FR2458834A1 - Systeme de commande automatique ou semi-automatique de machines a reports ou similaires a partir de l'implantation automatique ou semi-automatique d'amalgames d'apres les donnees initiales de mise en fabrication - Google Patents

Systeme de commande automatique ou semi-automatique de machines a reports ou similaires a partir de l'implantation automatique ou semi-automatique d'amalgames d'apres les donnees initiales de mise en fabrication Download PDF

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Abstract

SYSTEME PERMETTANT DE COMMANDER AUTOMATIQUEMENT OU SEMI-AUTOMATIQUEMENT DES MACHINES A REPORTS OU SIMILAIRES EN UTILISANT DIRECTEMENT LES DONNEES INITIALES DE MISE EN FABRICATION OU DE COMMANDE : FORMATS ET QUANTITES A PRODUIRE, DIMENSIONS UTILISABLES DES MACHINES DE PRODUCTION. COMPOSE D'UN DISPOSITIF DE RECHERCHE D'AMALGAMES POSSIBLES, SUIVI D'UN DISPOSITIF D'OPTIMISATION, PUIS D'UN DISPOSITIF DE PREPARATION D'IMPLANTATION ET D'UN DISPOSITIF DE MISE EN FORME DES RESULTATS ET DES INTERFACES NECESSAIRES A LEUR EXPLOITATION. SUIVANT LE DEGRE D'AUTOMATISATION CHERCHE, DIFFERENTES CONFIGURATIONS PRATIQUES SONT POSSIBLES, QUI UTILISENT LA TOTALITE DE CE SYSTEME OU SEULEMENT CERTAINES DE SES PARTIES.

Description

La présente invention a trait aux techniques d'impression et à leurs dérivés.
Elle concerne l'implantation automatique ou semi-automatique d'amalgames d'étiquettes ou de toutes autres surfaces découpées unitairement après impression ou traitement, en vue de la commande automatique ou semi-automatique de machi- nes a reports ou de toutes autres machines ayant des fonctions similaires.
Le problème consiste - å répartir en " amalgames " sur un nombre minimal de formes destinées à l'impression, la reproduction ou le traitement, des étiquettes (*) de formats chacune différents, avec, pour chacune d'entre elles, un nombre de n poses n différent ou non, ceci pour correspondre au mieux 4 une commande ou t un ordre de fabrication, qui porte, pour chaque format, sur une ou plusieurs sortes de quantités qui peuvent être différentes, en recherchant le minimum de pertes, - à trouver, pour cette répartition optimale ou de moindres pertes, une implantation physiquement réalisable et l utiliser cette implantation pour sa réalisation, notamment via commande directe ou indirecte de machines à reports ou de machines utilisant des procédés photomécaniques similaires.
Actuellement, cette réalisation est effectuée, de plus en plus, à l'aide de ma- chines à reports ou similaires commandées, soit au clavier, soit par ltintermé- diaire de supports d'information du genre bande ou carte perforée, coche, graphitée ou magnétique. Dans tous les cas l'implnntation de l'amalgame doit être préalablement connue ou définie ; elle est en général calculée manuellement à l'aide de moyens de calcul peu sophistiqués.
La présente invention permet de réaliser, automatiquement ou via support d'infor mations cette commande de machines à reports à partir des données brutes de fabrication ou à partir des éléments d'une commande de client ou d'un ordre de mise en fabrication, en automatisant partiellement ou totalement la recherche, l'op- timisation et l'implantation de l'amalgame et en fournissant directement les r6- sultats nécessaires, soit à la commande directe de ces machines, soit à tion directe des supports dtinformation nécessaires, soit à un opérateur chargé de les transcrire après interprétation pour certaines configurations simples.
Elle consiste à répartir ni étiquettes de chaque sorte ei dans un format support déterminé (figure 1) en respectant des relations entre leurs quantités qi pour correspondre à la commande. Dans le cas général, cette répartition n'a pas de (*) ou surfaces quelconques, rectangulaires ou non, pouvant servir de pancartes, étiquettes, panneaux, badges, circuits imprimés, etc. et plus généralement de toutes surfaces découpées unitairement après impression ou traitement, à partir de feuilles, de bandes ou de panneaux, en piles ou à la tombée d'outil de coupe.
Dans la suite du texte, sera normée étiquettes toute surface correspondant aux critères ci-dessus, quel que soit le type de support sur lequel elle pourrait être réalisée, et quelle que soit sa méthode de réalisation.
solution mathématique exacte. La répartition sera calculée par itérations successives à partir de résultats initiaux trop faibles ou trop forts et les solutions de ces itérations seront approchées, au mieux, à une unité près, pour chacun des nombres de poses ni calculés. Ces solutions seront corrigées en eospa- rant les quantités qi qu'elles permettent de réaliser aux quantités demandées, avant de choisir, parmi les solutions possibles s'il en existe plusieurs, celles dont les pertes de matière correspondent à un amalgame physiquement réalisable, puis de retenir, pour le tracé et l'implantation, la ou les solutions de moindres pertes, dont le choix définitif peut être laissé à l'opérateur.
