Machine à ligaturer.
La présente invention a pour objet une machine à ligaturer pour le cerclage de paquets au moyen d'une bande métallique, avec fixation des parties en recouvrement de la bande. Cette machine comprend un boîtier pour emmagasiner une provision d'une grande longueur de bande, des moyens pour guider la bande provenant de cette provision suivant un circuit fermé entourant le paquet pour amener l'extrémité libre de la bande en recouvrement par-dessus une partie courante de ladite bande, de manière à former une boucle entourant ledit paquet et un dispositif de fixation destiné à former un joint sur les parties de la bande qui se recouvrént.
Conformément à l'invention, la machine est caractérisée en ce qu elle comprend un mécanisme destiné à provoquer l'avancement et le retrait de la bande suivant une direction déterminée, et un dispositif saisissant la bande et actionné par l'extrémité libre de celle-ci après cerclage du paquet, ce dispositif coopérant avec le mécanisme d'avancement et de retrait pour absorber le mon de la boucle formée par la bande et tendre la bande autour de l'objet cerclé à des moments différents, par traetion sur l'extrémité libre de la bande dans iine direction donnée, pendant que ledit ménanisme d'avancement et de retrait entraîne dans la direction oppqsée la partie courante de la bande recouvrant ladite extrémité.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de la machine objet de l'invention.
La fig. 1 est une vue par-dessus de la machine.
La fig. 2 est une en élévation de la machine représentée à la fig. 1.
La fig. 3 est une vue en coupe suivant la ligne 3-3 de la fig. 1.
La a fig. 4 est une vue en coupe suivant la ligne 4-4 de la fig. 3.
La fig. 5 est une vue en élévation en bout d'une partie de la machine.
La fig. 6 est une vue en perspective d'un détail.
La fig. 7 est une vlle d'un ensemble de pièces détachées d'une partie de la machine.
La fig. 8 est une vue en coupe, à plus grande échelle, suivant la ligne 8-8 de la fig. 5.
La fig. 9 est une vue en coupe suivant la ligne 9-9 de la fig. 8.
La fig. 10 est une vue en élévation latérale, à plus grande échelle, d'autres détails de la machine.
La fig. 11 est une vue en élévation, à plus grande échelle, d'un autre détail.
La fig. 12 est une vue en élévation, partiellement en coupe, du détail de la fig. 11, vu à partir de la ligne 12-12 de celle-ci.
La fig. 13 est une vue en élévation, à plus grande échelle, d'un autre détail de la machine, avec arraehement partiel pour montrer certains détails de construction.
La fig. 14 est une vue en cou'pe suivant la ligne 14-14 de la fig. 13.
La a fig. 15 est une vue en plan par-dessus d'un autre détail.
La fig. 16 représente schématiquement l'ensemble de la machine et, on partieulier, son dispositif pneumatique.
La fig. 17 est un schéma des circuits électriques.
La fig. 18 est une vue en perspective des extrémités de la bande en position de recouvrement, ainsi que d'une attache destinée à leur fixation.
La fig. 19 est une vue en perspective de la fixation terminée des extrémités de la bande.
La machine représentée au dessin comporte un chariot 20, comprenant un plateau supérieur rectangulaire, monté sur quatre pieds 21 placés aux angles du plateau (fig. 2).
Lorsqu'ou veut monter la machine à la sortie d'un transporteur de paquets à ligaturer, et plus particulièrement lorsque ces paquets à ligaturer sont très lourds, les pieds du chariot sont montés sur des roues 22, reposant et circulant sur des rails 24. Ces rails sont dirigés perpendiculairement à la direction d'avancement du transporteur, de manière que le chariot puisse être amené au voisinage immédiat de ce transporteur ou en être écarté.
Un dispositif de mise en place (fig. 15) peut être utilisé pour assurer ce déplacement du chariot, ce dispositif comprenant un cylindre à air 25, dont une extrémité est solidaire d'une barre transversale fixe 26, tandis que la tige d'un piston 32, se déplacent dans ce cylindre, est solidaire d'im montant 28 solidaire du chariot 20, un ressort à boudin 29 reliant cette barre transversale 26 à ce montant 28. Lorsqu'on fait pénétrer un fluide sous pression dans l'extrémité 31 du cylindre, le piston 32 fait avancer le chariot par l'in termédiaire du montant 28 à l'encontre de l'action du ressort 29. Lorsque la pression du fluide cesse de s'exercer sur le piston, le ressort 29 ramène le chariot dans sa position de départ.
On peut supprimer le ressort 29 dans les cas où l'on pourrait admettre le fluide sous pression dans l'extrémité 34 du cylindre autour de la tige du piston, de manière à pouvoir utiliser un seul fluide sous pression pour le déplacement du chariot dans les deux sens.
La commande de ce dispositif de mise en place du chariot peut former une partie de l'ensemble des commandes de la machine, de manière à fonctionner au moment voulu par rapport aux autres organes, comme on le dé crira ci-après. Un support de paquets 35, constitué de préférence par un transporteur à galets du type représenté aux fig. 1 et 2, présente le paquet à ligaturer dans la position permettant son cerclage devant le chariot 20.
Les autres parties principales de la machine comprennent un dispositif de serrage et de fermeture 37, monté par l'intermédiaire d'un pivot sur le plateau supérieur du chariot et dont une face verticale 39 est placée en regard du bord intérieur du transporteur destiné à porter le paquet à ligaturer, un dispositif débitant la bande métallique 40 disposé au-dessous du plateau supérieur du cha- riot et comprenant une bobine 41, un galet fou 42 empêchant le glissement de la bande et un guide 44 pour la bande (fig.
3), la machine comprenant encore un dispositif 46 de mise sous tension de la bande, reliant la bobine 41 au dispositif de serrage et de fermeture 37, et servant à tendre la bande autour du paquet, un dispositif de cerclage du paquet 48 pénétrant en partie dans le transporteur 35, et sortant du bord extérieur de ce dernier suivant une ligne courbe pour venir reposer sur le dispositif de serrage et de fermeturc, et enfin un dispositif de commande pneumatique (fig. 16) et un circuit de commande électrique (fig. 17).
On va maintenant décrire avec plus de détail le dispositif de serrage et de fermeture en se référant plus particulièrement aux fig. 1 à 5. Ce dispositif comprend un cylindre de serrage 50, un cylindre de fermeture 52 et un carter à mâchoires 56, ces différents éléments étant solidaires les uns des autres. Le cylindre de serrage forme l'élément arrière de ce dispositif et contient un piston 58, dont la tige 60 traverse la paroi avant 62 du cylindre 50 et vient buter contre la tige 96 du cylindre de fermeture 52. Une tubulllre d'admission de fluide sous pression est montée en 66 dans la paroi arrière 67 du cylindre de serrage.
Une butée réglable, constituée par un boulon 68, à tête 70, pénètre suivant son axe dans la paroi arrière du cylindre de serrage et elle est logée dans un alésage 72, ménagé dans la tige de piston 60 et son piston 58. Cet alésage présente une partie 74, de diamètre plus grand au voisinage de son extrémité avant, de manière que la tête 70 du boulon puisse venir buter contre l'épaulement formé par l'extrémité arrière de cette partie élargie en limitant la course du piston 58 vers l'extérieur.
Cette butée peut être réglée en agissant sur la partie filetée 78 du boulon qui fait saillie au-delà de la paroi arrière du cylindre et qui porte un écrou de serrage 79. La tête du boulon peut ainsi être disposée en tout point désiré par rapport à la paroi arrière 67 du cylindre. Cette paroi arrière 67 du cylindre 50 présente deux oreilles extérieures parallèles 80, comportant des ouvertures 82 en regard l'une de l'autre.
Deux brides parallèles 84, montées à la partie supérieure du plateau du chariot, présentent en regard l'une de l'autre des ouvertures 86 susceptibles de venir en regard des ouvertures 82 des oreilles 80 et, dans cette position, une cheville 88 peut réussir les oreilles 80 et les brides 84 du chariot, en passant dans lesdites ouverturcs 82 et 84, comme on le voit à la fig. 1, ce qui assure une liaison à pivot entre le plateau du chariot et le dispositif de serrage et de fixation. La paroi avant du cylindre de serrage présente des ouvertures 90 qui traversent ladite paroi et font communiquer le cylindre de serrage avec le cylindre de fermeture.
Le cylindre de fermeture 52 présente un diamètre sensiblement plus grand que celui du cylindre de serrage et une partie de sa paroi arrière 92 forme, en même temps, la paroi avant 62 du cylindre de serrage 50. Le piston 64 du cylindre de fermeture porte une tige de piston 96 formant tige-poussoir, traversant la paroi avant 98 du cylindre et pénétrant dans le carter à mâchoires 56. Le cylindre de fermeture 52 comporte également un dispositif réglable pour limiter le déplacement vers l'avant du piston 64, ce dispositif comprenant une série de butées 100 vissées d'une manière réglable dans des ouvertures taraudées ménagées dans la paroi avant 98 du cylindre de fermeture, ces butées pénétrant sur une distance voulue déterminée à l'avance dans le cylindre 52.
Des tnbnlures d'amenée de fluide sous pression 102 et 104 sont vissées respectivement dans la paroi avant 98 et dans la partie de la paroi arrière 92 du cylindre de fermeture située en dehors du cylindre de serrage 50.
Le carter à mâchoires 56 comporte trois ensembles principaux, à savoir les mâchoires désignées dans leur ensemble par la référence 106, le mécanisme d'amenée des attaches 108 et le mécanisme de commande de l'avancement de la bande, représenté en détail aux fig. 5, 8 et 9. Le mécanisme d'amenée des attaches 108 (fig. 6) comprend un bloc rectangulaire 110 s'étendant à peu près sur toute la longueur du carter et présentant un canal longitudinal 112. Ce canal forme le magasin d'attaches dans lequel est placé une pile d'attaches 114.
Ces attaches sont de préférence du type comportant, une fois en place dans le joint, des pattes coupées et recourbées le long de leurs bords, comme on va le décrire ci-après avec plus de détails. Un poussoir 116, commandé par un ressort 118, est placé dans le magasin d'attaches 112 et sert à repousser les attaches vers l'extrémité avant de ce dernier. Une rainure horizontale 119 est ménagée le long d'un côté du canal 112 formant magasin pour recevoir une nervure correspondante du poussoir, ce qui permet de maintenir le poussoir en place dans le magasin. Deux bras éjecteurs d'attaches 120 sont disposés de part et d'autre du bloc rectangulaire 110 et sont articulés par leurs extrémités arrière sur ce bloc par l'intermédiaire de boulons 122 traversant des ouvertures ménagées dans ces bras 120 pour être vissés dans ledit bloc 110.
Des pattes 124, faisant saillie vers le bas sur la partie arrière des bras 120, s'étendent au-dessous du bloc.
Ces pattes présentent des ouvertures 126 portant une tige 128 s'étendant horizontalement au-dessous du bloc. Les extrémités avant des bras 120 portent des biellettes 130 qui leur sont assujetties par des boulons 131 formant pivots. Les extrémités supérieures des biellettes sont réunies l'une à l'autre par une tige 132 portant dans sa partie médiane un coulisseau 134 servant à l'éjection des attaches. Ce coulisseau est constitué par une pièce parallélépipédique présentant une ouverture transversale 136 à sa partie supérieure pour recevoir ladite tige 132, tandis que des rainures de guidage 138 sont ménagées le long de ses faces verticales latérales.
Un doigt 140 est monté sur le coulisseau 134 par l'intermé- diaire d'lue cheville 142 traversant transversalement la partie supérieure du doigt, de telle sorte que ce doigt, dirigé vers le bas, pénètre par sa partie supérieure dans nne entaille ou fente 141 ménagée dans la partie inférieure du coulisseau 134. Un ressort de compression 144, logé entre le doigt et le coulissean en avant du point d'articulation défini par la cheville 142 et agissant vers le bas, repousse l'extrémité inférieure du doigt vers l'intérieur du magasin d'attaches (voir aussi fig. 3).
La surface intérieure de ce doigt est en retrait par rapport au plan de la surface intérieure du coulisseau, de manière à se trouver en avant de ce dernier, afin que le bord inférieur de l'éjecteur forme une partie saillante 147, susceptible de repousser les attaches de leur magasin 112 vers les mâchoires pendant le mouvement de descente de l'éjecteur, le doigt 140 servant à maintenir les attaches en cours de déplacement au contact de la paroi avant du magasin, de telle sorte que les attaches ne peuvent tomber librement. Des plateaux 150 sont fixés au bloc magasin 110 par des boulons 152.
L'écartement de ces deux plateaux, dont un seul est représenté, détermine le pas sage 154 ménagé pour les attaches; des ner vures verticales 156 sont ménagées sur la face intérieure de ces plateaux et coopèrent avec les rainures de guidage 138 du coulisseau éjecteur pour guider ce dernier.
La tige 128 reliant les pattes 124 des bras 120 de l'éjecteur est engagée normalement dans une échancrure 158 du poussoir 96 (fig. 3). Une petite pièce d'acier trempé 160 est fixée dans la partie arrière de cette échancrure et forme un appui pour la tige 128.
Des ressorts de traction 149 (fig. 6) sont ancrés à l'extrémité arrière du bloc 110 formant magasin par l'intermédiaire d'ergots 151 et ils sont ancrés, d'autre part, aux pattes 124 par des ergots 153 disposés au-dessous des boulons 122, ces ressorts tendent ainsi à déplacer les extrémités avant des bras 120 vers le bas. Le bloc magasin 110 est fixé par des boulons à un support 157 solidaire du carter à mâchoires 56. Une cheville de grand diamètre 159 pour la mise en place du bloc 110 est placée au fond du bloc 110 et pénètre dans nn trou correspondant 161 ménagé dans le support 157 (fig. 3). On remarquera que seule la partie arrière du fond du bloc repose sur ce support 157, tandis que la partie avant forme une paroi supérieure pour le dispositif à mâchoires.
Le support 157 s'étend longitudinalement dans le carter à mâchoires 56 et comporte trois parois verticales 163 présentant des ou vertures 165 que traverse le poussoir 96. La partie horizontale avant du support 157 forme une portée 167 pour le dispositif à mâchoires.
Par suite, à mesure que le poussoir 96 avance par rapport au magasin à attaches, la pièce trompée 160 oblige la tige 128 à avancer, ce qui fait tourner les extrémités avant des bras 120 à l'encontre de l'action des ressorts 149 vers le haut jusqu'à une position pour laquelle la face intérieure du doigt 140 est en regard de la première attache dans le magasin 112, la partie saillante 147 du coulissean étant un peu au-dessus. Ensuite, lorsque le poussoir 96 revient en arrière par rapport au magasin et permet ainsi aux extrémités avant des bras 120 de descendre sous la pression des ressorts, le bord supérieur saillant 147 du coulisseau éjecteur 134 repousse l'attache la pîns avancée pour la faire descendre et venir entre les mâchoires.
