FR2490377A1 - Dispositif d'affichage quasi analogique - Google Patents
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Abstract
DISPOSITIF D'AFFICHAGE QUASI ANALOGIQUE REPRESENTANT DES AIGUILLES DE GEOMETRIES DIFFERENTES POUR DES GRANDEURS PHYSIQUES DIFFERENTES GRACE A UN FONCTIONNEMENT ELECTRO-OPTIQUE AVEC MULTIPLEXAGE DANS LE TEMPS EN SELECTION L'ATTAQUE D'UN CERTAIN NOMBRE D'ELEMENTS D'AFFICHAGE PLANS. LA ZONE D'INDICATION 103 EST SUBDIVISEE RADIALEMENT EN ARCS ANNULAIRES DE CONTRE-ELECTRODES QI ET AZIMUTALEMENT EN SECTEURS CIRCULAIRES NI COMPORTANT DES GROUPES DE RAYONS D'ELECTRODES ANTERIEURES MI. ON PREVOIT DE PREFERENCE POUR CHAQUE GROUPE MI UN RAYON INDIVIDUEL LARGE PB A COTE D'UN RAYON INDIVIDUEL ETROIT PS OU UN RAYON INDIVIDUEL PS CENTRAL ENTRE DEUX RAYONS LARGES PB S'ETENDANT SUIVANT UN ARC INTERIEUR QZ ET UN ARC EXTERIEUR QA, AVEC UNE ATTAQUE DES POLES DE CONNEXION DES ELECTRODES ANTERIEURES 110 SAUTANT PAR RAPPORT A L'ATTAQUE DES POLES DE CONNEXION DES CONTRE-ELECTRODES DE FACON A OBTENIR POUR CHAQUE GEOMETRIE D'AIGUILLE UNE REPRESENTATION D'AIGUILLE PROGRESSANT SUIVANT LA SERIE DES SECTEURS NI. APPLICATIONS: NOTAMMENT AUX MONTRES-BRACELETS.
Description
Dispositif d'affichage quasi-analogique.
La présente invention concerne un dispositif d'afficha-
ge quasi-analogique à représentations commandées électriquement
avec multiplexage dans le temps d'aiguilles de géométrie diffé-
rentes pour des grandeurs ou des unités physiques différentes, une zone d'indication plane étant subdivisée en autant de zones
en forme de rayons qu'il peut se présenter de positions dis-
crêtes d'aiguille différentes qui comportent chacune des élé-
ments d'affichage plans de largeur et/ou longueur variable et peuvent être sélectionnées séparément et/ou en combinaison au
moyen de leurs paires de pôles de connexion d'électrodes à par-
tir d'un montage de commande.
On connaît un tel dispositif d'affichage par le brevet
U.S. No 4.077.032. L'affichage est effectué par attaqueengrou-
pe progressant au rythme dés variations de la valeur de la me-
sure d'éléments d'affichage plans en forme de rayons quidonnent l'impression d'aiguilles se déplaçant par rapport à une échelle fixe. Ce peut être une échelle linéaire ou non-linéaire, par
exemple une échelle angulaire ou en forme de couronne,par exem-
ple l'échelle linéaire d'un appareil de mesure industriel dont les aiguilles effectuent un déplacement parallèle ou un cadran
d'horloge circulaire dont les aiguilles effectuent des mouve-
ments de rotation concentriques. Les éléments d'affichage plan
en forme de rayons destinés à une représentation électro-opti-
que des aiguilles sont des composants ou groupements de compo-
sants optiques attaquables électriquement, par exemple en forme de diodes à électroluminescence, d'afficheurs électrochromesou,
de préférence, de cellules à cristaux liquides entre une élec-
trode antérieure transparente et une contre-électrode postéri-
eure. Pour représenter des aiguilles de géométrie différente pour des grandeurs ou unités physiques différentes, dans le cas
d'une indication de l'heure, notamment pour indication quasi-
continue des secondes, des minutes et des heures, et éventuel-
lement pour des informations supplémentaires, dans l'indicateur
de ce genre, chaque zone en forme de rayon comprend un groupe-
ment radial et un groupement azimutal d'éléments d'affichage plans différant partiellement entre eux, dont chacun peut être attaqué séparément par son électrode antérieure, l'ensemble de toutes les contreélectrodes étant connecté à un seul pôle de connexion commun. C'est grâce à un montage de commande qu'est
effectué le choix des pôles de connexion et des électrodes an-
térieures individuelles, selon les géométries et positions à représenter instantanément dans le fonctionnement à multiple- sage dans le temps, donc successivement au cours de changements rapides, la progression d'indication azimutale des différentes
représentations d'aiguille étant effectuée au moyen de régis-
tres à décalage.
Ce dispositif d'affichage quasi-analogique déjà connu a notamment pour inconvénient un coût de fabrication trop élevé pour former la zone d'indication plane, y compris le coût de montage de l'attaque destinée à représenter les aiguilles. Le grand nombre d'éléments d'affichageplans à attaquer séparément entraîne en particulier un nombre de pôles de connexion à faire sortir individuellement tel qu'on ne peut les loger avec leurs
conducteurs de liaison aux électrodes antérieures rattachées.
que dans des indicateurs à très grande surface, mais pratique-
ment pas, par exemple, dans des indicateurs de la.dimension de
cadrans de montres-bracelets.
Il existe sur le marché (Texas Instruments) une montre-
bracelet à dispositif quasi-analogique de type semblable dans lequel, pour représenter des aiguilles différentespour indiquer
les heures et les minutes, dans le premier cas cité deux seg-
ments d'affichage de courte dimension radiale, de faible lar-
geur azimutale et décalés angulairement sont activés, tandis que l'aiguille des minutes apparaît sous forme d'un segment
d'affichage en forme de rayon plus long et plus large. L'indi-
cation continue des secondes est effectuée avec une marque f ai-
sant le tour de la périphérie extérieure du cadran. Cette re-
présentation de l'heure ne s'avère cependant pas très judicieu-
se, du fait que le découpage de l'aiguille des heures est irri-
tant lorsqu'on jette un coup d'oeil rapide sur l'heure, et qu' en outre il est plus difficile de lire la position de la marque des secondes que dans le cas d'une aiguille représentée sous
forme de rayon.
On connaît par la DE-OS 19 37 868 les dispositifs de mesure du temps à indications quasi-analogiques qui comportent pour les indications continues des heures, minutes et secondes des points tournant concentriquement les uns par rapport aux autres sur des rayons différents ou encore des rayons tournants (avec rayon des secondes clignotant pour le distinguer du rayon des minutes uniforme). Les rayons des heures n'étant pas, dans ce dernier cas, utilisés pour les autres aiguilles représentées, mais étant formés séparément et seulement dans l'intervalle de
la demi-heure, ce qui provoque des sauts désagréables de l'ai-
guille des heures, indépendamment de l'irritation provenant du
fait que, par ailleurs, deux aiguilles identiques ne se distin-
guant l'une de l'autre que par le clignotement sont représentées.
On connait par la DE-OS 28 03 899 un dispositif d'affi-
chage pour montre de ce type, dans lequel le nombre de pôles de con-
nexion à rattacher aux éléments d'affichage correspondants par leurs conducteurs propres est réduit en attaquant aussi les contre-électrodes avec multiplexage dans le temps (donc grâce
à un multiplexage de tension des éléments d'affichage plans).
Pour cela, la zone d'affichage plan est subdivisée en plusieurs secteurs circulaires azimutalement voisins à chacun desquels est rattaché un même nombre de rayons individuels. Les secteurs circulaires sont subdivisésradialement en deux arcs de cercle comportant chacun des groupes de contre-électrodes avec des liaisons par des conducteurs suivant des trajets partiellement en méandres entre les électrodes des éléments d'affichage. Pour
la représentation de l'aiguille des minutes, les rayons indivi-
duels s'étendant sur les deux arcs sont activés successivement, tandis que, pour la représentation de l'aiguille des heures, seule la partie de chaque rayon individuel s'étendant sur l'arc intérieur est activée. Pour le.cas o pour indiquer le temps, l'aiguille des minutes et l'aiguille des heures prennent la
même position angulaire, donc se chevauchent, on prévoit d'é-
largir l'aiguille des heures dans les deux sens azimutaux en
activant en plus optiquement la partie de chacun des rayons in-
dividuels rapprochés azimutalement des deux côtés correspondant à l'arc intérieur. Cependant, ce mode d'indication de l'heure
n'est pas non plus très judicieux, du fait que la représenta-
tion de l'aiguille des heures, devenue très large, complique la
lecture et qu'en particulier ses brusques changements de lar-
geur sont irritants. En outre, il manque, pour les nécessités pratiques, une indication continue des-secondes qui ne peut
être réalisée avec l'agencement représenté.
