CH264675A - Process for making foundry molds. - Google Patents

Process for making foundry molds.

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CH264675A
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Francis Kohl Everard
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Francis Kohl Everard
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B22CASTING; POWDER METALLURGY
    • B22DCASTING OF METALS; CASTING OF OTHER SUBSTANCES BY THE SAME PROCESSES OR DEVICES
    • B22D25/00Special casting characterised by the nature of the product
    • B22D25/02Special casting characterised by the nature of the product by its peculiarity of shape; of works of art
    • B22D25/023Casting chains or the like

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Mold Materials And Core Materials (AREA)

Description

  

  Procédé de confection de moules de fonderie.    La présente     invention    est relative à un  procédé pour la confection de moules, notam  ment pour la confection de moules d'une seule       pièce    présentant des cavités ou creux compli  qués ou irréguliers. L'invention concerne éga  lement un moule produit selon ce procédé.  



  Pour la préparation de moules en une seule  pièce destinés à la coulée de pièces métalli  ques, il a été usuel jusqu'à présent de fabri  quer un modèle en une matière qui se trouve  à l'état solide aux températures normales, par  exemple en cire ou en un métal à bas point.  de fusion. Ce modèle était ensuite incorporé  à une autre matière capable de former un  moule et convenant au métal que l'on désirait  couler. La matière formant le moule était en  suite séchée dans un four, et on la soumettait  à une température     suffisamment    élevée pour  faire fondre la cire ou le métal, que l'on éva  cuait du moule pour obtenir une cavité dans  laquelle on coulait le métal destiné à former  la pièce coulée.  



  Mais la préparation de moules d'une     seule     pièce par ces procédés ne donnait. pas des ré  sultats entièrement     satisfaisants.    La cire est  relativement tendre et., par suite de sa faible       résistance    mécanique, les modèles de durée       temporaire    qui en sont faits doivent être limi  tés dans leurs dimensions, ils sont sujets à la.  déformation et ils doivent être incorporés à  une matière également tendre.

   Pour la fabri  cation de modèles avec des métaux à bas point  de fusion, il est nécessaire de mouler les mo-         dèles    de durée temporaire sous une pression  élevée, par coulée cri matrices par exemple,  afin de munir le moule     principal    de tous les  détails avec la finesse nécessaire, ce qui aug  mente les frais de production.  



  Mais le principal inconvénient de l'emploi  de modèles en cire ou en métaux à bas point  de fusion est le temps nécessaire et la. perte  entraînée par la récupération de la cire ou du  métal dans le moule final. Lors de la fusion  du modèle, la tension superficielle de la ma  tière liquéfiée est trop faible pour permettre  la récupération de la totalité de la matière du  modèle et il est donc nécessaire de volatiliser  le reste de cire ou de métal à une tempéra  ture relativement élevée. Il en résulte non seu  lement. des pertes de temps, mais dans ces pro  cédés, il- n'est pas possible pratiquement de  récupérer la totalité de la matière coûteuse  des modèles.

   La température nécessaire à la  volatilisation des derniers restes de la ma  tière du modèle a également un effet. nuisible  sur la. matière formant le moule, et ceci est en  particulier le cas lorsque le moule a des dimen  sions relativement grandes.  



  Le but de la présente invention est donc  de créer un procédé pour la préparation de  moules en une pièce à l'aide de modèles faits  en un matériau métallique qui se trouve à  l'état liquide à la température ambiante de       fonderies    et qui se gèle à des     températures     sensiblement au-dessous de zéro.

   On peut uti  liser des matières très variables, par exemple      le mercure, les alliages liquides de sodium et  de     potassiiun,    les amalgames du mercure qui  sont     liquides    aux températures de traitement  des moules, par exemple un amalgame du  mercure avec     une    faible proportion de     cad-          mium,    de     zinc    ou d'argent. Il y a     lieu    de noter  que la plupart de ces amalgames sont liquides  aux températures normales et se congèlent à  des températures très     inférieures    au zéro degré  centigrade.  



  On emploie de préférence le     mercure    à  l'état     relativemÉnt    pur, étant donné qu'il pré  sente des propriétés qui le rendent particu  lièrement indiqué à cet effet. Mais il est bien  entendu que     l'invention    ne se     limite    pas à ce  cas spécial, le mercure pouvant.

   contenir des  impuretés, en solution ou en suspension ou       retés    n'affectent pas les propriétés     physiques     même amalgamées, à condition que ces     impu-          du    mercure,     qui.    en font une matière particu  lièrement     indiquée        pour    le but     envisagé.     



  Pour la fabrication de modèles temporaires  employés dans la fabrication de pièces coulées,  il a été trouvé que le mercure est spéciale  ment indiqué grâce à sa tension superficielle  élevée, qui     lui    permet de s'écouler facilement  hors de moules     ordinaires,    ce qui permet éga  lement la récupération de la totalité de la ma  tière des modèles temporaires dans les moules  ordinaires. De     plus,    le mercure se volatilise à  des températures de 370  C et moins, et il se       condense    facilement, de sorte qu'il est possible  de récupérer complètement la matière du mo  dèle, même dans des moules de forme compli  quée, sans qu'il en résulte une détérioration  quelconque de ces     moules.     



  Le mercure a également une     densité    élevée  et il se laisse diviser mécaniquement en parti  eules ayant presque des dimensions molécu  laires. On évite ainsi la coulée avec centrifu  gation ou sous pression des modèles tempo  raires en vue de l'obtention     d'une    reproduc  tion exacte des détails qui doivent être prévus  dans le moule principal. Le mercure a égale  ment des propriétés     lubrifiantes    et il n'affecte  donc pas les cavités compliquées des moules  principaux, de même qu'il n'exerce aucune  action nuisible sur les parois du moule de cou-         lée    final. Le moule principal a donc     une    du  rée relativement. longue et on peut obtenir  des reproductions exactes avec le moule final.  



       Le,mercure    produit également un effet de  nettoyage de la     surface    du moule, et i1 peut  être facilement épuré par simple filtrage. Une  faible quantité de matière à modèle peut donc       suffir    pour une production sir une grande  échelle.  



  De plus, le mercure possède des propriétés  thermiques qui font qu'il est     particulièrement     indiqué pour la confection de modèles tempo  raires dans les procédés de coulée. Par exem  ple, il a un faible coefficient de dilatation  thermique qui devient     approximativement     égal à zéro lorsque la matière se solidifie. Il  en résulte que le mercure enregistre avec cer  titude tous les détails du moule principal et  que le modèle en mercure peut être facilement  retiré de ce moule     principal,    même si ce mo  dèle temporaire porte des garnitures trans  versales     rectilignes    ou filetées. Le mercure  possède également un coefficient élevé de con  ductibilité thermique.

