CH362213A - Ensemble d'éléments préfabriqués destiné à réaliser des coffrages démontables - Google Patents

Ensemble d'éléments préfabriqués destiné à réaliser des coffrages démontables

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CH362213A
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Fouque Daniel
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Rabiolo Remo
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Description


  Ensemble d'éléments préfabriqués destiné à réaliser des     coffrages    démontables    L'utilisation des bétons et bétons armés malgré  les critiques dont ils peuvent faire l'objet demeure  assurée d'un développement certain. Les recherches  de bureaux d'études et de laboratoires ainsi qu'une  pratique prolongée des travaux a fait parvenir la  technique de ces bétons à un haut degré de perfec  tion. Cependant les méthodes de mise en     oruvre    sont  habituellement retardataires et les procédés de cof  frage en particulier apparaissent archaïques. Les visi  tes de chantiers sont     convaincantes    à ce sujet.  



  Il convient avant tout de reconnaître les avan  tages incontestables du bois pour la confection des  coffrages. Au premier chef la simplicité des assem  blages, le respect des cotes et la souplesse de son  utilisation. Malheureusement ce matériau est grave  ment périssable. Les alternances d'humidité et de  sécheresse ainsi que le     contact    du     mortier    lui sont  préjudiciables. Une planche n'est susceptible que d'un  nombre réduit d'utilisations successives. Pour un bois  de qualité moyenne les entreprises ne prévoient que  huit ou dix.   rotations  .     Ainsi    l'une des critiques  majeures faite au coffrage en bois est d'ordre éco  nomique relativement à son vieillissement et non pas  relativement aux pertes par sciage qui peuvent somme  toute être très réduites.

   C'est dans cette optique que       certaines    planches de coffrage sont mises sur le mar  ché avec des renforts ou des     garnitures    métalliques.  



  Les coffrages formés d'éléments préfabriqués, en  matériau résistant, est la solution logique à ce pro  blème économique. Même au prix relativement élevé  de ces matériaux, du métal en particulier, on obtient  un mode de coffrage dont l'économie apparaît très  vite. Hormis le métal, les plastiques peuvent aussi  être utilisés pour l'exécution d'éléments préfabriqués.  L'emploi des plastiques peut aussi se limiter à un  rôle de protection des éléments métalliques visant à    accentuer leur résistance au vieillissement ainsi que  peuvent le faire d'ailleurs certaines     peintures    spé  ciales.  



  Les coffrages formés d'éléments préfabriqués en  matériau résistant présentent également un avantage  économique résidant dans la rapidité du montage et  la réduction du personnel traditionnellement prévu  pour leur fabrication. Ces caractères sont évidemment  dépendant des     particularités    géographiques et éco  nomiques des lieux d'utilisation aussi bien du point  de vue du     prix    des bois de construction que de celui  du prix de revient et de la compétence de la     main-          d'aeuvre.     



  La robustesse et la résistance au     vieillissement          ainsi    que la rapidité de mise en     oeuvre    des coffrages  formés d'éléments préfabriqués en matériau     résistant     ne constituent pas les seuls avantages de ces coffrages.       Ils    présentent encore des qualités de     surfaçage    très  intéressantes. Cependant il ne faut pas fonder des  espérances excessives à ce sujet.

   La     qualité    de la sur  face d'un béton dépend en effet non seulement du cof  frage mais également du béton et du soin apporté à  la mise en place de     celui-ci.    D'autre part les pertes de  lait de ciment entre les     panneaux        exigeraient    plus  encore que pour les bois l'interposition de joints étan  ches. Enfin le glacé de la surface rend plus sensibles  les déformations de grandes amplitudes tel que le  bombement des tôles sous la pression, alors qu'une  surface moins polie comme celle résultant du bois       laisse    inappréciables des déformations plus impor  tantes.  



  Un     coffrage    formé d'éléments préfabriqués en  matériau résistant doit répondre à deux conditions  impératives : permettre une grande diversité d'emploi  et     n'utiliser    qu'un nombre réduit d'éléments diffé  rents, simples dans leur fabrication, économiques à  l'achat. Des     perfectionnements    onéreux ne peuvent      être retenus si l'emploi pour lequel     ils    sont prévus  n'est pas courant car il renchérirait les éléments pour  ses     utilisations    les plus fréquentes. L'ensemble des  éléments et leurs     possibilités    doivent toujours être  utilisés au maximum afin de maintenir un rendement       économique    élevé.

   C'est dans ce sens     qu'il    faut cher  cher à     faire    jouer à chaque élément fondamental  divers rôles annexes jusqu'à ce que tous les degrés  de liberté aient disparus     quant    à leurs formes et leurs  dimensions.  



  L'idéal technique serait de mettre à la disposi  tion des entreprises un     certain    nombre de coffrages       différents,    chacun adapté à un usage     particulier    ;  exactement comme l'industrie automobile présente  une gamme de véhicules tous destinés aux transports  mais adaptés à des usages nuancés.

   L'avenir est vrai  semblablement à un tel échantillonnage mais la  demande actuelle est d'un matériel à prétention uni  verselle.     Il    convient donc de fournir un     ensemble     propre à des usages très variés quitte à     maintenir     un petit rôle au bois de coffrage, dans la mesure où  une faible consommation     permet    quand même de  profiter de ses possibilités d'ajustage.  



