FR2480958A1 - Piece d'horlogerie a affichage numerique commandee par une seule touche - Google Patents

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FR2480958A1
FR2480958A1 FR8008741A FR8008741A FR2480958A1 FR 2480958 A1 FR2480958 A1 FR 2480958A1 FR 8008741 A FR8008741 A FR 8008741A FR 8008741 A FR8008741 A FR 8008741A FR 2480958 A1 FR2480958 A1 FR 2480958A1
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Jean Claude Robert Blanchier
Eduard Hirt
Manfred Kalinke
Jean-Francois Schwab
Bernhard Tesh
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Mannesmann VDO AG
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    • G04F10/00Apparatus for measuring unknown time intervals by electric means
    • G04F10/04Apparatus for measuring unknown time intervals by electric means by counting pulses or half-cycles of an ac
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Abstract

L'INVENTION CONCERNE LES PIECES D'HORLOGERIE A AFFICHAGE NUMERIQUE. UNE SEULE TOUCHE PERMET D'ASSURER L'ENSEMBLE DES FONCTIONS DE COMMANDE, CHANGEMENT DE MODE ET REGLAGES. EN PLUS DES SYMBOLES DE FONCTIONS SF1 A SF4, DES SYMBOLES SUPPLEMENTAIRES IS1 A IS7 SONT PREVUS, AVEC AUSSI DES INDEX DESIGNANT LES CARACTERES A PHASE NUMERIQUE (IPCD, ETC.). TOUTE ACTION SUR LA TOUCHE EST PRECEDEE DE L'EXCITATION DE L'UN DES SYMBOLES D'AFFICHAGE, QUI INDIQUE CE QUE L'OPERATEUR VA OBTENIR EN AGISSANT SUR LA TOUCHE. DES FONCTIONS TRES EVOLUEES SONT POSSIBLES SANS POUR AUTANT COMPLIQUER A L'EXCES L'EMPLOI DE LA PIECE D'HORLOGERIE PAR L'USAGER. APPLICATION NOTAMMENT AUX MONTRES.

Description

L'invention concerne les pièces d'horlogerie -mor,tres notamment à affichage numérique.
Avec les possibilités actuelles des microcircuits électroniques, une pièce d'horlogerie peut assurer. un nombre important de fonctions liées au temps, par exemple : affichage du temps en heures, minutes et secondes ; affichage de la date en jour du mois, mois et jour de la semaine ; affichage du temps compte tenu d'un changement de fuseau ou zone horaire ; alarme en un temps choisi à l'avance ; minuterie ou alarme au bout d'un intervalle de temps choisi à l'avance ; chronomètre. Dans tous les cas, la pièce d'horlogerie accumule par comptage des signaux ou impulsions de temps, définies par quartz. I1 appartient à l'usager d'une part de définir la ou les fonctions liées au temps dont il a besoin, et d'autre part d'introduire précisément dans l'appareil les réglages associés à ces fonctions.
S'agissant d'appareils grand public, il est nécessaire que le nombre de boutons-poussoirs ou autres organes d'action à la dispositif de l'usager soit réduit. Il est egalelent .corsaire que leur mode d'emploi soit simple, impératif qui va a priori à l'encontre du précédent ; des boutons-poussoirs séparés sont plus facilement associés à des fonctions différentes.
Enfin, ces difficultés pratiques croissent très vite avec le nombre de fonctions réalisables par la pièce -d'horlogerie.
La présente invention vient proposer une solution très commode, qui permet de réaliser l'ensemble des commandes liées au temps à l'aide d'une seule touche (ou bouton-poussoir).
La pièce d'horlogerie proposée est du type comportant - un dispositif d'affichage, comprenant une série de
caractères numériques ou alphanumériques ainsi que
des symboles indicateurs de fonction, -- des moyens d'action pour l'usager, - une base de temps, et - une logique centrale capable
d'une part d'entretenir une information de temps réel,
à partir de signaux provenant de la base de temps,
d'une autre part d'établir sur commande un mode au
choix parmi plusieurs modes préétablis, choisis dans
le groupe comprenant en particulier les modes d'affi
chage de temps réel (heures, minutes, secondes ; date
en mois, jour du mois et jour de la semaine ; change
ment de fuseau horaire), les modes de surveillance
d'un instant choisi (alarme en un temps réel choisi,
ou minuteur, c'est-à-dire terme d'une durée choisie),
ainsi que les modes chronométriques,
d'autre part enfin d'établir également sur commande
les réglages requis pour chacun des modes préétablis,
ces réglages comprenant la définition de valeurs numé
riques de temps, ainsi que d'instants précis.
Selon l'invention, dans son aspect généra'., il est prévu - que le dispositif d'affichage comporte une série de
symboles supplémentaires, propres au moins à définir
une expectative, ainsi qu'une désignation de chacun
des caractères d'affichage., individuellement ou par
groupe unitaire, - que la logique centrale suit normalement l'un des
modes, le changement de mode se faisant sur commande
par incrémentation, - que la logique centrale est apte à exécuter sur
commande des voies de réglage comportant chacune
séquentiellement l'ensemble des phases de réglage
associées à l'un respectif des différents modes, - que la logique centrale n'emprunte une voie de
réglage qu'à la suite d'une première action de l'usager
sur une touche, à laquelle elle répond par l'excita-
tion temporaire du symbole d'expectative, et d'une
seconde action sur la touche effectuée pendant cette
excitation temporaire, et - qu'à chaque phase de réglage de chaque voie de réglage,
la logique centrale excite d'abord l'un des symboles
supplémentaires, lequel désigne à l'usager le réglage
proposé, après quoi, pour exécuter ou non le réglage
lui-même, la logique centrale répond à l'existence
d'une action ultérieure au moins sur la touche.
Ceci permet à l'usager de commander la pièce d'horlogerie avec une seule touche, en étant à tout moment guidé par son affichage.
Dans un mode de réalisation particulier, la logique centrale est apte à distinguer des coups brefs
4 et des coups longs sur la touche ; lesdites première et seconde actions sur la touche auxquelles la logique centrale répond en empruntant une voie de réglage sont des coups longs ; et la logique centrale réagit à une première action n coup bref en établissant le mode suivant par incrémentation.
Selon ce même mode de réalisation, il est avantageux que la ou les actions ultérieures sur la touche auxquelles la logique. centrale réagit à chaque phase de réglage soient des coups brefs, et qu'à certaines des phases de réglage, la logique centrale réagisse à une action ultérieure qui soit au ontraire un coup long par la sortie de la voie de réglage en cours.
Selon une variante très avantageuse, la logique centrale réagit à l'absence de seconde action sur la touche pendant l'excitation temporaire du symbole d'expectative en établissant le mode suivant par incrémentation.
Ce qui précède concerne l'entrée/sortie des voies de réglage, ainsi que la modification du mode en cours. D'autres aspects de l'invention concernent le déroulement des voies de réglage.
Ainsi, pour certaines des phases de réglage, la logique centrale réagit avantageusement à l'absence d'action ultérieure sur la touche pendant l'excitation temporaire du symbole associé en passant à la phase de réglage suivante.
En variante et/ou en complément, pour certaines des phases de réglage, la logique centrale réagit à une action sur la touche pendant l'excitation temporaire du symbole associé en passant à la-phase de réglage suivante, tandis qu'elle réagit à l'absence d'une telle action sur la touche par l'entrée en réglage proprement dit. Dans ce cas, à l'entrée en réglage proprement dit, la logique centrale modifie de préférence le symbole associé à ce réglage.
