DESCRIPTION
La présente invention concerne un badge lumineux électrique pour la présentation d'un panneau translucide, comprenant un emplacement de dimensions déterminées pour la mise en place d'un tel panneau, au moins une source de lumière pour éclairer ce panneau par son verso, et une source d'énergie électrique pour alimenter la source de lumière. L'invention concerne également un ensemble comprenant un tel badge et un assortiment de panneaux translucides pour ce badge.
Un badge de ce type est fréquemment porté en pochette , fixé à un veston, un blouson, une chemise, etc., au moyen d'une agrafe, d'une épingle ou dispositif similaire. Selon les circonstances, le badge peut également être simplement posé sur une table. Il existe cependant au moins trois situations différentes dans lesquelles un badge lumineux de ce genre peut être porté. Ce sont: - le port du badge au niveau du revers du veston, c'est-à-dire en
pochette, le badge restant relativement fixe par rapport au corps
du porteur, - le port du badge en pendentif laissant libres les mains du porteur,
cas dans lequel le badge peut toutefois se balancer , et - le port du badge tenu à la main et élevé pour manifester, appeler,
rassembler (par exemple dans une gare, une exposition, une ma
nifestation, etc.).
Les badges pouvant exister à l'heure actuelle ne se prêtent pas adéquatement à toutes les situations envisagées. Comme susmentionné, le port en pochette nécessite généralement des moyens de fixation du type agrafe, etc.; le badge peut aussi être partiellement glissé dans une pochette, mais il ne s'y trouve pas bien maintenu et risque de tomber par suite des mouvements du porteur. Suspendu en pendentif, un badge quelconque risque de se retourner et/ou de se positionner obliquement, de façon qu'il ne peut plus guère, ou même plus du tout, être lu. Enfin, si le porteur tient le badge à main levée, par exemple au milieu d'une certaine foule, il risque de le présenter en attitude inadéquate, à moins de le fixer constamment des yeux, chose difficile à demander.
L'invention vise à fournir un badge du type générique précédemment défini dont le port dans différentes situations soit toujours à la fois facile et sûr, ne requérant aucun moyen de fixation compliqué et assurant une présentation en attitude toujours adéquate.
Conformément à l'invention, ce but est atteint par la présence des caractères énoncés dans la revendication 1.
Les revendications 2 à 10 définissent des formes d'exécution particulièrement avantageuses quant à leur constitution, leur facilité de porter, leur maniement, leur coût, etc. L'invention propose encore, conformément aux revendication 11 et 12, un ensemble qui comprend le badge et un assortiment de panneaux permettant des utilisations multiples.
L'invention fait appel à l'utilisation du poids propre de la source d'énergie (pile ou batterie rechargeable), poids qui serait a priori gênant, pour obtenir que le corps inférieur leste le corps supérieur.
Porté en pochette, le badge selon l'invention est tenu en place avec sûreté, son corps supérieur s'appuyant sur les deux côtés du bord de la pochette tandis que le corps inférieur leste le badge et occupe pratiquement tout le volume de la pochette. Porté en pendentif, le badge selon l'invention sera suspendu par les extrémités de son corps supérieur, par exemple à l'aide d'une chaîne, et le corps inférieur le lestera de façon que son inscription ou motif soit présenté d'une façon adéquate vers l'avant, à la manière d'une enseigne. Enfin, porté à bout de bras, le badge selon l'invention sera saisi par son corps inférieur, dont le format pochette est aussi un format qui tient bien en main; le poids notable du corps inférieur contenant la pile ou la batterie rechargeable aidera le porteur à tenir le badge bien en main, la partie la plus lourde étant dans sa main même.
Le dessin annexé illustre, à titre d'exemple, des formes d'exécution de l'objet de l'invention; dans ce dessin:
la fig. 1 est une vue en perspective montrant la forme générale d'un badge du type conforme à l'invention,
la fig. 2 est une vue de face d'une première forme d'exécution d'un badge conforme à l'invention,
la fig. 3 est une vue de côté du badge de la fig. 2,
la fig. 4 est une vue latérale en coupe du badge des fig. 2 et 3,
la fig. 5 est une vue partielle de face d'une autre forme d'exécution d'un badge conforme à l'invention,
la fig. 6 est une vue latérale en coupe selon la ligne VI-VI de la fig. 5, cette fig. 6 illustrant le cas d'un boîtier en une pièce,
les fig. 6A et 6B sont des vues partielles correspondant à l'angle inférieur gauche de la fig. 6, dans le cas de boîtier en plusieurs pièces,
la fig.
7 est une vue de dessus d'une autre forme d'exécution encore d'un badge conforme à l'invention,
la fig. 8 est une vue latérale en coupe du badge de la fig. 7, et
la fig. 8A est une vue similaire à la fig. 7, illustrant une variante de la forme d'exécution de celle-ci.
