FR2513692A1 - Structure de persiennes ou stores comportant de nouvelles cales pour la fixation des lames - Google Patents

Abstract

STRUCTURE DE PERSIENNES OU STORES COMPORTANT DE NOUVELLES CALES POUR LA FIXATION DES LAMES. POUR FACILITER LE MONTAGE ET LE MAINTIEN DU TALON DE LAMES DANS UN ELEMENT DE SUPPORT, LA STRUCTURE DU STORE COMPORTE DES CALES 16 DONT LE CORPS 18 SE PROLONGE PAR AU MOINS UN DOIGT 24 ELASTIQUE, PRESENTANT UN TENON 26 EN SAILLIE, CEPENDANT QUE LE CORPS OU PLAQUE 18 PRESENTE A SON AUTRE EXTREMITE UNE SECONDE SAILLIE 22, AINSI QUE DES REBORDS LATERAUX 20. PLUS LONGUE QUE L'ELEMENT DE SUPPORT, LA CALE 16, EN MATIERE PLASTIQUE, PEUT S'INSERER FACILEMENT. APRES CE MONTAGE, LES SAILLIES 26, 22 ENCADRENT L'ELEMENT DE SUPPORT DE LAMES ET LES TALONS DE LAMES ET ELLES EMPECHENT TOUT MOUVEMENT RELATIF DE LA LAME PAR RAPPORT AU SUPPORT.

Description

L'invention concerne des cales nouvelles et perfec-

tionnées pour le montage de lames de stores ou persiennes.

Plus généralement, la-présente invention concerne une struc-

ture de persiennes ou de stores comprenant plusieurs éléments espacés de support et un ou plusieurs éléments allongés, ou lames, formant écran et comportant un talon que l'on peut monter par un mouvement d'insertion par inclinaison-dans des pistes de glissement et de retenue ménagées dans, lesdits éléments de support, de sorte qu'il reste, au moins le long d'un bord de ce talon, un espace entre le bord et la piste respective de glissement et de retenue, cette structure comportant également des éléments de garnissage(ou cales) profilés de manière à pouvoir être insérés par leur bout dans une partie au moins de l'espace restant précité, afin de stabiliser le talon par rapport à chaque élément de support Typiquement, une telle structure comporte un certain nombre d'éléments

parallèles formant écran, et appelés ci-après "lames", qui -

sont montées dans un nombre correspondant de rangées d'éléments fixes de support, lesquels sont normalement de courts profilés en C découpés sur une poutre en aluminium extrudé Les lames elles-mêmes, y compris leur talon, sont également des éléments extrudés, et elles sont montées de manière à se chevaucher mutuellement lorsqu'on les regarde d'un certain angle ou d'un certain endroit, par exemple en vue de protéger

du soleil.

Pour faciliter une description plus détaillée de ce

qui constitue le fond ou l'arrière-plan de l'invention, on va maintenant se référer aux dessins d'accompagnement, sur lesquels les figures 1 à 3 montrent un agencement typique connu de montage d'une lame, la figure 1 étant une vue en perspective d'une lame en cours de montage, cependant que la figure 2 est une coupe de la lame en cours de montage dans le profilé en C, et que la figure 3 montre la lame mise en place,

et maintenue par un élément de garnissage, ou cale.

L'élément à rôle d'écran de protection, ou lame, est désigné par l'indice de référence 2 et il consiste en un talon 4 en forme de bande, qui vient se loger dans un élément 6 de

support, et en une partie 8 en forme de plaque d'écran, ou-

lame proprement dite, qui fait obliquement saillie du talon 4 L'élément 6 de support est un élément de raccord destiné à recevoir les extrémités respectives de deux lames adjacentes dont une seule est représentée Normalement, les lames sont -assez longues pour devoir être supportées en un plus grand nombre d'endroits que leurs seules extrémités et, pour un tel support, on utilise normalement des éléments 6 de support de

longueur réduite.