Le carter à mâchoires 56 est fendu horizontalement au-dessus du dispositif d'amenée des attaches pour former un cou- vercle 162 articulé en 164, commé représenté aux fig. 1 et 2, ce qui permet un libre accès au magasin lorsqu'on désire le recharger d'attaches. Un taquet 165 (fig. 6) est fixé par ses extrémités aux parties du bloc 110 disposées de part et d'autre du canal 112 contenant les attaches, au voisinage de la partie avant de ce canal servant à l'évacuation des attaches, ce taquet servant à empêcher que le mouvement de retrait vers le haut du coulisseau éjecteur 134 ne fasse sortir les attaches du canal du magasin.
La tige-poussoir 96 est reliée par son extrémité avant aux mâchoires 106. Ces mâchoires comprennent, comme on le voit plus particulièrement à la fig. 7, en premier lieu les trois paires de mâchoires 166 destinées à plier les attaches, des emporte-pièces 168 étant prévus entre ces paires de mâchoires; Au-dessous de ces pièces destinées à plier et à entailler les attaches est montée une enclume 169 s'étendant verticalement dans cet ensemble, et il est prévu de pliis une paire de mâchoires 170 venant en prise avec les bords de la bande ainsi qu'un couteau 172. Les mâchoires de. pliage 166 des attaches sont opposées deux à deux et de forme symétrique l'une par rapport à l'autre; cette forme est ovale avec une partie en forme de crochet 174 dirigée vers l'avant et vers l'intérieur à partir du bord extérieur de la mâchoire.
Ces crochets sont terminés par des encoches 176 destinées à saisir les bords des pattes des attaches. Les mâchoires de saisie 170 sont constituées d'une facon analogue aux précédentes, sauf en ce que les crochets d'extrémité 177 sont terminés par des surfaces verticales moletées servant à saisir les bords de la bande métallique 179
(fig. 18). Chaque emporte-pièce 168 a la forme d'une plaque rectangulaire dans laquelle est ménagée une entaille profonde 180 laissant passer l'enclume le long du bord de l'emportepièce.
Les bords extérieurs de l'entaille sont ehanfreinés de manière à former des surfaces 182 venant porter contre les bords de l'ensemble constitué par l'attache repliée sur la bande et maintenu par les mâchoires de pliage, l'emporte-pièce pouvant ainsi entailler les bords de l'attache en des points disposés entre les deux mâchoires de pliage lorsque l'emportepièce est écarté vers l'extérieur. L'enclume 169 est une pièce dont la section droite est à peu près triangulaire, le sommet de cette section droite étant dirigé vers l'arrière et cette en volume comportant de plus des pattes de montage 171, dirigées latéralement et vers l'extérieur à partir du bord inférieur de l'enclume.
L'enclume est dirigée vers le haut et traverse l'ensemble des mâchoires de pliage et des emporte-pièces en se logeant dans la partie arrière de l'entaille 180 des emporte-pièces et en passant entre les mâchoires de pliage. Cette enclume joue un double rôle: elle constituée la surface contre laquelle le doigt éjeeteur 140 maintient l'attache jusqu'à ce que les bords de celle-ci soient en prise avec les entailles 176 des mâchoires de pliage et elle constitue également la surface contre laquelle l'attache est repliée par les mâchoires. L'enclume porte, de plus, une goupille 191 servant à guider le couteau 172, cette goupille étant refoulée dans une ouverture ménagée dans le fond de l'enclume, cette goupille étant représentée à la fig. 7 sortie de cette ouverture.
Les mâchoires sont montées au moyen de cinq broches disposées sensiblement en V, et venant se loger dans des ouvertures ménagées dans les différentes pièces, tandis que des biellettes-ressort 184 assurent les liaisons in- termédiaires. La paire avant de broches 186 traverse verticalement des ouvertures avant 188, ménagées dans les mâchoires de pliage, dans les pattes de l'enclume et dans les machoires saisissant les bords de la bande et elles passent également dans les ouvertures 190 des emporte-pièces. Les broches sont montées à frottement dans les ouvertures 188, tandis que les ouvertures 190 sont constituées par des fentes longitudinales permettant le déplacement vers l'avant et vers l'arrière des emporte-pièces par rapport aux broches.
Le cou- teau est disposé immédiatement au-dessous des mâchoires saisissant les bords de la bande et entre les broches 186, et il présente une ouvert turc de forme oblongue 189 pour recevoir la goupille précitée 191 destinée à guider le déplacement du couteau vers l'avant et vers l'arrière; ainsi le couteau et les emporte-pièces peuvent se déplacer longitudinalement, indépendamment des broches avant.
Les broches intermédiaires 192 traversent les ouvertures arrière ménagées en 194 et en 196 respectivement dans les mâchoires de pliage 166 et dans les mâchoires 170 saisissant la bande. Les broches intermédiaires sont montées à frottement dans les ouvertures 194, tandis que les ouvertures 196 sont plus grandes de manière à permettre un déplacement des surfaces moletées des mâchoires de saisie l'une vers l'autre, tout en évitant une compression excessive ou un écrasement des bords de la bande. On tient compte du jeu des broches intermédiaires par rapport aux emporte-pièces au moyen d'ouvertures rectangulaires de grandes dimensions 198 permettant un déplacement libre de la tige, tant vers l'avant que dans le sens transversal. Le couteau 172 est également disposé entre les broches 192 et ses déplacements ne sont pas gênés par ces dernières.
Les biellettes 184, présentant approximativement la forme d'un U, comme représenté, comportent des ouvertures à leurs extrémités, ouvertures dans lesquelles les broches- intermédiaires 192 sont montées à frottement. Des butées 200 sont formées par l'extrémité intérieure de chaque bras de la biellette, de manière à fermer à peu près complètement la courbe dessinée par la biellette. Ainsi, on 9b- tient nne certaine élasticité pour lesdites biellettes 184. On peut dire que chaque biellette a la forme d'une bague fendue radialement et présentant, de part et d'autre de la fonte, une ouverture dans le corps de la bague.
Les biellettes sont disposées par paires et les deux bielettes de chaque paire sont obtenues par retournement l'une par rapport à l'autre de pièces identiques, chaque élément de la paire étant monté sur la broche intermédiaire correspondante 192 et sur une broche arrière 202, de manière à relier les broches intermédiaires 192 à cette broche arrière. Comme représenté, on prévoit une paire de biellettes 184 à la partie supérieure du dispositif et une autre paire à la partie inférieure, la paire supérieure étant disposée au-dessus des mâ- choires de pliage supérieures, tandis que la paire inférieure est disposée dans un évidement 203 ménagé à la surface supérieure de la partie arrière des mâchoires 170 destinées à saisir la bande.
La broche arrière 202 traverse des fentes 204 ménagées dans les emporte-pièces et dans le couteau, sans toucher les mâchoires de pliage ni les mâchoires de saisie, en raison de ce qu'elle est placée en arrière et entre ces pièces. Les extrémités de la broche arrière sont montées dans des percages 206 des bras 208 d'iule potence 210 servant à fixer l'ensemble des mâchoires - à l'extrémité avant de la tige-poussoir 96 (fig. 3). Cette fixation est assurée grâce à une ouverture 212 ménagée dans la potence pour le passage de la tigepoussoir, une vis de verrouillage 214 traversant une ouverture ménagée dans une partie avant 215 de diamètre réduit de la tige-poussoir.
Une plaque-support 216 en acier trempé, destinée à absorber au moins une partie de la poussée exercée par la tige-poussoir 96, est fixée sur la face avant de la potence par des boulons 218 vissés dans des ouvertures taraudées 220 (fig. 7).
Si l'on se reporte de plus à la fig. 8, on voit que les différentes mâchoires partent, au cours du fonctionnement de la machine, d'une position en retrait derrière les plaques avant 160 (fig. 3) et les parois latérales du carter pour venir d'abord dans la position de pliage des attaches et de saisie de la bande, et ensuite occuper la position de fermeture et de coupe pour revenir enfin à la position de départ en retrait La broche avant 186 et les broches intermédiaires 192 font saillie au-dessus et andessous de l'ensemble des mâchoires et du couteau et leurs extrémités en saillie sont guidées dans le fond du bloc servant de magasin d'attaches et dans le fond 167 du carter des mâchoires.
Le premier de ces guides, qui sont d'ailleurs à peu près identiques, correspondant au fond du bloc-magasin, est constitué par des fentes longitudinales 224 disposées parallèlement à la direction du déplacement des broches et recevant les extrémités inférieure et supérieure des broches avant 186, ces fentes se terminant par des épaulements 226 à l'avant pour limiter le déplacement vers l'avant des broches 186.
Dans la position de retrait de l'ensemble des mâchoires, les broches intermédiaires 192 sont légèrement à l'extérieur des ligues reliant la broche arrière 202 aux broches avant 186, de telle sorte que, lorsque l'ensemble des mâchoires avance avec la broche arrière 202, pour amener les broches avant au contact des épaulements 226 des rainures de guidage 224, les broches intermédiaires 192 se déplaceront vers l'avant en subissant l'action d'une composante des forces dirigées vers l'extérieur.
Le second guide, ménagé dans le fond 167, est destiné à commander le mouvement des broches intermédiaires et comprend des blocs rectangulaires 228 faisant partie du fond du bloc magasin et du fond du carter des mâchoires, ces blocs 228 étant placés à l'extérieur des broches intermédiaires et servant de butée aux extrémités en saillie desdites broches intermédiaires 192 pour limiter leur déplacement vers l'extérieur, et empêcher ainsi un fonctionnement prématuré des mâchoires tant que ces mâchoires ne sont pas venues dans leur position de fonctionnement. La longueur des bords des blocs de guidage dans le sens avant-arrière est à peu près égale à la longueur des fentes 224, de telle sorte que, lorsque l'ensemble des mâchoires avance, les broches avant atteignent les épaulements 226 et les hroches intermédiaires atteignent les extrémités des blocs à peu près au même moment.
Ainsi, les broches intermédiaires passant devant les arêtes des blocs 228 au moment où les broches avant atteignent les épaulements 226, sont désormais libres de se déplacer latéralement vers l'extérieur lorsque la tige-poussoir 96 continue à se déplacer.
Les mâchoires étant disposées comme indiqué, les fentes de guidage 224 et les blocs de guidage 228 servent à guider, pendant le fonc tionnement de la machine, l'ensemble du dis positif vers L'avant solidairement, sans aucun mouvement relatif entre les différents éléments, jusqu'à ce que les broches 186 aient atteint les épaulements 226. A ce moment, le dispositif occupe une position pour laquelle la bande métallique est en arrière et entre les crochets 174 des mâchoires de pliage 166, tandis que les bords des côtés des attaches 225 sont au voisinage des encoches 176 correspondantes, que les emporte-pièces sont placés devant les fenêtres 231 ménagées dans les attaches et enfin que les mâchoires de pliage sont écartées pour saisir les bords de l'attache entre les fenêtres.
Ces fenêtres 231 sont destinées (fig. 18) à fournir un dégagement pour recevoir les pattes 235 formées par les emporte-pièces en cisaillant l'ensemble de l'attache montée sur la bande, ces pattes pénétrant ainsi dans les fenêtres en formant une surface lisse à la surface inférieure du joint assu jeftissant les deux extrémités de la bande.
Lorsque les broches avant atteignent les épaulements 226 à l'extrémité des fentes 224, les broches intermédiaires 192 continuent à avan cer -vers l'extérieur et font tourner les machoires de saisie et de pliage autour des broches avant, ces mâchoires se déplaçant vers l'intérieur pour jouer leur rôle qui consiste, d'une part, à plier les bords 225 de l'attache et, d'autre part, à saisir la bande 179. La face arrière de l'attache repose sur l'enclume 169 qui l'empêche de céder vers l'arrière. En même temps, les emporte-pièces et le couteau se déplacent sur une longueur limitée jusqu'en un point proche de la bande 179 et de l'attache 114 sans toucher ces dernières.
Dans cette position de serrage ou de fixation, la broche arrière 202 est avancée jusqu'à ce qu'elle soit juste en arrière de la ligne transversale définie par les broches intermédiaires 192; la potence 210 (ou la plaque d'appui 216, le cas échéant) est alors amenée au contact des bords arrière des emporte-pièces et du couteau.
Pendant la fixation de l'attache, la broche arrière est amenée approximativement à ime position de point mort légèrement en avant de la ligne transversale définie par. les broches intermédiaires 192; ce mouvement n'a pas d'ac- tion sensible sur les mâchoires de pliage ou sur les mâchoires de saisie, la broche arrière se déplaçant sur iin trajet très court s'étendant de part et d'autre de la ligne reliant les broches intermédiaires. Cependant, les emporte-pièces et le couteau sont repoussés vers l'avant par la potence ou par la plaque d'appui 216, de manière à entailler l'attache et à couper la bande. Pendant le mouvement de retrait, la tige-poussoir 96 entraîne la broche arrière 202 avec elle.
Par suite, les broches intermédiaires 192 se déplacent vers l'intérieur, étant donné que tout mouvement vers l'arrière est empêché par les surfaces avant 229 des blocs 228. Il en résulte une ouverture des mâchoires de saisie et de pliage. Lorsque les broches intermédiaires ont dégagé les surfaces avant des blocs du guidage 228, l'ensemble des mâchoires se déplace vers l'arrière d'non seul mouvement en dégageant les emporte-pièces et le couteau.
Or, pendant le mouvement vers l'avant de la tige-poussoir, l'éjec- teur 134 aura été soulevé au-dessus du magasin 112, ce qui permet l'introduction d'une attache sur le trajet de ce eoulisseau-éjeeteur, tandis qu'à la fin du mouvement ultérieur vers l'arrière de la tige-poussoir, l'éjecteur est ramené vers le bas par les ressorts 149 pour amener une nouvelle attache en place entre les mâchoires.
L'intérêt du type particulier de biellette élastique 184 utilisée dans la machine consiste à permettre l'adaptation à des dimensions variables d'attaches ou de bandes grâce au faible jeu assuré par l'ouverture ménagée entre les extrémités de la biellette. L'une des broches intermédiaires 192 porte également une came 232 commandant l'avancement de la bande et faisant saillie vers l'extérieur; cette came se déplace avec la mâchoire de pliage supérieure, à laquelle elle est reliée par une goupille excentrée 233, dont le rôle sera expliqué phis loin (fig. 7 et 8). Le couteau mobile 172 coopère avec un bloc 234 farmant la lame fixe et constitué par une plaque plane dans le bord supérieur de laquelle est ménagée une encoche rectangulaire, le fond de l'encoche agissant en coopération avec le couteau pour assurer le cisaillement.
Ce bloc fixe est maintenu par des boulons 238 (fig. 5).