A la fig. I, on a représenté un badge 1, du type conforme à l'invention, d'une façon qui montre sa forme générale, sans entrer dans les détails d'exécution. On voit que le badge comprend un corps su périeur 2 et un corps inférieur 3. Le corps inférieur 3 contient une pile électrique. Le corps supérieur 2 s'étend en largeur sur le corps inférieur 1, donnant au badge la forme générale d'un T. Le corps su périeur porte un panneau 4, transparent ou translucide, destiné à être éclairé depuis l'arrière de façon à mettre en évidence un dessin, un nom, un symbole, porté par le panneau. A la fig. 1, le panneau 4 porte le nom d'une équipe sportive (imaginaire). Le corps 3 est relativement lourd du fait de la présence de la pile (non représentée à la fig. 1) et il a le format qui convient pour être glissé dans une pochette.
Le corps supérieur 2 est plus large, de sorte qu'il reste accroché sur les bords de la pochette où le corps 3 est introduit. A ses deux extrémités, le corps supérieur 2 est muni de boucles 5, ou d'éléments analogues, permettant le port du badge en pendentif. Dans cette position également, le corps inférieur 3 leste le corps supérieur 2, de sorte que l'inscription sur le panneau 4 est toujours adéquatement présentée vers l'avant, à la manière d'une enseigne. Le badge est fait de préférence en matière plastique ou cellulosique. La faible densité de cette matière accentue l'effet de lestage.
On remarque également que les extrémités du corps supérieur 2 sont arrondies de façon que le badge ne puisse pas servir d'instrument contondant dans une bagarre. On pourrait même constituer ou revêtir ces extrémités d'une matière très souple, afin d'éviter tout risque de ce genre.
On considérera maintenant la forme d'exécution particulière de l'invention qui est montrée aux fig. 2, 3 et 4. Le badge 11 de ces figures présente la forme générale du badge 1 de la fig. 1. Le corps supérieur 2 comprend un boîtier supérieur 12, logeant des moyens optiques et électroniques, et un boîtier inférieur 13, logeant la pile d'alimentation 25.
L'agencement des éléments à l'intérieur du boîtier supérieur 12 est bien visible à la fig. 4. Le panneau 4 de la fig. 1 se présente sous la forme d'un écran 14 en matière transparente ou translucide, de préférence en matière plastique. Cet écran peut être préalablement muni d'une inscription, mais le badge peut également être livré avec des panneaux prédécoupés à la grandeur voulue, que l'utilisateur pourra munir lui-même d'une inscription ou d'un dessin. On peut avoir des écrans translucides de différentes couleurs, il est également possible de superposer un écran-panneau blanc et muni d'une inscription à un écran-panneau de couleur.
On voit que le boîtier supérieur 12 présente un rebord intérieur 16 contre lequel l'écran-panneau 14 s'appuie par son bord. Une lunette 17, de forme appropriée, tient l'écran en place. La lunette 17 est montée à cran ou à friction contre le boîtier 12. Avantageusement, la lunette 17 présente une projection inférieure 17a, permettant à l'utilisateur d'enlever facilement la lunette pour changer d'écran. Derrière ce dernier se trouve un miroir 23 longitudinalement rectiligne et ayant un profil concave (circulaire, parabolique, etc.). Les deux ampoules électriques 24 sont situées hors de l'aire de la fenêtre présentant le panneau 14, comme le montre la fig. 2. A l'arrière du miroir 23, le boîtier 12 supporte une plaque 18 portant les composants électroniques, constituée de préférence d'une plaque du type circuit imprimé .
Ce circuit imprimé 18 porte les composants nécessaires au fonctionnement clignotant des deux ampoules 24. Ces différents composants sont représentés d'une façon symbolique à la fig. 4. La plaque 18 est retenue, du côté supérieur, par un rebord interne 19 du boîtier 12, et, du côté inférieur, par pénétration de deux pattes 20 qu'elle reçoit dans des perçages de la paroi de la partie boîtier 12, ces pattes aboutissant à des nappes de soudure, ou d'autres éléments métalliques analogues 21, servant à établir le contact avec les lames d'électrodes 26 de la pile 25. La réunion des deux boîtiers 12 et 13, pour former le badge 11, est assurée par un dispositif de rebords et de coulisses 27-32.
Le long de ses deux bords supérieurs constituant les petits côtés du rectangle qui forme le contour du boîtier inférieur 13 (en correspondance approximative avec le format normalisé d'une pile), celui-ci présente deux rebords 27 et 28. Le rebord 27 s'engage dans une coulisse en forme de crochet 29 présentée par le dessous du boîtier supérieur 12, tandis que l'autre rebord 28 est tenu croché dans un crochet spécial 30, bien visible aux fig. 2 et 3. Ce crochet spécial 30 comprend une languette centrale 31 qui forme appui pour le rebord 28. Le boîtier inférieur 13 peut donc coulisser sous le boîtier supérieur 12. Un arrêt avant 32 est toutefois prévu sur le boîtier 12, pour arrêter le coulissement dans une certaine position.
