FR2518014A1 - Procede et dispositif pour la realisation d'une conduite souple coudee - Google Patents

Abstract

PROCEDE POUR LA REALISATION D'UNE CONDUITE SOUPLE COUDEE SELON LEQUEL ON EMMANCHE SUR UN MANDRIN A LA FORME DE LADITE CONDUITE, UN TRONCON DE TUBE D'UNE MATIERE THERMODURCISSABLE DE MANIERE A OBTENIR UNE EBAUCHE DE LADITE CONDUITE, APRES QUOI L'EBAUCHE ET LE MANDRIN SONT SOUMIS A UNE ELEVATION DE TEMPERATURE POUR DURCIR LADITE EBAUCHE. SELON L'INVENTION, LE PROCEDE EST REMARQUABLE EN CE QUE L'ON COUPE LEDIT TRONCON DE TUBE A LA LONGUEUR EXACTE DEVELOPPEE DE LA CONDUITE SOUPLE 25 ET EN CE QUE L'ON MAINTIENT FIXES PAR RAPPORT AU MANDRIN 2 LES EXTREMITES 21, 22 DE LADITE EBAUCHE 23 PENDANT L'ELEVATION DE TEMPERATURE. FABRICATION DE CONDUITES SOUPLES COUDEES.

Description

La présente invention concerne un procédé et un dispositif pour la réalisation d'une conduite souple coudée.

De telles conduites sont généralement utilisées en construction automobile pour le raccord des canalisations des moteurs.

On connait déjà un procédé pour réaliser de telles conduites selon lequel on emmanche sur un mandrin à la forme de ladite conduite, un tronçon de tube d'une matière thermodurcissable de manière à obtenir une ébauche de ladite conduite, après quoi l'ébauche et le mandrin sont soumis à une élévation de température pour durcir ladite ébauche.

Ce procédé connu comporte des inconvénients.

En effet, on sait que, lors de l'élévation de température, la matière thermodurcissable subit un retrait, provoquant alors une diminution de longueur de l'ébauche qui donne, après échauffement, une conduite souple coudée de longueur développée moindre que le tube initial. Ce phénomène de retrait ne pouvant être calculé et prévu de manière simple, la technique antérieure connue consiste donc à emmancher sur le mandrin un tube d'une longueur très supérieure à la longueur développée de la conduite coudée désirée, de façon à obtenir une ébauche durcie de longueur supérieure, compte tenu du retrait, puis à couper cette ébauche coudée et durcie à la longueur voulue pour obtenir la conduite désirée.

Ce procédé connu provoque donc une perte de matière et surtout de temps puisqu'il oblige à prévoir une opération de mise à longueur. Cette perte de temps est d'autant plus importante qu'il est nécessaire de couper aux deux extrémités la conduite coudée.

La présente invention remédie à ces inconvénients et concerne un procédé et un dispositif pour la réalisation de conduites souples coudées, procurant un gain de temps et de matière appréciable, et permettant d'obtenir des conduites coudées dont les embouts sont nets et prêts à l'emploi.

A cette fin, selon l'invention, le procédé pour la réalisation d'une conduite souple coudée selon lequel on emmanche sur un mandrin à la forme de ladite conduite, un tronçon de tube d'une matière thermodurcissable de manière à obtenir une ébauche de ladite conduite, après quoi l'ébauche et le mandrin sont soumis a une élévation de température pour durcir la dite ébauche, est caractérisé en ce que l'on coupe ledit tronçon de tube à la longueur exacte développée de la conduite souple et en ce que l'on maintient fixes, par rapport au mandrin,les extrémités de ladite ébauche pendant l'élévation de température.

Les extrémités des conduites étant maintenues fixes pendant l'échauffement, le retrait est contrecarré et après durcissement, il ne peut plus se produire.

Le tube emmanché étant de même longueur que celle de la conduite coudée que l'on désire obtenir, le procédé selon l'invention permet une économie de matière et de temps puisque les opérations de découpe des extrémités sont supprimées.

