CH348415A - Machine à écrire - Google Patents

Description

      Machine    à     écrire       On connaît déjà des     machines    comprenant un  élément traceur     susceptible    d'être déplacé par rapport  à une feuille suivant au moins deux axes de coordon  nées sensiblement parallèles au plan de la feuille pour  tracer des signes sur cette dernière. De telles machi  nes ont, jusqu'à présent,     constitué    des curiosités et  étaient réalisées sous forme d'automates, mais  n'étaient pas susceptibles d'exploitation industrielle.  



  La présente invention a pour objet une machine  à écrire     comprenant    un élément traceur susceptible  d'être     déplacé    par     rapport    à une feuille     suivant    au  moins deux axes de     coordonnées    sensiblement paral  lèles au plan de la feuille     pour    tracer des signes sur       cette    dernière, susceptible d'être utilisée pour rem  placer les machines habituelles à     écrire,    grâce au fait  qu'elle comprend une pluralité de signes enregistrés  dans un     dispositif,    l'enregistrement de chaque signe  étant constitué par un.

   enregistrement des deux mou  vements que l'élément traceur doit     effectuer    selon les  deux dits axes de coordonnées, ce dispositif présen  tant des moyens pour fournir à volonté des signaux  électriques représentant les composantes de chacun  desdits signes, des moyens de commande sensibles à  ces signaux agissant sur l'élément traceur pour lui  communiquer les mouvements nécessaires pour tracer  le signe choisi, un dispositif produisant une avance  relative entre l'élément     traceur    et la feuille.  



  Le dessin annexé représente, schématiquement et  à titre d'exemple, une     forme    d'exécution de la  machine objet de l'invention.  



  La     fig.    1 est une vue     schématique    illustrant le  fonctionnement de cette machine.  



  La     fig.    2 est une vue latérale d'un élément d'un  dispositif     d'enregistrement.       La     fig.    3 est une coupe     longitudinale    d'une série  d'éléments selon la     fig.    2, montés sur un arbre.  



  La     fig.    4 représente, en coupe, un transformateur  électromécanique.  



  Les     fig.    5 et 6 sont des vues de face et respecti  vement latérale de deux dispositifs selon la     fig.    4,       accouplés    pour actionner un élément traceur.  



  La machine     représentée    à la     fig.    1 comprend un  moteur électrique 1 entraînant en rotation     continue     un arbre 2 d'un dispositif     d'enregistrement    de plu  sieurs signes. Cet arbre 2 porte une série d'éléments  du genre de celui représenté à la     fig.    2. Cet élément  est constitué par un disque 3 en     matière    transpa  rente, sur lequel sont tracées quatre pistes optiques  4, 5, 6 et 7.

   Les pistes 4 et 5 constituent un enre  gistrement des.     déplacements    devant être communi  qués à un élément     traceur,    suivant deux axes de       coordonnées    sensiblement parallèles au plan d'une  feuille.

   Cet élément     traceur    sera décrit plus     loin.    La  piste 6 reproduit le     déplacement    qu'il faut     appliquer     à     cet    élément     traceur        pour    l'éloigner et l'approcher  de la feuille, tandis que la piste 7 est un enregistre  ment du     déplacement    latéral qui correspond à la lar  geur du signe     tracé.    Chaque élément présente, en  outre, quatre fenêtres 8, 9, 10 et 11 et une saillie 12  à sa     périphérie.    De plus, le disque 3 présente un     trou     central, dont le bord est renforcé par deux rondel  les 13,

   ce trou permettant le passage de l'arbre 2 qui  présente, comme on le voit à la     fig.    2, deux rainures  longitudinales. 14.  