Pour séparer le boîtier inférieur 13 du boîtier supérieur 12, il suffit de faire coulisser ces pièces l'une par rapport à l'autre, de la façon montrée par la flèche B à la fig. 3. Par contre, pour resolidariser les deux boîtiers, par exemple après avoir changé la pile, l'utilisation d'un même mouvement coulissant serait gênante, du fait de la présence des lamelles de la pile. Le rattachement des deux boîtiers se fait plus aisément d'une autre manière, esquissée à la fig. 2. Le rebord 27 est d'abord engagé dans le crochetcoulisse 29, la partie inférieure étant encore oblique par rapport à la partie supérieure. Puis on meut la partie inférieure 13 en rotation, comme le montre la flèche A de la fig. 2. Le rebord 28 fait alors ployer légèrement le crochet spécial 30, puis vient derrière la languette 31.
Cette dernière n'a pas besoin de devoir être soulevée, puisque le démontage se fait latéralement (flèche B, fig. 3).
Les composants électroniques sont de type courant. De préférence, ils font clignoter les deux ampoules 24 en alternance, à une fréquence pouvant être réglée par le bouton 33. Une version à clignotement synchrone des deux ampoules est également envisageable.
En variante, on pourrait utiliser d'autres sources de lumière, par exemple des LED. Le bouton 33, ou un autre bouton de genre similaire, peut également permettre, selon les variantes d'exécution, de faire fonctionner les ampoules 24 de façon continue. Pour augmenter l'effet d'intensité de lumière, les ampoules 24 peuvent être survoltées par rapport à la tension de la pile, par exemple les ampoules pourraient être du type 3,5 V alors que la batterie délivrerait 4,5 V.
Dans ce cas, la durée de vie des ampoules serait toutefois réduite; on peut envisager également la fabrication d'un badge bon marché fonctionnant, par exemple, une heure, ensuite de quoi la pile serait épuisée. Le survoltage des ampoules devrait alors être dosé pour que ces dernières tiennent en moyenne aussi longtemps que la pile.
A la fig. 2, on remarque que les extrémités 15 du boîtier supérieur 12 sont de profil arrondi, l'important étant qu'elles soient non contondantes.
La forme d'exécution selon les fig. 2, 3 et 4 peut naturellement convenir aussi pour le port en pendentif; on peut la munir de crochets, anneaux, etc., ou encore simplement de trous pour le passage d'une chaînette, à proximité de ses deux extrémités arrondies 15.
Dans la forme d'exécution selon les fig. 2 à 4, le badge sera de préférence livré en deux pièces, une pile munissant déjà le boîtier in férieur 13. On pourra, le cas échéant, se passer d'un bouton de réglage 33. Dans la forme d'exécution la plus simple, il n'y a aucun réglage, le badge se met à clignoter dès que l'on enclipse les deux parties (il va sans dire que la position des deux endroits de connexion 21 correspond à celle des deux électrodes d'une pile).
Les fig. 5 et 6 illustrent une autre forme d'exécution d'un badge conforme à la présente invention. On y retrouve les mêmes éléments 14, 15, 16, 19,22-26, que dans la forme d'exécution selon les fig. 2 à 4. Ces éléments jouent le même rôle et ne seront pas réexpliqués. On retrouve aussi une plaque d'électronique 18' montée comme la plaque 18 de la forme d'exécution précédente, mais équipée quelque peu différemment quant à ses composants. Le bouton de commande d'un potentiomètre 33' se retrouve de manière analogue au bouton 33 de la forme précédente, mais disposé différemment et manipulable d'une autre façon. Dans cette forme d'exécution selon les fig. 5 et 6, le badge 41 comprend un boîtier formé d'une façon différente, mais la forme générale du badge est toujours celle que montre la fig. 1.
La pièce unique de boîtier 51 comprend une partie 61 formant deux boîtes ouvertes, une partie 62 formant un couvercle et une lunette rabattable, et une partie 64 amincie, qui établit une charnière entre les deux parties principales 61 et 62.
Les fig. 6A et 6B montrent de quelle façon on peut remplacer le boîtier unique par deux pièces àjoindre, la construction complète restant par ailleurs celle que montre la fig. 6. La partie principale couvercle 62 pivote en 64 sur la partie principale logement 61, de sorte que le logement supérieur 42 pour l'électronique et le logement inférieur 43 pour la pile sont ouverts par le devant, ce qui permet de changer l'écran-panneau 14 et la pile 25. Pour le maintien fermé, c'est-à-dire pour assurer notamment que le panneau transparent 14 reste bien en place, le couvercle 62 comprend un nez d'arrêt 60 alors que le logement 61 comprend, en une position correspondante, une creusure 58 qui définit un flanc d'arrêt 59. Le nez 60 pénètre dans la creusure 58 puis reste en appui contre le flanc 59, ce qui assure la fermeture du boîtier.
