Il est courant d'utiliser dans les caisses des supports pour placer les pièces de monnaie, les pièces étant disposées pour chaque valeur de pièces en une rangée, le support présentant une graduation permettant de lire pour chaque rangée de pièces la valeur totale représentée par le nombre de pièces mises en place dans une rangée. Cette disposition est pratique, mais pour connaître le montant total des pièces contenues dans la caisse, il est nécessaire d'additionner les montants trouvés pour chacune des rangées, ce qui prend un certain temps et comporte des risques d'erreurs.
La présente invention a pour but de permettre de connaître de façon pratiquement instantanée le total des pièces de monnaie placées dans une caisse du genre précité.
La présente invention a pour objet une caisse avec dispositif de comptage automatique de la monnaie placée dans cette caisse, cette dernière comprenant un support conformé pour permettre de disposer en rangées les pièces de monnaie, chaque rangée correspondant à une valeur déterminée des pièces, caractérisée en ce qu'elle comprend des moyens de détection du nombre de pièces placées dans chaque rangée, des moyens pour convertir ce nombre en une grandeur représentative de la valeur totale des pièces de chaque rangée, des moyens pour additionner les valeurs obtenues dans chaque rangée et des moyens d'affichage de la somme de cette addi hon.
Le dessin annexé représente, schématiquement et à titre d'exemple, une forme d'exécution de la caisse objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue en plan de cette caisse.
La fig. 2 est une coupe schématique selon la ligne II-II de la fig. 1.
La fig. 3 représente un circuit électronique permettant de déterminer le montant total des pièces disposées sur une rangée du support.
La fig. 4 est un schéma général d'un circuit de comptage et d'affichage.
La fig. 1 montre un support 1, réalisé en matière isolante moulée, présentant des évidements 2 de forme générale semicylindrique, chaque évidement étant destiné à recevoir des pièces d'une valeur déterminée et donc d'un diamètre également déterminé. Dans l'exemple illustré, ce support présente sept évidements 2 destinés à recevoir respectivement des pièces de 5 Fr., 2 FL, 1 Fr., 50 centimes, 20 centimes, 10 centimes et 5 centimes. Dans le fond de chaque évidement est prévue une fente 3 qui est obturée par les pièces 4 disposées dans cet évidement, la longueur obturée de la fente étant évidemment égale à la longueur de la pile de pièces de monnaie.
La fig. 2 montre des moyens de détection pour déterminer la hauteur de la pile de pièces de monnaie placées dans un évidement 2. Ces moyens comprennent un ruban sans fin 5 monté sur deux tiges pivotantes 6 et 7 de façon à être tendu sous l'ensemble des évidements 2 du support 1. Ce ruban porte un élément photo-électrique 8, par exemple une photodiode, pour chaque fente 3 et est destiné à être déplacé, lorsqu'on veut faire le compte de la caisse, pour que chaque photodiode se déplace le long de la fente 3. Tant que la photodiode 8 se trouve en regard de pièces de monnaie, elle ne reçoit pratiquement aucune lumière, mais dès qu'elle dépasse la hauteur de la pile, elle reçoit une lumière faible, mais suffisante, cette lumière étant simplement due à la clarté normale du local.
Pendant son déplacement, le ruban 5 passe entre une source lumineuse 10 et une photodiode 11, et présente des portions transparentes alternant avec des portions opaques, de façon à couper périodiquement les rayons de la source 10 parvenant à
la photodiode 11. Le dispositif comprend une photodiode 11
pour chacune des rangées et les portions transparentes du
ruban 5 sont espacées les unes des autres d'une distance cor
respondant à l'épaisseur des pièces de monnaie de la rangée
considérée. Ainsi, pendant le déplacement du ruban 5, chaque
photodiode 11 donne une impulsion électrique pour chaque
distance correspondant au parcours de la photodiode 8 sous
une pièce de monnaie. Cette dernière commande, par des
moyens qui vont être décrits ci-après, l'interruption des impul
sions fournies par la photodiode 11.
