L'invention concerne un bouton-poussoir rotatif à impulsion muni d'un boîtier comportant un anneau indicateur avec la possibilité d'activer un contact parmi un nombre prédéfini de contacts possibles.
Pour la protection d'immeubles il est connu de proposer une serrure électronique qui ne s'ouvre qu'après avoir entré un code sur un clavier. L'entrée du code se fait sur un clavier à touches. Celui-ci consiste en faît en un groupe de dix à douze touches qui représentent un nombre prédéfini de boutons-poussoir. Ce clavier est en principe le même que celui qui est utilisé par exemple dans les guichets automatiques. Néanmoins il y a une différence importante dans leur utilisation. Dans les guichets automatiques chaque utilisateur entre son code personnel, donc différent des autres. Toutes les touches utilisés subissent à peu près le même nombre d'activation.
Par contre, dans le cas d'une serrure électronique avec clavier qui est prévue pour protéger une entrée, le code reste le même pendant des périodes assez longues. Puisqu'un code à chiffres qui doit être entré dans un clavier numérique n'utilise normalement pas toutes les chiffres, il est clair que les touches qui correspondent au chiffres utilisés sont plus usées que les autres. Ceci réduit la sécurité puisque une personne non autorisée peut facilement reproduire le code en excluant toutes les touches avec un aspect neuf. Avec un code à 4 chiffres comportant des chiffres différents entre eux il n y a que 24 possibilités. Même dans le cas où la surface des touches ne se détériore pas, il est toujours possible qu'une personne non autorisée couvre au préalable les touches d'un produit qui permet de retracer et déterminer les touches utiliseés.
De plus, l'entrée des chiffres dans un tel clavier peut être observé facilement puisque les utilisateurs ne vont pas caché leurs main et doigts quand il les déplacent sur le clavier, ce qui réduit encore la sécurité de tels claviers.
L'objet de l'invention est de prévoir un bouton-poussoir rotatif impulsion qui permet de composer un code secret d'une manière plus sure, moins voyante et sans laisser des traces d'utilisation sur le clavier.
Le bouton-poussoir rotatif tel que défini dans la revendication 1 rend superflu le nombre important de touches différentes parce que l'utilisateur choisit d'abord le prochain chiffre du code et le valide ensuite à l'aide de l'unique contact.
Il est bien évident que l'invention n'est pas seulement utilisable dans le domaine des serrures électroniques ou elle remplace le clavier traditionnel mais dans toute application où un utilisateur doit choisir entre plusieurs possibilités. Ceci est indépendant du fait s'il y a un choix à faire ou si l'utilisateur doit faire plusieurs choix subséquents. On peut citer les claviers des automates pour la distribution grand public de boisson, de friandises ou d'autre marchandises. Dans tout les cas on obtient une grand simplification du câblage.
L'invention sera décrite plus amplement en référence aux dessins, qui représentent:
fig. 1 une vue de dessus sur un bouton-poussoir rotatif suivant l'invention,
fig. 2 une vue en perspective et partiellement coupée du bouton-poussoir suivant l'invention,
fig. 3 une vue en perspective et en coupe du bouton-poussoir de la fig. 2,
fig. 4 une vue de coupe transversale d'un autre bouton-poussoir rotatif suivant l'invention,
fig. 5 le cliquet pour l'utilisation dans un bouton-poussoir de la fig. 2 ou 4, et
fig. 6 une vue sur un circuit imprimé avec le support cliquet et d'autres éléments pour l'utilisation dans un bouton-poussoir de la fig. 3.
Le bouton-poussoir comporte une embase 1 qui est représenté dans la fig. 1. L'embase 1, dont la forme peut varier selon l'application, est ici prévue pour une montage en saillie. Il est également possible de prévoir un montage encastré du bouton-poussoir. L'embase 1 comporte préférablement une surface écrite 2 qui comporte les dénominations des choix possibles. Le bouton-poussoir de la fig. 1 permet de choisir entre douze entrées différentes, 0 à 9 puis A et B. Il est évident que le nombre d'entrées différentes prédéfinies peut varier selon le besoin de l'utilisation. D'autres nombres possibles sont par exemples 10 (les dix chiffres), 16 (les chiffres hexadécimales) et 26 (les lettres de l'alphabet).
