des turbulences à proximité du tuyau d'aspiration, améliore l'efficacité de la brosse-suceur. En outre, la réalisation de la brosse en deux éléments réduit son coût de fabrication et surtout permet, à partir d'un même corps, de réaliser des brosses ayant des utilisations différentes par simple remplacement de l'élément de travail.

De toute façon, l'invention sera mieux comprise à l'aide de la description qui suit en référence aux dessins schématiques annexés représentant à titre d'exemples non limitatifs une forme d'exécution de cette brosse dans trois de ses formes d'utilisation.

Figure 1 est une vue en perspective par dessous du corps de brosse
Figures 2 et 3 sont des vues en perspective respectivement par dessus et par dessous d'une forme d'exécution d'un élément de travail plus particulièrement conçu pour le nettoyage des tentures
Figure 4 est une vue en coupe transversale de l'ensemble de la brosse suivant 4-4 de figure 5 ;;5
Figure 5 est une vue partielle en coupe suivant 5-5 de figure 4 montrant la répartition des flux
Figures 6 et 7 sont des vues en perspective respectivement par dessous et par dessus d'un élément de travail associé à une brosse et destiné au nettoyage des tapis et moquettes
Figure 8 est une vue partielle, à échelle agrandie, et en coupe suivant 8-8 de figure 9
Figure 9 est une vue partielle en coupe suivant 9-9 de figure 8 montrant à échelle agrandie la répartition des flux d'aspiration
Figure 10 est une vue en perspective par dessus montrant un autre élément destiné au nettoyage des dalles en matière synthétique ou des carrelages
Figure 11 est une vue en perspective par dessous de la brosse de figure 10
Figure 12 est une vue partielle en perspective montrant à échelle agrandie la partie centrale supérieure de 1 'élément de figure 11 mais après retournement de 1800
Figure 13 est une vue partielle de côté en coupe suivant 13-13 de figure 14 montrant l'assemblage de cet élément avec le corps de suceur
Figure 14 est une vue partielle en coupe suivant 14-14 de figure 13 montrant la répartition des flux.

La brosse-suceur est essentiellement composée de deux éléments à savoir : un corps de suceur désigné de façon générale par (A) et un élément de travail désigné par (B).

Le corps de suceur, commun à toutes les formes de réalisation qui vont être décrites, est réalisé par moulage de matière synthétique en une seule pièce. Il comprend une cuvette transversale (2) de forme générale rectangulaire tournée dont la cavité est vers le bas en position de travail. Dans sa partie centrale, cette cuvette communique avec la cavité (3) d'un dôme (4) formant une saillie sur le dessus du corps. Ce dôme comporte une paroi postérieure sensiblement verticale (5) (figure 4) dans laquelle est ménagée une ouverture (6) sur les bords de laquelle s'encliquète l'extrémité d'un raccord coudé (7). Deux rainures longitudinales de diffusion (8) débouchant de la partie postérieure du fond de la cuvette (2) débouchent également dans la cavité (3). Le bord de la cuvette jouxtant ces deux rainures est crénelé comme montré en (9) figure 1.Dans la cavité(3) du dôme font saillies deux nervures sensiblement verticales décalées transversalement, et respectivement latéro-antérieure (10) et latéropostérieure (12). La nervure latéro-postérieure (12) divise la cavité du dôme en deux canaux respectivement antérieur (13) et postérieur (14). Enfin, le bord postérieur de la cuvette (2) comporte, saillant à l'intérieur de la cuvette, deux barrettes verticales (15) dont l'utilité sera précisée plus loin en référence aux figures 6 et 9.

Ce corps de brosse (A) est destiné à être associé à un élément de travail (B) qui, quelle que soit son utilisation, est monolithe que et réalisé par moulage de matière synthétique. Cet élément (B) présente la forme générale d'une barrette rectangulaire apte à s'encastrer au moins partiellement dans la cuvette (2) du corps (A). Cet élément comporte sur dos une saillie (16) apte à venir dans la cavité (3) du dôme (4) et dans le prolongement de la nervure latéro-postérieur (12).