Pour ouvrir ce boîtier, on doit exercer une pression sur le haut du couvercle, comme le montre la flèche P de la fig. 6, de façon qu'une portion inférieure du couvercle féchisse pour dégager le nez 60 de l'encoche 58. Le dispositif d'arrêtage 58, 60, montré en coupe à la fig. 6, peut s'étendre sur toute la largeur du badge, ou seulement sur une faible largeur au milieu du badge. On peut avoir, le long du dessous du corps supérieur, plusieurs endroits munis d'un dispositif de retenue du type montré à la fig. 6. On note que le couvercle a, vu de devant, une forme générale de T et, vu de profil, une forme générale de Z à courte barre intermédiaire. Le haut du couvercle 62 fournit une lunette 57 qui vient simplement se plaquer contre le bord 65 de la partie principale 61 délimitant le logement supérieur 42.
A la fig. 6, on a représenté un simple appui entre la lunette 57 et le bord 65, mais il est clair qu'on pourrait prévoir un engagement plus robuste.
A la fig. 6A, le couvercle 62a n'est pas attenant au boîtier 61a, mais ces deux éléments sont en engagement d'une façon qui permet la fermeture à nez et gorge 58-60. Pour séparer les éléments 61a et 62a, on peut avantageusement laisser libre une partie de surface 62ax, où l'on peut glisser l'ongle.
A la fig. 6B, l'engagement entre les éléments 61b et 62b est un simple appui, la présence de la pile 25 est nécessaire pour retenir l'élément 62b, cette retenue permettant à l'arrêtage 58-60 d'être efficace.
Dans la forme d'exécution selon les fig. 5 et 6, la plaque 18', portant les composants électroniques, est montée de façon quelque peu différente. Cette plaque comprend, sur sa tranche inférieure, deux projections 67 qui sont munies d'un revêtement conducteur 68.
Ces projections 67 traversent deux perçages 66 dans la paroi intermédiaire séparant les logements supérieur 42 et inférieur 43, la disposition étant, comme le montre la fig. 5, telle que ces projections 67 viennent en contact avec les électrodes 26 de la pile 25. La mise en place de la pile ne pose dès lors aucun problème, elle se fait comme dans le cas d'une lampe de poche.
Cette forme d'exécution présente encore une autre particularité (que l'on pourrait du reste tout aussi bien prévoir sur les autres formes d'exécution). Il s'agit d'un petit microphone 69, logé dans une creusure supérieure 71 de la paroi supérieure de la partie 61, ce petit microphone 69 captant, par l'intermédiaire d'un trou ou grillage 71, le bruit et les divers signaux acoustiques qui se présentent dans l'ambiance. Ce microphone 69 est relié aux composants électroniques et agit sur ceux-ci de façon telle que, dès que le bruit ambiant dépasse un certain niveau, le clignotement des ampoules du badge s'accélère. Le badge fonctionne alors pratiquement en applaudimètre, particularité qui sera remarquable autour des stades et dans les salles de conférences.
L'électronique peut également contenir un ou plusieurs filtres de fréquences acoustiques, de façon que par exemple le bruit des applaudissements soit efficace et non pas celui des sifflets, ou vice versa. L'effet du bruit ambiant, capté par le microphone, pourrait également aboutir à un fonctionnement permanent (non clignotant) du badge, voire un fonctionnement saccadé (clignotements successifs de durées différentes), etc.
Les fig. 7 et 8 illustrent une autre forme d'exécution encore d'un badge conforme à la conception proposée. Ce badge 72 présente, de face, approximativement la même forme que celle visible à la fig. 2.
La partie supérieure allongée présente un agencement optique et électronique interne semblable à celui des autres formes d'exécution.
La partie supérieure du badge 72 comprend une pièce moulée de matière plastique 74 sur laquelle est enfilé un capuchon allongé 73, également fait de matière plastique, et présentant une ouverture pour la présentation de l'inscription sur un panneau transparent ou translucide semblable au panneau 14 de la forme d'exécution précédente. Les pièces 73 et 74 du badge 72 sont agencées pour former une coulisse 76, ouverte d'un côté, de façon que le panneau translucide 77 puisse être mis en place et enlevé latéralement, comme l'illustre la fig. 78
Le badge 72 comprend encore une partie en matière plastique 75, fixée ou soudée sous la portion 74, et ouverte vers l'arrière pour la mise en place d'une pile 78. Dans un prototype réalisé, les deux pièces 74 et 75 étaient distinctes et soudées, mais il serait également possible de les faire en un seul corps venu de fabrication.
Des fils ou pattes provenant du circuit imprimé se présentent dans le haut du logement intérieur de la pièce 75, comme on le voit en 80a et 80b à la fig. 7. La pile 78 présente des lamelles polaires de longueur inégale connue. La disposition des pattes de contact 80a, 80b est asymétrique de telle sorte que s'établisse le contact avec l'extrémité de chacune des lamelles 79a, 79b, respectivement. Cette disposition asymétrique présente l'avantage selon lequel la pile 78 peut également être mise en place, dans le logement intérieur de la pièce 75, d'une manière inverse à ce qui est représenté à la fig. 7, c'est-àdire que dans ce cas la longue lamelle 79a contactera les deux pattes 80a et 80b tandis que la courte lamelle 79b sera dans le vide. Cette situation sera la situation de stockage dans laquelle l'appareil ne fonctionne pas et la pile ne s'épuise pas.