De cette façon, par un
seul déplacement du ruban 5, on obtient pour chaque évide
ment 2, qui est muni d'une photodiode 8 et d'une photodiode
11, un nombre d'impulsions correspondant au nombre de
pièces empilées dans l'évidement considéré.
La fig. 3 montre le circuit électrique permettant de totaliser
et d'enregistrer le nombre de pièces dans une rangée de la
caisse. Les photodiodes 8 et 11 sont reliées aux deux entrées
d'une porte NON ET 9. Si nécessaire, ces photodiodes pour
raient être reliées à ladite porte par l'intermédiaire d'un trigger
destiné à donner une forme plus rectangulaire au signal reçu.
La sortie de la porte 9 donne donc une impulsion pour chaque
passage d'une zone opaque du ruban 5 devant la photodiode
11 aussi longtemps que la photodiode 8 se trouve derrière des
pièces de monnaie. Dès que celle-ci dépasse la pile de pièces,
un signal 1 est appliqué à l'entrée correspondante de la
porte 9, de sorte que la sortie de cette dernière est continuelle
ment 0 . La porte 9 attaque un circuit 12 d'addition-sous
traction qui est destiné à compter les impulsions reçues de
cette porte. Ce circuit est associé à un circuit 13 de détection du zéro du circuit 12, c'est-à-dire de l'état vide de celui-ci.
Ainsi, pour chaque évidement 2 qui correspond à des pièces
de monnaie d'une valeur déterminée, un circuit 12 d'addition
emmagasine un nombre d'impulsions correspondant au
nombre de pièces placées dans cet évidement. Pour effectuer la
lecture du nombre contenu dans un circuit 12, ce circuit est
commuté en circuit soustractif et des impulsions, par exemple
d'une fréquence de l'ordre de 10 kHz, sont appliquées à ce
circuit par une ligne 14. Chaque impulsion décharge le circuit
12 d'une unité et lorsque l'on a envoyé un nombre d'impul sions soustractif égal au nombre d'impulsions qui étaient
emmagasinées dans ce circuit, il contient zéro et le circuit 13
de détection du zéro entre en action.
Ce circuit 13 agit sur un
compteur en anneau 15 présentant sept sorties reliées chacune
au circuit 12 associé à l'un des évidements 2 pour appliquer à
ce circuit un signal par une ligne 16 rendant ce circuit opératif
en soustraction. Ainsi, lorsque le circuit 13 de détection de
zéro correspondant à un évidement 2 déterminé entre en
action, le signal de sortie du compteur en anneau 15 passe par
une sortie à la suivante, ce qui met en action le circuit 12 de
soustraction de l'évidement 2 voisin.
Ce processus se répète
chaque fois qu'un compteur 12 a été remis à zéro, ce qui
correspond à la lecture de son contenu, de sorte qu'après la fin
du déplacement du ruban 5, le circuit électrique procède à la lecture du nombre de pièces contenues dans chaque évidement
2, de façon successive, par exemple en commençant par le nombre de pièces de Fr. 5.- pour terminer par le nombre de pièces de 5 centimes.
Le dispositif de lecture est agencé pour fournir un nombre
d'impulsions proportionnel à la valeur de chaque pièce de
monnaie contenue dans une rangée, ceci pour chaque unité
contenue dans le circuit 12. A cet effet, le dispositif comprend
un oscillateur 17 fournissant une fréquence de 100 kHz à un
diviseur 18 présentant plusieurs sorties A, B, C. La sortie
A fournit un signal de fréquence 10 fois plus faible, c'est-à
dire de 10 kHz, ce signal étant appliqué à chacun des comp
teurs 12 par l'entrée soustractive et à une des entrées de trois
portes 20, 21 et 22. Une entrée de ces trois portes reçoit des
impulsions à la fréquence de 100 kHz provenant de l'oscilla
teur 17 après avoir passé dansun circuit de retard 19 et un
circuit 23 de mise en forme.
