CH527455A - Pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme - Google Patents

Pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme

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CH527455A
CH527455A CH1930468A CH1930468A CH527455A CH 527455 A CH527455 A CH 527455A CH 1930468 A CH1930468 A CH 1930468A CH 1930468 A CH1930468 A CH 1930468A CH 527455 A CH527455 A CH 527455A
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    • GPHYSICS
    • G04HOROLOGY
    • G04BMECHANICALLY-DRIVEN CLOCKS OR WATCHES; MECHANICAL PARTS OF CLOCKS OR WATCHES IN GENERAL; TIME PIECES USING THE POSITION OF THE SUN, MOON OR STARS
    • G04B23/00Arrangements producing acoustic signals at preselected times
    • G04B23/02Alarm clocks
    • G04B23/021Controls (winding up the alarm; adjusting and indicating the waking time)

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  • Acoustics & Sound (AREA)
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Description


  
 



  Pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme
 La présente invention concerne une pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme et d'un organe d'arrêt de cette alarme manipulable de l'extérieur.



   Le problème du remontage des pièces d'horlogerie mécanique par un moyen ne nécessitant pas d'intervention particulière à cet effet, est résolu pour les montresbracelets par les dispositifs bien connus de remontage automatique qui réagissent aux mouvements du bras du porteur. Pour d'autres pièces d'horlogerie mécaniques, notamment les pendulettes-réveils, qui restent généralement posées à un endroit et n'en sont que très rarement déplacées, ce problème n'a pas encore trouvé de solution satisfaisante.

  On connaît, bien sûr, les pendulettesréveils électriques actionnées par une pile dont l'énergie peut suffire au fonctionnement de la pendulette-réveil pendant un temps   tres    long, mais ces pendulettes électriques sont, en général, de fabrication coûteuse et de telles pièces d'horlogerie électrique se sont toujours révélées plus coûteuses à l'achat que les simples réveils mécaniques.

  D'autre part, si la solution d'une source d'énergie électrique peut, selon le cas, s'avérer avantageuse pour fournir l'énergie nécessaire à l'actionnement du mouvement de la pièce d'horlogerie, une telle source d'énergie, du moins tant qu'elle est constituée par une pile électrique, n'est pas avantageuse en tant que source d'énergie pour la partie     réveil      d'une penduletteréveil, car la consommation d'énergie électrique est alors relativement élevée et la pile, à moins d'être d'un volume disproportionné par rapport à celui du mouvement d'horlogerie réveil lui-même, se trouve par trop vite épuisée, ce qui amoindrit beaucoup l'avantage que pourrait constituer l'utilisation de cette pile comme source d'énergie.



   On connaît également certaines pièces d'horlogerie dans lesquelles le remontage d'un ressort d'entraînement est réalisé par une brève manipulation d'un organe d'actionnement porté par la pièce d'horlogerie, ou même par un soulèvement de cette pièce d'horlogerie ellemême. Certains exposés de brevets antérieurement publiés décrivent de telles pièces d'horlogerie. Ainsi:
 Le brevet allemand   No    631334 se rapporte à une pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme et d'un organe de remontage pour une source d'énergie alimentant ledit dispositif d'alarme. L'arrêt de l'alarme est obtenu en soulevant la pièce d'horlogerie. Le soulèvement de ladite pièce provoque le débandage du ressort (6) qui constitue la source d'énergie. La remise en place de la pièce d'horlogerie provoque le bandage du ressort (6).



   D'autre part, les brevets suisses   No    236423 et 163710 décrivent chacun une pièce d'horlogerie munie d'un dispositif pour mesurer des intervalles de temps et comportant au moins un poussoir manipulable de l'extérieur. Le mécanisme, relié audit poussoir est agencé pour que le mouvement fonctionnel d'actionnement du poussoir remonte au moins une source d'énergie mécanique alimentant ledit dispositif de mesure.



   Cependant, dans la pièce d'horlogerie   réveil   selon le brevet allemand susmentionné, le remontage du ressort (par soulèvement du réveil) nécessite une manipulation qui est destinée spécifiquement et uniquement à ce remontage et qui n'est pas habituelle au cadre de l'utilisation ordinaire d'un réveil. Rien n'oblige l'usager à effectuer périodiquement, en temps voulu, cette manipulation particulière, et un agencement de ce genre ne constitue donc pas une garantie que la pièce d'horlogerie réveil sera toujours remontée, au moins durant les périodes où elle devrait remplir son office.



   D'autre part, avec les pièces à mouvement d'horlogerie selon les brevets suisses susmentionnés, on a des dispositifs destinés à fonctionner seulement de manière temporaire et dont la marche est complètement conditionnée par la manipulation d'un organe prévu à cet ef  fet. Un remontage du ressort d'actionnement par cette manipulation même, assure bien la marche du dispositif dans tous les cas où il doit remplir son office;

   mais on ne rencontre pas, avec ces dispositifs connus à fonction unique, le problème même qui est rencontré avec une pièce d'horlogerie à double fonction, comme par exemple un réveil, dans laquelle une première fonction (indication de l'heure) qui devrait être permanente et qui l'est effectivement pour autant que son ressort d'actionnement soit remonté, commande le déclenchement d'une seconde fonction (alarme) qui ne peut toutefois s'effectuer convenablement que si le ressort qui l'actionne se trouve de même remonté.