       Les    ensembles d'éléments préfabriqués actuelle  ment sur le marché comprennent tous, comme élé  ment fondamental, des panneaux. Cet élément joue le  rôle de la planche des     coffrages    traditionnels. Ces  coffrages se divisent en deux classes qui se distin  guent par la forme carrée, respectivement allongée  de leurs panneaux.  



  En dehors des utilisations très spéciales tels que  tunnels, silos, etc.,     l'utilisation    d'un coffrage vise à  la confection de deux grandes catégories d'éléments       constructifs     1) Les éléments     constructifs        verticaux    tels que les  poteaux, les     piliers,    les murs à une ou deux faces,  etc.    2) Les éléments     construtifs    horizontaux tels que les  dalles pleines, les poutres, les hourdis, etc.

      Les panneaux préfabriqués s'adaptent particuliè  rement bien à l'exécution des éléments     constructifs     de la première catégorie car les exigences des cotes  ne sont sensibles que dans le     plan    horizontal, la hau  teur de coulée résolvant le problème de cotation dans  la troisième dimension. L'emploi de bois accessoire  peut     dans    ce domaine être très réduit voire même nul.  



  En revanche, les éléments constructifs de la  seconde catégorie exigent, soit un assortiment très       important    de     panneaux        différents,    soit des panneaux  spéciaux télescopiques.  



  Les     panneaux    carrés, qui permettent des mon  tages séduisants pour les poteaux, présentent des dif  ficultés d'emploi pour les grandes surfaces à coffrer  même     verticalement    en raison des raidissements exi  gés dans les deux dimensions. Les panneaux     allongés     ne nécessitent     un        raidissement    que dans une dimen  sion.

   En outre,     ils    ont l'avantage de simplifier la mise  d'aplomb des moules et leurs étaiements aussi bien  pour les poteaux que pour les     banchés.    Ils se pré-         tent    également au transport, ce qui accentue sensi  blement les     gains    de temps pour la mise en place.  



  Les exigences techniques sont plus ou moins gran  des selon les divers emplois, l'exécution des poteaux  et des piliers est, à cet égard, la plus complexe.  



  Dans un moule de pilier les poussées du béton  mis en     aeuvre    sur trois mètres environ sont considé  rables et le robuste ceinturage au moyen de garniture  en madrier ou en métal telle que l'on emploie pour  les coffrages en bois demeure impératif dans un cof  frage métallique. Ce facteur conditionne les deux  conceptions actuelles d'utilisation de coffrage métal  lique pour le façonnage des piliers et des poteaux.  



  Dans les ensembles comprenant des panneaux  carrés, on     dispose    dans les joints horizontaux, entre  les panneaux des équerres de raidissement munies  de tétons qui constituent le ceinturage en assurant  une relative fixation entre les panneaux. Cette  méthode a l'avantage de permettre des débordements  des panneaux successivement sur chaque face dans  le sens du montage choisi. Ce débordement qui assure  une bonne étanchéité des joints d'angles permet d'ap  procher (mais d'approcher seulement) les cotes quel  conques d'un pilier sans multiplier la gamme des  panneaux.  



  Mais ce procédé ne se prête pas à la confection  de gros piliers exigeant plus d'un panneau par face,  il ne permet pas la disposition de tirants intérieurs,  il multiplie les joints, et surtout ne garantit d'aucun  aplomb, d'aucun alignement et ne permet aucun des  étaiements rigoureusement indispensables dans les       constructions    soignées et en particulier pour les  bétons vibrés. En outre pour les poteaux courants  de 25     X    25 cm par exemple, les panneaux carrés de  50 X 50 cm, ne sont utilisés qu'à la moitié de leurs  possibilités, ce qui grève le rendement matériel.  



  Dans les ensembles comprenant des panneaux  allongés, l'absence de joints horizontaux impose la  disposition des garnitures à l'extérieur des     panneaux,     ce qui     élimine    la possibilité de faire des débordements       importants    des panneaux successivement les uns sur  les autres, entraînant par là un échantillonnage impor  tant des panneaux dont la gamme est par exemple  de 10-15-20-25-30 cm. Cette multiplicité est regret  table car elle laisse souvent inutilisés     certains    pan  neaux pour telle ou telle dimension et diminue le  rendement du matériel tout en créant des problèmes  de classement et de rangement sur le chantier.

   En  outre, l'absence de recouvrement de panneaux dans  les     angles    est préjudiciable à la qualité de la coulée  en ces points délicats ou exige pour remédier à ce  défaut des pièces     cornières    supplémentaires onéreu  ses et utilisables pour les seuls poteaux.  



  Il est regrettable que le bâtiment demeure inerte  devant les avantages de la normalisation. Les archi  tectes sont souvent inconscients des     avantages    qui  pourraient en résulter et presque toujours mal infor  més à son sujet. A leur décharge cependant l'absence  totale de normes     appliquées    aux produits mis à leurs      dispositions : ainsi tel poteau devra s'incorporer dans  une cloison de 12 cm, tel autre dans un mur en brique  de 15 cm, etc.  