On connaît par la DE-OS 28 34 387 un dispositif d'affi-
chage de ce genre dont la zone d'affichage plan est également divisée en des secteurs circulaires comportant chacundeux arcs superposés concentriquement. A chaque secteur circulaire sont ainsi rattachés autant de rayons individuels qu'il peuty avoir
de positions d'indication d'aiguille discrètes, la partie ra-
dialement intérieure donnant encore une fois l'aiguille des heures et la totalité de la longueur du rayon l'aiguille des minutes. Comme aiguille des secondes, on utilise uniquement la section de chaque rayon correspondant à l'arc extérieur. En raison d'une attaque à multiplexage dans le temps commandée par des combinaisons de compteurs comptant dans les deux sens, à la fois des électrodes antérieures et des contreélectrodes, avec
montage-série en méandres en sens inverse par groupes des dif-
férents éléments d'affichage plans en forme de rayons, il suf-
fit d'un investissement relativement réduit pour faire progres-
ser les positions des trois aiguilles. Il est clair que la géo-
métrie des aiguilles n'est pas encore, dans ce cas, aussi ju-
dicieuse qu'on le souhaiterait, notamment à cause de l'aiguille des secondes prolongeant l'aiguille des heures en l'aiguille
des minutes, souhait qu'on doit s'efforcer de réaliser en par-
ticulier pour l'indication quasi-analogique de l'heure.
On connaît déjà par la DE-OS 24 03 172 le rattachement de groupes d'électrodes antérieures à des contre-électrodes de
secteurs circulaires avec trajet sinueux (en méandres) des con-
ducteurs entre les électrodes antérieures des différents grou-
pes avec attaque à multiplexage dans le temps des électrodes
antérieures et des contre-électrodes pour un affichage cumula-
tif sur un arc ne correspondant pas à l'indication courante de
l'heure et, par conséquent, non-utilisable pour la représenta-
tion courante de l'heure, ainsi que pour beaucoup d'indicateurs analogiques techniques, du fait que la représentation par arcs
s'oppose à la représentation par aiguilles individuelles déca-
lées angulairement.
En conséquence, l'invention a pour objet de perfection-
ner des dispositifs d'affichage du type indiqué de façonà obte-
nir une représentation des aiguilles permettant de les distin-
guer, plus évidentes, pour les différentes grandeurs à afficher, notamment dans le cas de la présentation courante de l'heure,
tout en garantissant que le nombre de pôles de connexion néces-
saire pour cette représentation puisse être réalisé même dans
une zone d'affichage réduite, par exemple de cadrans de montre-
bracelet, mais dont l'attaque puisse être réalisée avec un mon- tage de commande relativement simple en utilisant des courbes de tension globalisables pour le fonctionnement à multiplexage
de tension des éléments d'affichage.
On y parvient selon l'invention dans le cas de la réa-
lisation d'une géométrie normalisée simple des aiguilles, du
fait que la zone d'indication (d'affichage) plane est subdivi-
sée en n sections circulaires azimutalement voisines subdivi-
sées elles-mêmes chacune en q arcs de cercle radialement voi-
sins comportant des contre-électrodes, et qu'à chacun des seg-
ments circulaires sont rattachés m zones conformées en rayons,
sous forme de groupes de rayons Mi comprenant p rayons indivi-
duels différents géométriquement, en tout cas partiellement,
les uns des autres, pourvus d'électrodes antérieures, en prévo-
yant pour chacun des rayons individuels Pi d'un secteur circu-
laire Ni un montage-série avec les rayons individuels Pi dis-
posés dans le même sens en succession azimutale de chaque secteur circulaire suivant le second rang et avec les rayons individuels (Pp+1-i) disposés en sens opposé en succession azimutale des secteurs circulaires immédiatement voisins (Ni+l) respectifs par des lignes conductrices suivant en méandres sans se croiser
alternativement la périphérie intérieure et la périphérie exté-
rieure des segments circulaires Ni.
Cette solution repose en particulier sur le fait qu'il suffit fréquemment entièrement pour les besoins de la pratique, surtout dans le cas de l'indication quasi-analogique de l'heure, de garantir que la superposition optique d'une aiguille des
secondes ne soit pas énervante, en ce qui concerne la présenta-
tion de l'aiguille des minutes et/ou des heures. Il faut donc se reporter, dans le cas de la subdivision de la zone de rayon, à l'attaque des éléments d'affichage avec multiplexage dans le
temps connue en tant que telle (voir ci-dessus), avec subdivi-
sion de la zone d'indication plane en secteurs circulaires qui sont euxmêmes subdivisés en arcs de cercle, avec montage-série sinueux des éléments par l'intermédiaire de différentes zones de rayon; comme on l'a indiqué précédemment, la "couronne circulaire" ou les "arcs de cercle", ne sont pas dans ce cas des formes géométriques à rayon de courbure fini. Le trajet sinueux des conducteurs reliant en série les électrodes antérieures non seulement dans une direction azimutale changeant chaque fois de sens d'un segment circulaire au suivant, mais aussi notamment sans liaison séparée à des rayons individuels
déterminés pour chaque groupe de rayons, permet dans une tech-
nique de comptage dans les deux sens fonctionnellement facile à manipuler un accès rapide aux rayons individuels pourun coût
d'attaque relativement faible.
L'assemblage par groupes des rayons individuels ouvre
par suite l'attaque à multiplexage dans le temps particulière-
ment simple à réaliser et à contrôler, ainsi que des électrodes antérieures et des contre-électrodes. Il repose sur l'inversion de sens de comptage des rayons, connueen soi, lors de la pro- y
gression d'un secteur circulaire au suivant, mais avec à pré-
sent une autre réduction d'investissement supplémentaire consi-
dérable en attaquant d'abord, sur chaque secteur un seul des rayons par groupe de rayons, et après la première inversion de
sens de comptage en sens inverse le rayon voisin parmi les ra-
yons individuels antérieurement sautés parmi les différents groupes de rayons de ce secteur et, en raison du montage-série
sinueux, en même temps, par suite, les rayons séparés, corres-
pondant aux rayons individuels antérieurs du secteur circulaire cité en premier lieu, qui appartiennent au segment circulaire suivant, avec un sens de progression azimutal conservé dans la même mesure que le secteur circulaire intercepté précédemment, et ainsi de suite jusqu'à ce que tous les rayons individuels de chaque groupe et sur tous les secteurs circulaires en changeant de sens de comptage après passage de chaque secteur circulaire, mais en conservant le sens de progression azimutal, de sorte
que cette série d'attaque peut être reprise de l'avant.
Selon un mode de réalisation, on prévoit, par aiguille représentée et par connexion d'électrode d'élément d'affichage plan, un mécanisme de progression ou un montage de registre fonctionnant en compteur (de préférence en compteur annulaire),
que l'on interroge partiellement dans des sens de comptage op-
posés selon le câblage sinueux des mémoires individuelles uti-
lisées pour les géométries d'aiguilles à représenter. On peut
dans ce cas obtenir directement des positions de comptage cor-
respondantes ou bien indirectement à partir de l'attaque par impulsions de comptage à chaque passage d'un rayon individuel au suivant d'un groupe de rayons, à partir des dispositifs de
progression sur les rayons, l'avancement des montages de regis-
tre des contre-électrodes, de sorte qu'il n'y a pas à craindre
de perturbations de fonctionnement à cause de problèmes de syn-
chronisation en ce qui concerne l'attaque avec multiplexage dans le temps d'électrodes antérieures de rayons individuels et de contre-électrodes de segments circulaires géométriquement correspondantes.
Le dispositif d'affichage est d'une réalisation parti-
culièrement simple, lorsque les groupes de rayons et l'attaque des rayons individuels sont conformés selon l'invention. Cela
permet d'obtenir une représentation étroite évidente de l'ai-
guille des secondes qui progresse, sans grands investissements en éléments d'affichage plans individuels par groupe de rayons, pour un investissement particulièrement réduit pour l'attaque en multiplex. Le léger décalage angulaire entre l'aiguille des
secondes et les positions de l'aiguille des heures et respecti-
vement des minutes n'apparaît pratiquement que lorsque la posi-
tion angulaire des aiguilles coïncide (mais, même à ce moment,
ce n'est pas gênant).
D'autres perfectionnements décrits ci-après favorisent une représentation évidente ou contrastée des aiguilles, sans augmentation des investissements techniques de montage ou des problèmes relativement à la place disponible pour les pôles de
connexion des électrodes individuels'près de l'échelle analogi-
que. On peut aussi, d'une façon connue en soi, utiliser dans
le cas de l'indicateur selon l'invention une partie d'une ai-
guille, notamment la partie des rayons de l'aiguille des secon-
des radialement extérieure correspondant à l'arc extérieur, pour indiquer des informations supplémentaires, par exemple sur une heure de réveil introduite ou des informations sur la date
en regard de marques correspondantes le long de l'échelle ana-
logique. Une variante de solution pour l'indicateur, dansle cas
général de réalisation, ou dans le cas de réalisations simpli-
fiées, qui peuvent déjà satisfaire aux exigences pratiques, se caractérise par une grande liberté de conformation en ce qui
concerne la représentation des aiguilles dans le casd'une coïn-
cidence angulaire exacte-des représentations individuelles des aiguilles, ce pour quoi l'on prend en considération un plus
grand investissement en ce qui concerne les tracés des conduc-
teurs d'électrodes aboutissant aux pôles de connexion d'élec-
trodes individuels, ainsi donc qu'en ce qui concerne l'attaque.