Pour monter les lames 2 dans les éléments 6 de support,

on pourrait tout simplement introduire, par un mouvement longi-

tudinal, le talon 4 dans les éléments 6 profilés en C, mais un tel montage serait malcommode en raison de la longueur considérable, habituellement, des lames Les talons des lames sont donc conçus de manière à permettre la réalisation du montage par inclinaison du talon dans les éléments de support sans aucun déplacement latéral des lames, et l'on voit sur la figure 2 comment ce montage par inclinaison est réalisé selon un mode opératoire bien connu, c'est-à-dire que l'on introduit obliquement un bord (le bord supérieur) du talon 4 dans une rainure 10 de retenue ménagée dans l'élément 6 de support, puis l'on fait basculer le bord opposé du talon pour le faire parvenir en une position voisine d'une rainure de retenue 12 opposée Une-fois rapproché de cette dernière

rainure 12 et après son insertion dans cette rainure, le -

talon est verrouillé à l'encontre d'un arrachage direct.

En pratique, cependant, il est inévitable que le

talon soit monté de façon assez lâche dans l'élément de sup-

port, et il est donc souhaitable d'obtenir un montage assez rigide pour éviter que la lame ne claque au vent ou ne se libère, sans qu'on le souhaite, de son insertion dans l'élément de support Il est donc bien connu de stabiliser le montage à l'aide de pièces de garnissage, ou cales, convenables, que l'on place en vue d'emplir l'espace restant entre les bords

du talon et les rainures associées de l'élément de support.

Sur les figures 1 et 3, on voit de telles cales consistant en des éléments profilés 14, que l'on pousse axialement de l'extérieur pour les faire pénétrer dans lesdits espaces Les éléments ou cales 14 consistent normalement en des morceaux découpés sur un profilé de matière plastique extrudé, et, comme on le voit particulièrement sur la figure 3, on peut

ainsi obtenir que le talon 4, une fois introduit par incli-

naison dans les éléments de support, y reste assujetti et ne

puisse plus s'incliner de lui-même.

Dans un dispositif du type en cause ici, il faut normalement fixer les lames dans un nombre considérable d'éléments de supportet il est donc très 'important pour le travail de montage que les cales 14 puissent être montées de façon raisonnablement simple, c'est-à-dire sans nécessiter une grande force d'insertion C'est pourquoi, les cales sont normalement destinées à s'ajuster dans lesdits espaces avec

un léger ajustement glissant de manière à pouvoir être facile-

ment introduites dans les joints et à produire encore une fixation du talon 4 dans les éléments 6 de support, que l'on,

ne peut pratiquement pas désolidariser par une simple incli-

naison du talon.

La pratique a cependant montré que la facilité d'inser-

tion des cales est néanmoins liée à un inconvénient assez important, à savoir que les cales peuvent au cours du temps

"travailler" et sortir d'elles-mêmes des joints sous l'influ-

ence de mouvements longitudinaux des lames 2 dus à des effets thermiques On a donc consacré de gros efforts pour assurer un ancrage des cales 14 sur les éléments 6 de support, en

utilisant des vis de maintien transversales ou des déforma-

tions locales des éléments de support Mais cela rend le' travail de montage difficile au point que-ce travail n'est

certainement plus aussi simple qu'on-pourrait le souhaiter.

L'invention concerne donc, plus particulièrement, une solution simple aux problèmes,étudiés ci-dessus, du

montage des éléments de persiennes ou de stores.