   Cette     propriété    est par  ticulièrement importante, parce     qu'elle    abrège  le cycle de la fabrication et que, dans la pré  paration du moule final, le mercure entre en  fusion d'abord dans les petits angles du  moule. D'autre part, et     grâce    à la tension su  perficielle élevée, le mercure fondu maintient  le     caeur    de mercure solide en suspension, de  sorte que les     détails    de     grande    finesse du moule  ne risquent pas d'être endommagés. Cette pro  priété permet également d'ajouter des détails  au modèle après son enlèvement du moule  principal, ou bien le modèle peut être tra  vaillé ou réparé.

   On peut également confec  tionner des fractions de modèles dans des  moules principaux séparés, et assembler en  suite les fractions à l'aide de broches en mer  cure ou par fusion.  



  A l'état congelé, le mercure possède égale  ment une bonne dureté superficielle et une  résistance mécanique élevée, ce qui réduit la  perte en finesse des     détails    ou les     écarts    de  précision des     dimensions    au     cours    des mani  pulations du modèle solide, pendant le cycle  du     moulage    des pièces. Cette caractéristique      permet également d'incorporer les modèles aux  matériaux de moulage du commerce, tels que  le sable de fonderie, et ces matériaux peuvent  être bourrés ou pilonnés fortement contre la  surface du modèle. Il n'existe donc aucune  limite pour les dimensions des moules et les  pièces coulées à produire.  



  En conséquence, un but de l'invention est  de créer un procédé pour la préparation de  moules.  



  Un autre but de l'invention est de pro  duire un moule selon ledit procédé.  L'invention a pour objet un procédé de  préparation d'un moule, caractérisé en ce que  l'on introduit un matériau métallique qui se  trouve à l'état liquide à, la température am  biante des fonderies, et qui se congèle à des  températures inférieures à 0  C dans un moule  principal, en ce que     l.'on    fait     congeler    ce ma  tériau pour former un modèle, en ce que l'on  enlève ce modèle congelé du moule principal,  en ce que l'on enrobe ce modèle à l'état con  gelé dans une composition de moulage et en  ce que l'on soumet. le moule final ainsi obtenu  à une température à laquelle le modèle se  liquéfie, le liquide étant. ensuite évacué du  moule final.  



  Des formes     d'exécution    pour la mise en       aeuvre    du procédé suivant l'invention vont  être décrites à titre d'exemples.  



  Sur le dessin  La fia. 1 est une vue d'ensemble représen  tant les différentes opérations qui composent  le procédé.  



  La fia. 2 est une vue en bout avec parties  en coupe d'un moule principal servant à la  fabrication du modèle temporaire.  



  La fia. 3 est une vue en coupe transver  sale suivant la ligne 3-3 de la fia. 2.  



  La fia. 4 est une vue en coupe transversale  suivant la ligne     4-4    de la fia. 1 et montre  un appareil de réfrigération, le moule étant  représenté en élévation.  



  La     fig.        -5    est une vue en     perspective    d'un  modèle terminé, représenté dans son état soli  difié par congélation.  



  La     fig.    6 est une vue en élévation d'un       châssis    destiné à recevoir le modèle congelé    et la, matière de moulage, certaines     parties     du châssis étant arrachées pour montrer les  parties supérieures du modèle et du maté  riau de moulage.  



  La fia. 7 est une vue en coupe transver  sale suivant la ligne 7-7 de la     fig.    6.  



  La fia. 8 est une vue en coupe transver  sale suivant la ligne 8-8 de la fia. 1, et  montre un appareil épurateur de mercure avec  certaines parties en élévation, le châssis étant  représenté dans une position renversée pour  permettre l'écoulement du mercure hors du  moule final.  



  La .fia. 9 est une vue en coupe d'un four  pour le chauffage du matériau formant le  moule final, et pour la volatilisation des     der-          iiiers    restes du liquide.  



  La fia. 10 est une vue en coupe transver  sale du moule final avec certaines parties  représentées en élévation.  



  La fia. 11. est une vue en élévation de face  montrant un modèle temporaire composé de  plusieurs éléments également temporaires.  



  La fia. 12 est -une vue en élévation latérale  du modèle que représente la. fie. 11.  



  La fie. 13 est une vite en élévation laté  rale de la partie supérieure du modèle que  montrent. les fia. 11 et 12, avant la mise en  place des supports.  



  La. fia. 14 est une vue en coupe transver  sale suivant la ligne 14-14 de la fie. 13.  



  Les fia.     1.5    et 16 sont des vues en élévation  de petits modèles temporaires qui sont. fabri  qués séparément et qui sont ensuite fixés sur  d'autres modèles temporaires pour l'obtention  d'un modèle composé tel que le montrent les  fia. 11 et 12.  



  La fia.     1.7    est une vue en élévation d'un  modèle solidifié ou congelé ayant. la forme  d'un ressort.  



  La     fig.    18 est une vue en élévation avec  certaines parties en coupe du moule final  pour la coulée du ressort, dont le modèle  temporaire est représenté par la     fig.    17.  



  La. fia. 19 est une vue en élévation de deux  éléments de modèle, l'élément supérieur étant  représenté en traits pleins tel qu'il sort du  moule et en traits pointillés dans la position      d'assemblage, dans laquelle il constitue un  modèle composé avec l'élément     inférieur.     



  La     fig.    20 est une     vue    en bout des éléments  de modèle que montre la     fig.    19.  



  La.     fig.    21 est une vue en élévation laté  rale d'un modèle congelé ayant la forme     d'iui          maillon    de chaîne.  



  La fi-. 22 est une     suie    en plan de modèles  congelés en forme de maillons de     chaîne,     assemblés pour constituer une chaîne et incor  porés à une masse de sable de fonderie.  



  La     fig.    23 est une vue en coupe transver  sale suivant la ligne 23-23 de la     fig.    22.  La     fig.    21 est une vue en élévation d'un  modèle congelé ayant la forme d'un maillon de  chaîne, avec certaines parties de ce maillon  écartées pour permettre la mise en place d'un  maillon suivant.  



  La     fig.    25 est une vue en élévation d'un  modèle congelé composé de maillons de chaîne,  dont certains sont assemblés et dont un se  trouve     dans    une position d'assemblage.  



       Ainsi    qu'il a été dit précédemment, on  peut employer pour la     confection    du modèle  et du moule en une pièce des     matériaux    dif  férents qui se trouve à l'état     liquide    aux     tem-          pératures    ambiantes auxquelles le moule est  préparé.

   Cependant,     pour    simplifier la des  cription,     il    ne sera question que de l'emploi  du mercure.     -          D'une    façon générale, pour la confection  de moules par ce procédé, on prépare tout  d'abord de la manière usuelle un moule prin  cipal présentant un trou de coulée, et ce  moule est introduit dans un appareil réfrigé  rateur capable de congeler le mercure. On  coule dans la cavité du moule principal du  mercure à l'état     liquide    qui est ensuite con  gelé. Le modèle en mercure congelé est enlevé  du moule principal, placé dans un châssis et  enrobé dans un matériau de moulage capable  de s'agglomérer ou de se solidifier pour former  le moule final.