  Ce problème réside dans le fait que le remontage du ressort d'actionnement de la seconde fonction doit être toujours assuré en tant que tel (si   l'on    veut que cette seconde fonction s'accomplisse correctement), bien que le déroulement correct de la première fonction (qui seule est visuellement contrôlable en permanence) ne soit par nature nullement liée à ce remontage du ressort de la deuxième fonction, c'està-dire à l'aptitude de la seconde fonction à s'effectuer correctement, ce qui se traduit par la non-garantie, de ce que, même si   l'on    n'a pas eu besoin de remonter le ressort de la première fonction, le ressort de la seconde fonction sera toujours remonté quand la première fonction commandera le déclenchement de la seconde fonction.

  Les dispositifs selon les deux brevets suisses susmentionnés n'ont pas à résoudre ce problème particulier du remontage dans une pièce d'horlogerie du type réveil, et ils n'en fournissent donc pas une solution.



   Le but de la présente invention est de fournir une pièce d'horlogerie du type  réveil  qui apporte une solution avantageuse au problème du remontage, sans intervention particulière destinée spécifiquement à ce remontage. au moins de la partie   réveil   d'une pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme.



   La pièce d'horlogerie selon l'invention, qui est munie d'un dispositif d'alarme et d'un organe d'arrêt de cette alarme manipulable de l'extérieur, est caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour que son mouvement fonctionnel d'actionnement remonte au moins une source d'énergie mécanique alimentant au moins le dispositif d'alarme.



   Des formes d'exécution d'une telle pièce d'horlogerie sont représentées schématiquement, à titre d'exemple, au dessin annexé où n'apparaissent que les organes spécifiques à la pièce en question, les organes classiques d'une pièce d'horlogerie réveil conventionnelle n'y étant pas représentés ou ne l'étant que dans la mesure où ils coopèrent avec les organes spécifiques de la pièce en question.



   La fig. 1 représente schématiquement, vu depuis l'arrière, l'agencement du dispositif qui, à l'intérieur d'une pièce d'horlogerie réveil, dans une première forme d'exécution, permet à l'organe d'arrêt de l'alarme de remonter un ressort de barillet.



   La fig. 2 est une vue schématique en coupe selon la ligne II-II de la fig. 1.



   La fig. 3 est une vue en coupe selon la ligne m
III de la fig. 1.



   La fig. 4 représente schématiquement, par une vue de face, l'agencement d'un dispositif qui, incorporé à une pièce d'horlogerie réveil, dans une seconde forme d'exécution, coopère avec un dispositif analogue à celui de la fig. 1 pour lui donner un mode de fonctionnement plus avantageux, les organes déjà représentés à la fig. 1 et dont aucune modification n'est exigée par l'adaptation du dispositif de la fig, 1 aux conditions de cette coopération, ne sont pas représentés aussi sur la fig. 4.



   La fig. 5 est une vue en coupe selon la ligne V-V de la fig. 4 et montre certains organes présents dans la seconde forme d'exécution illustrée par la fig. 4 dans leur position dite d'attente.



   La fig. 6 est une vue analogue à la fig. 5 montrant lesdits organes dans leur position dite de départ de remontage et montrant, par des lignes en traits mixtes, les endroits où viennent se placer certains desdits organes quand ceux-ci sont dans leur position dite d'arrêt.



   Les fig. 7, 8, 9 et 10 montrent différentes variantes de réalisation extérieure selon lesquelles chacune des deux formes d'exécution peut être réalisée.



   En considérant les fig. 1, 2 et 3, on voit, agencée sur la face arrière d'une platine 1, une roue dentée 2, solidaire de l'axe d'un barillet 23, cette roue 2 engrenant avec une roue dentée 3 concentrique d'une autre roue dentée 4 engrenant elle-même avec un secteur denté 5. La roue dentée 2 est solidaire d'une roue dentée 6, d'un diamètre plus grand, sur laquelle agit un dispositif à cliquet 7, 8 permettant aux roues 2 et 6 de tourner seulement dans une direction. D'autre part, les roues dentées concentriques 3 et 4 ne sont pas solidaires l'une de l'autre, mais elles sont solidarisées dans une direction de mouvement relatif par un autre dispositif à cliquet 9, 10.

