CH362366A - Montre à remontage automatique - Google Patents

Description

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 Montre à remontage automatique On connaît déjà des montres à remontage automatique dans lesquelles la masse    de   remontage, excentrée, est disposée    dans   l'épaisseur du bâti du mouvement (et non pas à l'extérieur de    ce   bâti), son encombrement sur la    platine   étant    limité   par un cercle, que l'on fait aussi grand que possible pour augmenter le    moment      d'inertie   de la masse et qui, en    conséquence,   s'étend du    pourtour   de la platine jusqu'à proximité immédiate du    centre   de    celle-ci.   Dans ces conditions, il ne reste, pour le rouage, que peu d'espace, ce qui amène à    utiliser,

     entre le    barillet   et l'échappement, un train de    petites      dimensions   et souvent d'une composition différente de celle des deux trains classiques à seconde    excentrée   ou à seconde au centre. 



  La présente invention a pour but de faire disparaître cet inconvénient. La montre qui en fait l'objet est caractérisée par un    espace   ménagé entre la platine et la    face   en regard de la masse, dans lequel est disposé le rouage du    dispositif   de remontage automatique et passe la roue du mobile de    centre,   la    face   supérieure de la masse étant située au niveau des ponts et la roue du mobile de    secondes   au    centre      passant   dans une gorge ouverte dans la paroi latérale de cette masse. 



  Le dessin représente, à titre d'exemple,    une   forme d'exécution de l'objet de la présente invention, ainsi qu'une    variante   d'un    détail.   



  La    fig.   1 est une vue schématique en plan de cette forme d'exécution et la    fig.   2, une coupe par 11-11 de    fig.   1. La    fig.   3 concerne la    variante.   Aux    fig.   1 et 2, 1 représente la platine, 2 un pont et 3 la masse de remontage qui est    excentrée   et qui est logée    entièrement      dans   l'épaisseur du bâti du mouvement, son encombrement sur la platine étant limité par un cercle approximativement tangent au bord de    celle-ci   et    s'étendant   jusque près du    centre.   4 représente le    barillet   et 5 le balancier ;

   entre les deux est disposé un    train   de rouages comprenant le mobile de    centre   6-6', le mobile de    moyenne   7-7', le mobile de secondes au    contre   8-8' portant une aiguille de secondes et le    mobile   d'échappement 9-9'. La roue 8' du mobile de secondes au centre s'engage dans une gorge 10 que    présente   la    masse   sur tout son pourtour. 



  Le    pignon   11 de la masse de    remontage   commande le    rochet   de barillet par    l'intermédiaire   d'un inverseur 12 et de trois    mobiles   démultiplicateurs de tours 13, 14 et 15. La roue de    ce      dernier   mobile pénètre également dans la gorge 10. 



  D'après la    variante   de    fig.   3, la masse est faite de deux    pièces   superposées 3a, 3b et la gorge est obtenue par une retranche    pratiquée   sur la    face   intérieure de la pièce 3b.

Claims (1)

1. REVENDICATION Montre à remontoir automatique, dans laquelle la masse de remontage, excentrée, est disposée dans l'épaisseur du bâti du mouvement, son encombrement sur la platine étant limité par un cercle approxi- <Desc/Clms Page number 2> mativement tangent au pourtour de cette dernière et s'étendant jusqu'à proximité immédiate de son centre, le barillet moteur étant relié au dispositif régulateur par un mobile de centre, un mobile de moyenne, un mobile de secondes au centre et un mobile d'échappement,

   caractérisée par un espace ménagé entre la platine et la face en regard de la masse, dans lequel est disposé le rouage du dispositif de remontage automatique et passe la roue du mobile de centre, la face supérieure de la masse étant située au niveau des ponts et la roue du mobile de secondes au centre passant dans une gorge ouverte dans la paroi latérale de cette masse. Ecrits et images opposés Exposés d'invention .suisses N- 317534 et 330900