Dans les fig. 8 et 9, on voit que la commande de l'interrupteur arrêtant l'avancement de la bande métallique comprend principalement un bras d'interrupteur 240, de forme générale triangulaire, disposé entre la paroi latérale du carter et l'ensemble des mâchoires.
L'extrémité avant du bras est constituée par un doigt 242 s'incurvant partiellement autour de l'ensemble des mâchoires et aboutissant sur le trajet de l'extrémité de la bande montant à l'intérieur d'une auge 372 décrite ci-après avec plus de détails.
Une encoche 244 est ménagée à la surface inférieure de l'extrémité du doigt venant en prise avec l'extrémité de la bande montant dans cette auge. Le bras 240 présente, à sa base, deux pattes parallèles 246 présentant des ouvertures pour recevoir un boulon 248.
Ces pattes sont disposées aux deux extrémités d'une pièce cylindrique 250 présentant un alésage axial formant passage pour le boulon 248. Une ouverture de diamètre supérieur est ménagée radialement dans cette pièce cylindrique 250 et rencontre l'alésage recevant le bonlon auquel elle est perpendiculaire, cette deuxième ouverture constituant une portée pour un pivot 252. Ce pivot 252 présente un percage tranversal dans sa partie montée dans l'ouverture de plus grand diamètre pour recevoir également le boulon 248. Les trois pièces sont ainsi asslljetties l'une à l'autre par un boulon unique 248.
On remarquera que le bras 240 peut pivoter en tournant d'un petit angle dans un plan horizontal autour du boulon 248, de telle sorte que l'encoche 244 puisse être amenée au droit de l'un des côtés de l'auge portant la bande métallique. Une rainure 256 est ménagée dans le bras 240 et s'étend vers l'avant de celui-ci à partir du pivot. Un ressort plat 258, fixé par son extrémité dans la pièce cylindrique 250, est placé dans la rainure 256; ce ressort sert à repousser le bras 240 vers l'intérieur pour lui faire occuper sa position normale dans laquelle ce bras arrête l'extrémité de la bande montant dans son auge. Cette disposition permet de dégager l'encoche 244 par rapport à la bande après que celle-ci a été saisie par les mâchoires 170.
Lorsque les broches intermédiaires 192 portant les mâchoires se déplacent vers l'extérieur, la came 232 est appliquée contre la face intérieure du bras 240 qui écarte, en raison de son montage à pivot, le doigt échancré 242 de l'extrémité de la bande. On évite ainsi tout dommage à ce doigt lorsque les mâchoires avancent, tout en facilitant l'enlèvement du paquet à la fin du cerclage de celui-ci.
Un trou de grandes dimensions 260 est mé nagé dans la paroi du carter des mâchoires pour recevoir un coussinet 262 (fig. 8) susceptible de tourner dans cette ouverture. Le coussinet 262 est maintenu en place par une bague de serrage 264 et par des boulons 266.
Le pivot 252 est monté dans une ouverture 268 du coussinet excentriquement par rapport à l'axe de celui-ci, et il y est fixé, par exemple, par un écrou 270 se vissant sur l'extrémité filetée du pivot et portant une rondelle 271. En desserrant la bague de serrage, il est possible de faire tourner le coussinet excentrique 262 pour déplacer le bras 240 dans une direction avant-arrière, l'échancrure 244 étant alors dans une position permettant d'arrêter l'extrémité de la bande dans les conditions les meilleures. A l'arrière du bras 240 de l'interrupteur est monté un ressort à boudin 272 (fig. 8) entourant le pivot 252 et dont une extrémité est engagée dans une ouverture de la pièce cylindrique 250, tandis que l'autre extrémité prend appui sur le carter de manière à repousser le bras 240 de l'interrupteur vers le bas en tournant autour du pivot.
La patte inférieure 246 du bras 240 porte une pièce 274 commandant un interrupteur 280 et fixée à cette patte par le boulon 248.
L'interrupteur 280 fixé à la surface inférieure du fond 167 du carter des mâchoires porte un bouton 282 faisant saillie sur le trajet de cette pièce de commande 274. Lorsque la bande sort de l'auge qui la contient, son extrémité vient en prise avec l'encoche 244 à l'extrémité du bras 240; ceci fait pivoter le bras autour du pivot dans un plan vertical et déplace la pièce de commande 274 qui abaisse le bouton de l'interrupteur 280.
Un doigt 284 qui fait partie du bras 240 vient en prise avec un ergot 286 monté sur le bras voisin 120 du mécanisme d'avancement des attaches. Cette disposition protège le mécanisme en ce sens que si la bande n'atteint pas l'encoche 244 dans le doigt 242 du bras 240 ou quitte trop tôt cette encoche en laissant tomber le bras 240, le soulèvement du bras 120 du mécanisme d'avancement qui se produit à la suite de l'avancement de l'ensemble des mâchoires commande l'interrupteur de la même manière que cela aurait été fait normalement par la bande elle-même (fig. 9).
On va maintenant décrire le mécanisme d'avancement de la bande (fig. 2 et 10), ce mécanisme comprenant une bobine 41 entraînée par un moteur réversible 290 (fig. 2) et portant une joue extérieure 292 fixée à la bobine par des pattes 294 manoeuvrables à la main. Une bride annulaire coaxiale 296 faisant saillie vers l'extérieur est montée sur la surface intérieure de la bobine. La bobine est placée en regard d'un galet fou 42. Le galet 42 sert à empêcher les spires de la bande enroulée de glisser l'une sur l'autre et de se desserrer pendant le déroulement. Le galet est constitué par un disque lourd passant sur la bande portée par la bobine entre la paroi de celle-ci et la joue 292. Ce galet est porté par une fourchette 298 sur laquelle il est monté fou, cette fourchette étant articulée en 300 sur le chariot de la machine.
Un cylindre 302, soumis à une pression pneumatique, est articulé à un support 303 porté par une extrémité du chariot au moyen d'une goupille 304 (fig. : 10); la tige 305 du piston de ce cylindre 302 est reliée par son extrémité en saillie à un levier 306 solidaire de la fourchette 298. Le cylindre comporte des amenées de fluide sous pression à ses deux extrémités, amenées qui seront décrites ci-après. Lorsqu'un fluide sous pression est appliqué à ce cylindre, de ma nièce a faire rentrer la tige de piston 305, le galet 42 est poussé contre la bande sous une pression suffisante pour empêcher tout glisse ment de la bande qui est ainsi entraînée mécaniquement.
D'autre part, lorsqu'on renverse le sens de la pression appliquée dans le cylindre pour repousser la tige de piston 305 vers l'extérieur, le galet fou 42 s'écarte de la bobine et permet de recharger celle-ci au moyen d'une provision nouvelle de bande métallique.
Après enlèvement du galet fou, on peut retirer la joue de la bobine en desserrant les pattes 294, ce qui permet d'introduire une nouvelle provision de bande enroulée sur le moyeu de la bobine. On replace alors la joue sur le moyeu et on applique à nouveau le fluide sous pression au cylindre 302 pour ramener la tige de piston à l'intérieur du cylindre, ce qui applique à nouveau le galet contre la bande. Le moyeu 311 de la bobine présente des fentes 307 dirigées vers l'arrière et destinées à recevoir l'extrémité repliée 309 de la bande enroulée. Lorsque la bande enroulée a été placée sur la bobine, elle entoure le moyeu de celle-ci d'une manière lâche et les spires ne sont pas au contact immédiat l'une de l'autre.
La première contraction de l'enroulement sous l'effet de l'application d'un effort de tension suffit cependant à serrer les spires l'une contre l'autre et sur le moyeu, et le galet fou maintiendra l'enroulement dans cet état de serrage. L'extrémité intérieure du guide 44 de la bande est suspendue au voisinage de la ligne de tangence entre le galet fou et la bobine; ce guide 44 est articulé à la partie supérieure du chariot au moyen d'un boulon 310 en un point disposé immédiatement au-dessous du carter des mâchoires, de telle sorte que la bande montant dans ce guide pénétrera dans ledit carter. La partie inférieure de ce guide comprend deux plaques 312 (fig. 10) qui sont suffisamment minces pour pouvoir pénétrer entre la joue de la bobine et la bobine proprement dite.
Ces plaques 312 présentant im intervalle entre elles et sont fixées, par exemple par soudure, aux plaques latérales constituant les parois 314, de manière à former un canal 316 dans lequel peut passer la bande métal ligne. Les parois 314 s'étendent vers le haut jusqu'au point où elles sont articulées au boulon 310. Des guides 318 sont fixés entre ces parois au-dessus des plaques 312 pour former un prolongement du canal 316. Le cylindre 302 maintient bien entendu une pression constante sur le galet fou 42 pour l'appliquer sur la bande enroulée sur la bobine, quel que soit le diamètre de son enroulement, et quels que soient les changements de ce diamètre.
La bande métallique est guidée entre le guide qui vient d'être décrit et le carter des mâchoires par un passage 320 (fig. 3) fermé d'un côté par une plaque de guidage 322, fixée par exemple par des boulons 324 sur le fond du carter 167, et de l'autre par le bloc 234 formant la lame fixe de coupe.
Les fig. 11 et 12 représentent le dispositif de mise sous tension de la bande où la bride annulaire 296 de la bobine débitrice 41, dont il a été fait mention, tourne en traversant une profonde coupure 330 ménagée dans le bloc 332 appelé ci-après la béquille. Les parois intérieures de la coupure 330 présentent des saillies 334, de telle sorte que lorsque la béquille est disposée perpendiculairement par rapport à la partie de la bride annulaire passant dans la coupure, ladite bride peut tourner librement dans cette coupure, tandis que, si la béquille fait un angle différent par rapport à cette partie de la bride, les faces opposées de la bride 296 seront saisies par les saillies 334 et coincées par ces dernières. La béquille peut appliquer à la bobine une pons- sée dans le sens des aiguilles d'une montre.
Les saillies 334 sont décalées, l'une par rapport à l'autre, de manière à donner un effort maximum. quand une telle poussée est appliquée. La béquille est articulée sur un pivot 336 à l'extrémité d'une tige de piston 338 se déplaçant dans un cylindre à air 340. Un ressort 342 entoure le pivot 336, et ses extrémités agissent l'une, 344, sur la tige de piston et l'autre, 346, sur la béquille, de manière à repousser la béquille dans le sens des aiguilles d'une montre en tournant autour de l'artieu- lotion constituée par le pivot. La béquille porte un bossage 348 à sa surface supérieure, le sommet de ce bossage étant percé et fileté pour recevoir une vis 350 (fig. 12).
Lorsque le piston est rentré dans le cylindre à air 340, comme représenté en traits pleins à la fig. 10, et que la tête de la vis 350 vient buter contre une plaque d'appui 352 portée par le fond du cylindre, la béquille est repoussée dans le sens contraire à celui des aiguilles d'une montre pour revenir dans une position normale par rapport à la bride 296 à l'encontre de l'action du ressort précité 342, cette bride pouvant donc se déplacer librement par rapport à la béquille. Lorsqu'on envoie un fluide sous pression dans le cylindre, la vis 350 cesse d'être en prise avec la plaque d'appui 352 et le ressort 342 repousse à nouveau la béquille dans le sens des aiguilles d'une montre en la faisant tourner autour du pivot 336 jusqu'à ce que les saillies 334 de la béquille viennent en prise avec les côtés de la bride.
La pression dans le cylindre continuant à s'exercer pour repousser la tige de piston 338 en dehors du cylindre, la béquille suit son mouvement et elle est amenée à faire tourner la bobine portant la bande dans le sens des aiguilles d'une montre. On peut régler la vis 350 pour permettre une libre rotation de la bride dans la coupure 330 lorsque la tige de piston 338 est dans sa position d'effacement à l'intérieur du cylindre. On remarquera que lorsque la béquille est ramenée dans sa position normale, les saillies 334 ne sont plus en prise avec la bride et, par suite, le mouvement d'effacement de la tige ne fait pas tourner la bobine, le galet fou assurant un frottement suffisant pour empêcher une telle rotation.
Pour empêcher toute oscillation latérale de la béquille permettant de libérer la bride, le côté de la béquille qui est à l'opposé du côté de la coupure 330 est taraudé pour recevoir un boulon 353, dont on peut régler la position pour amener sa tête au voisinage de la plaque verticale 355 (fig. : 12) boulonnée sur le chariot 20.
La partie extrême 354 du cylindre à air 340 est fixée sur le dispositif de serrage et de fixation, comme on peut le voir d'ailleurs dans les fig. 4 et 5. Le bâti 56 présente un prolongement 356 faisant saillie par rapport à la paroi latérale dudit bâti pour former avec cette paroi une pièce en forme de douille 358 s'ouvrant vers le bas. Ladite partie extrême 354 du cylindre 340 présente une patte 360 pénétrant dans cette douille. Le cylindre est articulé dans cette douille au moyen d'une cheville 362 traversant cette douille 358 (fig. 5). Grâce à cette liaison entre la bobine débitant la bande et le dispositif de serrage et de fixation des attaches, on peut, en appliquant une pression au cylindre, exer cer un effort sur la bobine d'enroulement avec une réaction sur le dispositif pivotant de serrage et de fixation.
Le cylindre à air comporte des lumières d'admission 366 et 368 à ses extrémités.
Les fig. 13 et 14 représentent le dispositif de cerclage proprement dit comprenant le canal d'amenée de la bande métallique consti- tué par une goulotte supérieure articulée 370 et une auge fixe inférieure 372. L'auge comprend une pièce cintrée 374 maintenue entre des plaques 376 formant les parois latérales, ces éléments 374 et 376 étant reliés l'un à l'autre par soudure ou autrement. Les plaques 376 sont fixées à leur tour par leurs surfaces extérieures aux brides 37 mentionnées ci-dessus. Sur les extrémités extérieures des parois 376 sont montées des plaques 378 sur lesquelles pivote la goulotte supérieure 370.
La pièce cintrée 374 formant le fond de l'auge se prolonge au-dessus des parois 376 à son extrémité supérieure 380 pour éviter toute discontinuité dans le canal au point d'articulation, cette pièce 374 s'étendant de même à son extrémité intérieure au-delà des parois 376, comme représenté en 382, de manière à guider la bande métallique vers la surface extérieure de la lame fixe du bloc 234.
Des échancrures 384 sont ménagées dans les extrémités intérieures des parois latérales 376. Des chapes en forme de crochets 386, destinées à maintenir la bande en place, sont montées par l'intermédiaire de pivots 388 sur des pattes 390 portées par les parois latérales 376 de l'auge et les extrémités en forme de crochets 392 de ces chapes pénètrent par les échancrures 384 à l'intérieur du canal guidant la bande métallique. Les chapes 386 sont prolongées au-dessous du pivot 388 et des res
sorts de compression horizontaux 396 disposés
entre les parois de l'auge, et les parties inférieures des chapes repoussent les crochets vers l'intérieur et vers le bas à l'intérieur du canal guidant la bande.