Afin d'effectuer encore plus rapidement les opérations selon le procédé de llinvention,on emmanche ledit tronçon de tube sur le mandrin jusqu'à rencontre de l'une des extrémités du tube avec une butée occupant une position fixe sur le mandrin, et on serre ensuite les deux extrémités de l'ébauche par rapport au mandrin.

L'invention concerne également un dispositif pour la mise en oeuvre du procédé, comportant des moyens de serrage aptes à maintenir fixe#,par rapport au mandrin, les extrémités de l'ébauche pendant l'élévation de température.

La butée fixe par rapport au mandrin permet de mettre en position facilement le tube sur le mandrin. Cette butée fixe est par exemple solidaire, de manière amovible ou non, du mandrin.

Dans un mode avantageux de réalisation,la butée en position fixe par rapport au mandrin est indépendante des moyens de serrage correspondants, mais coopère au positionnement desdits moyens de serrage sur ledit mandrin.

Selon une variante de réalisation économique, les moyens de serrage sont constitués d'une paire de pinces dont les mâchoires comportent chacune une zone de serrage apte à presser les extrémités de l'ébauche contre la mandrin.

Ainsi, une fois l'ébauche en place sur le mandrin, il suffit de pincer les extrémités de l'ébauche pour maintenir celle-ci sur le mandrin pendant l'élévation de température. En outre, la zone de serrage des mâchoires prépare la surface de l'embout de la conduite qui se trouve ainsi prête à l'emploi.

L'ébauche est maintenue par les pinces et la butée fixe.

Il est avantageux de disposer une seconde butée située du côté du mandrin par où est emmanché le tube souple.

A cette fin, au moins la pince disposée du côté du mandrin opposé à la butée fixe comporte sur ses mâchoires un épaulement formant butée et contre lequel vient porter l'extrémité correspondante de l'ébauche.

Les mâchoires des pinces doivent être centrées sur le mandrin de manière à ce que l'ébauche soit uniformément serrée. C'est pourquoi les mâchoires comportent une zone d'appui apte à serrer le mandrin.

Dans le but de faciliter la mise en place initiale des pinces par rapport à l'ébauche, les pinces comportent sur un des bords de leurs mâchoires une zone évasée de forme tronconique de diamètre décroissant vers la zone de serrage de l'ébauche.

Avantageusement, les moyens de serrage comportent des organes de blocage en translation par rapport au mandrin permettant le positionnement par rapport à ce dernier desdits moyens de serrage.

Ainsi, la mise en place des moyens de serrage, en lloccurence des pinces, sur le mandrin, est rendue plus aisée et plus rapide.

L'invention sera bien comprise à la lumière des figures annexées.

La figure 1 est une vue en perspective d'un exemple de réalisation du dispositif selon l'invention muni des moyens de serrage et l'ébauche étant emmanchée sur le mandrin.

La figure 2 est une coupe schématique à échelle réduite du mandrin de la figure 1 sur lequel est emmanché le tube souple.

La figure 3 est une vue en coupe selon la ligne III-III de la figure 1.

La figure 4 est une vue en perspective d'une des mâchoi- res d'une pince et de sa poignée associée.

La figure 5 est une vue en perspective de l'extrémité d'une conduite souple coudée réalisée selon l'invention.

La figure 6 montre en perspective un exemple de réalisation de moyen de blocage en translation d'une des pinces par rapport au mandrin.

La figure 7 est une coupe partielle selon la ligne Vil-Vil de la figure 6.

Le dispositif 1, dont un exemple de réalisation est montré sur la figure 1, comporte un mandrin 2 métallique fixé sur un bâti fixe 3, par soudage par exemple, et des moyens de serrage constitués de pinces 4 et 5. La forme du mandrin correspond à la forme de la conduite coudée que l'on désire obtenir. Le mandrin 2 est munie d'une butée 6, en position fixe au moins de manière temporaire par rap- port au mandrin et constituée d'un anneau métallique (voir la figure 2). Dans la description qui suit, on entend par butée fixe, une butée en position fixe par rapport au mandrin sans que cette butée soit forcément solidaire du mandrin, cette position pouvant en outre être réglable.

