FR2538990A1 - Dispositif pour maintenir des fils, et sa combinaison avec un support, notamment pour armoire electrique - Google Patents

Abstract

Le dispositif comprend deux peignes de câblage 116 dont chacun comprend des dents 17a, 17b fixées à une âme 23 et entre lesquelles les fils électriques peuvent être insérés pour leur fixation. Il comprend également une pince 27 de fixation au rebord 12 d'une platine 6 de fixation d'appareillage. Les dents des deux peignes sont dirigées les unes vers les autres dans un intervalle 8 entre deux platines 6. Entre celles-ci s'étend une embrasse 13 de maintien des fils. L'embrasse 13 est rattachée aux pinces 27 des deux peignes 116 et ne forme qu'une seule pièce avec eux. Utilisation pour pouvoir monter des peignes et des embrasses aux mêmes emplacements sans platines spéciales.

Description

La présente invention concerne un dispositif pour maintenir des fils dans une armoire électrique.

La présente invention concerne égalenent la combinaison d'un tel dispositif et d'un support pour ce dispositif.

Dans de telles armoires, les appareils sont montés sur des rails profilés ou sur des platines généralement fabriquées à partir de tronçons métalliques profilés parfois appelés "bandeaux".

Les rails ou les platines sont fixés à quelque distance de la paroi postérieure de l'armoire. Les fils électriques se trouvent derrière les platines etlfllrs extrémités raccordées aux appareils sont ramenées jusqu'à ceux-ci par les intervalles ménagés entre les platines. En vue d'ordonner les fils, de faciliter leur reperage, etc.., on emploie un peigne de câblage dont les dents font saillie dans l'intervalle adjacent à la platine, sensiblement dans le plan de celle -ci.En-deçà de son extrémité raccordée à l'appareillage, chaque fil est engagé entre deux dents du peigne. On peut ainsi préparer les fils avant le montage des appareils, et si un appareil doit être déposé pour intervention, les fils restent en place dans les peignes, ce qui facilite ensuite le remontage.C'est pourquoi on appelle aussi de tels peignes des "memoires de ceblage".

Les peignes connus comportent une ame a laquelle est fixée, outre les dents précitées, une pince destinée à enserrer un rebord coudé vers le fond de l'armoire, et porté par la platine ou par le rail.

En outre, on sait d'apurés le modèle d'utilité allemand 72 01 477, fixer à deux supports tels qu'une platine et un rail voisins, une embrasse qui maintient les fils dans l'intervalle entre les deux supports.

Cet accessoire très commode en lui-même pose en fait des problèmes car il doit être associé à des moyens de fixation spécifiques de la platine, qui n'interfèrent pas avec ceux des peignes, ou alors être montés comme les peignes mais en dehors des zones où il y a déja des peignes.

Le but de l'invention est de remédier à ces inconvénients en proposant un dispositif pour maintenir les fils qui n'impose pas l'utilisation de -supports d'appareils spéciaux et puissent cependant être mis en place là où il est prévu de monter des peignes.

L'invention vise ainsi un dispositif pour maintenir des fils comprenant deux peignes de câ- blage comprenant chacun une âme portant d'une part des dents disposées côte à cate dans un plan, et d'autre part une pince comportant deux ailes s'étendant côte å côte en direction sensiblement transversale au plan des dents du peigne, cette pince étant destinée à enserrer un rebord que présente un support faisant partie d'une ossature prévue pour la fixation et le câblage d'un certain nombre d'appareils, notamment dans une armoire électrique, les deux peignes étant destinés à être montés sur leur support respectif dans une position où leurs dents se font face, le dispositif comprenant en outre une embrasse destinée à contenir les fils entre les deux peignes,
Suivant l'invention, ce dispositif est caractérisé en ce que l'embrasse présente en deux positions opposées des moyens d'attache aux deux peignes respectivement.

Ainsi, l'embrasse est attachée aux peignes et non plus au profilé, de sorte que les moyens d'attache de l'embrasse n encombrent plus le bord du profilé, sans pour autant que le profilé doive présenter sur son rebord des moyens spéciaux pour la fixation de l'embrasse.

Selon un second aspect de l'invention, la combinaison d'un dispositif du genre précité et d'un support pour ce dispositif est caractériséeen ce que le support comprend deux goulottes alignées comprenant chacune un fond et deux parois latérales et destinées å etre chacune fixée le fond contre un montant faisant partie de l'ossature, les bords longitudinaux des deux goulottes étant réunis d'une goulotte a l'autre par deux rails présentant chacun une aile formant rebord pour le montage de l'un des peignes de façon que l'embrasse définisse pour les fils un guidage sensiblement aligné avec celui des goulottes.

On réalise ainsi un ensemble-autonome assurant la mémoire de câblage et le maintien des fils, ainsi que leur canalisation vers les montants.