L'invention vise également ce qui se passe pour les différentes voies de reglage particulières à chaque mode.
En premier lieu, pour la voie de réglage du mode de temps réel (heures, minutes, secondes), il est prévu que la logique centrale propose des phases de réglage des heures et des minutes, que lors d'une modification des minutes elle interrompt l'entretien du temps réel en secondes, et excite finalement un symbole supplémentaire d'attente pour ne reprendre alors l'entre tien du temps réel qu'en réponse à une action sur la touche.
Avantageusement, le dispositif d'affichage comprend trois groupes de deux caractères, les symboles supplémentaires désignent individuellement chaque caractère dans deux de ces groupes, et globalement les deux caractères du troisième groupe, lequel est affecté à l'affichage des jours de la semaine en.mode date.
Pour d'autres modes (alarme ou minuteur), le dispositif d'affichage comporte un symbole supplémentaire significatif de DEPART ; pour la voie de réglage de l'un au moins des modes alarme ou minuteur, la logique centrale procède à des phases de définition d'une valeur numérique puis à une phase DEPART, comprenant l'excitation du symbole DEPART, après quoi la logique centrale ne commence l'exécution du mode qu'au moment d'une action sur la touche consécutivement au début de l'excitation du symbole DEPART.
De préférence, dans la voie de réglage de l'un au moins des modes alarme et minuteur, la logique centrale effectue en même temps que l'exécution du mode une modification du symbole de mode associé, le symbole modifié demeurant au moins partiellement excité après sortie de la voie de réglage.
Toujours pour les mêmes modes, il est avantageux que le dispositif d'affichage comporte un symbole supplémentaire significatif de STOP, et que dans la voie de réglage en mode alarme ou minuteur, la logique centrale effectue après la phase DEPART une phase STOP, comprenant l'excitation temporaire du symbole STOP, après quoi elle arrête l'exécution du mode lors d'une action sur la touche pendant l'excitation du symbole STOP.
L'invention apporte encore des avantages importants, qui peuvent se manifester à propos de odes chronométriques.
Selon cet aspes. de llin-ention, le dispositif d'affichage comporte-un symbole suppl2mentaire SEPRT et un symbole supplémentaire STOD ; dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale procède à une phase DEPART comprenant l'excitation du symbole DEPART, sur laquelle elle ne commence le comptage du temps qu'au moment d'une action sur la touche consécutivement au début de l'excitation du symbole DEPART, et ensuite à une phase STOP comprenant l'excitation du symbole, sur laquelle elle-ntinterrompt le comptage du temps qu'au moment d'une action sur la touche consécutivement au début de l'excitation du symbole STOP.
Très avantageusement, avant la phase SPART, la logique centrale excite temporairement un symbole
RETOUR ; et elle réagit à l'absence d'excitation de la touche pendant l'excitation du symbole RETOUR, en procédant à la phase DEPART puis à la phase STOP, alors qu'elle réagit à une action sur la touche pendant l'excitation du symbole RETOUR en procédant seulement à la phase DEPART, la phase STOP intervenant alors dans un passage ultérieur par la voie de réglage en mode chronométrique.
De préférence, la logique centrale est apte à mémoriser au moins un temps chronométré ; le dispositif d'affichage comporte des symboles supplémentaires significatifs de LECTURE et d'EFFACE5qENT ; et, en présence du temps chronométré mémorisé, et sur passage par la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale excite temporairement le symbole LECTURE, l'action sur la touche pendant cette excitation se traduisant par l'affichage temporaire du temps chronométré mémorisé, puis elle excite temporairement le symbole EFFACEMNT, l'action sur la touche pendant cette excitation se traduisant par l'effacement du temps chronométré memorise.
Si l'on désire plusieurs possibilités de chronométrie, le dispositif d'affichage comporte un symbole supplémentaire significatif de TEMPS MULTIPLES dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale effectue une phase préliminaire, où elle excite temporairement le symbole de TEMPS MULTIPLES, l'action sur la touche pendant l'excitation du symbole de temps multiple se traduisant par l'introduction du nombre de temps à chronométrer, auquel cas la logique centrale effectue par la suite autant de phases STOP, tandis qu'en l'absence d'action de l'usager sur le symbole TEMPS MULTIPLE, la logique centrale effectue une seule phase DEPART et une seule phase STOP, avec la mesure d'un seul temps.
En pareil cas, il est commode que certains des symboles supplémentaires (temps multiples ; retour) demeurent au moins partiellement excités apres la sortie de la voie de réglage.
Comme précédemment, il est avantageux que, dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique de commande effectue, pendant le comptage de temps une modification du symbole de mode associé, le symbole modifié demeurant au moins partiellement excité après la sortie de la voie de réglage.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui va suivre, faite en référence aux dessins annexés, sur lesquels
- la figure 1 rappelle l'allure générale dlune pièce d'horlogerie du genre montre, pour l'usager ;
- la figure 2 illustre le schéma électrique général d'une telle pièce d'horlogerie ;;
- la figure 3 illustre l'ensemble des possi bilités d'affichage d'une montre selon la présente invention
- les figures 3A a 3F illustrent schématiquement l'usage de ces différentes possibilités d'affichage en fonction 1 mode de travail en cours pour la montre
- les figures 4 et 5 illustrent deux modes de réalisation au cheminement normal suivi par la logique centrale
- les figures 6A et 63 illustrent le cas de la voie de réglage de temps réel (heures, minutes, secondes), suivant deux grandes variantes d'application générale
- les figures 7, 8 et 9 illustrent respectivement les voies de réglage de date, d'alarme et de minuteur ; et
- les figures lOA et lOB illustrent des realisations respectivement simple et évoluée de la voie de réglage en mode chronométrique.
La figure 1 illustre une montre 1 qui présente extérieurement au moins un affichage numérique 14, ainsi qu'une touche de commande 12. L'affichage 14 comporte trois groupes de deux caractères. Avantageusement, l'af-ichage est du type à cristaux liquides ; les caractères sont du type numérique à sept segments, sauf pour l'une des paires : les caractères de celle-ci, de type alphanumérique à 9 ouî6 segments, permettent un affichage du jour de la semaine par deux lettres. Il peut être prévu un second affichage à trois paires de caractères, référence 14A ; on y voit à droite les caractères alphanumériques SA pour "samedi".
Globalement (figure 2), les constituants essentiels de la montre sont une base de temps à quartz (10), une logique centrale (11), la touche de commande (12), une pile électrique (13), ainsi ce l'affichage 14 (et 14A le cas échéant). La pile 13 alimente la base de temps (10l, la logique 11, et l'affichage 14 et éventuellement 14A.
Comme ie montre la figure 3, l'affichage à cristaux liquides 14 comporte, au moins une fois - de premiers caractères de dizaines(PCD) et d'unités (PCU), - de seconds caractères de dizaines (SCD) et d'unités
(SCU), et
- une paire de troisièmes caractères TC, qui peuvent
aussi donner des dizaines et des unités, ou bien
deu lettres pour le jour de la semaine.
I1 comporte aussi des symboles de fonction ou mode en cours - SF1, par exemple deux points clignotants, pour le
mode heures, minutes, secondes - SF2, par exemple une cloche stylisée, pour le mode
alarme - SF3, par exemple un coureur stylisé, pour le mode
chronométrique ; et - SF4, par exemple un cadran d'horloge stylisé, pour
le mode minuteur.
Le mode date (jour du mois, mois, et jour de la semaine) est ici reconnaissable par l'absence de symbole de fonction, ainsi que par la présence de deux lettres pour le jour de la semaine. Bien entendu, on peut aussi prévoir un symbole de date.