   Le mercure est alors liquéfié  et évacué     dit    moule final et laisse dans celui-ci  une     cavité    de forme     similaire    à celle du mo  dèle en mercure. Le moule est     ensuite    séché  dans un     four    convenable et le métal servant  à la fabrication de la pièce coulée est     coulé       à     l'intérieur    du moule. Ce dernier     est    finale  ment détruit pour     l'enlèvement    de la pièce  coulée par les opérations de démoulage  usuelles.  



  La marche générale du procédé est repré  sentée par la     fig.    1 du dessin, sur laquelle 1  désigne l'appareil réfrigérateur, 2 le maté  riau de moulage, 3 l'appareil épurateur du  mercure, 4 le four et 5 le moule final, d'une  seule pièce, à l'aide duquel on fabrique par  coulée la pièce métallique désirée.  



  Les     fig.    2 à 10 représentent plus particu  lièrement le procédé pour la fabrication d'un  modèle temporaire en mercure congelé, ainsi  que les opérations de la préparation du moule  final. Ainsi que le     montrent    les     fig.    2 et 3,  on construit d'abord un moule principal divi  sible, formé de deux coquilles 6 et 7 qui sont.  maintenues assemblées par un dispositif tel,  par exemple, qu'un ressort 8. Ce moule pré  sente dans son plan d'assemblage un trou de  coulée 9.

   On voit que,     dans    le     moule    repré  senté, les deux     coquilles    sont munies intérieu  rement de nervures     longitudinales    1.1 et 12,  servant à former dans le modèle des rainures,  et que ces deux coquilles portent également  intérieurement     deux        garnitures        rectangulaires     rapportées 12 (dont une seule est représentée)  et qui s'étendent sur un côté du moule au       niveau    du plan de     division,    en     direction    des  extrémités opposées de     la    cavité du moule.

    Deux garnitures similaires 14, de forme rec  tangulaire, s'étendent dans la cavité du moule  sur le côté opposé du moule. Les garnitures  sont munies de poignées 15 qui permettent de  les enlever     commodément    du modèle après la  confection de celui-ci. Bien entendu, les gar  nitures     1.1,    12, 13 et 14 peuvent recevoir une  forme quelconque. Par exemple, elles peuvent  être filetées pour former des trous filetés  dans le modèle.  



  Pour la confection du modèle congelé, le  moule principal est introduit     dans    un appa  reil réfrigérateur, capable de provoquer la  congélation     dit    mercure, et le mercure à l'état       liquide    est     ensuite    coulé     dans    la     cavité    de ce  moule à travers le trou de coulée 9.     Ainsi        que     le montre le dessin, cet appareil se compose      d'un réservoir 16, dont les.

   parois sont faites       d'une    matière mauvaise conductrice de la cha  leur, et ce réservoir est divisé en deux  chambres     communicantes    17 et 1.8 à l'aide  d'une cloison 19 qui s'arrête à une faible  distance du fond. La. chambre 17 contient de  la neige carbonique et. elle baigne dans un  liquide ayant un bas point de congélation,  liquide qui est, par exemple, constitué par de  l'acétone ou du     dichlorure    d'éthylène. Ce li  quide peut pénétrer librement dans la cham  bre 18, où il entre en contact avec le moule  principal et provoque la congélation du mer  cure.  



  Ainsi que le montre le dessin, le liquide à  bas point d'ébullition ne recouvre pas entière  ment le moule principal, de sorte que le trou de  coulée reste dégagé pour recevoir le mercure.  Cependant, il importe peu que ce liquide puisse  filtrer à l'intérieur de la cavité du moule.  Toute quantité de liquide ayant éventuelle  ment pénétré à     l'intérieur    de ce moule est dé  placée par le mercure plus lourd, où le moule  principal peut donc être entièrement immergé  dans le liquide à bas point d'ébullition, la  coulée du mercure dans la cavité du moule  ayant alors lieu à travers le liquide relative  ment léger.

   En fait, ce dernier procédé pré  sente certains avantages, étant donné que, lors  qu'un liquide à bas point d'ébullition, en par  ticulier l'acétone, est. déplacé dans le moule  par le mercure, le démoulage et l'enlèvement.  du modèle en mercure congelé en est facilité.  



  Après la congélation du mercure, le moule  qui le contient est. retiré du bain de liquide,  le     ressort    8 est enlevé, le moule est ouvert et  les garnitures 13 et 14 sont retirées. On ob  tient de cette faon un modèle en mercure con  gelé tel que le montre la     fig.    5 du dessin.  



  Grâce à la densité élevée du mercure et  grâce au fait qu'il se laisse diviser en     parti-          eules    de grosseur moléculaire, il n'est pas né  cessaire de mouler le mercure     sous    une forte       pression    pour obtenir l'enregistrement des dé  tails les plus fins du moule. De plus, grâce  aux propriétés lubrifiantes, le mercure n'at  taque en aucune manière les saillies ou gar  nitures placées dans la cavité du moule.

   Le         moule    principal peut donc servir     longtemps.          Etant    donné que le mercure a un faible coef  ficient de dilatation thermique, qui est  approximativement égal à zéro lorsque le mer  cure se solidifie, on voit également que les  garnitures 13 et 14 peuvent être facilement  enlevées du modèle en mercure congelé. Ainsi  que le montre le dessin, les     nervures    de sec  tion     angulaire    forment sur le modèle des rai  nures 20 qui reproduisent exactement la forme  des     nervures,    et des garnitures forment des  rainures rectangulaires 21 de forme identique.  



  Après son enlèvement du moule, le mo  dèle en mercure a une stabilité considérable,  une bonne dureté superficielle et une résis  tance mécanique élevée. Il est     ensuite        enrobé     dans une composition convenant à la prépa  ration d'un moule servant à la fabrication de  pièces coulées, par exemple dans du sable de  fonderie.  



  Pour la préparation du moule final, le  modèle en mercure est placé dans un châssis  22 qui peut avoir     tune    forme quelconque.  Ainsi que le montre le dessin, ce     chassis    se  compose de deux coquilles de section incurvée  23 et 21, articulées l'une sur l'autre en 25 et  réunies entre elles par une broche 26 sur le  côté opposé à l'articulation.

   Les éléments su  périeur et inférieur du châssis sont formés  par des plateaux ou disques 27 et     27a,    réunis  par une entretoise 28, et le plateau supérieur  27 est percé d'une ouverture 29, à travers la  quelle on peut introduire le matériau d'enro  bage.     Etant    donné la dureté superficielle éle  vée du modèle en mercure à l'état congelé, le  matériau d'enrobage ou la composition petit  être bourré ou pilonné, pour être bien serré  tout autour du modèle.  



