CH701670B1 - Mécanisme de remontage d'une montre par une partie de corne mobile. - Google Patents
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Abstract
L’invention concerne une montre, mécanique ou automatique, comprenant un mécanisme de remontage doté d’une partie de corne mobile (20) et d’une membrane flexible (130) montée sur la boîte par l’entremise d’un rail de guidage (140, 70, 150, 160, 60, 130). Une liaison par engrenages montée entre le mécanisme de remontage de la montre lors d’un mouvement angulaire imprimé à la partie de corne mobile (20). L’invention permet de s’affranchir de l’emploi d’une couronne de remontoir.
Description
[0001] La présente invention se rapporte à une pièce d’horlogerie munie d’un mécanisme de remontage par une partie de corne mobile.
Usuellement, les cornes d’une boîte de montre-bracelet sont des pièces de formes variées qui épousent généralement la forme de la carrure et servent à attacher le bracelet. Il existe plusieurs types de cornes. L’objet de la présente invention est de proposer une fonction supplémentaire à l’utilisation initialement faite de la corne de montre, en permettant notamment le remontage d’un mécanisme de montre par une partie de corne mobile.
Description générale
[0001] Dans un mode préféré de réalisation, cette pièce d’horlogerie munie d’un mécanisme de remontage (10) comprend une partie de corne mobile (20), solidarisée à un ressort de crantage (30), le tout solidarisé sur un ensemble rail de remontage (40), lui-même composé d’un support denté arqué (140), d’un châssis support de guidage (150), de guidage à billes (70), de guidage à billes à degrés de liberté (60), de joints d’interfaces (160) susceptibles d’être déplacés entre une position de repos déterminée et une plage de fonctionnement, des moyens de liaison du mécanisme de remontage (10), carrure (90) et châssis (100), des moyens de transmission arbre de renvoi (110) et arbre de transmission (120) pour amener l’énergie sur le module de remontage du mouvement horloger. Un mécanisme de remontage (10) couplé à une lame flexible (130), ayant deux fonctions distinctes, à savoir: un moyen de protection contre l’intrusion d’impuretés ainsi qu’un moyen de cache esthétique dudit mécanisme de remontage (10). Cf. fig. 1 et cf. fig. 2 et cf. fig. 3 .
Un système d’armage unidirectionnel composé d’un module d’armage unidirectionnel (170) couplé sur l’arbre de transmission (120) a pour but de désengrener la roue de barillet (260) lorsque le rouage de remontage tourne dans le sens inverse du remontage.
Enumération des figures/dessins
[0001] L’invention va être exposée de manière plus détaillée à l’aide d’exemples de réalisation représentés dans les dessins suivants:
<tb>Fig. 1 :<SEP>Mécanisme de remontage
<tb>Fig. 2 :<SEP>Vue éclatée du détail de la fig. 1
<tb>Fig. 3 :<SEP>Guidage à billes à degrés de liberté/et vue éclatée de ce dernier
<tb>Fig. 4 :<SEP>Ensemble du rail de remontage
<tb>Fig. 5 :<SEP>Vue éclatée de la carrure/du mécanisme de remontage/du châssis
<tb>Fig. 6 :<SEP>Arbre de renvoi et arbre de transmission assemblés sur la carrure
<tb>Fig. 7 :<SEP>Disposition du mécanisme de remontage avec l’arbre de renvoi et l’arbre de transmission
<tb>Fig. 8 :<SEP>Vue de détail de l’arbre de transmission
<tb>Fig. 9 :<SEP>Assemblage de la carrure/du mécanisme de remontage en position repos (A)/châssis
<tb>Fig. 10 :<SEP>Assemblage de la carrure/du mécanisme de remontage en position déployée (B)/châssis
<tb>Fig. 11 :<SEP>Mécanisme de remontage (vue de dessous) avec vue éclatée du guidage à billes à degrés de liberté et groupe de joints interface
<tb>Fig. 12 :<SEP>Chaîne cinématique du mécanisme horloger de remontage
<tb>Fig. 13 :<SEP>Chaîne cinématique du mécanisme horloger de remontage avec le module d’armage unidirectionnel dégrainé
<tb>Fig. 14 :<SEP>Chaîne cinématique du mécanisme horloger de remontage avec le module d’armage unidirectionnel engrainé
<tb>Fig. 15 :<SEP>Vue de côté du module d’armage unidirectionnel
Description du fonctionnement:
[0001] La présente invention se rapporte à une pièce d’horlogerie munie d’un mécanisme de remontage du ressort de barillet par l’entremise d’une partie de corne mobile (20). L’ensemble rail de remontage (40) est solidarisé à ladite partie de corne mobile (20). Le tout, appelé mécanisme de remontage (10), est susceptible d’être déplacé entre une position de repos déterminée (A) et une position déployée (B). La plage de fonctionnement se situe entre les points (A) et (B). Cf. fig. 9 et fig. 10 .