Les chapes viennent buter
contre le fond 398 des échancrures 386, ce qui limite leur déplacement possible, la position normale de la face intérieure 400 du crochet étant à peu près parallèle au fond de l'auge
et légèrement écartée de celui-ci. Le rôle de
ces chapes est d'obliger la bande avançant sur le fond de l'auge à pénétrer dans les mâ- ehoires destinées à saisir les bords de ladite bande. En l'absence de telles chapes, I'extrémité de la bande pourrait se déplacer vers la surface extérieure de la lame fixe du bloc 324 suivant un angle trop aigu pour que la bande puisse être saisie efficacement par les mâ-
choires 170. Lorsque la bande est soumise à une tension, elle peut cependant être retirée facilement de ces chapes.
Il est ménagé une deuxième encoche 402 dans l'une des parois latérales de l'auge au voisinage de l'encoche laissant passer la chape, et un bras de commande 404 agissant sur un interrupteur 406 traverse cette échancrure 402 et pénètre dans l'auge au-dessus de la bande.
Le e carter d'interrupteur 408 est fixé sur l'une des brides 37. Le bras de commande 404 est monté sur un arbre d'interrupteur 410 pénétrant dans le carter d'interrupteur et tourillonnant dans ce dernier. Cet arbre d'interrupteur, soumis à l'action d'un ressort, repousse le bras 404 vers une position à peu près horizontale. Un interrupteur à action rapide, non représenté, qui peut être de tout type connu, est disposé dans le carter d'interrupteur et commandé par le déplacement angulaire de l'arbre 410. Un galet 412 est porté par une fourche 414 que présente l'extrémité libre du bras 404 pour faciliter le passage de la bande. Ainsi, dès que la bande est soulevée par rapport à l'auge lorsqu'elle est soumise à un mouvement de retrait, ladite bande fait pivoter le bras d'interrupteur vers le haut en actionnant l'interrupteur.
Lorsque la bande dégage le bras d'interrup- teur, ce dernier revient à sa position normale à l'intérieur de l'auge sous l'action de son ressort.
La goulotte 370 guidant la bande est à peu près semi-cylindrique et comporte une série continue de roulements à billes 416 légèrement écartés l'un de l'autre et formant en fait une surface de guidage; des plaques incurvées 418 montées de part et d'autre de ces roulements s'étendent vers l'intérieur à partir de ceux-ci de manière à former avec lesdits roulements un canal de guidage s'ouvrant vers l'intérieur pour assurer le guidage de la bande. L'extrémité intérieure de cette goulotte pénètre dans une boîte 422 placée à la partie supérieure du carter des mâchoires, des bossages 424 étant formés sur les côtés de cette extrémité intérieure pour reposer sur les bords supérieurs de la boîte 422 et arrêter la goulotte 370 à l'entrée du carter.
La goulotte peut se déplacer entre une position fermée pour laquelle son extrémité intérieure repose dans la boîte 422 et une position ouverte pour laquelle la goulotte a tourné autour du pivot 420 en découvrant l'auge 372, ce déplacement s'effectuant à la main ou automatiquement.
Le fonctionnement automatique est assuré par un cylindre pneumatique 426 fixé aux bords inférieurs des parois 376 de l'auge par des boulons 428, ce cylindre présentant à l'avant un fond 430 traversé par la tige 432 du piston. Cette tige de piston 432 est prolongée en 434 pour former une fourchette 436 à l'avant. Une cheville 438, montée entre les bras de la fourche 436, sert d'articulation à un levier coudé 440 dont le sommet est monté rotativement sur un pivot 442 maintenu entre les plaques 378. L'extrémité inférieure de ce levier coudé 440 est montée sur la cheville 438 par l'intermédiaire d'une fente 444 permettant d'accorder le mouvement rectiligne de la tige de piston 432 au pivotement du levier coudé 440 dont l'extrémité supérieure 446 est articulée à une biellette 448.
Cette dernière est reliée à son tour à une patte 450 solidaire de la surface extérieure de la goulotte 370 en un point disposé au-dessus et à l'extérieur du pivot 420. Le cylindre 426 comporte des lumières d'admission 452 et 454 dans ses deux fonds. Ainsi, lorsque la pression est appliquée à l'extrémité du cylindre laissant passer la tige, cette tige 432 s'efface en faisant tourner le levier coudé 440 et en entraînant la biellette 448 vers l'extérieur et vers le bas, ce qui déplace la goulotte 370 vers sa position d'ouverture.
Au contraire, lorsqu'on applique la pression à l'autre fond du cylindre en ou- vrant l'extrémité opposée du cylindre à l'atmosphère, la tige de piston 432 sort du cylindre et fait tourner le levier coudé 440 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre pour repousser la biellette 448 vers l'auge et ramener la goulotte dans sa position de fermeture.
La fig. 16 représente la commande pneumatique sous forme schématique. La machine reçoit normalement de l'air comprimé provenant d'une source appropriée reliée à une canalisation 460. La culasse du cylindre de serrage 50 est reliée à cette canalisation 460 par un conduit 462. Un tiroir 464 à trois directions et commandé par un solénoïde, et qu'on appellera ci-après la soupape de serrage, est intercalé dans ce conduit 462 pour admettre un fluide sous pression dans le cylindre 50 ou pour relier ce dernier à l'atmosphère, la position normale de la soupape au repos correspondant à une liaison de ce cylindre avec l'atmosphère (position représentée).
La culasse du cylindre de fixation 52 est reliée à la canalisation 460 par un autre conduit 466 dans lequel est intercalé un deuxième tiroir 468 à trois voies, commandé par un solénoïde, ce tiroir formant le tiroir de fixation et se déplaçant entre une position de mise sous pression du cylindre 52 et d'ouverture de ce cylindre à l'atmosphère, la position normale de ce tiroir au repos correspondant à la mise en communication du cylindre avec l'atmosphère (position représentée). Le fond du cylindre de fixation opposé à la culasse est relié à la canalisation 460 par un autre conduit 470 contenant un tiroir à trois voies 472 ou tiroir de retour. Ce dernier tiroir laisse pénétrer la pression dans le cylindre 52 lorsqu'il est dans sa position de repos (position représentée), et le relie à l'atmosphère en position de travail.
Le cylindre 25 commandant la mise en place du chariot de la machine est commandé par un autre conduit 474 reliant la canalisation 460 à la culasse de ce cylindre, tandis qu'un autre conduit auxiliaire 476 relie l'autre extrémité du cylindre 25 au fond du cylindre de fixation 52 qui est opposé à la culasse.
Le cylindre 340 de mise de la bande sous tenision est alimenté par des conduits 478 et 480 reliant les deux chambres du cylindre à deux entrées d'un tiroir à quatre voies 482 commandé par un solénoïde et relié lui-même à la canalisation 460 par un conduit 484.
Dans ce conduit 484, sont intercalés une son- pape de réglage de pression 486 commandée à la main et un manomètre 488 de tout type connu approprié, ce qui permet de régler la tension de la bande à toute valeur désirée. Le tiroir 482 se déplace entre une position de repos (position représentée) laissant pénétrer la pression dans le fond du cylindre opposé à la culasse en laissant le côté culasse ouvert à l'atmosphère et une position de travail pour laquelle la pression est admise dans le côté culasse du cylindre 340 pendant que le compartiment opposé est ouvert à l'atmosphère.
Le cylindre 302 commandant le galet fou est relié par ses deux extrémités à des conduits 487 et 489 aboutissant à un tiroir à quatre voies 490 commandé manuellement. Ce tiroir sert à faire communiquer la culasse du cylindre 302 avec l'atmosphère en appliquant la pression à l'extrémité opposée du cylindre (position représentée) pour appliquer le galet fou contre la bande enroulée, ou inversement, à appliquer la pression et à ouvrir à l'atmo- sphère les extrémités du cylindre de la manière opposée pour écarter le galet de la bande enroulée.
Le cylindre 426 commandant la goulotte de guidage de la bande est relié par ses deux extrémités à des conduits correspondants 492 et 494 aboutissant à deux entrées d'un tiroir 496 à quatre voies commandé à la main. Ce tiroir reçoit la pression provenant de la canalisation 460 par l'intermédiaire d'non conduit 498. Ce tiroir 496 sert à appliquer la pression à la culasse du cylindre et à ouvrir l'extr6- mité opposée du cylindre à l'atmosphère pour fermer la goulotte (position représentée) ou à assurer les connexions opposées pour ouvrir ladite goulotte.
La fig. 17 est le schéma-des connexions électriques; une source d'énergie électrique est intercalée entre la terre et une borne 500, qu'un conducteur 502 relie à un solénoïde 504 commandant le tiroir 472 relié au cylindre de fixation du côté opposé à la culasse. Un interrupteur 506 normalement ouvert et commandé par un relais 510 est intercalé dans le conducteur 502 entre la source et le solénoïde 504. Un conducteur 508, branché en dérivation sur l'interrupteur 506, fournit le courant au solénoïde du relais 510. Du côté 512 du solénoïde 510 relié à la source est prévu dans la dérivation 508 un interrupteur de mise en route 514 normalement ouvert et commandé à la main.
Du côté opposé 515 du solénoïde 510 est intercalé dans la même dérivation 508 un interrupteur 516 normalement fermé et commandé par un relais 584, ainsi qu'un interrupteur d'arrêt 518 normalement fermé et commandé à la main. Ainsi, lorsqu'on ferme l'interrupteur de mise en route, ceci excite le solénoïde 510 qui ferme l'interrupteur 506.
Lorsqu'on libère l'interrupteur de mise en route, le solénoïde 510 demeure excité par le courant passant dans la partie 515 de la dérivation 508, l'interrupteur d'arrêt 518 et l'interrupteur 516. Ainsi, le courant continue à passer dans le solénoïde 504, de manière à actionner le tiroir 472 qui fait communiquer avec l'atmosphère le fond du cylindre de fixation traversé par la tige du piston. De même, la borne 520 d'alimentation du moteur 290 est reliée au conducteur 502 par l'intermédiaire d'un interrupteur 280 commandant l'avance ment de la bande, cet interrupteur étant dans sa position normale, de telle sorte que le moteur peut entraîner le mécanisme d'avance ment de la bande métallique.
Lorsque l'extrémité libre de la bande vient passer autour du paquet et frapper le doigt de commande 242 de l'avancement de la bande, l'interrupteur 280 est commandé et ouvre le circuit aboutissant à la borne 520 ali- mentant le moteur 290; par ce même mouvement, l'interrupteur 280 ferme le circuit pas sant par la borne commune 522 2 reliée aux conducteurs 524 et 526. Le conducteur 526 aboutit au solénoïde commandant le tiroir. 464 commandant lui-même l'alimentation du cylindre de serrage et ce même conducteur 526 alimente par l'intermédiaire d'un interrupteur 528, normalement fermé et commandé par le solénoïde d'un relais de maintien 530, la borne 532 du moteur 2
Les interrupteurs 544 et 552 sont branchés en parallèle sur le conducteur 524. Les pôles opposés de ces interrupteurs sont reliés en parallèle au conducteur 554 qui est également relié aux interrupteurs 546 et 548 et au solénoïde 550. Les autres bornes de l'interrupteur 546 et de l'interrupteur 548 ont reliées respectivement au solénoïde du tiroir 482 servant à la mise sous tension de la bande et au conducteur 556 aboutissant à un circuit qui sera décrit ci-après.
Lorsque l'interrupteur 534 est fermé à la suite du retrait d'une longueur excédentaire de bande, il passe du courant dans le conducteur 536 et dans l'interrupteur 538 pour exciter le solénoïde 540. Ceci ferme les interrupteurs 544 et 546 et ouvre l'interrupteur 548.
Le courant passe ainsi dans le conducteur 524, l'interrupteur 544 et le conducteur 554 pour exciter le solénoïde 550 et ouvrir par suite les interrupteurs 528 et 538 et fermer l'interrupteur 552. L'interrupteur 538 étant ouvert, le courant passant dans le solénoïde 540 est coupé et ce solénoïde n'étant plus excité laisse l'interrupteur 544 revenir dans sa position d'ouverture. Les interrupteurs 546 et 548 restent respectivement dans leur position de fer- meture et d'ouverture en raison de leur retard.
L'interrupteur 552 étant formé, le solénoïde 550 continue à être alimenté par le conducteur 524, ledit interrupteur 552 et le conducteur 554. L'interrupteur 528 étant ouvert, le moteur s'arrête. Etant donné que le relais 530 est excité sous l'action de l'interrupteur 552, il est évident qu'il reste excité jusqu'à la fin du cycle de fonctionnement, c'est-à-dire jusqu'à l'ouverture de l'interrupteur 280.
Tant que le relais 542 est dans sa position de retardement, le tiroir 482 de mise sous tension de la bande est excité par le conducteur 524, l'interrupteur 552, le conducteur 554 et l'interrupteur 546 pour assurer la mise sous tension finale de la bande métallique autour du paquet. Le conducteur 556 est coupé à la suite de l'ouverture de l'interrupteur 548. A la fin de la période de retard, l'interrupteur 546 s'ouvre et l'interrupteur 548 se ferme en supprimant l'excitation du tiroir 482 assurant la tension de la bande, ie circuit aboutissant au conducteur 556 se fermant également à ce moment.
Le conducteur 556 aboutit à l'une des bornes d'non interrupteur 558 faisant partie d'un relais 560 dont le solénoïde 562 commande également des interrupteurs 558 et 564, l'interrupteur 558 étant normalement fermé et l'interrupteur 564 normalement ouvert. L'autre borne de l'interrupteur 558 est reliée au solénoïde 566 d'un relais à retardement 568 par un conducteur 570. Ce solénoïde du relais à retardement commande des interrupteurs 572, 574 et 576. Les interrupteurs 574 et 576 sont normalement ouverts et l'interrupteur 572 est normalement fermé. Les interrupteurs 572 et 574 reviennent dans leur position normale avec retard lorsque le relais correspondant cesse d'être excité, comme expliqué dans le cas du relais 542.
Les interrupteurs 572, 574; 576 et 564 ainsi que le solénoïde 562 sont reliés par une de leurs bornes à un conducteur 578. L'autre borne de l'interrupteur 572 est reliée à un conducteur 580 aboutissant à un solénoïde 582 du relais 584. L'autre borne de l'interrupteur 574 est reliée à un solénoïde commandant le tiroir 468 et les autres bornes des interrup- tours 564 et 576 sont reliées au condnc- teur 556.