  Quelle que soit cette hérésie, le poteau doit avoir  des cotes précises et il importe de pouvoir en exé  cuter le coffrage rigoureusement. Les     fabricants,     malgré leur conscience du problème et de ses réper  cussions publicitaires et commerciales, n'ont pas, jus  qu'à présent, réussi à mettre sur le marché un maté  riel permettant d'exécuter des piliers au centimètre  près. Que les panneaux soient carrés ou allongés, les  dimensions obtenues par les coffrages sont de 5 en  5 cm voire tout à fait exceptionnellement et au prix  de la fragilité de 2,5 cm en 2,5 cm.

   La solution con  sistant à insérer entre les panneaux lorsque c'est pos  sible des lambourdes de bois pour obtenir les dimen  sions précises désirées n'est pas à retenir pour les  poteaux car il peut être nécessaire, pour une surface  développée relativement réduite, de disposer une  lambourde sur chaque face de pilier soit 4 au total  représentant un travail long, délicat, imprécis et  onéreux.  



  La présente invention a pour but de permettre,  à l'aide de trois espèces d'éléments seulement, de  réaliser tous les coffrages     courants,    la plupart des  coffrages compliqués, avec une précision dépassant  toutes les réalisations antérieures et en supprimant  pratiquement tous les défauts liés à ces réalisations.  



  L'ensemble d'éléments préfabriqués selon la pré  sente     invention    est caractérisé par le fait qu'il com  prend des panneaux rectangulaires d'épaisseur N et  de largeur 2N, 3N ... destinés à être placés bord à  bord pour former les parois des coffrages, des cra  vates d'assemblage destinées à être accrochées au dos  des panneaux, et des coins destinés à assurer la fixa  tion des cravates.    Le dessin représente, à titre d'exemple, une forme  d'exécution de l'objet de l'invention, des variantes  et un certain nombre d'utilisations particulières. Dans  cette forme d'exécution N est égal à 7 cm.  



  Les     fig.    1 et 2 sont des vues en élévation, de  face et de profil, d'un premier type de panneaux.  



  Les     fig.    3 à 5 sont des vues semblables à la     fig.    1  de trois autres types de panneaux.  



  Les     fig.    6 à 12 sont des vues de détail à grande  échelle des panneaux représentés aux     fig.    1 à 5.  



  Les     fig.    13 à 15 sont des vues de     profil    sché  matique de variantes des panneaux représentés aux       fig.    1 à 12.  



  Les     fig.    16, 17 et 18 sont respectivement des vues  en élévation de face, de profil et en coupe d'un coin.  Les     fig.    19 à 21 sont respectivement des vues en  élévation de face, de A, et en bout d'une équerre.  Les     fig.    22 à 24 sont des vues en élévation, de  profil et en bout, d'un premier type de cravate.  



  Les     fig.    25 et 26 sont respectivement des vues en  élévation et de profil d'un second type de cravates.  La     fig.    27 est une vue en plan d'un coffrage des  tiné à la confection d'un poteau traditionnel.    Les     fig.    28 à 31 sont des vues partielles en plan,  en élévation et en coupe, de     coffrages    pour la con  fection de murs traditionnels à double face:  Les     fig.    32 à     34bis    sont des vues partielles en  plan, en élévation et en coupe d'un     coffrage    égale  ment- destiné à la confection d'un mur traditionnel  muni de barres de. raidissement.  



  Les     fig.    35 et 36 sont des vues partielles en plan  et en coupe d'un     coffrage    pour la confection d'un mur  traditionnel à double face avec palier incorporé.  



  Les     fig.    37 à 40 sont des vues à grande échelle  illustrant la     possibilité    de monter des ponts de tra  vail sur les     coffrages    représentés aux     fig.    27 à 36.  



  Les     fig.    41 et 42 sont des vues en élévation et  en coupe d'un     coffrage    pour un mur à une seule  face avec étaiement traditionnel.  



  La forme d'exécution représentée aux     fig.    1 à 26  comprend quatre espèces d'éléments  1) Des panneaux Pl,     P2,        P3,        P4,    de formats diffé  rents     (fig.    1 à 12) ;  2) des coins O     (fig.    16 à 18) ;  3) des équerres E     (fig.    19 à 21) ;  4) des cravates Cl, C2, de deux longueurs diffé  rentes     (fig.    22 à 26).  



  Ces éléments sont     métalliques    et permettent la       réalisation    de coffrages avec une imprécision maxi  mum de 1 cm. Les équerres ne sont pas indispensa  bles pour la réalisation des     coffrages    courants.  



  Les panneaux sont de forme     rectangulaire    et pré  sentent une paroi frontale 50 contre laquelle le béton  est destiné à être coulé et quatre parois latérales 51,  52, 53 et 54 munies chacune d'un rebord 55     (fig.    6  à 12). Leur épaisseur N est la même pour les quatre  types de     panneaux.    Elle est égale à 7 cm et nous la  désignerons par nombre     caractéristique    de l'en  semble.  