Si l'on considère chaque mode individuellement, on connaît les fonctions que doit effectuer la logique centrale 11 afin de délivrer l'affichage voulu pour chaque mode. Et l'on sait réaliser ces fonctions aussi bien sous forme de logique câblée qu'à l'aide d'un microprocesseur.
Le problème principal tient aux interventions de l'usager : celui-ci doit d'abord pouvoir choisir l'un des modes corme "fonction en cours" ; il aura aussi à introduire dans la entre les réglages requis par chaque fonction en cours. De surcroit, ces interventions doigtent se faire autant que possible sans manipulations trop compliquées, assez rapidement, et en limitant le risque d'erreurs ou de fausses manoeuvres. Malgré d'importants efforts quant à l'implantation optimale des boutons-poussoirs sur une montre, et à l'usage de codes mnémoniques pour leur actionnement, l'utilisation pratique des montres demeure délicate, surtout lorsqu'on leur demande de nombreuses fonctions.
La présente invention vient permettre de réaliser l'ensemble de ces commandes avec un seul bouton-poussoir ou touche, qui est par exemple de l'un des types suivants - touche mécanique classique ; - touche résistive sensible à la chaleur, ou à la variation
de résistance due à l'approche du doigt - touche capacitive sensible à l'approche temporaire
(capacité du doigt) - touche optique : variation de flux lumineux sur un photo
transistor due à l'interposition du doigt, par exemple - touche acoustique : sensible au bruit causé par un coup
du doigt sur la montre.
L'invention prévoit tout d'abord que le dispositif d'affichage 14 comporte une série de symboles supplémentaires (figure 3). L'un de ceux-ci définit une expectative : symbole IS1 représentant un point d'interrogation. D'autres symboles désignent les caractères d'affichage - indicateur de premier caractère de dizaines IPCD - indicateur de premier caractère d'unités IPCU - indicateur de second caractère de dizaines ISCD - indicateur de second caractere d'unités ISCU - indicateur ITC de troisièmes caractères (pris en bloc).
D'autres symboles enfin désignent des états annexes - IS2 pour DEPART - IS3 pour STOP - 1S4 pour TEMPS MULTIPLES (TM) - IS5 pour RETOUR - IS6 pour LECTURE - TS7 pour REMISE A ZERO ('00').
De son côté, la logique centrale à microprocesseur Il suit normalement un cheminement principal 1 ..é qui est illustrée en trait épais sur les figures 4 et 5, dans deux variantes différentes. Elle sort de ce chemin principal sur commande pour entrer en voie de réglage. Enfin, des interruptions prioritaires peuvent intervenir à tout moment notamment pour enregistrer une nouvelle impulsion de temps délivrée par la base de temps, ou bien enregistrer une action de l'usager sur la touche. De préférence, on prévoit aussi une interruption toutes les demi-secondes pour permettre une commande clignotante de certaines parties de l'affichage.
De cette manière, la logique centrale demeure en permanence informée de l'écoulement du temps et des ordres de l'usager.
Ces ordres sont transmis par la touche unique.
Les interruptions qui enregistrent l'action de l'usager sur la touche peuvent soit distinguer entre un coup court et un coup long (le seuil de discrimination étant par exemple 2 secondes), soit prendre en compte indistinctement chaque coup sur la touche, quelle qu'en soit la durée.
La figure 4 illustre sous forme d'organigramme suivi par la logique de commande 11, les fonctions du cheminement principal et de l'entrée en voie de réglage dans le premier cas. L'ensemble est bouclé, par exemple sur le point de départ noté ORIGINE. (On ne s'intéresse pas ici à la mise cn service de la montre, qui comporte une initialisation, ainsi qu'un passage forcé en voie de réglage temps réel (heures, minutes, secondes, au moins).
Le cheminement principal commence par un test
410, pour le cas où la sonnerie (alarme) serait en cours.
Si oui, une action (courte ou longue) sur la touche '411) arrêtera la sonnerie (412) ainsi que le symbole alarme minuteur (symbole clignotant, excité comme on le verra plus loin). Dans l'un ou l'autre cas, un coup court sur la touche (413) commande une décrémentation du mode (414).
Les modes sont ici numérotés de 5 à C inclus pour heuresminutes-secondes, date, alarme, minuteur, chronomètre et heures-minutes-secondes avec changement de fuseau horaire.
Cette phase de décrémentation (414) répétée à chaque tour de cycle, permet à l'usager de définir le mode en cours.
Ensuite, suivant le mode en cours, des tests 445 à 440, orientent la logique de commande vers les opérations d'affichage correspondantes, 455 à 450, qui peuvent être réalisées à l'aide des fonctions connues de l'homme de l'art.
On voit qu'en fonctionnement normal, sans intervention de l'usager, la logique centrale tourne en permanence sur le cheminement principal en trait plein, tout en procédant à llaffichage-du mode en cours, avec mise à jour dès secondes à chaque interruption liée au temps réel.
Si un coup court a été donné sur la touche, la logique de commande l'a enregistré sur interruption, et au test 414, elle change le mode en cours. Si au contraire l'usager a donné un coup long, la logique centrale 11 excite après le test 415 le symbole IS1 d'expectative ou '?' (elle excite en fait un "drapeau" associé, qui à son tour excite le symbole lui-même).
Un second coup long (417) dans les 5 secondes (418) fait alors passer aux tests 425 à 420. La logique de commande entre alors en voie de réglage. Avant ou après les tests, une étape 419 enlève le drapeau '?'. ET, suivant le test de mode en cours, la logique centrale 11 détermine, parmi les voies de réglages 435 à 430, celle qui va être suivie.
Une première action en coup long (415) non suivie d'une seconde actionen coup long (417) pendant les cinq secondes d'excitation du symbole '?' amène (418, oui) la logique centrale 11 à retourner à l'ORIGINE.
La figure 5 illustre le second cas, où les coups sur la touche sont enregistrés indépendamment de leur longueur. Une variante intéressante de l'invention est alors obtenue.
Les phases 510 à 512 se passent comme 410 à 412 précédemment, pour le cas où le bruiteur d'alarme serait en marche.
Ensuite apparaît en 513 le test de "première action sur la touche ; si une telle action a eu lieu, le drapeau '?' est excité en 514 ; si une seconde action sur la touche (515, oui) est faite sous 3 secondes, la logique de commande éteint le symbole '?' et, après les tests 525 à 520, entre dans celle des voies de réglage 535 à 530 qui correspond au mode en cours. Après réglage, elle revient comme précédemment à 1'ORIGINE.
En l'absence de seconde action sur la touche (515, non) la logique 11 décrémente le mode, éteint le symbole '?' (phase 516) puis, à travers les tests 545 à 540, procède à l'affichage correspondant au mode en cours (555 à 550).
Selon cette variante, la logique centrale 11 tourne sur la boucle en trait épais. Un coup sur la touche va lui faire proposer à l'opérateur la voie de réglage ; s'il la refuse, le mode est simplement modifié et l'on recommence le cheminement principal. Si, par un second coup sur la touche pendant les 3 secondes d'excitation du symbole '?' l'opérateur choisit le réglage, la logique entre alors dans l'une des voies de réglage décrites ci-après.
On s'intéressera maintenant à la voie de réglage heures-minutes-secondes, qui dépend de ce que la logique distingue entre coup court et coup long (figure 6A), ou non (figure 6B).
