Installation de sondage par résistance. L'invention a pour objet une installation de soudage par résistance, spécialement appli cable à la soudure électrique de chaînons.
Actuellement, on emploie en pratique usuelle l'une des deux méthodes suivantes de commande de la durée du temps pendant le quel le joint de chaque chaînon est soumis à l'échauffement par le courant électrique. Selon l'une de ces méthodes, l'opérateur sur veille chaque joint pendant le soudage, l'opé rateur interrompantle courant électrique sitôt que le joint a atteint une température qui, à son avis, est suffisante pour assurer une soudure satisfaisante. Par cette méthode, la résistance et l'efficacité de la soudure dépen dent de l'expérience que l'ouvrier a à juger à l'oeil la température correcte.
L'autre mé thode employée actuellement est automatique, l'interruption du courant étant commandée soit au moyen d'une came qui peut être réglée pour couper le circuit électrique après un in tervalle de temps déterminé -à l'avance, soit au moyen d'un pyromètre de radiation sensi ble aux radiations thermiques émises par la soudure et servant à actionner l'interrupteur principal de commande du courant de sou dure, par l'intermédiaire d'un système de relais.
L'installation selon l'invention est carac térisée en ce qu'elle comporte au moins une cellule photosensible susceptible d'être in fluencée par l'intensité de radiations émises par la soudure pendant l'opération de soudure et d'agir sur au moins un organe de l'instal lation.
La cellule susceptible d'être influencée par l'intensité de radiations émises par la soudure peut être une cellule photoélectrique ou au sélénium; elle peut être influencée par des rayons calorifiques ou lumineux et agir, par exemple, par l'intermédiaire d'un ampli ficateur ou d'un relais pouvant comprendre une valve thermionique du type thyratron, sur un interrupteur pour couper le courant et interrompre l'opération, lorsque les radiations ont une intensité:
déterminée, ou sur d'autres parties de l'installation, par exemple sur un robinet commandant la fourniture d'air com primé de refroidissement pour les outils ser vant à serrer les pièces à souder l'une contre l'autre.
L'installation peut comporter, par exem ple, deux cellules photo-électriques fonc tionnant en combinaison, une cellule étant plus sensible à des radiations visibles et l'autre plus sensible à des radiations invi sibles, telles que les radiations infrarouges, un filtre infrarouge étant intercalé entre la, soudure et la cellule la plus sensible aux ra diations infrarouges.
Les radiations émises par la soudure peu vent être dirigées sur la cellule au moyen d'un système de lentilles et de prismes.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'instal lation selon l'invention.
La fig. 1 est un schéma de la disposition générale de l'installation complète; La fig. 2 est un schéma de l'unité de commande de l'appareil à souder; La fig. 3 est une vue schématique de l'unité à cellule photoélectrique seule. L'unité à, cellule photoélectrique est dé signée d'une manière générale par le chiffre de référence 1 (fig. 1 et 3), et elle comporte deux cellules photoélectriques C, et C2, la cellule C, étant plus sensible aux radiations visibles, la cellule C_ étant plus sensible aux radiations infrarouges, cette caractéristique étant réalisée en plaçant devant la cellule C_ un filtre 2 infrarouge.
Chaque cellule pré sente, en série avec elle-même, une forte ré sistance R, et R_, pour limiter le courant d'ionisation dans le cas où une cellule à rem plissage de gaz est employée, bien qu'il soit employé de préférence des cellules vides de gaz.
Les cellules C, et C.,,, reçoivent du cou rant qui les parcoure dans un seul sens, au moyen des enroulements du transformateur TR,, de la valve redresseuse V_, de la ré sistance égalisatrice Ii", et des condensateurs Kl et K_, le fil positif étant relié à la ré- sistance R, et le fil négatif à la résistance R_. En parallèle avec les cellules C, et C , et les résistances R, et R_ se trouvent:
les résis tances R;, et R,ç et le potentiomètre PO.,<I>les</I> résistances R;, et R4 étant réglables. Le point de ,jonction 3 des cellules est relit' à la grille de la lampe l'1, la cathode de cette lampe étant reliée au point de dérivation du poten tiomètre P0.
