CH663434A5 - Machine a coudre electrique, a commande informatisee. - Google Patents

Machine a coudre electrique, a commande informatisee. Download PDF

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CH663434A5
CH663434A5 CH3541/85A CH354185A CH663434A5 CH 663434 A5 CH663434 A5 CH 663434A5 CH 3541/85 A CH3541/85 A CH 3541/85A CH 354185 A CH354185 A CH 354185A CH 663434 A5 CH663434 A5 CH 663434A5
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CH
Switzerland
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lever
generator
sewing machine
axis
pinion
Prior art date
Application number
CH3541/85A
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English (en)
Inventor
Antonio Jimenez
Olindo Baruffa
Claude Buchilly
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Mefina Sa
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D05SEWING; EMBROIDERING; TUFTING
    • D05BSEWING
    • D05B59/00Applications of bobbin-winding or -changing devices; Indicating or control devices associated therewith

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Sewing Machines And Sewing (AREA)

Description

La présente invention se rapporte à une machine à coudre électrique, à commande informatisée, et plus particulièrement à une machine dans laquelle la vitesse de rotation d'au moins certains mobiles est dépendante de l'action d'un régulateur électronique dont le circuit de détection englobe au moins une génératrice tachymétrique cinématiquement solidaire desdits mobiles, destinée à délivrer une tension représentative de leur vitesse instantanée de rotation, et au moins une source de tension de référence de valeur variant avec la position occupée, à chaque instant, par un actuateur de la machine, ce régulateur agissant sur la vitesse de rotation des mobiles par comparaison permanente desdites tensions.
On connaît déjà de nombreuses machines à coudre de ce type appartenant généralement à deux classes distinctes, à savoir celles dans lesquelles lesdits mobiles sont susceptibles d'être rattachés mécaniquement par le régulateur, soit à un moteur d'entraînement tournant à vitesse sensiblement constante, soit à un dispositif de freinage,
selon que le signal délivré par la génératrice s'écarte dans un sens ou dans l'autre par rapport à la valeur de la tension de référence, et celles dans lesquelles les mobiles en question sont toujours cinématiquement solidaires du moteur d'entraînement de la machine, le régulateur agissant sur l'alimentation en courant du moteur en vue d'en varier la vitesse de rotation de façon inverse aux écarts constatés par la génératrice par rapport à la valeur de consigne fixée par la position occupée par l'actuateur de la machine.
L'état de la technique concerné par la première de ces deux classes de machine à coudre électrique englobe notamment les brevets suisse 635.382 et des Etats-Unis d'Amérique 4,377,778 ainsi que les demandes de brevet européen publiées sous les numéros 67072, 67649 et 104913.
La seconde classe de machines à coudre électriques évoquées précédemment est illustrée, par exemple, par le brevet soviétique 529.273 et, plus récemment, par le Kokai japonais 57-25187.
Comme dans le cas des machines à fonctionnement purement mécanique, voire électro-mécanique, les machines à coudre électriques connues, à commande informatisée, comprennent toutes, à titre d'accessoire indispensable, un dispositif devant permettre à l'usager de bobiner du fil sur une cannette vide et présentant, d'une part, un support rotatif sur lequel se fixe la cannette de façon amovible et, d'autre part, un mécanisme moteur pour l'entraînement de ce support en rotation.
Un tel dispositif peut revêtir différentes formes et, notamment, à l'instar de ce que montrent, par exemple, les brevets des Etats-Unis d'Amérique 3,587,494, 4,091,755 ou 4,161,153 ainsi que le brevet français 2078167, il peut englober tout un système d'embrayage devant permettre à l'usager de relier, momentanément et cinématiquement, le support de cannette au moteur électrique d'entraînement de l'ensemble de la machine soit directement, soit à un mobile intermédiaire entraîné par celui-ci.
On a également proposé de faire emploi d'un moteur auxiliaire de faible puissance, n'ayant d'utilisation que celle de l'entraînement direct du support de cannette et que l'usager peut mettre en service à volonté par actionnement d'un circuit de commande adéquat (brevet des Etats-Unis N° 3,741,492).
Les inconvénients de l'une ou l'autre de ces deux solutions sont bien connus de l'homme de l'art: en effet, alors que l'adoption d'une commande informatisée devrait permettre, en principe, de réduire de façon sensible le nombre et l'architecture des pièces entraînées par le moteur de la machine, l'amplitude des mouvements de jetée de l'aiguille et de transport du tissu étant imposés «in situ» par des moteurs pas à pas individuels, pilotés par la commande informatisée de la machine, et conduire ainsi à une simplification structurelle et, co-rollairement, à une réduction des risques de pannes mécaniques et des coûts de fabrication et d'entretien devant, en principe, se traduire également par une diminution des dimensions du boîtier de la machine et donc également de son poids, l'adoption forcée de l'un ou l'autre type de dispositif de bobinage et son inclusion, à titre de «corps étranger» parmi les éléments structurels servant exclusivement à la fonction «couture», amoindrissent l'impact qu'on serait en droit d'attendre de l'adoption d'une solution technique aussi sophistiquée que celle mise en œuvre dans une machine à coudre à commande informatisée, c'est-à-dire dans laquelle ses différentes fonctions sont pilotées par un microprocesseur à partir d'instructions codées et stockées dans une mémoire morte de type «solid state», notamment une ROM ou une PROM.
La présente invention, qui a précisément pour objet une machine à coudre électrique, à commande informatisée, du type défini précédemment et englobant, comme les machines connues, un dispositif de bobinage de cannettes comprenant, comme décrit, un support de cannette et un mécanisme moteur pour l'entraînement en rotation d'un tel support, vise à obvier aux inconvénients ci-dessus et propose, à cet effet, que ce mécanisme englobe a) l'ensemble des organes constituant la génératrice tachymétrique,
b) un embrayage à double action permettant d'accoupler mécaniquement le rotor de la génératrice soit aux mobiles rotatifs de la machine, dans une première position de travail, soit au support de cannette, dans une seconde position de l'embrayage,
c) des moyens de commutation associés à cet embrayage permettant de brancher l'induit de la génératrice à une source de tension d'alimentation en vue d'assurer l'entraînement électromagnétique du rotor, lorsque l'embrayage occupe sa seconde position de travail, d'interrompre ce branchement dans la première position de travail de l'embrayage,
d) et, enfin, des moyens interrompant l'entraînement desdits mobiles pendant le bobinage de la cannette.
Dans une forme d'exécution particulière de la présente invention, les moyens de commutation sont agencés de manière à permettre de brancher l'induit de la génératrice soit au circuit de détection de régulateur électronique, dans la première position de travail de l'embrayage, soit à ladite source d'alimentation, dans la seconde position de travail de celui-ci.