Lorsque l'élément du travail (B) est destiné à assurer le nettoyage d'une tenture, il comporte dans sa partie centrale, comme montré aux figures 2 à 3, deux ouvertures oblongues longitudinales décalées transversalement et, respectivement, antérieure (17a) et postérieure (17b). Chacune de ces ouvertures, qui traverse verticalement 1 'élé- ment, communique avec l'une des deux rainures d'aspiration (18) débouchant de la face inférieure de l'élément. Chacune de ces rainures (18) va en s'évasant depuis l'ouverture correspondante jusqu'à son extrémité jouxtant celle de l'élément ; elle est divisée par une nervure (19) en deux canaux de même section transversale. Ces rainures forment, vues par dessous, deux triangles rectangles dont les sommets sont décalés transversalement.

Les extrémités juxtaposées des ouvertures (17a) et (17b) sont prolongées, comme montré figure 3, par des faces concaves (20a) et (20b) redressant le flux d'aspiration. La face (20b) se prolonge sur la saillie (16).

Enfin, de la face inférieure de l'élément, débouche une rainure périphérique (22) (figure 2) formant un rectangle en retrait des bords de cet élément. Cette nervure est destinée à recevoir une nappe d'étanchéité (23) constituée d'un feutre comme représenté aux figures 2 à 4 ou d'une nappe de poils. Lorsque l'élément (B) est disposé dans le corps de brosse (A), il est lié à celui-ci par des vis non représentées traversant des perçages (24) de 1 'élément et se vissant dans les taraudages (25) du corps ; ces taraudages sont avantageusement réalisés dans les nervures (10) et (12).

En fonctionnement, le flux d'aspiration pénétrant dans l'élément de travail (B) emprunte d'abord les deux canaux des rainures (18) qui le divisent en un flux droit et en flux gauche. En raison de leur forme triangulaire disymétrique, les rainures (18) amènent ces flux droit et gauche respectivement à l'ouverture antérieure (17a) et l'ouverture postérieure (17b). En traversant l'ouverture (17a), le flux devenu antérieur rencontre la face concave (20a) qui, comme montré à la figure Sledévie vers le haut en direction de La nervure latéro-antérieure (10) de la cavité (3) du dôme comme représenté par les flèches (25) de la figure 5. Simultanément, le flux traversant l'ouverture postérieure (17b) rencontre la surface concave (20b) qui le dévie également vers le haut et qui, grâce à la saillie (16) descendant jusqu'au niveau de l'ouverture du raccord coudé (7), lui communique un mouvement tourbillonnaire comme représenté par les flèches (26). Ce mouvement tourbillonnaire s'effectue en vis à vis de la nervure latéro-postérieure (12), c'est à dire dans la totalité de la cavité du dôme (4), en même temps que le flux (25), venant buter sur la nervure latéro-antérieure (10) est transformée en flux axial et est obligé de passer directement dans le raccord coudé (7).

Ainsi, le mouvement tourbillonnaire entoure le flux provenant de l'ouverture antérieure (17a) et crée, en amont du raccord coudé (7), une turbulence qui augmente l'effet d'aspiration et l'efficacité de la brosse-suceur, c'est à dire permet à celle-ci d'aspirer de la même façon sur toute sa longueur.