  Le sens de l'action du dispositif à cliquet 7, 8, d'une part, et du dispositif à cliquet 9, 10, d'autre part, est tel que, lorsque la roue 4 tourne dans un sens, elle entraîne, par l'effet du dispositif à cliquet 9, 10, la roue 3 dans le même sens, laquelle roue 3 entraîne la roue 2 et la roue 6, cette dernière étant laissée libre de tourner dans ce sens par le dispositif à cliquet 7, 8. Lorsque la roue 4 tourne dans l'autre sens, la roue 3 ne peut pas la suivre, car pour cela, il faudrait qu'elle puisse faire tourner les roues 2 et 6 dans l'autre sens que précédemment, ce qui est empêché par le dispositif à cliquet 7, 8; c'est alors le dispositif à cliquet, 9, 10 qui peut, cette fois, permettre un mouvement relatif de la roue 3 et de la roue 4, ce qui fait que la roue 4 tourne sans entraîner la roue 3.

  La roue 4 elle-même est entraînée par la partie dentée du secteur 5; lorsque ce secteur 5 se meut de haut en bas, la roue 4 et la roue 3 tournent dans le sens horaire, tandis que la roue 2 et la roue 6 tournent dans le sens antihoraire; lorsque ce secteur 5 se meut de bas en haut, la roue 4 tourne dans le sens antihoraire, et les roues 3, 2 et 6 restent immobiles.



   On voit également sur la fig. 1 que le secteur denté 5 est constamment rappelé vers le haut par un ressort 11.

 

  On voit encore un levier 12 avec une tête d'appui 13, lequel coulisse dans un dispositif adéquat (représenté schématiquement sur le dessin seulement par les pièces de coulissement 16), et qui présente un téton 14 qui s'engage dans une ouverture de forme allongée 15 percée dans le secteur 5. Le tout est agencé, comme cela apparaît clairement sur la figure, de telle manière que les mouvements de haut en bas et de bas en haut que   l'on    fait subir au levier 12 se transmettent au secteur denté 5 qui pivote en 17; sous l'action du ressort 11, le secteur 5 a toujours tendance à remonter et à repousser le levier 12 avec sa tête d'appui 13 vers le haut, comme cela est représenté en traits mixtes sur la figure (des traits mixtes représentant également le secteur 5 en position haute).



  C'est donc un dispositif complet de transformation d'un  mouvement linéaire en un mouvement rotatif et de redressement du sens du mouvement rotatif qui est constitué par l'ensemble 12, 14, 15, 5, 4, 9 et 10, 3, 2 et 6, 7 et 8.



   La pièce dans laquelle est incluse le dispositif ci-décrit comporte les organes classiques d'une pièce d'horlogerie réveil et notamment un marteau qui, lorsque la position préréglée dans le dispositif de réveil est atteinte par les mobiles du mouvement d'horlogerie, frappe le boîtier (ou une cloche adéquate) de manière à faire retentir une alarme. Tous ces organes sont connus et ne sont pas dessinés sur la fig. 1 (certains d'entre eux sont, par contre, représentés sur la fig. 4).

  Il est simplement important d'indiquer que le secteur 5 ou une pièce dont la position dépend de la position du levier 12, provoque le blocage ou le déblocage du marteau faisant retentir l'alarme, ceci de manière telle que lorsque le levier 12 est en position haute, le marteau soit débloqué et puisse faire retentir l'alarme, tandis que lorsque le levier 12 est abaissé, il bloque le marteau et bloque donc l'alarme.



   On voit encore sur la fig. 1, un levier d'arrêt 18 qui présente un bec 19 susceptible de s'engager dans une encoche 20 présentée par le levier 12 et un poussoir 21, sortant du boîtier, et dont le mouvement, lorsqu'il est pressé depuis l'extérieur, dégage le bec 19 de l'encoche 20; en l'absence de pression sur le poussoir 21, un ressort 22 maintient le bec 19 du levier 18 pressé contre le levier 12 et, si celui-ci se trouve en position abaissée, pressé au fond de l'encoche 20. Le bec 19 et l'encoche 20 ont une forme telle que, une fois pressé vers le bas, le levier 12 s'accroche, par son encoche 20, contre le levier 19 et ne peut plus remonter en position haute.



  C'est seulement lorsqu'on presse sur le poussoir 21 que le levier 12 remonte.



   Le mode de fonctionnement, et d'emploi du dispositif est donc le suivant: si   l'on    admet que, le soir, le levier 12, avec sa tête d'appui 13, se trouvait maintenu en position basse (contre l'action du ressort 11), ce qui fait que l'alarme de la pendulette-réveil ne pouvait pas retentir même lorsqu'il était l'heure où elle aurait dû retentir, une pression sur le poussoir 21 libère le levier 12 qui, sous l'action du ressort 11 transmise par le secteur 5, reprend sa position haute; le marteau d'alarme est alors libéré et dès que la position voulue des mobiles horaires sera atteinte, l'alarme retentira.