Malgré le grand nombre de rayons individuels par grou-
pe, le groupement par paires de rayons individuels en corres-
pondance mutuelle des deux côtés du rayon individuel (étroit)
placé au centre du groupe permet justement un montage de com-
mande dont le coût n'augmente pas dans la même mesure que le nombre de rayons individuels par groupe de rayons. Dans ce cas o il n'y a que trois rayons par groupe, l'investissement en
montages de registre des contre-électrodes se réduit à de sim-
ples basculeurs bistables, du fait que les rayons individuels placés des deux côtés de l'axe de symétrie de l'aiguille sont
rassemblés en l'enveloppe à attaquer en tant que rayon indivi-
duel unique.
Dans le cas d'un groupe de rayons symétriquepar rapport
à l'axe de symétrie, on peut se référer pour les éléments d'af-
fichage plans à n'importe quels composants électro-optiques pouvant être attaqués avec multiplexage dans le temps et de tension, et le rayon de courbure de la couronne sur laquelle se trouve l'échelle ne doit pas nécessairement être fini, donc une réalisation avec des groupes de rayons dirigés dans chaque
cas partiellement parallèlement les uns aux autres entre égale-
ment dans le cadre de l'invention.
Une autre solution ouvre la possibilité d'une géométrie
libre des aiguilles, par exemple pour réaliser des formes d'ai-
guilles arquées pour des montres stylisées. Dans ce cas, la paire de rayons centrale (ou le rayon central individuel) de
chaque groupe peut être attaquée même dans le cas de la repré-
sentation de l'aiguille des minutes et de l'aiguille des heures;
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en regard de marques correspondantes le long de l'échelle ana-
logique. Une variante de solution pour l'indicateur, dans le cas
général de réalisation, ou selon les revendications dans le cas
de réalisations simplifiées, qui peuvent déjà satisfaire aux exigences pratiques, se caractérise par une grande liberté de conformation en ce qui concerne la représentation des aiguilles
dans le cas d'une coïncidence angulaire exacte des représenta-
tions individuelles des aiguilles, ce pour quoi l'on prend en considération un plus grand investissement en ce qui concerne les tracés des conducteurs d'électrodes aboutissant aux pôlesde
connexion d'électrodes individuels, ainsi donc qu'en ce qui con-
cerne l'attaque.
Malgré le grand nombre de rayons individuels par groupe, le groupement par paires de rayons individuels en correspondance mutuelle des deux côtés du rayon individuel (étroit) placé au centre du groupe permet justement un montage de commande dont le coût n'augmente pas dans la même mesure que le nombre de rayons individuels par groupe de rayons. Dans ce cas o il n'y a que
trois rayons par groupe, l'investissement en montages de regis-
tre des contre-électrodes se réduit à de simples basculeurs bi-
stables, du fait que les rayons individuels placés des deux cô-
tés de l'axe de symétrie de l'aiguille sont rassemblés en l'en-
veloppe à attaquer en tant que rayon individuel unique.
Dans le cas d'un groupe de rayons symétrique par rapport
à l'axe de symétrie,on peut se référer pour les éléments d'af-
fichage plans à n 'importe quels composants électro - optiques pouvant être attaqués avec multiplexage dans le temps et de tension, et le rayon de courbure de la couronne sur laquelle se trouve l'échelle ne soit pas nécessairementêtre fini, donc une réalisation avec des groupesde rayons dirigés dans chaque
cas partiellement parallèlement les uns aux autres entre égale-
ment dans le cadre de l'invention.
Une autre solution ouvre la possibilité d'une géométrie
libre des aiguilles, par exemple pour réaliser des formes d'ai-
guilles arquées pour des montres stylisées. Dans ce cas, la paire de rayons centrale (ou le rayon central individuel) de
chaque groupe peut être attaquée même dans le cas de la repré-
sentationde l'aiguille des minuteset de l'aiguille des heures
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de façon appropriée, il est aussi possible, entre autres, de laisser un interstice étroit non-gênant qui n'est comblé que lorsque l'aiguille des secondes coïncide précisément avec une
aiguille des minutes ou dés heures.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention
ressortiront de la description détaillée qui va suivre, en re-
gard du dessin annexé qui représente des exemples de réalisa-
tion non limitatifs de l'invention, avec un coût réduit sur le
nombre des rayons individuels par groupe, pour les cas de réa-
lisation d'une échelle analogique conformée en couronne circu-
laire fermée sous la forme d'un cadran d'horloge devant indiquer
l'heure au moyen d'aiguilles des heures, des minutes et des se-
condes à mouvement quasi-continu. Sur le dessin annexé La Fig. 1 représente pour le cas d'une représentation
géométriquement simple des aiguilles à léger décalage de l'ai-
guille des secondes par rapport à l'aiguille des heures et celle des minutes, la subdivision et le groupement en rayons
individuels d'éléments d'affichage plats, y compris leur inter-
connexion des électrodes antérieures, pour le cas spécial de la subdivision de l'échelle analogique en dix secteurs circulaires
comportant chacun six groupes de rayons à deux rayons indivi-
duels chacun; La Fig, 2 représente pour la subdivision de la zone
d'affichage plane de la Fig. 1 le rassemblement des contre-élec-
trodes, ici deux arcs par secteur circulaire t La Fig. 3 représente une modification par rapport au
schéma de principe des figures 1 et 2 de la géométrie des élec-
trodes antérieures et des contre-électrodes, pour obtenir une représentation des aiguilles plus évidente et plus contrastée;
La Fig. 4 représente avec la géométrie des rayons in-
dividuels de la Fig. 3 une indication de l'heure quasi-analogi-
que, avec superposition d'une information supplémentaire au moyen de la section terminale radialement extérieure des rayons individuels de l'aiguille des secondes;
La Fig. 5 est un schéma synoptique d'un montage d'atta-
que pour le groupe d'électrodes selon les figures 1/2; La Fig. 6 indique des exemples d'oscillations étagées
pour l'attaque avec multiplexage de tension d'éléments d'affi-
chage plans par attaque à multiplexage dans le temps, de leurs électrodes antérieures comme de leurs contre-électrodes; La Fig. 7 représente une variante par rapport à la Fig. 1 de groupement de rayons individuels, avec une modification correspondante de l'interconnexion des électrodes antérieures La Fig. 8 représente une variante par rapport à la Fig.
2 de l'interconnexion des contre-électrodes appartenant au grou-
pement de rayons individuels de la Fig. 7; La Fig. 9 est une représentation détaillée partielle correspondant à la Fig. 3 d'une géométrie d'aiguille modifiée par rapport à la représentation de principe selon la Fig. 7; - La Fig. 10 est une représentation de l'heure analogue à la Fig. 4, mais avec un groupement des rayons individuels et une géométrie des aiguilles conformes à la Fig. 9;
La Fig. 11 représente une variante du montage de com-
mande de la Fig. 5, pour l'attaque avec multiplexage des élec-
* trodes antérieures et des contre-électrodes, avec l'intercon-
nexion des Fig. 7/8; La Fig. 12 est un tableau synoptique de l'apparitionde
pulsations rectangulaires de la Fig. 6 sur les pôles de conne-
xion des électrodes des Fig. 7/8 dans le cas d'une représenta-
tion d'aiguille à attaque à multiplexage en deux pas pour re-
présenter simultanément l'aiguille des heures et l'aiguille des minutes. La Fig. 1 représente selon un schéma de principe, en regard d'une échelle analogique 101, une zone de représentation plane 103 se composant d'un grand nombre de zones 102 en forme
de rayons. Sa périphérie extérieure 104 correspond à la géomé-
trie de l'échelle analogique 101, et les rayons individuels 102 sont orientés par rapport à l'échelle analogique 101 selon la représentation des aiguilles. Il y a autant de rayons (zones)
102 contigus qu'il peut y avoir de positions d'indication dis-
crètes des aiguilles dans cet indicateur quasi-analogique en regard de l'échelle analogique 101. Dans l'exemple représenté, il s'agit de l'échelle analogique circulaire 101 ayant la forme du cadran d'horloge 105, par exemple pour montres-bracelets, et pour pouvoir indiquer 60 positions des aiguilles des minutes et des secondes au cours d'un tour "d'aiguille", il y a 60 zones de rayons 102 azimutalement voisines réparties uniformément sur
une couronne circulaire d'une certaine largeur radiale.