De cette façon, la porte 20 fournit pendant chaque impul
sion de la sortie A, dont la durée est égale à l'intervalle entre
les impulsions, cinq impulsions correspondant à celles sortant
du circuit 23. Les deux autres portes 21 et 22 reçoivent encore
un signal provenant des sorties B et respectivement C du divi
seur 18, ces signaux B et C étant conformés de façon que pour
chaque impulsion de la sortie A la porte 21 ne soit conductrice
que pendant la durée de deux impulsions sortant du circuit 23,
la porte 22 n'étant conductrice que pour une seule impulsion
du circuit 23.
De cette façon, pour chaque impulsion A qui correspond à
la lecture d'une unité de n'importe quel compteur 12, on
obtient cinq impulsions sur la porte 20, deux impulsions sur la
porte 21 et une seule impulsion sur la porte 22.
La fig. 4 montre l'utilisation de ces diverses impulsions pour
actionner un dispositif d'affichage. Le circuit illustré à la fig. 3
est symbolisé par un bloc 24 présentant trois sorties 20', 21' et
22' correspondant aux sorties des portes 20-22. Ce bloc 24
comprend encore sept sorties désignées de façon générale par
25 et correspondant aux sorties du compteur en anneau 15 de la fig. 3. Ces diverses sorties sont appliquées à des portes 26
32 correspondant respectivement au comptage des pièces de
Fr. 5.-, Fr. 2.-, Fr. 1.-, Fr. 0,50, Fr. 0,20, Fr. 0,10 et
Fr. 0,05.
Les sorties de ces différentes portes sont groupées sur des
portes OU 33, 34, 35 et 36 qui attaquent des circuits diviseurs
37-40 assurant chacun une division par 10. Par contre, la
porte 32 qui correspond aux pièces de Fr. 0,05 attaque un
diviseur 41 effectuant une division par 2. Ces circuits diviseurs
commandent directement une unité d'affichage 42 qui peut
être de tout type connu, de sorte qu'il est inutile d'en donner
une description détaillée.
On voit ainsi que dès que l'on veut connaître le montant
total des pièces placées dans la caisse, il suffit de faire tourner
le ruban 5 pour déplacer les photodiodes 8 le long de chaque
fente 3, ce déplacement étant par exemple commandé par un
moteur électrique. Le circuit de comptage est alors enclenché
et l'on obtient en une fraction de seconde l'affichage du total
de la caisse. Le dispositif d'affichage peut être pourvu de
moyens de maintien de son indication, de sorte que le ruban 5
peut tout de suite être ramené dans sa position initiale.
Il est bien entendu possible de prévoir de nombreuses
variantes et, notamment, une caisse pourrait être réalisée sans
présenter aucune partie mécanique mobile. A cet effet, on
pourrait prévoir dans chaque évidement de la caisse autant de
pièces de contact qu'il est possible de placer de pièces de mon
naie dans cet évidement ou encore un nombre égal de photo
diodes, chacune de ces photodiodes ou des pièces de contact
étant destinée à indiquer si la place correspondante est
occupée ou non par une pièce de monnaie.
La lecture du
nombre de pièces contenues dans un évidement pourrait alors
se faire par un circuit du même genre que celui de la fig. 3, les
potentiels des conducteurs correspondant à chaque pièce d'un
évidement étant successivement testés en combinaison avec un
circuit d'addition comptant le nombre de conducteurs dont le signal correspond à la présence d'une pièce, ce comptage étant poursuivi jusqu'à l'instant où le potentiel d'un conducteur indique l'absence d'une pièce, c'est-à-dire la fin de l'empilage de pièces de monnaie de valeur déterminée.
It is common to use supports in boxes for placing coins, the coins being arranged for each coin value in a row, the support having a graduation allowing to read for each row of coins the total value represented by the number of pieces placed in a row. This arrangement is practical, but in order to know the total amount of the coins contained in the crate, it is necessary to add the amounts found for each of the rows, which takes some time and involves risks of errors.
The object of the present invention is to make it possible to know virtually instantaneously the total of the coins placed in a box of the aforementioned type.