  A ce moment, pour arrêter l'alarme, il faudra peser sur la tête d'appui 13 du levier 12 et, en pesant sur le levier 12, on actionnera le secteur 5 et les roues 4, 3, 2 et 6, ce qui aura pour effet, la roue 2 étant solidaire de l'axe de barillet, de remonter le ressort contenu dans ce barillet. Ce ressort sera au moins celui qui actionne le dispositif d'alarme de la pendulette-réveil. On a constaté qu'en agissant sur la tête d'appui 13 avec une force de l'ordre de grandeur de ce qu'on peut attendre d'une personne en train de se réveiller et pressant sur la tête 13 à bout de bras, on pouvait, si le chemin parcouru de haut en bas par le levier 12 et la tête 13 était de quelques centimètres, transmettre à un ressort de barillet l'énergie nécessaire à le remonter complètement.

  Ainsi donc, chaque fois que   l'on    arrête l'alarme, on remonte à nouveau le ressort qui constitue la source d'énergie de cette alarme. Si, comme on peut l'admettre ici, on cherche uniquement à éviter d'avoir à remonter le ressort actionnant le dispositif d'alarme, on aura atteint le but recherché puisqu'il ne faudra plus jamais effectuer une opération particulière spécifiquement destinée au remontage du ressort de barillet du dispositif d'alarme.   I1    faut dire encore qu'à l'intérieur du barillet, le ressort devra être agencé d'une manière glissante, comme le ressort d'une montre-bracelet automatique, afin de ne pas se casser lorsque, après que le ressort de la partie réveil ne se sera détendu que partiellement,

   on fera faire à l'axe de barillet un nombre de tours qui permettrait de remonter totalement ce ressort même s'il était totalement détendu. Il y a lieu de remarquer aussi qu'en pressant sur la tête 13, on doit vaincre en plus la force exercée par le ressort 11. On aura donc avantage à dimensionner celui-ci de manière qu'il ne fasse que juste compenser le poids du levier 12 de la tête 13 et du secteur 5.



   Il y a lieu de remarquer également que même pour les gens qui laissent se désarmer totalement le ressort de barillet du dispositif réveil sans agir sur l'organe d'arrêt de l'alarme, le remontage du ressort de barillet ainsi totalement désarmé pourra être effectué par simple pression sur la tête d'appui 13, ce qui constitue un notable   gain    de temps par rapport à la nécessité de remonter le ressort de la partie réveil au moyen d'une clef de remontage classique. Après le remontage, il sera nécessaire encore, si   l'on    veut que l'alarme retentisse au prochain passage des mobiles horaires dans la position définie par le mécanisme de réveil, presser encore sur le poussoir 21 afin de faire remonter le levier 12 et la tête d'appui 13.



   Ce dispositif présente cependant encore l'inconvénient de nécessiter, chaque soir, une opération ayant pour but de déterminer si   l'on    tient à être réveillé ou non le lendemain, l'absence d'une telle opération impliquant le non-fonctionnement du réveil le lendemain. Il n'est pas possible non plus de presser sur le poussoir 21 dès que, le matin, le réveil a retenti et qu'on l'a arrêté, mais il faut attendre pour agir sur ce poussoir 21 que le temps nécessaire (en général une demi-heure à une heure) se soit écoulé pour que les organes de commande du mécanisme de réveil ne se trouvent plus dans la position où l'alarme est libérée. Une seconde forme d'exécution dans laquelle ces inconvénients ne se présentent pas est illustrée par les fig. 4, 5 et 6.

  Ces figures montrent un dispositif qui, combiné à un dispositif analogue à celui qui vient d'être décrit, agit de telle manière que le levier   -      analogue    au levier 12 de l'exécution précédemment décrite - sur lequel on presse pour arrêter l'alarme et, simultanément, remonter au moins un ressort de barillet, revient de lui-même en position haute à l'instant où le dispositif de réveil arrive dans la position où l'alarme devrait retentir.

  Il n'est dès lors plus nécessaire d'exercer une action particulière pour faire remonter ce levier afin que l'alarme retentisse lorsque le moment sera venu, le déclenchement même des organes qui tendent à libérer l'alarme faisant remonter le levier qui, dès qu'il est remonté, permet à l'alarme de retentir.   I1    faut cependant, dans ce cas, qu'au moment où   l'on    presse sur le levier pour arrêter l'alarme, celui-ci reste en position pressée jusqu'au moment où les mobiles de la partie réveil qui conditionnent l'alarme ne seront plus dans la position où cette alarme peut retentir. 

  Cela nécessite une triple possibilité de positionnement du levier: tout d'abord, une position dite d'attente dans laquelle le levier est bloqué tant que les organes de la partie réveil se trouvent dans une position où l'alarme ne doit pas retentir, ensuite une position dite de départ de remontage, qui est la position haute précédemment mentionnée, et dans laquelle le levier passe au moment où les organes de la partie réveil viennent  dans la position où l'alarme doit retentir, et enfin une position d'arrêt dans laquelle le levier vient lorsque   l'on    appuie sur lui pour arrêter l'alarme en train de retentir, le levier restant dans cette position d'arrêt jusqu'à ce que les organes de la partie réveil ne soient plus dans la position où l'alarme peut retentir, et passant alors dès ce moment de nouveau dans sa position d'attente.