Après fermeture de l'interrupteur 548, le courant passe dans les conducteurs 556 et 570 et par l'interrupteur 558 qui est fermé, de manière à exciter le solénoïde 566. Celui-ci ferme les interrupteurs 574 et 576 et ouvre l'interrupteur 572. La fermeture de l'interrupteur 574 alimente le solénoïde commandant le tiroir 468 de manière que ce dernier laisse pénétrer le fluide sous pression dans la culasse du cylindre 52 de fixation des attaches. La fermeture de l'interrupteur 576 fait passer du courant par le conducteur 578 vers le solénoïde 562 qui ouvre l'interrupteur 558 et ferme l'interrupteur 564. L'ouverture de l'interrupteur 558 fait cesser l'excitation du solénoïde 566 et ouvre, par suite, l'interrupteur 576.
Le solénoïde 562 continue à être excité par l'intermédiaire de l'interrupteur 564 et les interrup- teurs 572 et 574 demeurent respectivement ouvert et fermé jusqu'à la fin de la période de retard. Ils reprennent ensuite leur position normale de repos qui ramène le tiroir 468 dans sa position pour laquelle il fait commu- niquer le cylindre de fixation des attaches avec l'atmosphère, tandis que le circuit passant par l'interrupteur 572, maintenant fermé, assure l'excitation du solénoïde 582 qui ouvre l'interrupteur 516.
(: Ceci fait cesser l'excitation du solénoïde 510, ce qui ouvre le circuit en 506 et termine le cycle de fonetionnement. Les relais 530 et 560 cessent d'être excités et reviennent dans leur position normale et l'interrupteur 280 commandant l'avancement de la bande revient dans sa position normale au contact de la borne d'alimentation du moteur, après la ' finition du cerclage et l'évacuation du paquet. En même temps, la pression est admise à nouveau dans l'extrémité du cylindre de fixation 52 entourant la tige de piston 96, de telle sorte que l'ensemble des mâchoires est ramené dans sa position en retrait.
Le fluide sous pression traverse en même temps ce cylindre 52 pour aboutir à la partie du cylindre 25 de mise en place du chariot entourant la tige de piston correspondante, ce qui écarte à nouveau le chariot du trajet du transporteur.
La machine décrite est mise en place devant un dispositif transporteur, comme décrit ci-dessus, et on amène un paquet ou emballage à cereler à l'intérieur de la boucle formée dans le dispositif 48 servant au cerclage. Si le paquet est de forme annulaire et constitué, par exemple, par un enroulement de bande d'acier. on fait fonctionner le tiroir 496 pour faire basculer la goulotte 370 et permettre la mise en place du paquet avec son axe dans le plan du trajet de la bande. On ramène ensuite le tiroir 496 dans la direction opposée pour fer- mer la goulotte 370 qui passe dans l'ouverture centrale du paquet. Avant de commencer les opérations de fermeture, on met en place une attache devant les mâchoires de pliage et les emporte-pièces en se servant du doigt 140 de l'éjecteur 134.
De plus, l'extrémité du cylindre de fixation 52 dans laquelle passe la tige de piston est soumise à la pression et, par suite, maintient les mâchoires dans leur position effacée et, grâce à la communication 476 entre le cylindre de fixation 52 et le cylindre 25 de mise en place du chariot 20, ce dernier sera de même écarté du transporteur. Le cylindre 340 de mise sous tension est sous pression à l'extrémité correspondant à la tige de piston de manière à maintenir la béquille 332 dans sa position effacée.
En enfonçant le bouton de mise en marche, la partie du cylindre de fixation 52 entourant la tige de piston communique avec l'atmosphère par l'intermédiare du tiroir 472, ce qui fait avan cer le chariot vers le transporteur, tandis que le moteur fait tourner la bobine 41 pour faire passer la bande vers le haut en passant par le guide 44 de la bande et par le passage 320 ménagé derrière la lanne fixe 234.
Les mi- choires étant en position de retrait, la bande continue sbn mouvement ascendant bien en avant de ces mâchoires et due l'attache en suivant le trajet représenté en 154 entre les plaques 150 jusqu'à ce qu'elle atteigne la gou- lotte 370; le cylindre 46 commandant cette goulotte 370 sert non seulement à assurer une commande plus facile de celle-ci, mais encore à la maintenir pour empêcher tout soulèvement lorsque la bande en déplacement vient la frapper. La bande suit donc la goulotte 370 et passe devant le pivot 420 pour pénétrer dans l'auge 372 entourant le paquet.
La bande continue à se déplacer sous l'interrupteur 408 de mise sons tension et les chapes 386 pour aboutir finalement à l'extérieur de la lame fixe 234 où elle vient se placer dans l'encoche 244 à l'extrémité du doigt 242 commandant l'entraînement de la bande.
Le doigt 242 est entraîné vers le haut jusqu'à ce que la pièce 274 vienne commander l'interrupteur 280 commandant 1 'avancement de la bande. A ce moment, le moteur est in- versé et le tiroir 464 est déplacé pour laisser pénétrer l'air dans la culasse du cylindre de serrage 50. Le piston 58 repousse la tige de piston 96 vers l'avant jusqu'à ce que l'épaulement 76 vienne frapper la tête 70 du boulon de butée 68, ce qui fait d'abord avancer les mâchoires et ensuite fait pivoter les mâchoires de pliage 166, de telle manière que les encoches 176 ménagées dans les extrémités de ces dernières viennent en prise avec les bords des côtés 225 de l'attache. Ces bords sont ainsi recourbés vers l'intérieur pour entourer, sans les saisir, à la fois la partie courante et l'extrémité de la bande à l'intérieur de l'attache.
Ce même déplacement des mâchoires amène les surfaces moletées 178 des surfaces terminales 170 des mâchoires de saisie en avant de la partie courante de la bande pour lui permettre son libre recul en même temps que les mâchoires exécutent un mouvement vers l'intérieur pour saisir l'extrémité libre de la bande.
En même temps, le mouvement vers l'avant de la tige-poussoir 96 fait pivoter les bras 120 d'entraînement de l'attache pour les soii- lover et soulever ainsi l'éjecteur 134 qui prend une attache nouvelle. Le mouvement vers l'avant de la tige-poussoir 96 obtenu par la pression exercée sur le piston 58 amène également le piston 64 du cylindre de fixation à avancer de telle sorte que, lorsque la pression est finalement appliquée derrière le piston 64, ce dernier produira le déplacement des mâ- choires et emporte-pièces assurant la fixation de l'attache en même temps que le couteau 1.72 exécutera son mouvement de coupe.
Le moteur continue à faire revenir la bande en arrière pour absorber à peu près tout le mou, la pression exercée sur le bras 404 de l'interrupteur étant suffisante pour qu'il ne laisse pas passer la bande avant que ce mou ait disparu. Lorsque le bras 404 a fait sortir la bande de l'auge 372, l'interrupteur de tension est actionné. Ceci arrête le moteur et agit sur le tiroir 482 servant à la mise sous tension de manière à faire communiquer l'atmosphère avec la partie du cylindre 340 opposée à la culasse, cette culasse étant au contraire soumise à la pression pour faire avancer la tige de piston 338. A mesure que cette tige sort du cylindre, la béquille 332 commence d'abord à tourner et à saisir la bride annulaire 296 et fait tourner ensuite la bobine 41 pour la mise sous tension définitive.
La durée de cette mise sous tension est déterminée par le relais 542, et le degré de tension obtenu est réglé par la soupape 486. Si la bande était accrochée par un coin de l'emballage et empêchait tout retour supplémentaire en arrière sous l'action de la bobine entraînée par la béquille, la bobine se trouverait bloquée par rapport à ce point. La béquille étant ainsi immobilisée à son extrémité inférieure, le cylindre 340 se déplacera vers le haut de manière à faire pivoter le dispositif de serrage et de fixation 38 autour du pivot 88, ce qui soumet la bande à- une tension sur le côté libre par rapport au coin de l'emballage qui a ainsi immobilisé la béquille.
A la fin de la durée de mise sous tension, le fluide sous pression est admis dans la culasse de fixation 52 pour faire avancer la tige-poussoir 96 sur une distance complémentaire afin d'échancrer l'attache et de cisailler la bande placée audessous de celle-ci. En même temps, le tiroir 482 servant à assurer la tension de la bande cesse d'être en position de travail et laisse revenir en arrière la béquille 332. Le relais à retardement 568 règle la durée d'admission de pression dans la culasse du cylindre de fixation 52.
A - la fin de cette durée d'admission, le tiroir 468 revient dans sa position de mise en communication avec l'atmosphère du cylindre correspondant, et l'interrupteur 516 s'ouvre en supprimant l'excitation de son circuit. Le fluide sous pression est alors admis dans l'extrémité du cylindre de fixation 52 entourant la tige de piston de façon à ramener les deux pistons à leur position de départ en dégageant les mâchoires par rapport à l'attache et à la bande et à effacer lesdites machoires. Le mouvement vers l'arrière de la tige-poussoir 96 sert à abaisser l'éjecteur 134 portant une attache et à l'amener devant les mâchoires en vue de la préparation du cycle de fonctionnement suivant.
La pression est également appliquée par l'extrémité du cylindre de fixation entourant sa tige de piston dans l'extrémité du cylindre 25 de mise en place du chariot entourant la tige de piston correspondante, de manière à écarter le chariot du transporteur.
Tying machine.
The present invention relates to a ligating machine for strapping bundles by means of a metal strip, with fixing of the overlapping parts of the strip. This machine comprises a housing for storing a supply of a long length of tape, means for guiding the tape from this supply in a closed circuit surrounding the package to bring the free end of the tape over a portion current of said strip, so as to form a loop surrounding said package and a fastening device intended to form a seal on the parts of the strip which overlap.
According to the invention, the machine is characterized in that it comprises a mechanism intended to cause the advancement and withdrawal of the strip in a determined direction, and a device gripping the strip and actuated by the free end thereof. hereafter strapping the packet, this device cooperating with the advancement and withdrawal mechanism to absorb the mon of the loop formed by the band and stretch the band around the circled object at different times, by treating the end free of the strip in a given direction, while said advancement and retraction menanism drives in the opposite direction the running part of the strip covering said end.
The appended drawing represents, by way of example, an embodiment of the machine which is the subject of the invention.
Fig. 1 is a view from above of the machine.
Fig. 2 is an elevation of the machine shown in FIG. 1.
Fig. 3 is a sectional view taken along line 3-3 of FIG. 1.
The a fig. 4 is a sectional view taken along line 4-4 of FIG. 3.
Fig. 5 is an end elevational view of part of the machine.
Fig. 6 is a perspective view of a detail.
Fig. 7 is a vlle of a set of parts detached from part of the machine.
Fig. 8 is a sectional view, on a larger scale, taken along line 8-8 of FIG. 5.
Fig. 9 is a sectional view taken along line 9-9 of FIG. 8.
Fig. 10 is a side elevational view, on a larger scale, of further details of the machine.
Fig. 11 is an elevational view, on a larger scale, of another detail.
Fig. 12 is an elevational view, partially in section, of the detail of FIG. 11, seen from line 12-12 thereof.
Fig. 13 is an elevation view, on a larger scale, of another detail of the machine, partially cut away to show certain construction details.
Fig. 14 is a sectional view taken along line 14-14 of FIG. 13.
The a fig. 15 is a plan view over another detail.
Fig. 16 schematically represents the whole of the machine and, one partieulier, its pneumatic device.
Fig. 17 is a diagram of the electrical circuits.
Fig. 18 is a perspective view of the ends of the strip in the overlapped position, as well as of a clip intended for their fixing.
Fig. 19 is a perspective view of the finished fastening of the ends of the strip.
The machine shown in the drawing comprises a carriage 20, comprising a rectangular upper plate, mounted on four feet 21 placed at the corners of the plate (FIG. 2).
When you want to mount the machine at the exit of a conveyor of bundles to be ligated, and more particularly when these bundles to be ligated are very heavy, the feet of the carriage are mounted on wheels 22, resting and running on rails 24. These rails are directed perpendicular to the direction of advance of the conveyor, so that the carriage can be brought into the immediate vicinity of this conveyor or be moved away from it.
A positioning device (fig. 15) can be used to ensure this movement of the carriage, this device comprising an air cylinder 25, one end of which is secured to a fixed transverse bar 26, while the rod of a piston 32, moving in this cylinder, is integral with an upright 28 integral with the carriage 20, a coil spring 29 connecting this transverse bar 26 to this upright 28. When a pressurized fluid is introduced into the end 31 of the cylinder, the piston 32 advances the carriage through the upright 28 against the action of the spring 29. When the fluid pressure ceases to be exerted on the piston, the spring 29 returns the carriage in its starting position.
The spring 29 can be omitted in cases where it is possible to admit the pressurized fluid into the end 34 of the cylinder around the piston rod, so as to be able to use a single pressurized fluid for the movement of the carriage in the both directions.
The control of this device for positioning the carriage can form part of the set of controls for the machine, so as to operate at the desired time with respect to the other members, as will be described below. A package support 35, preferably constituted by a roller conveyor of the type shown in FIGS. 1 and 2, present the bundle to be ligated in the position allowing its strapping in front of the carriage 20.
The other main parts of the machine comprise a clamping and closing device 37, mounted by means of a pivot on the upper plate of the carriage and of which a vertical face 39 is placed opposite the inner edge of the conveyor intended to carry. the bundle to be ligated, a device delivering the metal strip 40 disposed below the upper plate of the trolley and comprising a reel 41, an idle roller 42 preventing the slipping of the strip and a guide 44 for the strip (fig.
3), the machine further comprising a device 46 for tensioning the band, connecting the reel 41 to the clamping and closing device 37, and serving to tension the band around the package, a strapping device for the package 48 penetrating into part in the conveyor 35, and emerging from the outer edge of the latter along a curved line to come to rest on the clamping and closing device, and finally a pneumatic control device (fig. 16) and an electric control circuit (fig. . 17).
The clamping and closing device will now be described in more detail with particular reference to FIGS. 1 to 5. This device comprises a clamping cylinder 50, a closing cylinder 52 and a jaw casing 56, these various elements being integral with one another. The clamping cylinder forms the rear element of this device and contains a piston 58, the rod 60 of which passes through the front wall 62 of the cylinder 50 and abuts against the rod 96 of the closing cylinder 52. A fluid inlet pipe under pressure is mounted at 66 in the rear wall 67 of the clamping cylinder.
An adjustable stopper, consisting of a bolt 68, with a head 70, penetrates along its axis into the rear wall of the clamping cylinder and is housed in a bore 72, formed in the piston rod 60 and its piston 58. This bore has a part 74, of larger diameter in the vicinity of its front end, so that the head 70 of the bolt can abut against the shoulder formed by the rear end of this widened part while limiting the stroke of the piston 58 towards the outside.
This stop can be adjusted by acting on the threaded part 78 of the bolt which projects beyond the rear wall of the cylinder and which carries a clamping nut 79. The head of the bolt can thus be placed at any desired point relative to the cylinder. the rear wall 67 of the cylinder. This rear wall 67 of the cylinder 50 has two parallel outer ears 80, comprising openings 82 facing one another.