Le système, objet de l'invention, comporte quatre phases principales - 1) Phase de recherche de propositions successives d'amalganes à nombre de poses croissant ou décroissant, qui correspondent à des critères théoriques de faisabilité - 2) Phase d'optimisation de ces propositions en fonction des quantités respec tiveient d.iandées, et retenue des propositions de moindres pertes - 3) Phase d'implantation consistant à choisir, parmi les propositions retenues, celle de moindres pertes qui puisse tenir physiquement dans la forme support de réalisation - ou celles de moindres pertes s'il en existe plusieurs - puis à calculer les données de cette implantation - 4) Phase de mise en forme des résultats pour exploitation ultérieure par édition ou/et trac ou/et obtention d'un support quelconque d'information ou/et connde directe ou différée de machines à reports ou similaires.
Selon le degré d'automatisation souhaité, seules les phases 1 et 2, ou 1, 2 et 3 peuvent être utilisées, les phases 3 et 4 ou 4 pouvant rester manuelles, selon le niveau d investissement s envisagé.
Phase i : recherche
Les données initiales sont les formats alibi dtencombrezent de chaque sorte i d'étiquettes ei, donc les surfaces si de ces étiquettes ; leurs quantités respectives qi et les dimensions de la surface Sf du format support d'impression ou de réalisation. Il faut calculer le nombre de poses ni de chaque étiquette qui tiendra au mieux dans le format support en respectant au plus près les quantités demandées ; ceci steffectuera à à partir de valeurs approchées nI, obtenues à une unité près par itérations successives obéissant à des lois de croissance ou de décroissance appliquées à un facteur d'itération k ou k'.
L'analyse du problème montre qu'il existe deux relations fondamentales pour déterminer les valeurs de ni :
Figure img00030001

avec qmin = le le + petit des qi et 1 # k
Figure img00030002

arrondi nathénatique à l'unité ou bien partie entière du résultat avec (2a) : Qf - qisisf et k' L 1 bien qu'il soit possible, avec ces deux relations, d'utiliser indifféremment l'arrondi mathématique à l'unité ou la partie entière des résultats, il est préférable d'utiliser l'arrondi mathématique qui fournit des approxintions successives (à valeurs de k décroissantes ou de k' croissante8) plus réguliè- res ; ceci vaut sans restrictions avec la relation (1) dont les résultats initiaux sont en général trop faibles et dont les solutions décroissent, avec la relation (2), dont les résultats initiaux sont en général trop forts, la premiè- re solution peut être prise avec la partie entière seule, les solutions suivan- tes 6tant prises avec l'arrondi mathématique dés que leur valeur est inférieure à cette première solution (bien qu'il soit possible d'utiliser l'arrondi dès le début des opérations).
Méthodes d'itération
Entre deux seuils de pertes en surface des forses-supports et des matières, dont ltun, PO peut correspondre à des pertes nulles, et l'autre, P1, à des pertes maximales admissibles ou déterminées en fonction des différentes solutions elles-mêmes - par exemple par leur nombre et les propres pertes tutelles entrainent - l'itération doit fournir des valeurs des n'i aussi rapprochées
que possible, pour ne pas passer à travers une solution optimale, ceci d'autant plus que la lise en oeuvre sera plus automatisée. Avec des réalisations laissant place à l'intervention d'un opérateur pour certains choix, les itéra- tions pourront être plus rapidement croissantes ou décroissantes, l'optimisation en phase 2 étant toujours possible sans difficultés.
Selon le degré d'automatisation souhaité, et selon la puissance de calcul des moyens mis en oeuvre, on est ainsi amené à prévoir deux groupes de méthodes dtitération pour chacune des relations précédentes : une itération fine, bien adaptée aux systèmes rapides, une itération grossière, mieux adaptée aux systè- mes lents.
Itérations fines elles sont obtenues en utilisant les relations (1) ou (2) avant application de l'arrondi mathématique ou avant passage à la partie entière. Si l'on appelle si la valeur qui correspond à nI avant arrondi, il existe pour chaque mi une valeur telle que :: < + &alpha; m@ et avec, pour (1) 0,25 / Oc L 0,75 pour (2) 0,25 L- Oc Z 0,75 alors, pour la prise itération, la valeur gp telle que sip soit maximal pour &alpha; négatif et minimal pour &alpha;;positif (ou que sip coresponde au m'ip maximal) fournit l'incrément de k , et (4) kp+1 = gpkp incrément les ni résultats de (i) ou décrémente les ni résultats de (2) de telle tanière que la aodification porte à chaque fois sur le n' le moins sur ou sous-estimé de l'amalgame et réduise ou augmente les autres ni dans les Ces proportions.
A partir de la relation (1), la valeur de k sera préalablement portée au plus fort des entiers qui amène l'amalgame composé des ni correspondants au voisinage, par valeurs inférieures, des pertes P1 précédemment définies comme maximum cet entier le plus fort pouvant être 1 dans certains cas. Avec la relation (2), le premier résultat (k t 1) peut être pris en partie entière corse dit plus haut. Les itérations seront poursuivies, avec la relation (1) jusqu'au niveau de pertes PO considéré cosys minimal, avec la relation (2) jusqu'au niveau de pertes P1. Seront cansaraes pour vérifications au stade 2 les n'iq correspon- dant aux n'ip de ces intervalles de pertes, après élimination des solutions redondantes.
itérations grossières
La plus simple des possibilités consiste à donner à g une valeur arbitraire voisine de 1,00 (plus grande que 1,00 avec (1), plus petite que 1,00 avec (2), située par exemple dans l'intervalle 1 + 0,25, fixe dans l'intervalle de pertes Po P1 et à l'utiliser respectivement à partir des relations de base (1) ou (2) avec, pour (1), une incrémentation égalable de k par valeurs entières pour atteindre le seuil P1 sans le dépasser.Cette possibilité, bien adaptée aux très petits systèmes, peut entraîner des écarts tels (si l'incrément est toujours fixe) que les solutions trouvées soient difficiles à optimiser en stade 2 sans préjuger des opérations de ce stade, ou, au contraire, conduire à des solutions trop onéreuses pour ces mêmes systèmes.
