CH703826A2 - Boîte de montre comportant une lunette permettant l'actionnement d'un diaphragme. - Google Patents

Abstract

L’invention concerne une boîte de montre comportant une lunette (3) permettant l’actionnement d’un diaphragme (6, 7) et plus particulièrement une boîte de montre comportant un diaphragme (6, 7) qui est disposé entre une partie inférieure (3a) et une partie supérieure (3b) de ladite lunette et qui est destiné à être actionné lors de la rotation de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a) entre une position totalement ouverte dans laquelle le cadran (2) de la boîte de montre est complètement visible et une position totalement fermée dans laquelle le diaphragme (6, 7) cache le cadran (2).

Description

Domaine technique

[0001] La présente invention concerne une boîte de montre comportant une lunette permettant I’actionnement d’un diaphragme et plus particulièrement une boîte de montre comportant un diaphragme qui est disposé entre une partie inférieure et une partie supérieure de ladite lunette et qui est destiné à être actionné lors de la rotation de ladite partie supérieure par rapport à ladite partie inférieure entre une position totalement ouverte dans laquelle le cadran de la boîte de montre est complètement visible et une position totalement fermée dans laquelle le diaphragme cache le cadran.

Etat de la technique

[0002] Dans le domaine des montres, il est connu d’utiliser des diaphragmes pour conférer à la montre un aspect esthétique accru. L’actionnement de ces diaphragmes se fait généralement au moyen d’éléments additionnels qui viennent se rajouter aux éléments de base de la boîte de montre et donc peuvent nuire à l’esthétique générale de la montre.

[0003] Pour résoudre ce problème, il a notamment été proposé d’utiliser les éléments de base de la montre comme moyen d’actionnement desdits diaphragmes. Ainsi, dans la demande de brevet CH 676651, la solution proposée consiste à utiliser une lunette tournante qui vient actionner le diaphragme. Toutefois, dans cette solution, pour maintenir axialement la lunette dans la carrure, on doit fixer un anneau de butée sur la face inférieure de la lunette, ledit anneau étant bloqué en position entre le diaphragme et la carrure. La fixation de l’anneau de butée sur la lunette impose donc d’utiliser une lunette présentant une largeur et une hauteur suffisante pour y loger une vis. Cette solution présente donc l’inconvénient d’avoir une lunette étanche dont la partie extérieure visible est très large par rapport au diamètre de l’ouverture supérieure de la lunette dans laquelle est engagée la glace. Par ailleurs, cette solution ne permet pas de concevoir des montres dans lesquelles la lunette aurait un bord de faible largeur, sauf à augmenter le nombre de lamelles du diaphragme.

Divulgation de l’invention

[0004] L’objet de la présente invention est donc de proposer une solution au problème mentionné précédemment et ne présentant pas les inconvénients des solutions existantes.

[0005] A cet effet, conformément à l’invention, il est proposé une boîte de montre telle que définie dans la revendication 1.

[0006] D’autres caractéristiques importantes de la boîte de montre de la présente invention sont également définies dans les revendications dépendantes 2 à 10.

[0007] Au moyen de la boîte de montre ainsi configurée, il est possible d’actionner le diaphragme uniquement en tournant la partie supérieure de la lunette par rapport à sa partie inférieure. La liaison par baïonnette entre ladite partie inférieure et ladite partie supérieure évite d’utiliser des éléments de fixation additionnels qui viendraient accroître exagérément la largeur et/ou la hauteur de la partie supérieure de lunette. Par ailleurs, lorsque la partie inférieure de la lunette vient se loger dans une cavité centrale de la carrure, seule la partie supérieure de la lunette surmonte extérieurement la carrure et est apparente. On réduit ainsi d’autant l’épaisseur du bord supérieur de la lunette qui entoure la glace. Finalement, la solution de la présente invention permet également d’éviter que la partie supérieure de la lunette se déconnecte accidentellement de la partie inférieure de la lunette lors de la rotation de la partie supérieure de la lunette. En particulier, les moyens d’engagement sur la partie inférieure, respectivement supérieure, de la lunette sont suffisamment distants angulairement de manière à permettre la retenue axiale de la partie supérieure lors de sa rotation entre la position dans laquelle le diaphragme est totalement ouvert et la position dans laquelle le diaphragme est totalement fermé.