The present invention relates to a box with an automatic device for counting the money placed in this box, the latter comprising a support shaped to allow the coins to be arranged in rows, each row corresponding to a determined value of the coins, characterized in that it comprises means for detecting the number of coins placed in each row, means for converting this number into a quantity representative of the total value of the coins in each row, means for adding the values obtained in each row and means of displaying the sum of this addi hon.
The appended drawing represents, schematically and by way of example, an embodiment of the box which is the subject of the invention.
Fig. 1 is a plan view of this body.
Fig. 2 is a schematic section on the line II-II of FIG. 1.
Fig. 3 shows an electronic circuit making it possible to determine the total amount of coins arranged on a row of the support.
Fig. 4 is a general diagram of a counting and display circuit.
Fig. 1 shows a support 1, made of molded insulating material, having recesses 2 of generally semi-cylindrical shape, each recess being intended to receive parts of a determined value and therefore of a diameter also determined. In the example illustrated, this support has seven recesses 2 intended to receive respectively coins of 5 Fr., 2 FL, 1 Fr., 50 centimes, 20 centimes, 10 centimes and 5 centimes. In the bottom of each recess is provided a slot 3 which is closed by the coins 4 arranged in this recess, the closed length of the slot obviously being equal to the length of the stack of coins.
Fig. 2 shows detection means for determining the height of the stack of coins placed in a recess 2. These means comprise an endless ribbon 5 mounted on two pivoting rods 6 and 7 so as to be stretched under all of the recesses 2 of the support 1. This tape carries a photoelectric element 8, for example a photodiode, for each slit 3 and is intended to be moved, when the case is to be counted, so that each photodiode moves along slot 3. As long as the photodiode 8 is facing the coins, it receives practically no light, but as soon as it exceeds the height of the stack, it receives a weak light, but sufficient, this light being simply due to the normal light of the room.
During its movement, the strip 5 passes between a light source 10 and a photodiode 11, and has transparent portions alternating with opaque portions, so as to periodically cut the rays from the source 10 arriving at
the photodiode 11. The device comprises a photodiode 11
for each of the rows and the transparent portions of the
tape 5 are spaced from each other by a distance cor
corresponding to the thickness of the coins in the row
considered. Thus, during the movement of the tape 5, each
photodiode 11 gives an electric pulse for each
distance corresponding to the path of photodiode 8 under
a coin. This last order, by
means which will be described below, the interruption of the impulse
sions supplied by the photodiode 11.
In this way, by a
only displacement of the tape 5, we obtain for each recess
ment 2, which is provided with a photodiode 8 and a photodiode
11, a number of pulses corresponding to the number of
pieces stacked in the recess considered.
Fig. 3 shows the electrical circuit allowing to totalize
and record the number of pieces in a row of the
checkout. Photodiodes 8 and 11 are connected to the two inputs
of a NAND gate 9. If necessary, these photodiodes for
could be connected to said door by means of a trigger
intended to give a more rectangular shape to the received signal.
The output of gate 9 therefore gives an impulse for each
passage of an opaque zone of the strip 5 in front of the photodiode
11 as long as the photodiode 8 is behind
coins. As soon as it exceeds the stack of coins,
a 1 signal is applied to the corresponding input of the
gate 9, so that the exit of the latter is continuous
ment 0. Gate 9 attacks an addition-sub circuit 12
traction which is intended to count the pulses received from
this door. This circuit is associated with a circuit 13 for detecting the zero of the circuit 12, that is to say the empty state thereof.
Thus, for each recess 2 which corresponds to parts
of money of a determined value, an addition circuit 12
stores a number of pulses corresponding to the
number of pieces placed in this recess. To perform the
reading of the number contained in a circuit 12, this circuit is
switched in subtractive circuit and pulses, for example
of the order of 10 kHz, are applied to this
circuit by a line 14. Each pulse discharges the circuit
12 of a unit and when a number of pulses subtractive equal to the number of pulses which were
stored in this circuit, it contains zero and the circuit 13
zero detection takes effect.