  L'arbre 2     entraîné    par le moteur 1 porte une  série de disques 3, chacun de     ces    derniers     constituant     l'enregistrement d'un des signes qui doit pouvoir être  tracé par la machine.      Comme on le voit à la     fig.    3, chaque disque 3  monté sur l'arbre 2 est séparé du disque voisin par  une rondelle 15 présentant, dans son trou central,  deux saillies qui sont engagées dans les deux     rainures     14 de l'arbre 2. L'empilage des disques 3 est main  tenu entre un épaulement annulaire 16 de l'arbre 2  et une rondelle 17 qui est maintenue appuyée contre  l'empilage de disques par un ressort 18 prenant appui  contre une rondelle 19     fixée    sur l'arbre 2.

   Ce ressort  18 exerce donc une     pression    axiale qui est transmise  à travers tout l'empilage de disques 3, de façon à       obtenir    un frottement     suffisant        entre    chaque disque  3 et les deux rondelles 15 entre lesquelles il se  trouve.  



  Lorsque l'arbre 2 est entraîné en rotation, un       certain    couple est     exercé    sur chaque disque 3, mais  la rotation de     chaque    disque est empêchée, grâce à  la saillie 12 qui prend appui sur l'extrémité d'un       levier    20 soumis à l'action d'un     ressort    21 et présen  tant une fente 22 permettant le pivotement de ce  levier et un     certain        déplacement        longitudinal    par rap  port à une tige 23. Le     levier    20 est commandé par  un autre levier 24 présentant une fente 25 et suscep  tible de pivoter autour d'un axe 26 passant dans cette  fente.

   Ce levier 24 est soumis à     l'action    d'un ressort  27 tendant à     maintenir    le     levier    dans une position  telle que l'axe 26 soit situé à une extrémité de la  fente 25. Lorsqu'on exerce sur le levier 24 une pres  sion, dans le sens de la flèche F, on déplace     ce    levier  jusqu'à ce qu'il vienne buter     contre    un arrêt 28 et on  lui fait subir une     rotation    qui fait pivoter le levier 20  dans le sens inverse et dégage son bec 29 de la saillie  12. Le disque 3 peut alors tourner avec l'arbre 2  pendant que le     ressort    21 provoque un déplacement  du levier 20 vers le haut, d'une valeur correspondant  à la longueur de la fente 22.

   Ce déplacement est suf  fisant pour que     l'extrémité        inférieure    du levier 20  échappe de l'extrémité supérieure du levier 24, ce  qui permet une rotation du     levier    20, en sens. inverse  des aiguilles d'une montre, jusqu'à     ce    que son bec 29  prenne appui à la périphérie du     disque    3.  



  Lorsque tous les disques 3 sont retenus par l'ac  tion de leur     levier    20     respectif    sur la saillie corres  pondante 12, les     fenêtres    8, 9, 10, 11 sont alignées,  de façon à former     quatre    tunnels parallèles     traversant     l'empilage et     permettant    le passage d'un rayon lumi  neux.

   A la     fig.    1, on a représenté le trajet d'un seul  de ces rayons lumineux, issu d'une lampe 30 et dirigé  au moyen d'un système     optique    comprenant une len  tille 31 et un prisme 32 à     réflexion        totale.    Le rayon  lumineux     traverse    l'empilage de disques 3 sans affai  blissement sensible, pour     venir    frapper une cellule  photoélectrique 34     fournissant    une tension     électrique     qui est     appliquée    à un amplificateur 35.

   Lorsqu'on  pèse sur l'une quelconque des touches<I>a, b, c, ..., on</I>  provoque le déplacement du levier 20 de verrouillage  du     disque    3     correspondant    et celui-ci effectue une  rotation, pendant laquelle les     quatre    pistes optiques  4 à 7 se déroulent     respectivement    devant les quatre       faisceaux        lumineux    traversant l'empilage de disques    et dont un seul est représenté à la     fig.    1.

       On    recueille  donc quatre signaux électriques qui sont destinés à       commander    les mouvements d'un élément     traceur.     Ces signaux     électriques    sont utilisés pour commander  les déplacements nécessaires entre l'élément traceur,  qui est indiqué schématiquement par 36 à la     fig.    1,  et la feuille de papier qui est placée sur un rouleau  37 semblable aux rouleaux habituels des machines à  écrire. Le dispositif pour transformer les signaux  électriques en mouvements est enfermé dans un boî  tier 3 8.  



