FR2483853A1 - Enjoliveur de roue - Google Patents

Abstract

CET ENJOLIVEUR COMPREND UNE PARTIE ANNULAIRE OU JANTE 12 QUI COMPORTE UNE PAROI ANNULAIRE 14 TERMINEE PAR DEUX REBORDS 16, 18 QUI DELIMITENT DES CANAUX 24, 26. L'ENJOLIVEUR EST RETENU SUR LA ROUE 38 PAR DES ATTACHES 40 ESPACEES SUR LA CIRCONFERENCE DE LA JANTE ET DESTINEES A SE FIXER SUR LA JANTE PAR DES DENTS 42, 44. LES ATTACHES SE FIXENT A L'ENJOLIVEUR PAR DES FOURCHES QUI S'EMBOITENT SUR LES BORDS 30, 34 DES REBORDS 16, 18.

Description

1, La présente invention se rapporte à un enjoliveur

de roue et elle concerne plus particulièrement un tel en-

joliveur de roue qui comprend une partie annulaire portant plusieurs attaches espacées circonférentiellement le long d'une de ses faces, et qui comportent des éléments dentés

adaptés pour mordre sur la roue.

On utilise depuis longtemps des cache-roues décoratifs et des anneaux décoratifs dans les véhicules à moteur pour enjoliver les roues. Il est essentiel que ces dispositifs soient conçus pour pouvoir être fixés

à la roue de façon démontable tout en comportant des mo-

yens de retenue fiables qui évitent qu'ils ne se détachent

accidentellement dans des conditions d'environnement ex-

trêmes et sous l'effet des fortes vibrations qui se mani-

festent pendant le fonctionnement de la roue. Il est éga-

lement souhaitable de produire ces dispositifs d'une fa-

çon aussi peu coûteuse que possible et de faire en sorte

que le procédé de fabrication soit compatible avec la con-

ception esthétique du dispositif.

Certaines formes de constructions antérieures de ces cache-roues et anneaux décoratifs comprenaient un anneau arrière qui s'étendait sur toute la circonférence de ce dispositif. L'anneau arrière comportait un certain nombre d'éléments d'attaque qui attaquaient la roue pour

retenir le dispositif sur cette dernière.

Ces dispositifs exigeaient pour leur fabrication un certain nombre dephases de fabrication et une quantité

importante de matière.

Un dispositif enjoliveur de roue perfectionné qui est décrit dans le brevet US 3 757 400 comprend des moyens venus de matière qui constituent les éléments d'attaque mais ce dispositif exige également un nombre important de phases de fabrication qui comprennent le sertissage de l'extrémité prolongée des attaches arrière sur la partie décorative annulaire. Cette phase introduit un risque de-déformation ou autre détérioration de la

surface décorative du dispositif enjoliveur.

Les brevets US 3 860 294 et 3 999 268 décrivent

un autre perfectionnement qui utilise des attaches sépa-

rées dispersées circonférentiellement sur le tour de dis-

positif enjoliveur. Toutefois, cette conception exige

également un sertissage exécuté sur les bords -_-

périphériques de la partie annulaire, qui peut faire obs-

tacle à l'aspect esthétique du dispositif lorsqu'on fixe les attaches dans les rebords par sertissage. De même,

le brevet US 4 171 149 décrit également une série d'atta-

ches qui sont fixées à un dispositif enjoliveur. Bien qu'une extrémité de l'attache soit fixée par un autre moyen, il apparait que cette construction exige encore que l'autre extrémité de l'attache soit sertie sur la

périphérie de la partie annulaire.

Chacun de ces brevets exige donc des phases de sertissage pour faire en sorte que les attaches soient

convenablement retenues dans la partie annulaire du dis-

positif de roue et cette opération additionnelle entraîne l'inconvénient supplémentaire de risquer d'entraîner une

détérioration de la surface décorative du dispositif.

Le but de l'invention est donc de réaliser un enjoliveur de roue qui soit peu coûteux à fabriquer et qui puisse être fiablement retenu sur la roue pendant

la marche du véhicule.