Le type d'itération retenue, parmi les possibles, consiste à calculer les pertes de surface à chaque proposition à partir de la valeur de Sf et de la surface de la proposition et à utiliser les pertes ou les relations entre S et Sf sous forme de coeffici p ent ou de pourcentage, avec ou sans corrections, pour agir sur la valeur de k dans le sens voulu. Ceci conduit à des corrections differentes selon que la relation ioula relation 2 est utilisée. Dans les deux cas, on aura d'abord, à la p-ième itération, une relation identique à (4) #n's.
kp+1 = gpkp ayant ici la forme (5) gp = 1
p et la valeur de # dépendant à la fois du type de relation (1) ou (2) utilisé et de la forme donnée à Pp, en % de la surface ou en valeur par rapport à cette surface.
Avec la relation (1), dans le cas par exemple où P est en %, on prendra S avec 100 # ss # 400, et si Pp est en valeur (Sf pris pour 1), 0,25 # # # 1.
Pour accélérer le processus d'itération lors des fortes valeurs de Pp, on pourra prendre, entre autres, tant que P est supérieur à Sf/2, les valeurs p (6) gp 50 /(100 - Pp) (p ici en
gp min - 0 avec 1,2 Z r # 1,5, la valeur gpmin étant destinées à éviter des oscillations du système. On pourra également atteindre un seuil de pertes suffisant en don riant à gp des valeurs initiales entières et arbitraires.
Les valeurs de gp introduites par (5) permettent d'obtenir des propositions d'amalgames n'ip dont celles n'iq de pertes comprises entre P0 et P1 sont d'autant plus rapprochées que -P est plus faible, propositions bien adaptées au stade d'
p optimisation ultérieur; ces itérations seront poussées, soit jusqu'à Pp voisin de PO, soit jusqu'à rencontrer deux solutions n'ip identiques
Avec la relation (2), ce qui a été dit de la relation (5) ci-dessus reste valable aux signes près de # (et ss) qui doivent ici être négatifs, ceci supposé que le premier calcul utilise la partie entière de (2) ou que les premiers résultats, pris en arrondis, ont été diminués pour correspondre à des pertes positives (donc vraies), les itérations suivantes étant prises avec leurs arrondis mathémstiques. Avec cette relation (2), les itérations seront arrêtées quand le niveau de pertes atteint sera voisin de et et les solutions niq stockées pour traitement au stade 2.
iq
Le même type dtitération, avec k calculé conne (4) et (5, 6 ), peut être appli p qué å la relation (2), résultats pris en parties entières, au prix d'une mauvaise régularité de digression des propositions successives. Cette possibilité n'est intéressante que pour de tout petits systèmes, en se contentant de une ou deux itérations, le choix des solutions étant alors manuel. Pour ces mêmes systèmes, le premier résultat obtenu avec (2) peut être également utilisé directement en vue d'une optimisation en stade 2 avec intervention de ltopérateur.
Les cas particuliers (déséquilibre trop grand entre les quantités demandées, surfaces trop grandes par rapport au format) se traduisent - quand on utilise la relation (2) par le fait qu'un au moins des ni est nul dès le premier calcul - quand on utilise la relation (1) par le fait que la surface correspondant au premier résultat (soit ss ainsi avec k0 =1) est supérieure à celle du format support de fabrication, ce qui se traduit par des pertes négatives - en k ou inférieures A 1 - en rapport de surfaces Sf/So -
Ils sont solubles - outre l'intervention d'un opérateur - en phase 2 si la relation (2) est seule utilisée - de la manière suivante : avec la relation (2), en comptant pour 1 les ni nuls sur des propositions pour lesquelles les pertes sont suffisantes pour que la surface correspondante puisse y être ajoutée, avec la relation (1) en incrémentant les ni égaux å 1, puis en reprenant la relation de base (1) avec k0 = 1 jusqu'à des niveaux de pertes suffisants pour que la réalisation physique soit possible. L'impossibilité totale se traduit alors, dans l'un ou/et l'autre cas, par des pertes constamment négatives. Les déséquilibres à la demande se traduisent par l'impression ou la réalisation en surnombre des étiquettes de qi les plus faibles.
Lmploi de ltune ou l'autre des relations (1) ou (2) dans la mise en oeuvre du procédé.
Si l'on utilise les processus d'itération fine, les relations (1) et (2) conduisent nécessairement å des solutions redondantes et ltemploi de l'une ou suffit, si le niveauede pertes P et P1 ont été convenablement choisis. Dans le
o P1 cas contraire, (2) fournit plus aisément des solutions A faible niveau de pertes et (1) à niveaux de pertes élevées et il peut ne pas être inutile de les employer eonJointement, au moins aux frontières des intervalles de pertes admissibles.