Par conséquent, le potentiel de grille de la lampe V, dépendra des valeurs relatives des résistances des cellules Cl et C_, tandis que le potentiel de cathode dépendra, du réglage du potentiomètre<I>P0.</I> Lorsque la température de la soudure augmente, la ra diation totale émise par le, métal chaud aug mente jusqu'à ce que la résistance équiva lente de chaque cellule diminue. Egalement, lorsque la température. augmente, la propor tion de lumière visible augmente.
La résis tance équivalente de la cellule -C.; ('avec son filtre infrarouge) n'a pas tendance à dimi nuer de ce fait, et en réalité, si cela était le seul changement se produisant (c'est-à-dire si la radiation totale n'augmentait pas, mais que seule la proportion de radiation visible augmente), la résistance équivalente de cette cellule augmenterait. Cependant, la cellule C, est fortement sensible aux radiations visibles et, par conséquent, sa résistance équivalente diminue par suite de la proportion accrue d'énergie visible.
Ainsi, la résistance équi valente de la cellule C, diminue pour deux raisons, à savoir l'augmentation de la radia tion totale et l'augmentation de la proportion des radiations visibles. La résistance équiva lente de la cellule C_ diminue cependant seu lement par suite de l'augmentation de la ra diation totale, la proportion allant en aug mentant de la radiation visible, tendant à avoir l'effet inverse, et ainsi la somme des effets est que la résistance équivalente de la cellule Cl diminue beaucoup plus rapidement que celle de la cellule C_. Par conséquent, le potentiel à leur point de jonction 3 (et par conséquent également celui de la grille de la lampe V,) devient de moins en moins négatif au fur et à mesure que la température du métal à souder augmente.
Le potentiomètre PO est réglé de telle sorte qu'au début la cathode de la lampe Y, est plus positive que la grille, c'est-à-dire la grille est négativement polarisée. Comme expliqué ci-dessus, lorsque la température de la soudure augmente, le potentiel de la @ grille devient de moins en moins négatif. Le poten tiel de la cathode, une fois que le potentio mètre PO est réglé, reste cependant constant, et de cette manière la polarisation négative de la grille de la lampe Y, diminue d'une manière continue lorsque la température aug mente. Par conséquent, la résistance en cou rant continu de la lampe, de la cathode à l'anode, diminue également régulièrement lorsque la température du métal à souder augmente.
Le chaînon que l'on désire souder est dé signé par le chiffre de référence 4 et il est représenté â la fig. 1, les radiations visibles et invisibles émises par la soudure passant à travers des lentilles 5 et 6 et des prismes 7 et 8 pour arriver sur les cellules C, <I>et C</I> (fig. â).
Les grilles des tubes du type thyratron T" T2, <I>T3</I> et T4 sont toutes connectées au point de jonction 9 de la résistance R, et de la ca thode de la lampe<I>Y,.</I> La lampe<I>Y,</I> et la ré sistance R,, reçoivent du courant dans un seul sens, au moyen des enroulements du trans formateur TR,, de la valve redresseuse <I>Y,</I> de l'inductance égalisatrice L, et des conden sateurs K3 et K4, la connexion positive allant à l'anode de la lampe Y,
et la négative .à l'extrémité de la résistance Bg éloignée de la lampe. Par conséquent, le potentiel des grilles des thyratrons (qui sont tous les mêmes) dé pend des valeurs relatives de la résistance B, et de la résistance en courant continu de la lampe Y,. Cette dernière résistance diminue lorsque la température-de la soudure aug mente, tandis que la résistance RE reste cons tante. Par conséquent, lorsque la température de la soudure augmente, le potentiel de grille des thyratrons devient de plus en plus posi tif (c'est-à-dire de moins en moins négatif).
Pour le thyratron T4, sa cathode est connec tée au curseur du potentiomètre P4. Celui-ci est en série avec les résistances R, et R$ et la résistance R,, le potentiomètre P4 ainsi que la résistance R$ sont en parallèles avec la lampe Y, et la résistance R6, et de cette ma nière la résistance R,, le potentiomètre P4 et la résistance R$ sont parcourus par un cou rant continu.