Selon les caractéristiques essentielles de l'invention: chaque cale comporte, à l'une au moins de ses extrémités, une-saillie longitudinale qui constitue un doigt de section transversale réduite, pouvant être plié élastiquement de sorte

que, pendant l'insertion, ce doigt peut se plier pour s'écar-

ter d'une partie de paroi adjacente de l'élément de support,-

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la partie extérieure extrême du doigt comportant une saillie latérale dirigée vers cette partie de paroi de l'élément de support et pouvant, à la fin de l'insertion, se redresser vers l'extérieur derrière un bord extrême ou un évidement de l'élément de support, la cale présentant des saillies corres- pondantes destinées à venir buter sur un bord de l'extrémité opposée ou d'un évidement opposéxde l'élément de support si l'on tente, après l'insertion, de déplacer la cale la saillie du doigt coopère avec une première surface extrême de l'élément de support, cependant qu'une saillie correspondante coopère avec l'autre surface extrême, la cale étant plus longue que l'élément de support le corps de la cale peut comporter un ou plusieurs doigts en saillie à une extrémité seulement, la saillie qui coopère avec l'autre extrémité de l'élément de support étant positionnée latéralement sur ce corps au voisinage de son autre extrémité; et la cale peut comporter deux doigts parallèles espacés et en saillie qui peuvent être fléchis le long de

parties parallèles opposées de la surface du talon de lame.

L'invention se fonde sur l"établissement du fait que, pour obtenir la stabilisation requise du montage, il n'est pas- nécessaire que la totalité de l'espace restant entre talon et élément de support soit remplie par la cale Il suffit que cet espace soit empli sur une grande partie de sa longueur et il est donc possible d'utiliser une cale pré- sentant le long d'une partie terminale une section transversale réduite de manière que cette partie terminale, qui constitue le bord avant lors du mouvement d'insertion, puisse se plier de manière souple pour permettre aux saillies latérales précitées de se déplacer dans cet espacexet de se redresser ensuite derrière le bord arrière de l'élément de support, à la fin

du mouvement d'insertion.

Ainsi, à l'état monté, des saillies radiales de la cale seront en prise avec l'élément de support et empêcheront tous les mouvements axiaux relatifs entre ces éléments, c'est-à-dire que -les mouvements, dûs à des effets thermiques, de la lame ne pourront plus déplacer et écarter la cale de l'élément de support Cette ferme action de retenue ne se fonde pas sur un contact de frottement dur, qui risquerait d'exiger l'application de grandes forces pour le montage des cales, mais cette action se fonde sur une simple action mécanique de blocage par redressement, que l'on peut-obtenir

sous l'effet d'une faible force d'insertion.

Avantageusement, la portion terminale de la cale peut-

être constituée par deux doigts parallèles espacés, faisant saillie et destinés à être pliés le long de surfaces parallèles

opposées du talon.

L'inventio N va maintenant être décrite plus en détail, à titre d'exemple nullement limitatif, en regard du dessin annexé sur lequel: les figures i à 3, décrites ci-dessus, concernent une structure de persiennes ou stores de l'art antérieur; et la figure 4 est une coupe d'une structure selon l'invention, la vue étant comparable à la coupe présentée sur la figure 3; la figure 5 est une vue en perspective de cales supérieure et inférieure selon l'invention, la figure 6 est une coupe longitudinale d'un élément de support, et montre le montage de la cale selon la figure , et la figure 7 est une coupe longitudinale correspondante

montrant les cales à leur état de montage final.

Le profilé 6 de support représenté sur la figure 4 correspond au profilé déjà décrit ci-dessus, bien que les pistes ou rainures 10 soient conçues sans aucune des nervures faisant saillie vers l'intérieur et apparaissant sur les figures l à 3 Cependant, cela ne constitue pas nécessairement une différence importante ou fondamentale par rapport au dispositif connu Les cales, désignées maintenant par l'indice 16 de référence, sont représentées plus en détail sur la figure 5 Elles consistent chacune en un élément de matière plastique moulé par injection et comportant une plaque de base 18, qui présente le long d'une partie de sa longueur des rebords parallèles 20 faisant saillie d'un côté et présentant des extrémités arrondies, cependant qu'à une extrémité la plaque 18 comporte un tenon de butée 22 faisant saillie vers le côté opposé A son autre extrémité, la plaque de base 18 se prolonge vers l'avant par deux doigts 24 espacés, ayant des -extrémités partiellement arrondies et munies de tenons 26, qui font saillie dans l-a même direction que le tenon 22 situé à l'extrémité opposée de la plaque de base 18 La distance entre les doigts,24 de chaque élément ou cale 16 correspond à l'épaisseur du talon 4 de la lame 2, ou est légèrement plus grande que cette épaisseur,et l'épaisseur des doigts dans la même direction est assez faible pour que les doigts puissent se loger dans l'espace situé entre les côtés du talon 4 et les côtés des rainures 10 et 12 de l'élément 6 de support, cependant que les épaisseurs de la plaque de base 18 et des rebords 20 correspondent à un remplissage de l'espace entre