[0002] Des moyens de verrouillage du mécanisme de remontage en position de repos via l’action de ressort de crantage (30). Cf. fig. 2 .
Des moyens de protection contre l’intrusion d’impuretés et des moyens de cache esthétique du mécanisme de remontage (10), réalisés par l’entremise d’une lame flexible (130).
Un moyen de débrayer l’ensemble du mécanisme de remontage (10) lors du retour en position de repos (A), et un moyen de rendre unidirectionnel l’effort de remontage sur le ressort de barillet, le tout via l’action d’un mécanisme du baladeur (170). Cf. fig. 2 et fig. 9 .
[0003] L’ensemble mécanisme de remontage (10) est composé d’un ensemble rail de remontage (40) sur lequel vient se visser la partie de corne mobile (20). Sur celle-ci est vissé le ressort de crantage (30). L’ensemble rail de remontage (40) est composé d’un support denté arqué (140), de guidages à billes (70), d’un châssis support guidage (150), de joints interface (160), de guidages à billes à degrés de liberté (60), d’une lame flexible (130).
L’ensemble mécanisme de remontage (10) est assemblé entre la carrure (90) et le châssis, (100) ainsi un déplacement angulaire dudit mécanisme de remontage (10) est possible dans une plage de fonctionnement défini par la géométrie du chemin de billes sur la carrure (90) et le châssis (100). Cf. fig. 1 et fig. 2 .
[0004] Le guidage à billes (70), ainsi que le guidage à billes à degrés de liberté (60), sont composés d’un châssis à billes (61), de billes (62), de lames d’encageage (63). Le guidage à billes (70) est fixé rigidement sur le support denté arqué (140), le guidage à billes à degrés de liberté (60) est ajusté sur le châssis support guidage (150) qui, lui, est fixé rigidement sur le support denté arqué (140) Cf. fig. 3 et cf. fig. 2 .
[0005] Des moyens offrant des degrés de liberté en translation à l’ensemble mécanisme de remontage (10), sont indispensables au bon fonctionnement du mécanisme de remontage. Ces moyens sont générés par l’entremise des joints d’interfaces (160). Ceux-ci, par leurs effets élastiques, génèrent la souplesse requise au besoin de translation. Ces derniers sont placés dans des évidements cylindriques (150a), eux-mêmes réalisés sur le fond des logements du châssis support guidage (150), à la suite de quoi viennent s’ajuster les guidages à billes à degrés de liberté (60). Cf. fig. 11 .
L’action de ces joints d’interfaces (160) «souples» génère un degré de liberté (d.d.l) en translation verticale [Fz]; ils agissent donc comme un ressort. Ainsi, les écarts géométriques en hauteur des pièces sont absorbés. La pression hertzienne dans cet axe est également gérée.
Ils permettent également de générer sur un plan (X et Y) deux degrés de liberté (d.d.l.) en translation.
L’action de ces derniers degrés de liberté en translation supprime le problème d’alignement des axes. L’ensemble rail de remontage (40) s’aligne de par lui-même en fonction du besoin. Ainsi, les écarts géométriques conséquents à l’usinage des pièces sont éliminés.
Chaque guidage à billes à degrés de liberté (60) est de dimension inférieure au logement (150b) qui lui est attribué sur le support châssis support guidage (150). Il s’agit d’un ajustement avec jeu, par conséquent, les degrés de liberté de translation dans le plan X et Y sont limités dans leur amplitude. Dès lors, afin d’éviter toute confusion de terminologie, les degrés de libertés de translation sont renommés: degrés de liberté partielle.