Brève description des dessins

[0008] D’autres avantages et caractéristiques de la présente invention seront mieux compris à la lecture d’un mode particulier de réalisation de l’invention et en référence aux dessins dans lesquels: <tb>- la fig. 1<sep>représente une vue en coupe axiale de la boîte de montre selon l’invention; <tb>- la fig. 2<sep>représente une vue en plan de dessus de la partie inférieure de la lunette de la boîte de montre de la fig. 1; <tb>- la fig. 3<sep>représente une vue en plan de dessous de la partie supérieure de la lunette de la boîte de montre de la fig. 1; <tb>- la fig. 4<sep>représente une vue en plan de dessus de l’anneau rainure du diaphragme de la boîte de montre de la fig. 1; <tb>- la fig. 5<sep>représente une vue en plan de dessus de la carrure de la boîte de montre de la fig. 1;

Description détaillée d’un mode d’exécution de l’invention

[0009] En référence à la fig. 1, il est représenté une boîte de montre selon la présente invention. Cette boîte de montre est notamment définie par un axe XX’, correspondant à un axe vertical lorsqu’elle est posée sur une surface plane. Cette boîte de montre comprend une carrure 1, dans laquelle est logé un cadran 2, et une lunette 3 surmontant au moins partiellement la carrure 1, ladite ladite lunette 3 comportant une partie inférieure 3a fixée sur la carrure 1 et une partie supérieure 3b mobile en rotation par rapport à ladite partie inférieure 3a et définissant une ouverture supérieure 4 dans laquelle est engagée une glace 5. Entre les parties inférieure 3a et supérieure 3b de la lunette 3 est disposé un diaphragme 6, 7 mobile entre deux positions extrêmes, une position totalement ouverte dans laquelle le cadran 2, positionné sous le diaphragme 6, 7, est totalement visible à travers la glace 5 et une position totalement fermée dans laquelle le cadran 2 est caché par le diaphragme 6, 7. Le passage de la position totalement ouverte à la position totalement fermée du diaphragme et inversement s’opère en tournant la partie supérieure 3b de la lunette par rapport à la partie inférieure 3a de la lunette. Le mécanisme permettant d’actionner le diaphragme au moyen de la partie supérieure de la lunette ainsi que le type de diaphragme utilisé pourra être variable et n’est pas limité à l’exemple représenté sur les figures annexées. Dans l’exemple représenté, le diaphragme utilisé est sensiblement identique à celui décrit dans la demande de brevet CH 676651. L’homme du métier pourra donc utilement se référer à cet état de la technique pour comprendre les détails de construction et de fonctionnement de ce diaphragme. Comme l’illustrent les fig. 1 et 4, ce diaphragme est notamment formé d’un anneau rainure 6 comportant une pluralité de rainures radiales 6a uniformément réparties sur son pourtour supérieur et une pluralité de lamelles 7 sensiblement en forme de croissant de lune, chacune des lamelles comportant un axe supérieur 23 formé à une de ses extrémités et collaborant avec un trou borgne 24 formé sur la face inférieure de ladite partie supérieure 3b et un axe inférieur 25 formé à une autre de ses extrémités et collaborant avec une rainure 6a de l’anneau rainure 6 solidaire de ladite partie inférieure 3a. L’anneau rainure 6 du diaphragme pourra être fixé à la partie inférieure 3a de la lunette 3 par tout moyen connu. Dans l’exemple représenté, cette fixation s’opère notamment au moyen de quatre alésages 14 dirigés axialement et espacés les uns des autres par un angle sensiblement égal à 90° par rapport à l’axe XX’, les alésages 14 traversant totalement la partie inférieure 3a, de manière à déboucher dans une forure 27 pratiquée dans la face inférieure de la partie inférieure 3a de la lunette, et au moins partiellement l’anneau rainure 6. Des vis correspondantes 15 sont alors introduites dans la forure 27 et ensuite vissées à l’intérieur desdits alésages 14 de façon à assurer la liaison de l’anneau rainure 6 sur la partie inférieure 3a. il est bien entendu envisageable d’utiliser un nombre plus petit ou plus grand d’alésages 14 et de vis 15 de manière à assurer cette liaison.