Two parallel flanges 84, mounted on the upper part of the plate of the carriage, have openings 86 facing each other which may come opposite the openings 82 of the ears 80 and, in this position, an ankle 88 can succeed. the ears 80 and the flanges 84 of the carriage, passing through said openings 82 and 84, as seen in FIG. 1, which provides a pivot connection between the plate of the carriage and the clamping and fixing device. The front wall of the clamping cylinder has openings 90 which pass through said wall and communicate the clamping cylinder with the closing cylinder.
The closing cylinder 52 has a diameter substantially larger than that of the clamping cylinder and part of its rear wall 92 forms, at the same time, the front wall 62 of the clamping cylinder 50. The piston 64 of the locking cylinder carries a piston rod 96 forming a push rod, passing through the front wall 98 of the cylinder and penetrating into the jaw housing 56. The closing cylinder 52 also comprises an adjustable device for limiting the forward movement of the piston 64, this device comprising a series of stops 100 screwed in an adjustable manner into threaded openings made in the front wall 98 of the closing cylinder, these stops penetrating a desired distance determined in advance into the cylinder 52.
Pressurized fluid supply pipes 102 and 104 are screwed respectively into the front wall 98 and into the part of the rear wall 92 of the closing cylinder located outside the clamping cylinder 50.
The jaw housing 56 comprises three main assemblies, namely the jaws designated as a whole by the reference 106, the feed mechanism of the clips 108 and the mechanism for controlling the advancement of the strip, shown in detail in FIGS. 5, 8 and 9. The fastener feed mechanism 108 (Fig. 6) comprises a rectangular block 110 extending substantially the entire length of the housing and having a longitudinal channel 112. This channel forms the magazine for clips in which a stack of clips 114 is placed.
These fasteners are preferably of the type comprising, once in place in the joint, tabs cut and curved along their edges, as will be described below in more detail. A pusher 116, controlled by a spring 118, is placed in the clip magazine 112 and serves to push the clips towards the front end of the latter. A horizontal groove 119 is formed along one side of the magazine channel 112 to receive a corresponding rib of the pusher, which allows the pusher to be held in place in the magazine. Two attachment ejector arms 120 are arranged on either side of the rectangular block 110 and are articulated by their rear ends on this block by means of bolts 122 passing through openings made in these arms 120 to be screwed into said block. 110.
Legs 124, projecting downwardly from the rear portion of arms 120, extend below the block.
These legs have openings 126 carrying a rod 128 extending horizontally below the block. The front ends of the arms 120 carry links 130 which are secured to them by bolts 131 forming pivots. The upper ends of the links are joined to one another by a rod 132 carrying in its middle part a slide 134 serving to eject the fasteners. This slide is formed by a parallelepipedal part having a transverse opening 136 at its upper part to receive said rod 132, while guide grooves 138 are formed along its vertical lateral faces.
A finger 140 is mounted on the slider 134 by the intermediary of its pin 142 transversely crossing the upper part of the finger, so that this finger, directed downwards, penetrates through its upper part into a notch or slot. 141 provided in the lower part of the slider 134. A compression spring 144, housed between the finger and the slider in front of the point of articulation defined by the pin 142 and acting downwards, pushes the lower end of the finger towards the inside the fastener magazine (see also fig. 3).
The inner surface of this finger is set back from the plane of the inner surface of the slide, so as to be in front of the latter, so that the lower edge of the ejector forms a protruding part 147, capable of pushing back the sliders. clips from their magazine 112 towards the jaws during the downward movement of the ejector, the finger 140 serving to keep the clips during movement in contact with the front wall of the magazine, so that the clips cannot fall freely. Trays 150 are secured to the magazine block 110 by bolts 152.
The spacing of these two plates, only one of which is shown, determines the wise pitch 154 made for the fasteners; vertical ribs 156 are provided on the inner face of these plates and cooperate with the guide grooves 138 of the ejector slide to guide the latter.
The rod 128 connecting the lugs 124 of the arms 120 of the ejector is normally engaged in a notch 158 of the pusher 96 (FIG. 3). A small piece of hardened steel 160 is fixed in the rear part of this notch and forms a support for the rod 128.
Tension springs 149 (FIG. 6) are anchored to the rear end of the block 110 forming a magazine by means of lugs 151 and they are anchored, on the other hand, to the lugs 124 by lugs 153 arranged on the other side. below the bolts 122, these springs thus tend to move the front ends of the arms 120 downwards. The magazine block 110 is fixed by bolts to a support 157 integral with the jaw housing 56. A large diameter pin 159 for the positioning of the block 110 is placed at the bottom of the block 110 and penetrates a corresponding hole 161 made in the block 110. the support 157 (fig. 3). It will be noted that only the rear part of the bottom of the block rests on this support 157, while the front part forms an upper wall for the jaw device.
The support 157 extends longitudinally in the jaw casing 56 and comprises three vertical walls 163 having openings 165 through which the pusher 96 passes. The front horizontal part of the support 157 forms a bearing surface 167 for the jaw device.
As a result, as the pusher 96 advances relative to the clip magazine, the misfit 160 forces the rod 128 to advance, which rotates the forward ends of the arms 120 against the action of the springs 149 towards up to a position for which the inside face of the finger 140 is opposite the first fastener in the magazine 112, the protruding part 147 of the slide being a little above. Then, when the pusher 96 moves back relative to the magazine and thus allows the front ends of the arms 120 to descend under the pressure of the springs, the protruding upper edge 147 of the ejector slide 134 pushes the fastener back to the forward pin to lower it. and come between the jaws.
The jaw housing 56 is split horizontally above the fastener feeder to form a cover 162 hinged at 164, as shown in FIGS. 1 and 2, which allows free access to the store when it is desired to reload it with clips. A cleat 165 (FIG. 6) is fixed by its ends to the parts of the block 110 arranged on either side of the channel 112 containing the fasteners, in the vicinity of the front part of this channel serving for the evacuation of the fasteners, this a latch serving to prevent the upward retracting movement of the ejector slide 134 from pushing the clips out of the magazine channel.
The push rod 96 is connected by its front end to the jaws 106. These jaws include, as can be seen more particularly in FIG. 7, first of all the three pairs of jaws 166 intended to bend the fasteners, cookie cutters 168 being provided between these pairs of jaws; Below these pieces for bending and scoring the fasteners is mounted an anvil 169 extending vertically in this assembly, and a pair of jaws 170 are provided for creases which engage the edges of the strip as well as. a knife 172. The jaws of. folding 166 of the fasteners are opposed in pairs and symmetrical in shape with respect to each other; this shape is oval with a hook-shaped portion 174 facing forward and inward from the outer edge of the jaw.
These hooks are terminated by notches 176 intended to grip the edges of the tabs of the fasteners. The gripping jaws 170 are constructed in a similar fashion to the previous ones, except that the end hooks 177 are terminated by knurled vertical surfaces serving to grip the edges of the metal strip 179
(fig. 18). Each cookie cutter 168 has the shape of a rectangular plate in which is formed a deep notch 180 allowing the anvil to pass along the edge of the cookie cutter.
The outer edges of the notch are chamfered so as to form surfaces 182 coming to bear against the edges of the assembly constituted by the fastener folded over the strip and held by the folding jaws, the punch thus being able to notch. the edges of the fastener at points arranged between the two folding jaws when the coin holder is spread outwards. The anvil 169 is a part whose cross section is roughly triangular, the top of this straight section being directed rearwardly and this in volume further comprising mounting tabs 171, directed laterally and outwardly to from the lower edge of the anvil.
The anvil is directed upwards and passes through the assembly of the folding jaws and the punchers by being lodged in the rear part of the notch 180 of the punchers and passing between the folding jaws. This anvil plays a dual role: it constitutes the surface against which the ejector finger 140 holds the fastener until the edges of the latter are in engagement with the notches 176 of the folding jaws and it also constitutes the surface against. which the fastener is folded back by the jaws. The anvil also carries a pin 191 serving to guide the knife 172, this pin being forced into an opening made in the bottom of the anvil, this pin being shown in FIG. 7 exit from this opening.
The jaws are mounted by means of five pins arranged substantially in a V, and coming to be housed in openings made in the different parts, while spring-rods 184 provide the intermediate connections. The front pair of pins 186 vertically pass through front openings 188 in the folding jaws, in the tabs of the anvil and in the jaws gripping the edges of the strip and they also pass through the openings 190 of the cookie cutters. The pins are frictionally mounted in the openings 188, while the openings 190 are formed by longitudinal slots allowing the forward and backward movement of the cookie cutters relative to the pins.
The knife is disposed immediately below the jaws gripping the edges of the strip and between the pins 186, and has an oblong Turkish opening 189 for receiving the aforementioned pin 191 for guiding the movement of the knife towards the blade. forward and backward; thus the knife and the cookie cutters can move longitudinally, independently of the front pins.
The intermediate pins 192 pass through the rear openings made at 194 and 196 respectively in the folding jaws 166 and in the jaws 170 gripping the web. The intermediate pins are frictionally mounted in the openings 194, while the openings 196 are larger so as to allow movement of the knurled surfaces of the gripping jaws towards each other, while avoiding excessive compression or crushing. edges of the tape. Account is taken of the play of the intermediate pins with respect to the cookie cutters by means of large rectangular openings 198 allowing free movement of the rod, both forwards and in the transverse direction. The knife 172 is also disposed between the pins 192 and its movements are not hampered by the latter.
The links 184, approximately U-shaped, as shown, have openings at their ends, in which the intermediate pins 192 are frictionally mounted. Stops 200 are formed by the inner end of each arm of the link, so as to close almost completely the curve drawn by the link. Thus, there is a certain elasticity for said links 184. It can be said that each link has the shape of a radially split ring and having, on either side of the cast iron, an opening in the body of the ring. .
The rods are arranged in pairs and the two rods of each pair are obtained by reversing one another of identical parts, each element of the pair being mounted on the corresponding intermediate pin 192 and on a rear pin 202, so as to connect the intermediate pins 192 to this rear pin. As shown, a pair of links 184 is provided at the upper part of the device and another pair at the lower part, the upper pair being disposed above the upper folding jaws, while the lower pair is disposed in a lower part. recess 203 formed on the upper surface of the rear part of the jaws 170 intended to grip the strip.
The rear spindle 202 passes through slots 204 in the cookie cutters and in the knife, without touching the folding jaws or the gripping jaws, because it is placed behind and between these pieces. The ends of the rear pin are mounted in bores 206 of the arms 208 of the stem 210 serving to secure the assembly of the jaws - at the front end of the push rod 96 (Fig. 3). This fixing is provided by means of an opening 212 formed in the stem for the passage of the push rod, a locking screw 214 passing through an opening made in a front part 215 of reduced diameter of the push rod.
A hardened steel support plate 216, intended to absorb at least part of the thrust exerted by the push rod 96, is fixed to the front face of the stem by bolts 218 screwed into threaded openings 220 (fig. 7). ).
If we refer further to fig. 8, it can be seen that the various jaws start, during the operation of the machine, from a position set back behind the front plates 160 (fig. 3) and the side walls of the casing to first come into the folding position. fasteners and web grabber, and then occupy the close and cut position to finally return to the retracted starting position The front spindle 186 and the intermediate spindles 192 protrude above and below all of the jaws and of the knife and their projecting ends are guided in the bottom of the block serving as a fastener store and in the bottom 167 of the jaw housing.
The first of these guides, which are moreover almost identical, corresponding to the bottom of the magazine unit, consists of longitudinal slots 224 arranged parallel to the direction of movement of the pins and receiving the lower and upper ends of the front pins. 186, these slots terminating in shoulders 226 at the front to limit the forward movement of the pins 186.
In the retracted position of the jaw assembly, the intermediate pins 192 are slightly outside the leagues connecting the rear pin 202 to the front pins 186, so that when the jaw assembly advances with the rear pin 202, to bring the front pins into contact with the shoulders 226 of the guide grooves 224, the intermediate pins 192 will move forward under the action of a component of the forces directed outwards.
The second guide, formed in the bottom 167, is intended to control the movement of the intermediate pins and comprises rectangular blocks 228 forming part of the bottom of the magazine unit and of the bottom of the jaw housing, these blocks 228 being placed outside the jaws. intermediate pins and serving as a stopper at the projecting ends of said intermediate pins 192 to limit their outward displacement, and thus prevent premature operation of the jaws as long as these jaws have not come into their operating position. The length of the edges of the guide blocks in the front-to-back direction is approximately equal to the length of the slots 224, so that as the jaw assembly advances the front pins reach the shoulders 226 and the intermediate hooks. reach the ends of the blocks at about the same time.
Thus, the intermediate pins passing in front of the edges of the blocks 228 as the front pins reach the shoulders 226 are now free to move laterally outward as the push rod 96 continues to move.
The jaws being arranged as indicated, the guide slots 224 and the guide blocks 228 serve to guide, during the operation of the machine, the whole of the positive device towards the front integrally, without any relative movement between the different elements. , until the pins 186 have reached the shoulders 226. At this time, the device occupies a position in which the metal strip is behind and between the hooks 174 of the folding jaws 166, while the edges of the sides of the fasteners 225 are in the vicinity of the corresponding notches 176, that the cookie cutters are placed in front of the windows 231 formed in the fasteners and finally that the folding jaws are spread apart to grip the edges of the fastener between the windows.
These windows 231 are intended (Fig. 18) to provide clearance to receive the tabs 235 formed by the cookie cutters by shearing the entire fastener mounted on the strip, these tabs thus penetrating into the windows forming a surface. smooth to the underside of the joint securing the two ends of the strip.
When the front pins reach the shoulders 226 at the end of the slots 224, the intermediate pins 192 continue to forward outward and rotate the gripping and bending jaws around the front pins, these jaws moving inward. 'inside to play their role which consists, on the one hand, in bending the edges 225 of the clip and, on the other hand, in grasping the band 179. The rear face of the clip rests on the anvil 169 which prevents it from giving way back. At the same time, the cookie cutters and the knife move a limited length to a point near the strip 179 and the clip 114 without touching them.
In this clamping or fixing position, the rear pin 202 is advanced until it is just behind the transverse line defined by the intermediate pins 192; the stem 210 (or the support plate 216, if applicable) is then brought into contact with the rear edges of the punches and of the knife.
While attaching the clip, the rear pin is brought to approximately a neutral position slightly forward of the cross line defined by. the intermediate pins 192; this movement has no appreciable action on the folding jaws or on the gripping jaws, the rear spindle moving on a very short path extending on either side of the line connecting the intermediate spindles . However, the cookie cutters and knife are pushed forward by the stem or by the backing plate 216, so as to score the clip and cut the tape. During the retreat movement, push rod 96 drives rear spindle 202 with it.