Un autre but de l'invention est de réaliser un tel enjoliveur de roue qui utilise un nombre minimum de phases de fabrication tout en réduisant les risques

de détérioration de la surface décorative de l'enjoliveur.

Ces buts et avantages de l'invention apparaitronb4-

au cours de la description d'une forme préférée de réalisa-

tion de l'invention, quicomprend un enjoliveur de roue -comportant-une partie annulaire, cette partie annulaire comprenant une paroi annulaire et un premier et un deuxième rebords retournés vers l'intérieur, respectivement à une première et à une deuxième extrémité radiales de la partie

annulaire pour définir des canaux ouverts entre ces re-

bords et la paroi annulaire adjacente. Chacun des' rebords comprend une base qui rejoint la paroi annulaire à son extrémité et s3étend vers l'intérieur pour se terminer par un bord. Les rebords des canaux sont disposés sur une fa- ce externe-de la paroi annulaire de façon à être adjacents

à la roue lorsque l'enjoliveur est monté sur cette roue.

Plusieurs attaches sont espacées circonférentiellement le long du bord extérieur de la paroi annulaire, chacune des attaches comprenant un élément denté saillant adapté pour mordre dans la roue. Chaque attache comprend une première extrémité qui est en contact avec effet de prise avec la partie annulaire au droit de la première extrémité de-cette partie annulaire et une deuxième extrémité qui est ramifiée en fourche de façon à ménager un espace entre les dents de cette fourche. Le deuxième rebord est alors engagé dans

cet espace pour fixer l'attache à la partie annulaire.

D'autres caractéristiques et' avantages de l'inven-

tion apparaîtront au cours de la description qui va suivre.

Aux dessins annexés, donnés uniquement à titre d'exemple: - la Fig. 1 est une vue partielle en élévation de côté de l'enjoliveur suivant l'invention; - la Fig.2 est une vue en coupe prise suivant

la-ligne 2-2 de la Fig.1, cette vue montrant en transpa-

rence un.exemple type de configuration de roue; - la Fig.3 est une vue en perspective d'une

forme préférée de réalisation de l'attache suivant l'in-

vention; - la Fig.4 est une vue partielle d'une variante de réalisation de l'invention, par-une vue analogue à celle de la Fig.2; - la Fig.5 est une vue de dessus de la variante représentée sur la Fig.4, Ainsi qu'on peut le voir sur les Fig. 1, 2 et 3, l'exemple préféré d'exécution de l'enjoliveur de roue 10 comprend un anneau enjoliveur 12 qui est fait de tôle et comprend une paroi annulaire 14 et un premier et un

24 8853

deuxième rebords 16 et 18 retournés vers l'intérieur.

Le premier rebord 16 et le deuxième rebord 18

se trouvent respectivement à une première extrémité ra-

diale 20 et à une deuxième extrémité radiale 22 de l'an-

neau enjoliveur 12 pour définir des canaux ouverts 24 et 26

respectivement entre les rebords 16 et 18 et la paroi an-

nulaire 14 dans les régions adjacentes à ces rebords.

Bien que le dispositif préféré 10 soit un enjo-

liveur qui ne couvre pas la partie centrale de la roue, il sera évident pour l'homme de l'art que l'invention, telle qu'elle est définie dans le présent mémoire, pourrait être utilisée pour réaliser toutes sortes de constructions de dispositifs de roue. Par exemple, l'anneau enjoliveur 12

peut simplement constituer la partie annulaire d'un cache-

roue qui comprend en supplément des rayons enjoliveurs en tôle ou équivalents, lesquels passent sur le centre de la

roue et qui sont réunis à cette partie annulaire. Par exem-

ple, il serait également possible de réaliser un dispositif

cache-roue fait d'une seule pièce de tôle. La partie annu-

laire pourrait être formée en découpant les rebords dans la tôle, en des endroits espacés circonférentiellement le long du bord extérieur du cacheroue. En d'autres termes, l'anneau décoratif 12 de la forme préférée de réalisation pourrait

en variante constituer une partie annulaire d'un type dif-

férent de cache-roue enjoliveur sans pour cela sortir du cadre de l'invention. Par ailleurs, alors que les rebords 16 et 18 de la forme préférée de réalisation sont formés de manière à s'étendre sur toute la circonférence de l'anneau

12, ils pourraient en variante être constitués par des re-

bords discrets formés en des points séparés le long d'une

partie annulaire d'un dispositif enjoliveur de roue.