  Les quatre types de panneaux se distinguent  essentiellement par leur format. Les panneaux Pl,       P2        (fig.    1 à 3) ont une longueur de 300 cm, les pan  neaux     P3,        P4        (fig.    4 et 5) de 150 cm. La largeur des       panneaux    Pl,     P3    est de 3N, c'est-à-dire de 21 cm,  tandis que celle des panneaux     P2,        P4    est égale à 2N,  c'est-à-dire à 14 cm.  



  Les panneaux comprennent encore des traverses  56, en U, disposées de 50 cm en 50 cm. Les pre  mières et les     dernières    de ces traverses sont à 25 cm  des parois 53 et 54 de     manière    que l'on retrouve une  distance de 50 cm entre la dernière et la première  traverse de deux panneaux placés bout à bout. Sur  les bords des parois latérales de ces traverses sont  soudées des plaques 58, de forme rectangulaire, dis  posées dans un     plan    parallèle au plan des rebords  55, légèrement à l'extérieur du     panneau    et débordant  de chaque côté des parois 57 des traverses 56 de  manière à former deux crochets 59 derrière     lesquels     sont destinées à s'engager les cravates C ou les équer  res E.

   Ceci     apparaîtra    plus en détail plus loin.  



  Dans les panneaux     P2    et P4, ces plaques occupent  toute la largeur disponible entre les rebords 55. Dans  les panneaux Pl et     P3,    elles n'occupent qu'une partie      de cette largeur ; dans l'espace où les plaques ne  recouvrent pas les traverses, les parois 57 ne s'éten  dent que jusque dans le plan des rebords 55.  



  Les plaques 58, le fond 60 des traverses et les  parois frontales 50 des panneaux     P.,    et     P4    sont per  cés     (fig.    12) des trous respectivement 61, 62 et 63  destinés au passage de tirants.  



  Enfin les quatre types de panneaux présentent  d'une part, ménagées dans les parois 51 et 52, des       ouvertures    circulaires 64 inscrites dans le contour  polygonal de la     partie    inférieure des traverses et,  d'autre part, pratiquées au     milieu    des parois 57, des       ouvertures    rectangulaires 65 dans les panneaux P,,       P3,    et des ouvertures 66 en forme de T dans les pan  neaux P.,     P4.    Ces dernières ouvertures sont destinées  à être traversées, comme nous le verrons de façon  plus précise dans la seconde partie de la description,  soit par des tubes non encore mentionnés     (ouvertures     64),

   soit par des coins O     (ouvertures    65, 66).  



  Les panneaux représentés aux     fig.    14 et 15 sont  des     variantes    des     panneaux    illustrés aux     fig.    1 à 12,  et schématisée à la     fig.    13. Dans le     panneau    de la       fig.    14, les rebords sont supprimés, dans le panneau  de la     fig.    15, la paroi frontale 50 est garnie d'une  semelle de bois B qui peut être remplacée périodi  quement.  



  Les coins O représentés aux     fig.    16 à 18 sont  formés par une plaque 67, de forme générale triangu  laire, dotée d'une garde 68 affectant la     forme    d'un  bec, d'une ouverture longitudinale 69 s'étendant sur la  moitié environ de la hauteur du     coin,    et, dans l'axe  de cette nervure, d'un trou rectangulaire 70.  



  Les équerres E sont formées     (fig.    19 à 21) par  deux     profilés    en double T dont les âmes 71 pré  sentent trois trous rectangulaires 72 s'étendant trans  versalement. Les ailes de chaque branche de ces  équerres présentent     six    échancrures rectangulaires 74  dont la longueur     correspond    à la largeur des cravates       (fig.    20).     L'intervalle    entre les échancrures d'une  même aile est de 50 cm.

   L'épaisseur des ailes 73       correspond    sensiblement à l'espace compris entre les  crochets 59 des panneaux et le plan des rebords  55 de manière que l'on puisse engager sans jeu, le  bord de ces ailes derrière les crochets 59, comme  illustré à la     fig.    21.  



  Les deux cravates Cl et     Cz    se distinguent l'une  de l'autre (fia. 22 à 26) par leur longueur, respecti  vement égale à 100 et 150 cm environ. Le corps  75 de ces cravates est formé par un fer profilé en L  et leur tête 76 par deux plaques 77 et 78 fixées à  une     certaine    distance l'une de l'autre par un taquet  79. La tête 76 est rattachée au corps 75 par la plaque  77 qui porte encore une butée 80. Cette butée est  formée par une plaquette présentant un bord d'ap  pui 80a et deux encoches 80b.  



  Les ailes 81 des corps des cravates ont une  épaisseur telle que l'on peut les engager comme les  ailes 73 des équerres derrière les crochets 59 des       panneaux.    Quant aux âmes 82 des corps 75 elles ont  une épaisseur correspondant à la largeur de l'espace    compris entre les plaques 77 et 78. Ces âmes pré  sentent deux files 83 et 84 longitudinales et paral  lèles de trous rectangulaires. Dans la     première    de  ces files les trous sont orientés dans l'axe longitudinal  de la cravate, dans la seconde ils sont disposés trans  versalement.  