Pour que l'indication prenne la forme d'une aiguille,
chaque zone en forme de rayon 102 est garnie d'éléments d'affi-
chage plats 106 dont la largeur et/ou la longueur diffèrent mu-
tuellement au moins partiellement, qui peuvent être activés optiquement par attaque électrique. Ce peuvent être par exemple des cristaux liquides insérés selon la géométrie des rayons,
entre une électrode antérieure transparente 107 et une contre-
électrode 108 opposée au sens d'observation de l'échelle analo-
gique 101, donc postérieure (voir Fig. 2). On peut cependant utiliser aussi d'autres matières activables optiquement par
attaque électrique pour former les différents éléments d'affi-
chage 106, la conformation des électrodes étant alors modifiée pour leurêtre adaptée. Pour effectuer une attaque électrique
à partir d'un montage de commande 140 (voir Fig. 5), les élec-
trodes 107, 108 sont reliées par des lignes conductrices 105, 113 (voir Fig. 2) à des pôles de connexion 110, 111 qui sont formés dans une zone marginale ou d'angle écartée à l'extérieur de l'échelle analogique 101 sur la matière de supportde la zone
d'affichage plan 103.
Pour obtenir une vue d'ensemble simplifiée, on a repré-
senté sur la Fig. 1 tous les éléments d'affichage 106 sembla-
bles, bien qu'il y en ait constamment seulement quelques-uns d'activés optiquement selon la position instantanéede l'aiguille
(cf Fig. 4) qui soient visibles lorsqu'on observe l'échelle ana-
logique 101, donc en regard de ses marques de cadran. Les lignes
des électrodes antérieures 109 sont placées, dissimulées à l'ob-
servateur, radialement à l'extérieur de l'échelle analogique 101
ou au-dessous d'elle pour gagner de la place.
Pour obtenir une représentation évidente d'aiguilles
différentes réalisable à relativement peu de frais et en parti-
culier en prenant peu de place pour les lignes des électrodes antérieures 109, pour une indication quasi-analogique en regard
de l'échelle analogique 101, la zone d'affichage 103 est subdi-
visée en n secteurs circulaires azimutalement voisins Ni, i
étant égal à 10 dans l'exemple représenté. Chacun de ces seg-
ments circulaires Ni est subdivisé uniformément en m zones de rayons 102 sous la forme de groupes de rayons Mi, i étant égal
à 6 dans l'exemple représenté. Chaque groupe de rayons Mi com-
prend p rayons individuels Pi (dans tous les cas de géométries mutuellement différentes en partie) formés par des éléments
d'affichage plans 106, i étant égal à 2 dans l'exemple repré-
senté, à partir d'un rayon individuel Pb d'une certaine largeur azimutale et d'un rayon individuel Ps d'une certaine étroitesse
azimutalement tout près. Chacun des rayons Pi d'un secteur cir-
culaire Ni est monté en série avec un et un seul rayon indivi-
duel Pi de chaque des autres segments circulaires Ni grâce aux lignes des électrodes antérieures 109, de sorte qu'il y a pour la totalité de tous les éléments d'affichage plans 106 autant de pôles de connexion d'électrodes antérieures 110quede rayons individuels Pi dans les différents segments circulaires Ni, donc
dans l'exemple représenté m x p = 12 pôles de connexion d'élec-
trodes antérieures 110. Cela est possible grâce à un tracé si-
nueux (en méandres) des lignes 109 d'un segment circulaire Ni
au segment circulaire Ni+l qui sont arquées pour suivre alter-
nativement la périphérie intérieure 114 et la périphérie exté-
rieure 104 de la zone d'indication plane circulaire 103, et de façon que l'électrode antérieure 107 du premier rayon Pi du premier groupe Ml du premier segment Ni soit relié à celle du dernier rayon Pp du dernier groupe Mm du segment suivant N2, ainsi que, par elle, à l'électrode antérieure 107 du premier rayon Pi du premier groupe Ml du segment suivant N3, et ainsi de suite pour tous les autres rayons individuels Pi des segments circulaires Ni. Il y a donc pour chaque rayon individuel Pi un montage-série avec les rayons individuels Pi placésdans lemême sens dans l'ordre azimutal des seconds segments circulaires suivants respectifs Ni+2 et les rayons individuels placés en
sens contraire dans l'ordre azimutal Pp+l-l des segments cir-
culaires immédiatement voisins respectifs Ni+l, en méandres et sans croisements.' Il en résulte, en ce qui concerne les différents groupes Mi, une interconnexion en sens inverse des rayons Pi pour les
segments circulaires respectivement voisins Ni+1 et une inter-
connexion de même sens en ce qui concerne, les rayons Pi des seconds segments Ni+2 respectifs. Pour l'exemple préféré de groupement d'un rayon large et d'un rayon étroit Pb, Pa par
2490377,
groupe Mi représenté, il est donc monté en série, pour chaque pôle de connexion d'électrodes 110 d'un segment Ni au suivant, par l'intermédiaire de lignes 109 périphériquement intérieures et périphériquement extérieures, toujours en alternance, un rayon étroit et un rayon large Ps-Pb-Ps-...., avec orientation
contraire dans les différents segments Ni, donc avec progres-
sion une fois sur deux dans le sens des aiguilles d'une montre et une fois sur deux en sens inverse, comme on l'a représenté sur la Fig. 1 à laquelle on se réfère expressément ici pour
compléter la description de la structure et du montage.
Comme on l'a représenté sur la Fig. 2 o l'on a, pour simplifier l'orientation par rapport à la représentation de la Fig. 1, reporté quelques marques de l'échelle analogique 101,
chaque secteur circulaire Ni de la zone d'affichage (d'indica-
tion) plane 103 est subdivisé non seulement (voir Fig. 1) azi-
mutalement en m groupes de rayons Mi, mais également radialement en q arcs circulaires Qi, avec dans l'exemple préféré représenté q = 2, en un arc centralement intérieur Qz radialement large et un arc extérieur Qa extérieur radialement plus court radialement contigu à lui, pour chaque segment circulaire Ni. Pour la zone de chaque arc Qi, les contreélectrodes 108 correspondant aux
éléments d'affichage individuels 106 (voir Fig. 1) sont rassem-
blées et reliées par des lignes conductrices de contre-électro-
des 113 à des pôles de connexion de contre-électrodes 111; l'on peut prévoir, selon la représentation simplifiée de la Fig. 2, par arc Qi, une contre-électrode commune 108 à surface d'étendue corrélativement grande, qui s'étend azimutalement et radialement sur la partie correspondante de la zone d'affichage 103 (voir Fig. 1). Les pôles de connexion des contreélectrodes 111 sont de niveau décalés périphériquement de la zone d'affichage 103 vers l'intérieur ou vers l'extérieur, pour ne pas venir gêner optiquement. En ce qui concerne la géométrie en forme de secteur
de la bordure latérale des différents arcs Qi, il faut les choi-
sir dans le cas de réalisation actuel, selon la position et la géométrie des rayons individuels Pi (voir Fig. 1), en fonction de la géométrie de l'échelle analogique 101 et de l'orientation des aiguilles par rapport à elle; en particulier, les "arcs" Qi ne doivent pas forcément présenter un rayonde courbureunique, -
ni un rayon de courbure fini.
La matière des différents éléments d'affichage attaqua-
ble électriquement pour être activés optiquement doit être choi-
sie de façon à pouvoir être attaquée avec multiplexage; cela veut dire qu'elle présente une tension de seuil de réponse dé-
finie, de sorte que l'élément d'affichage plan en forme de ra-
yon individuel 106 ne se manifeste optiquement, pour former une
aiguille, que lorsque et là o à l'intérieur de la zone d'affi-
chage 103 la différence de potentiel entre la contre-électrode
108 de l'arc attaqué Qi d'un secteur circulaire Ni et son élec-
trode antérieure en forme de rayon individuelle 107 dépasse la tension de seuil de réponse de l'élément d'affichage 106. Si
donc à un instant donné seuls les arcs Qi d'un secteur circu-
laire individuel Ni sont attaqués pour activer optiquement des éléments 106 par l'intermédiaire de leurs pôles de connexionde contre-électrodes 111, et en même temps (au moins) l'un des
pôles de connexion d'électrodes antérieures 110, il n'y a ré-
ponse optique que de cet élément d'affichage 106 dans le seg-
ment Ni concerné, bien qu'en raison du montage-série des élé-
trodes antérieures 107 d'autres éléments d'affichage 106 soient
interceptés par le même pôle de connexion d'électrodes antéri-
eures 110, mais ils ne se trouvent pas dans le secteur circu-
laire Ni attaqué par l'intermédiaire des arcs Qi (voir Fig. 5).
Pour rendre, en tenant compte des géométries d'aiguilles usuelles, la représentation des aiguilles plus évidente en cas d'indication quasianalogique, il peut convenir de prévoir une
bordure d'électrode selon la Fig. 3, contrairement à la géomé-
trie choisie dans la représentation de principe des Fig. 1/2.