Si lion utilise les processus dtitération grossière - plus rapides - les soluti ons respectives de (1) et (2) ne sont pas nécessairement redondantes dans tous les cas, et peut être utile d'utiliser conjointement ces relations, quitte à éliminer les doublets avant passage en phase 2.
Phase 2 : optimisation des résultats précédents en fonction des quantités dean- dées.
Cette phase consiste essentiellement à rééqulibrer les amalgames proposés en phase 1 de manière qutaucune des quantités réalisées ne soit inférieure à la demande et que les écarts entre quantités demandées et quantités réalisées soient aussi faibles que possible. Pour tenir compte des possibilités de déséquilibre entre les quantités demandées - déséquilibres qui ne sont pas compensés, ni parfois décelés, en phase 1 - elle débutera par l'augmentation des ni trop faibles par rapport aux autres pour ensuite diminuer les ni que cette augmentation aurait rendus trop forts.Ceci consiste, pour chacune des solutions d'amalgames niq retenue en phase 1, à réaliser les opérations suivantes - calculer la quantité de feuilles ou de surfaces-support de telle manière qu' aucun des q'i de la proposition q (ou giq) ne soit inférieur au qi demandé,
Figure img00070001

mat = celui des rapports
le plus grand - calculer tous les q'i correspondants, soit (7a) - vérifier qu'il n'existe pas de n'j (j#i) trop faible, pour cela
- écarter le ou les q'i tels que q'i/qi ##1
- calculer la moyenne des différences des q'k restants (k &num;; j, k#i)
aux qk demandés correspondants, soit
(7b) m = #(q'k-qk) # 1 k@ = nombre des k
k
- comparer M à QQ, corrigé éventuellement d'un coefficient # empirique tel que 0,5 # # # 1
- si # Qf # m, augmenter le ou les n'j d'une unité, recalculer le Qf cor
respondant avec (7), puis passer en (8) ci-dessous - calculer pour tous les q'i les différences (N.B. ce calcul peut être remp (8) #i = q'i - qi (lacé par un calcul équivalent
(utilisant en 7b, 8 - si, pour un ou plusieurs i (les rapports entre q'i et qi au (8a) Q@ / ## (lieu de leurs diférences et
f # # i (en modifiant les inégalités.
- diminuer le ou les ni correspondants d'une unité, puis retourner en 7
en prenant comme ni les nouvelles valeurs obtenues, aller ensuite di
retecnent de (7) à (8).
Selon les matériels utilisés pour la mise en oeuvre, et suivant le fait que les solutions initiales n'iq' q1 proviennent de la relation (1) ou (2), ltoptimisati- on sera arrêtée, soit dès la x0 itération, soit dès que deux résultats successifs sont identiques, en prenant 3 # x # 5
Dans la majorité des cas, la phase 2 fera apparaître comme redondantes - après correction - un certain nombre de propositions préalablement retenues pour lesquelles il faudra suppriMer les redondances avant phase suivante.
Phase 3 : phase de tri des propositions et de préparation du tracé
Dans le cas général, en plus des marges nécessaires à la fabrication, un amalga-
Me ne tient physiquement dans une forme - en général rectangulaire - qu'avec un minimum de pertes sous forme de surfaces non imprimées ou non traitées, auxquel- les il faudra ajouter les pertes indirectes dues aux écarts entre quantités de mandées et quantités réalisées.En pratique, les pertes initiales PO ne sont jasais inférieures, en pourcentage de la surface-support, à la moyenne des pertes qui seraient obtenues, dans le même format-support, en utilisant une forMe séparée par type d'étiquette et en la remplissant au maximum, de telle sorte que cette moyenne peut entre utilisée pour déterminer P dans un système intégralement
o automatisé, si Pi est le % de pertes de chaque type d'étiquette ei, supposée utilisée seule dans la surface Sf en n poses la remplissant au maximum (9) P@ = #Pi/i
Les pertes maximales admissibles P1 dépendent égalent du format des étiquettes et de leur répartition, elles ne peuvent astre fixées que d'après des résultats statistiques, nais rien n'empêche de fixer arbitrairement une valeur à P1, de telle manière qu'su stade 2 aucune solution de pertes supérieures ne soit retenue et que, s'il n'existe pas de solutions à pertes inférieures, la de ande soit rejetée et l'opérateur prévenu.En pratique, on pourra fixer P1 au niveau de pertes correspondant au plus fort des encombrements (ligne ou colonne) d'un rang entier de l'étiquette de plus grande surface placé dans l'une ou l'autre des di mendions du support, cet encombrement étant exprimé en % de Si avec, par sécuri- té, une valeur ondonle de l'ordre de 30 pour P1
Les valeurs de PO et P1 ainsi déterminées ne tiennent pas compte des pertes indirectos en étiquettes trop imprimées.