Les pinces 4 et 5 comportent des mâchoires respectivement 7,8 et 9,10- aptes à pivoter autour des axes 11 et 12.

Deux jeux de poignées 13 et 14 permettent de rapprocher
et éloigner les unes des autres les mâchoires de chaque
jeu de mâchoires.

Les mâchoires sont formées chacune d'une demi-coquille
sensiblement cylindrique (voir les figures 3,4 et 7)
comportant successivement à l'intérieur une zone tronco
nique 15, une zone annulaire de serrage 16 de l'ébauche
et une zone d'appui 17 contre le mandrin 2. De plus, les
mâchoires 9 et 10 comportent une nervure circulaire 18,
tandis que les mâchoires 7 et 8 comportent une gorge 36.

Chaque mâchoire est associée à deux pattes 19 et 20
transversales traversées par l'axe de rotation 11 ou 12
et une poignée 13 ou 14.

Sur la figure 4, on n'a représenté qu'une moitié de la
pince 5.

Leprincipeduprocédé selon l'invention pour la réalisa
tion d'une conduite souple coudée est décrit ci-après.

On coupe dans un premier temps un tronçon de tube en matière thermodurcissable à la longueur développée de la conduite souple, puis ledit tronçon de tube souple est emmanché sur le mandrin 2 jusqu'à venir porter par une de ses extrémités 21 contre la butée fixe 6, l'autre extrémité 22 du tube étant disposée près de l'extrémité libre du mandrin 2. On obtient ainsi une ébauche 23 de la conduite souple coudée.

Selon l'invention, on maintient fixes les extrémités 21,22 de l'ébauche par rapport au mandrin grâce aux pinces 4 et 5, dont les machoires 7,8 et 9,10 serrent contre le mandrin 2, grâce aux zones de serrage 16 lesdites extrémités.

On soumet ensuite l'ensemble ébauche et mandrin à une élévation de température, dans une étuve par exemple, afin de provoquer le durcissement de la matière thermo durcissable constituant l'ébauche 23. Lors de cette élévation de température, la matière de l'ébauche a tendance à se rétracter. Or, selon l'invention, les extrémités 21,22 de l'ébauche 23 sont maintenues fixes par rapport au mandrin 2 grâce aux zones de serrage 16 disposées sur les mâchoires 7,8 et 9,10 des pinces 4 et 5. Ceci a pour conséquence que l'ébauche 23 avant durcissement et la conduite souple coudée obtenue ont la même longueur développée. Cette longueur étant donnée initialement, la conduite souple coudée, après durcissement, n'a plus à être coupée à ses extrémités. On réalise ainsi un gain de temps et de matière très appréciable.

En outre, du fait que les zones de serrage 16 des mâchoi- res serrent l'ébauche 23, on obtient sur la longueur de serrage, aux extrémités 25 de la conduite 24 coudée un bon état de surface (voir la figure 5). Les mâchoires 7,8 et 9,10 des pinces 4 et 5 peuvent en outre comporter sur leurs zones de serrage 16 des bossages ou des creux composés d'inscription, tel qu'un numéro de série de type de conduite par exemple. Cette disposition permet de porter des inscriptions 26 sur la conduite souple coudée 24.

Afin de faciliter la mise en oeuvre du procédé selon l'invention, les pinces 4 et 5 sont munies de moyens de positionnement en translation par rapport au mandrin 2.

Selon l'exemple de réalisation décrit, le mandrin 2 comporte une butée 6 permettant dans un premier temps de mettre en position l'ébauche 23 sur le mandrin 2.

Dans un second temps intervient la mise en place,-par rapport au mandrin 2, des pinces qui serrent les extrémités 21 et 22 de l'ébauche 23.