Lorsque la brosse-suceur est destinée au nettoyage des tapis et moquettes, son élément de travail (B) est du type représenté aux figures 6 à 9. Cet élément comporte dans sa partie centrale une ouverture composée de deux parties respectivement antérieure (30a) et postérieure (30b). Ces deux parties sont longitudinales oblongues et décalées transversalement. Elles communiquent entre elles dans leur zone de juxtaposition et traversent l'élément (B) de manière à communiquer avec la cavité (3) du dôme (4). Chacune de ces parties d'ouverture est associée à des rainures longitudinales (32) ménagées dans le fond de l'élément et débouchant de sa face inférieure.Ces rainures (32) ont une hauteur dégressive en allant de la partie d'ouverture jusqu' à l'extrémité correspondante de l'élément. Les parties d'ouverture (30a) et(30b) sont bordées sous l'élément et dans leurs zones non communiquantes par des saillies respectivement (33a) et (33b) munies de bords curvilignes (34) et (35) destinés celui (34) à dévier le flux droit vers la partie antérieure (30a) de l'ouvertu- re et celui (35) à dévier le flux gauche vers la partie postérieure (30b) de la même ouverture. Comme montré à la figure 7, la saillie (33a) bordant la partie postérieure (30a) de l'ouverture se prolonge au dessus de l'élément pour former la saillie (16) décrite dans la forme d'exécution précédente. Cette saillie comporte une face concave (36) prolongeant une face concave (37) ménagée sur la saillie (33a).Cet élément de travail est moins large que la cuvette du corps de suceur (A) de manière à ménager, avec la paroi postérieure de cette cuvette, un logement (40) communiquant directement avec la cavité (3) du dôme, et destiné à recevoir l'embase (42) d'une brosse (43). Plus précisément, la brosse est positionnée longitudinalement et transversalement par engagement partiel de son embase rigide dans les rainures latérales (8) du corps (2), rainures visi bles à la figure 1. Verticalement, cette brosse est positionnée par appui de son embase contre le fond de ces rainures (8) et par des doigts (44) saillants du bord postérieur de l'élément (B) et apte à prendre appui sur le bord de l'embase (42).Le positionnement transversal de la brosse est complété par coincement de la partie supérieure de son embase (42) entre le bord postérieur de l'élément (B) et les barrettes (15) faisant saillies à l'intérieur de la cuvette du corps. Il est noté que ces barrettes délimitent entre elles des canaux verticaux permettant au courant d'aspiration provenant de la cavité (3) du dôme de passer en arrière de la brosse.

Cet élément est fixé sur le corps de suceur de la même façon que l'élément de la forme d'exécution précédente.

Quand la brosse est en fonctionnement, le flux d'aspiration, provenant de la rainure (32) située à droite et traversant l'ouver- ture antérieure (30a), est dévié vers le haut et la nervure latéroantérieure (10) qui le dévie directement en direction de l'ouverture du raccord coudé (7). Par contre, le flux d'aspiration provenant de la rainure (32) située à gauche et passant par la partie postérieure (30b) de l'ouverture rencontre les faces concaves (37) et (36) qui le dévient vers le haut où il rencontre le sommet du dôme. Ce dernier lui donne un mouvement tourbillonnaire suivant la flèche (26) ; mouvement qui s'effectue sur 3a totalité de la largeur du dôme.

Il ressort que dans cette forme de réalisation, la structure interne de la brosse favorise ainsi la création d'un flux tourbillonnaire entourant un flux axial et générant des turbulences.

Lorsque la brosse-suceur est destinée à être utilisée pour assurer le nettoyage des dalles en matière synthétique ou de carrelage, son élément de travail (B) est du type représenté aux figures 10 à 14. Cet élément est traversé de part en part par deux ouvertures antérieures respectivement (50a) et (50b) qui sont sensiblement longitudinales et plus exactement en forme de fentes hé licoldales. Ces deux ouvertures sont séparées par un pont de matière (52) se prolongeant sur toute la hauteur de la brosse pour dépasser de la partie supérieure de celle-ci, comme montré en (53) à la figure 12. Ce pont de matière (53), fait corps avec une cloison de séparation (54) s'étendant longitudinalement de part et d'autre de la partie centrale supérieure de l'élément.Cette cloison est encochée en (55) pour coiffer la nervure latéro-postérieure (12) du corps, comme montré figure 14, nervure dans le prolongement duquel elle est disposée. Cette cloison (54) comporte dans sa partie postérieure une saillie (56) sur laquelle sont formées deux faces concaves de déviation verticale (57).

En outre, ses faces latérales postérieures (58) sont convexes.

Enfin, son pont de matière antérieur (53) est muni de faces supérieures concaves (59a - 59b) communiquant avec les extrémités des ouvertures (50a - 50b) et aptes à dévier verticalement le flux.

Sur sa face supérieure, 1 'élément (B) est muni de deux barrettes transversales (60) inclinées d'obturation des angles postérieurs de l'élément. Ces barrettes constituent avec les faces convexes (58) de la paroi centrale (54) des canaux (62) dirigeant une partie du flux d'aspiration traversant les ouvertures (50a) et (50b) en direction de la partie postérieure de l'élément. Ces barrettes sont munies localement d'excroissances (63) destinées à obturer les rainures (8) et limiter la longueur de celles-ci soumises au flux d'aspiration.