  Après la. prise de la composition d'enro  bage, on laisse fondre le modèle en mercure,  la     masselotte    30 formant alors le trou de cou  lée du moule. La fusion du modèle en mer  cure peut avoir lieu à la température de l'air  ambiant de la fonderie. Le châssis peut égale  ment être introduit dans une chambre chaude  ou bien on peut appliquer de la chaleur pour  accélérer la fusion du modèle en mercure. Le       châssis    22 est alors renversé de la manière           indiquée    par la     fig.    8 et le mercure peut  s'écouler hors du châssis.

   Le mercure peut  être commodément épuré par le fait qu'on le  fait passer à travers     im        tamis    31 et un filtre  32 vers l'intérieur d'un récipient 33. Grâce à  sa tension superficielle élevée, le mercure  s'écoule entièrement hors de moules ordinaires,  mais si ce moule est de forme compliquée, il  peut devenir nécessaire de volatiliser les der  niers restes du mercure. Ceci peut être com  modément effectué au cours du séchage du  moule, tel que le représente en     particulier    la       fig.    9 du dessin, dans laquelle 34 désigne un  four dans lequel est introduit le châssis 22  contenant le moule final.

   Il y a en     particulier          lieu    de noter que, lorsqu'on     volatilise        dans    le  moule de la cire ou des métaux à bas point  de fusion, il est nécessaire de chauffer le       moule    à une température élevée, ce qui  affecte la constitution du moule. Lorsqu'on  emploie des modèles temporaires en mercure  pour la préparation du moule, il suffit de  chauffer le moule à une température d'envi  ron 370 C pour récupérer ainsi les dernières  traces de mercure.

   Cette température est à peu  près celle qui est nécessaire au séchage et au  durcissement du moule.     Ainsi    que le montre  la     fig.    9, le mercure volatilisé peut s'échapper  par une     cheminée    convenable 35, débouchant  dans -une chambre de condensation 36, où le  mercure se condense facilement pour être  recueilli dans     im    récipient 37.  



  Le moule est ensuite retiré     dit    four et le  métal est coulé dans la cavité de ce moule,  de laquelle le modèle en mercure a été enlevé  de la manière indiquée par la     fig.    10. La cou  lée finale du métal peut être effectuée par  coulée simple ou par centrifugation ou coulée       sons    pression. Le châssis est ensuite retiré     du.     moule et celui-ci est détruit pour le démoulage  de la pièce coulée.  



  Grâce à la conductivité thermique élevée  des modèles en mercure congelé, on peut ajou  ter certaines quantités de matière à modèle à  l'état liquide,     qui    se soudent facilement ait  modèle à l'état solide. Après enlèvement du  modèle     solidifié    du moule principal, on peut  ainsi ajouter des masselottes faisant     une    pièce    avec le modèle en un point quelconque, ceci  en     vite    de satisfaire les     conditions    du mou  lage final.

   On peut également confectionner  séparément les     différentes    parties     d'im    modèle  et les assembler par soudure ou à l'aide de bro  ches faites de la même matière     que    l'ensemble  du modèle. Les broches et les     différents    élé  ments se soudent alors les uns     aii-x    autres pour  former un bloc, qui peut être ensuite enrobé  dans le moule final     comme    un modèle d'une  seule pièce.  



  Les     fig.    11 et 12 montrent un exemple  d'un modèle compliqué en mercure congelé.  Certaines parties de ce modèle sont représen  tées séparément par les     fig.    13 à 16.     Ainsi    que  le montrent les     fig.    11 et 12, le modèle en  mercure se compose     d'un    socle 38 sur lequel est  fixée par des broches 40 une glissière 39 for  mée par mi modèle en mercure séparé. Les  broches de centrage peuvent être     d'une    pièce  avec la glissière 39 et on peut prévoir des  trous dans le socle 38 au cours de la forma  tion des modèles en mercure.

   Après assem  blage, ces éléments se soudent l'un à     l'autre.     D'autres éléments peuvent être ajoutés d'une  manière similaire. Par exemple, on peut fabri  quer dans un moule     principal    séparé deux  modèles en mercure ayant la forme de chapes  de coussinets percées .d'une ouverture 42. De  même, on peut confectionner dans un antre       moule    principal des broches de centrage 43, et  ces broches peuvent être insérées clans des  évidements pratiqués dans la glissière 39, ainsi  que le montre plus clairement la     fig.    12.

   D'une  manière similaire, on peut confectionner des  modèles en mercure séparés ayant la forme de  bossages à coussinets 44, percés d'une ouver  ture 45 et munis de broches de centrage 46,  et ces modèles peuvent être fixés sur le socle,  avec les broches de centrage engagées dans  des trous pratiqués dans le socle, ainsi que le  montrent en particulier les     fig.    11 et 12. Lors  que le modèle composé en mercure est terminé,  il peut être enrobé dans une composition de  moulage se prêtant à la confection du moule  final, pour la     coulée    d'un métal de la manière  précédemment décrite pour le modèle que  montre la     fig.    6.

        Grâce aux caractéristiques très particu  lières du mercure, on peut s'en servir pour  la confection de beaucoup d'autres modèles,  par exemple de celui que montre la     fig.   <B>17.</B>  Un modèle en forme de fil ou de tige peut être  congelé dans un moule principal. Après l'en  lèvement du modèle en mercure et     son    expo  sition à l'air pendant une courte durée à une  température amenant le mercure à proximité  de son point de fusion, ce mercure devient  ductile et on peut l'enrouler autour d'un  mandrin pour obtenir un modèle en mercure  en forme de ressort. 47, tel que le montre la       fig.   <B>17</B> du dessin.

   Le     modèle    en mercure ainsi  obtenu peut être enrobé dans une composition  de moulage, par exemple du sable de fonderie.  On laisse alors reposer le moule jusqu'à la  prise clé la composition et, lorsque le mercure  commence à fondre, il peut s'écouler hors du  moule 48 pour former une cavité permettant       d'obtenir    la pièce coulée finale, après durcisse  ment du matériau de     moulage    de la. manière       habituelle.     



  Les     fig.    19 à 23 montrent. de quelle     maiiièrc     on obtient une chaîne à l'aide du procédé.  Ainsi que le montrent les     fig.    19 et 20, on  confectionne d'abord des modèles en mercure  congelé 49 et 50. Le modèle supérieur est con  gelé dans un moule principal et. reçoit des  évidements 51, tandis que le modèle inférieur  est congelé dans un moule principal qui le  munit (le broches de centrage 52. La     fig.    19  montre en traits pointillés l'élément supérieur  du modèle dans sa position d'assemblage avec  l'élément inférieur, les broches de centrage 52  étant engagées dans les     évidements    de l'élé  ment 49 pour former un maillon de chaîne.