  Le pas pl des trous de la file 83 est égal à N,  alors que le pas     p:2    de la file 84 est égal à 2N,  c'est-à-dire     respectivement    à 7 et 14<I>cm<B>;</B></I> les dis  tances dl et d,, entre le bord d'appui 80a de la butée  80 et les premiers trous de chaque file, sont respec  tivement égales à 5N, et 2,5N soit 35 cm et 17,5 cm  Les têtes 76 des cravates présentent encore deux  trous 85 et 86 de forme asymétrique placés dans  l'axe de la file 83 et deux séries de crans 87 ména  gés dans les bords des plaques 77 et 78. Les crans  des deux séries ont un     pas        p3    égal à 2 cm et se cor  respondent deux à deux.  



  Les trous 65 et 66 des panneaux, les trous 72  des équerres et les trous des files 83 et 84 des cra  vates sont destinés aux passages des coins. Leur  forme est symétrique de sorte que l'on peut y intro  duire ces derniers en plaçant la nervure 69 indiffé  remment d'un côté ou de l'autre. En revanche les  trous 85 et 86 sont conformés de manière qu'on ne  puisse engager les coins que dans une position.  



  Comme les     fig.    27 à 31, sur lesquelles nous  reviendrons plus en détail par la suite, le montrent,  les cravates peuvent être assemblées l'une à l'autre,  soit de manière à former une équerre     (fig.    27), soit  dans le prolongement l'une de l'autre     (fig.    28 à 31).  Dans les deux cas on engage la queue d'une des  cravates entre les plaques 77 et 78 de la tête de  l'autre.  



  Dans le premier cas     (fig.    27) on peut assigner  à l'une des cravates (ici celle qui est désignée par       Clo)    huit positions transversales par     rapport    à l'autre  (désignée par     C.,o),    échelonnées de cm en cm, en  engageant un coin<B>01</B> simultanément dans un trou  83 de la cravate     C..o    et dans le premier cran 87 de  la cravate     Cl),    puis en retournant le coin et en l'en  gageant dans le même trou et dans le même cran, et  ainsi de suite d'un cran au suivant en utilisant tou  jours le même trou 83.  



  Quant à la cravate Go de cet assemblage elle  peut occuper sept positions transversales par rapport  à la cravate     Clo    distantes de 7 cm l'une de la suivante  en engageant successivement le coin<B>01</B> dans les sept  trous successifs de la file 83.  



  Dans le second cas envisagé     (fig.    28 à 31) l'as  semblage se fait en engageant simultanément un coin       0;3    (O.) dans un des trous 85 et 86 de la tête de la  cravate     C;;3        (C.14)    et dans le dernier trou de la file  83 de la cravate     G..,        (C#,3).    On peut faire varier de  1 cm au moins la distance entre les deux butées des  deux cravates en enfonçant plus ou     moins    le coin de  liaison. L'intervalle entre les trous 85 et 86 est d'ail  leurs tel que l'un d'eux au moins se trouve en regard  d'un trou 83 de la cravate conjuguée.

        Les principales     utilisations    de l'ensemble repré  senté aux     fig.    1 à 26 sont illustrées aux     fig.    27 à 41.  



  Le coffrage représenté à la     fig.    27 est destiné à la  fabrication d'un poteau P de 51 X 82 cm. Les quatre  faces de coulage de ce coffrage sont constituées par  quatre séries de     panneaux    dressés verticalement. Les  panneaux de chaque série sont choisis de manière à  dépasser la cote correspondante d'un intervalle com  pris entre 1 et 7 cm. Dans le cas présent les séries  formant les grands côtés du coffrage comprennent  deux panneaux Pl     alternant    avec trois panneaux<U>P.,.</U>  La largeur totale de ces panneaux est de 84 cm,  c'est-à-dire qu'elle     excède    de 2 cm la cote imposée.

    Les séries formant .les petits côtés du coffrage sont  constituées par un panneau     P2    et deux panneaux     Pl.     La largeur totale de ces panneaux est de 56 cm, soit  5 cm de plus que la cote imposée. Ces quatre séries  des panneaux sont assemblées au moyen de plusieurs  ceintures formées chacune par deux cravates Cl et  deux cravates     C2    désignées dans cette figure par     Clo,     <B>CI,,</B> respectivement     C2o,        C21.    Ces ceintures sont       réparties    sur la hauteur des panneaux à différents  niveaux.  



  Les     panneaux    de chaque série prennent appui  d'un côté sur la face de coulage de la série     suivante     (sens positif = sens inverse des aiguilles d'une mon  tre) et de l'autre côté contre la butée 80 de la cra  vate d'assemblage correspondante qui est accrochée,  par son aile derrière les crochets 59 alignés au niveau  de la ceinture.  



  Les quatre cravates sont fixées à angle droit par  quatre coins O désignés ici par<B>01,</B> 02, engagés  simultanément dans un trou 83 d'une cravate     C2    et  dans un cran 87 d'une cravate Cl.  



  Il faut signaler ici que la largeur des têtes des  cravates est telle que quelle que soit la longueur des  séries formées (2N, 3N, 4N, ... ) un trou de la file  83 coïncide toujours avec les crans de la cravate  conjuguée. Les débordements qui assurent une bonne  étanchéité aux raccords des séries sont de 2 et de  5 cm respectivement. Ils sont fixés avec exactitude  par les positions transversales de chaque cravate par  rapport à la cravate précédente.  