Près des montants, les goulottes prennent le relais des embrasses et de 1a, les fils peuvent etre dirigés le long des montants, et retenus auprès d'eux par divers moyens
D'autres particularités et avantages de l'invention ressortiront encore de la description ci-après.

Aux dessins annexés, donnés a titre d'exemples non limitatifs
- la figure 1 est une vue latérale partielle en coupe d'une armoire pour appareillage électrique dans laquelle est appliquée l'invention
- la figure 2 est une vue partielle en perspective d'un peigne de câblage coupé transversalement et monté sur le rebord d'une platine perforée
- la figure 3 est une vue du peigne de la figure 2, en coupe selon le plan III-III de la figure 4
- les figures 4 à 6 sont des vues du peigne selon les flèches IV, V et VI respectivement de la figure 3, des fils de différents diamètres maintenus par le peigne étant schématises par des cercles à la figure 6
- la figure 7 est une vue partielle en coupe trans -versale de la platine perforée de la figure 2, sur laquelle est monté un écrou de fixation vu également en coupe, et le peigne des figures 2 à 6
- la figure 8 est une vue en bout du peigne des figures 2 à 7 monté sur le rebord d'un autre type de platine
- la figure 9 est une vue partielle en perspective éclatée du dispostif de maintien des ìls conforme à l'in- vention, réalisé à partir d'un second mode de réalisation du peigne conforme à l'invention, et de deux platines perforées sur lesquelles s'adapte ce dispositif
- la figure 10 est une vue en coupe transversale de la -platine de la figure 2, sur le rebord de laquelle est monté un peigne du genre de la figure 9
- la figure 11 est une vue en bout du peigne de la figure 10 monté sur le rebord d'un autre type de platine ;
- la figure 12 est une vue en plan d'un second type d'embrasse ; ;
- la figure 13 est une vue en perspective
d'un troisième type d'embrasse;
- les figures 14 à 16 sont des vues d'un
ensemble d'accessoires de câblage à trois stades
de leur montage
- la figure 17 est une vue en bout avec
arrachements, de l'élment modulaire de cablage
des figures 14 à 16;;
- la figure 18 est une vue de face schémati
que d'éléments modulaires tels que celui de la
figure 17, assemblés bout à bout et fixés à deux
montants 4
- la figure 19 est une vue en perspective
du guide-fil des figures 14 à 16
- la figure 20 est une vue en perspective partiellement éclatée d'un autre ensemble d'accessoires de câblage
- la figure 21 est une vue en perspective, à plus petite échelle, du système de maintien des fils de la figure 20, entièrement assemblé
- la figure 22 est uné vue en coupe transversale au rail de montage des peignes de la figure 21 après sa fixation au doigt 98 et au peigne 16 ; et
- la figure 23 est une vue analogue à la figure 22 mais prise en dehors des guide-fils 89.

Dans l'exemple représenté à la figure 1, l'armoire électrique 1 comporte une paroi postérieure 2 raccordée à deux parois latérales 3 dont une seule est visible.

Deux montants verticaux 4 sont fixés contre la paroi postérieure 2 au voisinage des parois latérales 3. D'autres montants 4 peuvent bien entendu être prévus entre ceux-ci si cela est nécessaire. Une série de platines 6 sont fixées chacune aux deux montants 4. La direction longitudinale des platines est horizontale, leur partie centrale 7 est dans un même plan vertical
PP, et elles sont séparées entre elles par des intervalles 8.

Les montants 4 sont des profilés en C (voir figure 14 ) et les platines 6 leur sont fixées par l'intermédiaire de cales 5 prenant appui sur des emboutis 10 qui font saillie sur la face postérieure des parties centrales 7.

Les cales 5 peuvent être des entretoises tubulaires traversées par une vis dont la tête est noyée dans les emboutis 10 et la tige est vissée dans un écrou maintenu prisonnier dans le profilé 4.

Mais de préférence, les cales 5 sont du genre décrit dans la demande de brevet européen non publiée 82 401 827 au nom de la Demanderesse. On en rappelle ci-après le principe : les cales portent elles-même un écrou de fixation rectangulaire dans un étrier. L'écrou est lié en rotation à la cale par l'étrier, et un ressort monté entre l'écrou et le fond de l'étrier sollicite l'écrou vers la cale. Pour monter la cale sur le profilé, on engage l'écrou et l'étrier dans la fente du profilé, la longueur de l'écrou étant dans le sens de la fente, puis on tourne à la main la cale d'un quart de tour, ce qui entralne l'écrou et l'engage sous les deux ailes libres du profilé.

La face de la cale qui porte contre lesdites ailes du profilé porte un bossage qui, sous l'effet du ressort dans l'étrier, s'embolie entre les ailes du profilé et assure ainsi une certaine immobilisation en rotation.