A 1'intérieur de la surface 2 il y a une molette 3 avec un indicateur 4. L'indicateur 4 peut être une dépression pour permettre l'utilisateur de tourner la molette 3 avec le bout d'un doigt et en même temps pour lui donner la position actuelle choisie du bouton-poussoir, ici en face du chiffre "1". L'indicateur 4 peut également être réalisé à l'aide d'une manette, mais il est préféré de prévoir une légère dépression puisqu'elle résiste mieux aux influences externes et au vandalisme.
La fig. 2 montre une vue en perspective et partiellement coupée du bouton-poussoir suivant l'invention. Des éléments identiques portent dans tous les dessins les mêmes références. Il faut noter qu'en dessous de la molette 3 il y une lamelle dome qui est représentée dans la fig. 4. Pour permettre à la dépression 4 de trouver une position bien définie en face d'une des chif fres/lettres de la surface 2 le bouton-poussoir comporte un support cliquet 5.
Le support cliquet 5 a la forme d'un anneau et consiste en un nombre de paires 24 de faces obliques 6 et 7 qui est égal au nombre de positions prédéfinies. Le cliquet 20, qui est représenté dans la fig. 5, possède un certain nombre de feuilles de ressort 21 qui peuvent s'encastrer entre une paire 24 de faces obliques 6 et 7. Dans la fig. 2 il y a entre chaque paire de faces obliques 6 et 7 une ligne radiale basse 8 et entre deux paires adjacentes 24 de faces obliques 6 et 7 se trouve une ligne radiale haute 9. Le faible angle avec l'horizontale qui est formé par les faces 6 et 7 permet au cliquet 20 d'être tourné facilement et au feuilles de ressort 21 de quitter un emplacement entre une certaine paire de faces 6 et 7 pour glisser au-dessus de la ligne haute 9 dans une position adjacente 24 près d'une autre ligne basse 8.
Il est bien sûr possible d'arrondir les faces 6 et 7 ou de les remplacer par des éléments qui forment une suite de creux 8 et de bosses 9 le long de la circonférence de l'intérieur du bouton-poussoir. Dans le cas extrême le creux est une surface horizontale et les bosses qui forment les lignes radiale hautes 9 sont des parois radiales. Le rôle du cliquet est donc de faire remonter la molette 3 et d'assurer le positionnement en rapport avec un contact.
La fig. 3 est une vue en perspective et en coupe du bouton-poussoir de la fig. 2. L'embase 1 est fixée sur une base 10, qui peut être réalisée tant que circuit imprimé. Un anneau 11 est relié avec la molette 3 par un anneau de raccord 12. L'anneau 11 se trouve encastré entre une paroi circonférentielle 13 de l'embase 1 et le support cliquet 5. Le cliquet 20 est positionné dans le creux 14. Sur la surface 10, dont les détails ressortent de la fig. 6, et entre les parois du support cliquet 5 est prévue une lamelle dome 15. Cette lamelle dome 15 contacte le long d'un anneau une piste de validation 31 extérieure et est posi tionnée au centre à une distance d'une piste de validation intérieure 32 (voir fig. 6).
En face du centre de la lamelle dome 15 est positionné un anneau de validation 16. Cet anneau 16 qui est formé en une seule pièce avec la molette 3 permet à l'utilisateur d'amener le centre de la lamelle dome 15 en contact avec la piste de validation intérieure 32. La lamelle dome 15 agit en même temps comme ressort et tient la molette 3 sous une prétension contre l'embase 1. Dans la fig. 3 la référence 22 désigne l'anneau intérieur du cliquet 20. C'est la dimension de la molette 3 qui, entre autres, détermine le nombre des choix possible et qui assure un grand nombre de manÖuvres.
La fig. 4 est une vue de coupe transversale d'un autre bouton-poussoir suivant l'invention. La différence entre le bouton suivant la fig. 3 et le bouton selon la fig. 4 consiste dans le remplacement de l'anneau 16 par une bosse centrale 17. La fig. 4 représente une version anti-vandale qui est préférablement entièrement en métal.
On peut également noter que l'anneau 11 porte un patin de contact 18. Ce patin de contact 18 est orienté vers la paroi 13 et en même temps vers la surface 19 sur le circuit imprimé. La fonction de ce patin 18 sortira plus clairement de la description de la fig. 6. Le bouton-poussoir est symétrique par rapport à son axe 25.