En revenant à la forme préférée de réalisation du dispositif 10 on peut voir que le rebord 16 comprend une base 28 qui est réunie à la paroi annulaire 14, venue d'un seul tenant avec cette paroi au droit de l'extrémité de cette paroi, et qui s'étend vers l'intérieur pour se

terminer par un bord 34. Les rebords et canaux sont dispo-

sés sur la face externe 36 de la paroi annulaire 14 de

façon à être adjacents à la roue 38( représentés en pointil-

lé sur la Fig.2) lorsque le dispositif 10 est monté sur la roue. Pour garantir la retenue du dispositif 10 sur

la roue, plusieurs attaches 40 sont espacées circonféren-

tiellement le long du bord extérieur 36 de la paroi annu-

laire 14, chacune des attaches 40 comprenant un élément

denté prolongé 42 adapté pour mordre dans la roue 38.

Comme on peut mieux le voir sur la Fig.3, chaque attache 40 est faite de tôle et l'élément denté 42 est de préférence découpé dans la surface de l'attache 40, embouti et profilé de façon à présenter des pointes de prise 44 qui s'étendent en porte-à-faux pour attaquer la roue 38. En variante, l'élément denté 42 peut être formé d'un métal

différent et être réuni à l'attache 40 d'une autre façon.

L'attache 40 comprend une première extrémité 46 et une deuxième extrémité 48 qui coopèrent respectivement avec le premier rebord 16 et avec le deuxième rebord 18 lorque

l'attache est montée sur l'anneau enjoliveur 12.

Dans la forme préférée de réalisation de l'attache , on voit que la première extrémité 46 et la deuxième extrémité 48 sont formées de la même façon dans la forme préférée d'enjoliveur de roue 10. Toutefois, ainsi qu'il ressortira de la suite, il serait possible de modifier chacune des extrémités de l'attache ou seulement l'une des extrémités de cette attache sans pour cela sortir du cadre de l'invention, qui comprend un moyen unique et simple pour retenir l'attache sur l'anneau enjoliveur 12. Chaque extrémité, 46 ou 48, est ramifiée par formation dans la tôle de deux fentes longitudinales 50 qui servent à définir

-des dents de fourche 52,54 aux extrémités 46 et 48 respec-

tivement. Sous l'effet du pliage de la tôle à des angles différents, l'extrémité 46 de l'attache 40 présente deux dents de fourche extérieures 56 et une dent de fourche =6_ centrale 58.de plus grande-largeur. De même, l'extrémité 48 est pliée de manière à comporter deux dents de fourche extérieures 60 et une dent de fourche centrale 62 de plus

grande largeur. Le résultat est que l'extrémité 46 présen-

te un espace 64 entre les dents 56, 58 de la fourche tandis que l'extrémité 48 présente un espace 66 compris entre les

dents 60 et 62.

Ainsi qu'on le verra dans la suite, il est souhai-

table de conférer de la rigidité à l'attache 40. Ceci est

obtenu dans la forme préférée d'attache 40 en formant, pen-

dant la formation de l'attache 40, des nervures longitudi-

nales 68 qui s'étendent des dents de fourche 56 aux dents de

fourche 60.

En revenant à la Fig.2, on peut voir que la forme

préférée d'attache 40 est différente des dispositifs anté-

rieurs mentionnés plus haut en ce sens qu'elle comprend des

moyens destinés à serrer les rebords 16, 18 de l'anneau en-

joliveur 12 au lieu d'être simplement engagée dans un canal formé par les rebords. Plus précisément, pendant le montage, la première extrémité 46 de l'attache 40 est dirigée vers le rebord 16 lorsque le bord 30 de cette attache est engagé dans l'espace 64.Pour monter la deuxième extrémité 48 de l'attache 40 au niveau du rebord 18, on exerce une pression sur l'anneau enjoliveur 12 à proximité de l'extrémité 22 de cet anneau et sur la deuxième extrémité 48 de l'attache 40 pour contraindre ces extrémités de l'anneau et de l'attache