La recherche de faisabilité physique des amalgames s'effectuera en commençant par celle des propositions niq de pertes les plus proches de PO, puis en passant successivement aux propositions de pertes immédiatement supérieures, jusqu'à la première des solutions possibles. Seront ensuite comparées les pertes totales
(pertes en surface + pertes indirectes) de cette solution et des solutions les plus proches dont les pertes en surface sont immédiatement supérieures et, si l'une d'entre elles est au moins aussi avantageuse, sa recherche de tracé sera également effectuée.La ou les solutions retenues pourront être systématiquement éditées pour contrôle avant phase 4, avec pour chacune ses pertes.
La préparation du tracé s'effectue en respectant, stil y a lieu, les relations de sens entre étiquettes et support, puis en calculant combien d'étiquettes de chaque sorte tiennent dans chacune des dimensions du support, ainsi que les dimensions des restes disponibles en bout de chaque "ligne" ou "colonne" ainsi définie. Ceci peut être effectué par n'importe quelle expression classique. Il convient de signaler à ltoperateur les restes disponibles s'ils sont voisins de la dimension d'une étiquette pour lui permettre de donner des ordre de modification éventuelle du format du support pour éviter d'introduire de fortes pertes pour quelques mm manquants.
Pour chacune des solutions njq retenues (ceci pouvant être indifféremment effectué avant toute recherche de faisabilité ou au fur et à mesure), il faut déeosF pter ceux des ni qui tiennent par rangs entiers, noter le nombre de rangs correspondants, leur encombrement et chacun des restes ; pour les ni restants, sont à décompter chacun d'entre eux, l'encombrement du rang que chacun utilise par tellement et celui de chacun des restes. En calcul automatique, il est utile d'effectuer ces recherches dans chaque sens, étiquettes rangées "en lignes11 puis "en colonnes", étant donné que le sens de faisabilité optimale est rarement pré- visible avec certitude.Si les tracés sont prévus manuellement - chose indispensable avec de petits systèmes trop peu puissants - la phase 3 pourra être arrê tée aux calculs préalables précédents (édition des rangs entiers, des rangs partiellement pleins et des restes) ou même en deçt (édition du nombre dtéti- quettes de chaque sorte qui tiennent dans chacune des dimensions du format, auc les dimensions des restes correspondants).
En calcul automatique, outre l'emploi possible, à partir de ces simples données, dune méthode de tracé existante, on pourra utiliser le processus suivant 1) décompter les lignes entières calculées Irécédemsent, lesmémoriser à part et calculer la hauteur encore disponible, dans laquelle il faudra faire tenir le reste des étiquettes, 2) vérifier stil tient ou non des étiquettes en bout de ces lignes, les mémori- ser et les décompter stil y a lieu 3) vérifier si les étiquettes restantes tiennent en lignes, sans autre manipulation, dans la hauteur restant disponible 4) même vérification, mais en colonnes 5) ordonner les lignes incomplètes (par définition, une seule sorte d'étiquettes par ligne) par surface utilisée décroissante, décompter à part les étiquettes isolées 6) vérifier, d'abord pour chacune des lignes de ces étiquettesv puis pour chaque couple de lignes de longueur voisine, puis, etc. si des étiquettes de for mat inférieur - d'abord isolées puis groupées par ordre dtencombrement unitaire décroissant - tiennent dans les blancs restants ; dans le cas de plusieurs solutions, retenir celle de moindres blancs restants 7) réitérer ltopération 6 en raccourcissant les lignes les plus longues par suppression d'une ou plusieurs étiquettes et report de celle(s)-ci à une autre ligne, ceci dans la mesure où cette méthode permet de raccourcir les blancs en bout de lignes 8) réitérer les opérations depuis 1 en inversant lignes et colonnes, hauteur et largeur, et en essayant une répartition en colonnes, de la même manière
Il va de soi que les opérations ci-dessus doivent être arrêtées à la première d'entre elles pour laquelle les étiquettes ont toutes été placées (reste nul) 9) si l'ensemble des opérations ci-dessus n'a pas conduit à une solution, recom menacer avec celle des propositions n'iq de pertes immédiatement supérieures.
10) après avoir obtenu un amalgame réalisable, vérifier s'il est possible d'utiliser un format standard de dimensions légèrement inférieures à celui initialement prévu.
Dans les cas où il nty a pas à respecter de relations de sens entre les étiquettes et le support, les phases 6 et 7 du calcul ci-dessus, si elles sont nécessaires, doivent tenir compte de la possibilité de ranger dans l'un ou l'autre sens les étiquettes restantes de manière à combler les blancs.
Phase 4 : mise en forme des résultats
Dans tous les cas, sont à éditer à l'issue de chacune des phases précédentes ceux des résultats nécessaires à toute exploitation ultérieure, l'édition minimale en fin de phase 3 étant la composition de l'amalgame (ou des amalgames)-solutioe les quantités calculées qi correspondantes, les niveaux de pertes, la quantité de feuilles (ou formes) support nécessaires à la fabrication.Dans les cas dtau tciatisation partielle, notamment avec utilisation seule des phases 1 et 2 avec 3 incomplète (fréquente avec de petits systèmes), l'addition devra comprendre les valeurs nécessaires aux interventions de ltopSrateur et le système prévoir la possibilité d'optimisations semi-manuelles, notamsent en phase 2 où les choix entre solutions issues de phase 1 peuvent sans difficultés pour lui être laissés à un opérateur.