  Dans le dispositif illustré par les fig. 4, 5 et 6, les positions d'attente et d'arrêt sont très voisines, la position d'arrêt étant simplement un tout petit peu plus basse que la position d'attente. La position de départ de remontage par contre, est la même que celle qui était nommée   position haute   dans la description de la forme   d'exé-    cution précédente.



   Sur les fig. 4, 5 et 6, on voit une platine 25, qui, comme la platine 1 de l'exécution précédente, présente des pièces de coulissement 16, le levier 26 qui vient coulisser dans ces parties de coulissement 16 étant cependant quelque peu différent du levier 12 précédemment décrit. Ce levier 26, qui présente une tête d'appui 27, comporte une tige 28 qui, lorsque le levier est en position abaissée (position d'attente ou position d'arrêt), vient s'appuyer sur une pièce d'arrêt 29 qui bloque la roue 30, laquelle actionne, lorsqu'elle est libérée, le marteau d'alarme 31, pour autant que ce dernier ne soit pas bloqué par les organes de la partie réveil.

  Le levier 26 actionne, lors de son mouvement vertical, un dispositif tout à fait analogue à celui qui a été décrit en liaison avec la fig. 1 (secteur denté 5, roues 4, 3, 2, 6, cliquets 9, 10 et 7, 8, etc.), mais il n'est pas maintenu en position abaissée par un organe comme le levier 18 avec son poussoir 21 et son bec 19, les organes de maintien en position abaissée étant pour le levier 26, les deux tétons 32 et 33 sortant latéralement sur le côté du levier 26 et le cliquet de blocage 34 qui agit sur ces tétons.



   Il y a lieu de remarquer qu'on a représenté sur les fig. 4, 5 et 6 les organes de la partie réveil qui déterminent le moment où l'alarme doit retentir. Ces organes sont d'un type connu et il n'est pas nécessaire de les décrire ici; ils comportent différentes pièces coaxiales à l'axe des aiguilles de la pièce d'horlogerie qui sont désignées dans leur ensemble par le signe de référence 35, et ils comportent en plus le ressort à lamelle 36 qui, par une extrémité recourbée 37, vient bloquer ou libérer le marteau 31 suivant qu'il est l'heure ou non où l'alarme doit retentir. Dans le dispositif ci-décrit, le ressort à lamelle 36 porte encore une partie recourbée latéralement en forme de nez 38 qui commande le positionnement du cliquet 34.

  Ce dernier, qui pivote en 39, est articulé en 40 sur le nez 38; sa position plus ou moins oblique est donc déterminée par la position prise par le ressort à lamelle 36. Ce levier 34 présente à sa partie supérieure un bec 41 et à sa partie inférieure une pointe 42. En pivotant autour de son axe 39, le cliquet 34 agit sur les tétons 32 et 33, par son bec 41 et sa pointe 42 à la manière d'un échappement; c'est-à-dire que lorsque les tétons se trouvent dans les positions 32' et 33' marquées en traits mixtes sur la fig. 6 (levier 26 en position d'arrêt), si le cliquet 34 est tiré par le nez 38 de manière que sa pointe 42 avance en direction du téton 33, la face d'appui située immédiatement en dessous de la pointe 42, maintient le téton 33 et, par lui, le levier 26 dans la position 33', ce qui maintient le levier 26 en position d'arrêt;

   dans cette position, le téton 32 se trouve en 32', c'est-à-dire légèrement en dessous du bec 41; lorsque, à la suite d'un mouvement du ressort à lamelle 36 transmis par le nez 38, le cliquet 34 reprend la position montrée à la fig. 5, le levier 26 peut effectuer un très léger mouvement vers le haut jusqu'à ce que le téton 32 vienne s'appuyer sous le bec 41. Ce changement de position n'implique qu'un mouvement extrêmement petit du levier 26.

  Lorsque, à partir de la position représentée à la fig. 5 dans laquelle le bec 41 retient le téton 32 (levier 26 en position d'attente), le ressort à lamelle 36 effectue un nouveau mouvement vers l'arrière, le nez 38 tire le cliquet 34 et le téton 32 est libéré alors que le téton 33 n'est plus retenu par la surface située sous la pointe 42; le levier 26 peut alors remonter (sous l'action d'un ressort analogue au ressort   1 1    de la fig. 1) jusqu'à sa position de départ de remontage qui est celle montrée à la fig. 6 (tétons 32 et 33 aux endroits marqués en pointillé et non pas en traits mixtes). A ce   moment-là,    le marteau 31 se trouve libéré et l'alarme retentit.