à coopérer étroitement. La dent large 62 de la fourche glis-

se le long de la surface externe du rebord 18 jusqu'à ce

qu'elle ait atteint le bord 34 de ce rebord. Un léger dé-

placement additionnel de l'extrémité 48 oblige le rebord 18 à se loger dans l'espace 66 et à s'appuyer entièrement

--dans-cet--espace lorsqu-'on--r>-Iche-la force appliquée à l'-ex-

-trémité 22-et à l'extrémité 4.-- Sous cet effet, la deuxième extrémité 48 de l'attache 40 est retenue sur le rebord 18 pour fixer les deux extrémités de l'attache 40 à l'anneau enjoliveur 12. On a constaté que, en agissant de cette façon les attaches 40 peuvent être montées rapidement à la main

sans aucune détérioration de la surface décorative de l'an-

neau enjoliveur. Il est vraisemblable qu'il soit possible d'utiliser une machine pour monter les attaches sans que ceci ne détériore la surface décorative puisque la force de montage ne serait pas tout à fait aussi grande qu'une

force de sertissage.

Il convient de remarquer qu'il n'est pas néces-

saire que les deux extrémités de l'attache soient identiques

1o pour que l'attache soit convenablement retenue sur l'an-

neau enjoliveur. Par exemple, la seule caractéristique es-

sentielle consiste en ce qu'une première extrémité de l'at-

tache doit être en contact et en prise avec l'anneau enjo-

liveur 12 à une première extrémité de cet anneau pour ga-

rantir la retenue de la deuxième extrémité afin d'obtenir

une fixation correcte de l'attache sur l'anneau enjoliveur.

Pour mieux expliquer cette caractéristique, on peut voir sur la Fig.2 que, lorsque l'attache est entièrement montée, on peut constater qu'il existe une distance D entre le point de contact de prise entre la première extrémité

de l'attache 40 et le bord 34du deuxième rebord 18. On don-

ne donc à l'attache 40 une longueur L prédéterminée mesurée

entre le point de contact et de prise avec l'anneau enjoli-

veur, au droit de la première extrémité 46 et l'extrémité prolongée de la deuxième extrémité 48 ( qui, dans cette

orientation, serait l'extrémité de la dent de fourche 62).

Si l'on donne à la longueur L une valeur supérieure à la distance D, l'attache 40 est retenue adjacente à l'anneau enjoliveur 12 lorsque le bord 34 du rebord 18 est logé dans l'espace 66. Vu sous cet angle, il est évident que

l'on peut donner au rebord 16 ou au rebord 18 une orienta-

tion différente de celle indiquée dans la forme préférée de réalisation et que l'on peut donner, soit à la première

extrémité 46, soit à la deuxième extrémité 48, une confi-

guration différente pour s'adapter à cette orientation.Dans chaque cas, la conception doit établir entre la distance prédéterminée D et la longueur L un rapport approprié qui garantisse la retenue désirée de l'attache par rapport à l'anneau enjoliveur par l'emprisonnement du bord de l'un des rebords dans l'espace prévu à l'extrémité correspon-

dante de l'attache.

Bien que, ainsi qu'on l'a décrit plus haut, on puisse réaliser des dimensions appropriées pour retenir l'attache contre la face externe 36 de l'anneau enjoliveur, il est également souhaitable de prévenir tout déplacement relatif, y compris les déplacements circonférentiels, qui

pourraient déplacer l'attache par rapport à l'anneau enjo-

liveur et faire ainsi obstacle à la retenue de cet anneau

sur la roue. En conséquence, dans toutes les formes de réa-

lisation de l'invention, comme celle décrite plus haut, il est souhaitable que le dispositif suivant l'invention soit particulièrement adapté pour faire en sorte qu'au moins

l'une des extrémités de l'attache 40 soit en prise suffi-

sante avec le rebord correspondant pour faire obstacle à ce déplacement relatif. Ainsi qu'on l'a mentionné plus haut, la forme préférée d'attache 40 est faite d'une tôle relativement rigide mais l'anneau enjoliveur 12 est de

préférence fait d'une tôle qui possède des propriétés élas-

tiques. Sous cet effet, l'anneau enjoliveur 12 se trouve dans un état de contrainte lorsque l'attache 40 est montée

sur cet enjoliveur, comme on l'a représenté sur la Fig.2.