  Pour les séries de panneaux formant les grands  côtés du coffrage, le débordement de 2 cm est obtenu  en engageant le coin<B>01</B> correspondant dans le der  nier cran de la cravate     Clo,    sa nervure regardant  dans le sens     positif.    Si la cote imposée avait été de  83 cm, le coin aurait été placé dans le même cran  mais dans une position retournée de     180o.    Le débor  dement aurait alors été de 1 cm. Si la cote avait  été de 81 cm, le coin aurait été engagé dans le  deuxième cran également dans une position     retournée     par rapport à la position représentée au dessin. Le  débordement aurait été de 3 cm.  



  Pour les séries de panneaux formant les petits  côtés du coffrage, les débordements de 5 cm sont  obtenus en plaçant les coins Oz dans les troisièmes  crans, des cravates     Czo    et     C21,    les nervures regar  dant dans le sens négatif. En engageant le     coin,    Oz    successivement dans les quatre crans on peut faire  varier la cote comme pour les     grands    côtés de 7 cm,  c'est-à-dire de 55 à 49 cm avec un débordement       maximum    de 7 cm.  



  Entre les ceintures, le coffrage présente des  équerres E destinées à parfaire sa rigidité. Ces équer  res sont engagées dans les crochets alignés au niveau  considéré de deux séries     orthogonales.    Ces équerres  peuvent aussi être utilisées pour assurer pendant le  montage des coffrages une liaison provisoire entre  les panneaux, d'une part, et les séries de     panneaux,     d'autre part.  



  Le coffrage représenté aux     fig.    28 à 31 est destiné  au moulage d'un mur traditionnel à double face M.  Ces figures ne montrent qu'une moitié du coffrage,  l'autre moitié est semblable à celle qui est     illustrée.     



  Dans ce cas, chacune des faces de coulée du  béton est formée par une série de     panneaux    dressés  verticalement.     Chaque    série comprend des panneaux       Pl    (ou     P3    selon la hauteur du mur) et un certain  nombre de     panneaux        P2    (ou P4) intercalés entre les  premiers pour permettre la mise en place de tirants T.  



  Les panneaux sont assemblés par des cravates  accrochées en série à     différents    niveaux du coffrage,  aux crochets 59     alignés    de panneaux     adjacents    cor  respondants. Les cravates de chaque série peuvent  être du type Cl ou du type     C2    ou des deux types  simultanément. La série de cravates représentées ne  comprend que des cravate du type     C2    qui sont dési  gnées par     C2z,        C23    et     C24.    Ces cravates sont reliées  par des coins 03, 04 enfoncés dans le     dernier    ou  l'avant-dernier trou 83 d'une cravate et l'un des trous  85 ou 86 de la cravate adjacente.

   Chacune d'elles  est en outre en prise avec le dernier     panneau    de la  suite de     panneaux    qu'elle couvre par l'intermédiaire  d'un des rebords 55 de ce panneau qui s'engage dans  l'encoche 80b de sa butée 80. Le blocage de chaque  suite de     panneaux    est d'autant plus intense que le  coin correspondant est enfoncé plus profondément.  



  Dans ce coffrage, la fixation des cravates sur les  panneaux est renforcée par des     coins   <B>05</B> engagés ver  ticalement dans certains trous 84 de manière que  leur bec 68 s'engage derrière les crochets 59 des  plaquettes sous-jacentes, et par des coins<B>06</B> prenant  appui sur les âmes des cravates et enfoncés horizon  talement dans les coins O, de manière à claveter  ceux-ci.  



  On voit encore deux autres coins 07 utilisés pour  la fixation et la tension des tirants T. Ces coins  passent derrière les plaques 58, à travers la partie       transversale    de     l'ouverture    66, de manière à     coincer     les tirants T traversant l'ouverture 61 de la plaque.  



  Le coffrage représenté aux     fig.    28 à 30 est des  tiné à la fabrication d'un mur dont la longueur est  un multiple de N. Si cette longueur n'est pas un  multiple de N, on utilisera pour atteindre la cote  exacte une lambourde L     (fig.    31) dont l'épaisseur sera  comprise entre 1 à 6 cm selon la cote imposée.  



  Le coffrage représenté aux     fig.    32 à     34bis    est  encore     destiné    à la     fabrication    d'un mur     traditionnel         à double face M. Il montre l'emploi de tubes d'écha  faudage D qui peuvent ou non faire partie de l'en  semble, et qui ont pour but de raidir le coffrage  après son montage de manière à permettre son trans  port sans risque de rupture au moyen d'une grue,  par exemple.  



  Les tubes D sont fixés aux panneaux au moyen  de coins Os enfoncés dans les trous 65 des panneaux       P2,        P4    ou dans la     partie    longitudinale des trous 66  des panneaux Pl, P3, de manière à prendre appui  contre les faces     internes    des plaques 58 et à coincer  ces tubes contre le fond polygonal 60 des traverses  et au moyen de     coins    09 utilisés pour     contre-claveter     les coins<B>08.</B> Ces     coins    03 sont engagés de biais  derrière les plaques 58 recouvrant les coins<B>0.</B> à  travers les trous 70 de ces     derniers.    La     fixation    des  tubes,

   aux endroits où se trouvent des cravates     (fig.          34bis),    ne se     différencie    pas du cas précédent sinon  par le fait que les coins     -01o    prennent appui contre les  ailes 81 des cravates et ne s'enfoncent pas aussi pro  fondément dans les ouvertures 65 ou 66.  