Sur la figure 6A, après l'ORIGINE, le cadre en trait tire té 400 résume les phases encadrées elles aussi en trait tireté sur la figure 4, et permettant à l'usager d'opter pour la sélection de mode par incrémentation ou décrémentation ou bien pour l'entrée en voie de réglage. On arrive ensuite à la phase 435 (figures 4 et 6A), qui marque le début de la voie de réglage heures-minutes-secondes proprement dite.
Tout d'abord, dans la phase 60, à l'étape 601, la logique excite l'indicateur IPCD sous le premier caractère de dizaines (figure 3), et ce pendant 5 secondes au moins (604). Un coup court (602) se traduit par l'incrémentation des dizaines d'heures, de préférence à raison d'une unité par coup. Un coup long (605) se traduit par l'extinction du symbole IPCD (606) et le retour à l'origine.
Autrement, l'incrémentation des dizaines d'heures se poursuit tant que des coups courts se succèdent à moins de 5 secondes, faute de quoi la logique éteint l'indicateur IPCD, passant à la phase suivante 61.
(Bien que l'extinction de IPCD constitue la fin de la phase 60, on l'a illustrée en 611 pour éviter d'alourdir le schéma).
La phase 611 se produit comme la précédente, mais avec le premier caractère d'unités, (unités d'heures dans ce mode) ; les références numériques des étapes qui se correspondent diffèrent de dix unités. Après réglage éventuel des unités d'heures, on passe à la phase 62, pour les dizaines de minutes. Les choses se passent là encore de la même manière sauf que toute modification des dizaines de minutes se traduit par l'inhibition des interruptions de temps réel (-623). Le comptage des secondes est alors arrêté pour ce mode, et les chiffres des secondes sont remis à '00'. I1 est alors préférable de ne pas pouvoir retcurner à l'origine sur coup long, du moins si les dizaines de minutes sont modifiées.
Puis, les anités de minutes sont modifiées à la phase (63), qui se passe généralement comme la phase (62).
Suivant que les unités ou dizaines de minutes ont été modifiées ou non, le test 640 qui précède ou suit l'extinction du symbole ÌSCU (unités de minutes) va permettre le redémarrage du temps réel ou retourner directement à l'origine.
Dans le cas du redémarrage du temps réel, la logique excite un symbole d'attente, qui peut être le symbole IS1 d'expectative ou '?s. Ce n'est qu'apres un coup -cour, ou long- sur la touche (643) que le temps réel redémarre (644) ; les signaux de la base de temps sont alors à nouveau utilisés lors des interruptions pour la mise à jour des secondes, minutes et heures.
La figure 6A met bien en lumière un aspect important de l'invention : à chaque phase d'une voie de réglage, la logique excite d'abord l'un des symboles supplémentaires prévus, qui indique à l'usager quel réglage est proposé à cette phase. Pour la suite à donner, la logique répond à l'existence ou l'absence d'une action sur la touche.
La figure 6B illustre une variante de la voie de réglage heures-minutes-secondes, dans le cas où l'on ne distingue pas entre coup court et coup long.
De cette différence, il résulte que des sorties directes de la voie de réglage sur coup long , comme en 605, 606 ou 615, 616 (figure 6A) ne sont plus possibles.
A part celà, la figure 6B pourrait être semblable à la figure 6A.
On a prcfré illustrer à l'aide de la figure 6B une variante assez différente : sur la figure 6A, chaque phase de réglage numérique telle que 60 comprend l'excitation d'un symbole indicateur de chiffre, qui n'est pas modifié par la logique de commande en l'absence de coup sur la touche ; sur la figure 6B est illustré un exemple inverse, où un premier coup sur la touche se traduit par le saut pur et simple de la phase de réglage proposée.
Ainsi, après l'ORIGINE, et les étapes 500 du cadre en trait tireté de la figure 5, le réglage heuresminutes-secondes (535) de la figure 6B commence lui aussi par une phase 66 concernant le premier caractère de dizaines, qui correspond aux heures dans ce mode.
L'étape 651 excite l'indicateur IPCD sous ce caractère (figure 3). Si un coup est donné sur la touche sous 2 secondes, on passe immédiatement au caractère suivant (indicateur IPCU pour les unités d'heures), à l'étape 661 de a phase 66, et ainsi de suite avec les dizaines de minutes et les unités de minutes. L'usager peut ainsi, en huit secondes, définir le réglage qu'il désire faire.
Revenant maintenant à 652, si l'usager n'actionne pas la touche sous 2 secondes, la logique fait alors clignoter le symbole IPCD sous les dizaines d'heures, à l'étape 653. (Le clignotement est réalisé sur interruptions du microprocesseur). Si, en présence de cette nouvelle proposition, l'usager actionne la touche (654), alors les dizaines d'heures sont modifiées (655). Comme précédemment, la modification se fait de préférence pas à pas, à raison d'un incrément pour chaque coup sur la touche ; elle peut aussi se faire d'une autre manière, par exemple à cadence fixe, en tenant compte du temps pendant lequel l'usager appuie sur la touche. Dès que la touche n'est plus actionnée depuis 5 secondes, on passe à la phase suivante 66, sur les unités d'heures, qui commence à l'étape 661.
Le même processus peut se répéter, chaque fois que l'usager s'abstient d'actionner la touche pendant les 2 secondes que dure l'affichage continu de chacun des symboles indicateurs de chiffre.
Comme précédemment, toute modification des dizaines (675) ou unités (685) de minutes s'accompagne de préférence d'un arrêt du temps réel et d'une remise à zéro des secondes.
Finalement, après l'extinction en 691 du dernier symbole numérique concerné (ISCU), on retourne à l'origine soit directement, soit, si les minutes ont été modifiées, après un redémarrage du temps réel par les étapes 692 à 694, semblables aux étapes 642 à 644 de la figure 6A.
On décrit, ci-dessus, lors de l'entrée en réglage effectif (653 par exemple) , le passage de 1 'exci- tation continue à l'excitation clignotante du même symbole. Bien entendu, toute autre modification du symbole, par complément, soustraction ou substitution, peut etre envisagée.
Par ailleurs, la variante de la figure 6B peut être utilisée avec distinction de coups courts et coups longs sur la touche. Dans ce cas, le saut de réglage aux phases 652, 662, 672 et 682 peut se faire sur coup long et le réglage au contraire (654, 664, 674 et 684) sur coup court, ou l'inverse.
On notera aussi que les modifications de symboles (653, 663, 673, 683) ne sont pas impératives.
La figure 7 illustre le réglage de date, dans le cadre de la discrimination coup court/coup long de la figure 4. Les quatre premières phases 70 à 73 concernent les quatre premiers chiffres de l'affichage 14 à partir de la gauche, et font intervenir les symboles indicateurs IPCD, IPCU, ISCD et ISCU. Les phases 70 et 71 .ms déroulent exactement comme les phases 60 et 61 de la figure 6A, seule changeant la signification des chiffres (le quantième ou jour du mois au lieu des heures).
Les autres phases 72 et 73 sont comme les premières, mais pour le mois lui-même (chiffré de 1 à 12). On notera les possibilités de retour à l'origine en 726 et 736.
Enfin, une dernière phase 74 permet le réglage du jour de la semaine, en utilisant le symbole indicateur de la trcisième et dernière paire de caractères
ITC (figure 3). Alors qu'en mode heures-minutes-secondes ils désignaient les secondes, ces caractères désignent maintenant le jour de la semaine, soit par des chiffres de O à 6 ou de 1 à 7, soit de préférence par deux lettres en clair, qui résultent d'un transcodage spécial des chiffres de O à 6 ; on sait faire un tel transcodage, même en plusieurs langues au choix (par exemple lundi est LU en français et MO en anglais).