  Pour obtenir une grande     fidélité    dans la reproduc  tion des signes à     tracer,    il est prévu une     contre-          réaction    qui     permet    de ramener, par une conduite  électrique 39, un     signal    correspondant au déplace  ment que l'élément     traceur    36 a réellement effectué  par suite de la     commande    du     signal    de     sortie    de  l'amplificateur 35 qui est amené au transformateur       électromécanique    par une conduite électrique 40.  



  L'empilage de     disques    3 peut comprendre des  enregistrements de     tous.    les caractères qui sont utilisés  sur les machines à écrire     habituelles.    La machine  représentée à la     fig.    1 comprend en plus un dispositif  enregistreur     comprenant    une bande 41 enroulée sur  une bobine 42 et     susceptible    d'être dévidée pour s'en  rouler sur une bobine 43. Cette bande porte une piste       optique    passant devant un faisceau lumineux issu  d'une lampe 44, et dirigé vers une cellule photoélec  trique 45 dont le signal électrique peut être appliqué  directement à l'entrée de l'amplificateur 35.

   De     cette     façon, la machine peut être utilisée pour- reproduire  un texte ou un ensemble de signes enregistrés sur la  bande 41.  



  Pour que la machine puisse travailler rapidement,  il est nécessaire d'imprimer à l'élément traceur 36  des mouvements d'une grande rapidité et d'une  grande exactitude. Dans la forme d'exécution décrite,  ces mouvements sont obtenus à l'aide de dispositifs  du type     électrodynamique,    dont un est représenté en  coupe à la     fig.    4. Ce dispositif comprend un circuit  magnétique ressemblant à     celui    qui est     utilisé    habi  tuellement sur les haut-parleurs. Ce circuit     comprend     une pièce     centrale    46 sur laquelle est fixé un     aimant     permanent 47 de forme annulaire.

   Le circuit magné  tique est complété par une bague 48 en matière élec  tromagnétique, dont le bord de l'ouverture centrale  constitue un entrefer 49 de forme cylindrique entou  rant la partie centrale de la pièce 46. Une bobine 50  est disposée à l'intérieur de     cet    entrefer et est alimen  tée par les signaux     électriques    de sortie de l'amplifi  cateur 35.     Cette    bobine 50 est solidaire d'une pièce  51 en matière non magnétique, qui entoure une tige  52 sur laquelle est fixé un noyau 53 en matière ferro  magnétique.

   L'extrémité inférieure de la tige 52     porte     une bille 54     coulissant    dans une douille 55 fixée dans  une pièce 56 qui est vissée à la bague 48 par des  vis 57, dont une seule est représentée au dessin. L'ex  trémité supérieure de la tige 52 est articulée sur un  levier 58 dont une     extrémité    pivote sur un     support     59 fixé à la     pièce    46. De     cette    façon, les mouvements      produits par le     courant    traversant la bobine 50 sont  transmis au levier 58, par l'intermédiaire de la tige  <I>52.

   Le</I> noyau 53 subit des déplacements correspon  dants et il provoque de ce fait des variations de sens  contraire de     l'inductivité    dans deux bobines 60 et 61  qui sont     disposées    sur un     corps    62 en matière     isolante          placé    dans un, perçage axial de la pièce 46.  



  Les deux bobines 60 et 61 constituent deux bran  ches d'un pont électrique     alimenté    par une tension  alternative à haute     fréquence,    de sorte que     l'équilibre     de ce pont dépend de la position du noyau 53. On  obtient ainsi, de façon connue, une- tension de sortie  du pont dont l'amplitude est déterminée par la posi  tion du noyau 53. Cette tension est ensuite redressée  pour être utilisée comme tension de contre-réaction,  qui est appliquée à l'entrée de l'amplificateur 35.  