Dans ce cas, chaque rayon large Pb est subdivisé en un rayon
individuel centralement et radialement intérieur Pbz et un ra-
yon individuel extérieur large s'y raccordant radialement vers
l'extérieur, avec un amincissement en flèche de chaque extrémi-
té extérieure respective et une transition rainure-clavette 115
entre eux, shuntée électriquement par un conducteur radial 116.
A côté, le rayon étroit Ps s'étend jusqu'à la base du rétrécis-
sement extérieur 117 de la partie extérieure du rayon large Pba. Pour augmenter le contraste, on forme de préférence, même pour les contreélectrodes 108 (représentées en tirets sur la
Fig. 3) une bordure correspondante à transition clavette-rai-
nure 115 et rétrécissement extérieur 117, avec subdivision azi-
mutale en contre-électrodes 108a/108z présentant une forme de segment correspondante pour ne recouvrir azimutalement qu'un groupe de rayons Mi respectif; les contre-électrodes 108 de chaque arc Qi respectif sont reliées électriquement ensemble par des conducteurs azimutaux 118a, respectivement 118z, qui sont reliés par des lignes de contre-électrodes 113 aux pôles
de connexion de contre-électrodes 111.
Une géométrie d'aiguilles conforme à la Fig. 3, en li-
aison avec la subdivision de la zone d'affichage conforme aux
Fig. 1 et 2, donne une indication de l'heure par aiguilles re-
présentée sur la Fig. 4, l'aiguille des heures 119 comprenant la partie centrale intérieure d'un rayon individuel large Pbz (cf Fig. 3), et l'aiguille des minutes 120 comprenant en plus
la partie radialement extérieure surajoutée en formantune flè-
che mais sans élargissement angulaire notable du rayon indivi-
duel large Pba.
Comme le fait ressortir avec davantage de détails la
représentation de la Fig. 3, les bordures latérales longitudi-
nales 112 non orientées radialement mais parallèles de cette partie radialement extérieure du rayon large Pba garantit que l'aiguille des minutes 120 ne prend pas globalement d'aspect nettement plus massif et volumineux que l'aiguille des heures
119, cequ'exige la lecture sans erreurs de l'indication quasi-
analogique de l'heure.
Il n'est pas gênant que, dans le cas de cette confor-
mation de l'aiguille des minutes, (comme le montre la Fig. 3), l'aiguille des secondes 121 n'épouse pas sur toute sa longueur le parallélisme et la borne de la bordure latérale voisine de l'aiguille des minutes 120, car, comme il ressort de la Fig. 1,
l'aiguille des secondes 121 présentant la forme du rayon indi-
viduel étroit Ps présente par ailleurs un léger décalage azimu-
tal par rapport à l'aiguille des minutes 120 de même position d'indication d'information. De même, une courte interruption de l'aiguille des secondes 121 dans la zone de la transition 115
entre l'arc intérieur Qz et l'arc extérieur Qa n'est pas gênan-
te, car l'aiguille des secondes 121 progresse rapidement.
On peut aussi cependant (comme en on a tenu compte sur la Fig. 4) limiter la longueur de l'aiguille des secondes 121
à l'étendue radiale -de l'arc centralement intérieur Qiz et atta-
quer séparément la partie radialement extérieure restante du rayon étroit Psa, pour présenter des informations supplémentai-
res (comme par exemple un instant d'émission de signal prédé-
terminé ou des informations sur la date).
L'attaque avec multiplexage des électrodes antérieures et contreélectrodes d'éléments d'affichage plans en forme de rayons montés en série en méandres par application sélectivede
pulsations rectangulaires mutuellement déphasées, pour ne pro-
voquer avec répétition cyclique que sur les éléments d'afficha-
ge à activer optiquement une différence de potentiel dépassant la tension de seuil de réponse, est connue dans son principe, par exemple par la DEOS 28 34 387, la DE-OS 28 03 899 ou la
DE-OS 24 03 172. Malgré l'accroissement d'investissement, pré-
vu par l'invention pour obtenir une présentation des aiguilles évidente, en éléments d'affichage plans individuels à attaquer séparément de façon appropriée, on a donc la possibilité d'une
attaque à multiplexage relativement moins coûteuse et fonction-
nellement simple. La Fig. 5 représente un exemple préféré de
montage de commande de ce type.
Les pôles de connexion d'électrodes antérieures 110i dont il y a, pour la totalité de la zone d'affichage 103, le même nombre que de rayons individuels Pi pour les différents
secteurs circulaires Ni (donc m x p) peuvent être attaqués in-
dividuellement par les sorties d'un montage de porte de rayons
par l'une de deux pulsations étagées d'électrodes antérieu-
res à trois niveaux déphasées SP1; SP2 (cf Fig.6) (que l'on appelera dans la suite pulsation rectangulaire ternaire) qui
sont fournies par un générateur de pulsations étagées ou rec-
tangulaires de rayons 126 connu en soi dans la technique du multiplexage d'affichage (ne faisant pas l'objet de l'invention: Un agencement de progression de rayons 127 détermine alors par
attaque du montage de portes de rayons 125 laquelle des pulsa-
tions SPi successives doit être branchée sur lequel des pôles
de connexion d'électrodes antérieures.
De même, les pôles de connexion des contre-électrodes liii sont attaqués par l'intermédiaire d'un montage de portede contre-électrodes 128 en alternance par des pulsations étagées à deux niveaux ou rectangulaires binaires de contre-électrodes SQ1, SQ2 (voir Fig. 6) provenant d'un générateur de pulsations rectangulaires de contre-électrodes 129, la progression des secteurs circulaires étant assurée au moyen d'un agencement de
progression de contre-électrodes 130. Le choix de pôles de con-
nexion d'électrodes antérieures et de contre-électrodes lQi, liii et l'application de pulsations rectangulaires SPi, SQi a lieu de façon que, dans ce secteur Ni, seuls les rayons Pi
soient attaqués (en succession rapide pour produire une impres-
sion optique quasi-stationnaire) par la différence de potentiel
nécessaire pour que l'activation optique, dont une représenta-
tion des aiguilles, ait lieu, la longueur des aiguilles et leur positionnement radial étant déterminés par l'attaque des arcs
Qi du secteur Ni sélectionné.
Selon le montage en série changeant de sens suivant un parcours sinueux (en méandres) des électrodes antérieures 107 précité, il se produit toujours une progression d'un secteurNi au suivant Ni+l, lorsqu'un type de rayons individuels de groupe Pi par secteur Ni est parcouru dans un sens azimutal et que l'on
passe au type voisin de rayons Pi du même secteur Ni, avec in-
version du sens de progression azimutal. Il est alors toujours
transmis à partir de l'attaque des montages de registre de ra-
yons 131, 132, 133 correspondant aux représentations individu-
elles différentes des aiguilles, un signal de passage à un mon-
tage de registre de contre-électrodes 134, 135 et respectivement
136 rattaché à une aiguille spécifique à l'intérieur de l'agen-
cement de progression de contre-électrodes 130, c'est-à-dire
que, lorsque, dans le cas m 6 et p = 2 représenté sur le des-
sin, tout d'abord les 1,..., m = 6 rayons étroits Ps ont été
attaqués successivement par l'intermédiaire des pôles de conne-
xion d'électrodes antérieures 110 (numérotés de façon correspon-
dante sur les Fig. 1 et 5) à partir du montage de registre 131 au moyen du montage de porte 125, il est déclenché une impulsion de progression qui fait progresser le montage de registre de
contre-électrodes 134 pour attaquer le secteur suivant Ni+l.
Lors de la progression du montage de registre de rayons 131 par les positions de comptage m+1,... 2m = 12, il se-produit certes
dans le premier secteur Ni = Ni l'attaque des pôles de conne-
xion d'électrodes antérieures 110 des rayons individuels lar-
ges Pb, mais, du fait que les contre-électrodes du second sec-
teur Ni+l sont alors attaquées, ce ne sontpascesrayons larges Pb du premier secteur Ni qui sont activés optiquement, mais
les rayons étroits Ps du secteur suivant N2 selon une progres-
sion azimutalement uniforme. Dans l'exemple représenté pour
deux rayons individuels Pb+Ps par groupe de rayons Mi, une ré-
troaction 137 provoque pour chaque secteur N2i-1 de numéro im-
pair un redémarrage de ce cycle de comptage avec m = 1, enatta-
quant le montage de registre de contre-électrodes 134 corres-
pondant par une nouvelle impulsion de progression, au moyen d'une porte de progression 138; ainsi, en progressant d'un
secteur Ni au suivant, il y a une progression uniforme des ra-
yons étroits Ps optiquement activés.