    L'élément supérieur congelé est muni     d'une     masselotte 53 destinée à former     utt        trort    de  coulée dans le moule final.    La     fig.    21 montre un modèle en     mercure     congelé formant le maillon de chaîne suivant  qui est. indiqué en 54. Ce maillon est égale  ment muni d'une     masselotte    55. Les modèles  49, 50 et 54 peuvent être fabriqués d'une ma  nière similaire à celle indiquée pour le modèle  de     la,        fig.    6.

      Pour composer la chaîne, les éléments 49 et  50 sont assemblés à travers les' ouvertures 56  de deux maillons espacés 54, et on emploie  autant de maillons qu'il en faut pour former  une chaîne complète.  



  Le modèle composé en mercure ainsi ob  tenu est. enrobé dans du sable de fonderie de la  manière indiquée par la     fig.    22. Il faut alors  veiller à ce que le sable pénètre bien entre les  maillons séparés. On laisse ensuite le mercure  se liquéfier et le moule est renversé pour per  mettre l'écoulement du mercure. On obtient  de cette manière un moule d'une seule pièce  clans lequel on peut couler le métal servant. à  la fabrication de la chaîne. Le moule est.     enfin     détruit pour le démoulage de la chaîne, de la  manière usuelle dans les fonderies.  



  Les     fig.    24 et 25 du dessin     représentent     une variante du procédé pour la fabrication  d'un modèle en mercure congelé     ayant.    la  forme d'une chaîne. Dans cette variante, un  certain nombre de modèles en mercure 57,  composés de     cieux    branches<B>58</B> et     :ï9    écartées       L'une    de l'autre et portant une     masselotte    60,  est formé de la     manière    indiquée par la  fi-. 24.

   Les modèles en mercure congelé sont       obtenus    clans     -Lui    moule principal de la ma  nière précédemment décrite.     Une    autre série  de modèles en mercure congelé est.     fabriquée     avec la forme     représentée    par la     fig.    25. Ces  maillons sont indiqués en     61a    et     61b    et cha  cun porte une     masselotte    62.

   Les maillons en       mercure        congelé    peuvent être assemblés par le  fait qu'on fait. passer     une    branche du maillon  57 à travers     l'ouverture    d'un maillon     61a    et  à travers l'ouverture d'un maillon espacé     61b.     ainsi que le montre la     fig.    25. Grâce à. la  nature ductile et. adhérente du mercure     con-          clé,    après son     exposition    à l'air pendant une  courte période, à une température amenant le       mercure    à proximité de son point de fusion.

    les branches     58    et 59     peuvent    être     facilement          serrées    l'une contre l'autre, ainsi due l'indique  la     li--ne    63, et ces branches adhèrent l'une  < :  l'autre pour former un maillon fermé. On  peut de cette manière obtenir une     ciiaine     ayant la longueur désirée. La chaîne est en  suite     enrobée    clans (lu sable (le fonderie de      la manière     indiquée    par la fia. 22.

   Après la  prise du moule et la     liquéfaction    du     mercure,          celui-ci    est évacué     pour    former la cavité dans  laquelle est coulé le métal servant à la fabri  cation de la pièce coulée.



  Process for making foundry molds. The present invention relates to a process for making molds, in particular for making molds in a single piece having complicated or irregular cavities or hollows. The invention also relates to a mold produced according to this process.



  For the preparation of one-piece molds intended for the casting of metal parts, it has hitherto been customary to manufacture a model from a material which is in the solid state at normal temperatures, for example wax. or in a low point metal. fusion. This pattern was then incorporated into another material capable of forming a mold and suitable for the metal that was to be cast. The material forming the mold was then dried in an oven, and subjected to a temperature high enough to melt the wax or metal, which was evacuated from the mold to obtain a cavity in which the intended metal was poured. to form the casting.



  But the preparation of one-piece molds by these methods did not work. not entirely satisfactory results. Wax is relatively soft and, due to its low mechanical strength, temporary-lasting models made from it must be limited in size, they are subject to. deformation and they must be incorporated into an equally soft material.

   For the fabrication of models with low melting point metals, it is necessary to mold the temporary models under high pressure, for example by die casting, in order to provide the main mold with all the details. the required fineness, which increases production costs.



  But the main disadvantage of using models made of wax or low-melting metals is the time required and the. loss caused by the recovery of wax or metal in the final mold. When melting the model, the surface tension of the liquefied material is too low to allow recovery of all of the model material and it is therefore necessary to volatilize the remainder of wax or metal at a relatively high temperature. . It is not only the result. waste of time, but in these processes it is not practically possible to recover all of the expensive material from the models.

   The temperature required for the last remnants of the model material to volatilize also has an effect. harmful on the. material forming the mold, and this is in particular the case when the mold has relatively large dimensions.



  The object of the present invention is therefore to provide a process for the preparation of one-piece molds using models made of a metallic material which is in the liquid state at ambient foundry temperature and which freezes at temperatures significantly below zero.

   A wide variety of materials can be used, for example mercury, liquid alloys of sodium and potassium, amalgams of mercury which are liquid at mold processing temperatures, for example amalgam of mercury with a low proportion of cad- mium, zinc or silver. It should be noted that most of these amalgams are liquid at normal temperatures and freeze at temperatures well below zero degrees centigrade.



  Mercury is preferably used in a relatively pure state, since it has properties which make it particularly suitable for this purpose. But it is understood that the invention is not limited to this special case, as mercury can.

   contain impurities, in solution or in suspension or retains do not affect the physical properties even amalgamated, provided that these impu- of mercury, which. make it a particularly suitable material for the intended purpose.



  For the manufacture of temporary models used in the manufacture of castings, it has been found that mercury is specially indicated due to its high surface tension, which allows it to flow easily out of ordinary molds, which also allows recovering all of the material from the temporary models in the ordinary molds. In addition, mercury volatilizes at temperatures of 370 C and below, and it condenses easily, so that it is possible to completely recover the material of the model, even in molds of complicated shape, without this results in any deterioration of these molds.



  Mercury also has a high density and can be mechanically divided into parts having almost molecular dimensions. This avoids the centrifugal or pressure casting of the temporary models in order to obtain an exact reproduction of the details which must be provided in the main mold. Mercury also has lubricating properties and therefore does not affect the complicated cavities of the main molds, nor does it exert any detrimental action on the walls of the final casting mold. The main mold therefore has a relatively high value. long and exact reproductions can be obtained with the final mold.



       The mercury also produces a cleaning effect on the surface of the mold, and it can be easily cleaned by simple filtering. A small amount of pattern material may therefore suffice for large-scale production.