La derniere phase 76 se passe comme les pré cédentes, à l'exception du fait que l'incrementation en 743 concerne les deux caractères alphanumériques à la fois, pour un affichage littéral, et que l'étape de retour sur coup long, peut utile ici, n' est pas prévue.
Au moins dans le cas d'un affichage littéral du jour de la semaine, il est nécessaire que l'incré- mentation en 743 se fasse modulo 7, allant par exemple de O à 6 puis retournant à O pour recommencer. Le transcodage assurera alors sans interruption un affichage, cyclique: DI, LU, .aIA, JE, Jr TE t SA, DI, etc...
En fait, il est souhaitable de prévoir une périodicité ou "modulo" de comptage appropriée pour chaque phase d'incrémentation numérique, plutôt que de faite confiance à l'usager pour se rendre compte que 13 ou 14 ne peut désigner un mois. Pour les heures, la périodicité est 12 ou 24. Elle est de 60 pour les minutes ou secondes. Pour les jours de la semaine, elle est de 7 ; elle est de 12 pour les mois ; pour le jour du mois, elle peut être fixée à 31, tandis que les opérations d'affichage 454 ou 554 des figures 4 ou 5 corrigent automatiquement le jour en fonction du mois en cours. On peut également prévoir que le jour du mois est rectifié dès le réglage du mois au cours de la voie de réglage date de la figure 7.
La variante de la figure 5 est aisément applicable en voie de réglage date, sous réserve de supprimer les retours sur coup long 705, 706 ; 715, 716 725, 726 ; 735, 736. On peut également modifier la voie de réglage date pour permettre une présélection rapide de la ou des phases où l'usager désire effectivement agir, comme sur la figure 6B (circuit court par les étapes 651, 652, 661, 662, 671, 672, 681, 682).
Les autres voies de réglage seront décrites ci-après dans le cas de la figure 5 où l'on ne distingue pas entre coup court et coup long ; on peut les transposer immédiatement au cas de la figure 4, en utilisant soit le coup court, soit le coup long, soit les deux à la place du coup pur et simple de la figure 5.
La figure 8, qui commence donc par le bloc sélection-réglage 500 de la figure 5, arrive à la voie de réglage alarme 533. Celle-ci offre une première phase 89 qui comprend l'excitation 890 de l'expectative ou '?', afin de déterminer si l'usager désire introduire un nouveau moment d'alarme en heures-minutes-secondes, ou au contraire valider ou invalider un moment d'alarme déjà fini.
Le test 891 recherche si la touche est actionnée sous 3 secondes, après quoi le symbole '?' est éteint.
Dans l'un des cas (touche actionrée par exemple), quatre phases 80 à 83 permettent de définir un instant en quatre chiffres, deux pour les heures et deux pour les minutes par exemple. La définition de ces chiffres peut se faire de l'une quelconque des manières précédemment décrites (figure 6A ou 6B notamment) . Dans l'exemple illustré sur la figure 8, les introductions de chiffres se passent comme sur la figure 6A, mais sans sortie sur coup long, puisqu'un coup long ne peut être discriminé ici. Dans l'autre cas (ici, touche non actionnée) la sortie "non" du test 891 aborde un test 840, pour déterminer si une surveillance d'alarme est en cours (ce que représente un chiffre binaire en mémoire, ou "drapeau"). On notera qu'après la définitionnumérique d'un moment d'alarme on revient à ce même test 840.
Si l'alarme n'est pas validée (en cours de surveillance), ctest-à-dire si l'usager a défini une heure d'alarme, sans demander encore l'alarme, la logique centrale (11) excite le drapeau DEPART (851), et par là le symbole DEPART IS2 (figure 3).
Le test 852 surveille l'existence d'une action sur la touche sous 3 secondes, après quoi le symbole
DEPART est éteint. En l'absence d'une action, on revient à l'origine (un passage ultérieur par la voie de réglage alarme, sans action sur la touche en 891, permettra de valider l'alarme ultérieurement, si on le désire).
Si au contraire l'usager actionne la touche dans les 3 secondes, l'alarme est validée, ce qu'enregistre la mémoire à un bit précité. L'usager en est informé, avar.tageusm.ent par le fait que la cloche du symbole SF2 (figure 3) se trouve maintenant complétée par des rayons (illustrés sur la figure 3). Pendant la voie de réglage alarme, le symbole alarme est excité en continu, qu'il soit complété par ces rayons ou non.
Mais, des lors qu'il est complété par les rayons, (ou qu'il indique d'une autre manière l'alarme validée), il demeurera excité en clignotant après Sortie de la voie de réglage alarme.
On revient maintenant au test 840 pour considérer le cas où la surveillance d'alarme est déjà validée.
La logique active alors en 861 un drapeau STOP qui commande l'excitation du symbole STOP ou IS3 (figure 3).
Si l'usager n'intervient pas, on retourne à l'origine.
S'il actionne la touche sous 3 secondes, l'alarme est invalidée, et ne sera plus surveillée et, le symbole d'alarme disparaît (mais, de préférence, l'instant d'alarme choisi demeure enregistré numériquement). Comme pour le DEPART, le symbole STOP est éteint au bout de 3 secondes. Le temps d'attente peut ici être plus long que 3 secondes, Si on le désire.
La figure 9 illustre la voie de réglage en mode minuteur, qui est très proche de celle du mode alarme, et susceptible des mêmes variantes. Comme précédemment, une première phase 99 permet à l'usager d'indiquer s il veut introduite un nouveau délai de minutage. Si oui, il actionne la touche, et les phases 90 à 93 (semblables à 80-83) lui permettent de définir le délai en heures et minutes.
Après cela, ou bien en l'absence d'action sur la touche en 991, le test 940 détermine si un comptage de temps est en cours (un drapeau "minuteur" ou mémoire à un bit en témoigne). Si ce n'est pas le cas, la logique excite le drapeau départ, en 951, pour 3 secondes ou pour un temps plus long ; une action sur la touche fait démarrer le comptage de temps et complète le symbole minuteur (addition de rayons, ou mieux, mouvement des aiguilles du cadran définissant le symbole SF4, figure 3)
Si le comptage de temps est déjà en cours, la logique excite en 961 le drapeau STOP pour 3 secondes.
En actionnant la touche pendant le même temps (962), l'usager peut mettre fin au comptage de temps, et la logique enlève alors le symbole minuteur (963).
Comme pour le mode alarme, lorsqu'un comptage de temps est en cours, le symbole de minuteur -complété par aiguilles mobiles- demeure excité de façon clignotante après la sortie de la voie de réglage minuteur.
Dans le mode alarme, un bruiteur ou sonnerie est excité dès que le temps réel en heures et minutes atteint la valeur fixée. Dans le mode minuteur, le bruiteur est excité dès que le terme du délai fixé en heures et minutes est atteint. Les fonctions nécessaires dans l'un et l'autre cas sont connues (comptage et/ou comparaison numériques). Elles sont ajoutées à chacune des phases d'affichage 450 à 455 de la figure 4, ou bien 550 à 555 de la figure 5. L'arrêt du bruiteur s'effectue au début de la phase sélection/réglage (400 ou 500) : en présence de la sonnerie, une action sur la touche l'arrête, et fait disparaître le symbole clignotant d'alarme (SF2) ou de minuterie (SF4).
On peut aussi prévoir une durée maximale de sonnerie, et éventuellement supprimer alors son arrêt sur intervention de l'usager.