Dans les cas où le tracé automatique de l'amalgame, ou son enregistrement auto mastique sur un support d'information quelconque, ou son exploitation directe par les organes d'entrée d'une machine à reports est prévue, cette phase 4 consistera en outre à transcrire les données de l'amalgame-solution (formats, implantation, emplacement des blancs, format support s'il y a lieu) en un langage com préhensible par l'organe de tracé, d'enregistrement ou d'entrée prévu. Ceci s'effectuera généralement avec un interface existant.
Solution des cas rejetés en phase 1 (ou 2) : dédoublement des problèmes sans solution possible en une seule forme
Les solutions possibles sont nombreuses, et les plus automatisées correspondent à une complexité que ne justifie pas l'importance - marginale # à quelques pour-cent des cas - de ce problème particulier.Il consiste qj, sj scinder la demande en deux groupes Qf1, Sj > minimum 8f1 et qk, skv Qf2' Sf2 ou plus encore de manière à rendre le problème soluble avec le p'i de pertes, chaque problème résultant tant par la suite traité séparément sur une surface-support différente de format identique ou non au format initial
Une de ces solutions consiste à utiliser l'une des relations (1) ou (2) à partir d'un format de support multiple du format prévu et à inclure dans les calculs itSratifs ceux des surfaces de chacune des sortes d'étiquettes demandées, ramenées en % du support ; dans la proposition d'amalgame considérée (lo) P4 = lOQ ( nisi/Sf ) Pi en % du support puis, dans la zone de calculs dont les pertes de matière seront jugées acceptables - proches de l'intervalle nPo - nP1 si la surface choisie est multiple n de la surface initiale - à répartir les étiquettes (ou même les poses) en n groupes dont les encombrements d'amalgame correspondront chacun approximativement au 1/n de la surface totale prise en compte.Le calcul peut être indifférem- ment effectué à partir des Pi ou à à partir de la comparaison des surfaces nisi de chaque étiquette dans chacune des propositions successives d'amalgames globaux et de leur répartition en les n groupes nécessaires au traitement ultérieur de n problèmes partiels.
Eusse en ouvre des procédés objet de l'invention
Selon le degré d'automatisation souhaité, différentes formules de mise en oeuvre sont possibles, qui utilisent la totalité des phases de recherche, d'optimisation et de mise en forme avec simple surveillance de la part d'opOrateurs, ou qui limitent l'automaticité en laissant à l'opérateur des interventions ou des choix croissants, à des moments bien déterminés du processus.
En pratique, pour éviter de fixer tout b fait arbitrairement les niveaux des pertes PO et P1, la phase 3 sera scindée en deux parties. La première partie, concernant le calcul, par sorte d'étiquettes, du nombre qutil en tient dans chacune des dimensions du format, ainsi que le calcul de PO et P1 qui peut être combiné avec le précédent, sera effectuée avant la phase 1 au cours de laquelle PO et P1 seront utilisés, le reste des calculs étant mémorisé (ou édité) pour exploitation ultérieure. La seconde partie, qui exploite les résultats des phases 1 et 2, sera employée à sa place.De la même manière, les calculs de fractionnement d'a- malgame, si les propositions initiales ne tiennent pas, seront effectués en fin de la première tentative de recherche en phase 1, de telle sorte que les résul tats du fractionnement soient successivement traités par ltenseible du système.
On en arrive ainsi, outre les périphériques d'entrée (clavier ou autres) et de sortie (imprimante, écran, traceur, enregistreur ou autres) équipés de leurs interfaces éventuels et abstraction faite de tout affichage ou édition en cours de processus pour contrôle ou intervention, à la structure générale de la figure
2 OÙ I sont les interfaces d'entrée et de sortie, A le dispositif utilisant la 1&commat;; partie de la phase 3 pour calculer, entre autres, PO et P1 (intervalle de pertes acceptables), B le dispositif utilisant la phase 1 (le choix des relations et du type d'itération étant quelconque) et en conservant les propositions à l'intérieur de cet intervalle, B' le calculateur de fractionnement si la dean- de initiale est rejetée par B perce que trop forte en surfaces, C le dispositif d'optimisation utilisant la phase 2, D et E ceux qui emploient respectivement les phases 3 pour. calculer les élén.nts de la répartition physique de l'amalga- me et 4 pour mettre les résultats en forme définitive.L'ensemble des dispositifs A à E constitue le système de commande proprement dit, tout organe extéri- eur étant périphérique d'entrée de données, de sortie de résultats ou interface appartenant à l'ensemble Machine à reports (ou similaire) équipé de ses organes normaux de contre et de commande.
Différentes configurations
La configuration la plus évoluée correspond au schéma de la figure 2 commue cidessus, le processus-étant intégralement automatisé, et les interventions de l'opérateur tant limitées à la décision de scinder ou non la deande (s'il y a lieu, entre B et B), à celle d'utiliser celui des amalgames de gindres pertes en surface seule ou de moindres pertes globales en fin de D (si plusieurs solutions existent) et à celle d'exploiter les résultats de gestion fournis par le système (quantités de feuilles ou unités de support d'impression ou de fabrication, quantités livrées pour chaque étiquette, nombre de chaque 4tiquet- te dans l'amalgame, valeur des pertes, format du support) ainsi que, s'il est fourni, d'utiliser le support d'information intermédiaire entre système de commande et machine, notaient en cas de commande différée.