Une fois assemblé dans son logement respectif, chaque guidage à billes à degrés de liberté (60) permet un déplacement de translation égale à la valeur du jeu de l’ajustage. Le système devient alors un degré de liberté partielle. Cf. fig. 11 .
[0006] La liaison entre le mécanisme de remontage (10), la carrure (90) et le châssis(100) est réalisée par l’entremise d’une empreinte «secteur torique», réalisée sur la carrure (90) et le châssis (100). Le mécanisme de remontage (10) est maintenu en place entre le chemin de billes de la carrure (90) et celui du châssis (100), selon le principe d’une butée à billes. L’assemblage précité autorise dès lors un mouvement angulaire du mécanisme de remontage (10). Cf. fig. 5 .
[0007] L’énergie appliquée en bout de la partie de corne mobile (20) sur le mécanisme de remontage (10) induit à ce dernier un mouvement angulaire. Celui-ci est transmis par le biais d’éléments de transmission à engrenage sur l’arbre de renvoi (110) puis sur l’arbre de transmission (120). L’énergie est ensuite reprise par le mécanisme module d’armage unidirectionnel (170) et est ensuite fournie au ressort de barillet via la roue de barillet (260). Cette énergie accumulée dans le ressort de barillet constitue la réserve de marche de la montre.
[0008] Pour procéder au remontage de la montre, l’utilisateur de la montre saisit la partie de corne mobile solidarisée au mécanisme de remontage (10), lui imprime un mouvement angulaire dans le sens horaire puis anti-horaire de manière répétée. L’énergie générée dans la phase du mouvement dans le sens horaire est accumulée dans le ressort de barillet. L’énergie générée dans la phase du mouvement anti-horaire n’est pas récupérée. Le rôle du module d’armage unidirectionnel (170) est de coupler et découpler la chaîne cinématique au niveau de la roue de barillet (260). Cf. fig. 9 , 10 et 14 .
[0009] Le maintien en position de repos du mécanisme de remontage (10) «verrouillé» est réalisé par l’action du ressort de crantage (30). Lorsque la partie de corne mobile (20) est alignée avec la partie de corne fixe (101), ledit ressort agit comme un verrou. L’extrémité «libre» du ressort exerce une pression dans une cavité située sur le dessus de la partie de corne fixe (101), ce qui a pour effet de solidariser la partie de corne mobile (20) et la partie de corne fixe (101).
Un effort suffisamment important appliqué par l’utilisateur de la montre au bout de la partie de corne mobile (20), dans le sens de déverrouillage «sens horaire», génère un fléchissement à l’extrémité «libre» du ressort de crantage (30). Par conséquent, le rôle de verrou est inhibé. La partie de corne mobile (20) est alors désolidarisée de la partie de corne fixe (101). Le décrantage est ainsi réalisé.
La fonction du ressort de crantage (30) est réversible. Par conséquent, il suffit d’appliquer un effort opposé «dans le sens anti-horaire» sur la partie de corne mobile (20), pour permettre au mécanisme de remontage (10) de se replacer dans la configuration dite: position de repos «verrouillée». Cf. fig. 2 et 10 .
[0010] Le principe de remontage de la montre via le mécanisme de remontage (10) se décrit en trois séquences spécifiques successives: la première opération consiste au décrantage, opération décrite en [0009]. Ensuite dans un deuxième laps de temps, le remontage de la montre, opération décrite en [0007] et [0008] (le remontage de la montre peut s’effectuer de manière complète ou partielle). La troisième opération consiste à verrouiller le mécanisme de remontage (10) en position de repos selon opération décrite en [0009].
[0011] Le module d’armage unidirectionnel (170) permet, via le rouage monté sur ce dernier, de transmettre l’énergie générée par le mécanisme de remontage (10) au ressort de barillet via la roue de barillet (260), Cf. fig. 14 . Le module d’armage unidirectionnel (170) permet également de découpler la roue de barillet (260) du reste de la transmission, lorsque l’énergie générée par le mécanisme de remontage (10) a pour effet de faire tourner la roue de barillet (260) dans le sens inverse au remontage. Cf. fig. 13 .
Le module d’armage unidirectionnel (170) est assemblé sur le mouvement horloger. Lors de l’emboîtage, le mobile supérieur (200) sera couplé avec la roue de sortie de la crémaillère (121). Cf. fig. 8 et 13 .