[0010] Par ailleurs, sur les fig. 1, 2 et 3, on observe que la partie supérieure 3b de la lunette est engagé sur la partie inférieure 3a au moyen d’une liaison à baïonnette. De manière à réaliser cette liaison à baïonnette, la partie inférieure 3a comporte trois saillies 8, 9, 10 réparties uniformément sur son pourtour intérieur et la partie supérieure 3b comporte trois saillies correspondantes 11, 12, 13 uniformément réparties sur son pourtour extérieur. Il faut préciser dès maintenant que, dans le sens général de l’invention, les termes «intérieur» et «extérieur» désignent respectivement des surfaces orientées vers l’intérieur et vers l’extérieur de la lunette 3 et ne se limitent pas à des surfaces qui constitueraient des bords internes, respectivement externes, des parties 3a et 3b. Lors de l’assemblage de la partie supérieure 3b sur la partie inférieure 3a, les faces supérieures 16 des saillies 11, 12, 13 portées par la partie supérieure 3b sont engagées sous les faces inférieures 17 des saillies 8, 9, 10 portées par la partie inférieure 3a retenant ainsi axialement la partie supérieure 3b sur la partie inférieure 3a. Cet assemblage est notamment possible du fait que la partie supérieure 3b comporte trois logements ou creux 18, 19, 20 répartis sur son pourtour extérieur, lesdits logements étant disposés entre les saillies 11, 12, 13 de la partie supérieure 3a et ayant une forme complémentaire de celle des saillies 8, 9,10 de la partie inférieure 3a de façon à les loger complètement. Il est bien entendu envisageable de prévoir un nombre plus petit ou plus grand de saillies et de creux sur les parties 3a et 3b, ainsi que de répartir ces saillies et ces creux de manière non uniforme. Toutefois, de manière à éviter un désengagement accidentel de la partie supérieure 3b lors de sa rotation par rapport à la partie inférieure 3a, il est essentiel d’éviter que, lors du passage de la position totalement ouverte à la position totalement fermée du diaphragme, les saillies 8, 9, 10 de la partie inférieure 3a soient exactement alignées avec les logements 18, 19, 20 de la partie supérieure 3b. Pour cela, la Demanderesse a eu l’idée de limiter la course de la partie supérieure 3a à un secteur angulaire d’angle α1 lors de ce passage et de choisir l’espacement angulaire minimal αmin1 entre deux saillies directement adjacentes de la partie inférieure 3a de telle sorte que cet angle αmin1 soit strictement supérieur à α1. Il faut préciser dès maintenant que l’angle entre les saillies 8, 9, 10 sera mesuré à chaque fois en considérant la position médiane de chacun des secteurs angulaires couverts par lesdites saillies. Ainsi, comme l’illustre la fig. 2, en restreignant le déplacement de la partie supérieure 3b au secteur angulaire α1, on évite que les logements 18, 19, 20 soient alignés avec les saillies 8, 9, 10. cette limitation de la course de la partie supérieure 3a peut avantageusement s’obtenir en prévoyant un ergot 21 formant une saillie dans le sens axial au niveau de la face inférieure de ladite partie supérieure 3b, ledit ergot étant engagé et pouvant se déplacer à l’intérieur d’une rainure semi-circulaire 22 formée sur la face supérieure de la carrure 1, ladite rainure 22 décrivant un secteur angulaire d’angle α1, de telle sorte que, lors de la rotation de ladite partie supérieure 3b par rapport à ladite partie inférieure 3a, ladite partie supérieure peut uniquement se déplacer entre une première position extrême, correspondant à la position totalement ouverte du diaphragme, et une seconde position extrême, correspondant à la position totalement fermée du diaphragme.