Les appareils électriques 9,11 contenus dans l'armoire 1 sont fixés contre la partie centrale 7 des platines 6, c'est-à-dire dans un espace qui leur est réservé, allant du plan PP en direction opposée au fond de l'armoire. Les appareils peuvent être portés par une seule platine (appareil 9) ou s'ils sont plus encombrants par plusieurs platines (appareil 11).

De part et d'autre de sa partie centrale 7, chaque platine 6 présente un rebord longitudinal 12 perpendiculaire à la partie centrale 7 et dirigé vers la paroi postérieure 2 de l'armoire 1. L'extrémité des rebords 12 opposée à la partie 7 est située à quelque distance de la paroi 2. Entre les rebords 12 en regard de chaque paire de platines 6 voisines est ménagé un intervalle 8. Les paires de rebords 12 délimitant un intervalle 8 qui n'est pas recouvert par un appareil tel que 11 sont reliés entre eux par plusieurs embrasses 13 qui définissent entre le plan PP et la paroi 2 un chenal dans lequel sont retenus un certain nombre de fils 14 nécessaires au cabrage des appareils 9, 11, etc.En outre, les rebords 12 précités portent chacun un peigne de câblage 16, réalisé en matière plastique douée d'une certaine élasticité, et dont les dents 17 font saillie dans l'intervalle 8 dans un plan parallèle au plan PP.

Les fils 14 raccordés aux appareils 9 et 11 respectivement ont leurs extrémités 14a et 14b ramenées en avant du plan
PP et sont engagés en-deçà desdites extrémités entre deux dents de l'un ou l'autre des peignes 16
Comme le montrent les figures 2 et 4 à 6, les dents 17 du peigne 16 sont constituées, le long du peigne 16, par une alternance de dents évidées 17a ayant une certaine compressibilité élastique selon la direction longitudinale du peigne, et de dents pleines 17b plus étroites, mais quasiment dénuées d'élasticité selon la direction précitée.

Les dents évidées 17a ont une section transversale en demi-cercle s'ouvrant vers l'arrière, c'est-à-dire vers la paroi 2 selon la disposition de la figure 1. Par contre, les dents pleines 17b ont une section transversale sensiblement rectangulaire dont la longeur est perpendiculaire à la direction longitudinale du peigne. En outre, les dents 17b portent deux lèvres 18 dirigées selon un plan parallèle au plan PP vers les bords latéraux de la section en demi cercle des dents 17a. De leur côté, les bords précités des dents 17a portent chacun une lèvre 19 dirigée vers la dent 17b voisine, dans le même plan que les lèvres 18. Cha- que lèvre 19 présente deux échancrures20 et 21, l'échancrure 20 adjacente à l'extrémité libre de la dent étant plus profonde.Les lèvres 18 présentent une seule échancrure allongée 22 qui fait partiellement face à la fois aux échancrures 20 et 21 de la lèvre 19 en regard.

Les dents pleines 17b sont raccordées d'un seul tenant à une âme 23 du peigne 16. Toutefois, les lèvres 18 sont interrompues à quelque distance de 1 amie 23. Les dents évidées 17a sont portées à la même distance de l'ame 23 par des nervures 24.

L'un des contés des nervures 24 est raccordé d'un seul tenant à la ligne longitudinale médiane de la face interne des dents 17a, tandis qu'un autre coté des nervures 24 est raccordé à l'amie 23 ainsi qu"à une aile interne 26 qui s'étend depuis l'âme 23 vers l'arrière relativement au plan des dents du peigne, et qui est appliquée contre la face externe du rebord 12.

L'aile interne 26 fait partie de moyens de fixation 27 du peigne 16 au rebord 12. Les moyens 27 sont adaptés à la platine 6 représentée qui comporte des perforations rectangulaires 28 alignées selon les directions longitudi- nale et transversale de la platine 6. Les perforations latérales 28a sont à cheval sur la pliure 29 par laquelle le rebord 12 est raccordé à la partie centrale 7 de la platine 6. Ainsi, entre les pattes 31 séparant les perforations 28a, le bord 12 présente un bord libre 32 dirige vers le plan PP.

Les moyens de fixation 27 consistent en une pince formée par l'aile interne 26 et par une aile externe 33 raccordée élastiquement à 11 aile interne 26 par l'âme 23 et s'étendant donc comme l'aile 26 en direction opposée au plan du peigne, vers l'arrière. L'aile externe 33 est interrompue au droit des pattes 31 et se trouve ainsi constituée d'une série de branches 33a où la pince 27 chevauche les bords libres 32 définis par les perforations 28a. Selon la direction longitudinale du peigne, les branches 33a ont sensiblement même dimension que les perforations 28a et assurent ainsi le positionnement longitudinal du peigne sur la platine 6.