  La     fig.    5 représente un ensemble de deux dispo  sitifs A et B semblables à celui représenté à la     fig.    4,  à la seule exception que, dans le dispositif B, la dis  position du levier     58a    et de son support 59a est quel  que peu différente.

   Le dispositif A permet de com  mander les mouvements verticaux de l'élément     traceur     36 qui est fixé à l'extrémité d'une. tige 63 et cette  dernière est reliée par une tige     horizontale    64 au  levier 58 du     dispositif    B qui commande les déplace  ments     transversaux    de l'élément     traceur.    Dans le dis  positif représenté aux     fig.    5 et 6, on n'a pas indiqué  de moyens pour provoquer l'éloignement de l'élé  ment     traceur    36 du rouleau 37, mais il est bien  entendu que,

   dans le cas où l'élément traceur agit  par action mécanique     pour    faire des inscriptions sur  la feuille     placée    sur ledit rouleau, on pourrait prévoir  un troisième élément du type représenté à la     fig.    4  pour provoquer les mouvements d'éloignement du  stylet.  



  L'élément traceur     peut    être constitué de diffé  rentes façons et il     pourrait,    par exemple, être formé  par une mine de     crayon    ou par un     canal    alimenté en  encre.

   La machine pourrait aussi être prévue     pour     utiliser des feuilles photosensibles et, dans     ce    cas,  l'élément traceur pourrait être constitué par un pin  ceau lumineux dont les déviations pourraient être  produites par de     petits    miroirs actionnés     électro-          magnétiquement    ou     électrodynamiquement.    Il existe  aussi des feuilles qui sont sensibles aux champs élec  triques et     susceptibles    de     produire    une     coloration    sous  l'effet de ces derniers.

   Dans ce cas, l'élément     traceur     pourrait être constitué par une électrode présentant  la forme d'une pointe disposée à proximité de la  feuille. Dans une telle forme d'exécution, il n'y aurait  pas lieu de prévoir de mouvements pour éloigner  l'élément     traceur    de la feuille,     l'interruption    néces  saire entre deux signes     successifs        pouvant    être obte  nue simplement en supprimant momentanément la  tension appliquée à l'électrode.

   L'élément     traceur          pourrait    aussi être     constitué    par un     faisceau    catho  dique, dont les déplacements pourraient être produits  par des champs électriques.  



  En     principe,    il faut effectuer un     déplacement    laté  ral chaque fois qu'un signe a été tracé et l'on peut    provoquer     soit    un     déplacement    du rouleau 37 par       rapport    à l'élément     traceur,    soit un     déplacement    de  ce dernier par rapport au rouleau.

   Il     est    clair qu'une  partie de ce     déplacement        latéral    peut être effectuée  pendant le     fonctionnement    de l'élément     traceur,    car  les mouvements de ce dernier peuvent être choisis  pour obtenir l'inscription     d'un    signe     correct,        malgré     le mouvement d'avance.

   Cette mesure     permet    donc       d'augmenter    la     vitesse    d'écriture, car le dispositif       d'avance    peut fonctionner de     façon    plus     régulière.     



  Il est bien entendu que le     dispositif        d7enregistre-          ment    pourrait être réalisé sous d'autres formes que  celle représentée et, en     particulier,    on     pourrait    réali  ser des     enregistrements        magnétiques    aussi bien pour  tous les signes     susceptibles,

      d'être écrits en agissant  sur un clavier que pour     ceux        enregistrés    dans un       dispositif    de     reproduction    analogue à     celui        portant     les références 41 à 45     indiqué    à la     fig.    1.  



  On pourrait aussi prévoir des moyens de réglage  permettant de faire varier à volonté la loi de trans  mission entre l'enregistrement et l'élément traceur,  de     manière    à permettre la formation de     caractères     de formes     différentes    à     partir    d'un même enregistre  ment.  



