CH712950A2

CH712950A2 - Clé dynamométrique.

Info

Publication number: CH712950A2
Application number: CH01246/16A
Authority: CH
Inventors: Risold Mickael
Original assignee: Hl Tech Sa
Priority date: 2016-09-23
Filing date: 2016-09-23
Publication date: 2018-03-29

Abstract

L’invention concerne une clé dynamométrique comportant un manche de préhension (11) sensiblement rectiligne, avec une extrémité libre (11a) et une extrémité opposée (11b), équipée d’un embout porte-outil (12). L’embout porte-outil (12) est agencé pour recevoir un outil de serrage (13) qui est destiné au serrage et/ou au desserrage d’un objet en particulier d’un implant dentaire ou similaire. L’outil de serrage (13) comporte une douille rotative (14) adaptée au profil et aux dimensions dudit objet à serrer et/ou à desserrer et qui est montée sur l’embout porte-outil (12). Cet embout porte-outil (12) comporte une roue, cylindrique, qui est fixée coaxialement par rapport à l’embout porte-outil (12) et à la douille rotative (14) de l’outil de serrage (13). La roue est pourvue d’une série d’encoches périphériques, ménagées dans sa paroi latérale cylindrique, qui correspondent à des crans de déplacement en rotation d’une roue à cliquets classique, dans laquelle les crans de déplacement sont définis par des billes à ressort ou similaires.

Description

Domaine technique [0001] La présente invention concerne une clé dynamométrique pour le serrage et/ou le desserrage d’un objet, en particulier d’un implant dentaire ou similaire, ladite clé dynamométrique comportant un manche de préhension sensiblement rectiligne, avec une extrémité libre et une extrémité opposée équipée d’un embout porte-outil agencé pour recevoir un outil de serrage, ledit outil de serrage comportant une douille rotative adaptée au profil et aux dimensions dudit objet à serrer et/ou à desserrer.

Technique antérieure [0002] On connaît déjà des clés dynamométriques qui sont réalisées selon le concept des clés à cliquets, comportant d’une part un outil de serrage tournant, ayant une ouverture centrale définie par une paroi à facettes et d’autre part une paroi extérieure pourvue d’encoches périphériques. Par ailleurs, ces clés comportent généralement des billes ou des picots, sollicités chacun par un ressort à boudin, dans une direction d’emboîtement dans lesdites encoches périphériques en vue d’assurer un blocage anti-retour et un couple de serrage maximal prédéterminé, dudit outil de serrage tournant.

[0003] Souvent le nombre de pièces mécaniques nécessaires pour permettre à la clé dynamométrique d’assurer sa fonction de limitation du couple de serrage est élevé, ce qui pose un problème d’encombrement en raison de l’espace limité disponible, par exemple pour une application orthodontique.

[0004] D’autre part, le réglage de la contrainte des ressorts à boudin est délicat et s’avère peu fiable dans le temps. En effet, la tension d’un ressort en spirale de petite dimension ne reste pas constante dans le temps et peut varier en fonction des conditions d’utilisation, des conditions atmosphériques et notamment en fonction de la fatigue des matériaux.

[0005] D’autres types de clés dynamométriques destinés à simplifier ces systèmes connus, ont été développés et sont notamment illustrés par le brevet américain US 5 224 403 et la demande de brevet européen EP 1 731 114 A1. Le premier décrit une clé dynamométrique destinée à un usage dentaire et qui comporte une couronne pourvue de dentures périphériques dans lesquelles peut s’engager respectivement une bille unique, sollicitée par une tige mobile axialement lorsqu’elle est poussée par un utilisateur, par l’intermédiaire d’un mécanisme de réglage agissant sur un ressort axial. Le mécanisme de réglage est agencé pour exercer une poussée plus ou moins forte sur le ressort dont une extrémité est en appui sur la bille.