[0011] Dans la pratique, il sera souhaitable que l’assemblage de la partie supérieure 3b sur la partie inférieure 3a se fasse selon le schéma suivant: d’abord, en alignant les creux 18, 19, 20 de la partie supérieure 3b avec les saillies 8, 9, 10 de la partie inférieure 3a puis, en translatant axialement la partie supérieure 3b vers le bas, puis finalement une opérant une rotation initiale d’angle αmin2, de telle sorte à positionner la partie supérieure 3b simultanément avec l’anneau rainure 6 dans la première position extrême susmentionnée. Par la suite, l’anneau rainure 6 sera fixé sur la partie inférieure 3a au moyen des vis 15 de manière à faire coïncider cette position initiale de la partie supérieure 3b avec la première position extrême telle définie auparavant. En outre, l’angle αmin2 sera avantageusement choisi de telle sorte que αmin2>0 et α1+ αmin2<αmin1. En effet, ces conditions permettent notamment d’éviter tout désengagement accidentel de la partie supérieure 3b lors de son déplacement de sa première position extrême à sa seconde position extrême. Par ailleurs, l’angle αmin2 sera avantageusement compris entre 0 et 30° environ.

[0012] Finalement, pour réduire encore l’encombrement de la lunette 3, il est souhaitable, comme illustré sur la figure 1, que la partie inférieure 3a de la lunette se loge au moins partiellement dans une cavité centrale 26 de la carrure 1 de telle sorte que seule la partie supérieure 3b surmonte extérieurement la carrure 1 et soit apparente.

Claims (10)

1. Boîte de montre comportant: - une carrure (1) dans laquelle est logé un cadran (2), - une lunette (3) surmontant au moins partiellement la carrure (1), ladite lunette comportant une partie inférieure (3a) fixée sur la carrure (1) et une partie supérieure (3b) mobile en rotation par rapport à ladite partie inférieure (3a) et définissant une ouverture supérieure (4) dans laquelle est engagée une glace (5), - un diaphragme (6, 7) disposé entre ladite partie inférieure (3a) et ladite partie supérieure (3b) et destiné à être actionné par ladite partie supérieure (3b) entre une position totalement ouverte dans laquelle le cadran (2) est totalement visible à travers la glace (5) et une position totalement fermée dans laquelle le cadran (2) est totalement recouvert par le diaphragme (6, 7) et n’est donc plus visible à travers la glace (5), le passage de ladite position totalement ouverte à ladite position totalement fermée correspondant à une rotation d’un angle α1 de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a), - des moyens d’engagement (8, 9, 10; 11, 12, 13) de ladite partie supérieure (3b) sur ladite partie inférieure (3a) servant conjointement de retenue axiale de ladite partie supérieure (3b) sur ladite partie inférieure (3a) quand on impartit à ladite partie supérieure (3b) un mouvement de rotation par rapport à ladite partie inférieure (3a) entre une première position extrême, correspondant à la position totalement ouverte du diaphragme (6, 7), et une seconde position extrême, correspondant à la position totalement fermée du diaphragme (6, 7), - des moyens de fixation (14, 15) destinés à fixer le diaphragme (6, 7) sur ladite partie inférieure (3a), caractérisée en ce que l’engagement de ladite partie supérieure sur ladite partie inférieure est du type à baïonnette, lesdits moyens d’engagement consistant en une ou plusieurs saillies (8, 9, 10) réparties sur le pourtour intérieur de ladite partie inférieure (3a) et une ou plusieurs saillies correspondantes (11, 12, 13) réparties sur le pourtour extérieur de ladite partie supérieure (3b), la ou les faces supérieures (16) de la ou des saillies portées par ladite partie supérieure étant engagées sous la ou les faces inférieures (17) de la ou des saillies portées par ladite partie inférieure quand ladite partie supérieure est retenue axialement sur ladite partie inférieure et en ce que la ou les saillies (8, 9, 10) sont réparties sur le pourtour intérieur de ladite partie inférieure (3a) de manière à ce que l’angle minimal αmin1 séparant deux saillies directement adjacentes soit strictement supérieur à α1.