Sur sa face inférieure et sur sa partie antérieure, l'élément (B) est muni d'une barrette (64) qui, en matériau de raclage, s'étend sur toute la longueur. La liaison entre cette barrette et l'élément peut être assurée par collage mais aussi, et de préférence, par des moyens d'accrochage complémentaires fixés sur les deux éléments assemblés, moyens pouvant être du type velours à crochets et bouclettes. Cette barrette neut 2inti être remplacée nouer faire briller le sol.

Lorsque la brosse-suceur est en fonctionnement, le flux d'aspi- ration passant à travers les deux ouvertures (50a) et (50b) est divisé par la cloison de séparation (54) en deux flux à savoir un flux antérieur et un flux postérieur empruntant les canaux (62). Le flux antérieur qui longe les ponts de matière (52) et (53) est dévié verticalement en direction du sommet de la cavité (3) du dôme (4) qui le conduit directement vers l'ouverture du raccord coudé (7).

Par contre, le flux postérieur est dévié par les faces concaves (57) de la saillie (56) pour former un seul flux vertical qui est désaxé par rapport à l'ouverture du raccord (7) et qui, en rencontrant la nervure verticale (12) latéro-postérieure forme un flux tourbillonnaire entourant le flux axial provenant du flux d'aspiration antérieur.

Il ressort de ce qui précède que quelle que soit l'utilisation prévue de l'élément, celui-ci comporte toujours, sur sa face postérieure des parties en saillie avec faces curvilignes favorisant, à l'intérieur du dôme, la création d'un courant tourbillonnaire entourant un flux axial et engendrant des turbulences améliorant l'aspiration.

Il est évident que l'invention n'est pas limitée à la seule forme des éléments qui ont été décrits ci-dessus à titre d'exemples, mais qu'elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes de réalisation quelles que soient notamment la forme et la répartition des saillies sur la partie supérieure de l'élément, de même que la forme et la répartition des faces curvilignes dirigeant les flux d'aspiration.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1- Brosse-suceur d'aspiration à éléments interchangeables du type se raccordant à un tuyau d'aspiration par un raccord coudé (7) articulé sur elle caractérisée en ce qu'elle est composée d'un corps (A) réalisé par moulage en une seule pièce et comportant une cuvette transversale (2) qui, de forme générale réctangulaire et tournée vers le bas, est raccordée dans sa partie centrale à un dôme (4) dont la paroi postérieure (5) sensiblement verticale est munie d'une ouverture (6) sur les bords de laquelle est encliquetée l'extrémité du raccord coudé (7), ce dôme (4) délimitant une cavité interne (3) dans laquelle, d'une part, débouchent deux rainures longitudinales postérieures (8) de diffusion de l'aspiration et, d'autre part, font saillies dw nervu- res sensiblement verticales décalées transversalement et respectivement latéro-antérieure (10) et latéro-postérieure (12), et d'un élément de travail (B) qui, réalisé par moulage et apte à s'emboiter dans la cuvette (2) du corps (A) et à être fixé sur ce dernier, présente au moins une ouverture (17a - 17b - 30a - 30b - 50a - 50b) communiquant avec la cavité (3) du dôme et, sur sa partie dorsale, au moins une saillie (16 - 54) qui, apte à venir dans la cavité (3) du dôme (4) et dans le prolongement de la nervure latéro-postérieure (12) présente, au moins localement, une face incurvée (20b - 36 - 57) apte à créer un flux tourbillonnaire autour du flux d'aspiration axial.

2- Brosse-suceur selon la revendication 1 caractérisée en ce que l'élément de travail (B) comporte, dans sa partie centrale, deux ouvertures oblongues longitudinales qui, décalées transversalement et respectivement antérieure (17a) et postérieure (17b) font chacune communiquer la cavité (3) du dôme (4? avec l'une des deux rainures longitudinales (18) d'aspiration ménagées sous l'élément et s'étendant jusqu'à 1 'extrémité correspondante de celui-ci, les extrémités juxtaposées de ces ouvertures (17a - 17b) étant prolongées vers l'intérieur de la brosse-suceur par des faces concaves (20a - 20b) redressant le flux d'aspiration et dont l'une (20b) se prolonge sur la saillie (16) venant dans la cavité (3) du dôme (4).