As a result, the intermediate pins 192 move inward, since any rearward movement is prevented by the front surfaces 229 of the blocks 228. This results in opening of the gripping and folding jaws. When the intermediate pins have cleared the front surfaces of the guide blocks 228, the jaw assembly moves rearward in no single motion disengaging the cookie cutters and knife.
However, during the forward movement of the push rod, the ejector 134 will have been raised above the magazine 112, which allows the introduction of a fastener on the path of this ejector slider, while at the end of the subsequent rearward movement of the push rod, the ejector is returned downward by the springs 149 to bring a new clip into place between the jaws.
The advantage of the particular type of elastic link 184 used in the machine consists in allowing adaptation to variable dimensions of fasteners or bands by virtue of the small clearance provided by the opening formed between the ends of the link. One of the intermediate pins 192 also carries a cam 232 controlling the advancement of the strip and projecting outwardly; this cam moves with the upper folding jaw, to which it is connected by an eccentric pin 233, the role of which will be explained later (fig. 7 and 8). The movable knife 172 cooperates with a block 234 farmant the fixed blade and constituted by a flat plate in the upper edge of which is formed a rectangular notch, the bottom of the notch acting in cooperation with the knife to ensure the shearing.
This fixed block is held by bolts 238 (fig. 5).
In fig. 8 and 9, it can be seen that the control of the switch stopping the advance of the metal strip mainly comprises a switch arm 240, of generally triangular shape, arranged between the side wall of the casing and all of the jaws.
The front end of the arm is formed by a finger 242 partially curving around the set of jaws and terminating in the path of the end of the strip rising inside a trough 372 described below with More details.
A notch 244 is provided on the lower surface of the end of the finger engaging the end of the strip rising in this trough. The arm 240 has, at its base, two parallel legs 246 having openings to receive a bolt 248.
These tabs are arranged at both ends of a cylindrical part 250 having an axial bore forming a passage for the bolt 248. An opening of greater diameter is formed radially in this cylindrical part 250 and meets the bore receiving the bonlon to which it is perpendicular, this second opening constituting a bearing surface for a pivot 252. This pivot 252 has a transverse bore in its part mounted in the opening of larger diameter to also receive the bolt 248. The three parts are thus attached to one another by a single bolt 248.
Note that the arm 240 can be pivoted by rotating a small angle in a horizontal plane around the bolt 248, so that the notch 244 can be brought to the right of one of the sides of the trough carrying the band. metallic. A groove 256 is formed in the arm 240 and extends forwardly thereof from the pivot. A flat spring 258, fixed by its end in the cylindrical part 250, is placed in the groove 256; this spring serves to push the arm 240 inwards to make it occupy its normal position in which this arm stops the end of the strip rising in its trough. This arrangement enables the notch 244 to be released from the strip after the latter has been gripped by the jaws 170.
When the intermediate pins 192 carrying the jaws move outwards, the cam 232 is applied against the inner face of the arm 240 which, due to its pivoting mounting, separates the indented finger 242 from the end of the strip. This prevents any damage to this finger when the jaws advance, while facilitating the removal of the package at the end of the strapping thereof.
A large hole 260 is made in the wall of the jaw casing to receive a pad 262 (FIG. 8) capable of rotating in this opening. Bushing 262 is held in place by a clamp ring 264 and bolts 266.
The pivot 252 is mounted in an opening 268 of the bearing eccentrically with respect to the axis thereof, and it is fixed there, for example, by a nut 270 which is screwed on the threaded end of the pivot and carrying a washer 271 By loosening the clamping ring, it is possible to rotate the eccentric bush 262 to move the arm 240 in a forward-backward direction, the notch 244 then being in a position to stop the end of the strip in. the best conditions. At the rear of the arm 240 of the switch is mounted a coil spring 272 (fig. 8) surrounding the pivot 252 and one end of which is engaged in an opening of the cylindrical part 250, while the other end is supported. on the housing so as to push the arm 240 of the switch downwards while rotating around the pivot.
The lower leg 246 of the arm 240 carries a part 274 controlling a switch 280 and fixed to this leg by the bolt 248.
The switch 280 fixed to the lower surface of the bottom 167 of the jaw housing carries a button 282 projecting on the path of this control part 274. When the strip exits the trough which contains it, its end engages with it. the notch 244 at the end of the arm 240; this rotates the arm around the pivot in a vertical plane and moves control piece 274 which lowers switch button 280.
A finger 284 which forms part of the arm 240 engages a lug 286 mounted on the adjoining arm 120 of the fastener advancement mechanism. This arrangement protects the mechanism in that if the web does not reach the notch 244 in the finger 242 of the arm 240 or leaves this notch too soon by dropping the arm 240, the lifting of the arm 120 of the advancement mechanism which occurs as a result of the advancement of the set of jaws controls the switch in the same way as would normally have been done by the belt itself (fig. 9).
We will now describe the tape advancement mechanism (fig. 2 and 10), this mechanism comprising a reel 41 driven by a reversible motor 290 (fig. 2) and carrying an outer cheek 292 fixed to the reel by tabs. 294 maneuverable by hand. An outwardly projecting coaxial annular flange 296 is mounted on the inner surface of the spool. The reel is placed opposite a idle roller 42. The roller 42 serves to prevent the turns of the wound strip from sliding over one another and from loosening during unwinding. The roller is constituted by a heavy disc passing over the strip carried by the coil between the wall thereof and the cheek 292. This roller is carried by a fork 298 on which it is mounted idle, this fork being articulated at 300 on the machine carriage.
A cylinder 302, subjected to pneumatic pressure, is articulated to a support 303 carried by one end of the carriage by means of a pin 304 (fig .: 10); the rod 305 of the piston of this cylinder 302 is connected by its projecting end to a lever 306 integral with the fork 298. The cylinder has pressurized fluid inlets at its two ends, which will be described below. When a pressurized fluid is applied to this cylinder, from my niece to retract the piston rod 305, the roller 42 is pushed against the strip under sufficient pressure to prevent any slipping of the strip which is thus driven mechanically.
On the other hand, when the direction of the pressure applied in the cylinder is reversed in order to push the piston rod 305 outwards, the idler roller 42 moves away from the coil and makes it possible to reload the latter by means of 'a new supply of metal tape.
After removal of the idle roller, the cheek can be removed from the spool by loosening the tabs 294, which allows a new supply of wound tape to be introduced on the hub of the spool. The cheek is then replaced on the hub and the pressurized fluid is again applied to the cylinder 302 to bring the piston rod back inside the cylinder, which again applies the roller against the strip. The hub 311 of the reel has slots 307 directed towards the rear and intended to receive the folded end 309 of the wound strip. When the wound tape has been placed on the spool, it loosely surrounds the hub thereof and the turns are not in immediate contact with each other.
The first contraction of the winding under the effect of the application of a tension force is however sufficient to tighten the turns against each other and on the hub, and the idle roller will keep the winding in this state. Clamping. The inner end of the guide 44 of the strip is suspended in the vicinity of the line of tangency between the idle roller and the spool; this guide 44 is articulated to the upper part of the carriage by means of a bolt 310 at a point disposed immediately below the casing of the jaws, so that the band rising in this guide will penetrate into said casing. The lower part of this guide comprises two plates 312 (fig. 10) which are thin enough to be able to penetrate between the cheek of the spool and the spool itself.
These plates 312 having an interval between them and are fixed, for example by welding, to the side plates constituting the walls 314, so as to form a channel 316 in which the metal strip line can pass. The walls 314 extend upwards to the point where they are articulated to the bolt 310. Guides 318 are fixed between these walls above the plates 312 to form an extension of the channel 316. The cylinder 302 of course maintains a constant pressure on the idle roller 42 to apply it to the strip wound on the reel, whatever the diameter of its winding, and whatever changes in this diameter.
The metal strip is guided between the guide which has just been described and the jaw casing by a passage 320 (fig. 3) closed on one side by a guide plate 322, fixed for example by bolts 324 on the bottom. of the housing 167, and on the other by the block 234 forming the fixed cutting blade.
Figs. 11 and 12 show the device for tensioning the strip where the annular flange 296 of the supply reel 41, which has been mentioned, rotates through a deep cut 330 made in the block 332 hereinafter called the crutch. The interior walls of the cutout 330 have protrusions 334, so that when the stand is disposed perpendicular to the part of the annular flange passing through the cutout, said flange can rotate freely in this cutout, while, if the leg crutch makes a different angle with respect to this part of the flange, the opposite faces of the flange 296 will be gripped by the projections 334 and wedged by the latter. The kickstand can apply a clockwise weight to the coil.
The protrusions 334 are offset relative to each other so as to give maximum force. when such a thrust is applied. The crutch is articulated on a pivot 336 at the end of a piston rod 338 moving in an air cylinder 340. A spring 342 surrounds the pivot 336, and its ends act one, 344, on the piston rod. piston and the other, 346, on the crutch, so as to push the crutch back in the direction of clockwise while rotating around the axle-lotion constituted by the pivot. The crutch carries a boss 348 on its upper surface, the top of this boss being drilled and threaded to receive a screw 350 (FIG. 12).
When the piston has entered the air cylinder 340, as shown in solid lines in FIG. 10, and that the head of the screw 350 abuts against a support plate 352 carried by the bottom of the cylinder, the stand is pushed back in the opposite direction to that of clockwise to return to a normal position with respect to to the flange 296 against the action of the aforementioned spring 342, this flange therefore being able to move freely relative to the crutch. When a pressurized fluid is sent into the cylinder, the screw 350 ceases to engage with the backing plate 352 and the spring 342 again pushes the stand clockwise by rotating it. around pivot 336 until crutch protrusions 334 engage the sides of the flange.
As the pressure in the cylinder continues to exert to push the piston rod 338 out of the cylinder, the kickstand follows its movement and is caused to rotate the reel carrying the tape in a clockwise direction. The screw 350 can be adjusted to allow free rotation of the flange in the cutout 330 when the piston rod 338 is in its retracted position inside the cylinder. It will be noted that when the stand is brought back to its normal position, the projections 334 are no longer in engagement with the flange and, consequently, the erasing movement of the rod does not rotate the spool, the idler roller ensuring friction sufficient to prevent such rotation.
To prevent any lateral oscillation of the crutch to release the flange, the side of the crutch which is opposite the side of the cut-off 330 is tapped to receive a bolt 353, the position of which can be adjusted to bring its head to the near the vertical plate 355 (fig .: 12) bolted to the carriage 20.
The end part 354 of the air cylinder 340 is fixed to the clamping and fixing device, as can be seen elsewhere in FIGS. 4 and 5. The frame 56 has an extension 356 projecting from the side wall of said frame to form with this wall a sleeve-shaped part 358 opening downward. Said end part 354 of cylinder 340 has a tab 360 penetrating into this sleeve. The cylinder is articulated in this sleeve by means of a pin 362 passing through this sleeve 358 (FIG. 5). Thanks to this connection between the reel delivering the strip and the clamping and fixing device of the fasteners, it is possible, by applying pressure to the cylinder, to exert a force on the winding reel with a reaction on the pivoting clamping device. and fixing.
The air cylinder has intake ports 366 and 368 at its ends.
Figs. 13 and 14 show the strapping device proper comprising the feed channel for the metal strip formed by an articulated upper chute 370 and a lower fixed trough 372. The trough comprises a curved part 374 held between plates 376 forming the side walls, these elements 374 and 376 being connected to each other by welding or otherwise. The plates 376 are in turn secured by their outer surfaces to the flanges 37 mentioned above. On the outer ends of the walls 376 are mounted plates 378 on which the upper chute 370 pivots.
The curved part 374 forming the bottom of the trough extends above the walls 376 at its upper end 380 to avoid any discontinuity in the channel at the point of articulation, this part 374 extending likewise at its inner end at the - beyond the walls 376, as shown at 382, so as to guide the metal strip towards the outer surface of the fixed blade of the block 234.
Notches 384 are formed in the inner ends of the side walls 376. Clevis in the form of hooks 386, intended to hold the strip in place, are mounted by means of pins 388 on tabs 390 carried by the side walls 376 of the trough and the hook-shaped ends 392 of these yokes penetrate through the notches 384 inside the channel guiding the metal strip. The clevises 386 are extended below the pivot 388 and the res
horizontal compression spells 396 arranged
between the walls of the trough, and the lower parts of the yokes push the hooks inwards and downwards inside the channel guiding the strip.
The screeds come up against
against the bottom 398 of the notches 386, which limits their possible displacement, the normal position of the inner face 400 of the hook being approximately parallel to the bottom of the trough
and slightly away from it. The role of
these screeds is to force the band advancing on the bottom of the trough to penetrate into the jaws intended to grip the edges of said band. In the absence of such clevises, the end of the strip could move toward the outer surface of the fixed blade of block 324 at an angle too acute for the strip to be effectively gripped by the clamps.
choires 170. When the strip is subjected to tension, it can however be easily removed from these yokes.
A second notch 402 is provided in one of the side walls of the trough in the vicinity of the notch allowing the yoke to pass, and a control arm 404 acting on a switch 406 passes through this notch 402 and enters the trough. above the strip.
The switch housing 408 is secured to one of the flanges 37. The control arm 404 is mounted on a switch shaft 410 which penetrates into and pivots into the switch housing. This switch shaft, subjected to the action of a spring, pushes the arm 404 towards a more or less horizontal position. A fast-acting switch, not shown, which can be of any known type, is arranged in the switch housing and controlled by the angular displacement of the shaft 410. A roller 412 is carried by a fork 414 that the switch has. free end of arm 404 to facilitate passage of the strip. Thus, as soon as the strip is lifted relative to the trough when it is subjected to a withdrawal movement, said strip causes the switch arm to pivot upward by actuating the switch.
When the band releases the switch arm, the latter returns to its normal position inside the trough under the action of its spring.
The chute 370 guiding the strip is roughly semi-cylindrical and comprises a continuous series of ball bearings 416 slightly spaced apart from each other and in fact forming a guide surface; curved plates 418 mounted on either side of these bearings extend inwardly from them so as to form with said bearings a guide channel opening inward to ensure the guidance of the band. The inner end of this chute enters a box 422 placed at the top of the jaw housing, bosses 424 being formed on the sides of this inner end to rest on the upper edges of the box 422 and stop the chute 370 at the entry of the housing.
The chute can move between a closed position in which its inner end rests in the box 422 and an open position in which the chute has rotated around the pivot 420 by uncovering the trough 372, this movement being performed by hand or automatically. .
Automatic operation is provided by a pneumatic cylinder 426 fixed to the lower edges of the walls 376 of the trough by bolts 428, this cylinder having at the front a bottom 430 through which the rod 432 of the piston passes. This piston rod 432 is extended at 434 to form a fork 436 at the front. An ankle 438, mounted between the arms of the fork 436, serves as an articulation for an angled lever 440 whose top is rotatably mounted on a pivot 442 held between the plates 378. The lower end of this angled lever 440 is mounted on the pin 438 via a slot 444 making it possible to grant the rectilinear movement of the piston rod 432 to the pivoting of the elbow lever 440, the upper end 446 of which is articulated to a link 448.