Il se produit de la même façon une progression des ra-
yons larges Pb dans un sens de progression uniforme par la suc-
cession des secteurs Ni, par transmission d'une impulsion de
progression des montages de registre des minutes 132 et respec-
tivement de registre des heures 133, aux montages de registre de contreélectrodes correspondants, respectivement 135 et 136, à chaque inversion de sens azimutal de la succession d'attaque des pôles de connexion d'électrodes antérieures 110. Il faut alors, comme on l'a fait en reportant clairement les numéros des pôles sur la Fig. 1 et les numéros correspondants sur la
Fig. 5, tenir compte du fait qu'il faut commencer pour l'acti-
vation optique des rayons larges Pb dans le sens de comptage inverse (par rapport à l'activation successive des rayons étroits
Ps), pour activer optiquement les rayons larges Pb en progres-
sant uniformément par le montage-série sinueux du début dupre-
mier secteur Ni à la fin du dernier secteur Nn = N10, avec un
même sens de progression.
Comme on l'a représenté sur la Fig. 5 en liaison avec le montage de registre de rayons et de contre-électrodes des secondes 131/134, la porte de progression 138 attaquée toutes les m-impulsions de comptage de progression peut être remplacée
par un diviseur par m 139 qui est monté en parallèle sur l'atta-
que des montages de registre de rayons 131 ou 132 et/ou 133 et
est intercalé avant les montages de registre de contre-électro-
des 134, 135 et respectivement 136 correspondants.
Pour obtenir une indication continue quasi-analogique de l'heure selon la Fig. 4, ce montage de commande comprenant des montages de registre et de porte est, pour activer les ra- yons individuels Pi de façon logique et correspondant à leur position, intercalé à la suite d'un montage oscillant rythmeur
141, par exemple un oscillateur stabilisé par cristal, par l'in-
termédiaire d'un montage diviseur 142 du type connuparlatech-
nique des horloges électroniques, en prélevant sur une prise intermédiaire du diviseur 142 de façon également connue en soi une fréquence de rythme pour commander le générateur d'ondes rectangulaires 143 qui délivre les pulsations rectangulaires SPi, SQi (cf Fig. 6). A l'entrée du montage de commande 140, le
montage diviseur 142 délivre un train d'impulsions d'une fré-
quence de récurrence de lHz par lequel le montage de registre des rayons des secondes 131 est rythmé pour faire progresser pas à pas l'aiguille des secondes 121 (Fig. 4) sous la formedu rayon individuel étroit Ps. Lorsque le montage de registre de
contre-électrodes des secondes 134 dont il résulte une progres-
sion du rythme a achevé le comptage, pour i = n dans chaque cas, et est revenu à l'état initial grâce à sa rétroaction 144, la représentation de l'aiguille des secondes a achevé un tour. Le
montage de registre de rayons des minutes 132 attaqué par l'in-
termédiaire du montage de registre de contre-électrode des se-
condes 134 reçoit, par suite, une impulsion par minute,ce qui entraîne grâce aux montages de porte-2 124/128 l'attaque des rayons larges Pb les faisant progresser par sauts d'une minute
sur toute leur longueur (donc sur les deux arcs Qz + Qa), (com-
me on l'a expliqué pour la progression de l'aiguille des secon-
des, seulement à une fréquencede progression réduite alors).
On obtient à partir de l'attaque du montage de registre
des rayons des minutes 132, par un diviseur séparé 145, une im-
pulsion se répétant toutes les 12 minutes qui sert à attaquer
une représentation des aiguilles des heures lente (avançant tou-
tes les douze minutes). Ce diviseur 145 commande alors le même registre 133-138-136 que dans le cas de la représentation de l'aiguille dès minutes décrit précédemment, avec pour différence qu'il n'y a alors, par l'intermédiaire du montage de porte de
contre-électrodes 128 qu'une attaque des arcs centralement in-
térieurs radialement larges Qzi.
On prévoit pour une position de fonctionnement initiale définie des entrées de positionnement 146 sur les registres 131
136, pour garantir qu'à l'instant 0:00:00, la représenta-
tion de l'aiguille des secondes commence au premier pas, tandis
que les représentations de l'aiguille des minutes et de l'ai-
guille des heures commence avec le dernier pas de la suite de comptage indiquée sur la Fig. 1 pour les pôles de connexion des
électrodes antérieures 110, donc à la représentation de l'ai-
guille en forme de rayon indiquant le chiffre "12" de l'échelle analogique 101 dans chaque cas. De même, on peut prévoir des entrées de positionnement pour positionner les registres sur d'autres positions de comptage, ou encore on peut brancher des transmetteurs d'impulsions sur les entrées des registres (non
envisagés sur le dessin) pour prérégler ces registres sur n'im-
porte quelles positions souhaitées des aiguilles, pour régler l'indication. Il n'est pas, bien entendu, obligatoire de réaliser la fonction du montage de commande 140 décrite par des composants
fonctionnels discrets de technique courante selon la représen-
tation de la Fig. 5 choisie aux fins d'explication. On peut aussi la réaliser par un seul composant de plus grande densité d'intégration ou, de préférence, par traitement correspondant des signaux, dans un microprocesseur qui affecte non seulement cette attaque des représentations des aiguilles devant l'échelle analogique 101, mais également d'autres tâches de détection et de traitement des signaux, notamment en obtenant des valeurs de
mesure à afficher de façon quasi-analogique.
Pour l'activation optique sélective des éléments d'affi-
chage plans 106 attaqués avec multiplexage dans le temps, à ca-
ractéristique de seuil de réponse marquée, il suffit, dans le cadre du fonctionnement décrit du montage de commande 140, que le générateur d'ondes rectangulaires 143 fournisse d'une part deux pulsations rectangulaires ternaires SP1, SP2 identiques entre elles mais déphasées d'un quart de période, tandis qu'il suffit même pour l'attaque des contreélectrodes de deux pulsations rectangulaires binaires simples SQ1, SQ2, déphasées d'un quart de période (en sens contraire du-décalage mutuel des pulsations ternaires SPi). Comme on l'a représenté sur la Fig.6, la première pulsation binaire SQ1 est située dans le temps par rapport à la première pulsation ternaire SP1 de façon que, pen-
dant la demi-pulsation o la pulsation binaire SQ1 guide un si-
gnal, il s'écoule pour la pulsation ternaire SP1 précisément les deux quarts de période au cours desquels l'état du signal
passe de la pleine amplitude à la mi-amplitude (2 U... U/2).
Comme on l'a également représenté sur la Fig. 6, il apparaît entre les deux première pulsations SPl-SQ1 une tension
alternative rectangulaire d'amplitude U/2 insuffisante pour ac-
tiver les éléments d'affichage 106 (Fig. 1) lorsque leur tension de seuil de réponse est comprise entre U/2 et U. Par contre,la
différence de potentiel entre les deux secondes pulsations SP2-
SQ2 produit une tension alternative dissymétrique dans le temps d'amplitude U qui suffit par conséquent pour activer optiquement les éléments d'affichage 106. Comme il le faut pour augmenter la durée de vie lorsqu'on utilise des cellules à cristaux liquides, la tension alternative n'entraînant pas d'activation optique
présente une valeur moyenne de tension nulle, dont plus de com-
posante continue, pendant l'attaque des éléments d'affichage 106. Selon les aiguilles à représenter (attaque à partir des registres des secondes 131/134, des registres des minutes 132/ ou des registres des heures 133/136) et selon la position de l'aiguille actuellement à représenter (attaque à partir de
l'un des montages de registre de rayons 131 et 133 respective-
* ment et de l'un des montages de registre de contre-électrodes 134 à 136 respectivement), par l'intermédiaire des montages de
porte 125/128, la paire de pôles de connexion 110/111 respecti-
ve de l'élément d'affichage 106 est branchée sur les sorties
SP2-SQ2 des générateurs d'ondes rectangulaires 126/129 qui doi-
vent justement être activées optiquement, et celles-là seulement, tandis que les paires de pôle de connexion 110/111 de tous les
autres éléments d'affichage 106 ne devant pas être activés op-
tiquement à ce moment sont branchés par ces montages de porte /128 aux sorties SPl-SQ1 des générateurs 126/129, jusqu'àce que l'on passe par une progression des registres de rayons 138, 132 et respectivement 133 à un autre élément d'affichage 106 à
activer optiquement à sa place.
Pour l'indication par aiguille quasi-analogique devant un cadran de montre 105 avec une différence claire entre l'ai- guille des heures 119 et l'aiguille des minutes 120, ainsi qu' en particulier l'aiguille des secondes 121, il suffit donc dans l'exemple d'exécution des Fig. 1 à 6, avec le tracé en méandres des lignes conductrices des électrodes antérieures 109 pour deux
rayons individuels de géométrie différente Pi par groupe de ra-
yons Mi et six groupes de rayons Mi par secteur circulaire Ni, de 32 pôles de connexion d'électrodes 110, 111 dont 20 seulement pour la subdivision radiale des secteurs circulaires Ni en deux
arcs Qi.