  In addition, mercury has thermal properties which make it particularly suitable for making temporary models in casting processes. For example, it has a low coefficient of thermal expansion which becomes approximately zero as material solidifies. As a result, the mercury confidently registers all the details of the main mold and the mercury model can be easily removed from this main mold, even if this temporary model carries straight or threaded transverse gaskets. Mercury also has a high coefficient of thermal conductivity.

   This property is particularly important, because it shortens the manufacturing cycle and, in the preparation of the final mold, the mercury melts first in the small angles of the mold. On the other hand, and thanks to the high surface tension, the molten mercury keeps the solid mercury core in suspension, so that the fine details of the mold are not likely to be damaged. This property also allows details to be added to the model after it has been removed from the main mold, or the model can be worked on or repaired.

   It is also possible to make model fractions in separate main molds, and then assemble the fractions using sea curing or fusion pins.



  In the frozen state, mercury also has good surface hardness and high mechanical strength, which reduces loss of fineness of detail or deviations in dimensional accuracy during handling of the solid model, during the cycle of molding of parts. This feature also allows models to be incorporated into commercial casting materials, such as foundry sand, and these materials can be stuffed or pounded strongly against the surface of the model. There is therefore no limit to the dimensions of the molds and the castings to be produced.



  Accordingly, an object of the invention is to provide a process for the preparation of molds.



  Another object of the invention is to produce a mold according to said process. The subject of the invention is a process for preparing a mold, characterized in that a metallic material is introduced which is in the liquid state at the ambient temperature of the foundries, and which freezes at temperatures less than 0 C in a main mold, in that this material is frozen to form a model, in that this frozen model is removed from the main mold, in that this model is coated with the frozen state in a molding composition and in that which is subjected. the final mold thus obtained at a temperature at which the model liquefies, the liquid being. then discharged from the final mold.



  Embodiments for carrying out the process according to the invention will be described by way of examples.



  On the drawing La fia. 1 is an overview showing the different operations that make up the process.



  The fia. 2 is an end view with parts in section of a main mold used in the manufacture of the temporary model.



  The fia. 3 is a cross-sectional view taken along line 3-3 of the fia. 2.



  The fia. 4 is a cross-sectional view taken along line 4-4 of the fia. 1 and shows a refrigeration apparatus, the mold being shown in elevation.



  Fig. -5 is a perspective view of a finished model, shown in its solidified state by freezing.



  Fig. 6 is an elevational view of a frame for receiving the frozen model and the molding material, with parts of the frame broken away to show the upper parts of the model and the molding material.



  The fia. 7 is a cross-sectional view taken along line 7-7 of FIG. 6.



  The fia. 8 is a cross-sectional view taken along line 8-8 of the fia. 1, and shows a mercury scrubber with some parts in elevation, the frame being shown in an inverted position to allow mercury to flow out of the final mold.



  The .fia. 9 is a sectional view of an oven for heating the material forming the final mold, and for volatilizing the last remains of the liquid.



  The fia. 10 is a cross-sectional view of the final mold with certain parts shown in elevation.



  The fia. 11. is a front elevational view showing a temporary model made up of several equally temporary elements.



  The fia. 12 is a side elevational view of the model shown in. trust. 11.



  The fie. 13 is a quick side elevation of the upper part of the model shown. them. 11 and 12, before placing the supports.



  The. Fia. 14 is a cross-sectional view taken along line 14-14 of the fie. 13.



  The fia. 1.5 and 16 are elevation views of small temporary models which are. manufactured separately and which are then attached to other temporary models to obtain a composite model as shown in fia. 11 and 12.



  The fia. 1.7 is an elevational view of a solidified or frozen model having. the shape of a spring.



  Fig. 18 is an elevational view with certain parts in section of the final mold for the casting of the spring, the temporary model of which is shown in FIG. 17.



  The. Fia. 19 is an elevational view of two model elements, the upper element being shown in solid lines as it exits the mold and in dotted lines in the assembly position, in which it constitutes a model composed with the element inferior.



  Fig. 20 is an end view of the model elements shown in FIG. 19.



  Fig. 21 is a side elevational view of a frozen model in the form of a chain link.



  The fi-. 22 is a plan soot of frozen models in the form of chain links, assembled to form a chain and incorporated into a mass of foundry sand.



  Fig. 23 is a cross-sectional view taken along line 23-23 of FIG. 22. Fig. 21 is an elevational view of a frozen model in the form of a chain link, with parts of this link separated to allow placement of a next link.



  Fig. 25 is an elevational view of a frozen model composed of chain links, some of which are assembled and one of which is in an assembled position.



       As stated above, different materials which are in the liquid state at the ambient temperatures at which the mold is prepared can be used for making the model and the mold in one piece.

   However, to simplify the description, only the use of mercury will be discussed. - In general, for the making of molds by this process, first of all is prepared in the usual manner a main mold having a tap hole, and this mold is introduced into a refrigerating appliance capable of freezing the mercury. Mercury in the liquid state is poured into the cavity of the main mold, which is then frozen. The frozen mercury model is removed from the main mold, placed in a frame, and embedded in a molding material capable of agglomerating or solidifying to form the final mold.

   The mercury is then liquefied and evacuated, said final mold, and leaves therein a cavity similar in shape to that of the mercury model. The mold is then dried in a suitable oven and the metal used in the manufacture of the casting is poured inside the mold. The latter is finally destroyed for the removal of the casting by the usual demolding operations.



  The general progress of the process is shown in fig. 1 of the drawing, in which 1 designates the refrigerator apparatus, 2 the molding material, 3 the mercury purifier, 4 the oven and 5 the final mold, in one piece, from which the by casting the desired metal part.



  Figs. 2 to 10 more particularly represent the process for the manufacture of a temporary model in frozen mercury, as well as the operations for the preparation of the final mold. As shown in Figs. 2 and 3, we first build a divisible main mold, formed of two shells 6 and 7 which are. held together by a device such as, for example, a spring 8. This mold has a tap hole 9 in its assembly plane.

   It can be seen that, in the mold shown, the two shells are provided internally with longitudinal ribs 1.1 and 12, serving to form grooves in the model, and that these two shells also carry two internal rectangular fittings 12 (of which only one is shown) and which extend on one side of the mold at the division plane, towards the opposite ends of the mold cavity.

    Two similar linings 14, rec-tangular in shape, extend into the mold cavity on the opposite side of the mold. The linings are provided with handles 15 which allow them to be conveniently removed from the model after making it. Of course, the gar nitures 1.1, 12, 13 and 14 can receive any shape. For example, they can be threaded to form threaded holes in the model.



  To make the frozen model, the main mold is introduced into a refrigerator, capable of causing the so-called mercury freezing, and the mercury in the liquid state is then poured into the cavity of this mold through the taphole 9 As shown in the drawing, this device consists of a reservoir 16, of which the.