La mise en marche est effectuée simplement par enlèvement de la pile et remise en place de celleci de façon retournée, dans la situation représentée à la fig. 7.
La fig. 8A présente une variante 72' de la forme d'exécution selon la fig. 8. Dans cette variante, la pièce 75', qui remplace la pièce 75 de la fig. 8, a simplement la forme d'une coiffe qui vient sur le dessus de la pile et serre celle-ci par la partie supérieure de ses faces latérales. En donnant à la matière plastique constituant la partie 75' une élasticité appropriée, ce montage, très simple, est aisément réalisé.
Dans la variante selon la fig. 8A, on a également la disposition particulière des pattes de connexion 80a, 80b, précédemment décrite avec la fig. 7.
La partie 75' de la fig. 8A peut naturellement aussi être fabriquée d'une pièce avec la partie 74, solution d'autant plus avantageuse que la partie 75' ne s'étend pas très loin de la partie 74.
Il convient encore de signaler diverses possibilités qui s'offrent concernant différents détails de fabrication du badge selon l'invention:
Le circuit imprimé, muni de son électronique, peut être réduit à exemple de football. La fréquence de clignotements n'est par contre plus réglable, et les deux ampoules ne fonctionnent plus de façon synchrone.
extrêmement peu de chose si l'on utilise des ampoules du type autoclignotant, telles qu'on en trouve depuis longtemps sur le marché pour des tensions élevées, mais qui commencent seulement d'être proposées maintenant pour des tensions de l'ordre de 3,5 ou 4,5 V.
Avec de telles ampoules autoclignotantes, la réalisation devient encore meilleur marché. La consommation d'énergie n'est que très peu supérieure à la consommation d'énergie d'une forme d'exécution avec électronique de clignotement; une pile de format standard permet toujours de couvrir la durée complète d'un match, par
Pour le port du badge en pendentif, la partie supérieure allongée du badge peut également, comme cela est montré en pointillé à la fig. 1, présenter, en lieu et place des crochets 5, des ergots pinceurs 5' dans lesquels cordelette, chaînette, ruban ou autre moyen similaire, peut venir se coincer, arrêté par des noeuds ou autres protubérances d'arrêt à ses extrémités.
La pile de 4,5 V, prévue dans les formes d'exécution décrites, pourrait bien sûr être remplacée par une ou plusieurs piles, par exemple de 3 V ou 1,5 V.
DESCRIPTION
The present invention relates to an electric light badge for the presentation of a translucent panel, comprising a location of determined dimensions for the installation of such a panel, at least one light source for illuminating this panel by its back, and a electric power source to power the light source. The invention also relates to an assembly comprising such a badge and an assortment of translucent panels for this badge.
A badge of this type is frequently worn in a pocket, attached to a jacket, a jacket, a shirt, etc., by means of a staple, a pin or the like. Depending on the circumstances, the badge can also be simply placed on a table. There are, however, at least three different situations in which such a light badge can be worn. These are: - the wearing of the badge on the lapel of the jacket, that is to say in
pocket, the badge remaining relatively fixed relative to the body
of the wearer, - wearing the badge as a pendant leaving the wearer's hands free,
case in which the badge can however swing, and - the wearing of the badge held in the hand and raised to demonstrate, to call,
gather (for example in a station, an exhibition, a ma
event, etc.).
The badges that may exist at present do not lend themselves adequately to all the situations envisaged. As mentioned above, carrying in a pouch generally requires fastening means of the staple type, etc .; the badge can also be partially slipped into a pocket, but it is not well maintained there and may fall as a result of the wearer's movements. Suspended as a pendant, any badge risks being turned and / or positioned obliquely, so that it can hardly any more, or even more at all, be read. Finally, if the wearer holds the badge by a show of hands, for example in the midst of a certain crowd, he risks presenting it in an inappropriate attitude, unless he is constantly staring at it, something difficult to ask.
The invention aims to provide a badge of the generic type previously defined, the wearing of which in different situations is always both easy and safe, requiring no complicated fixing means and ensuring a presentation in an always adequate attitude.
According to the invention, this object is achieved by the presence of the characters set out in claim 1.
Claims 2 to 10 define particularly advantageous embodiments as regards their constitution, their ease of carrying, their handling, their cost, etc. The invention further provides, according to claims 11 and 12, an assembly which includes the badge and an assortment of panels allowing multiple uses.
The invention calls for the use of the self-weight of the energy source (rechargeable battery or battery), a weight which would be a priori troublesome, in order to obtain that the lower body ballast the upper body.