  Le coffrage représenté à la     fig.    35 est destiné  au coulage d'un mur     traditionnel    à double face M  comprenant un     pilier    incorporé R.  



  Les parties du     coffrage        correspondant    à la partie  nue du mur sont semblables aux coffrages repré  sentés aux     fig.    28 à     34bis.    Nous n'y reviendrons donc  pas. En revanche,     celle    correspondant au pilier est  formée par deux     séries    de panneaux verticaux assem  blés à angle droit par des     paires    d'équerres E dis  posées à     différents    niveaux.

   Ces équerres sont accro  chées aux     crochets    59 des panneaux et fixées à ces  derniers au moyen de coins<B>01,</B> enfoncés dans cer  tains     trous    72 des équerres de manière que leurs becs  s'accrochent derrière les plaques 58 sous-jacentes et  au moyen de coins 01, prenant appui sur l'âme 71  des équerres et     contre-clavetant    les coins<B>011.</B>  



  Les équerres El,     E2    de chaque paire sont reliées  l'une à l'autre par des cravates du type Cl ou du  type     C2    selon les     disponibilités    et la largeur du pilier.  On a représenté au dessin une cravate du type Cl,  désignée par     C12.    Cette cravate est retournée par       rapport    à sa position     d'utilisation    normale de manière  que son âme 82 s'engage dans les échancrures jume  lées 74 des équerres.

   La liaison entre ces dernières et  la cravate est assurée par deux     coins   <B>01,</B> enfoncés  simultanément dans le dernier trou 72 des branches  parallèles des     équerres    et dans deux trous 83 corres  pondant de la cravate. La paroi antérieure du cof  frage du     pilier    est formée par une lambourde L  s'appuyant contre     les    ailes des cravates successives  et dont     l'épaisseur    est fixée par la profondeur du  pilier. Si cette profondeur est un multiple de 7 cm,  on pourra remplacer la lambourde par des panneaux  dressés     verticalement.     



  Les     fig.    37 à 40 montrent la     possibilité    d'utiliser  les équerres E pour     construire    sur les parois des cof  frages des ponts de travail. Les équerres sont pla  cées, soit avec leur angle droit en bas     (fig.    37, 38),  soit avec cet angle en haut     (fig.    39, 40). Leur mise    en place s'effectue en engageant, grâce aux échan  crures 74 l'aile extérieure de la branche verticale,  en retrait des plaques 58, dans le plan des rebords  55, puis en faisant glisser cette aile dans son plan  vers le bas jusqu'à ce qu'elle soit arrêtée par les  parois 57 des traverses. La branche horizontale sup  porte les planches H constituant le plan de travail  proprement dit.

   Ce montage peut se faire pour tous  les     coffrages    (poteaux, murs, piliers, etc.).  



  Le     dernier    coffrage représenté     (fig.    41-42) est  destiné à la fabrication d'un mur à une face avec  étaiement traditionnel. L'unique paroi de ce coffrage  est formée par des panneaux Pl et P,, disposés  horizontalement, en quinconce, mais de manière que  les plaques 59 soient alignées verticalement. Ces       panneaux    sont assemblés à l'aide de cravates dispo  sées     verticalement.    Ces cravates peuvent être du type  Ci, du type     C.,    ou des deux types simultanément.

    Elles sont montées soit par paire     Cl;3-C,4        disposées          tête-bêche    de chaque côté des plaques 58 correspon  dantes et rendues     solidaires    par des coins 014 enga  gés dans des trous 83 alignés des deux     cravates    et       contre-clavetés    par des points<B>013,</B> soit individuelle  ment comme la cravate     Cl;"    d'un seul côté d'une  série de plaques 58, au moyen de coins<B>01,</B> accro  chés par leurs becs 68 de l'autre côté de ces plaques  et     contre-clavetés    par des coins<B>017</B> prenant appui sur  la face externe des corps des cravates.

   Dans ce cas  on peut fixer des équerres E à la partie inférieure  de la paroi, comme dans les ponts de travail, pour  assurer sa     verticalité.     