  On remarque encore que, dans la forme d'exécution représentée aux fig. 4, 5 et 6, le marteau est doublement bloqué, d'une part par l'extrémité 37 du ressort à lamelle 36 et, d'autre part, par le téton 28 positionné sous la tête d'appui 27 du levier 26. Ce blocage complémentaire du marteau 31 par la partie 37 ne serait pas absolument nécessaire sauf dans le cas où un dispositif auxiliaire existerait pour limiter la durée de l'alarme, par exemple à 10 secondes, même si   l'on    ne pressait pas sur le levier 26 pour l'arrêter; dans un tel cas, cette limitation par exemple à 10 secondes pourrait fort bien être faite par un organe agissant sur le ressort à lamelle 36 lui-même et venant bloquer le marteau 31 par l'intermédiaire de l'extrémité recourbée 37 du ressort à lamelle 36.

  On remarque aussi que les deux dispositifs d'arrêt 37 et 28 n'agissent pas de manière identique, l'extrémité 37 agit sur le marteau 31, alors que le téton 28 agit par l'intermédiaire de la pièce 29 sur la roue 30 actionnant le marteau 31. Pour des raisons technologiques, le système de blocage par action sur la roue 30 est plus avantageux (car peut être plus robuste) et se prête mieux à un blocage qui se fait par un mouvement requérant, pour d'autres motifs, une force relativement grande; le blocage conventionnel du marteau 31 à l'aide du ressort à lamelle est cependant avantageux, car il empêche le marteau de    flotter .   



   Lorsque   l'on    presse sur le levier 26, ou plus exactement la tête 27 du levier 26, pour arrêter l'alarme en train de retentir, le cliquet 34 se trouve dans la position représentée à la fig. 6. Au moment où le téton 33 doit passer devant la pointe 42, le cliquet 34 doit pouvoir pivoter légèrement autour de son axe 39; cela est rendu possible par le fait que la lamelle 36 est flexible et que le nez 38 peut très bien durant un instant être tiré vers l'avant par la partie supérieure du cliquet 34. Dès que le téton 33 a passé au-dessous de la pointe 42, le cliquet 34 reprend, sous l'action du ressort à lamelle 36, la position représentée à la fig. 6.

 

   L'exécution selon les fig. 4, 5 et 6 présentent encore un autre avantage. Celui-ci réside dans le fait que le levier 26 remonte en position de départ de remontage chaque fois que l'alarme fonctionne, c'est-à-dire qu'il présente, indépendamment de toute action devant être effectuée volontairement (par exemple, pression sur le poussoir 21 dans le cas de la première forme d'exécu   tion),    une indication du fait que le ressort de barillet se trouve (au moins partiellement) désarmé. Comme, afin d'avoir l'énergie nécessaire pour remonter le ressort de barillet, la course que doit pouvoir faire le levier 26 est relativement grande, ce levier, lorsqu'il est en position  de déclenchement, donne à la pendulette-réveil un aspect insolite, voire inesthétique, qui attire immédiatement l'attention de la personne qui doit l'actionner pour remonter le réveil.



   Un autre avantage de cette forme d'exécution consiste dans le fait que   l'on    peut fort bien, au moyen d'un levier auxiliaire, bloquer le marteau 31 de manière que ne retentisse à aucun moment une alarme acoustique, le levier 26 n'en prendra pas moins au moment voulu sa position de départ de remontage, signalant ainsi d'une manière optique le fait que l'heure réglée par le dispositif réveil est atteinte.



   Une troisième forme d'exécution, qui n'est pas représentée au dessin, pourrait consister en un dispositif analogue à celui représenté à la fig. 1, mais dans lequel le fonctionnement des roues 4, 3, 2 et 6 et des cliquets 7 et 8, 9 et 10, serait inversé et où   l'on    n'aurait pas de ressort de barillet dans le barillet 23, la couronne de ce barillet   (ou    une roue jouant le même rôle) étant directement solidaire de l'arbre des roues 2 et 6. On rendrait le ressort   1 1    ou un autre ressort jouant le même rôle aussi fort que cela serait nécessaire et c'est ce   ressorts    qui entraînerait tout le dispositif.

  Au fur et à mesure que ce ressort se détendrait, le secteur 5 remonterait en repoussant le levier 12 (le levier 18 serait alors supprimé) et la position du levier 12 et de la tête d'appui 13 indiquerait le degré d'armage ou de désarmage du ressort entraînant le mécanisme. On pourrait aussi envisager de supprimer le ressort   1 1    et de maintenir un ressort dans le barillet 23, mais en agençant le dispositif d'engrenage reliant le ressort au secteur 5 de façon à faire fonctionner le dispositif comme cela vient d'être décrit.