L'une des pinces (la pince 4) disposée vers l'extrémité du mandrin 2 située du côté du b ti 3, est par exemple reliée au mandrin par des moyens montrés sur la figure 6. La pince 4 est solidaire par son axe 11 d'une tige 27 fixée sur une patte 28 solidaire d'un coulisseau 29 fixé en position le long du mandrin 2 grâce à des vis 30.

Les mâchoires 7 et 8 comportent intérieurement une gorge 36, de forme complémentaire à la butée fixe 6 et dans laquelle vient se loger cette dernière. Ainsi, le coulisseau 29 assure la fixité de la position de la pince 4 le long du mandrin 2 tandis que la coopération de la gorge 36 avec la butée 6 permet le centrage de ladite pince 4 par rapport à ladite butée 6 lors de chaque fermeture des mâchoires 7 et 8. La pince 4 comporte un organe de blocage des poignées 13, constitué par une barre 31 articulée sur une première poignée et munie d'une échancrure 32 dans laquelle est apte à s'engager la paroi d'une lumière 33 disposée sur la seconde poignée pour maintenir écartés les mors 7 et 8 et donc permettre l'introduction de l'extrémité 21 du tube 23 entre lesdits mors.

Les pinces 4 et 5 comportent avantageusement un organe de rappel, tel qu'un ressort (non représenté) rappelant les mâchoires en position fermée.

En position bloquée du jeu des poignées 13, c'est-à-dire en position ouverte des mâchoires 7 et 8 de la pince 4, le fait de baisser la barre 31 désengage l'échancrure 32 et provoque l'écartement des poignées et donc le rapprochement des mâchoires 7 et 8.

La pince 5 disposée du cté de l'extrémité libre du mandrin 2 comporte (voir lesfigures 3 et 4), afin de fixer en translation ladite pince par rapport au mandrin 2, une nervure 18 disposée sur l'un des bords. Le mandrin 2 est muni d'une gorge correspondante 34 apte à recevoir ladite nervure 18.

La méthode opératoire du dispositif décrit est la suivante.

La pince 5 d'extrémité est enlevée du mandrin 2,tandis que la pince fixe 4 est bloquée en position ouverte des mâchoires 7 et 8. On emmanche le tronçon de tube sur le mandrin 2 jusqu'à venir porter par son extrémité sur la butée fixe 6. Une simple action sur la barre 31 débloque les poignées 13 de la pince 4 et provoque la fermeture des mâchoires 7 et 8 (grâce au ressort de rappel). L'ébauche 23 est ainsi maintenue par serrage à l'une de ses extrémités 21 à la pince 4. La seconde pince 5 est ensuite approchée du mandrin 2, en position ouverte, et ce dernier pénètre entre les deux mâchoires ouvertes. La position relative du mandrin 2 et de la pince 5 est rapidement trouvée par l'utilisateur grâce à une paroi terminale 35, transversale à l'axe 12 et contre laquelle vient buter l'extrémité du mandrin 2.

A cet instant, l'utilisateur relâche les poignées 14 et les mâchoires 9 et 10 se referment, provoquant la pénétration de la nervure 18 dans la gorge 34 et le serrage de l'extrémité 22 de l'ébauche 23 sur le mandrin 2 par la zone de serrage 16 de chaque mâchoire.

On note que ces opérations de mise en place, tant de la pince 4 solidaire du mandrin 2 ,que de la pince 5 mobile, sont extrêmement rapides.

Les zones tronconiques 15 des mâchoires permettent un mouvement relatif des pinces et de l'ébauche emmanchée sur le mandrin très aisé, notamment lors de l'introduction du mandrin 2 et de l'ébauche 2.3 emmanchée dans l'ouverture des mâchoires 9,10 de la pince 5.

Dans une variante de réalisation, la butée 6 est mobile par rapport au mandrin tout en étant apte à être fixée en translation sur ce dernier. Avantageusement on dispose cette butée 6 solidaire du coulisseau 29.Ainsi, en déplaçant l'ensemble coulisseau 29 et pince 4 le long du mandrin 2, on peut modifier la longueur de la branche de l'ébauche disposée après le coude supérieur du mandrin 2.