Les autres configurations possibles sont toutes des simplifications de la précédente, avec lesquelles les interventions de l'opérateur sont de plus en plus nombreuses et i portantes. Sont notamment utilisables les configurations suivan- tes, entre autres possibles qu'il convient éventuellement de ne pas écarter ai celle avec laquelle la phase 4 est limitée à l'édition pure et simple des r- sultats, les éléments nécessaires à la commande étant ultérieurement transcris celle avec laquelle le dispositif E est limité à l'édition des résultats,
D limité à son début de recherches, et où l'automaticité est maintenue, intégra lement ou non, en phases A - B - C, l'implantation physique de l'amalgame étant laissée à l'opérateur au vu des résultats de A, B, C, D (début) (figure 3) c) la même configuration que ci-dessus, où le choix des propositions n traiter en phase 2 (C) est laissé n l'opérateur ainsi qu'éventuellement l'interprétation des résultats de cette même phase 2 d) la même configuration que c ci-dessus, où les décisions d'optimisation en phase 2 (décisions d'augmentation ou de diminution de certains des ni au vu des écarts ou des quantités qi) sont laissées à l'opérateur ainsi qu'éventuellement les ordres d'itération de cette même phase.
e) la même configuration que d ci-dessus où, en plus, sont laissés à l'opérateur le déclenchement des itérations en phase 1 et le choix des propositions, issues de phase 1, qui seront traitées en phase 2, le dispositif D étant présent ou non.
Ces trois dernières configurations, qui font appel à des matériels de moins en moins puissants, doivent fournir à l'opérateur les éléments, etraits des résul- tats au cours des opérations, sont il a besoin pour diriger la suite des opérations et lui permettre centrer ordres ou résultats d'intervention Avec ces configurations, les modes dtitEration grossière sont préférables pour les relations (1) et (2), et il peut être utile, dans l'intervalle PoP1, de fournir les résultats issus de chacune de ces relations, après élimination des redondances, ou même, dans le cas de la configuration e, de permettre l'utilisation d'une seule de ces relations (2, plus rapide dans ce cas) avec appel a l'autre pour pouvoir quand c'est utile lever des ambiguités. Avec ces mêmes configurations, le dispositif B', utilisé pour dédoubler (ou démultiplier) les demandes trop fortes, peut être éventuellement omis ou prévu à part. (figure 4)
Avec la configuration de base, ainsi que ses dérivées a et b, il est indifférent d'utiliser en phase 1 la relation (1) ou (2)ietO%A l'autre des méthodes d'i itération, bien que les itérations fines soient préférables ; si les itérations grossières sont employées, il faut alors utiliser successivement (1) et (2), puis éliminer de leurs résultats les solutions redondantes.
Le processus, objet de l'invention s'applique à la commande de toute machine destinte à implanter, sur une forme-mère, un certain nombre de poses correspondant chacune à un élément (étiquette, surface quelconque, circuit imprimé, etc) qui doit être réalisé conjointement avec d'autres en un nombre d'exemplaires suffisaut pour justifier une mise en production, les données initiales (formats, quantités) tant celles de tous les problèmes similaires, quel que soit le type de découpe ultérieur, si ses caractéristiques sont prises en compte lors de la phase 3 du precessus.
Enfin, le système peut être couplé, directement ou indirectement, à une chaine de traitements automatiques ou semi-automatiques incluant la solution de problèmes plus généraux, que ceux-ci aient trait d la production, A la gestion ou qu'ils traitent d'autres problèmes.

Claims (3)

REUENDCATIONS
1 - système permettant de commander automatiquement ou semi automatiquement des machines à reports ou similaires en utilisant directement les données initiales de mise en fabrication (ou les éléments d'une commande client) : formats et quantités à produire, dimensions utiles des machines de production, respectivement si, qi, Sf (i=1, ...), le nombre des formats différents possibles et des quantités différentes des surfaces s produire n'étant pas limité par le système lui-même dans son principe générale et la forme des si tétant pas nécessairement simple.
ce système est caractérisé par le fait que la recherche, l'optimisation, la définition et le tracé éventuel de itamaigame peuvent y être totalement ou partiellement automatisés et mis en forme pour être accepté, directement ou indirectement par les organes d'entrée de machines à reports ou similaires ; cet amalgame étant constitué, pour chacune des surfaces si à produire en quantité qi, d'un nombre de poses ni dans la forme-mère de réalisation.