   Il y a lieu de dire aussi qu'au lieu de remonter uniquement le ressort de barillet entraînant la partie réveil de la pendulette-réveil, on pourrait au moyen du dispositif ci-décrit, aussi bien dans le cas de la première forme d'exécution que dans le cas de la seconde (ou même de   Ia    troisième forme d'exécution brièvement décrite mais non représentée au dessin), remonter également le ressort de barillet entraînant le mouvement lui-même, et c'est ce cas qui sera certainement le plus intéressant du point de vue technique. Cela peut se faire soit en remontant un même ressort qui actionne d'une manière connue à la fois la partie réveil et le mouvement de la pièce d'horlogerie réveil, soit en remontant à l'aide du mouvement du levier 12 ou 26 deux ressorts actionnant   l'un    la partie réveil et l'autre le mouvement de la pièce d'horlogerie.

  On pourrait même envisager d'utiliser en lieu et place de ressorts de barillet conventionnels, toute autre source d'énergie mécanique remontable, que ce soit un ressort d'une forme quelconque ou même un poids.



   Remarquons que la pendulette-réveil en question pourrait très bien être du type de celle qui est décrite dans le brevet suisse   No    513448, puisque la pièce d'horlogerie réveil décrite dans ce brevet est surtout intéressante dans le cas où elle fonctionne durant de nombreux jours successifs sans qu'on ait à faire d'opérations particulières pour la remonter.



   Il reste à voir les fig. 7, 8, 9 et 10. Il est clair que les formes d'exécution illustrées par les fig. 1 à 6 sont représentées de manière schématique; les fig. 7 à 10 montrent comment des pièces d'horlogerie réveil correspondant à la représentation schématique des fig. 1 à 6 pourraient se présenter en fait extérieurement. La fig. 7 montre une pendulette du type  télévision  qui présente une partie supérieure correspondant au levier 26 avec sa tête d'appui 27 (ou au levier 12 avec la tête d'appui   13);    l'essentiel est que la surface d'appui sur laquelle on doit presser pour arrêter l'alarme en même temps que   l'on    remonte la pièce d'horlogerie réveil, soit suffisamment grande et comprenne la presque totalité de la surface d'encombrement de la pendulette.

  On voit à la fig. 7 que   l'on    peut réaliser cela d'une manière très esthétique avec une pendulette du type   télévision , laquelle présente une forme très esthétique lorsque la pièce supérieure est rabaissée (position dans laquelle cette pièce doit se trouver lorsque la pièce d'horlogerie est normalement remontée), mais présente une forme beaucoup moins esthétique lorsque la pièce supérieure est relevée (ce qui signale, dans le cas de la seconde forme d'exécution, que la pendulette n'est pas remontée et ce qui est également destiné, lorsque l'alarme acoustique est bloquée par un dispositif auxiliaire, à attirer l'attention d'une personne regardant la pendulette).



   La fig. 8 montre une autre forme de réalisation d'une pendulette dans laquelle les rôles sont inversés, c'est-à-dire que la partie mobile (correspondant au levier 26) constitue le socle de la pendulette et que c'est toute la pendulette qui est mobile verticalement sur ce socle. Dans ce cas, le ressort analogue au ressort   1 1    doit être suffisamment fort pour remonter tout le poids de la pendulette, mais cela est techniquement réalisable.



  On a, dans le cas de la pendulette selon la fig. 8, l'avantage que pour arrêter l'alarme que fait retentir cette pendulette, il suffit de presser sur la pendulette elle-même sans avoir aucunement à chercher l'endroit où se trouve un quelconque levier d'arrêt.



   Dans le cas de la fig. 9, le levier qui s'enfonce dans le boitier est remplacé par un levier rotatif, fixé de préférence à l'arrière du boîtier de la pendulette et qui est d'une grandeur suffisante pour qu'on l'atteigne facilement, même en le cherchant à tâtons dans l'obscurité.



  Du point de vue constructif, ce levier pourra par exemple être solidaire du secteur denté 5, où il pourra également être relié à celui-ci par un dispositif de transmission cinématique quelconque. Il faut noter que, dans le cas de la fig. 9, on aurait avantage à prolonger latéralement le socle du côté où se trouve le levier, afin d'éviter que la pendulette ne risque de basculer lorsque   l'on    actionne le levier d'arrêt de l'alarme et de remontage de la pendulette.



   La pendulette-réveil représentée à la fig. 10 est relativement à celle   de la fig.    9, semblable à celle de la fig. 8 relativement à celle de la fig. 7, c'est-à-dire que son agencement intérieur est pratiquement identique à celui de la pendulette-réveil montrée à la fig. 9, mais que c'est à nouveau la partie constituant le levier d'actionnement qui repose par exemple sur une table où la pendulette est posée, alors que c'est la pendulette elle-même qui se déplace sur ce support au moment où l'alarme se déclenche et au moment où   l'on    effectue l'opération par laquelle on arrête l'alarme et on remonte la pendulette. 