This circuit 13 acts on a
ring counter 15 having seven outputs each connected
to circuit 12 associated with one of the recesses 2 to apply to
this circuit a signal by a line 16 making this circuit operative
in subtraction. Thus, when the circuit 13 for detecting
zero corresponding to a determined recess 2 enters into
action, the output signal of the ring counter 15 passes through
one output to the next, which activates circuit 12 of
subtraction of neighboring recess 2.
This process repeats
each time a counter 12 has been reset, which
corresponds to the reading of its contents, so that after the end
of the movement of the tape 5, the electrical circuit reads the number of parts contained in each recess
2, successively, for example by starting with the number of pieces of Fr. 5.- and ending with the number of pieces of 5 centimes.
The reading device is arranged to provide a number
of pulses proportional to the value of each
currency contained in a row, this for each unit
contained in the circuit 12. For this purpose, the device comprises
an oscillator 17 providing a frequency of 100 kHz to a
divider 18 having several outputs A, B, C. The output
A provides a 10 times lower frequency signal, that is
say 10 kHz, this signal being applied to each of the comp
12 through the subtractive input and one of the three inputs
gates 20, 21 and 22. An entrance to these three gates receives
pulses at the frequency of 100 kHz from the oscillator
tor 17 after passing through a delay circuit 19 and a
shaping circuit 23.
In this way, gate 20 provides during each pulse
output A, the duration of which is equal to the interval between
the pulses, five pulses corresponding to those coming out
of circuit 23. The other two gates 21 and 22 still receive
a signal coming from the outputs B and respectively C of the divi
sor 18, these signals B and C being shaped so that for
each pulse from output A to gate 21 is conductive
that during the duration of two pulses leaving circuit 23,
gate 22 being conductive only for a single pulse
of circuit 23.
In this way, for each pulse A that corresponds to
reading a unit of any counter 12, we
gets five pulses on gate 20, two pulses on
gate 21 and a single pulse on gate 22.
Fig. 4 shows the use of these various pulses for
operate a display device. The circuit illustrated in fig. 3
is symbolized by a block 24 having three outputs 20 ', 21' and
22 'corresponding to the outputs of doors 20-22. This block 24
still includes seven outlets generally designated by
25 and corresponding to the outputs of the ring counter 15 of FIG. 3. These various outputs are applied to gates 26
32 corresponding respectively to the counting of
Fr. 5.-, Fr. 2.-, Fr. 1.-, Fr. 0.50, Fr. 0.20, Fr. 0.10 and
Fr. 0.05.
The outputs of these different doors are grouped on
OR gates 33, 34, 35 and 36 which attack dividing circuits
37-40 each ensuring a division by 10. On the other hand, the
gate 32 which corresponds to the pieces of Fr. 0.05 attacks a
divider 41 performing a division by 2. These divider circuits
directly control a display unit 42 which can
be of any known type, so it is unnecessary to give any
a detailed description.
We see that as soon as we want to know the amount
total of coins placed in the crate, just rotate
the ribbon 5 to move the photodiodes 8 along each
slot 3, this movement being for example controlled by a
electric motor. The counting circuit is then engaged
and in a fraction of a second we obtain the display of the total
of the cash register. The display device can be provided with
means for maintaining its indication, so that the tape 5
can immediately be returned to its initial position.
It is of course possible to provide many
variants and, in particular, a checkout could be made without
have no moving mechanical parts. For this purpose, we
could provide in each recess of the body as many
contact parts that can be placed from parts of my
naie in this recess or an equal number of photos
diodes, each of these photodiodes or contact parts
being intended to indicate whether the corresponding place is
occupied or not by a coin.
Reading the
number of parts contained in a recess could then
be done by a circuit of the same type as that of FIG. 3, the
potentials of the conductors corresponding to each part of a
obviously being successively tested in combination with a
addition circuit counting the number of conductors whose signal corresponds to the presence of a part, this counting being continued until the moment when the potential of a conductor indicates the absence of a part, it is that is, the end of the stacking of coins of determined value.