les rebords du talon et les rainures 10,12 (figure 4).

Ainsi, les cales représentées sur la figure 5 peuvent être insérées dans l'espace en cause, lorsqu'on opère de la façon représentée sur la figure 6 en introduisant tout d'abord les doigts 24, comme on le voit à la partie supérieure de la figure 6, Jusqu'à ce que le bord avant de la plaque-de base 18 soit serré entre le bord du talon 4 et le bas de la rainure 10 La présence des tenons 26, faisant saillie sur

les doigts 24, oblige la cale à prendre lors de cette inser-

tion initiale une position oblique ne permettant plus d'intro-

duire davantage la plaque de base 18 dans l'espace en cause.

Cependant, la possibilité de plier élastiquement les doigts 24 permet, comme représenté à la partie inférieure de la figure 6, de continuer à introduire la cale 16,car sa plaque de base 18 va ainsi être guidée de manière à se trouver parallèle aux *surfaces adjacentes de la paroi inférieure de la rainure 10 ou 12 respective et aux bords extérieurs respectifs

du talon 4 Ainsi-, les tenons 26 des doigts 24 seront élasti-

quement maintenus contre le fond des rainures jusqu'à ce que la cale atteigne sa position finale représentée sur la figure

7 et dans laquelle les tenons 26 sont repoussés vers l'exté-

rieur par une extension élastique des doigts 24 La cale sera ensuite verrouillée à l'encontre de tout déplacement axial aussi bien vers l'avant que vers l'arrière puisque les tenons de butée 22 et 26, qui font saillie vers l'extérieur, se situeront juste à l'extérieur des deux extrémités de l'élément de support On peut cependant, bien entendu, réaliser un démontage en abaissant les extrémités extérieures

des doigts 24 et en repoussant la ou les cales.

Sur les figures 6 et-7, l'élément de support est représenté sous forme d'un élément court destiné à supporter une zone d'une lame qui s'étend bien au-delà de l'élément de support, mais cet élément de support peut présenter une plus grande longueur pour constituer un élément de Jonction comme dans le cas de l'élément de la figure 1, et les cales

16 seront alors, de façon correspondante, plus longues.

Cependant, il n'est pas nécessaire que les doigts 24 présen-

tent une plus grande longueur (voir la partie inférieure de la figure 6), car leur flexion élastique vers l'extérieur et leur extension subséquente sont indépendantes de la

longueur de la partie restante de la cale De manière corres-

pondante, pour l'action de garnissage ou de calage propre-

ment dite, il n'est pas essentiel que la cale emplisse totalement l'espace en cause le long d'une partie de sa longueur, c'est-à-dire le long des doigts 24 Lorsqu'une autre partie seulement de longueur de la cale présente la forme de section représentée sur la figure 4, la lame 2 est néanmoins maintenue selon les désirs dans ou par l'élément de support, et les cales pourraient même être munies de doigts 22 à leurs deux extrémités opposées de sorte que les cales pourraient être insérables en utilisant

à volonté l'une ou l'autre extrémité comme extrémité avant.

Si on le désire, chaque cale peut ne comporter qu'un seul doigt 24, et les tenons ou saillies 22 et/ou 26 peuvent faire saillie latéralement, les doigts 24 devantbien entendu, pouvoir être insérables dans l'espace situé entre le bord

externe du talon 4 et le fond de la rainure 10 ou 12, respective.