Dans la variante des Fig. 7 et suivantes, il y a une autre division des secteurs circulaires et une autre répartition des éléments d'affichage, pour l'attaque électrique desquels il faut alors 64 pôles de connexion d'électrodes 110, 111.Pour cela, dans le cas de cette solution, la zone centrale 150 située à
l'intérieur de la périphérie intérieure 114 de la zone d'affi-
chage 103 est alors largement dépourvue de lignes d'électrodes
antérieures 109, de sorte que cette zone centrale 150 est dis-
ponible pour placer d'autres éléments d'affichage (non envisa-
gés sur le dessin) pour des indications supplémentaires. Cepen-
dant, la conformation des groupes de rayons représentée sur les Fig. 7 à 9 permet surtout une beaucoup plus grande liberté de conformation, par rapport à la conformation des groupes de ra-
yons des Fig. 1 à 3.
En cas d'application à un cadran de montre 105, la zone d'affichage 103 est alors subdivisée en 30 secteurs circulaires Ni mutuellement voisins azimutalement, dans lesquels les rayons
individuels Pi symétriques par rapport à leurs axes longitudi-
naux (bissectrices) sont montés en U deux par deux en sens oppo-
sés, et des paires qui se correspondent sont montées en série en alternant en méandres avec celles des secteurs circulairesNi
voisins dans chaque cas.
L'exemple d'exécution représenté comporte les 30 secteurs circulaires Ni ne comportant chacun que deux groupes de rayons Mi, leurs deux rayons centraux Pi étant rassemblés en un rayon unique Ps=P2 étroit, servant à la représentation de l'aiguille
des secondes 121 (Fig. 10). Celui-ci n'est donc plus décalé an-
gulairement vers le centre de chaque groupe Mi respectif, mais il s'étend radialement le long de son axe longitudinal.Des deux côtés (azimutalement) de ce rayon unique étroit P2, il n'y a plus qu'un premier et un troisième rayon individuel P1, P3, qui sont conformés en rayons individuels larges Pb. Dans tous les
groupes Mi, on prévoit un conducteur périphérique ou d'encadre-
ment 151 faisant le tour d'une extrémité frontale 152 du rayon
étroit Ps disposé centralement, par lequel les deux rayons in-
dividuels Pbl/3 larges qui en sont très voisins et encadrent ce
rayon étroit Ps sont montés électriquement en série. Ce conduc-
teur d'encadrement 151 progresse azimutalement d'un groupe de
rayons au suivant Mi, Mi+l, en entourant alternativement l'ex-
trémité frontale centralement intérieure 152a, 152z des rayons
étroits Ps, de sorte que les rayons étroits Ps mutuellementvoi-
sins azimutalement reçoivent chacun un encadrement en U compre-
nant deux rayons larges Pb et leur conducteur de chassis 151qui est ouvert alternativement vers la périphérie extérieure 104 et la périphérie intérieure 114 de la zone d'affichage en forme de couronnecirculaire 103, comme il ressort de la représentation
d'ensemble de la Fig. 7 et de la représentation détaillée de la-
Fig. 9. Chaque rayon individuel large extérieur Pb d'un groupe Mi est relié électriquement au rayon voisin Pb du second groupe suivant (ou avant-dernier) Mi+2 (ou Mi-2), et cela au moyen d'un
conducteur incurvé radialement extérieur 153a entourant le con-
ducteur d'encadrement 151 radialement extérieur du groupe inter-
calé Mi+l (respectivement Mi-1) et d'un conducteur incurvé 153z
centralement intérieur entourant le conducteur d'encadrement in-
térieur 151z du groupe Mi respectif. Ces rayons individuels étroits Ps dont l'encadrement en U formé par les deux rayons larges voisins de chaque côté Pb et le conducteur d'encadrement 151 qui les relie est ouvert vers la périphérie extérieure 104, sont montés alternativement en parallèle entre les conducteurs d'arc radialement extérieurs périphériquement voisins 153a au moyen de conducteurs de rayons extérieurs radiaux 154a, et les rayons étroits Ps à encadrement en U ouvert vers la périphérie -25
intérieure 114 entre les conducteurs d'arc centralement inté-
rieurs voisins 153z au moyen de conducteurs de rayon centraux dirigés vers l'intérieur 154z, grâce à une ligne de connexion
de pôles, extérieure 155a et respectivement centrale 155z (com-
me on l'a représenté en détail sur la Fig. 9), du fait qu'ilne faut plus ici (surtout lorsque les deux rayons centraux Pi sont contractés en le rayon central étroit Ps) d'ouverture en U pour le passage d'autres lignes de connexion à l'intérieur du groupe
Mi. Il en résulte qu'il faut deux pôles de connexion d'électro-
des antérieures 110pour les conducteurs extérieurs et respecti-
vement centralement intérieurs 151/153/154/155 (a, respective-
ment z) pour attaquer électriquement les électrodes antérieures.
Les éléments d'affichage plans en forme de rayons 107 (repré-
sentés sur la Fig. 9 entièrement sur les contre-électrodes 108
indiquées en tirets).
Les contre-électrodes 108 qui sont de nouveau (voir Fig. 8) subdivisées, dans l'exemple de réalisation préféré, en deux arcs Qz, Qa, peuvent de nouveau, pour augmenter le contraste
optique de la représentation des aiguilles, comme on l'a expli-
qué à propos de la Fig. 3, être subdivisées en secteurs selon ce que comportent les secteurs circulaires Ni comme groupes de rayons individuels Mi,ou au moins comme il a été indiqué sur la Fig. 8, bordées le long de leur périphérie extérieure 104, selon les extrémités radialement extérieures des groupes de rayons périphériquement voisins. Comme dans l'exemple d'exécution de la Fig. 2, chaque contre-électrode individuelle 108 aboutit à
son pôle de connexion 111 par sa ligne conductrice 113.
L'exemple représenté sur la Fig. 10 montre qu'avec un
groupement des rayons individuels et une configuration des élé-
ments d'affichage selon la Fig. 9, on peut obtenir des repré-
sentations des aiguilles particulièrement évidentes et faciles à distinguer entre elles, ce qui permet en particulier de tenir
le plus grand compte des exigences décoratives de la conforma-
tion des aiguilles des montres stylisées. Pour la configuration d'éléments d'affichage de la Fig. 9, on a une indication de
l'heure conforme à la Fig. 10. Même lorsque, dans la représen-
tation des aiguilles des heures et des minutes 119, 120,on fait abstraction, pour simplifier le montage, d'une attaque du rayon
étroit central Ps, on obtient cependant, en raison de la géomé-
trie à grande surface de la figure, des deux côtés de cet axe longitudinal étroit évidé, une impression d'aiguille fermée, facile à saisir visuellement avec une différenciation claire évidente entre l'indication des heures et des minutes. L'ai- guille des secondes 121 n'est plus alors décalée angulairement par rapport à la conformation des aiguilles des heures et des minutes 119/120 (comme dans le cas de la Fig. 4), mais pourdes
agencements d'indication concordants, elle coïncide géométri-
quement exactement avec elles, ce qui exclut alors même une
quelconque difficulté de lecture y relative.
Pour la représentation des aiguilles quasi-analogique tournant avec le temps, les pôles de connexion des électrodes antérieures 110 sont attaqués dans l'ordre de la numérotation indiquée sur la Fig. 7, les deux rayons larges Pb situés des deux côtés d'un rayon étroit Ps pouvant être considérés comme
un rayon individuel Pi à attaquer en raison de leur montage-
série dans chaque groupe Mi, ce qui réduit corrélativement le nombre de pôles de connexion 110 nécessaires. Dans l'exemple de
réalisation préféré représenté sur la Fig. 7, l'attaquedes ra-
yons étroits Ps pour représenter l'aiguille des secondes est effectuée successivement dans chaque secteur circulaire Ni par l'intermédiaire de la ligne de connexion des pôles radialement
extérieure 155a, en alternance avec la ligne centralement inté-
rieure 155z (donc selon la direction de l'ouverture de l'enca-
drement en U par les rayons larges Pb avec ces conducteurs de châssis 151 montés deux par deux en série), en passant, après avoir atteint le dernier rayon étroit -Pbs du secteur circulaire
Ni du moment, en ce qui concerne l'attaque des contre-électro-
des, au secteur azimutalement voisin Ni+l. Pour l'exemple de réalisation représenté de seulement deux groupes de rayons Mi par secteur Ni, il suffit de réaliser le montage de commande , comme on l'a représenté sur la Fig. 11, à l'intérieur de l'agencement d'avancement des rayons 127, avec des montagesde registre de rayons 131, 132, 133 en forme de bascules bistables, du fait qu'il n'y a plus que deux états d'avancementpar secteur circulaire Ni pour le "mouvement" des aiguilles (m=2). Avec la première impulsion des secondes à l'entrée dumontage de registre de rayons de secondes 131, suivant l'état de mise en service à l'instant zéro, une impulsion de progression (d'avancement) est transmise au registre de contre-électrodes des secondes 134 qui
avance donc toutes les deux secondes d'un pas (sur les contre-
électrodes 108 du secteur circulaire suivant Ni+1). Par suite, dans l'exemple représenté, il délivre au bout de 2n secondes
(donc toutes les minutes) une impulsion de progression au re-
gistre des rayons des minutes 132 qui fonctionne avec le regis-
tre de contre-électrodes des minutes 135 intercalé à la suite à un rythme de deux minutes, de façon analogue à la progression des secondes précitée. Le diviseur d'adaptation 145 sollicité dans l'exemple d'exécution représenté, toutes les deux minutes, pour provoquer un mouvement ralenti de l'aiguille des heures, délivre pour un saut de l'aiguille des heures d'un pas d'une minute au suivant, toutes les 12 minutes, un signal de sortie qui provoque par l'intermédiaire du registre de rayons des heures
133 et du registre de contre-électrodes des heures 136 interca-
lé à sa suite le même processus fonctionnel que ce qui a été
décrit précédemment à propos du rythme des minutes.