Worn in a pocket, the badge according to the invention is held securely in place, its upper body resting on both sides of the edge of the pocket while the lower body weighs down the badge and occupies practically the entire volume of the pocket. Worn as a pendant, the badge according to the invention will be suspended by the ends of its upper body, for example using a chain, and the lower body will ballast it so that its inscription or pattern is presented in a way adequate forward, like a sign. Finally, worn at arm's length, the badge according to the invention will be grasped by its lower body, the pocket format of which is also a format which fits well in the hand; the significant weight of the lower body containing the rechargeable battery or battery will help the wearer to hold the badge securely in his hand, the heaviest part being in his hand.
The accompanying drawing illustrates, by way of example, embodiments of the subject of the invention; in this drawing:
fig. 1 is a perspective view showing the general shape of a badge of the type according to the invention,
fig. 2 is a front view of a first embodiment of a badge according to the invention,
fig. 3 is a side view of the badge of FIG. 2,
fig. 4 is a side view in section of the badge of FIGS. 2 and 3,
fig. 5 is a partial front view of another embodiment of a badge according to the invention,
fig. 6 is a side view in section along the line VI-VI of FIG. 5, this fig. 6 illustrating the case of a one-piece case,
fig. 6A and 6B are partial views corresponding to the lower left corner of FIG. 6, in the case of a multi-piece case,
fig.
7 is a top view of yet another embodiment of a badge according to the invention,
fig. 8 is a side view in section of the badge of FIG. 7, and
fig. 8A is a view similar to FIG. 7, illustrating a variant of the embodiment thereof.
In fig. I, there is shown a badge 1, of the type according to the invention, in a way which shows its general shape, without going into the details of execution. We see that the badge includes a upper body 2 and a lower body 3. The lower body 3 contains an electric battery. The upper body 2 extends in width over the lower body 1, giving the badge the general shape of a T. The upper body carries a panel 4, transparent or translucent, intended to be lit from the rear so as to highlight a drawing, a name, a symbol, carried by the panel. In fig. 1, panel 4 is named after a (imaginary) sports team. The body 3 is relatively heavy due to the presence of the battery (not shown in fig. 1) and it has the format which is suitable for being slipped into a pocket.
The upper body 2 is wider, so that it remains hung on the edges of the pocket where the body 3 is introduced. At its two ends, the upper body 2 is provided with loops 5, or the like, allowing the badge to be worn as a pendant. Also in this position, the lower body 3 ballast the upper body 2, so that the inscription on the panel 4 is always adequately presented forward, like a sign. The badge is preferably made of plastic or cellulosic material. The low density of this material accentuates the ballasting effect.
We also note that the ends of the upper body 2 are rounded so that the badge cannot be used as a blunt instrument in a fight. These ends could even be made or coated with a very flexible material, in order to avoid any risk of this kind.
We will now consider the particular embodiment of the invention which is shown in FIGS. 2, 3 and 4. The badge 11 in these figures has the general shape of the badge 1 in FIG. 1. The upper body 2 comprises an upper housing 12, housing optical and electronic means, and a lower housing 13, housing the supply battery 25.
The arrangement of the elements inside the upper housing 12 is clearly visible in FIG. 4. The panel 4 of fig. 1 is in the form of a screen 14 made of transparent or translucent material, preferably plastic. This screen can be previously provided with an inscription, but the badge can also be delivered with panels precut to the desired size, which the user can provide himself with an inscription or a drawing. We can have translucent screens of different colors, it is also possible to superimpose a white screen-panel and provided with an inscription to a color screen-panel.
We see that the upper housing 12 has an inner rim 16 against which the screen-panel 14 is supported by its edge. A bezel 17, of appropriate shape, holds the screen in place. The bezel 17 is mounted on the notch or friction against the housing 12. Advantageously, the bezel 17 has a lower projection 17a, allowing the user to easily remove the bezel to change the screen. Behind the latter is a mirror 23 longitudinally rectilinear and having a concave profile (circular, parabolic, etc.). The two light bulbs 24 are located outside the area of the window presenting the panel 14, as shown in FIG. 2. At the rear of the mirror 23, the housing 12 supports a plate 18 carrying the electronic components, preferably consisting of a plate of the printed circuit type.
This printed circuit 18 carries the components necessary for the flashing operation of the two bulbs 24. These various components are represented symbolically in FIG. 4. The plate 18 is retained, on the upper side, by an internal rim 19 of the housing 12, and, on the lower side, by penetration of two tabs 20 which it receives in bores of the wall of the housing part 12, these tabs leading to solder sheets, or other similar metallic elements 21, serving to establish contact with the electrode blades 26 of the battery 25. The union of the two housings 12 and 13, to form the badge 11, is provided by a device of edges and slides 27-32.