On s'intéressera maintenant à la voie de réglage en mode chronomètre, qui constitue l'illustration la plus riche de la présente invention. Elle est illustrée complètement en version préférentielle sur la figure 10B, mais on en décrira tout d'abord une version simple en référence à la figure lOA. I1 est supposé que l'on détecte les coups sur la touche sans discrimination de leur durée.
La figure lOA concerne le cas d'un chronométrage unique, avec un seul départ et un seul stop.
Après avoir déterminé en lOOlA et 1002A si un comptage chronométrique est en cours, ou si un temps chronométré est déjà en mémoire, respectivement, la logique centrale arrive pour deux réponses non à la séquence "chronométrage unique proprement dite.
Elle excite d'abord le symbole RETOUR IS5 (figure 3), pendant 3 secondes. En cas d'action sur la touche pendant ces 3 secondes, elle fait seulement une phase départ 140 (semblable à la phase départ 120 ci-après), puis retourne à l'origine.
En l'absence d'action sur la touche pendant l'excitation du symbole RETOUR, la logique effectue d'abord une phase DEPART 120, puis une phase STOP 130 (chronométrage complet effectué immédiatement).
La phase "départ" 120 comprend en 1201A l'excitation du symbole départ, jusqu'à action sur la touche en 1202A. Dès cette action, le comptage du temps démarre et le symbole chronométrique SF3 (figure 3) est modifié ou complété, les jambes du coureur se mettant par exemple à bouger.
Le comptage du temps fait intervenir un compteur spécial, mis à jour sur interruption à chaque seconde (ou à chaque dixième ou centième de seconde, si on le désire). On notera que, comme pour le temps réel, la mise à jour s'effectue ici sur interruption quel que soit le travail en cours dans la logique de commande.
La phase "stop" 130 comprend en 1301 l'excitation du symbole STOP, jusqu'à action sur la touche en 1302. Dès cette action, le comptage de temps est arrêté, et le symbole chronométrique SF3 est ramené à son état initial (jambes immobiles). Le temps chronométré est mémorisé et affiché.
Ensuite la logique excite le symbole de remise à zéro (IS7 ou '00' figure 3). Si l'opérateur appuie sur la touche, le temps est effacé et l'on revient à l'origine. S'il n1 appuie pas, le temps est conservé, et l'on revient également à l'origine.
Dans ce second cas, qu'un symbole spécial, non représenté, peut remémorer à l'usager, celui-ci pourra faire un passage ultérieur par la voie REGLAGE
CHRONO. Le test 1002A, avec réponse OUI, passe alors en lecture temps chrono : la logique excite en 1601 le symbole LECTURE (IS6, figure 3) pendant 3 secondes, et une action sur la touche (1602) affiche temporairement le temps chronométré (1603). Après cela, la logique excite le symbole de remise à zéro (IS7) en 1604 pendant cette excitation, qui dure elle aussi-3 secondes, une action sur la touche (1605) effacera le temps mémorisé (1606). En l'absence d'action sur la touche et d'effacement, un nouveau passage permettra de retrouver le temps mémorisé.
On revient maintenant au cas où l'usager n'a ordonné que le départ, par la phase 140 ; dans ce cas, un nouveau passage dans la voie de réglage chronomètre donne une réponse oui au test lOOlA. La logique passe alors directement à la phase STOP 130 (séquence STOP ; chronomique), et le reste se déroule de la manière décrite ci-dessus.
L'exemple préférentiel de la figure lOB permet en outre de chronométrer plusieurs phénomènes, entre le même instant départ et plusieurs instants stop. En règle générale, les étapes qui sont communes avec la figure lOA portent la même référence suivie de la lettre B au lieu de la lettre A, et ne seront pas décrites à nouveau.
Initialement, la réponse aux tests lOOlB et 1002B est négative, et la logique excite en 1004 le symbole TM ou Temps Multiples IS4 (figure 3), pendant 3 secondes. En l'absence d'action sur la touche pendant ce temps, la logique éteint le symbole et passe à la séquence CHRONO UNIQUE décrite à propos de la figure lOA. Si l'usager agit sur la touche, un nombre est affiché par exemple en TC (fig.3), efinctiondunobre d'actions sur la touche (1005), ou de la dure d'action, qui définit le nombre de chronométrages désirés (1006);; après cela la logique éteint le symbole TM (étape non représentée pour simplifier le dessin), et procède à une phase RETOUR ? par des étapes 1100B et 1101B semblables à celles de la figure lOA.
Si l'usager désire procéder en deux temps et demande le retour, la logique procède seulement à la phase DEPART (1401B, 1402B, 1403B). Dans le cas contraire, la logique effectue une phase DEPART (1201B, 1202B, 1203B), puis autant de phases STOP qu'il y a de temps demandés (1301B, 1302B, 1303B, 1304 non, 1311 non, etc).
On notera qu'ici la phase 1303B n'arrête pas le comptage de temps, se contentant de mémoriser le temps au vol et de l'afficher à chaque fois.
C'est seulement lorsque tous les temps ont été acquis (1304 oui) que la logique (en 1305) arrête le comptage de temps, immobilise les jambes du coureur (symbole SF3, figure 3), et excite le symbole lecture
IS6. A chaque action sur la touche (1306), la logique affiche les temps chronométrés mémorisés (1307), dans l'ordre, jusqu'à épuisement. Elle propose ensuite de les effacer (1308), ce qui se fera (1310) en cas d'action sur la touche (1309). On revient enfin à l'origine.
Dans le cas où l'usager a demandé un retour, le test 1001B donne uen réponse positive. Pour un seul chronométrage, la réponse au test 1007 est non, et la logique effectue une séquence STOP CHRONO UNIQUE comme sur la figure lOA. En cas de temps multiple, la réponse au test 1007 est oui et la logique retourne à l'étape 130lob pour faire une phase STOP et un enregistrement de temps chrono. Tant que tous les temps demandés ne sont pas acquis (1304 non), le test 1311 produit un retour à l'origine (car, par hypothèse, un RETOUR a été initialement demandé). Après avoir acquis tous les temps, la logique propose de les iire et de les effacer, comme précédemment.
Si ;es temps -tous acquis- n'ont pas'été effacés, le test 10023 (réponse oui) permet de les lire par une séquence LECTURE TEMPS CHRONO, corrre pour la figure îOA, ou plutôt comme les étapes 1306 à 1310, c'est-à-dire avec autant de lectures qu'il y a de temps mémorisés.
Ainsi, l'usager a donc le choix entre enregistrer un temps chronométré ou plusieurs, à partir du même instant départ. I1 peut également -pour des temps courts- définir consécutivement le départ et le stop. I1 peut aussi les définir séparément, après avoir fait effectuer d'autres fonctions par la montre ; en pareil cas, le ou les stops sont définis un à un, en retournant à chaque fois à la voie de réglage chronomètre. On notera que ce retour ne nécessite que quelques actions sur la touche, qui peuvent se faire très vite. Et, si on le désire, la lecture du ou des temps chronométrés peut être faite à tout moment. Les temps enregistrés doivent ici être effacés par l'usager avant tout nouveau chronométrage, étant observé qu'on peut prévoir d'opérer autrement.
On se réfèrera maintenant aux figures 3A à 3F, qui permettent de mieux comprendre l'invention en illustrant les symboles qui entrent en jeu pour chaque fonction.
En mode N 5 (figure 3A), on voit dans l'ordre les heures, minutes et secondes, avec deux points entre heures et minutes. Si une alarme, un minutage ou un chronométrage est en cours, le symbole (complété) cor respondant apparart en clignotant ; il en est de même pour les symboles temps multiples (TMj et retour (RET).