L'invention trouve donc une application intéressante aussi bien dans les machines à coudre électriques ressortissant de la première
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des deux classes de machines citées précédemment que de la seconde classe.
Dans ce dernier cas, c'est-à-dire dans celui d'une machine à coudre électrique, à commande informatisée, dans laquelle lesdits mobiles rotatifs sont solidaires en permanence, mécaniquement, d'un moteur central d'entraînement de la machine, le régulateur électronique agissant alors directement sur la vitesse de rotation de ce moteur, cette machine à coudre se caractérise des machines antérieures, avantageusement et de plus, par le fait que les moyens d'interruption de l'entraînement des mobiles sont constitués par un circuit interrupteur agissant sur l'alimentation en courant du moteur, ce circuit étant associé à l'embrayage de manière à interdire cette alimentation tant que cet embrayage occupe sa seconde position de travail.
D'autres caractéristiques et particularités intéressantes de la machine à coudre électrique, à commande informatisée, conforme à la présente invention seront maintenant décrites en se référant aux dessins annexés, donnés à titre d'exemple, dans lesquels:
— la fìg. 1 est une vue en élévation, de trois quarts, de la machine à coudre selon l'invention;
— la fig. 2 est une vue de détail de la machine en perspective plongeante et à très grande échelle, montrant le support de cannette et une partie des éléments de l'embrayage à double action dont est muni le mécanisme-moteur, d'entraînement, de ce support;
— la fig. 3 est une vue de dessous, en perspective et avec arrachement, de la partie de la machine à coudre voisine de l'encastrement du bras supérieur de celle-ci avec la portion verticale du boîtier, montrant d'autres organes de ce mécanisme-moteur;
— la fig. 4 est une vue en perspective, de dessous, du mécanisme d'entraînement du support de cannette;
— la fig. 5 est une vue éclatée, de détail, illustrant les cinématismes essentiels de ce mécanisme-moteur;
— les fig. 6 et 7 sont des vues schématiques, dans deux positions distinctes de certains éléments, illustrant le fonctionnement de l'embrayage à double action dont est muni le mécanisme d'entraînement du support de cannette;
— la fig. 8 est une coupe méridienne de la fig. 5 et la fig. 9 une coupe transversale selon IX-IX de la fig. 8;
— la fig. 10 représente le schéma de principe du circuit de commande de la machine à coudre électrique, selon une première forme d'exécution de l'invention;
— la fig. 11 montre quatre diagrammes explicatifs du fonctionnement du régulateur électronique dont est équipée la machine;
— la fig. 12 représente un schéma similaire à celui de la fig. 10 selon une seconde forme d'exécution de l'invention.
La machine à coudre visible sur la fig. 1 est une machine électrique, à commande informatisée, c'est-à-dire une machine dans laquelle les fonctions essentielles sont commandées et gérées électroniquement par un microprocesseur à partir d'instructions circonstanciées, stockées au préalable dans une ou plusieurs mémoires, de préférence des mémoires «solid state», à accès aléatoire. Ces instructions peuvent, par exemple, consister dans le choix des vitesses de couture en fonction de la nature et/ou de l'épaisseur des pièces à coudre, du type de point à exécuter, etc. Dans cette représentation succincte de la machine, on remarquera essentiellement les deux interrupteurs Ip et Ib servant, respectivement, à la mise sous tension de la machine, après branchement au réseau d'alimentation par un cordon électrique, non représenté, et à la mise en service et hors service d'un dispositifif électrique permettant à l'usager de bobiner une cannette C avec du fil prélevé d'une bobine, également non représentée.
Quant au mode de fonctionnement proprement dit de cette machine, on se reportera à la fig. 10 qui en illustre schématiquement les éléments structurels principaux du circuit de commande, selon une première forme d'exécution.
Au dessin, le rectangle 1 symbolise un microprocesseur et la mémoire qui lui est associée, le rectangle 2 représente un bloc de commande d'un moteur central M d'entraînement de la machine auquel peut être accouplée, de la façon qui sera décrite par la suite, une génératrice tachymétrique G, visible également en Gj sur cette même fig. 10. Cette génératrice G-Gj fait notamment partie d'un circuit régulateur de la vitesse de rotation du moteur M, circuit dont 5 les caractéristiques essentielles vont maintenant être rappelées bien qu'un tel circuit soit connu de longue date de l'homme de l'art (voir en particulier la fiche 0542, paragraphe 3,231 et fig. 44, pages 57 et 58, publiée en juin 1976, dans le chapitre 3 «Commande des moteurs à courant continu» de la partie «Machines électriques» de la Collec-io tion dite «Techniques de l'Ingénieur» élaborée sous la direction de M. André Belot; voir également les pages 3-22 et 3-23 (figures 3.3.15 à 3.3.17) de l'édition d'août 1980 (réimpression complétée d'éditions précédentes publiées en octobre 1972, octobre 1978, octobre 1975 et juillet 1978) de la publication «DC Motors Speed Controls Servo 15 Systems» de la société dite «ELECTRO-CRAFT CORPORATION» à Hopkins, Minnesota 55343 (USA); voir enfin les explications données en page 53, sous le titre «Switchmode Regulator Control Circuits» dans la publication 1984-F105 de Motorola Inc. nommée «The Switchmode Guide — linear and power products»), 20 Comme on le sait, un tel circuit régulateur comporte, en plus de la génératrice tachymétrique G-Gi déjà citée, un oscillateur O constituant une base de temps, délivrant un signal périodique en dents de scie D (fig. 11c) vers un circuit de commande CS recevant, par ailleurs, un signal C* émanant d'un premier amplificateur d'erreur Q 25 auquel aboutissent deux signaux, l'un, de polarité représentée négative au dessin, émanant de la génératrice G et qui est donc caractéristique de la vitesse effective de rotation du moteur M, l'autre, de polarité représentée positive, correspondant à une valeur de consigne de la vitesse désirée pour ce même moteur M. 30 Le diagramme a de la fig. 11 montre l'évolution dans le temps que peut présenter, à titre d'exemple, le signal correspondant à la valeur de consigne de la vitesse désirée;
le diagramme b de cette même figure montre, dans ce cas d'espèce, l'évolution dans le temps du couple de freinage appliqué à 35 la machine;
le diagramme c est caractéristique (signal C*) de la puissance moyenne envoyée au moteur M.