La fig. 5 montre le cliquet 20 pour l'utilisation dans un bouton-poussoir de la fig. 2 ou la fig. 4. Il consiste dans un anneau intérieur 22 et possède les feuilles de ressort 21. Quatre feuilles de ressort 21 donnent une bonne stabilité à la molette 3, mais aussi d'autres nombres de feuilles de ressort 21 sont possibles. En outre les feuilles de ressort 21 peuvent être remplacées par toute autre élément qui permet de distinguer différen tes positions de la molette 3. Les bouts des feuilles de ressort 21 sont arrondis pour améliorer le contact et de permettre à la molette 3 d'être tournée dans les deux directions autour de l'axe centrale 25 du bouton-poussoir.
La fig. 6 est une vue sur un circuit imprimé avec le support cliquet 5 et avec d'autres éléments pour l'utilisation dans un bouton-poussoir de la fig. 3. La piste de validation intérieure 32 est un anneau pour permettre la mise en contact avec la lamelle 15 par pression de l'anneau 16 de la molette 3. Alors il y a un contact électrique direct entre la piste de validation intérieure 32 et la piste de validation extérieure 31. A ce moment le bouton-poussoir transmet l'information de sa position, c.a.d. la position de la dépression 4 de la molette 3, à un circuit de commande subséquent. Pour ceci l'anneau 11 comporte le patin 18, qui est, par effet de ressort, constamment en contact avec une piste 33 qui est prévue soit verticalement le long de la paroi 13 de l'embase 1 soit dans un anneau concentrique autour de l'axe 25.
Au-dessous de l'anneau 11 et donc annulairement sur le circuit imprimé il y a prévue un nombre prédéfini de contacts 34. Le nombre de ces contacts 34 est égal au positions possible de la molette 3 et donc au nombre de paires 24 de faces obliques. Mais il est également possible de choisir un type de codage différent pour arriver à un nombre de positions prédéfini. Les contacts 34 ne correspondent pas forcement un à un avec une position de la molette 3; il peut y avoir des claviers et/ou des positions distinctes où plusieurs contacts sont fermés en même temps et aussi des emplacements vides où aucun contact est fermé.
Le fonctionnement du bouton-poussoir est facile à comprendre. L'utilisateur tourne la molette 3 à l'aide de la dépression 4 qui sert en plus à choisir une position déterminée. L'utilisateur peut à l'aide des feuilles de ressort 21 qui rentrent dans les paires 24 choisir exactement une position précise. Alors le patin 18 qui est constamment en contact avec la piste 33 se trouve en face d'un contact 34 qui est le contact associé avec la position de la molette 3. Ensuite l'utilisateur doit pousser la molette 3 pour valider son choix. Le contact de la lamelle dome 15 avec les deux pistes 31 et 32 ferme le circuit électrique et permet à un circuit électronique subséquent de recevoir le choix de la position de l'utilisateur.
Le bouton-poussoir peut comprendre des lumières 35, préférablement au nombre égal des choix possibles, pour visualiser le choix actuel de l'utilisateur. Elles peuvent s'allumer toutes lors de la validation de ce choix ou suivant tout type de codage. De même la molette 3 peut être rendue lumineuse dans la zone d'entraînement.
Il est possible de ne pas prévoir de contact entre le patin 18 et les pistes 33 et 34 jusqu'au moment de la validation. Par contre, dans le mode de réalisation de la fig. 6 il y a toujours contact sur l'un d'entre eux. La validation se fait par l'intermédiaire du dome.
Le bouton-poussoir peut être réalisé en métal ou en matière synthétique. Toutes les couleurs et aspects peuvent être réalisés avec les pièces synthétiques alors que le métal possède une meilleure résistance contre des attaques de vandalisme.
The invention relates to a rotary impulse button provided with a housing comprising an indicator ring with the possibility of activating a contact from a predefined number of possible contacts.
For the protection of buildings it is known to propose an electronic lock which opens only after entering a code on a keyboard. The code is entered on a keypad. This consists in fact of a group of ten to twelve keys which represent a predefined number of push buttons. This keyboard is in principle the same as that used for example in ATMs. However there is an important difference in their use. In ATMs, each user enters their personal code, which is different from the others. All the keys used undergo approximately the same number of activation.