  On pourrait encore prévoir des moyens pour  modifier la forme de l'élément     traceur    et permettre  ainsi de varier le style de     l'écriture.  

Claims (1)

1. REVENDICATION Machine à écrire, comprenant un élément traceur susceptible d'être déplacé par rapport à une feuille suivant au moins deux axes de coordonnées sensi blement parallèles au plan de la feuille pour tracer des signes sur cette dernière, caractérisée en ce qu'elle comprend une pluralité de signes enregistrés dans un dispositif,

   l'enregistrement de chaque signe étant constitué par un enregistrement des deux mouvements que l'élément traceur doit effectuer selon les deux dits axes de coordonnées, ce dispositif présentant des moyens pour fournir à volonté des signaux électri ques représentant les composantes de chacun desdits signes, des moyens de commande sensibles à ces signaux agissant sur l'élément traceur pour lui com muniquer les mouvements nécessaires,

   pour tracer le signe choisi, un, dispositif produisant une avance rela tive entre l'élément traceur et la feuille. SOUS-REVENDICATIONS 1. Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que l'élément traceur est un pinceau lumineux, la feuille étant photosensible. 2.

   Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en, ce que l'élément traceur est constitué par un stylet susceptible d'être amené en contact avec la feuille. 3.

   Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que l'élément traceur est commandé par un dispositif électromagnétique, un signal électrique de contre-réaction étant produit par les déplacements de l'élément traceur, ce signal étant ajouté au signal électrique de commande. 4.

   Machine à écrire selon la revendication, carac- térisée en ce que l'élément traceur est constitué par une électrode disposée à proximité de la feuille, cette dernière étant sensible aux champs électriques. 5.

   Machine à écrire selon la revendication, carac- térisée en ce qu'elle comprend des moyens de réglage permettant de faire varier à volonté la loi de trans- mission entre l'enregistrement et l'élément traceur, de manière à permettre la formation de caractères de formes différentes à partir d'un même enregistre ment. 6.

   Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que des moyens sont prévus pour modi- fier la forme de l'élément traceur et permettre ainsi de varier le style de l'écriture. 7. Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que la feuille est fixe pendant l'écriture, l'élément traceur étant porté par un chariot soumis à l'action du dispositif d'avance. 8.

   Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que l'enregistrement des signes est cons titué par des pistes optiques portées par un support mobile, les impulsions de commande étant transmises à l'élément traceur à partir de ces pistes au moyen de faisceaux lumineux, dont l'intensité varie confor mément à la modulation des pistes,

   ces faisceaux influençant des cellules photoélectriques délivrant les dits. signaux électriques. 9. Machine à écrire selon la revendication et la sous-revendication 8, caractérisée en ce que les pistes optiques représentant les déplacements, à communi quer à l'élément traceur pour chaque caractère sont portées par un disque, tous ces disques étant portés par un arbre entraîné en rotation,

   chaque disque étant monté sur l'arbre par l'intermédiaire d'un dis positif de friction permettant son entraînement en rotation, un dispositif de blocage empêchant tout déplacement angulaire d'un disque tant que celui-ci n'a pas été sélectionné. 10.

   Machine à écrire selon la revendication et les sous-revendications 8 et 9, caractérisée en ce que chaque disque porte quatre pistes optiques, les trois premières commandant les déplacements de l'élément traceur selon trois axes de coordonnée, la. quatrième commandant le dispositif d'avance relative entre l'élément traceur et la feuille,

   de manière à permettre une amplitude d'avance proportionnelle à la largeur du caractère tracé. 11. Machine à écrire selon la revendication, carac térisée en ce que le dispositif d'avance est réglé pour fonctionner pendant la phase d'écriture par l'élément traceur, de manière à augmenter la cadence d'écri ture. 12.

   Machine à écrire selon la revendication., carac térisée en ce qu'elle comprend un dispositif de repro duction susceptible d'actionner directement l'élément traceur, indépendamment du dispositif d'enregistre ment des signes individuels.