3- Brosse-suceur selon l'ensemble des revendications 1 et 2 caractérisée en ce que chacune des rainures d'aspiration (18) va en s'évasant depuis l'ouverture (17a - 17b) correspondante jusqu'à son extrémité jouxtant celle de l'élément et est divisée par une nervure (19) en deux canaux de même section transversale.

4- Brosse-suceur selon l'une quelconque des revendications 2 à 4 caractérisée en ce que l'élément de travail (B) est muni d'une nappe d'étanchéité constituée de poils ou feutre se logeant dans une rainure débouchant (22) de sa face inférieure et formant un rectangle en retrait de ses bords.

5- Brosse-suceur selon la revendication 1 caractérisée en ce que l'élément de travail (B) comporte, dans sa partie centrale, une ouverture composée de deux parties (30a - 30b) qui, longitudinales, oblongues et décalées transversalement, d'une part, communiquent entre elles dans leur zone de juxtaposition, d'autre part, font chacune communiquer la cavité (3) du dôme (4) avec des rainures longitudinales d'aspiration (32) ménagées sous 1 'élément et ayant une hauteur dégressive en allant de l'ouverture à l'extrémité correspondante de l'élément, et, de plus sont bordées, sous l'élément et dans leurs zones non communiquantes par des saillies (33a - 33b) à bords curvilignes (34 - 35) aptes à dévier sur elles le flux longitudinal d'aspiration, la saillie (33a) bordant la partie postérieure (30b) de 1 'ouverture se prolongeant au dessus de l'élément pour former la saillie postérieure (16) qui comporte une face concave (36) apte redresser verticalement le flux d'aspiration allant à la cavité (3) du dôme (4).

6- Brosse selon la revendication 5 caractérisée en ce que 1 'le' ment de travail (B), moins large que la cuvette (2) du corps (A) forme, avec la paroi postérieure de cette cuvette, un logement (40) communiquant directement avec la cavité (3) du dôme (4) et recevant la partie inférieure de l'embase (42) d'une brosse rectiligne (43).

7- Brosse selon les revendications 5 et 6 caractérisée en ce que la brossè4e3st positionnée longitudinalement et transversalement par engagement partiel de son embase rigide (42) dans des rainures (8) ménagées dans le corps (A) de part et d'autre de la cavité (3) du dôme (4) et, verticalement, par des doigts (44) saillants du bord postérieur de l'élément de travail (B) et prenant appui sur le bord inférieur de l'embase rigide (42).

8- Brosse-suceur selon la revendication 1 caractérisée en ce que l'élément de travail (B), d'une part, est traversé par deux ouvertures antérieures (50a - 50b) qui, sensiblement longitudinales et en forme de fentes hélicoídales, sont séparées par un pont de matière (52) dont la partie supérieure (53), dépassant du dessus de l'élément fait corps avec une cloison de séparation longitudinale (54) saillant de 1 'élé- ment et venant dans le prolongement de la nervure latéro-postérieure (12) du dôme (4), cette cloison (54), apte à diviser en deux flux, respectivement antérieur et postérieur, le flux d'aspiration provenant des ouvertures (50a et 50b) et comportant des faces antérieures concaves (59a - 59b) de déviation verticale des flux et des faces latérales postérieures convexes (58), de déviation postérieure des flux, étant solidaire d'une saillie centrale postérieure (56) comportant des faces concaves (57) de déviation verticale des flux antérieurs.

9- Brosse selon la revendication 8 caractérisée en ce que l'élé- ment de travail comporte, en saillie de sa face supérieure et à proximité de ses extrémités, deux barrettes transversales inclinées (60) réduisant la largeur des canaux (62) pour les flux d'aspiration postérieurs.

10- Brosse selon l'une quelconque des revendications 8 et 9 caractérisée en ce que l'élément de travail (B) comporte, sous sa face inférieure et en arrière des ouvertures d'aspiration (50a - 50b), une surface d'accrochage pour des moyens d'accrochage complémentaires ménagés sur la face postérieure d'une barrette (64) en matériau apte à gratter le sol ou à le faire briller.