Les montages de porte de rayons et de contre-électrodes , 128 comportent de nouveau, par exemple sous la forme des
"PLAs" (montages logiques programmables) des combinaisons logi-
ques conformées de façon que des pulsations rectangulaires Spi, Sqi délivrées par le générateur d'ondes rectangulaires 143 ne
soient, selon l'attaque des montages de porte à partir des agen-
cements de progression des rayons et des contre-électrodes 127, , appliqués qu'aux éléments d'affichage 106 nécessairespour la représentation actuelle des aiguilles, avec une différence de potentiel nécessaire pour l'activation optique, commeon l'a décrit en détail plus haut en regard des Fig. 5 et 6 pour le
premier exemple de réalisation.
On peut utiliser pour appliquer séparément aux électro-
des 107, 108 par des valeurs de tension instantanées de pulsa-
tions rectangulaires aux fins d'une attaque avec multiplexage dans le temps le même générateur de pulsations rectangulaires de rayons 126 que selon la Fig. 6, tandis que le générateur de
pulsations rectangulaires de contre-électrodes 129' doit déli-
vrer en plus deux autres pulsations rectangulaires binaires déphasées d'un quart de période SQ3, SQ4, comme on l'a indiqué
en plus au bas de la Fig. 6. L'application de ces deux pulsa-
tions SPi, SQi permet l'attaque des éléments d'affichage fonc-
tionnellement simple représentée sur la Fig. 11 pour représen-
ter les aiguilles avec multiplexage à trois pas, c'est-à-dire
comme on l'a décrit successivement la représentation de l'ai-
guille des secondes 121, de l'aiguille des minutes 120 et de
l'aiguille des heures 119. Pour représenter l'aiguille des se-
condes, le rayon individuel étroit Ps correspondant à la posi-
tion de l'aiguille reçoit par l'intermédiaire de son pôle de
connexion d'électrodes antérieures 110 la pulsation rectangu-
laire SP1 et les autres pôles de connexion d'électrodes anté-
rieures 110 reçoivent la pulsation rectangulaire SP2; lespôles de connexion de contre-électrodes 111 qui sont rattachés au secteur circulaire Ni correspondant à la position de l'aiguille représentée reçoivent du montage de porte 128 la pulsation SQ4,
tandis que tous les autres pôles de connexion de contre-élec-
trodes 111 reçoivent la pulsation SQI. Bien qu'en raison du
groupement par secteurs il corresponde ainsi dans chaque sec-
teur circulaire Ni un rayon étroit Ps, il n'y a d'activation
optique que pour ceux dont les contre-électrodes 108z/a reçoi-
vent la pulsation SQ4. La pulsation rectangulaire de contre-
électrodes ternaire SQ1 est appliquée alternativement aux deux
pôles de connexion de contre-électrodes 110 au rythme des se-
condes, lors de la progression de la pulsation binaire SQ4 toutes les deux secondes d'un secteur Ni au suivant Ni+l. Les autres pôles de connexion de contre-électrodes 111 reçoivent entre temps l'une des pulsations binaires SQ1/2/3 qui ne donne jamais avec aucune des pulsations ternaires SP1,2 appliquées
aux pôles de connexion d'électrodes antérieures 110 la diffé-
rence de potentiel nécessaire pour l'activation optique d'un
élément d'affichage plan 110.
En admettant toujours qu'un élément d'affichage 106 à
activer optiquement reçoit par son pôle de connexion d'élec-
trodes antérieures 110 la pulsation ternaire SP1, mais que les
autres pôles de connexion d'électrodes antérieures 110 reçoi-
vent la pulsation SP2, on applique aux pôles de connexion de contreélectrodes 111 d'angles concernés, pour représenter
l'aiguille des minutes, la pulsation binaire SQ4, et la pulsa-
tion SQ1 aux autres pôles de connexion de contre-électrodes111.
Pour la représentation de l'aiguille des heures, l'ap-
pariement SP1-SQ4 entre pulsations entraîne donc aussi l'acti-
vation d'éléments d'affichage, tandis que l'appariement SP2-
SQ1 ne l'entraîne pas.
Cependant, avec les deux pulsations ternaires et quatre pulsations binaires SPi, SQi représentées sur la Fig. 6, on peut aussi réaliser la représentation des aiguilles de façon connue en soi avec un fonctionnement à multiplexage à deux stades, au
cours d'un pas l'aiguille des secondes 121 étant seule repré-
sentée, tandis qu'au cours d'un second pas, l'aiguille des heu-
res 119 tout comme l'aiguille des minutes 120 sont représentées.
Cependant, l'investissement en combinaisons de montage à l'in-
térieur des montages de porte 125, 128 est un peu plus élevé, du fait qu'il faut éventuellement faire la différence entre les nécessités de représenter à un instant donné l'aiguille des heures 119 et l'aiguille des minutes 120 dans le même secteur Ni ou dans des secteurs Ni, Ni' différents. Lorsqu'on utilise
les pulsations SPi, SQi représentées sur la Fig. 6 etdans l'hy-
pothèse o l'électrode antérieure 107 d'un élément d'affichage 106 à activer doit conduire la pulsation binaire SP1, il faut garantir par une fonction de porte correspondante des montages de porte 125, 128 la combinaison de pulsations représentée dans le tableau de la Fig. 12 pour les différents cas d'affichageen
fonctionnement multiplex à deux pas.
On a indiqué dans la partie supérieure du tableau sy-
noptique de la Fig. 121les conditions d'attaque pour le cas o l'aiguille des heures 119 doit être représentée à l'instant
donné dans le même secteur Ni que l'aiguille des minutes 120.
Tous les pôles de connexion de contre-électrodes 111 des arcs
Qi' qui ne doivent pas contribuer à la représentation d'une ai-
guille reçoivent alors du générateur de pulsations rectangulai-
res 129 une tension d'allure SQ1 qui ne produit avec aucune des
pulsations d'électrodes antérieures SPi la différence de poten-
tiel nécessaire pour activer électro-optiquement les éléments d'affichage 106. Les pôles de connexion de contre-électrodes sont attaqués dans le cas de l'un des groupes, Ml, par SP1 à partir du générateur 126, tandis que l'autre groupe, M2, l'est par SP2. Lorsque l'aiguille des heures 119 doit se trouver dans le premier groupe Ml, l'arc extérieur correspondant Qia doit recevoir une pulsation SQi choisie de façon qu'il n'y ait pas d'activation électro-optique, donc par la pulsation rectangu- laire SQ2 dans le cas de la pulsation d'électrodes antérieures
SPI. On a indiqué à la seconde ligne en haut à droite de laFig.
12 par le symbole non-rempli qu'il n'est donc pas produit de représentation d'aiguille par la partie extérieure de ce groupe Mia. Lorsqu'une aiguille doit être représentée, il faut choisir
pour les arcs de contre-électrodes Qia/z respectifs une pulsa-
tion SQi qui donne la différence de potentiel nécessaire pour
l'activation, compte tenu des pulsations SPi appliquées auxpô-
les de connexion d'électrodes antérieures 110 localement cor-
respondants, comme on l'a indiqué dans la partie supérieure de
la Fig. 12. Au cours d'un second pas de multiplexage, cette at-
taque devant représenter simultanément l'aiguille des heures 119 et l'aiguille des minutes 120 est supprimée et remplacée
par l'attaque décrite précédemment, devant représenter une ai-
guille des secondes 121.
Lorsque dans le premier pas de multiplexage précité pour le
fonctionnement en multiplex à deux pas il faut représenterl'ai-
guille des heures 119 et l'aiguille des minutes 120 dans des secteurs Ni différents, il faut garantir par un accouplement correspondant des pulsations Spi, SQi (comme on l'a représenté dans la partie inférieure de la Fig. 12 pour un exemple) que seul le groupe de rayons Mi souhaité du secteur Ni souhaité est activé électro-optiquement sur la longueur radiale z ou z+a nécessaire. On peut aussi utiliser en principe d'autres groupe
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