Procédé de fabrication d'appliques pour cadrans métalliques, fonds de boîtes etc. On emploie, dans la fabrication de cer tains genres de cadrans métalliques pour la décoration de certains fonds de boîtes etc., des appliques, découpées indépendamment du ca dran fond etc. et qui sont ensuite fixées à ceux-ci au moyen de pieds. Jusqu'ici, ces pieds étaient rapportés et; ceci généralement par soudure. Cette manière de faire, à côté du fait qu'elle exige une main d'oeuvre qualifiée, a le gros inconvénient de ne pouvoir livrer des appliques rigoureusement interchangeables.
Si donc, à l'usage, un pied d'applique vient à tomber, il est impossible au rhabilleur de re mettre, par exemple le cadran en état. Ce dernier doit être renvoyé en fabrique.
Le procédé, objet de la présente invention, a pour but d'éviter l'emploi de pieds rappor tés et d'obtenir des appliques rigoureusement interchangeables. Pour arriver à ces fins, on sort les pieds des appliques de la masse à l'étampe et ceci en position prédéterminée re lativement à des repères de fabrication que comporte l'applique en travail.
Le dessin ci-annexé montre, à titre d'exemple, une phase de fabrication d'appli- ques faites d'après le procédé, objet de la pré sente invention.
Les appliques, en l'occurence le chiffre 7, sont sorties d'une bande de métal a qu'un dis positif d'avancement automatique pousse d'un mouvement linéaire saccadé sous une étampe. Cette dernière, à chaque coup de bielle, dé coupe dans la bande deux trous de travail b et sort en même temps de la masse du métal deux pieds c qui serviront plus tard à la fixation du chiffre-applique au cadran au quel il est destiné.
Dans le cas particulier, l'étampe ébauche encore deux trous triangulaires qui facilitent, par la suite la séparation des diverses appli ques les unes des autres.
Les trous de travail b servent de points de repères dans les opérations. successives néces sitées par les différents découpages des con tours de l'applique. Le dernier découpage sé pare la partie portant les trous de travail du reste du chiffre.
La position des pieds étant fixée exacte ment relativement aux trous de travail lors de l'étampage de ces derniers, et les contours de l'applique étant à leur toux de situation exacte relativement aux trous de travail, il est clair que, pour toutes les pièces sortant de la même étampe, la position des pieds re lativement aux contours de l'applique sera ri goureusement la même.
Il n'est pas absolument nécessaire de pré voir des trous de travail spéciaux, c'est-à-dire ne servant que de repères et ne se retrouvant ras sur la pièce terminée. Les repères dont il est parlé clans la revendication pourraient être des découpures partielles de l'applique dans lesquels, pour la suite des opérations, des pièces de formes pourraient être intro duites à l'instar des chevilles de travail dans les trous de travail.
Manufacturing process of appliques for metal dials, case backs etc. In the manufacture of certain kinds of metal dials for the decoration of certain case backs etc., appliques are used, cut independently of the case back etc. and which are then attached to them by means of feet. Until now, these feet were reported and; this generally by welding. This approach, besides the fact that it requires skilled labor, has the major drawback of not being able to deliver rigorously interchangeable wall lights.
If, therefore, in use, an applique base falls out, it is impossible for the dresser to put the dial back into working order, for example. The latter must be returned to the factory.
The object of the present invention is to avoid the use of attached feet and to obtain strictly interchangeable appliques. To achieve these ends, the feet of the appliques are taken out of the stamping mass and this in a predetermined position relative to the manufacturing marks that the applique comprises during work.
The appended drawing shows, by way of example, a phase of manufacture of appliques made according to the process, object of the present invention.
The appliques, in this case the number 7, have come out of a strip of metal which a positive automatic advancement device pushes with a jerky linear movement under a stamp. The latter, with each stroke of the connecting rod, cuts in the strip two working holes b and at the same time leaves the mass of the metal two feet c which will be used later to fix the number-applique to the dial for which it is intended. .
In the particular case, the stamp still blanks two triangular holes which subsequently facilitate the separation of the various appli cs from each other.
The working holes b serve as reference points in operations. successive steps required by the different cutouts of the wall edges. The last cut separates the part with the working holes from the rest of the figure.
The position of the feet being fixed exactly relative to the working holes during the stamping of the latter, and the contours of the applique being at their exact location cough relative to the working holes, it is clear that, for all the parts coming out of the same stamp, the position of the feet relative to the contours of the applique will be the same.
It is not absolutely necessary to see special working holes, that is to say serving only as marks and not being found flush on the finished part. The marks referred to in the claim could be partial cutouts of the wall lamp in which, for the rest of the operations, shaped pieces could be introduced like the working pins in the working holes.