Le diagramme d de la fig. 11 illustre le résultat de l'action du circuit de commande CS sur le courant d'alimentation du moteur M. 40 On voit, en particulier, que ce moteur est alimenté par une suite d'impulsions de courant Ic de même amplitude mais dont la durée correspond à l'écart de temps pendant lequel l'amplitude du signal C* (diagramme c) est supérieure à l'amplitude du signal impulsionnel D. Ainsi, si la vitesse du moteur M est très inférieure à la vitesse 45 de consigne (partie de la courbe C* comprise entre les instants tj et t2), la durée des impulsions sera proportionnellement large de manière que le moteur recevra, en peu de temps, l'énergie nécessaire à en accroître la vitesse jusqu'au niveau désiré. Si, par contre, la vitesse du moteur M est plus proche que précédemment de la vitesse 50 de consigne (partie de la courbe C* comprise entre les instants t2 et t3), les impulsions Ic seront par contre de durée plus réduite. Cette durée pourra croître sans variation importante de la vitesse du moteur si ce dernier est appelé à fournir un couple plus important (voir par exemple la partie extrême droite du diagramme d de la 55 fig. 11), par exemple si la machine doit, à l'instant t3, coudre un empilage de tissu d'épaisseur croissante. Les publications citées précédemment donnent des détails exhaustifs sur l'aspect plus particulièrement théorique du fonctionnement du circuit de régulation décrit. Elles sont citées dans le présent mémoire à titre de référence. 60 Comme dans le cas des machines à coudre électriques antérieures, la valeur du signal de consigne, de polarité positive, dirigé sur l'amplificateur d'erreur C! est caractéristique de la position instantanée occupée par un actuateur de la machine, par exemple une pédale que l'usager peut écraser de façon plus ou moins intense selon la 65 vitesse de rotation désirée pour le moteur central M. Au dessin (fig. 10), cet actuateur est représenté par un diviseur ohmique de tension A rattaché, par sa sortie, à un détecteur de seuil DS que comporte le bloc de commande 2, destiné à délivrer un signal au mi
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croprocesseur 1 l'avertissant que l'usager agit sur la pédale. Ce microprocesseur met alors des interrupteurs 1^ I2 et I3 en position ouverte (ces interrupteurs sont en fait des transistors de sortie du microprocesseur), de sorte que le circuit du courant circulant dans le bloc de commande 2 est bouclé au travers des résistances R,, R6 et R5. On obtient, à la sortie de la résistance variable Rô, un signal d'amplitude maximum dirigé vers l'amplificateur d'erreur Cu signal qui correspondra à la vitesse désirée maximum pour le moteur M. Par un choix approprié de la valeur des résistances R4 et R6, cette vitesse pourrait, par exemple, être de l'ordre de 1000 t/min. En choisissant des résistances Rx et R2 de valeur appropriée, il sera possible de limiter la valeur imposée de la vitesse de rotation du moteur M par exemple à 800 t/min si le microprocesseur 1 commande la fermeture de l'interrupteur L, notamment après réception d'une instruction correspondante lue dans la mémoire. Cela pourra, par exemple, être le cas pour l'exécution par la machine d'un type de point particulier.
Lorsque l'usager lâche la pédale d'actionnement, le détecteur de seuil DS en informe le microprocesseur, lequel commande alors la fermeture de l'interrupteur Ix, déterminant ainsi le blocage de la diode Dj de sorte que l'amplitude du signal de sortie de la résistance R6 sera fixée exclusivement par la valeur des résistances R3, R4 et R5. Dans ce cas, le moteur de la machine à coudre tournera à un régime minimum, par exemple de l'ordre de 100 t/min.
Dans la présente machine à coudre, comme dans toutes les machines électriques connues, l'alimentation en courant du moteur central M n'est interrompue une fois la pédale d'actionnement lâchée, c'est-à-dire lorsque ce moteur est amené à tourner à sa vitesse minimum (100 t/min par exemple), que lorsque l'aiguille de la machine est complètement dégagée du tissu qu'elle contribuait à coudre ou à décorer. A cet effet, la machine présente un détecteur de position de l'aiguille, représenté schématiquement par le rectangle DP, détecteur dont les caractéristiques structurelles sont bien connues de l'homme de l'art et ne seront pas reprises ici en détail. Disons simplement qu'on pourra faire avantageusement usage d'une structure comportant un ou plusieurs masques discoïdes découpés de fentes radiales et entraînés en rotation par l'arbre de commande du mouvement axial de l'aiguille et interceptant périodiquement un rayon lumineux perçu par une cellule photoélectrique lorsque ce rayon est à même de traverser simultanément une fente appartenant à chaque disque et dont la position angulaire sera caractéristique du fait que l'aiguille occupe alors la position haute désirée.
Dans un tel cas, le signal reçu par le microprocesseur de la cellule photoélectrique dont est muni le détecteur DP détermine la fermeture de l'interrupteur I3 de sorte que, les deux extrémités opposées des résistances R4 et Rs étant mises à la masse, le signal de sortie de la résistance R6 est nul et le moteur M n'est plus alimenté.
Pour éviter que le moteur M continue de tourner bien que la pédale d'actionnement ait été lâchée, notamment à la suite d'un défaut de fonctionnement de l'un ou l'autre organe du bloc de commande 2 ou de l'un ou l'autre interrupteur Ij à I3, ce moteur est alimenté en courant au travers d'un interrupteur électronique IE commandé par le microprocesseur 1, entre autres à partir du signal reçu de la génératrice G au travers d'un amplificateur At.
Un second amplificateur A2, branché entre le moteur M et l'interrupteur IE, d'une part, et le microprocesseur 1, d'autre part,
avertit ce dernier de ce que le moteur M absorbe un courant excessif, par exemple à la suite d'un effort résistant anormalement intense imposé au moteur; dans ce cas, le microprocesseur commandera l'ouverture de l'interrupteur électronique IE.
Un troisième amplificateur, A3, branché entre le moteur M et l'interrupteur IE, d'une part, et le circuit de commande CS de l'alimentation de ce moteur, d'autre part, veille à ce que ce circuit limite la valeur du courant traversant le moteur à une valeur seuil maximum.
Comme on le voit encore au dessin (fig. 10), l'usager peut accéder, au choix, à différentes parties du programme stocké dans la mémoire associée au microprocesseur par actionnement de l'une ou l'autre parmi les dix touches Sj à S10 d'un clavier non représenté en détail sur la fig. 1, mais dont l'emplacement peut être celui marqué par le rectangle S par exemple.