Enfin, durant la voie de réglage en mode NO 5, vont egalement apparaître successi-.emen. des index sous chacun des chiffres heures et minutes, et éventuellement le symbole '?' si les minutes ont été modifiées.
En mode NO 4 (figure 3B), la date apparaît en jour du mois (ici 14), mois (ici 1 pour Janvier), et jour de la semaine (ici LU pour lundi). Les symboles susceptibles d'apparaître en clignotant sont les mêmes que sur la figure 3A. En voie de réglage pour mode N 4, un cinquième index pourra apparaître sous le jour de la semaine, alors que le symbole '?' n'est pas utilisé.
En mode NO 3 (figure 3C), le symbole d'alarme (cloche) est excité en continu (avec ou sans rayons suivant que l'alarme est ou non validée). L'affichage donne les heures et les minutes auxquelles se feront l'alarme. En voie de réglage, le symbole '?', les index sous les heures et les minutes vont apparaître successivement, puis les symboles départ (DEP) et STOP. Enfin, en clignotant, les symboles minuteur, chronomètre, retour et temps multiples peuvent apparaître, le cas échéant.
En mode NO 2, les choses sont les mêmes que pour le mode NO 3, excepté que c'est le symbole minuteur (cadran) qui est excité en continu, le symbole alarme (cloche avec rayons) n'apparaissant en clignotant que si une alarme -validée- est en cours de surveillance.
En mode Nd 1, le symbole chrono (coureur) est en continu. Si un chronométrage est en cours, les jambes du coureur bougent, et le temps écoulé est affiché en heures, minutes et secondes (ou en variante en minutes, secondes et centièmes de secondes). Les symboles alarme et minuteur (complétés) sont le cas échéant affichés en clignotant, ainsi aue les symboles de retour (RET) et de temps multiples (T). Au cours de la voie de réglage, pourront être excités en continu les symboles temps multiples (TM), retour (RET), départ (DEP), STOP, lecture (LErT) et remise à zéro ('00').
Enfin, en mode No O, une heure modifiée par changement de fuseau horaire est affichée, én même tous que le symbole correspondant (avion stylisé).
Les symboles alarme, minuteur, chronomètre (tous com plétés pour indiquer que le travail correspondant est en cours), ainsi que temps multiple et retour peuvent clignoter. La voie de réglage en mode NO O, qui n'a pas été décrite, fait intervenir une modification des heures, et éventuellement des dizaines de minutes (pour certaines zones horaires l'écart est d'une demi-heure). Elle s'effectue comme le réglage heuresminutes-secondes, dans l'une quelconque de ses variantes mais en faisant intervenir les trois premiers index de chiffres seulement.
La description qui précède fait intervenir à de nombreuses reprises une combinaison de fonctions dont la réalisation détaillée n'a pas été explicitée plus avant, étant observé que cette réalisation peut se faire sous forme de logique câblée, aussi bien qu'à l'aide d'un microprocesseur et de mémoires mortes, ou de tout autre dispositif de traitement de données équivalent. A cet égard, es diagrammes fonctionnels des figures 6A à 10B sont à incorporer à la présente description, comme illustrant des combinaisons de fonctions difficiles à définir complètement par le texte.
Par ailleurs, la présente invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits. Par exemple, dans le cas illustré sur la figure 1, où deux affichages 14 et 14A sont prévus, on peut prévoir l'affichage simultané de deux modes, notamment l'affichage permanent des heures-minutes-secondes en 14, et l'affichage de l'une des autres fonctions au choix en 14A. D'un autre côté, on pourra aussi prévoir un allumage de lampe pour éclairer de nuit les cristaux liquides, par la même touche que précédemment, ou à l'aide d'une autre touche.
On remarquera aussi que les symboles supplémentaires notés IS peuvent pratiquement tous figurer sous forme alphanumérique (quoi que cela ne soit pas nécessairement souhaitable, le symbole ? peut être lui aussi écrit, par exemple en EXP pour "expectative").
Une variante intéressante de l'invention consiste à utiliser un ou plusieurs jeux de caracètres alpha numeriques qui pourront afficher au fur et à mesure au moins une partie des symboles supplémentaires, à raison d'un à la fois ou de deux à la fois ; là encore, la langue d'affichage peut être sélectionnée au choix, par simple changement d'adresse mémoire (transcodage).
On ovite ainsi d'avoir à changer les afficheurs eux-mêmes.

Claims (19)

REVENDICATIONS
1) Pièce d'horlogerie, du type comportant - un dispositif d'affichage, comprenant une série de
caractères numériques ou alphanumériques ainsi que
des symboles indicateurs de fonction, - des moyens d'action pour l'usager, - une base de temps, et - une logique centrale capable
. d'une part d'entretenir une information de temps réel,
à partir de signaux provenant de la base de temps,
. d'une autre part d'établir sur commande un mode au
choix parmi plusieurs modes préétablis, choisis dans
le groupe comprenant en particulier les modes d'affi
chage de temps réel (heures, minutes, secondes ; date
en mois, jour du mois et jour de la semaine ; change
ment de fuseau horaire), les modes de surveillance
d'un instant choisi (alarme en un temps réel choisi;
ou minuteur, c'est-à-dire terme d'une durée choisie),
ainsi que les modes chronométriques,
d'autre part enfin d'établir également sur commande
les réglages requis pour chacun des modes préétablis,
ces réglages comprenant la définition de valeurs numé
riques de temps, ainsi que d'instants précis, caractérisée par le fait - que le dispositif d'affichage comporte une série de
symboles supplémentaires, propres au moins à définir
une expectative (IS1), ainsi qu'une désignation de
chacun des caractères d'affichage, individuellement
(IPCD, IPCU ;ISCD, ISCU) ou par groupe unitaire (ITC), - que la logique centrale (11) suit normalement l'un
des modes (450 à 455 ; 550 à 555) le changement de
mode se faisant sur commande par incrémentation (414
(415 ;
réglage qu'à la suite d'une première action de l'usager
férents modes, - que la logique centrale (11) n'emprunte une voie de
phases de réglage associées à l'un respectif des dif
comportant chacune séquentiellement l'ensemble des
commande des voies de réglage (430 à 435 ; 530 à 535)
516), - que la logique centrale (11) est apte à exécuter sur
sur la touche (12), ce qui permet à l'usager de commander la pièce d'horlogerie avec une seule touche, en étant à tout moment guidé par son affichage.
répond à l'existence d'une action ultérieure au moins
ou non le réglage lui-même, la logique centrale (11)
l'usager le réglage proposé, après quoi, pour exécuter
ITC ; IS1 ; IS2, IS3 ; IS4 à IS7), lequel désigne à
symboles supplémentaires (IPCD, IPCU, ISCD, ISCU
la logique centrale (11) excite d'abord l'un des
raire, et - qu'à chaque phase de réglage de chaque voie de réglage
(417, 515) effectuée pendant cette excitation tempo
(IS1 ou '?'), et d'une seconde action sur la touche
par l'excitation temporaire du symbole d'expectative
513) sur une touche (12), à laquelle elle répond
2) Pièce d'horlogerie selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la logique centrale (11) est apte à distinguer des coups brefs et des coups longs sur la touche (12), que lesdites première (415, figure 4) et seconde (417) actions sur la touche (12) auxquelles la logique centrale répond en empruntant une voie de réglage sont des coups longs, et que la logique centrale (11) réagit à une première action en coup bref (413) en établissant le mode suivant par iiicr-mentation (414).