2. Boîte de montre selon la revendication 1, caractérisée en ce que la ou les positions angulaires de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a) pour lesquelles le déplacement axial de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a) est possible est ou sont séparées d’un angle minimal αmin2 par rapport à la position angulaire de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a) pour laquelle le diaphragme est dans sa position totalement ouverte, de telle sorte que αmin2>0 et α1+ αmin2<αmin1.

3. Boîte de montre selon la revendication 2, caractérisée en ce que l’angle αmin2 est compris entre 0 et 30° environ.

4. Boîte de montre selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite partie inférieure (3a) et ladite partie supérieure (3b) portent chacune trois saillies (8, 9, 10; 11, 12, 13) et en ce que ladite partie supérieure (3b) comprend trois logements (18, 19, 20) répartis sur son pourtour extérieur, lesdits logements étant disposés entre les saillies (11, 12, 13) de ladite partie supérieure (3b) et étant destinés à loger les saillies (8, 9, 10) de ladite partie inférieure (3a).

5. Boîte de montre selon la revendication 4, caractérisée en ce que l’angle αmin1 est sensiblement également égal à 120°.

6. Boîte de montre selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que l’angle α1 est sensiblement égale à 90°.

7. Boîte de montre selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite partie supérieure (3b) comporte au moins un ergot (21) formant une saillie dans le sens axial au niveau de la face inférieure de ladite partie supérieure (3b), ledit ergot étant engagé et pouvant se déplacer à l’intérieur d’une rainure (22) formée sur la face supérieure de la carrure (1), de telle sorte que, lors de la rotation de ladite partie supérieure (3b) par rapport à ladite partie inférieure (3a), ladite partie supérieure peut uniquement se déplacer entre la première position extrême, correspondant à la position totalement ouverte du diaphragme, et la seconde position extrême, correspondant à la position totalement fermée du diaphragme.

8. Boîte de montre selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que le diaphragme (6, 7) comprend un anneau rainure (6) comportant une pluralité de rainures radiales (6a) uniformément réparties sur son pourtour supérieur et une pluralité de lamelles (7) sensiblement en forme de croissant de lune, chacune des lamelles comportant un axe supérieur (23) formé à une de ses extrémités et collaborant avec un trou borgne (24) formé sur la face inférieure de ladite partie supérieure (3b) et un axe inférieur (25) formé à une autre de ses extrémités et collaborant avec une rainure (6a) de l’anneau rainure (6) solidaire de ladite partie inférieure (3a).

9. Boîte de montre selon la revendication 8, caractérisée en ce que les moyens de fixation (14, 15) du diaphragme (6, 7) sur ladite partie inférieure (3a) consistent en un ou plusieurs alésages (14) dirigés axialement, le ou lesdits alésages traversant totalement ladite partie inférieure (3a) et au moins partiellement l’anneau rainure (6) du diaphragme, et en une ou plusieurs vis (15) correspondantes introduites à l’intérieur desdits alésages (14).

10. Boîte de montre selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisée en ce que ladite partie inférieure (3a) se loge au moins partiellement dans une cavité centrale (26) de la carrure (1) de telle sorte que seule ladite partie supérieure (3b) surmonte extérieurement la carrure (1) et est apparente.