La machine à coudre selon l'invention est, par ailleurs, équipée de deux moteurs pas-à-pas Mj et M, destinés à la commande de la jetée de l'aiguille, pour le moteur Mj, et à la commande de l'avance du tissu à coudre, pour le moteur Mt. Les rectangles Aj, et Aj2, respectivement Atl et At2, représentent des circuits «drivers» livrant au moteur Mj, respectivement M„ les impulsions nécessaires à faire déplacer angulairement leur induit de la quantité et dans la direction désirées, ces circuits étant commandés par le microprocesseur 1 en fonction des instructions reçues à la fois de la mémoire et du détecteur de position DP (synchronisation des mouvements de l'aiguille et du tissu).
Comme indiqué en se référant à la fig. 1, la machine à coudre selon l'invention comporte aussi, comme les machines connues, fussent-elles à fonctionnement purement mécanique, électro-mécanique ou électronique, à commande informatisée ou non, un dispositif devant permettre à l'usager de procéder au bobinage d'une cannette C dès lors qu'il a actionné l'interrupteur à bascule Ib.
Selon une particularité essentielle de la présente invention, l'entraînement en rotation de cette cannette, en vue de son bobinage, est réalisé grâce à la génératrice tachymétrique G-G! de la façon qui va maintenant être décrite.
A cet effet, la machine selon l'invention est notamment équipée d'un dispositif d'embrayage à double action permettant de relier mécaniquement l'axe de la génératrice soit au moteur M, lorsqu'on désire que cette génératrice délivre au circuit de régulation un signal caractéristique de la vitesse de rotation instantanée de ce moteur,
soit à un support Sp destiné à recevoir la cannette à bobiner, l'induit de la génératrice étant alors rattaché à une source de tension d'alimentation, de sorte que cette génératrice devient alors un moteur d'entraînement de la cannette. Dans ce dernier cas, l'alimentation en courant du moteur M est empêchée, par exemple par ouverture de l'interrupteur IE.
Comme on le voit sur la fig. 10, il est en effet possible d'alimenter l'induit de la génératrice G par la tension apparaissant à la sortie du diviseur ohmique de tension A, c'est-à-dire par une tension variable dont l'amplitude sera fonction de la position de l'actuateur, en l'occurrence la même pédale servant à l'actionnement de la machine, ce signal étant amplifié en A4 et étant dirigé vers la génératrice au travers d'un interrupteur électronique IG commandé par le microprocesseur 1 et susceptible d'être porté dans deux position actives, l'une, pour laquelle la génératrice peut être branchée sur l'actuateur A, comme décrit, l'autre, de branchement de cette génératrice dans le circuit de régulation déjà cité. Bien entendu, le branchement de la génératrice G à une source de tension d'alimentation telle que l'actuateur A, source de faible puissance, n'a de sens que si l'axe rotori-que de cette génératrice, qui travaille alors en régime moteur, n'est pas relié mécaniquement au moteur M. C'est précisément ce que permet le dispositif d'embrayage à double action EA représenté schématiquement sur la partie gauche de la fig. 10 et dont les éléments structurels illustrés en détail aux fig. 2 à 9 vont maintenant être décrits.
L'entraînement de la génératrice Gt par le moteur M est effectué grâce au montage représenté sur la fig. 3 dans laquelle 3 et 4 sont deux courroies crantées entraînées directement par ce moteur, non visible sur la figure, mais qui est situé en pratique dans la partie basse du bâti de la machine (fig. 1). Ces courroies engrènent respectivement avec un pignon 5 solidaire d'un arbre 6, dont dépend la commande du mouvement alternatif de l'aiguille de la machine, et avec une couronne 7, dentée extérieurement et intérieurement. La courroie 4 est en prise avec la denture extérieure de la couronne 7. Quant à sa denture interne, celle-ci sert à l'entraînement en rotation d'un pignon 8 fixé sur l'axe rotorique 9 de la génératrice G, (fig. 8 et 9) par l'intermédiaire d'un accouplement unidirectionnel comprenant une cage 10 insérée à force dans un logement axial 8a du pignon 8 et destinée au maintien, entre l'axe 9 et la paroi de ce logement, de cinq
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aiguilles 11 prenant place dans des fentes correspondantes 12a traversant la paroi d'un manchon 12 inséré dans la cage 10, entre l'axe 9 et des dégagements longitudinaux 10a ménagés de façon équidis-tante dans la face interne de la cage 10. On remarquera en outre que les faces latérales de chaque fente 12a sont, l'une, arrondie selon un rayon de courbure légèrement supérieur au rayon de la section de chaque aiguille 11 et, l'autre, plane. En outre, le profil de la face arrondie des fentes 12a présente une solution de continuité avec le profil du dégagement adjacent 10a, lui aussi arrondi de même façon.
Grâce à la disposition décrite, il est possible d'entraîner l'axe 9 par le pignon 8 à condition que celui-ci tourne en sens antihoraire (fig. 5). Si c'est l'arbre 9 qui est entraîné en rotation dans le sens antihoraire, le pignon 8 ne recevra aucun couple d'entraînement et il sera possible de le bloquer angulairement sans pour autant gêner la rotation de l'arbre 9 de la génératrice (fonctionnant en tant que moteur).
Dans la machine à coudre représentée, l'accouplement unidirectionnel qui vient d'être décrit est monté sur l'arbre 9 de la génératrice de façon telle que cet arbre soit entraîné par le pignon 8 dès que la couronne dentée 7 est entraînée dans le sens horaire, en observant la figure 3. On remarquera, à ce propos, la très grande différence des diamètres choisis pour la couronne 7 et pour le pignon 8. En effet, pour obtenir, à la fois, que la génératrice présente des dimensions aussi faibles que possible et qu'elle tourne toujours à des vitesses correspondant à un domaine de fonctionnement dans lequel la tension produite par la génératrice reste proportionnelle à la vitesse angulaire de l'arbre de cette génératrice, il est nécessaire que la valeur de cette vitesse angulaire soit relativement importante, même si le moteur d'entraînement de la machine tourne à bas régime, c'est-à-dire à environ 100 t/min.
Sur sa portion saillante comprise entre le pignon 8 et la génératrice Gj, l'arbre 9 porte un second pignon 13, bloqué angulairement sur cet arbre et en prise avec un plateau denté 14 (fig. 4, 5 et 10) auquel est fixé un engrenage conique 15 de diamètre inférieur à celui du plateau 14. Celui-ci est muni d'un axe 14a monté pivotant dans un support 14b solidaire d'une armature 16 (fig. 2) à laquelle est, par ailleurs, fixée la génératrice Gj (fig. 3). Comme on le voit sur la fig. 1, la partie supérieure de l'armature 16 (fig. 2) affleure à la surface du bras supérieur de la machine à coudre.