A l'état détendu, l'anneau enjoliveur 12 présente entre le point de contact entre la première extrémité 46 et le bord 34 du deuxième rebord 18 une distance initiale I qui

est inférieure à la distance prédéterminée D précitée.

En conséquence, lorsque l'attache 40 est convenablement montée, l'anneau enjoliveur 12 est allongé élastiquement et sous tension lorsque le deuxième rebord 18 est logé

dans l'espace 66 ce.qui garantit encore davantage la rete-

nue de ce rebord dans l'espace 66. En outre, en réalisant l'attache 40 en tôle et en formant des fentes longitudinales dans la deuxième extrémité 48 de cette attache, on donne

aux dents de fourche 60,62 des bords longitudinaux rela-

tivement vifs le long des fentes 50. Ces bords entrent en contact avec le deuxième rebord 18 avec un effet de prise

en raison de la force de tension qui est appliquée au re-

bord 18 par la contrainte régnant dans l'anneau 12. Suivant l'exemple d'exécution représenté sur la Fig.4, la première extrémité d'une forme préférée de réalisation d'une attache 40 a été légèrement modifiée pour former une variante qui démontre la souplesse d'emploi de la caractéristique de retenue de l'invention. La première extrémité 46' de cette variante de l'attache 40' est ici également divisée en fourche d'une façon analogue à celle adoptée pour la forme de réalisation préférée. Toutefois, dans cette variante la dent centrale 58' est prolongée pour comporter des dents qui sont dimensionnées de façon à entrer en contact avec la base 28 du rebord 16 avec effet de prise lorsque la première extrémité 46' est montée sur

ce rebord. Bien que cette variante prévoie pour l'établis-

sement du contact de prise principale entre la première extrémité de l'attache et l'anneau enjoliveur un endroit

différent de celui adopté dans la forme préférée de réali-

sation décrite plus haut, on retrouve le même rapport es-

sentiel entre la distance D et la longueur L. En fait, il

serait même possible d'éliminer la paire de dents de four-

che 56 puisqu'une partie importante de la première extré-

mité 46' est maintenant entièrement engagée dans le canal 24, en entrant en contact avec la base 28 du rebord 16. Il

convient de remarquer que la retenue de la première extré-

mité 46' de l'attache 40' est obtenue sans exiger de ser-

tissage de l'anneau enjoliveur 12 au niveau du rebord 16

lorsque les longueurs et dimensions précitées sont respec-

tées. 248e37853

Claims (9)

- REVENDICATIONS -

1. Dispositif enjoliveur de roue comprenant: une partie annulaire (32) comportant une paroi annulaire 114) et un premier rebord (16) et un deuxième rebord (18) prévus respectivement à la première extrémité radiale (20) et à la deuxième extrémité radiale (22) de ladite partie annulaire (32) pour définir deux canaux ouverts (24 et 26 respectivement) entre les rebords(16,18) et ladite paroi annulaire (14) dans des régions adjacentes à cette paroi; chacun des rebords(16,18) comportant une base (28,32) qui est réunie à ladite paroi annulaire (14) à l'extrémité correspondante (20,22) et s'étendant vers l'intérieur pour se terminer au niveau d'un bord (30,34); les rebords (16,18) et les canaux (24,26) étant disposés au droit d'une face externe (36) de la paroi annulaire

de manière à être adjacents à la roue (38) lorsque le dis-

positif enjoliveur est monté sur cette roue; plusieurs attaches (40) réparties circonférentiellement le long de

la face externe (36) de ladite paroi annulaire (14), cha-

cune de ces attaches portant un élément denté (42) adapté pour mordre dans la roue (38); chacune des attaches (40)

comprenant une première extrémité (46) qui entre en con-

tact avec ladite partLe annulaire (12) au niveau de ladite première extrémité 20 dé cette partie anulaireet-une.deuxième extrémité ('48) qui est ramifiée de façon-à présenter un espace..(66)entre ses. dents ,de fourche (60,62); ledit deuxième:rebord (18) se 1ogeah:

dans cet espace pour fixer l'attache à: ladite partie annulaire.