3) Pièce d'horlogerie selon la revendication 2, caractérisée par le fait que la ou les actions ultérieures (602, 612 figure 6A) sur la touche (12) auxquelles la logique centrale (11) réagit à chaque phase de réglage sont des coups brefs, et qu'à certaines des phases de réglage, la logique centrale (11) réagit à une action ultérieure (605, 615) qui est au contraire un coup long par la sortie de la voie de réglage en cours.
4) Pièce d'horlogerie selon la revendication 1, caractérisée par le fait que la logique centrale (11) réagit l'absence de seconde action (515, figure 5) sur la touche (12) pendant l'excitation temporaire (514) du symbole d'expectative (IS1 ou '?') en établissant le mode suivant par incrémentation (516).
5) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisée par le fait que pour certaines des phases de réglage (60 à 63, figure 6A), la logique centrale (11) réagit à l'absence d'action ultérieure sur la touche (12) pendant l'excitation temporaire du symbole associé en passant à la phase de réglage suivante.
6) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée par le fait que pour certaines des phases de réglage (65 à 68, figure 6B), la logique centrale (11) réagit à une action (652) sur la touche (12) pendant l'excitation temporaire du symbole associé (IPCD) en passant à la phase de réglage suivante (66), tandis qu'elle réagit à l'absence d'une telle action sur la touche (12) par l'entrée (653) en réglage proprement dit.
7) Pièce d'horlogerie selon la revendication 6, caractérisée par le fait qu'à l'entrée (653) en réglage proprement dit, la logique centrale (11) modifie le symbole associé à ce réglage.
8) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée par le fait que pour la voie de réglage (435, figure 6A ; 535, figure 6B) du mode de temps réel (heures, minutes, secondes), la logique centrale (11) propose des phases de reglage des heures (60, 61 ; 65, 66) et des minutes (62, 63 ; 67, 68),que lors d'une modification des minutes (623, 633 ; 675, 685) elle interrompt l'entretien du temps réel en secondes, et excite finalement un symbole supplémentaire d'attente (IS1 ou '?') pour ne reprendre alors l'entretien du temps réel (644 ; 694) qu'en réponse à une action sur la touche (643 ; 693).
9) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 8, dans laquelle le dispositif d'affichage comprend trois groupes de deux caractères, caractérisée par le fait que les symboles supplémentaires désignent individuellement (IPCD, IPCU, ISCD, ISCU, figure 3) chaque caractère dans deux de ces groupes, et globalement (ITC) les deux caractères du troisième groupe, lequel est affecté à l'affichage des jours de la semaine en mode date.
10) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisée par le fait que le dispositif d'affichage (14) comporte un symbole supplémentaire (IS2) significatif de DEPART, et que pour la voie de réglage de l'un au moins des modes alarme (533) ou minuteur (532), la logique centrale (11) procède à des phases de définition d'une valeur numérique (80 à 83, figure 8 ; 90 à 93, figure 9) puis à une phase DEPART (85, 95), comprenant l'excitation du symbole DEPART (851 ; 951), après quoi la logique centrale (11) ne commence l'exécution du mode (853 ; 953) qu'au moment d'une action (852, 952) sur la touche (12) consécutivement au début de l'excitation du symbole DEPART.
11) Pièce d'horlogerie selon la revendication 10, caractérisée par le fait que dans la voie de réglage de l'un au moins des modes alarme et minuteur, la logique centrale (11) effectue en même temps que l'exécution du mode une modification du symbole de mode associé (SF2
SF4), le symbole modifié demeurant au moins partiellement excité après sortie de la voie de réglage.
12) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 10 et 11, caractérisée par le fait que le dispositif d'affichage (14) comporte un symbole supplémentaire (IS3) significatif de STOP, et que dans la voie de réglage en mode alarme ou minuteur, la logique centrale (11) effectue après la phase DEPART (85 ; 95) une phase STOP (86 ; 96), comprenant l'excitation temporaire du symbole STOP (861 ; 961), après quoi elle arrête l'exécution du mode (863 ; 963) lors d'une action sur ia touche (862 ; 962) pendant l'excitation du symbole STOP.
13) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 1 à 12, caractérisée par le fait que le dispositif d'affichage comporte un symbole supplémentaire
DEPART (IS2) et un symbole supplémentaire STOP (IS3), et que dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale (11) procède à une phase DEPART (120) comprenant l'excitation du symbole DEPART (1201), sur laquelle elle ne commence le comptage du temps qu'au moment d'une action sur la touche (1202) consécutivemert au début de l'excitation du symbole DEPART, et ensuite à une phase STOP (130) comprenant l'excitation du symbole (1301), sur laquelle elle n'interrompt le comptage du temps qu'au moment d'une action sur la touche (1302) consécutivement au début de l'excitation du symbole STOP.
14) Pièce d'horlogerie selon la revendication 13, caractérisée par le fait qu'avant la phase DEPART (120), la logique centrale (11) excite temporairement un symbole RETOUR (1100), et qu'elle réagit à l'absence d'excitation de la touche (1101) pendant l'excitation du symbole RETOUR, en procédant à la phase DEPART (120) puis à la phase STOP (130), alors qu'elle réagit à une action sur la touche (1101) pendant l'excitation du symbole RETOUR er procédant seulement à la phase DEPART (120), la phase STOP (130) intervenant alors dans un passage ultérieur (1001) par la voie de réglage en mode chronométrique
15) Piece d'horlogerie selon l'une des revendications 13 et 14, caractérisée par le fait que la logique centrale (11) est apte à mémoriser au moins un temps chronométré, que le dispositif d'affichage (14) comporte des symboles supplémentaires significatifs de LECTURE (IS6) et d'EFFACEMENT (IS7), et qu'en présence du temps chronométré mémorisé (1002), et sur passage par la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale excite temporairement le symbole LECTURE (1601), l'action sur la touche (1602) pendant cette excitation se traduisant par l'affichage temporaire (1603) du temps chronométré mémorisé, puis excite temporairement le symbole
EFFACEMENT (1604),l'action sur la touche (1605) pendant cette excitation se traduisant par l'effacement (1606) du temps chrnométré mémorisé.
16) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 13 à 15, caractérisée par le fait que le dispositif d'affichage comporte un symbole supplémentaire (IS4) significatif de TEMPS MULTIPLES, que dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique centrale effectue une phase préliminaire, où elle excite temporairement le symbole de TEMPS MULTIPLES (1004), l'action sur la touche (1005) pendant l'excitation du symbole de temps multiple se traduisant par l'introduction du nombre de temps à chronométrer (1006), auquel cas la logique centrale effectue par la suite autant de phases STOP, tandis qu'en l'absence d'action de l'usager sur le symbole
TEMPS MULTIPLE, la logique centrale (11) effectue une seule phase DEPART et une seule phase STOP, avec la mesure d'un seul temps
17) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 14 et 16, caractérisée par le fait que certains des symboles supplémentaires (IS4 ou temps multiples IS5 ou retour) demeurent au moins partiellement excités après la sortie de la voie de réglage.
18) Pièce d'horlogerie selon l'une des revendications 13 à 17, caractérisée par le fait que dans la voie de réglage en mode chronométrique, la logique de commande effectue, pendant le comptage de temps (1203) une modification du symbole de mode associé (SF3), le symbole modifié demeurantaumoins partiellement excité apres la sortie de la voie de réglage.
19) Pièce d'horlogerie, selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par le fait qu'au moins une partie des symboles supplémentaires est affichable à l'aide d'un ou plusieurs jeux de caractères alphanumériques, que la logique centrale excite sélectivement à travers un transcodage, ce qui permet un changement de langue par simple changement de transcodage.
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