[0006] Le second présente sensiblement la même configuration, mais comporte, à la place du mécanisme à bille, un ressort et une tige de poussée, une lame de ressort dont l’extrémité entre directement dans les cavités, séparant les dents de la couronne dentée pour exercer un couple de retenue sur ladite couronne. Ce mécanisme est peu précis et sujet à une rapide usure.

[0007] En outre, les clés dynamométriques actuelles ne sont pas en mesure de remplir à la fois leur fonction principale qui est celle d’un limiteur de couple pour le serrage et le serrage d’un objet, et d’autres fonctions, considérées comme secondaires pour une clé à cliquet, et consistant à permettre d’assurer le dévissage.

[0008] De ce fait, les clés dynamométriques actuelles présentent des inconvénients à la fois structurels et fonctionnels. Pour certaines, en raison de leur complexité, leur assemblage est long et délicat, de sorte que les coûts de fabrication sont extrêmement élevés, pour d’autres leur construction ne se prête pas à un usage médical et dentaire en raison des contraintes d’hygiène et de sécurité imposée dans ces domaines.

Exposé de l’invention [0009] La présente invention se propose de pallier l’ensemble des inconvénients mentionnés ci-dessus en réalisant une clé dynamométrique, en particulier pour la mise en place d’objets médicaux et dentaires, comme par exemple des implants dentaires, cette clé dynamométrique étant de conception simple, pour permettre une fabrication aisée et économique, qui est facile à régler et dont le réglage est fiable dans le temps, quelles que soient les conditions d’utilisation.

[0010] Ce but est atteint par la clé dynamométrique selon l’invention telle que définie en préambule et caractérisée en ce que ledit embout porte-outil comporte une roue à encoches périphériques sur laquelle est monté coaxialement ledit outil de serrage, une lame rectiligne rigide disposée dans un dégagement ménagé dans ledit manche de préhension, ladite lame rectiligne rigide étant solidaire d’une face d’une pièce plane pivotante également placée dans ledit logement, et ladite lame rectiligne rigide ayant une première extrémité, agencée pour s’engager dans une des encoches de ladite roue à encoches périphériques pour coupler ledit manche de préhension et ladite roue et une seconde extrémité, agencée pour recevoir l’appui d’une tige de flexion précontrainte pour définir un seuil de maintien de la ladite première extrémité dans ladite encoche, lorsqu’une force prédéterminée est appliquée sur ledit outil de serrage.

[0011] Selon un mode de réalisation préféré, ladite pièce pivotante comporte une base plane qui est en appui contre un fond plan du dégagement et porte d’une part un bloc latéral, appelé bascule et d’autre part un pivot, dont l’extrémité supérieure est engagée dans un alésage ménagé dans une plaque de fermeture dudit dégagement, ladite lame rectiligne rigide étant fixée sur un côté latéral de ladite base plane de ladite pièce pivotante, pour effectuer un mouvement de bas2

CH 712 950 A2 culement commandé par ladite pièce pivotante en vue de retirer ladite première extrémité de ladite encoche périphérique dans laquelle elle se trouve.

[0012] De manière avantageuse, ladite tige de flexion précontrainte est une pièce d’extrémité qui prolonge une pièce cylindrique logée à l’intérieur dudit manche de préhension et mobile axialement par rapport audit manche de préhension, ladite seconde extrémité de ladite lame rectiligne rigide, en appui sur ladite tige de flexion précontrainte définissant un point d’appui variable dont la position est agencée pour déterminer une valeur de la force à appliquer sur la clé dynamométrique et correspondant à une valeur de seuil de maintien prédéterminée de la ladite première extrémité dans ladite encoche.

[0013] Ladite pièce cylindrique logée à l’intérieur dudit manche de préhension comporte de préférence au moins un embout fileté sur un tronçon de sa longueur, engagé dans un alésage fileté de telle manière qu’une rotation dudit embout fileté par rapport audit alésage fileté provoque un déplacement axial de ladite pièce cylindrique et dudit point d’appui variable de ladite lame rectiligne rigide sur ladite tige de flexion précontrainte.