Vue en coupe, l'aile interne 26 (figures 3 et 7)
est plus longue que les branches 33a et son extrémité opposée à l'amie 23 porte un bec d'encliquetage 34 délimité par une rampe d'engagement 36 et une face d'arrêt 37 qui en service est appliquée contre le bord 38 que présente le rebord 12 à l'opposé de la partie centrale 7 de la platine 6. Les branches 33a présentent à leur extrémité opposée à l'âme 23 une rampe d'engagement 39 orientée obliquement de façon à évaser l'ouverture de la pince 27. Au- fond de la pince, les branches 33a sont raccordées à un épaulement 41 qui, en service, est en appui contre le bord 32 du rebord 12, et qui est espacé de la face 37 du bec 34 d'une distance égale à la largeur du rebord 12.L'épaulement 41 est raccordé à la face interne de l'aile 26 par un évidement semi-cylindrique 42 contribuant à l'élasticité de la pince 27. Les faces internes des branches 26 et 33 sont parallèles entre elles et mutuellement espacées d'une distance sensiblement égale à l'épaisseur du rebord 12 de sorte qu'en service elles sont respectivement appliquées contre les faces externe et interne de ce dernier.

Du côté opposé à la pince 27, le peigne est délimité par un plan QQ (figure 7) qui est parallèle au plan Pi-P de la face interne de la partie centrale 7 de la platine 6. En outre, le plan QQ est à une certaine distance en retrait par rapport au plan Pi-Pi. Ainsi, comme le montre
i i la figure 7, les perforations 28a ne sont pas condamnées par la présence du peigne 16 et il est également possible de monter par la perforation 28a un écrou 42 à deux branches entre lesquelles la partie centrale de la platine 7 est pincée. Un écrou de ce genre a une branche interne 43 formant l'écrou proprement dit et une branche externe 44 jouant le rôle de rondelle.Il est plus facile à mettre en place par une perforation coudée 28a que par une perforation plane, et s'il occupe une perforation coudée 28a comme le permet l'invention, il se trouve tout à fait au bord de la platine 6 et permet donc d'exploiter toute la surface de cette dernière.

On va maintenant exposer comment s'utilisent les éléments qui ont été décrits jusqu'à présent.

Comme on l'aura compris, la mise en place du peigne 16 est extremement simple puisqu'il suffit d'amener le peigne depuis la face avant de la platine 6 en engageant le rebord 12 entre les branches 26 et 33. Moyennant un certain effort en direction du rebord 12, le peigne 16 s'encliquète en position sur le rebord 12 gracie au bec 34. I1 est ensuite immobilisé dans toutes les directions grâce au bec 34, à l'épaulement 41 ainsi qu'aux branches 33a engagées entre les pattes 31.

Comme le montre schématiquement la figure 6, des fils 14b, 14c, 14d ou 14e de sections différentes peuvent être insérés entre une dent évidée 17a et une dent pleine voisine 17b moyennant compression plus ou moins importante de la dent évidée 17a selon la direction longitudinale du peigne. La longueur des dents 17a et 17b permet de loger deux fils entre chaque couple de dents voisines et les échancrures 20 à 22 réalisées dans les lèvres 18 et 19 des dents 17a et 17b correspondent à cette disposition.

Cependant, on voit que le fil 14e, plus gros que
les autres précédemment cités, ne peut etre inséré entre
une dent pleine et une dent évidée que si la demi-dent
évidée située du même côté de la nervure 24 que le fil 14e
est complètement rabattue par déformation élastique contre
la nervure 24. Ainsi, le fil 14e a la dimension maximale
pouvant être accueillie entre une dent pleine et une dent
évidée.

Si l'on désire maintenir à l'aide du peigne 16 des
fils 14f ou 14g de diamètre plus important que celui du
fils 14e, on coupe à sa base l'une des dents pleines 17b
et on insère les fils 14f et 14g entre deux dents évidées
ainsi devenues voisines.

Dans l'exemple de dimensionnement représenté à la
figure 6, la marge de déformation transversale des dents
évidées 17a, la largeur des dents pleines 17b, et la dis
tance entre les deux dents évidées 17a sont mutuellement
adaptées de façon que la gamme des diamètres des fils
14f, 14g, etc. pouvant être retenus entre deux dents
évidées 17a complète sans discontinuité la gamme des
diamètres des fils (14b à 14e) pouvant être retenus
entre une dent pleine 17b et une dent évidée 17a
On constate en particulier que les fils 14f et 14g, qui
correspondent aux deux premières dimensions ne pouvant
etre accueillies entre une dent pleine et une dent évidée,
sont également les deux premières dimensions à pouvoir
être accueillies avec un serrage suffisant entre deux
dents évidées.L'exemple de la figure 6 correspond, à
échelle agrandie, aux sections normalisées suivantes pour
les fils 14b - 14g : 0,75 mm2, 1 mm2, 1,5 mm2D 2,5 mm2
4 mm2, 6 mm2
Dans la variante de réalisation de la figure 8, le peigne 16 est identique à celui des figures 1 à 7, à moins que l'on ait prévu, ce qui est facultatif, que l'aile 33 soit continue au lieu d'être composée de branches 33a.