On the other hand, in the case of an electronic lock with a keypad which is designed to protect an entry, the code remains the same for fairly long periods. Since a digit code that must be entered on a numeric keypad does not normally use all the digits, it is clear that the keys that correspond to the digits used are more worn than the others. This reduces security since an unauthorized person can easily reproduce the code by excluding all keys with a new appearance. With a 4-digit code with different digits between them there are only 24 possibilities. Even in the case where the surface of the keys does not deteriorate, it is always possible that an unauthorized person covers beforehand the keys of a product which makes it possible to trace and determine the keys used.
In addition, the entry of numbers in such a keyboard can be easily observed since users will not hide their hands and fingers when they move them over the keyboard, further reducing the security of such keyboards.
The object of the invention is to provide a rotary impulse push-button which makes it possible to compose a secret code in a safer, less conspicuous manner and without leaving traces of use on the keyboard.
The rotary push button as defined in claim 1 eliminates the large number of different keys because the user first chooses the next digit of the code and then validates it using the single contact.
It is obvious that the invention is not only usable in the field of electronic locks or it replaces the traditional keyboard but in any application where a user has to choose between several possibilities. This is independent of whether there is a choice to make or whether the user has to make several subsequent choices. One can quote the keyboards of the automats for the general public distribution of drink, sweets or other goods. In all cases, a great simplification of the wiring is obtained.
The invention will be described more fully with reference to the drawings, which represent:
Fig. 1 a top view on a rotary push button according to the invention,
Fig. 2 is a perspective view, partially cut away, of the push button according to the invention,
Fig. 3 a perspective view in section of the push button of FIG. 2
Fig. 4 is a cross-sectional view of another rotary push-button according to the invention,
Fig. 5 the pawl for use in a push button of fig. 2 or 4, and
Fig. 6 a view of a printed circuit with the ratchet support and other elements for use in a push button of FIG. 3.
The push button has a base 1 which is shown in FIG. 1. The base 1, the shape of which can vary depending on the application, is here provided for surface mounting. It is also possible to provide a flush mounting of the push button. The base 1 preferably includes a written surface 2 which includes the names of the possible choices. The push button in fig. 1 allows you to choose between twelve different entries, 0 to 9 then A and B. It is obvious that the number of different predefined entries can vary according to the need for use. Other possible numbers are for example 10 (the ten digits), 16 (the hexadecimal digits) and 26 (the letters of the alphabet).
Inside the surface 2 there is a wheel 3 with an indicator 4. The indicator 4 can be a depression to allow the user to turn the wheel 3 with the tip of a finger and at the same time for him give the current selected position of the push button, here opposite the number "1". Indicator 4 can also be achieved using a joystick, but it is preferred to provide a slight depression since it is more resistant to external influences and vandalism.
Fig. 2 shows a perspective view and partially cut away of the push button according to the invention. Identical elements bear the same references in all the drawings. It should be noted that below the wheel 3 there is a dome strip which is shown in fig. 4. To allow the depression 4 to find a well-defined position in front of one of the numbers / letters of the surface 2, the push-button has a ratchet support 5.
The ratchet support 5 has the shape of a ring and consists of a number of pairs 24 of oblique faces 6 and 7 which is equal to the number of predefined positions. The pawl 20, which is shown in FIG. 5, has a number of spring sheets 21 which can be fitted between a pair 24 of oblique faces 6 and 7. In FIG. 2 there is between each pair of oblique faces 6 and 7 a low radial line 8 and between two adjacent pairs 24 of oblique faces 6 and 7 is a high radial line 9. The small angle with the horizontal which is formed by the sides 6 and 7 allows the pawl 20 to be easily turned and the spring leaves 21 to leave a location between a certain pair of faces 6 and 7 to slide above the high line 9 in an adjacent position 24 near another low line 8.
It is of course possible to round the faces 6 and 7 or to replace them with elements which form a series of hollows 8 and bumps 9 along the circumference of the interior of the push button. In the extreme case, the hollow is a horizontal surface and the bumps which form the high radial lines 9 are radial walls. The role of the pawl is therefore to raise the wheel 3 and to ensure the positioning in relation to a contact.