   The walls are made of a material which is a poor conductor of heat, and this tank is divided into two communicating chambers 17 and 1.8 by means of a partition 19 which stops at a short distance from the bottom. Chamber 17 contains dry ice and. it is bathed in a liquid having a low freezing point, a liquid which is, for example, constituted by acetone or ethylene dichloride. This liquid can freely enter chamber 18, where it comes into contact with the main mold and causes the curing sea to freeze.



  As shown in the drawing, the low boiling point liquid does not completely cover the main mold, so the taphole remains clear to receive the mercury. However, it does not matter that this liquid can filter inside the mold cavity. Any amount of liquid that may have penetrated inside this mold is displaced by the heavier mercury, where the main mold can therefore be fully immersed in the low-boiling liquid, the mercury pouring into the cavity of the mold then taking place through the relatively light liquid.

   In fact, the latter process has certain advantages, since, while a low boiling point liquid, in particular acetone, is. moved in the mold by mercury, demoulding and removal. of the frozen mercury model is facilitated.



  After freezing mercury, the mold that contains it is. removed from the liquid bath, the spring 8 is removed, the mold is opened and the linings 13 and 14 are removed. In this way, a frozen mercury model is obtained as shown in fig. 5 of the drawing.



  Thanks to the high density of mercury and the fact that it can be divided into particles of molecular size, it is not necessary to mold the mercury under high pressure to obtain the recording of the most detailed details. ends of the mold. Moreover, thanks to the lubricating properties, the mercury does not attack in any way the protrusions or seals placed in the mold cavity.

   The main mold can therefore be used for a long time. Since mercury has a low coefficient of thermal expansion, which is approximately zero when the curing sea solidifies, it is also seen that the linings 13 and 14 can be easily removed from the frozen mercury model. As shown in the drawing, the angular section ribs form on the model grooves 20 which exactly reproduce the shape of the ribs, and linings form rectangular grooves 21 of identical shape.



  After removal from the mold, the mercury model has considerable stability, good surface hardness and high mechanical strength. It is then coated in a composition suitable for the preparation of a mold used for the manufacture of castings, for example in foundry sand.



  For the preparation of the final mold, the mercury model is placed in a frame 22 which can have any shape. As shown in the drawing, this frame consists of two shells of curved section 23 and 21, articulated one on the other at 25 and joined together by a pin 26 on the side opposite to the articulation.

   The upper and lower elements of the frame are formed by plates or discs 27 and 27a, joined by a spacer 28, and the upper plate 27 is pierced with an opening 29, through which one can introduce the coating material. bage. Given the high surface hardness of the mercury model in the frozen state, the embedding material or composition may be stuffed or pounded, in order to be tight all around the model.



  After the. Once the coating composition has been taken, the model is allowed to melt in mercury, the weight 30 then forming the neck hole of the mold. Melting of the sea-cure model can take place at ambient air temperature in the foundry. The frame can also be introduced into a hot chamber or heat can be applied to accelerate the melting of the model into mercury. The frame 22 is then overturned in the manner shown in FIG. 8 and mercury may flow out of the chassis.

   Mercury can be conveniently purified by passing it through a screen 31 and a filter 32 to the interior of a container 33. Thanks to its high surface tension, the mercury flows entirely out of molds. ordinary, but if the mold is complicated in shape, it may become necessary to volatilize the last remaining mercury. This can be done moderately during the drying of the mold, as shown in particular in FIG. 9 of the drawing, in which 34 denotes an oven into which is introduced the frame 22 containing the final mold.

   In particular, it should be noted that, when wax or low melting point metals volatilize in the mold, it is necessary to heat the mold to a high temperature, which affects the constitution of the mold. When using temporary mercury models for the preparation of the mold, it suffices to heat the mold to a temperature of about 370 C to recover the last traces of mercury.

   This temperature is about that which is necessary for drying and hardening of the mold. As shown in fig. 9, the volatilized mercury can escape through a suitable chimney 35, opening into a condensing chamber 36, where the mercury easily condenses to be collected in a container 37.



  The mold is then removed from said furnace and the metal is poured into the cavity of this mold, from which the mercury model has been removed in the manner indicated in fig. 10. The final casting of the metal can be effected by simple casting or by centrifugation or pressure casting. The chassis is then removed from the. mold and this is destroyed for demolding of the casting.



  Due to the high thermal conductivity of the frozen mercury models, certain amounts of material can be added to the model in the liquid state, which easily weld to the solid state model. After removing the solidified model from the main mold, we can thus add weights forming a part with the model at any point, this quickly to satisfy the conditions of the final molding.

   The different parts of the model can also be made separately and assembled by welding or using pins made of the same material as the whole model. The pins and the different elements then weld together to form a block, which can then be embedded in the final mold as a one-piece model.



  Figs. 11 and 12 show an example of a complicated frozen mercury model. Some parts of this model are shown separately in figs. 13 to 16. As shown in fig. 11 and 12, the mercury model consists of a base 38 on which is fixed by pins 40 a slide 39 formed by a separate mercury model. The centering pins may be integral with the slide 39 and holes may be provided in the base 38 during forming of the mercury models.

   After assembly, these elements are welded to each other. Other elements can be added in a similar way. For example, one can fabricate in a separate main mold two mercury models in the form of bearing caps pierced with an opening 42. Likewise, centering pins 43 can be made in a separate main mold, and these pins can be inserted in the recesses made in the slide 39, as shown more clearly in FIG. 12.

   In a similar fashion, separate mercury models can be made in the form of pad bosses 44, pierced with an opening 45 and provided with centering pins 46, and these models can be attached to the base, with the pins. centering pins engaged in holes made in the base, as shown in particular in FIGS. 11 and 12. When the mercury compound model is finished, it can be embedded in a molding composition suitable for making the final mold, for casting a metal in the manner previously described for the model shown in Fig. fig. 6.

        Thanks to the very special characteristics of mercury, it can be used for making many other models, for example the one shown in fig. <B> 17. </B> A wire or rod shaped model can be frozen in a main mold. After removing the mercury model and exposing it to air for a short time at a temperature bringing the mercury close to its melting point, this mercury becomes ductile and can be wound around a mandrel. to obtain a spring-shaped mercury model. 47, as shown in fig. <B> 17 </B> of the drawing.

   The mercury model thus obtained can be coated in a molding composition, for example foundry sand. The mold is then left to rest until the composition sets in place and, when the mercury begins to melt, it can flow out of the mold 48 to form a cavity making it possible to obtain the final casting, after the material has hardened. molding of the. usual way.



  Figs. 19 to 23 show. of which material a chain is obtained using the process. As shown in Figs. 19 and 20, frozen mercury models 49 and 50 are first made. The upper model is frozen in a main mold and. receives recesses 51, while the lower model is frozen in a main mold which provides it (the centering pin 52. Fig. 19 shows in dotted lines the upper element of the model in its assembly position with the element. lower, the centering pins 52 being engaged in the recesses of the element 49 to form a chain link.