La platine 106 est analogue à la platine 6 excepté
qu elle n'est pas nécessairement perforée, et que l'extrémité
38 de son rebord 12 est raccordée à sa partie centrale 7
par une partie 46 profilée en L ayant une branche parallèle
au rebord 12 et raccordée au bord de la partie 7, et une
branche parallèle à la partie 7, dirigée à l'opposé de cette dernière et raccordée au bord 38 du rebord 12. bes pattes 31 sont supprimées de sorte que le bord 32 du rebord 12 est désormais continu
On va maintenant décrire en référence aux figures 9 et 10 un second mode de réalisation du peigne.

Seules les différences relativement au premier mode seront évoquées.

Dans ce mode de réalisation, les dents évidées 17a ont une section sensiblement en V raccordée directement à l'âme 23 du peigne 116. A l'extrémité des dents 17a, l'évidement défini par la section en V est fermé par une paroi d'extrémité 47. Les dents évidées 17a et les dents pleines 17b ne présentent pas de lèvres pour le serrage des fils, et les dents pleines 17b présentent sur toute leur épaisseur, et sur chacune de leur paroi latérale, deux échancrures 48 et 49 favorisant le positionnement des fils. En outre, les dents pleines 17b ne sont plues raccordées à l'âme 23 directement, mais par l'intermédiaire de deux ponts latéraux 51 de sorte qu'il y a entre l'amie 23 et chacune des dents pleines 17b un ajour 52.

Comme le montre la figure 10, la branche externe 33a de lapinces'étend de part et d'autre de sa jonction 53 avec la branche interne 26 et présente à son extrémité dirigée vers la partie centrale 7 de la platine 6 un bec d'encliquetage 54 comportant deux faces perpendiculaires concaves 56 et 57 dont l'une est destinée à s'appliquer contre le bord longitudinal 55 de la perforation 28a du côté de la partie centrale 7 et l'autre sous ce bord. Entre sa face 57 et son extrémité dirigée à l'opposé de la partie 7, la branche 33a comporte une face oblique 58 formant rampe d'engagement relativement au bord 55 lors de la mise en place du peigne. Entre l'âme 23, la jonction 53 et l'aile 33a est réservée une échancrure 59 permettant au bec 54 d'avoir son mouvement élastique d'encliquetage.

Comme le montre la figure 9, l'espacement des branches 33 entre elles est tel qu'elles ne s'engagent que dans une perforation 28a sur deux. L'âme 23 présente en outre, dans le plan des dents du peigne, entre les branches 33a, des saillies 50 dirigées à l'opposé des dents et destinées à s'engager dans les perforations 28a qui ne sont pas occupées par une branche 33a.

Comme le montre la figure 11, le peigne 116 des figures 9 et 10 peut également titre monté sur une platine 106 analogue à celle de la figure 8, à condition que sa partie centrale 7 soit prolongée au-delà de la partie en
L 46 par un bord 55 permettant l'encliquetage du bec 54 comme le permet le bord 55 de la perforation 28a à la figure 10.

Comme le montre la figure 9, le dispositif pour maintenir des fils dans une armoire électrique comprend A deux peignes de cablage 116 destinés à être montés respectivement sur le rebord 12 de deux platines 6 adjacentes et une embrasse 13 constituée par un filet en matière plastique souple.

Conformément à l'invention, deux extrémités opposées de l'embrasse 13 sont attachées chacune à l'un des peignes 116.

Dans l'exemple représenté à.la figure 9, l'embrasse 13 ne forme qu'un seul tenant avec les peignes 116 et elle est plus précisément raccordée à l'extrémité libre de l'aile interne 26 de ces peignes.

Selon un autre mode de réalisation représenté à la
figure 12, l'embrasse 13 est analogue à celle de la
figure 9, excepté que le long de ses bords opposés destinés
à être fixés au peigne 116, elle porte une série de harpons d'encliquetage 61 destines à etre engagés entre
deux dents voisines 17a et 17b comme on l'a représenté
schématiquement à la figure 6.

Dans l'exemple représenté à la figure l3,l'embras- se 13 est un cordon en matière plastique souple ayant à chacune de ses extrémités un embout bicylindrique 62 terminé par une plaquette d'arrêt 63. Chaque embout peut être mis en place entre deux dents évidées 17a, après ablation d'une dent pleine 17b, comme représenté à la droite de la figure 6.

On va maintenant décrire différentes combinaisons d'accessoires pour le montage et le cabrage dans les armoires électriques.