[0014] Ledit embout fileté est pourvu avantageusement d’une molette ménagée à son extrémité pour permettre à un utilisateur de faire tourner ladite pièce cylindrique autour de son axe longitudinal.

Description sommaire des dessins [0015] La présente invention et ses principaux avantages apparaîtront mieux dans la description de différents modes de réalisation, en référence aux dessins annexés, dans lesquels:

la fig. 1 représente une vue de dessus, tridimensionnelle, de la clé dynamométrique selon l’invention, la fig. 2 est une vue en plan, partiellement en coupe axiale, de la clé dynamométrique de la fig. 1, la fig. 3 est une vue de dessus en coupe, partielle et agrandie qui illustre la clé dynamométrique selon l’invention dans une position active pour le vissage d’un objet au moyen d’une douille de serrage, la fig. 4 est une vue de dessus en coupe, partielle et agrandie qui illustre la clé dynamométrique selon l’invention dans une position de décrochement suite au dépassement d’un seuil prédéterminé de la contrainte de vissage, et la fig. 5 est une vue de dessus, éclatée en perspective, de la clé dynamométrique selon l’invention.

Meilleures manières de réaliser l’invention [0016] En référence aux figures, la clé dynamométrique 10 représentée comporte un manche de préhension 11 sensiblement rectiligne, avec une extrémité libre 11a et une extrémité opposée 11b, équipée d’un embout porte-outil 12. L’embout porte-outil 12 est agencé pour recevoir un outil de serrage 13 qui est destiné au serrage et/ou au desserrage d’un objet (non représenté), en particulier d’un implant dentaire ou similaire. L’outil de serrage 13 comporte une douille rotative 14 adaptée au profil et aux dimensions dudit objet à serrer et/ou à desserrer et qui est montée sur l’embout porte-outil 12. Cet embout porte-outil 12 comporte une roue 15, cylindrique, qui est fixée coaxialement par rapport à l’embout porte-outil 12 et à la douille rotative 14 de l’outil de serrage 13. La roue 15 est pourvue d’une série d’encoches périphériques 16, ménagées dans sa paroi latérale cylindrique, qui correspondent à des crans de déplacement en rotation d’une roue à cliquets classique, dans laquelle les crans de déplacement sont définis par des billes à ressort ou similaires.

[0017] Le manche de préhension 11 est pourvu, à proximité de la position de l’embout porte-outil 12, d’un dégagement 18 dans lequel est disposée une pièce pivotante 19. Ladite pièce pivotante 19 comporte une base plane 19a qui est en appui contre le fond plan du dégagement 18. Elle porte d’une part un bloc latéral, appelé bascule 19b et d’autre part un pivot 19c, dont l’extrémité supérieure est engagée dans un alésage 19d ménagé dans une plaque de fermeture 18a du dégagement 18.

[0018] Comme le montrent les fig. 2 et 3, sur un de ses flancs latéraux, la pièce pivotante 19, porte une lame rectiligne rigide 17, ayant une première extrémité 20a, agencée pour s’engager dans une des encoches 16 de ladite roue 15 à encoches périphériques 16. La lame rectiligne rigide 17 comporte une seconde extrémité 20b qui s’appuie sur une tige de flexion précontrainte 21, dont la fonction sera définie ci-dessous.

[0019] Ladite tige de flexion précontrainte 21 est constituée d’un segment d’extrémité qui prolonge une pièce de support 23, partiellement de section circulaire, et logée à l’intérieur dudit manche de préhension 11. Ladite pièce de support 23, de ladite tige de flexion précontrainte 21, est mobile axialement par rapport audit manche de préhension 11. La pièce de support 23, logée à l’intérieur de ce manche, comporte au moins un embout fileté 24 sur un tronçon de sa longueur, engagé dans un alésage fileté 25, de telle manière qu’une rotation dudit embout fileté 24 par rapport audit alésage fileté 25, provoque un déplacement axial de ladite pièce cylindrique 23. L’extrémité libre de la pièce cylindrique 23 est équipée d’une molette 26 couplée ou réalisée d’une pièce avec un tronçon d’extrémité de la pièce cylindrique 23, pour faciliter, pour un utilisateur, l’entraînement en rotation de la pièce cylindrique 23. Cette rotation génère un déplacement axial de la tige de flexion précontrainte 21 et, par conséquent le déplacement relatif de la seconde extrémité 20b par rapport à la