Fig. 3 is a perspective view in section of the push-button of FIG. 2. The base 1 is fixed on a base 10, which can be produced as a printed circuit. A ring 11 is connected to the wheel 3 by a connecting ring 12. The ring 11 is embedded between a circumferential wall 13 of the base 1 and the pawl support 5. The pawl 20 is positioned in the recess 14. On the surface 10, the details of which emerge from FIG. 6, and between the walls of the pawl support 5 is provided a dome strip 15. This dome strip 15 contacts an external validation track 31 along a ring and is positioned in the center at a distance from an internal validation track 32 (see fig. 6).
Opposite the center of the dome strip 15 is positioned a validation ring 16. This ring 16 which is formed in one piece with the knob 3 allows the user to bring the center of the dome strip 15 into contact with the internal validation track 32. The dome strip 15 acts at the same time as a spring and holds the wheel 3 under pretension against the base 1. In FIG. 3 the reference 22 designates the inner ring of the pawl 20. It is the dimension of the wheel 3 which, inter alia, determines the number of choices possible and which ensures a large number of operations.
Fig. 4 is a cross-sectional view of another push button according to the invention. The difference between the button according to fig. 3 and the button according to fig. 4 consists in replacing the ring 16 with a central bump 17. FIG. 4 shows an anti-vandal version which is preferably entirely made of metal.
It can also be noted that the ring 11 carries a contact pad 18. This contact pad 18 is oriented towards the wall 13 and at the same time towards the surface 19 on the printed circuit. The function of this shoe 18 will emerge more clearly from the description in FIG. 6. The push button is symmetrical about its axis 25.
Fig. 5 shows the pawl 20 for use in a push button of FIG. 2 or fig. 4. It consists of an inner ring 22 and has the spring sheets 21. Four spring sheets 21 give good stability to the wheel 3, but also other numbers of spring sheets 21 are possible. In addition the spring leaves 21 can be replaced by any other element which makes it possible to distinguish different positions of the wheel 3. The ends of the spring leaves 21 are rounded to improve the contact and to allow the wheel 3 to be turned. in both directions around the central axis 25 of the push button.
Fig. 6 is a view on a printed circuit with the ratchet support 5 and with other elements for use in a push button of FIG. 3. The interior validation track 32 is a ring to allow contact with the strip 15 by pressing the ring 16 of the thumb wheel 3. Then there is a direct electrical contact between the interior validation track 32 and the external validation track 31. At this moment the push button transmits the information of its position, ie the position of the depression 4 of the thumb wheel 3, to a subsequent control circuit. For this, the ring 11 comprises the shoe 18, which is, by spring effect, constantly in contact with a track 33 which is provided either vertically along the wall 13 of the base 1 or in a concentric ring around the axis 25.
Below the ring 11 and therefore annularly on the printed circuit there is a predefined number of contacts 34. The number of these contacts 34 is equal to the possible positions of the knob 3 and therefore to the number of pairs 24 of faces obliques. But it is also possible to choose a different type of coding to arrive at a predefined number of positions. The contacts 34 do not necessarily correspond one by one with a position of the knob 3; there may be separate keypads and / or positions where multiple contacts are closed at the same time and also empty slots where no contacts are closed.
The operation of the push button is easy to understand. The user turns the wheel 3 using the vacuum 4 which is also used to choose a determined position. The user can using the spring sheets 21 which fit into the pairs 24 choose exactly a precise position. Then the shoe 18 which is constantly in contact with the track 33 is opposite a contact 34 which is the contact associated with the position of the wheel 3. Then the user must push the wheel 3 to confirm his choice. The contact of the dome strip 15 with the two tracks 31 and 32 closes the electrical circuit and allows a subsequent electronic circuit to receive the choice of the position of the user.
The push button may include lights 35, preferably equal to the number of possible choices, to display the current choice of the user. They can all light up upon validation of this choice or according to any type of coding. Similarly, the wheel 3 can be made bright in the drive area.
It is possible not to provide contact between the pad 18 and the tracks 33 and 34 until the time of validation. On the other hand, in the embodiment of FIG. 6 there is always contact on one of them. Validation is done through the dome.
The push button can be made of metal or synthetic material. All colors and aspects can be achieved with synthetic parts while metal has better resistance against vandalism attacks.