  La pendulette selon la fig. 10 présente, quant à son utilisation, le même avantage que la pendulette selon la fig. 8, c'est-à-dire qu'il n'y a aucunement besoin de chercher l'endroit où il faut presser sur la pendulette pour arrêter l'alarme et remonter simultanément la pendulette; les exécutions selon les fig. 9 et 10 présentent, par rapport aux exécutions selon les fig. 7 et 8, l'avantage de nécessiter un mobile de moins, celui qui est constitué, dans la première forme  d'exécution, par le levier 12 avec sa tête d'appui 13 et, dans la seconde forme d'exécution, par le levier 26 avec sa tête d'appui 27.



   Il y a lieu de dire encore que, dans le cas des formes de réalisation selon les fig. 9 et 10, on pourrait tout aussi bien que dans le cas des formes de réalisation selon les fig. 7 et 8, construire la pendulette-réveil selon la troisième forme d'exécution (brièvement décrite et non représentée au dessin) dans laquelle la position que reprend progressivement l'organe d'actionnement de la pendulette (ou, dans le cas des fig. 8 et 10, la pendulette elle-même) est représentative du degré de désarmage du ressort   actionnant    la pendulette.

 

   Lorsque, par exemple dans le cas où la pendulette est munie d'un dispositif auxiliaire bloquant l'alarme acoustique, on veut utiliser le retour du levier pour donner une alarme optique remplaçant l'alarme acoustique, il est possible de donner aux parties qui se déplacent et qui, dans le cas de la fig. 7, ne sont pas visibles normalement et deviennent visibles lorsque le levier se déplace depuis sa position d'attente jusqu'à sa position de départ de remontage, une couleur très voyante qui fait de ce levier ou de cette pièce tenant lieu de levier (ou coiffant le levier) un véritable indicateur optique. 

Claims (1)

  1. REVENDICATION
    Pièce d'horlogerie munie d'un dispositif d'alarme et d'un organe d'arrêt de cette alarme manipulable de l'extérieur, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour que son mouvement fonctionnel d'actionnement remonte au moins une source d'énergie mécanique alimentant au moins le dispositif d'alarme.
    SOUS-REVENDICATIONS 1. Pièce d'horlogerie selon la revendication, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour que son mouvement fonctionnel d'actionnement remonte un ressort constituant ladite source d'énergie et fournissant une énergie de fonctionnement au dispositif d'alarme et au mouvement horaire de la pièce d'horlogerie.
    2. Pièce d'horlogerie selon la revendication, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour que son mouvement fonctionnel d'actionnement remonte également au moins une seconde source d'énergie constituée par un ressort et fournissant une énergie de fonctionnement au mouvement horaire de la pièce d'horlogerie.
    3. Pièce d'horlogerie selon la revendication ou l'une des sous-revendications 1 et 2, caractérisée en ce que ledit organe est monté pour effectuer un mouvement fonctionnel le faisant au moins partiellement rentrer dans le boîtier de la pièce d'horlogerie.
    4. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 3, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour ressortir du boîtier à l'instant où les organes horaires de la pièce d'horlogerie atteignent la position correspondant au déclenchement de l'alarme.
    5. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 4, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour ressortir audit instant indépendamment du fait que ladite alarme en tant que signal se trouve bloquée ou non par un dispositif auxiliaire.
    6. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que ledit organe présente, lorsqu'il est en position, ressortant à l'extérieur du boîtier, une partie visualisant l'état non encore remonté de la pièce d'horlogerie.
    7. Pièce d'horlogerie selon la revendication ou l'une des sous-revendications 1 ou 2, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour pouvoir être manipulé de manière à effectuer par rapport au boîtier de la pièce d'horlogerie un mouvement fonctionnel qui lui fasse prendre différentes positions relativement à ce boîtier, l'une de ces positions étant la position de départ de remontage et une autre la position de fin de remontage, la manipulation de cet organe depuis la position de départ de remontage ou depuis une position intermédiaire jus- qu'en position de fin de remontage constituant le mouvement fonctionnel de cet organe qui arrête l'alarme en train de fonctionner.
    8. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 7, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour reprendre sa position de départ de remontage à l'instant où les organes horaires de la pièce d'horlogerie attei g nent la position correspondant au déclenchement de l'alarme indépendamment du fait que ladite alarme en tant que signal se trouve bloquée ou non par un dispositif auxiliaire.
    9. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 7, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour visualiser l'état non remonté dudit ou desdits ressorts lorsqu'il est en position de départ de remontage.
    10. Pièce d'horlogerie selon la sous-revendication 7, caractérisée en ce que ledit organe est agencé pour visualiser le degré de désarmage dudit ou desdits ressorts lorsqu'il occupe une position différente de la position de fin de remontage, l'écart entre la position occupée par cet organe et la position de fin de remontage étant représentatif du degré de désarmage, l'état non remonté étant représenté par cet écart lorsque la position occupée par l'organe correspond à la position de départ de ce remontage.
    Ecrits et images opposés en cours d'examen Exposé d'invention suisse No 163710 Brevet allemand No 631334
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