[0012] Le module d’armage unidirectionnel (170) comprend un baladeur (230), qui peut pivoter angulairement autour de son arbre de pivotement (220), dans une plage délimitée par l’action de la goupille d’arrêt baladeur (270), elle-même délimitée par la rainure réalisée sur la plaquette de limitation angulaire (190). Cf. fig. 14 . Un ressort de bascule (180) en appui sur la goupille d’arrêt baladeur (270) assure la mise en position de repos du baladeur (230). Cf. fig. 13 . Le mobile supérieur (200), couplé au mobile inférieur (210), vient engrener sur le pignon d’entrée (240), qui engrène sur le pignon de renvoi (250). Ce dernier s’engrène ou se désengrène sur la roue de barillet (260), en fonction de la position du baladeur (230). Cf. fig. 12 . Sur le baladeur (230) sont montés la goupille d’arrêt baladeur (270), le pignon d’entrée (240), le pignon de renvoi (250), ainsi que le châssis de ressort à friction (280). Un ressort à friction (290) en appui avec le pignon de renvoi (250) est monté sur le châssis de ressort à friction (280). Cf. fig. 13 et 15 .
[0013] Au repos, sous l’action de l’effort engendré par le ressort de bascule(180) sur la goupille d’arrêt baladeur (270), le baladeur (230) bascule de sorte à désengrener le pignon de renvoi (250) de la roue de barillet (260). La goupille d’arrêt baladeur (270) contribue également à limiter le déplacement angulaire du baladeur (230). Cf. fig. 13 .
[0014] Lors d’un effort dans le sens horaire sur le mécanisme de remontage (010), les arbres de renvoi (110) et de transmission (120) ainsi que le train de rouage du baladeur se mettent en mouvement. Le pignon d’entrée (240), monté co-axialement sur l’axe de pivotement du baladeur (220), génère un sens de rotation identique au sens de rotation de pivotement du baladeur (230). Pour assurer le déplacement angulaire du baladeur (230), un ressort de friction (280) agit sur le pignon de renvoi (250). Sous l’action des différents efforts, cette friction engendre le déplacement du baladeur (230) en position de travail, c’est-à-dire engrènement avec la roue de barillet (260). A l’arrêt du mouvement ou lors d’une rotation en sens inverse, le baladeur (230), sous l’action du ressort de bascule (180), retourne en position de repos. Ainsi la roue de barillet (260) est découplée du rouage. Cf. fig. 7 , 9 , 15 , 13 et 14 .
Légende
[0015]
<tb>– mécanisme de remontage<SEP>(10)
<tb>– partie de corne mobile<SEP>(20)
<tb>– ressort de crantage<SEP>(30)
<tb>– ensemble rail de remontage<SEP>(40)
<tb>– support denté arqué<SEP>(140)
<tb>– châssis support de guidage<SEP>(150)
<tb>– guidage à billes<SEP>(70)
<tb>– guidage à billes à degrés de liberté<SEP>(60)
<tb>– joints d’interfaces<SEP>(160)
<tb>– carrure<SEP>(90)
<tb>– châssis<SEP>(100)
<tb>– moyens de transmission arbre de renvoi<SEP>(110)
<tb>– arbre de transmission<SEP>(120)
<tb>– lame flexible<SEP>(130)
<tb>– module d’armage unidirectionnel<SEP>(170)
<tb>– roue de barillet<SEP>(260)
<tb>– barillet<SEP>(300)
<tb>– position de repos déterminée<SEP>(A)
<tb>– position déployée<SEP>(B)
<tb>– mécanisme du baladeur<SEP>(170)
<tb>– châssis à billes<SEP>(61)
<tb>– billes<SEP>(62)
<tb>– lames d’encageage<SEP>(63)
<tb>– évidements cylindriques<SEP>(150a)
<tb>– logement<SEP>(150b)
<tb>– module d’armage unidirectionnel<SEP>(170)
<tb>– partie de corne fixe<SEP>(101)
<tb>– mobile supérieur<SEP>(200)
<tb>– roue de sortie de la crémaillère<SEP>(121)
<tb>– baladeur<SEP>(230)
<tb>– arbre de pivotement<SEP>(220)
<tb>– goupille d’arrêt baladeur<SEP>(270)
<tb>– rainure réalisée sur la plaquette de limitation angulaire<SEP>(190)
<tb>– ressort de bascule<SEP>(180)
<tb>– mobile inférieur<SEP>(210)
<tb>– pignon d’entrée<SEP>(240)
<tb>– pignon de renvoi<SEP>(250)
<tb>– châssis de ressort à friction<SEP>(280)
<tb>– ressort à friction<SEP>(290)
<tb>– axe de pivotement du baladeur<SEP>(220)
Claims (6)