Along its two upper edges constituting the short sides of the rectangle which forms the outline of the lower housing 13 (in approximate correspondence with the standardized format of a stack), it has two flanges 27 and 28. The flange 27 is engages in a hook-shaped slide 29 presented from below the upper housing 12, while the other flange 28 is held hooked in a special hook 30, clearly visible in FIGS. 2 and 3. This special hook 30 includes a central tongue 31 which forms a support for the rim 28. The lower housing 13 can therefore slide under the upper housing 12. A front stop 32 is however provided on the housing 12, to stop the sliding in a certain position.
To separate the lower housing 13 from the upper housing 12, it suffices to slide these parts one relative to the other, as shown by the arrow B in FIG. 3. On the other hand, to re-couple the two boxes, for example after having changed the battery, the use of the same sliding movement would be inconvenient, due to the presence of the strips of the battery. The connection of the two boxes is more easily done in another way, sketched in FIG. 2. The rim 27 is first engaged in the hook-runner 29, the lower part being still oblique with respect to the upper part. Then the lower part 13 is moved in rotation, as shown by arrow A in FIG. 2. The rim 28 then slightly bends the special hook 30, then comes behind the tongue 31.
The latter does not need to be lifted, since disassembly is done laterally (arrow B, fig. 3).
The electronic components are of common type. Preferably, they flash the two bulbs 24 alternately, at a frequency that can be adjusted by the button 33. A version with synchronous flashing of the two bulbs is also possible.
Alternatively, other light sources could be used, for example LEDs. The button 33, or another button of a similar type, can also make it possible, according to the variant embodiments, to operate the bulbs 24 continuously. To increase the light intensity effect, the bulbs 24 can be boosted relative to the battery voltage, for example the bulbs could be of the 3.5 V type while the battery would deliver 4.5 V.
In this case, the life of the bulbs would however be reduced; one can also consider the manufacture of a cheap badge operating, for example, one hour, after which the battery would be exhausted. The overvoltage of the bulbs should then be dosed so that they last on average as long as the battery.
In fig. 2, we note that the ends 15 of the upper housing 12 are of rounded profile, the important thing being that they are not blunt.
The embodiment according to Figs. 2, 3 and 4 can naturally also be suitable for wearing as a pendant; it can be fitted with hooks, rings, etc., or even simply with holes for the passage of a chain, near its two rounded ends 15.
In the embodiment according to Figs. 2 to 4, the badge will preferably be delivered in two pieces, a battery already fitted to the lower case 13. We can, if necessary, do without an adjustment button 33. In the simplest embodiment , there is no adjustment, the badge starts to flash as soon as the two parts are clipped (it goes without saying that the position of the two connection locations 21 corresponds to that of the two electrodes of a battery).
Figs. 5 and 6 illustrate another embodiment of a badge according to the present invention. The same elements 14, 15, 16, 19, 22-26 are found there as in the embodiment according to FIGS. 2 to 4. These elements play the same role and will not be explained again. There is also an electronic plate 18 'mounted like the plate 18 of the previous embodiment, but equipped somewhat differently in terms of its components. The control button for a potentiometer 33 'is found similarly to the button 33 of the previous form, but arranged differently and manipulated in another way. In this embodiment according to FIGS. 5 and 6, the badge 41 comprises a housing formed in a different way, but the general shape of the badge is always that shown in FIG. 1.
The single housing part 51 comprises a part 61 forming two open boxes, a part 62 forming a cover and a folding bezel, and a thinned part 64 which establishes a hinge between the two main parts 61 and 62.
Figs. 6A and 6B show how the single housing can be replaced by two parts to be joined, the complete construction also remaining that shown in FIG. 6. The main cover part 62 pivots at 64 on the main housing part 61, so that the upper housing 42 for the electronics and the lower housing 43 for the battery are open from the front, which makes it possible to change the screen. panel 14 and the stack 25. For keeping it closed, that is to say in particular to ensure that the transparent panel 14 remains in place, the cover 62 comprises a stop nose 60 while the housing 61 comprises, in a corresponding position, a recess 58 which defines a stop flank 59. The nose 60 enters the recess 58 then remains in abutment against the flank 59, which ensures the closure of the housing.
To open this box, pressure must be applied to the top of the cover, as shown by arrow P in fig. 6, so that a lower portion of the cover flexes to release the nose 60 from the notch 58. The stopping device 58, 60, shown in section in FIG. 6, can extend over the entire width of the badge, or only over a small width in the middle of the badge. There may be, along the underside of the upper body, several places provided with a retaining device of the type shown in FIG. 6. It is noted that the cover has, seen from the front, a general shape of T and, seen in profile, a general shape of Z with short intermediate bar. The top of the cover 62 provides a bezel 57 which is simply pressed against the edge 65 of the main part 61 delimiting the upper housing 42.
In fig. 6, there is shown a simple support between the bezel 57 and the edge 65, but it is clear that a more robust engagement could be provided.
In fig. 6A, the cover 62a is not attached to the housing 61a, but these two elements are in engagement in a way which allows the closure with nose and groove 58-60. To separate the elements 61a and 62a, one can advantageously leave free a portion of surface 62ax, where one can slide the nail.