Le support de cannette Sp (fig. 2 et 5 à 7), déjà cité, est solidaire d'une extrémité d'un axe 17 traversant un bossage 16a de l'armature
16 (fig. 2), perpendiculairement à l'axe 14a du plateau 14 et pivoté, à son autre extrémité, dans une oreille 16b de cette armature (fig. 4, 6 et 7). Sur sa portion comprise entre le bossage 16a et l'oreille 16b, l'axe 17 porte, d'une part, un pignon conique 18 qui est monté sur cet axe de façon à pouvoir coulisser longitudinalement sur celui-ci tout en lui étant solidaire angulairement et, d'autre part, un ressort 19, tendu entre le bossage 16a et le pignon 18 et poussant celui-ci en direction de l'oreille 16b de l'armature 16. La distance séparant l'axe
17 et le plateau 14 est telle que, sous l'action du ressort 19, le pignon
18 engrène avec le pignon 15 solidaire de ce plateau. De ce fait, tant que le pignon 18 reste en prise avec le pignon 15, c'est-à-dire tant que rien ne l'écarté du pignon 18 par coulissement sur l'axe 17 à l'encontre du ressort 19, toute rotation de l'axe 9 de la génératrice G1 conduira à une rotation correspondante de l'axe 17 et donc du support de cannette Sp.
Pour des raisons évidentes, il est toutefois nécessaire que l'entraînement en rotation du support de cannette par l'axe de la génératrice Gt ne s'effectue pas en permanence, c'est-à-dire notamment lorsque cette génératrice est entraînée, de son côté, par le moteur central de la machine à coudre lors du fonctionnement normal de celle-ci. Par ailleurs, il est également évident que ce moteur doit demeurer immobile lorsqu'on désire faire usage de la génératrice à titre de petit moteur pour l'entraînement du support de cannette à bobiner. Enfin, il est nécessaire que, dans ce dernier cas, le sens de rotation du rotor de la génératrice soit tel que l'accouplement unidirectionnel décrit en se référant notamment aux fig. 8 et 9 empêche l'entraînement en rotation du pignon 8 par l'axe 9 de la génératrice. Il s'agira, en l'occurrence, d'alimenter la génératrice avec une tension de polarité appropriée.
Aux fins de permettre la réalisation des fonctions ci-dessus, l'invention propose la mise en œuvre d'une série de mesures, de nature 5 tant mécanique qu'électrique, qui vont maintenant être décrites en se référant plus particulièrement aux fig. 5 à 7 et 10.
L'interruption de l'alimentation du moteur M et le branchement de la génératrice G sur la source de tension que constitue le diviseur ohmique de l'actuateur A sont effectués par commutations corres-io pondantes des interrupteurs électroniques IE et IG (fig. 10) commandés par le microprocesseur 1 dès que l'usager actionne l'interrupteur Ib dont le poussoir basculant est visible sur la fig. 1.
Il convient, à ce point, de relever que, avec la machine décrite, l'actionnement manuel de l'interrupteur Ib dans un sens ou dans 15 l'autre ne se traduit pas automatiquement par le rattachement du moteur M ou de l'induit de la génératrice G-Gj à leur source respective d'alimentation en énergie. En effet, et selon une particularité intéressante de la présente invention, le programme de la machine est conçu de façon telle que, lors de la fermeture ou de l'ouverture de 20 l'interrupteur Ib, les interrupteurs IE et IG ne sont actionnés que si le microprocesseur reçoit du détecteur de seuil DS un signal indiquant que l'usager a lâché l'actuateur A. Par ailleurs, même dans ce cas, le microprocesseur ne commandera pas immédiatement l'actionnement des interrupteurs mais seulement au bout de quelques secondes 25 (sous-routine de temporisation du programme), de manière à permettre une décélération importante du moteur ou de la génératrice, voire leur arrêt, cela à des fins de sécurité au bénéfice de l'usager.
L'interruption de l'entraînement du support de cannette Sp, lorsque l'usager entend continuer à coudre, une fois la cannette 30 remplie, s'effectue en conduisant le pignon conique 18 de sa position d'engrènement avec le pignon 15 (fig. 6) dans une seconde position axiale (fig. 7) dans laquelle le pignon 18 est distant du pignon 15. Cette interruption peut avoir lieu par action manuelle appropriée sur le poussoir de l'interrupteur Ib, comme elle peut avoir lieu auto-35 Jhatiquement dès que la cannette est bobinée.
A cet effet, la machine à coudre selon l'invention est munie d'un dispositif dont les particularités structurelles vont maintenant être décrites.
En substance, ce dispositif englobe trois leviers L1; L2 et L3 40 montés articulés autour d'axes 21,22 et 23 respectivement, parallèles à l'arbre 9 de la génératrice et fixés à l'armature 16. Les leviers L2 et L3 sont soumis à l'action de ressorts r2 et r3 tendant à faire basculer les leviers respectifs dans des directions angulaires F2 et F3 (fig. 7).
A son extrémité libre, le levier L2 présente un œillet oblong 24 45 dans lequel est insérée librement une tige 25 faisant saillie sur le côté du levier Lt, parallèlement à son axe de basculement 21. Grâce à cette liaison, il est possible au levier L2 de basculer librement en direction F2, sous l'action du ressort r2, tout en commandant un basculement, en direction Fj, du levier Lt. Réciproquement, si le levier 50 Lj est basculé en direction F'! (fig. 6), opposée à la précédente, Fl5 ce levier entraînera le levier L2 dans un mouvement basculant de direction F'2 à l'encontre de l'action du ressort r2.
L'amplitude maximum du basculement du levier Lj en direction Fj est fixée par la rencontre d'une patte 26 que présente ce levier 55 (fig. 2, 4 et 5) avec l'armature 16. Le basculement de ce même levier en direction F'j est limité par coopération des leviers L2 et L3. Il est toutefois choisi suffisant, dans un cas comme dans l'autre, pour permettre à un élément de poussée 27, solidaire du levier L1 et en contact avec l'extrémité droite d'un prolongement tubulaire 18a du 60 pignon 18, d'écarter ce pignon du pignon moteur 15, lors d'un basculement en direction Fj du levier L, et de le ramener en position d'engrènement avec le même pignon 15, au terme d'un basculement en direction opposée, F'j.
Il est encore à relever que, en plus de la fonction ci-dessus, la 65 patte 26 exerce également celle d'organe de commande de l'interrupteur électrique Ib déjà cité en se référant au schéma de la fig. 10 et qui est représenté en perspective sur la fig. 5. A cet effet, la patte 26 est munie d'un poussoir constitué par une vis 28 susceptible d'agir
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sur un plot de commande 29 de l'interrupteur. Celui-ci sera fixé de préférence sur l'armature 16, à une distance de la patte 26 inférieure à la longueur de la partie saillante de la vis 28, cette distance pouvant être réglée finement par vissage plus ou moins prononcé du poussoir 28.