2 - les principes de base utilisés caractérisés par l'emploi dans ce système ou tout système de ce type, de comparaisons de quantités possibles q'i aux quantités demandées qi, directement ou par l'intermédiaire d'une quantité de fabrication, en respectant un format maximal défini par les machines utilisables, dans le sens général d'une réalisation à pertes de matières minimales 3 - les moyens utilisés dans les systèmes définis en 1, en phase recherche caractérisés par l'utilisation de calculs itératifs pour définir les ni, à partir de relations de base fournissant des valeurs successivement approchées
Figure img00140001
avec Qf = /-qisi/Sf (2a) dans lesquelles les crochets représentent, soit l'arrondi mathématique t l'unité, soit la partie entière des résultats ; ces calculs itératifs étant utilisés dans tous les cas, sauf dans de tout petits systèmes où il est possible de j'utiliser que (2) avec k = 1 et les valeurs en partie entière 4 - les types d'itérations utilisés avec les relations ci-dessus (incrémentations pour (1), décrémentations pour (2)) caractérisés par l'obtention des valeurs successives de k a partir dtune relation de type kp+1 Rk avec k0 pouvant être 1 et où gp peut être déterminé de différentes manières, entre autres - à partir des valeurs précédentes des ni, avant arrondis ou prise de partie entière, ou de toute autre manière qui ait pour résultat d'incrémenter d'une unité, à chaque itération, le plus fort des n en question - à partir des pertes de surface de production définies par les relations entre la surface nipsi de l'amalgame à l'itération p et la surface Sf, sous la forme gp + 2 P ss = constante empirique ou
p arbitraire - arbitrairement, d'une manière constante ou non, de manière que les variations de k permettent le balayage des solutions d'analgRmes possibles (* en bas) 4 - les solutions retenues dans cette phase du processus caractérisées par le fait qutelles se situent dans un intervalles de pertes de matière P P dont les bornes sont définies, soit arbitrairement, soit à partir de comparaisons entre les formats si à produire et le format support Sf, soit d'après des valeurs empiriques 5 - les moyens utilisés dans ces systèmes, en phase optimisation caractérisés par l'utilisation, à titre de base de comparaisons, de la quantité de feuilles supports Qf nécessaire à la réalisation, avec optimisations conjuguées de cette quantité et des quantités gi obtenues par ra aux quantités qi deran- dées pour correction conjointe des ni obtenus en phase recherche et retenus, ou même de toute proposition arbitraire introduite par un opérateur cette optimisation pouvant, en principe, débuter par la correction des déséquili- bres de la demande par augmentation de certains des nt, puis être réitéré. dans le sens d'une correction des déséquilibres résiduels (introduits en phase recherche) par diminution des n' dont les q' correspondants seraient trop forts en tenant compte, dans l'un et l'autre cas, de la base de comparaisons ci-dessus, affectée ou non dtun coefficient correcteur ; l'arrêt de ltoptimisation intervenant, soit dès que deux solutions consécutives sont identiques à partir des mêmes données, soit au bout dtun certain nombre de passages, suivant les systèmes de mise en oeuvre employés 6 - les moyens utilisés dans ces systèmes, en phase implantation caractérisés par le calcul préalable du nombre de chaque si qui tient dans chacune des dimensions du format-supportl(forme-mère) puis des pertes correspondantes en dimensions et par la comparaison i å i des ni å implanter et des si correspondants de manière à obtenir un rangement par lignes ou colonnes entières en premier, quand il est possible, puis la recherche méthodique du remplissage des blancs restants b partir des ni restants, classés par Qlre de surfaces individuelles décroissantes et par le fait annexe que ne seront retenues in fine que la ou les propositions de moindres pertes dont ltamalgame est réalisable physiquement, avec mémorisation de ceux de leurs éléments annexes nécessaires aux fins ultérieures d'exploitation et de gestion (*) un niveau de pertes minimal P pouvant être atteint à l'aide de décrémenta- tions plus raides quand la relation (1) est utilisée, ceci quelle que soit la méthode de définition de 7 - les moyens de mise en oeuvre des systèmes caractérisés par l'utilisation, pour réaliser les phases de recherche, dtoptimisation et d'implantation, d'un organe de calcul (logique câblée, circuits intégrés ou tout autre système) précédé et suivi d'interfaces permettant l'entrée des données et d'éventuelles instructions de contrôle, l'affichage ou/et l'impression des résultats intermédiaires utiles à l'exploitation, et la mise en forme des résul- tats d'exploitation dans un langage accessible aux organes d'entrée des machines à reports, éventuellement avec passage par un intermédiaire support d'informations, ceci avec ou sans tracé automatique de l'amalgame (figure 2) 8 - les différentes possibilités de configurations que ces moyens permettent c'est une des caractéristiques du système de se prêter å la réalisation possible de plusieurs types de configurations, depuis la plus complète (figure 2) assurant une commande entièrement autoiatique de machines à reports ou similaires, directe ou différée, les autres tant obtenues par simplifications successives portant natarpblrt - sur l'implantation laissée aux soins de l'opérateur (figure 3) les recherches préparatoires au tracé (D-début) étant plus ou moins automatisées - sur la possibilité de laisser A cet opérateur des interventions en phase d'op- timisation (figure 4) ou neae la maîtrise des déclenchements des itérations suc- cessives en phase recherche, ainsi que certaines décisions ou choix ; la mise en forme des résultats en langage accessible å la machine t reports étant alors assurée par les organes d'entrée de cette dernière, sans qu'il y ait t privilégier une configurstion plutôt qutune autre parmi les possibles, ces configurations étant alors dictées tant par les possibilités des systèmes de calcul eMplo- 9s8 que par les niveaux d'investissements possibles.
9 - possibilités de couplage du système caractérisées par la possibilité d'ajouter, intérieurement ou extérieurement aux systèmes, avec utilisation directe ou indirecte des résultats, des éléments des tinés à résoudre automatiquement ou semi-automatiquenent des problèmes connexes de production ou de gestion de manière å constituer une chaine de traitements complète, ou inversement, par la possibilité d'intégrer le présent système à des ensembles plus généraux dans le même but.
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