Si on les produit par moulage ou par injection, les cales 16 peuvent être aussi bon marché que les cales connues,

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14, car on les utilise en de grandes quantités, et les avantages de l'invention peuvent donc être obtenus sans

augmentation de prix de revient.

L'invention entend couvrir également l'utilisation d'une seule cale par élément 6 de support, la forme de la cale étant telle qu'un bord du talon 4 soit suffisamment

stabilisé, dès son insertion ou son inclinaison dans l'élément-

de support, pour qu'il ne soit pas nécessaire d'insérer ensuite

une cale supplémentaire.

De plus, l'invention entend aussi couvrir l'utilisa-

tion de cales 16 dont la longueur est inférieure à celle des éléments 6 de support, lorsque ces derniers comportent des trous ou des évidements internes convenant pour loger

les tenons 22 et/ou 26.

Il va de soi, que sans sortir du cadre de l'invention, de nombreuses modifications peuvent être apportées aux cales

et à la structure de stores ou persiennes décrites et représen-

tées.

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Claims (4)

REVENDICATIONS

1 Structure de stores ou persiennes comprenant plusieurs éléments ( 6) espacés de support et un ou plusieurs éléments allongés ( 2), ou lames, formant écran et comportant un talon ( 4) que l'on peut monter, par un mouvement d'insertion par inclinaison, dans des pistes ( 10,12) de glissement et de retenue ménagées dans lesdits éléments de support, de sorte qu'il reste, au moins le long d'un bord de ce talon ( 4) un espace entre

ce bord et la piste respective de retenue, la structure compor-

tant en outre dés cales ( 14,16) profilées de manière à pouvoir

être insérées par leur bout dans une partie au moins de la -

longueur dudit espace restant pour stabiliser le talon ( 4) par rapport à chaque élément ( 6) de support, structure caractérisée en ce que chaque cale ( 16) comporte, à l'une au moins de ses extrémités, une partie extrême faisant saillie dans le sens de la longueur et qui constitue un doigt ( 24) pouvant être de section transversale réduite et pouvant être élastiquement plié, de sorte qu'au cours de l'insertion, le doigt ( 24) peut être plié pour s'écarter d'une partie de paroi adjacente de l'élément ( 6) de support, l'extrémité externe du doigt comportant une saillie ( 26) latérale dirigée vers cette partie de paroi

et pouvant se redresser vers l'extérieur, à la fin de l'inser-

tion, derrière une première extrémité ou un premier bord en évidement de ladparoi de cet élément de support et la cale comportant également une saillie ( 22) destinée à constituer une butée pour une seconde extrémité opposée ou un second bord en évidement de l'élément ( 6) de support et à empêcher un déplacement supplémentaire tenté en vue d'insérer davantage

ou de décaler la cale ( 16).

2 Structure de persiennes ou stores selon la revendi-

cation 1, caractérisée en ce que la cale ( 16) est-plus longue que l'élément ( 6) de support et la saillie (Z 6) du doigt ( 24) de la cale coopère avec une première surface extrême de

l'élément de support ( 6)-, cependant qu'une saillie correspon-

dante ( 22) coopère avec l'autre surface extrême de l'élément

( 6) de support.

3 Structure de stores ou persiennes selon la revendi-

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cation 2, caractérisée en ce que le corps ( 18) de la cale ( 16) comporte, une extrémité seulement,un ou plusieurs doigts ( 24) en saillie, la saillie ( 22) qui coopère avec l'autre extrémité de l'élément de support étant située latéralement sur ce corps ( 18) près de la seconde extrémité de celui-ci.

4 Structure de persiennes ou de stores selon l'une-

quelconque des revendications 1 à 3, caractérisée en ce que

la cale ( 16) comporte deux doigts ( 24) parallèles, espacés et en saillie, pouvant être courbés le long de certaines parties de surfaces parallèles opposées du talon ( 4) d'une

lame de cette persienne ou de ce store.