Comme on le voit plus particulièrement sur les fig. 6 et 7, les deux leviers L2 et L3 se croisent à mi-longueur. Le levier L2 comporte un bec 30 présentant une découpure 31, en forme de coin s'ou-vrant respectivement vers l'axe d'articulation 22 de ce levier et vers l'extrémité libre, recourbée en 32, du levier L3. Ce levier L3 porte une saillie 33 s'étendant perpendiculairement à la figure, jusqu'au levier L2, et dont la portion tournée vers la découpure 31 du bec 30 présente un profil homologue à celui de cette découpure. Il convient à ce point de relever que le levier L2 présente, en outre, une encoche 34 à bords inclinés ménagés en position jouxtant la découpure 31.
L'ensemble constitué par la découpure 31 et la saillie 33 forme ainsi un organe de verrouillage à échappement permettant de maintenir le levier L2, et corollairement le levier L1( dans la position basculée de la fig. 6, dans laquelle le pignon 18 est en prise avec le pignon moteur 15, malgré l'action du ressort r2 agissant sur le levier L2 (maintien de l'entraînement du support de cannette par la génératrice).
Toutefois, si le levier L3 est basculé en direction F3 (fig. 7), ce verrouillage cesse d'exister dès que la saillie 33 échappe au contact de la découpure 31 et pénètre dans l'encoche 34 du levier L2. Dans ce cas, le ressort r2 commandera le basculement de ce levier en direction F2, celui du levier L1 en direction F! et donc l'éloignement du pignon conique 18 par rapport au pignon moteur 15 (interruption de l'entraînement du support de cannette par la génératrice-moteur).
Le basculement du levier L3 en direction F3 peut être obtenu de deux façons différentes:
— automatiquement, lorsque la cannette placée sur le support Sp est pleine,
— manuellement, au gré de l'usager.
Comme déjà décrit, l'extrémité libre du levier L3 est recourbée en 32; elle est engagée dans l'ouverture d'une fenêtre 35 pratiquée dans l'armature 16 en regard du support Sp de cannette. Lorsque le levier L3 est dans la position de la fig. 6, de verrouillage du levier L2, la partie recourbée 32 du levier L3 s'étend librement dans l'espace compris entre les joues et le moyeu de toute cannette fixée au support Sp. Au fur et à mesure que la cannette se remplit, la surface externe du bobinage de fil se rapproche de la partie 32 du levier,
vient en contact avec celui-ci et le repousse en le faisant basculer dans le sens F3. Il s'ensuit que la saillie 33 du levier L3 commence à se dégager de la découpure 31 du levier L2 en glissant sur la portion de celle-ci adjacente à l'encoche 34 jusqu'au moment où elle libère le levier L2 et vient s'engager dans cette encoche (fig. 7).
La commande manuelle du basculement en direction F3 du levier L3 et, corollairement, le déverrouillage du levier L2 peuvent s'effectuer par action sur le poussoir basculant 36, de commande de l'interrupteur Ib (fig. 1 et 5), lequel est articulé sur l'armature 16 grâce à un axe 36a orienté parallèlement à l'axe de basculement de chacun des trois leviers Ll5 L2 et L3. Ce poussoir est susceptible d'être conduit dans deux positions symétriques, dans chacune desquelles il peut être maintenu de façon stable par un ressort de traction 37 tendu entre le fléau 36b du poussoir et l'extrémité 38a d'un support 38 solidaire de l'armature 16. On remarquera, à ce propos, que ce support est tel que son extrémité 38a se trouve à l'opposé de l'axe 36a du poussoir par rapport à l'extrémité de fixation du ressort 37 au fléau 36b. Le fléau 36c du poussoir est muni d'une patte d'appui 36d en contact avec une tige 32a faisant saillie latéralement sur le levier L3, en particulier lorsque ce levier occupe la position illustrée sur la fig. 6, de verrouillage du levier L2 (fig. 4 et 5). Dans ces conditions, le poussoir 36 occupe la position visible sur la fig. 2, c'est-à-dire dans laquelle le fléau 36c fait saillie pour une grande part au-dessus de l'armature 16 alors que le fléau 36b affleure pratiquement la face supérieure de cette armature. Il suffira d'exercer une pression sur le fléau 36c pour que celui-ci entraîne dans sa course la tige 32a du levier L3, déterminant ainsi le basculement de celui-ci en direction F3 (fig. 7). Comme, dans ce cas, on obtient le déverrouillage du levier L2, il s'ensuit que l'action ainsi exercée sur le fléau 36c du poussoir 36 conduit à la séparation des pignons 15 et 18 et, donc, à l'arrêt de la cannette C. De plus, vu que le levier L, a basculé en direction F,, le poussoir 28 s'écarte de l'interrupteur Ib qui se met alors en position ouverte, ce qui produit le basculement des interrupteurs électroniques IE et IG dans leur seconde position fonctionnelle, dans laquelle le moteur M peut être alimenté en courant dès que l'usager agira sur l'actuateur A et la génératrice G est rattachée au circuit de réglage de la vitesse du moteur.
Le poussoir à bascule 36 permet également d'«armer» le mécanisme décrit, c'est-à-dire de faire en sorte que les leviers Lj, L2 et L3 soient ramenés dans la position illustrée sur la fig. 6 et que le pignon 18 d'entraînement de la cannette soit reporté en prise avec le pignon 15. En effet, et comme on le voit plus particulièrement sur les fig. 4 et 5, le levier L! est muni d'un bec 39 faisant saillie sous ce levier, au côté de la patte 26 déjà citée, et s'étendant partiellement sous le fléau 36b du poussoir 36, à faible distance de celui-ci, notamment lorsque ce poussoir occupe la position basculée symétrique de celle illustrée sur la fig. 2. Il suffira donc d'exercer une poussée de direction F4 (fig. 5) sur le fléau 36b du poussoir pour entraîner le levier L! en direction F'! par action sur le bec 39 de ce levier. On signalera que, ce faisant, outre à provoquer un basculement correspondant, dans le sens F'2, du levier L2, on obtiendra un mouvement du levier L3 en direction F'3 sous l'action de son ressort de rappel r3, mouvement qui se terminera, comme décrit, lorsque la saillie 33 du levier L3 sera entrée en contact avec les bords de la découpure 31 du levier L2.