2. Dispositif enjoliveur de roue suivant la reven-

dication 1, caractérisé en ce que ladite attache (40) est réalisée en tôle et que lesdites dents de fourche (60,62) sont formées par des fentes longitudinales (50) ménagées dans ladite deuxième extrémité (28), la tôle comprise entre lesdites fentes (50) étant coudée à des angles il

différents pour former ledit espace (66) entre ces dents.

3. Dispositif enjoliveur de roue suivant la reven-

dication 1 caractérisé en ce que ladite partie annulaire

(12) présente une distance prédéterminée (D) entre la po-.

sition de contact avec la première extrémité (46) de la-

dite attache (40) et le bord (34) du deuxième rebord (18); ladite attache (40) possédant une longueur prédéterminée (L) entre ladite position de contact avec effet de prise

avec ladite partie annulaire (12) et une extrémité sail-

lante de ladite dent de fourche (62) qui est logée dans

îo le canal (26) du rebord (18); ladite longueur prédétermi-

née (L) étant plus grande que ladite distance prédétermi-

née (D).

4. Dispositif enjoliveur de roue suivant la reven-

dication 3, caractérisé en ce que ladite partie annulaire (12) est réalisée en tôle et que, à l'état détendu, cette partie présente une distance initiale entre le point dudit contact en prise et le bord (34) du deuxième rebord (18), mesurée avant le montage de l'attache dans cette partie

annulaire qui est inférieure à ladite distance prédétermi-

née (D), ladite attache. (40) étant relativement rigide et ladite partie annulaire (12) étant allongée. élastiquement: et sous tension lorsque le deuxième rebord (18) est logé

dans ledit espace (66) ladite attache (40) étant immobili-

sée sur ladite partie annulaire (12).

5. Dispositif enjoliveur de roue suivant la reven-

dication 4, caractérisé en ce que l'attache (40) est réali-

sée en tôle et que lesdites dents de fourche (60,62) sont formées par des fentes longitudinales (50) ménagées dans ladite deuxième extrémité (48), la tôle entre lesdites fentes (50) étant cambrée à des angles différents de façon

à ménager ledit espace (66) entre les dents de la fourche.

6. Dispositif enjoliveur de roue suivant la reven-

dication 5, caractérisé en ce que ladite attache (40) est renforcée par des nervures longitudinales (68) qui sont

formées dans la tôle de cette attache, ces nervures s'éten-

dant de la première extrémité (46) à la deuxième extrémi-

té (48) de l'attache (40).

- 7. Dispositif enjoliveur de roue suivant la re-

vendication 6, caractérisé en ce que la tension de ladite partie annulaire (12) a pour effet que le deuxième rebord (18) applique une force auxdites dents de fourche (60,62)

et que ces dents de fourche présentent deux bords longitu-

dinaux adjacents auxdites fentes qui entrent en contact avec ledit deuxième rebord (18) sous l'action de ladite

force pour empêcher l'attache (40) de glisser circonféren-

tiellement par rapport à ladite partie annulaire (12).

8. Dispositif enjoliveur de roue suivant la re-

vendication 1, caractérisé en ce que le contact avec effet

de prise établi entre ladite première extrémité (46) et la-

dite partie annulaire (12) au niveau de la première extrémité

(20) de cette partie annulaire est dû au fait que cette ex-

trémité (46) est ramifiée de manière à ménager un espace (64) entre ses dents et en ce que ledit premier rebord se loge

dans cet espace.

9. Dispositif enjoliveur suivant la revendica-

tion 1, caractérisé en ce que ledit contact avec effet de prise établi entre la première extrémité (46) et la partie annulaire (12) au niveau de la première extrémité (20) de

cette partie annulaire est dû au fait qu'une partie de la-

dite première extrémité de l'attache est engagée dans ledit canal (24) situé à la première extrémité (20) de la partie

annulaire pour entrer en contact avec la base.(28) du pre-

mier rebord (16).