1. Montre à remontage manuel ou automatique, comprenant une boîte, composée d’une carrure (90), d’un châssis (100), ledit châssis (100) comportant des cornes (20, 101), et d’une lunette, ainsi qu’un mécanisme de remontage (10) d’un mécanisme de la montre, ledit mécanisme de remontage (10) étant monté sur ladite carrure (90),
caractérisé en ce que le mécanisme de remontage (10) comporte une partie de corne mobile (20) montée sur la boîte pour permettre un mouvement angulaire de la partie de corne mobile (20) entre une position de repos, et une position déployée par un mouvement angulaire suivant la géométrie externe de la boîte,
au moins une des cornes comportant une partie de corne fixe (101) qui coopère avec ladite partie de corne mobile (20) associée pour définir sa position de repos,
ladite partie de corne mobile (20) coopérant avec un engrenage monté entre le mécanisme de remontage (10) et un barillet (300) pour le remontage d’un mécanisme de la montre lors d’un mouvement angulaire imprimé à la partie de corne mobile (20),
ledit mécanisme de remontage (10) étant monté sur la carrure (90) par l’entremise d’un ensemble rail de remontage (40), solidarisé à la partie de corne mobile (20), et étant porté par une lame flexible (130).
2. Montre selon la revendication 1, dans laquelle l’ensemble rail de remontage (40) est composé d’un support denté arqué (140) dont des dents sont agencées sur la face interne de manière à s’engrener sur un arbre de renvoi (110) puis un arbre de transmission (120) pour remonter un mécanisme de la montre lors d’un mouvement angulaire imprimé à la partie de corne mobile (20).
3. Montre à remontage manuel ou automatique selon la revendication 1 ou 2, dans laquelle la lame flexible (130) a un rayon de courbure variable agencée de manière à masquer les éléments mécaniques du mécanisme de remontage (10) et pour assurer l’étanchéité entre l’ensemble rail de remontage (40) et la carrure (90).
4. Montre selon la revendication 2, dans laquelle le support denté arqué (140) porte des guidages à billes (70) sur sa partie supérieure et un châssis support de guidage (150) sur sa partie inférieure, ledit support de guidage (150) coopère avec un guidage à billes à degrés de liberté (60), chacun des guidages à billes (60, 70) comportant un châssis (61) dans lequel sont insérées des billes (62) et une lame (63), dite lame d’encageage, comportant des ouvertures pour laisser traverser partiellement les billes (62).
5. Montre selon la revendication 4, dans laquelle des joints d’interfaces (160) sont placés dans des évidements cylindriques (150a), réalisés sur le fond des logements du châssis support guidage (150), les joints d’interfaces (160) permettant une translation selon une direction perpendiculaire à un plan virtuel défini par la boîte de montre, pour absorber les écarts géométriques en hauteur des pièces constituant l’ensemble rail de remontage (40) selon ladite direction.
6. Montre selon l’une des revendications précédentes, dans laquelle un ressort de crantage (30) fixé sur la partie de corne mobile (20) maintient en position de verrouillage ladite partie de corne mobile (20) lorsqu’elle est alignée avec la partie de corne fixe (101).
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CH01284/09A CH701670B1 (fr) | 2009-08-17 | 2009-08-17 | Mécanisme de remontage d'une montre par une partie de corne mobile. |
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CH701670A2 CH701670A2 (fr) | 2011-02-28 |
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EP3862818A1 (fr) * | 2020-02-06 | 2021-08-11 | Patek Philippe SA Genève | Montre comprenant un mecanisme de remontage |
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2009
- 2009-08-17 CH CH01284/09A patent/CH701670B1/fr active IP Right Maintenance
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CH701670A2 (fr) | 2011-02-28 |
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