On remarquera encore que la capacité de basculement, dans un sens ou dans l'autre, du poussoir 36 est limitée par rencontre avec l'extrémité libre de l'un ou l'autre fléau 36b et 36c de la bascule avec le bord de l'ouverture de l'armature 16 dans laquelle prend place ce poussoir.
La seconde forme d'exécution (fig. 12) de la machine à coudre selon l'invention ne se distingue de la première (fig. 10) que par la manière avec laquelle la génératrice G peut être branchée électriquement à l'actuateur A en phase de bobinage d'une cannette C.
C'est ainsi que, dans cette forme d'exécution, l'induit de la génératrice demeure rattaché en permanence, d'une part, à l'entrée, représentée positive, de l'amplificateur C, et, d'autre part, à la sortie de l'amplificateur A4 lui-même rattaché à l'actuateur A, la mise en service et hors service de cet amplificateur étant commandée par un interrupteur électronique I'G, actionné par le microprocesseur 1 lors de la fermeture de l'interrupteur Ib (de façon analogue à ce qui se passait avec l'interrupteur IG dans le cas de la forme d'exécution de la fig. 10).
En effet, l'interrupteur électronique I'G est, par ailleurs, rattaché à la masse de sorte que, en position de fermeture, aucun signal ne sera débité par l'amplificateur A4, quelle que soit la position de l'actuateur A. Un signal sera, par contre, délivré par l'amplificateur A4 si l'interrupteur I'G est ouvert, à condition, bien entendu, que l'actuateur A soit porté dans une position différente de celle de repos.
En l'occurrence, l'actionnement de l'interrupteur électronique I'G est synchronisé avec celui de l'interrupteur électronique IE et est commandé, comme pour ce dernier, par le microprocesseur 1, sur la base de l'information reçue de l'interrupteur Ib.
Ainsi, si l'interrupteur Ib est porté en position de fermeture, le microprocesseur commandera les interrupteurs IE et I'G dans le sens de l'ouverture. Si, par contre, l'interrupteur Ib est actionné à l'ouverture, les interrupteurs IE et I'G seront commandés dans le sens de la fermeture.
Comme on le voit, malgré ses performances techniques de haut niveau, le dispositif d'embrayage à double action qui vient d'être décrit est à la fois peu encombrant et de fabrication facile. L'ensemble de ses pièces, qui peuvent être réalisées notamment par injection d'une matière plastique appropriée, n'est soumis qu'à des efforts mécaniques de faible intensité, puisque les mouvements de ces pièces sont commandés à partir de la génératrice G dont la puissance s
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qu'elle est susceptible de délivrer en régime moteur est réduite: il s'ensuit que, aux avantages cités ci-dessus, vient s'ajouter le fait que le dispositif d'embrayage décrit est assuré d'une grande longévité, même dans les cas d'usages intensifs et répétés.
On remarquera encore que la mise en place de l'invention décrite 5 ne requiert qu'une légère adaptation du circuit électronique traditionnel d'une machine à coudre électrique, à commande informatisée, sans modification sensible de la complexité structurelle inhérente à un tel circuit et, partant, de son prix de revient.
Bien que l'invention ait été décrite en se référant à une machine à coudre, à commande informatisée, dans laquelle le réglage de la vitesse de travail est effectué par action directe sur le moteur de commande, il est évident que l'ensemble des principes exposés pourra être utilisé, mutatis mutandis, dans une machine dans laquelle cette régulation ne s'effectuera pas sur le moteur même, mais sur certains mobiles situés en aval de ce moteur comme dans le cas des machines illustrées dans les brevets suisse 635.382 et des Etats-Unis d'Amérique 4,377,778 cités précédemment.
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4 feuilles dessins

Claims (13)

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1. Machine à coudre électrique, à commande informatisée, dans laquelle la vitesse de rotation d'au moins certains mobiles est dépendante de l'action d'un régulateur électronique dont le circuit de détection englobe au moins une génératrice tachymétrique (G) cinéma-tiquement solidaire desdits mobiles, destinée à délivrer une tension représentative de leur vitesse instantanée de rotation, et au moins une source de tension de référence (2) de valeur variant avec la position occupée, à chaque instant, par un actuateur (A) de la machine, ce régulateur agissant sur la vitesse de rotation des mobiles par comparaison permanente desdites tensions, et dans laquelle un dispositif permet à l'usager de bobiner du fil sur une cannette vide (C), ce dispositif comprenant un support rotatif sur lequel la cannette peut être fixée amoviblement et un mécanisme moteur pour l'entraînement du support en rotation, machine caractérisée par le fait que ce mécanisme englobe a) l'ensemble des organes constituant ladite génératrice (G),
b) un embrayage à double action (EA) permettant d'accoupler mécaniquement le rotor de la génératrice (G) soit auxdits mobiles, dans une première position de travail, soit audit support rotatif,
dans une seconde position de travail de l'embrayage,
c) des moyens de commutation associés à cet embrayage, permettant de brancher l'induit de la génératrice à une source de tension d'alimentation en vue d'assurer l'entraînement électromagnétique du rotor, lorsque l'embrayage occupe sa seconde position de travail, et d'interrompre ce branchement dans la première position de travail de l'embrayage,
d) des moyens (IE) interrompant l'entraînement desdits mobiles pendant le bobinage de la cannette.
2. Machine à coudre selon la revendication 1, caractérisée par le fait que lesdits moyens de commutation sont agencés de manière à permettre de brancher l'induit de la génératrice soit au circuit de détection dudit régulateur, dans ladite première position de travail de l'embrayage, soit à ladite source d'alimentation, dans la seconde position de travail de celui-ci.
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REVENDICATIONS
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respondant à ladite seconde position stable de la bascule pour l'amener dans son autre position limite correspondant à la première position stable de cette bascule, un basculement du poussoir dans une seconde direction angulaire, opposée à la précédente, portant l'autre fléau de ce poussoir en appui sur une partie du troisième levier au moins pendant une partie de ce basculement, ce troisième levier étant ainsi écarté de sa première position angulaire limite, le verrouillage dudit deuxième levier, pour être conduit dans sa seconde position angulaire limite dans laquelle la saillie du troisième levier est engagée dans l'encoche du deuxième levier.
3. Machine à coudre selon la revendication 1 ou 2, dans laquelle lesdits mobiles sont solidaires en permanence d'un moteur d'entraînement, ledit régulateur agissant directement sur la vitesse de rotation du moteur, caractérisée par le fait que les moyens d'interruption de l'entraînement des mobiles sont constitués par un circuit interrupteur agissant sur l'alimentation en courant du moteur, ce circuit étant associé à l'embrayage de manière à interdire cette alimentation tant que cet embrayage occupe sa seconde position de travail.