CH 712 950 A2 lame rectiligne rigide 17. Le déplacement relatif de ces deux éléments a pour effet de modifier la contrainte exercée par la tige de flexion précontrainte 21 sur la lame rectiligne rigide 17 et de modifier ainsi, d’une manière simple et linéaire, ladite force prédéterminée appliquée sur ledit outil de serrage 13.

[0020] En référence à la fig. 3, ladite pièce pivotante 19 est positionnée de telle manière que ladite première extrémité 20a de ladite lame rectiligne rigide 17 est engagée dans une encoche périphérique 16 de la roue 15. La seconde extrémité 20b de ladite lame rectiligne rigide 17 est en appui sur ladite tige de flexion précontrainte 21, en un point d’appui qui définit le bras de levier de la force de retenue de ladite première extrémité 20a dans l’encoche correspondante 16.

[0021] Lorsque l’opérateur effectue une intervention de serrage d’une pièce, au moyen de ladite douille 14, il exerce une traction sur le manche de préhension 11, dans le sens de la flèche A. Tant que le seuil de décrochement n’est pas atteint, ladite première extrémité 20a reste dans l’encoche périphérique 16 correspondante et entraîne la roue 15 et la douille de serrage 14 dans le sens de la flèche B. Dans ce contexte, ladite pièce plane pivotante 19 reste en position, représentée par la fig. 3. La clé fonctionne comme une clé à cliquets classique. A chaque déplacement angulaire du manche de préhension, la lame rectiligne rigide 17 entraîne la roue et ladite première extrémité 20a fait tourner cette roue 15 d’un angle prédéterminé, puis saute dans l’encoche périphérique 16 suivante.

[0022] En référence à la fig. 4, le seuil de décrochement est atteint et une action de serrage, effectuée par un opérateur en tournant le manche de préhension dans le sens de la flèche A, a pour conséquence de basculer ladite pièce pivotante 19 de telle manière que ladite première extrémité 20a sort de l’encoche périphérique 16 dans laquelle elle se trouve. La roue 15 reste fixe en position et ladite première extrémité 20a glisse sur la paroi périphérique cylindrique de cette roue 15 pour s’engager dans l’encoche périphérique suivante. Toutefois, si une force supérieure est appliquée, la lame rectiligne rigide 17 décroche systématiquement et la douille reste bloquée en rotation.

[0023] Comme mentionné précédemment, le réglage du seuil de décrochement de la clé dynamométrique 10 est déterminé par le positionnement relatif de ladite seconde extrémité 20b de ladite lame rectiligne rigide 17 sur ladite tige de flexion précontrainte 21. Ce réglage peut être effectué par l’opérateur en fonction de directives connues, notamment précisées par les fabricants d’implants dentaires. Le fait de tourner la molette 26, dans un sens ou dans l’autre modifie le bras de levier de la force appliquée sur l’outil de serrage et permet de régler de manière sûre et fiable la contrainte appliquée sur la pièce.

[0024] Les opérations de dévissage peuvent être réalisées avec la même clé dynamométrique 10. Dans ce cas, l’opérateur devra effectuer, avec cette même clé dynamométrique, des opérations inverses par rapport à celles qui correspondent au vissage. Le dévissage peut également être limité en couple, afin de protéger l’objet à desserrer.

[0025] La présente invention n’est pas limitée aux formes de réalisation décrites, mais peut subir différentes modifications ou variantes, évidentes pour l’homme de l’art et qui s’inscrivent dans le champ d’application des revendications.