La butée fixe par rapport au mandrin contre laquelle vient porter l'ébauche 23 peut être solidaire de la pince 4 et constituée par exemple d'un épaulement 36 correspondant à l'épaisseur de ladite ébauche.

Avantageusement, les deux pinces 4 et 5 comportent de tels épaulements formant butée. On obtient ainsi un positionnement respectif correct de l'ébauche 23, du mandrin 2 et desdites pinces 4 et 5. En outre, les extrémités de la conduite coudée ainsi réalisée (après durcissement' présentent des bords nets et francs.

Le serrage de l'ébauche 23 contre la mandrin 2 doit être uniforme. C'est pourquoi chaque mâchoire comporte une zone-d'appui 17 reposant sur le mandrin nu lors de la fermeture de ces dernières. Cette zone zone 17 permet de centrer les mâchoires en position fermée sur l'axe du mandrin 2, donc de l'ébauche 23.

Claims (10)

REVENDICATIONS

1 - Procédé pour la réalisation d'une conduite souple coudée selon lequel on emmanche sur un mandrin à la forme de ladite conduite, un tronçon de tube d'une matière thermodurcissable de manière à obtenir une ébauche de ladite conduite, après quoi l'ébauche et le mandrin sont soumis à une élévation de température pour durcir ladite ébauche, caractérisé en ce que l'on coupe ledit tronçon du tube à la longueur exacte développée de la conduite souple (25) et en ce que l'on maintient fixes par rapport au mandrin (2) les extrémités 21,22 de ladite ébauche (23) pendant l'élévation de température.

2 - Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'on emmanche ledit tronçon de tube sur le mandrin (2) jusqu'd rencontre de l'une des extrémités (21) du tube avec une butée (6) occupant une position fixe sur le mandrin (2), et en ce que l'on serre ensuite les deux extrémités (21,22) de l'ébauche (23) par rapport au mandrin.

3 - Dispositif pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce qu'il comporte des moyens de serrage(4,5),aptes à maintenir fixes, par rapport au mandrin (2) les extrémités (21,22) de L'ébauche(23) pendant l'élévation de température.

4 - Dispositif selon la revendication 3, caractérisé en ce que la butée (6) occupant une position fixe par rapport au mandrin (2) est solidaire de ce dernier.

5 - Dispositif selon l'une des revendications 3 ou 4, caractérisé en ce que la butée en position fixe (6) par rapport au mandrin est indépendante des moyens de serrage (4) correspondants, mais coopère au positionnement desdits moyens de serrage (4) sur ledit mandrin.

6 - Dispositif selon l'une des revendications 3 à 5, caractérisé en ce que les moyens de serrage sont constitués d'une paire de pinces (4,5) dont les mâchoires (7,8 et 9,10) comportent chacune une zone de serrage (16! apte à presser les extrémités de l'ébauche (23) contre le mandrin (2).

7 - Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce qu'au moins la pince (5) disposée du côté du mandrin (2) opposé à la butée fixe (6) comporte sur ses mâchoires (9,10) un épaulement (36) formant butée et contre lequel vient porter l'extrémité (22) correspondante de l'ébauche (23).

8 - Dispositif selon l'une des revendications 6 ou 7, caractérisé en-ce que les mâchoires (7,8 et 9,10) comportent une zone d'appui (17) apte à serrer le mandrin (2).

9 - Dispositif selon l'une des revendications 6 à 8, caractérisé en ce que les pinces (4 et 5) comportent sur un des bords de leurs mâchoires une zone évasée de forme tronconique (15) de diamètre décroissant vers la zone de serrage (16) de l'ébauche (23).

10 - Dispositif selon l'une des revendications 3 à 9, caractérisé en ce que les moyens de serrage (4,5) comportent des organes de blocage en translation (18,23) par rapport au mandrin (2) permettant le positionnement par rapport à ce dernier desdits moyens de serrage.