Dans la réalisation des figures 14 à 18, les cales 5 ont une conformation particulière, d'ailleurs décrite dans la demande de brevet européen 82 401 827 précitée. Chaque cale 5, de forme générale parallélépipédique, présente un rebord plan 71 à longueur de chacune de ses deux faces qui sont parallèles à la direction longitudinale du profilé lorsque la cale 5 est en position de service.

En outre, la cale 5 présente à son sommet deux nervures 72 dont les faces externes prolongent les faces latérales de la cale démunies des rebords 71.

L'assemblage des figures 14 à 18 comprend en outre un élément modulaire de cablage 73 comprenant une structure porteuse constituée de deux longerons 76 reliés entre eux par des traverses 77. Celles-ci sont constituées chacune d'une cloison plane perpendiculaire à la direction des longerons 76, et définissent entre elles des lumières 78 ayant toutes le même profil rectan gulaire qui correspond à celui de la cale 5 depuis son rebord 71 jusqu'à son extrémité libre.Chaque longeron 76 a un profil en U (voir haut de la figure 17) dont l'aile centrale est parallèle au plan de l'élément, l'aile interne est fixée aux traverses 77, tandis que l'aile externe constitue l'rame d'un peigne 80 dont les dents qui ont les particularités décrites en référence aux figures 1 à 6, s'étendent dans le plan de la structure porteuse 74, mais en direction opposée à celle-ci.

Chaque longeron porte à l'une de ses extrémités une saillie en T 79 et à l'autre extrémité un évidement 81 de section correspondante. Ainsi, comme le montre la figure 18, plusieurs éléments 73 peuvent être assemblés bout à bout par un assemblage du type queue d'arronde. Pour cela, il suffit d'emboîter les saillies 79 dans les évidements 81 par coulissement endirection perpendiculaire au plan des éléments 73.

Les évidements 81 sont ouverts du côté de l'aile centrale 82 des longerons, et fermés de l'autre côté par une butée 83 (figure 17) contre laquelle est appliquée la saillie en T 79 qui y est emboftée quand les deux éléments 73 ainsi assemblés sont dans le prolongement l'un de l'autre.

Dans chaque élément 73, les deux traverses extrêmes sont à distance telle de l'extrémité de l'élément 73 adjacente qu'après assemblage bout à bout des éléments 73 comme cela vient d'être décrit, des lumières 78 demême dimension que les autres sort formées entre les traverses 77 voisines appartenant à deux éléments différents.

Ainsi, comme le montre la figure 18, plusieurs éléments 73 assemblés bout à bout forment un ensemble qu'il suffit de fixer en deux points, de préférence au voisinage des extrémités de l'ensemble, par exemple à deux montants 4 comme cela est représenté.

Un élément 73 isolé ou assemblé bout à bout avec d'autres est fixable à un montant 4 en engageant la cale 5 jusqu'aux rebords 71 dans l'une des lumières 78. Comme le montre la figure 15, les nervures 72 de la cale 5 dépassent alors des longerons 76 et des traverses 77.

Ensuite (figures 15 et 16), on embote entre les nervures 72 un profilé 84,de dimensions appropriées, ayant par exemple profil en oméga majuseule. Une vis 86 passant par un perçage 87 du fond du profilé et par l'alésage central 88 de la cale 5 se visse dans l'écrou associé à cette dernière, fixant simultanément le ou les éléments 73 et le profilé 84 au montant 4
Des appareils tels que des relais peuvent ensuite comme le montre la figure 16 entre fixés sur le profilé 84 et les fils associés sont tenus dans les peignes 80.

Le montage représenté aux figures 14 à 16 comprend en outre un guide-fil 89 qui est représenté isolément à la figure 19
Le guide-fil 89 comprend une goulotte 91 ayant un fond 85 et deux parois latérales 90 ce qui définit un profil en U.

Le fond 85 porte sur sa face externe quatre becs d'encliquetage 92 opposés deux à deux et destinés à s'engager entre les extrémités longitudinales libres 92 du montant 4 (figure 14), puis sous cellesaci de façon à fixer le guide-fil 89 au montant 4, la goulotte 91 étant dirigée perpendiculairement au montant 4, tandis que son fond 85 est appliqué contre les deux ailes terminales du montant 4.

Le guide-fil 89 comporte encore deux arceaux 93 dont chacun s' étend dans un plan sensiblement parallèle aux parois latérales 90 et a une forme en U dont le fond est du même côté que le fond 85 de la goulotte 91.

Le fond des deux arceaux 93 est décalé par rapport
au fond 85 de la goulotte 91 de sorte que les
arceaux 93 sont plus profonds que la goulotte 91.

En outre, l'écartement entre les deux arceaux est supé
rieur à la largeur de la goulotte.

Une paroi 94 transversale à la direction de la goulotte 91 et attenante à son fond 85 relie les arceaux 93 sur la hauteur du décalage entre le fond des arceaux et celui de la goulotte. Cette paroi présente toutefois deux interruptions 96, chacune
au voisinage de l'un des arceaux 93 pour donner aux arceaux une certaine aptitude à pivoter dans leur plan moyennant déformations élastiques.