    The frozen upper element is provided with a weight 53 intended to form a casting trort in the final mold. Fig. 21 shows a frozen mercury model forming the next chain link which is. indicated at 54. This link is also fitted with a weight 55. Models 49, 50 and 54 can be manufactured in a similar way to that indicated for the model in, fig. 6.

      To compose the chain, the elements 49 and 50 are assembled through the openings 56 of two spaced links 54, and as many links are used as are necessary to form a complete chain.



  The resulting mercury compound model is. coated in foundry sand in the manner shown in fig. 22. It is then necessary to ensure that the sand penetrates well between the separated links. The mercury is then allowed to liquefy and the mold is inverted to allow the mercury to flow. In this way a one-piece mold is obtained in which the serving metal can be poured. to the production of the chain. The mold is. finally destroyed for the release of the chain, in the usual way in foundries.



  Figs. 24 and 25 of the drawing show a variant of the process for the manufacture of a frozen mercury model having. the shape of a chain. In this variation, a number of mercury models 57, composed of branched skies <B> 58 </B> and: ï9 apart from each other and carrying a weight 60, are formed in the manner indicated by the fi-. 24.

   The frozen mercury models are obtained in the main mold in the manner previously described. Another series of models is frozen mercury. manufactured with the form shown in fig. 25. These links are indicated at 61a and 61b and each wears a weight 62.

   The frozen mercury links can be put together by doing. pass a branch of link 57 through the opening of a link 61a and through the opening of a spaced link 61b. as shown in fig. 25. Thanks to. ductile nature and. adherent mercury, after being exposed to air for a short time, at a temperature bringing the mercury close to its melting point.

    the branches 58 and 59 can be easily clamped against each other, as indicated by line 63, and these branches adhere to one another to form a closed link. In this way, it is possible to obtain a ciiaine having the desired length. The chain is then coated clans (read sand (the foundry in the manner indicated by fia. 22.

   After the mold has set and the mercury liquefies, the latter is evacuated to form the cavity in which the metal used for the manufacture of the casting is poured.

 

Claims (1)

REVENDICATIONS I. Procédé de confection de moules de fon derie, caractérisé en ce que l'on introduit un matériau métallique, qui se trouve à l'état liquide à la température ambiante des fon deries et qui se congèle à des températures inférieures à 0 C dans un moule principal, en ce que l'on fait congeler ce matériau pour former un modèle, en ce que l'on enlève ce modèle congelé du moule principal, en ce que ce mo dèle est enrobé à l'état congelé dans une com position de moulage et en ce que le moule final ainsi obtenu est soiunis à une tempé rature à laquelle le modèle se liquéfie, CLAIMS I. Process for making foundry molds, characterized in that a metallic material is introduced which is in the liquid state at ambient temperature of the foundries and which freezes at temperatures below 0 C in a main mold, in that this material is frozen to form a model, in that this frozen model is removed from the main mold, in that this model is coated in the frozen state in a com molding position and in that the final mold thus obtained is united at a temperature at which the model liquefies, le liquide étant ensuite évacué du moule final. II. 11loiLle produit selon le procédé de la revendication I. SOUS-REVENDICATIONS 1. Procédé suivant la revendication I, ca ractérisé en ce qu'on utilise comme matériau métallique du mercure. 2. Procédé suivant la sous-revendication 1, caractérisé en ce que l'on lubrifie le moule principal avant l'introduction du mercure. 3. the liquid then being discharged from the final mold. II. The product according to the process of claim I. SUB-CLAIMS 1. The process of claim I, characterized in that mercury is used as metallic material. 2. Method according to sub-claim 1, characterized in that the main mold is lubricated before the introduction of the mercury. 3. Procédé suivant la sous-revendication 2, pour la confection d'un ressort hélicoïdal, ca ractérisé en ce que le moule principal pré sente une cavité et en ce que l'on enroule le modèle congelé autour d'un mandrin pour former mi ressort hélicoïdal. 4. A method according to sub-claim 2 for making a coil spring, characterized in that the main mold has a cavity and in that the frozen model is wound around a mandrel to form a coil spring. . 4. Procédé suivant la sous-revendication 2, caractérisé en ce que l'on assemble le modèle congelé dans le moule principal avec un autre modèle obtenu de la même façon pour former un modèle composé. 5. Method according to sub-claim 2, characterized in that the model frozen in the main mold is assembled with another model obtained in the same way to form a compound model. 5. Procédé suivant la sous-revendication 4, caractérisé en ce que l'on forme -Lin. modèle congelé au moyen d'un moule principal qui présente une cavité en forme d'un maillon de chaîne et qu'on. congèle dans des moules sépa rés des modèles en forme d'un demi-maillon, deux de ces demi-maillons étant ensuite enfilés à travers l'ouverture du maillon entier après démoulage, et des extrémités adjacentes des- dits demi-maillons étant réunies pour former un modèle composé. 6. Process according to sub-claim 4, characterized in that -Lin is formed. frozen model by means of a main mold which has a cavity in the shape of a chain link and which one. freezes models in the shape of a half-link in separate molds, two of these half-links being then threaded through the opening of the whole link after demoulding, and adjacent ends of said half-links being joined to form a compound model. 6. Procédé suivant la sous-revendication 2, caractérisé en ce que l'on forme un modèle congelé dans un moule principal qui présente une cavité en forme d'iui maillon de chaîne et en ce que l'on forme un autre modèle dans un autre moule qui présente une cavité en forme d'un maillon ouvert et en ce que, après démoulage, on introduit le premier maillon par l'ouverture du maillon ouvert dont les extrémités sont ensuite réunies pour former un modèle composé de deux maillons. 7. Process according to sub-claim 2, characterized in that a frozen model is formed in a main mold which has a cavity in the form of a chain link and in that another model is formed in another mold. which has a cavity in the form of an open link and in that, after demolding, the first link is introduced through the opening of the open link, the ends of which are then joined together to form a model composed of two links. 7. Procédé suivant la revendication I, ca ractérisé en ce que le modèle est enrobé dans une composition de moulage qui peut être dé truite pour en retirer l'article coulé dans le moule. 8. Procédé suivant la sous-revendication 7, pour la confection de moules en une pièce, ca ractérisé en ce que le modèle congelé est en robé dans une matière de moulage siliceuse. A method as claimed in claim 1, characterized in that the pattern is embedded in a molding composition which can be broken down to remove the cast article therefrom. 8. A method according to sub-claim 7, for making molds in one piece, characterized in that the frozen model is robed in a siliceous molding material.
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Cited By (2)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4160313A (en) * 1975-09-25 1979-07-10 Rolls-Royce Limited Method of making a wax pattern for a shell mould
US7237375B2 (en) * 2004-10-28 2007-07-03 Humcke Michael W Investment cast, stainless steel chain link and casting process therefor

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