In fig. 6B, the engagement between the elements 61b and 62b is a simple support, the presence of the stack 25 is necessary to retain the element 62b, this retention allowing the stopping 58-60 to be effective.
In the embodiment according to Figs. 5 and 6, the plate 18 ', carrying the electronic components, is mounted somewhat differently. This plate comprises, on its lower edge, two projections 67 which are provided with a conductive coating 68.
These projections 67 pass through two holes 66 in the intermediate wall separating the upper 42 and lower 43 housings, the arrangement being, as shown in FIG. 5, such that these projections 67 come into contact with the electrodes 26 of the battery 25. The positioning of the battery therefore poses no problem, it is done as in the case of a flashlight.
This form of execution has yet another particularity (which one could, however, just as easily provide for the other forms of execution). It is a small microphone 69, housed in an upper recess 71 of the upper wall of the part 61, this small microphone 69 picking up, by means of a hole or mesh 71, the noise and the various signals acoustic that present themselves in the mood. This microphone 69 is connected to the electronic components and acts on them so that, as soon as the ambient noise exceeds a certain level, the flashing of the bulbs of the badge is accelerated. The badge then works practically as an applaudimeter, a feature that will be remarkable around the stadiums and in the conference rooms.
The electronics can also contain one or more acoustic frequency filters, so that for example the noise of applause is effective and not that of whistles, or vice versa. The effect of ambient noise, picked up by the microphone, could also lead to permanent operation (not flashing) of the badge, or even jerky operation (successive flashes of different durations), etc.
Figs. 7 and 8 illustrate yet another embodiment of a badge conforming to the proposed design. This badge 72 has, from the front, approximately the same shape as that visible in FIG. 2.
The elongated upper part has an internal optical and electronic arrangement similar to that of the other embodiments.
The upper part of the badge 72 comprises a molded piece of plastic material 74 on which is threaded an elongated cap 73, also made of plastic material, and having an opening for the presentation of the inscription on a transparent or translucent panel similar to the panel 14 of the previous embodiment. The parts 73 and 74 of the badge 72 are arranged to form a slide 76, open on one side, so that the translucent panel 77 can be put in place and removed laterally, as illustrated in FIG. 78
The badge 72 also includes a plastic part 75, fixed or welded under the portion 74, and open towards the rear for the installation of a battery 78. In a prototype produced, the two parts 74 and 75 were separate and welded, but it would also be possible to make them in a single body from manufacturing.
Wires or tabs from the printed circuit appear at the top of the interior housing of the part 75, as seen in 80a and 80b in FIG. 7. The stack 78 has polar lamellae of known unequal length. The arrangement of the contact tabs 80a, 80b is asymmetrical so that contact is made with the end of each of the strips 79a, 79b, respectively. This asymmetrical arrangement has the advantage that the stack 78 can also be put in place, in the interior housing of the part 75, in a manner opposite to that shown in FIG. 7, that is to say that in this case the long strip 79a will contact the two tabs 80a and 80b while the short strip 79b will be in a vacuum. This situation will be the storage situation in which the device does not work and the battery does not run out.
Start-up is carried out simply by removing the battery and replacing it in an inverted manner, in the situation shown in FIG. 7.
Fig. 8A presents a variant 72 ′ of the embodiment according to FIG. 8. In this variant, the part 75 ′, which replaces the part 75 in FIG. 8, simply has the shape of a cap which comes on top of the stack and clamps it by the upper part of its side faces. By giving the plastic constituting the part 75 ′ an appropriate elasticity, this very simple assembly is easily achieved.
In the variant according to FIG. 8A, there is also the particular arrangement of the connection lugs 80a, 80b, previously described with FIG. 7.
Part 75 'of fig. 8A can naturally also be manufactured in one piece with the part 74, a solution all the more advantageous since the part 75 ′ does not extend very far from the part 74.
It should also be noted that there are various possibilities available for different details of manufacturing the badge according to the invention:
The printed circuit, equipped with its electronics, can be reduced to the example of football. The frequency of flashes is however no longer adjustable, and the two bulbs no longer work synchronously.
extremely little if one uses bulbs of the autoclashing type, such as one found for a long time on the market for high voltages, but which only begin to be proposed now for tensions of the order of 3, 5 or 4.5 V.
With such self-flashing bulbs, the realization becomes even cheaper. The energy consumption is only very little higher than the energy consumption of an embodiment with flashing electronics; a standard format stack always covers the entire duration of a match, for example
For wearing the badge as a pendant, the elongated upper part of the badge can also, as shown in dotted lines in FIG. 1, present, in place of the hooks 5, pinch pins 5 ′ in which the cord, chain, ribbon or other similar means can get stuck, stopped by knots or other stopping protrusions at its ends.
The 4.5 V battery, provided in the embodiments described, could of course be replaced by one or more batteries, for example 3 V or 1.5 V.