A leur extrémité opposée à la goulotte 91, les
arceaux sont en outre reliés entre eux par une
traverse 97.

Chaque arceau 93 est fermé par un doigt 98 fixé
à l'extrémité de l'arceau adjacente à la goulotte 91,
et s'étendant jusqu a l'autre extrémité de l'arceau.

Les arceaux 93 constituent ainsi des-moyens communiquant avec la goulotte 91 et assurant aux drus un guidage en direction perpendiculaire à celle du guidage assue par la goulotte 91.

L'ensemble du guide-fil 89 est moulé d'un seul tenant en matière plastique douée d'élasticité.

Dans l'assemblage des figures 14 à 16, le guide fil 89 sert à maintenir entre ses arceaux 93 et ses doigts 98 les fils de câblage des appareils fixés sur le rail 84, ainsi que d'autres fils (non représentés) provenant d'autres appareils fixés sur le même rail ou sur d'autres rails ou platines fixés aux montants 4 au-dessus ou au-dessous du rail 84. Au moment du câblage, il est inutile d'enfiler longitu
dinalement les fils dans les arceaux. Il suffit de
les glisser entre la traverse 97 et l'extrémité des
doigts 98 moyennant déformation élastique du guide-fil 8R
Dans l'exemple représenté à la figure 20, on reconnaît le montant 4, la cale 5, le rail 84, qui y est fixé, et le guide-fil 89. On n'a pas utilisé ici d'élément modulaire 73.

On utilise par contre deux rails supplémentaires 99 faits chacun d'un profilé en matière plastique et dont chacun est fixé de façon amovible par une extrémité le long de l'un des doigts 98 du guide-fil 89 et le long du bord longitudinal correspondant de la goulotte 91.

A leurs autres extrémités, les deux rails 99 (dont un seul est représenté à la figure 20) sont fixés de la même manière à un autre guide-fil 89 placé sur l'autre montant 4. Les deux guide-fils 89 sont diposés de sorte e les goulottes 91 sot alignée s et dirigées l'une vers l'autre.

Chaque rail 99 comprend une ame à profil en T dont la jambe 121 est positionnée en service dans un plan perpendiculaire au montant 4 et la barre 122 est du côté du montant 4.

La jambe 121 du T porte en outre d'un côté deux ailes latérales qui délimitent avec la jambe21 et avec une
aile de fermeture 124 un conduit 126 Les ailes 123 et 124 sont des éléments de rigidification du rail en matière plastique 99.

Chaque doigt 98 du guide-fil 89 a un profil en cornière ayant une aile 127 parallèle à la barre 122 en position de service, et une aile 128 raccordée au bord de l'aile 127 situé du côté de l'autre doigt 98. A partir de l'aile 127, l'aile 128 est dirigée à l'opposé du fond des arceaux 93.

A son extrémité opposée aux arceaux 93, le bord loo gitudinal libre de chaque paroi 90 porte une languette 129 ayant sensiblement même profil que le doigt 98 situé du même côté, et s'alignent sensiblement avec lui.

Les doigts 98-et les languettes 129 portent des saillies d'encliquetage élastiques 131 qui permettent d'engager à force la barre 122 contre l'aile 127 des doigts 98 et contre la partie correspondante 132 des languettes 129, et verrouillent ensuite la barre 122 dans cette position.

Du côté opposé aux ailes 123 et 124, la jambe 121 du T présente vers sa mi-longueur un épaulement 133 et elle est renflée entre cet épaulement et son extrémité libre.

Il est ainsi possible d'encliqueter sur la jambe 121 du T un peigne 16 tel que décrit aux figures 1 à 8, la face d'arrêt 38 s'engageant derriè re l'épaulement 133 de façon à verrouiller l'assemblage.

Deux peignes peuvent ainsi être montés avec leurs dents se faisant face au-dessus de la goulotte 91 et de l'espace séparant les deux arceaux 93.

On peut également monter des peignes 16 sur les rails 99 entre les guide-fils 89.

De préférence, on utilise des peignes 16 reliés par une embrasse 13 de façon tout à fait analogue aux peignes 116 de la figure 9, ou par un autre dispositif de maintien des fils tel que ceux décrits en référence aux figures 12 et 13.

L'ensemble étant monté (figure 21), les embrasses 13 prolongent les goulottes 91 des guide-fils 89 et les fils ainsi guidés latéralement; qui peuvent provenir d'appareils non représentés fixés plus haut ou plus bas, vont jusqu'à l'un des montants 4, passent dans la goulotte 91 puis à travers l'un ou l'autre des arceaux 93 selon qu'ils partent vers le haut ou vers le bas le long des montants 4.