4. Machine à coudre selon la revendication 1 ou 2, comportant un moteur électrique d'entraînement desdits mobiles, caractérisée par des moyens de contrôle de la position instantanée, occupée par l'actuateur, d'autres moyens interdisant toute opération de branchement dudit moteur électrique et/ou de l'induit de la génératrice à leur source d'alimentation respective tant que l'actuateur occupe une position différente de celle de repos.
5. Machine à coudre selon la revendication 1 ou 2, dans laquelle ladite génératrice est entraînée par lesdits mobiles par l'intermédiaire d'un rouage comprenant au moins une couronne dentée cinémati-quement solidaire des mobiles et au moins un pignon en prise avec cette couronne et solidaire de l'axe de la génératrice, caractérisée par le fait que ce pignon est monté su l'axe de la génératrice par l'intermédiaire d'un accouplement unidirectionnel constituant l'un des éléments dudit dispositif d'embrayage, celui-ci englobant, de plus, un second rouage cinématiquement solidaire de l'axe de la génératrice, un second pignon solidaire angulairement d'un axe pivotant portant ledit support de cannette, ce pignon étant, par ailleurs, monté coulissant sur cet axe et étant susceptible d'être conduit, par des moyens élastiques et par coulissement sur l'axe, en prise avec le dernier mobile dudit second rouage, une bascule bistable comportant un poussoir susceptible d'agir sur ledit second pignon en vue de l'écarter dudit dernier mobile du second rouage par coulissement sur l'axe du support de cannette et à l'encontre desdits moyens élastiques,
lorsque la bascule est conduite de sa première position stable, dans laquelle le poussoir est distant de ce second pignon, dans sa seconde position stable.
6. Machine à coudre selon la revendication 5, caractérisée par le fait que l'axe de la génératrice et celui du support de cannette sont contenus dans des plans orthogonaux, le dernier mobile du second rouage et le pignon associé au support de cannette étant des engrenages coniques.
7. Machine à coudre selon la revendication 6, caractérisée par le fait que la bascule comprend un premier levier dont une partie intermédiaire de sa longueur forme ledit poussoir, ce levier étant monté basculant dans un plan s'étendant transversalement à l'axe de la génératrice, un deuxième levier articulé à distance du premier levier et monté basculant parallèlement au plan de basculement du premier levier, l'extrémité libre de ce deuxième levier étant rendue solidaire du premier levier par un organe de liaison autorisant à la fois le basculement du premier levier, autour de son axe de pivotement, et son coulissement en direction longitudinale du second levier, le mouvement respectif de chaque levier étant ainsi cinématiquement dépendant de celui de l'autre levier, ledit deuxième levier étant soumis à l'action d'un moyen élastique tendant à conduire le premier levier dans une position angulaire limite correspondant à ladite seconde position stable de la bascule, des moyens de verrouillage amovible, à échappement, étant associés audit deuxième levier et étant susceptibles de maintenir ce levier, à l'encontre dudit moyen élastique, dans une position angulaire telle que le poussoir associé au premier levier demeure distant dudit second pignon associé au support de cannette.
8. Machine à coudre selon la revendication 7, caractérisée par le fait que lesdits moyens de verrouillage comprennent un troisième levier monté pivotant autour d'un axe situé entre les axes de pivotement des deux autres leviers et articulé dans un plan parallèle aux plans de basculement de ces leviers, ce troisième levier étant soumis à l'action d'un moyen élastique propre tendant à le faire basculer dans une direction angulaire contraire à celle du basculement imposé au deuxième levier par le moyen élastique respectif, ledit troisième levier étant orienté entre les deux autres leviers de manière à passer à proximité d'une portion médiane du deuxième levier par sa propre portion médiane, et par le fait que, sur ladite portion médiane, le deuxième levier présente une découpure en forme de coin s'ouvrant respectivement vers l'axe d'articulation de ce levier et vers l'extrémité libre du troisième levier, ce troisième levier présentant, à son tour, sur une partie proche de ladite découpure du deuxième levier, une saillie de forme homologue à celle de cette découpure et venant s'insérer dans cette découpure, sous l'action du moyen élastique associé au troisième levier et dans une première position angulaire limite de celui-ci, lorsque le deuxième levier est conduit dans sa position angulaire correspondant à la seconde position stable de la bascule, le troisième levier assurant ainsi le verrouillage de cette bascule dans cette position stable.
9. Machine à coudre selon la revendication 8, caractérisée par une encoche à bords convergeant en direction du fond de cette encoche, ménagée dans le deuxième levier en position jouxtant ladite découpure, cette encoche étant susceptible de recevoir ladite saillie du troisième levier au moins dans une seconde position angulaire limite de celui-ci correspondant à ladite première position stable de la bascule.
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10. Machine à coudre selon la revendication 9, caractérisée par des moyens pour commander le basculement du troisième levier de sa première dans sa seconde position angulaire limite et vice versa.
11. Machine à coudre selon les revendications 3 et 10, dans laquelle ledit circuit englobe un interrupteur électrique et un poussoir basculant, à deux fléaux, dont dépend la commande de cet interrupteur, caractérisée par le fait que le plan de basculement du poussoir est parallèle aux plans de basculement desdits premier, deuxième et troisième leviers et que ce poussoir est disposé de manière que, en le basculant dans une première direction angulaire, l'un de ses fléaux rencontre l'extrémité libre du premier desdits leviers permettant ainsi de pousser ce levier et de l'écarter de sa position angulaire limite cor5
12. Machine à coudre selon la revendication 11, caractérisée par le fait que le poussoir basculant fait prise sur l'organe de commande de l'interrupteur par l'intermédiaire d'un élément de poussée associé au premier levier.
13. Machine à coudre selon la revendication 9, caractérisée par le fait que l'extrémité libre dudit troisième levier forme palpeur et s'étend sensiblement dans le plan de l'axe du support de cannette, cette extrémité du troisième levier étant profilée de manière telle que, lorsque ce levier est dans sa position angulaire limite correspondant au verrouillage du deuxième levier, ladite extrémité s'étend au moins en partie dans l'espace compris entre les flasques latérales de toute cannette vide fixée au support de cannette, ce palpeur étant repoussé hors de cet espace au fur et à mesure du bobinage de la cannette, par contact avec l'épaisseur du fil bobiné sur la cannette, jusqu'à produire un basculement du troisième levier qui soit suffisant pour déverrouiller le deuxième levier et, partant, pour écarter ledit second pignon, solidaire angulairement de l'axe du support de cannette, du second rouage entraîné par l'axe de la génératrice.
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