  On pourra réaliser les différents éléments de l'en  semble de manière plus     économique    que décrit. Ces  éléments pourront être     monolytiques,    c'est-à-dire  venir d'une pièce à la fabrication. En outre il ne  seront pas nécessairement métalliques.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Ensemble d'éléments préfabriqués destinés à réaliser des coffrages démontables, caractérisé par le fait qu'il comprend des panneaux rectangulaires d'épaisseur N et de largeur 2N, 3N ... destinés à être placés bord à bord pour former les parois des coffrages, des cravates d'assemblage destinées à être accrochées au dos des panneaux, et des coins des tinés à assurer la fixation des cravates. SOUS-REVENDICATIONS 1. Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait que l'accrochage des cravates et des pan neaux est réalisé au moyen de crochets que pré sentent ces derniers. 2.
    Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 1, caractérisé par le fait que les cra vates sont agencées de manière à pouvoir être reliées l'une à l'autre par des coins. 3. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que les cravates sont formées par une tête par l'intermédiaire de laquelle elles peuvent être reliées et par un corps par l'intermédiaire duquel elles sont accrochées aux panneaux. 4.
    Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 et 2, caractérisé par le fait que les cravates présentent une file longitudinale de trous de pas N et une série longitudinale de crans permettant, en engageant un coin simultanément dans un trou de l'une et un cran de l'autre, de relier deux cra vates à angle droit et d'assigner à ces cravates deux séries de positions transversales de pas respective ment égaux à N et à un sous-multiple de N. 5. Ensemble selon la revendication et les sous revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que lesdits trous sont ménagés dans les corps des cravates. 6.
    Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que la tête de chaque cravate comprend au moins un trou supplémentaire aligné sur la file des trous et per mettant, au moyen d'un coin engagé simultanément dans un trou du corps de l'une et dans le trou sup plémentaire de la tête de l'autre, de relier deux cra vates bout à bout. 7. Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait que chaque cravate présente un talon des tiné à prendre appui contre un bord des panneaux. 8.
    Ensemble selon la revendication ët les sous- revendications 1 à 7, caractérisé par le fait que les têtes des cravates présentent deux trous supplémen taires disposés de manière que l'on puisse réaliser un espacement quelconque entre les talons de deux cra vates assemblées bout à bout en enfonçant plus ou moins le coin de liaison. 9. Ensemble selon la revendication et les sous revendications 1 à 5, caractérisé par le fait que les crans sont pratiqués sur l'un des bords de la tête des cravates. 10. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que les corps des cravates présentent une seconde file longi tudinale de trous. 11.
    Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que le corps des cravates est formé par un fer profilé com portant au moins une aile destinée à être engagée derrière les crochets des panneaux et leurs têtes par deux plaques espacées d'un intervalle permettant le passage de l'âme du corps d'une autre cravate. 12. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 11, caractérisé par le fait que les trous des deux files sont pratiqués dans l'âme dudit fer profilé. 13.
    Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait que les panneaux sont formés par une paroi frontale rectangulaire, contre laquelle le béton est destiné à être coulé, par quatre parois latérales, et par des traverses. 14. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 13, caractérisé par le fait que les crochets sont constitués par une partie des traverses. 15. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1, 13 et 14, caractérisé par le fait que les traverses des panneaux comportent des fers en U dont les parois latérales dépassent, au moins sur une partie de leur longueur, l'épaisseur des pan neaux.
    16. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1, 13 à 15, caractérisé par le fait que chaque crochet est formé par une partie débordant extérieurement au moins une des parois latérales des fers en U. 17. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1, 13 à 16, caractérisé par le fait que chaque crochet est double et formé par les bords opposés d'une plaque rectangulaire soudée sur la partie dépassante des parois latérales des traverses. 18.
    Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait que certains panneaux présentent des trous pour le passage de tirants. 19. Ensemble selon tirants. revendication et les sous- revendications 1 et 13, caractérisé par le fait que les parois latérales s'étendant dans le sens longitudinal des panneaux présentent des ouvertures permettant d'introduire dans les parois des coffrages des barres ou des tubes de raidissement. 20. Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait qu'il comprend, en outre, des barres ou des tubes de raidissement. 21.
    Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 , 13 à 19, caractérisé par le fait que les parois latérales des fers en U présentent des trous à travers lesquels on peut engager des coins pour bloquer les barres de raidissement ou pour agir sur les tirants. 22. Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 13, caractérisé par le fait que les bords des parois latérales des panneaux sont repliés vers l'intérieur de ceux-ci. 23.
    Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait que chaque coin est formé par une plaque de forme triangulaire. 24. Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 et 23, caractérisé par le fait que les plaques formant les coins ont une épaisseur leur per mettant d'être engagées derrière les crochets des pan neaux pour assembler provisoirement ceux-ci. 25. Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 23, caractérisé par le fait que les coins présentent une garde affectant la forme d'un bec. 26.
    Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 23, caractérisé par le fait que les coins présentent une nervure s'étendant longitudinalement sur l'un des côtés de la plaque triangulaire. 27.
    Ensemble selon la revendication et les sous- revendications 1 à 3, 23 et 26, caractérisé par le fait que les trous et les crans des cravates ont des formes telles que l'on peut placer le coin de liaison de deux cravates reliées à angle droit de deux manières différentes dans chaque cran et chaque trou et obtenir ainsi une série de positions transversales de pas égal au demi-pas des crans. 28.
    Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 23, caractérisé par le fait que chaque coin présente un trou dans lequel un autre coin peut être engagé. 29. Ensemble selon la revendication, caractérisé par le fait qu'il comprend en outre des équerres. 30. Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 29, caractérisé par le fait que lesdites équerres présentent également des trous dans lesquels des coins peuvent être engagés. 31.
    Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 29, caractérisé par le fait que lesdites équerres sont formées par des fers profilés. 32. Ensemble selon la revendication et la sous- revendication 29, caractérisé par le fait que les ailes des fers formant les équerres présentent des échan crures destinées à permettre la mise en place de ces ailes derrière les crochets de deux panneaux assemblés.
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