The latter is in turn connected to a tab 450 integral with the outer surface of the chute 370 at a point disposed above and outside the pivot 420. The cylinder 426 has intake ports 452 and 454 in its two funds. Thus, when pressure is applied to the end of the cylinder allowing the rod to pass through, this rod 432 is erased by rotating the bent lever 440 and by driving the rod 448 outward and downward, which moves the rod. chute 370 towards its open position.
On the contrary, when pressure is applied to the other end of the cylinder by opening the opposite end of the cylinder to the atmosphere, the piston rod 432 exits the cylinder and turns the elbow lever 440 in the opposite direction. clockwise to push the link 448 towards the trough and return the chute to its closed position.
Fig. 16 shows the pneumatic control in schematic form. The machine normally receives compressed air from a suitable source connected to a pipe 460. The cylinder head of the clamping cylinder 50 is connected to this pipe 460 by a pipe 462. A three-way spool 464 and controlled by a solenoid , and which will hereinafter be called the clamping valve, is interposed in this conduit 462 to admit a pressurized fluid into the cylinder 50 or to connect the latter to the atmosphere, the normal position of the valve at rest corresponding to a connection of this cylinder with the atmosphere (position shown).
The cylinder head of the fixing cylinder 52 is connected to the pipe 460 by another pipe 466 in which is interposed a second three-way slide 468, controlled by a solenoid, this slide forming the fixing slide and moving between a setting position. under pressure of the cylinder 52 and opening of this cylinder to the atmosphere, the normal position of this slide at rest corresponding to the placing of the cylinder in communication with the atmosphere (position shown). The bottom of the fixing cylinder opposite the cylinder head is connected to line 460 by another conduit 470 containing a three-way slide 472 or return slide. This latter slide allows the pressure to penetrate into the cylinder 52 when it is in its rest position (position shown), and connects it to the atmosphere in the working position.
The cylinder 25 controlling the positioning of the machine carriage is controlled by another duct 474 connecting the pipe 460 to the cylinder head of this cylinder, while another auxiliary duct 476 connects the other end of the cylinder 25 to the bottom of the cylinder. fixing cylinder 52 which is opposite the cylinder head.
The cylinder 340 for placing the tape under pressure is supplied by conduits 478 and 480 connecting the two chambers of the cylinder with two entries of a four-way slide 482 controlled by a solenoid and itself connected to the conduit 460 by a led 484.
Into this conduit 484 are interposed a manually controlled pressure adjustment valve 486 and a pressure gauge 488 of any suitable known type, which allows the web tension to be adjusted to any desired value. The spool 482 moves between a rest position (position shown) allowing the pressure to penetrate into the bottom of the cylinder opposite the cylinder head, leaving the cylinder head side open to the atmosphere and a working position for which the pressure is allowed in the cylinder head. cylinder head side of cylinder 340 while the opposite compartment is open to atmosphere.
The cylinder 302 controlling the idle roller is connected by its two ends to conduits 487 and 489 leading to a four-way slide 490 controlled manually. This slide serves to communicate the cylinder head of cylinder 302 with the atmosphere by applying pressure to the opposite end of the cylinder (position shown) to apply the idle roller against the wound strip, or vice versa, to apply pressure and to open to atmosphere the ends of the cylinder in the opposite manner to move the roller away from the wound tape.
The cylinder 426 controlling the guide chute for the strip is connected by its two ends to corresponding conduits 492 and 494 leading to two entrances of a four-way drawer 496 controlled by hand. This spool receives pressure from line 460 through non-duct 498. This spool 496 serves to apply pressure to the cylinder head and to open the opposite end of the cylinder to atmosphere to close. the chute (position shown) or to ensure the opposite connections to open said chute.
Fig. 17 is the electrical wiring diagram; a source of electrical energy is interposed between the earth and a terminal 500, which a conductor 502 connects to a solenoid 504 controlling the slide 472 connected to the fixing cylinder on the side opposite the cylinder head. A switch 506 normally open and controlled by a relay 510 is interposed in the conductor 502 between the source and the solenoid 504. A conductor 508, connected in bypass to the switch 506, supplies the current to the solenoid of the relay 510. On the side 512. of the solenoid 510 connected to the source is provided in the bypass 508 a start-up switch 514 normally open and controlled by hand.
On the opposite side 515 of the solenoid 510 is interposed in the same branch 508 a switch 516 normally closed and controlled by a relay 584, as well as a stop switch 518 normally closed and controlled by hand. Thus, when closing the start switch, this energizes the solenoid 510 which closes the switch 506.
When the start switch is released, the solenoid 510 remains energized by the current flowing through part 515 of the bypass 508, the stop switch 518 and the switch 516. Thus, current continues to flow. in the solenoid 504, so as to actuate the slide 472 which communicates with the atmosphere the bottom of the fixing cylinder through which the piston rod passes. Likewise, the terminal 520 for supplying the motor 290 is connected to the conductor 502 by means of a switch 280 controlling the advance of the strip, this switch being in its normal position, so that the motor can drive the mechanism for advancing the metal strip.
When the free end of the strip passes around the pack and strikes the control finger 242 of the advance of the strip, the switch 280 is activated and opens the circuit leading to the terminal 520 supplying the motor 290; by this same movement, the switch 280 closes the circuit not sant by the common terminal 522 2 connected to the conductors 524 and 526. The conductor 526 ends at the solenoid controlling the spool. 464 itself controlling the power supply to the clamping cylinder and this same conductor 526 supplies, via a switch 528, normally closed and controlled by the solenoid of a holding relay 530, terminal 532 of motor 2
Switches 544 and 552 are connected in parallel to conductor 524. The opposite poles of these switches are connected in parallel to conductor 554 which is also connected to switches 546 and 548 and to solenoid 550. The other terminals of switch 546 and of the switch 548 are respectively connected to the solenoid of the spool 482 serving to energize the strip and to the conductor 556 leading to a circuit which will be described below.
When switch 534 is closed as a result of removing excess length of tape, current flows through conductor 536 and switch 538 to energize solenoid 540. This closes switches 544 and 546 and opens the switch. 'switch 548.
Current thus flows through conductor 524, switch 544 and conductor 554 to energize solenoid 550 and consequently open switches 528 and 538 and close switch 552. With switch 538 open, current flowing through the switch. solenoid 540 is cut off and this solenoid no longer being energized allows switch 544 to return to its open position. The switches 546 and 548 remain respectively in their closed and open position due to their delay.
With switch 552 formed, solenoid 550 continues to be powered by conductor 524, said switch 552 and conductor 554. With switch 528 open, the engine stops. Since the relay 530 is energized by the action of the switch 552, it is obvious that it remains energized until the end of the operating cycle, that is to say until the opening of switch 280.
As long as relay 542 is in its delayed position, tape power-on spool 482 is energized by conductor 524, switch 552, conductor 554, and switch 546 to ensure final energization of the tape. the metal band around the package. The conductor 556 is cut following the opening of the switch 548. At the end of the delay period, the switch 546 opens and the switch 548 closes by suppressing the excitation of the drawer 482 ensuring the tension of the strip, ie the circuit leading to the conductor 556 also closing at this moment.
Conductor 556 terminates at one of the non-switch terminals 558 forming part of a relay 560 whose solenoid 562 also controls switches 558 and 564, switch 558 being normally closed and switch 564 normally open. The other terminal of switch 558 is connected to solenoid 566 of a delay relay 568 through a conductor 570. This solenoid of the delay relay controls switches 572, 574 and 576. Switches 574 and 576 are normally open and switch 572 is normally closed. Switches 572 and 574 return to their normal position with a delay when the corresponding relay ceases to be energized, as explained in the case of relay 542.
The switches 572, 574; 576 and 564 as well as the solenoid 562 are connected by one of their terminals to a conductor 578. The other terminal of the switch 572 is connected to a conductor 580 terminating at a solenoid 582 of the relay 584. The other terminal of the switch 574 is connected to a solenoid controlling spool 468 and the other terminals of switches 564 and 576 are connected to conductor 556.
After closing the switch 548, the current passes through the conductors 556 and 570 and through the switch 558 which is closed, so as to energize the solenoid 566. The latter closes the switches 574 and 576 and opens the switch 572 The closing of the switch 574 energizes the solenoid controlling the spool 468 so that the latter allows the pressurized fluid to enter the cylinder head of the cylinder 52 for fixing the fasteners. Closing switch 576 causes current to flow through conductor 578 to solenoid 562 which opens switch 558 and closes switch 564. Opening of switch 558 ceases energization of solenoid 566 and opens. , therefore, switch 576.
Solenoid 562 continues to be energized through switch 564 and switches 572 and 574 remain open and closed, respectively, until the end of the delay period. They then return to their normal rest position which returns the spool 468 to its position for which it makes the fastener fixing cylinder communicate with the atmosphere, while the circuit passing through the switch 572, now closed, ensures the energizing the solenoid 582 which opens the switch 516.
(: This stops the energization of the solenoid 510, which opens the circuit at 506 and ends the operating cycle. Relays 530 and 560 cease to be energized and return to their normal position and switch 280 controlling the operation. The belt feed returns to its normal position in contact with the motor supply terminal, after the strapping has been finished and the package has been evacuated. At the same time, pressure is admitted again in the end of the cylinder. fixing 52 surrounding the piston rod 96, such that the set of jaws is returned to its retracted position.
At the same time, the pressurized fluid passes through this cylinder 52 to terminate in the portion of the carriage installation cylinder 25 surrounding the corresponding piston rod, which again moves the carriage away from the path of the conveyor.
The machine described is placed in front of a conveyor device, as described above, and a packet or wrapper is brought to be wrapped inside the loop formed in the device 48 serving for the strapping. If the package is annular in shape and formed, for example, by a coil of steel strip. the drawer 496 is operated to tilt the chute 370 and allow the positioning of the package with its axis in the plane of the path of the strip. The drawer 496 is then moved in the opposite direction to close the chute 370 which passes through the central opening of the package. Before starting the closing operations, a clip is placed in front of the folding jaws and the punchers using the finger 140 of the ejector 134.
In addition, the end of the fixing cylinder 52 through which the piston rod passes is subjected to pressure and, consequently, maintains the jaws in their retracted position and, thanks to the communication 476 between the fixing cylinder 52 and the cylinder 25 for positioning the carriage 20, the latter will likewise be moved away from the conveyor. The tensioning cylinder 340 is pressurized at the end corresponding to the piston rod so as to maintain the prop 332 in its retracted position.
By depressing the start button, the part of the fixing cylinder 52 surrounding the piston rod communicates with the atmosphere through the intermediary of the spool 472, which causes the carriage to advance towards the conveyor, while the engine makes turn the reel 41 to pass the strip upwards passing through the guide 44 of the strip and through the passage 320 made behind the fixed lane 234.
The jaws being in the withdrawn position, the band continues its upward movement well in front of these jaws and due to the attachment following the path shown at 154 between the plates 150 until it reaches the chute. 370; the cylinder 46 controlling this chute 370 serves not only to ensure easier control thereof, but also to maintain it to prevent any lifting when the moving strip strikes it. The strip therefore follows the chute 370 and passes in front of the pivot 420 to enter the trough 372 surrounding the package.
The strip continues to move under the tensioning switch 408 and the yokes 386 to finally end up outside the fixed blade 234 where it is placed in the notch 244 at the end of the finger 242 controlling the strip. 'band drive.
The finger 242 is driven upwards until the part 274 comes to control the switch 280 controlling the advancement of the web. At this point, the engine is reversed and the spool 464 is moved to allow air to enter the cylinder head of the clamping cylinder 50. The piston 58 pushes the piston rod 96 forward until it stops. the shoulder 76 hits the head 70 of the stop bolt 68, which first advances the jaws and then rotates the folding jaws 166, so that the notches 176 in the ends of the latter engage with the edges of the sides 225 of the clip. These edges are thus curved inwards to surround, without gripping them, both the running part and the end of the strip inside the clip.
This same movement of the jaws brings the knurled surfaces 178 of the end surfaces 170 of the gripping jaws forward of the running portion of the strip to allow it to retreat freely as the jaws move inwardly to grip the strip. free end of the strip.
At the same time, the forward movement of the push rod 96 rotates the tie drive arms 120 to loosen them and thereby lift the ejector 134 which takes on a new tie. The forward movement of the push rod 96 obtained by the pressure exerted on the piston 58 also causes the piston 64 of the fixing cylinder to advance so that when pressure is finally applied behind the piston 64 the latter will produce the movement of the jaws and punches securing the attachment at the same time as the knife 1.72 will execute its cutting movement.
The motor continues to feed the tape back to take up most of the slack, with enough pressure on the switch arm 404 not to let the tape through until the slack is gone. When the arm 404 has taken the tape out of the trough 372, the tension switch is actuated. This stops the engine and acts on the spool 482 used for powering up so as to communicate the atmosphere with the part of the cylinder 340 opposite the cylinder head, this cylinder head being, on the contrary, subjected to pressure to advance the piston rod. piston 338. As this rod emerges from the cylinder, the crutch 332 first begins to rotate and grasp the annular flange 296 and then turns the coil 41 for final tensioning.
The duration of this energization is determined by the relay 542, and the degree of tension obtained is regulated by the valve 486. If the strip were hooked by a corner of the packaging and prevented any further reversal under the action of the coil driven by the stand, the coil would be blocked in relation to this point. With the crutch thus immobilized at its lower end, the cylinder 340 will move upwards so as to cause the clamping and fixing device 38 to pivot around the pivot 88, which subjects the band to a tension on the free side by compared to the corner of the packaging which thus immobilized the crutch.
At the end of the period of energization, the pressurized fluid is admitted into the fixing cylinder head 52 to advance the push rod 96 a further distance in order to indent the clip and shear the strip placed below it. this one. At the same time, the spool 482 serving to ensure the tension of the band ceases to be in the working position and allows the stand 332 to return to the rear. The delay relay 568 regulates the duration of the pressure admission into the cylinder head. fixing 52.
At the end of this admission period, the spool 468 returns to its position in communication with the atmosphere of the corresponding cylinder, and the switch 516 opens by removing the excitation of its circuit. The pressurized fluid is then admitted into the end of the fixing cylinder 52 surrounding the piston rod so as to return the two pistons to their starting position by disengaging the jaws with respect to the clip and the band and to erase said jaws. The rearward movement of push rod 96 serves to lower the tethered ejector 134 and bring it past the jaws in preparation for the next cycle of operation.
Pressure is also applied by the end of the fixing cylinder surrounding its piston rod into the end of the carriage setting cylinder 25 surrounding the corresponding piston rod, so as to move the carriage away from the conveyor.