On a pu voir tout au long de la description que le matériel présenté concourt dans son ensemble à simplifier remarquablement les opérations de câ- blage et à augmenter considérablement les possibilités offertes pour ce travail. Ces résultats découlent notamment des moyens mis en oeuvre qui conduisent à économiser les points de fixation sur les montants
en utilisant certains d'entre eux pour fixer plusieurs accessoires à la fois.

Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux exemples décrits et représentés, et de nombreux aménagements peuvent etre apportés à ces exemples sans sortir du cadre de l'invention.

C'est ainsi que les peignes pourraient faire partie intégrante de platines en matière plastique.

Claims (11)

REVENDICATIONS

1. Dispositif pour maintenir des fils comprenant deux peignes de câblage (16, 116) comprenant chacun une âme (23) portant d'une part des dents (17a, 17b) disposées côte à côte dans un plan, et d'autre part une pince (27) comportant deux ailes (26, 33) s'étendant côte à cate en direction sensiblement transversale au plan des dents du peigne, cette pince étant destinée à enserrer un rebord (12, 121) que présente un support (6, 99) faisant partie d'une ossature (4, 6, 99) prévue pour la fixation et le câblage d'un certain nombre d'appareils électriques (9, 11), notamment dans une armoire électrique (1), les deux peignes étant destinés à être montés sur leur support respectif dans une position où leurs dents (17a, 17b) se font face, le dispositif comprenant en outre une embrasse destinée à contenir les fils (14) entre les deux peignes et étant caractérisé en ce que l'embrasse (13) présente en deux positions opposées des moyens d'attache (61, 62, 63) aux deux peignes respectivement.

2. Dispositif conforme à la revendication 1, caractérisé en ce que l'embrasse (13) est un élément souple tel que filet ou cordon.

3. Dispositif conforme à l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens d'attache (61, 62, 63) sont destinés à être engagés entre les dents (17a, 17b) du peigne (16, 116).

4. Dispositif conforme à la revendication 3, caractérisé en ce que les moyens d'attache sont des moyens d'encliquetage (61).

5. Dispositif conforme à la revendication 3, caractérisé en ce que les dents de chacun des peignes sont alternativement pleines (17b) et évidées (17a) le long du peigne et en ce que les moyens d'attache (61) ont une largeur appropriée pour être insérés entre deux dents évidées (17a) après ablation de la dent pleine intercalaire (17b).

6. Dispositif conforme à l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que l'embrasse (13) est raccordée à l'extrémité libre des moyens de fixation (27) de chaque peigne (16, 116) et ne forme qu'une seule pièce avec les deux peignes (16, 116).

7. Combinaison d'un dispositif conforme à l'une des revendications 1 à 6, et d'un support pour ce dispositif, caractériseeen ce que le support comprend deux goulottes alignées (91) comprenant chacune un fond (85) et deux parois latérales (90) et destinées à être chacune fixée le fond (85) contre un montant (4) faisant partie de l'ossature, les bords longitudinaux des parois latérales (90) des deux goulottes (91) étant réunis d'une goulotte à l'autre par deux rails (99) présentant chacun une aile (121) formant rebord pour le montage de l'un des peignes (16, 116) de façon que l'embrasse (13) définisse pour les fils un guidage sensiblement aligné avec celui des goulottes (91).

8. Combinaison conforme à la revendication 7, caractériséeen ce que chaque rail (99) est fixé de façon amovible aux deux goulottes (91).

9. Combinaison conforme à l'une des revendications 7 ou 8, caractérise en ce que chaque rail (99) présente une aile (122) coopérant avec des moyens d'encliquetage (131) portés par les goulottes (91).

10. Combinaison conforme à l'une des revendications 7 a 9, caractérisééen ce que chaque goulotte (91) est montée par encliquetage sur le montant (4) qui le porte.

ll Combinaison conforme à l'une des revendications 7 à 10, caractériséeen ce que chaque goulotte (91) fait partie d'un guide-fil (89) comprenant en outre des moyens (93) communiquant avec la goulotte (91) et assurant pour les fils un guidage dont la direction est transversale à celle du guidage assuré par la goulotte (91), les deux guidefils (89) étant en service disposés de façon que leurs goulottes (91) soient dirigées L'une vers l'autre.

12. Combinaison conforme à la revendication 11, caractérisoe en ce que, pour chaque guide-fils (89) les moyens de guidage transversal comprennent deux arceaux (93) attenants chacun à l'une des parois latérales (90) de la goulotte (91) et deux doigts (98) portés par la goulotte (91) et fermant sensiblement chacun l'un des arceaux (93), et en ce que chaque guide-fils (89) comporte des moyens (131) pour fixer un raiL profilé (99) à la fois le long du bord longitudinal de chaque paroi latérale (90) de la goulotte (91), et le long du doigt de fermeture (98) attenant à ce bord longitudinal.