Claims

Revendications

1. Clé dynamométrique (10) pour le serrage et/ou le desserrage d’un objet, en particulier d’un implant dentaire ou similaire, ladite clé dynamométrique (10) comportant un manche de préhension (11) sensiblement rectiligne, avec une extrémité (11a) libre et une extrémité opposée (11b) équipée d’un embout porte-outil (12) agencé pour recevoir un outil de serrage (13), ledit outil de serrage (13) comportant une douille rotative (14) adaptée au profil et aux dimensions dudit objet à serrer et/ou à desserrer, caractérisée en ce que ledit embout porte-outil (12) comporte une roue (15) à encoches périphériques (16) sur laquelle est monté coaxialement ledit outil de serrage (13), une lame rectiligne rigide (17) disposée dans un dégagement (18) ménagé dans ledit manche de préhension (11), ladite lame rectiligne rigide (17) étant solidaire d’une pièce pivotante (19) également placée dans ledit dégagement (18), et ladite lame rectiligne rigide (17) ayant une première extrémité (20a), agencée pour s’engager dans une des encoches (16) de ladite roue (15) à encoches périphériques (16) pour coupler ledit manche de préhension (11) et ladite roue (15) et une seconde extrémité (20b), agencée pour s’appuyer sur une tige de flexion précontrainte (21) pour définir un seuil de maintien de ladite première extrémité (20a) dans ladite encoche (16), lorsqu’une force prédéterminée est appliquée sur ledit outil de serrage (13).
2. Clé dynamométrique selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite ladite pièce pivotante (19) comporte une base plane (19a) qui est en appui contre un fond plan du dégagement (18) et porte d’une part un bloc latéral, appelé bascule (19b) et d’autre part un pivot (19c), dont l’extrémité supérieure est engagée dans un alésage (19d) ménagé dans une plaque de fermeture (18a) dudit dégagement (18), ladite lame rectiligne rigide (17) étant fixée sur un côté latéral de ladite base plane (19a) de ladite pièce pivotante (19), pour effectuer un mouvement de basculement commandé par ladite pièce pivotante (19) en vue de retirer ladite première extrémité (20a) de ladite encoche périphérique dans laquelle elle se trouve.
3. Clé dynamométrique selon la revendication 1, caractérisée en ce que ladite tige de flexion précontrainte (21) est une pièce d’extrémité qui prolonge une pièce cylindrique (23) logée à l’intérieur dudit manche de préhension (11) et mobile axialement par rapport audit manche de préhension (11), ladite seconde extrémité (20b) de ladite ladite lame rectiligne rigide (17), en appui sur ladite tige de flexion précontrainte (21) définissant un point d’appui variable dont la position est agencée pour déterminer une valeur de la force à appliquer sur la clé dynamométrique (10) et correspondant à une valeur de seuil de maintien prédéterminée de ladite première extrémité (20a) dans ladite encoche (16).

CH 712 950 A2
4. Clé dynamométrique selon la revendication 3, caractérisée en ladite pièce cylindrique (23), logée à l’intérieur dudit manche de préhension (18) comporte au moins un embout fileté (24) sur un tronçon de sa longueur, engagé dans un alésage fileté (25), de telle manière qu’une rotation dudit embout fileté (24) par rapport audit alésage fileté (25) provoque un déplacement axial de ladite pièce cylindrique (23) et dudit point d’appui variable de ladite lame rectiligne rigide (17) sur ladite tige de flexion précontrainte (21).
5. Clé dynamométrique selon la revendication 4, caractérisée en ce que ledit embout fileté (24) est pourvu d’une molette (26) ménagée à son extrémité pour permettre à un utilisateur de faire tourner ladite pièce cylindrique (23) autour de son axe longitudinal.

CH 712 950 A2 ©

CH 712 950 A2

CH 712 950 A2

CH 712 950 A2

CH 712 950 A2