Le potentiel de la cathode dé pend par conséquent du réglage du poten tiomètre P4. Celui-ci est réglé de telle sorte qu'au début la cathode des thyratrons est plus positive que sa grille, c'est-à-dire que la grille est négativement polarisée et, lorsque la température de la soudure augmente, la grille du thyratron devient de moins en moins négative, c'est-à-dire que la polarisation néga tive de la grille diminue régulièrement.
A un certain potentiel critique de polari sation, le thyratron laissera brusquement pas ser du courant et actionnera le relais L4 qui, à son tour, fermera un robinet d'une con duite d'air sous pression par laquelle un cou rant d'air comprimé, était précédemment di rigé sur les outils servant à serrer les pièces à souder l'une contre l'autre, en vue de re froidir ces outils avant que le chaînon ne soit chauffé !à sa température correcte de sou dage. De cette manière, l'arrivée d'air com primé auxdits outils est interrompue automa tiquement selon la température du chaînon.
On comprendra facilement que pour n'im porte quel réglage donné du potentiomètre P0, la température de la soudure à laquelle le thyratron T4 fonctionne, dépend de la va leur de son potentiel initial de grille, c'est-à- dire qu'elle dépend du réglage du potentio mètre P4. Semblablement, et pour n'importe quel réglage donné du potentiomètre P0, les températures des soudures, auxquelles les thyratrons T3, T2, T,
fonctionnent (thyra- trons commandant le mécanisme de soudage, un robinet à huile, le voltage de soudage et respectivement la température de soudage), dépendent des réglages des potentiomètres P3, P, et respectivement P4; les thyratrons T3, T, et T, servant à actionner le mécanisme et les interrupteurs commandant respective ment la fourniture du courant de soudage.
Avec n'importe quel réglage donné des poten- tiomètres PI, P_, P.; et P,, les températures auxquelles les thyratrons fonctionnent, peu vent toutes être augmentées ou diminuées simultanément en modifiant le réglage du po tentiomètre P0, lequel, en modifiant le po tentiel de cathode de la lampe l'1, modifie le potentiel initial de. grille et par conséquent sa résistance initiale cathode-anode. Cette n\- sistaice modifie à, son tour le potentiel ini tial de grille de tous les thyratrons.
Les résistances R;; et R, sont variables, de telle sorte que toutes les cellules, aussi fortement que leurs caractéristiques varient, peuvent être équilibrées d'une manière satis faisante dans leur circuit. La résistance 13,., qui est d'une valeur relativement forte, relie la grille de la lampe T', à la terre, de ma nière à, constituer un chemin de fuite au cas de l'écoulement du courant de grille, tandis qu'une résistance R., est également prévue sur la. conduite allant aux grilles des thyratrons.
On remarquera que<I>PO</I> est le potentiomètre utilisé pour commander la température; si le potentiomètre P, était utilisé dans ce but, cha que modification du réglage de P, nécessite rait des réglages de P_, P3, P,, taudis que le réglage du potentiomètre PO modifie les tem pératures d'actionnement de tous les thyra- trons simultanément. Le potentiomètre P, est destiné à régler le point de la caractéris tique voltage de grille/courant d'anode de la lampe T',. auquel fonctionne le thyratron T,. Pour faciliter ce réglage, des bornes 11'I sont prévues sur le fil d'anode de la lampe T',, auxquelles un milliampèremètre peut être connecté.
Les corps de chauffe de la valve et des thyratrons sont alimentés à partir d'un enroulement 10 du transformateur TRI sur lequel une lampe témoin 0 est. connectée pour montrer lorsque le courant est branché sur l'appareil. Des enroulements distincts 11 du transformateur TR2 envoient du courant al ternatif à travers l'anode et la cathode de chacun des thyratrons T,, T_, T3 et T., qui sont ainsi mis automatiquement en condition de fonctionnement 50 fois par seconde ou nui autre nombre de fois selon la fréquence de la source.
Dans les circuits d'anodes des thy- rairons sont connectés les enroulements d'ac- tionnement des relais .L,, L2, L.., et L, et les résistances limitant le courant<I>Ri,,</I> R",<I>Ri:,</I> et R".
Les bobines des relais<I>L,,</I> L2, L;, et L, efi les résistances Ri,, R,_, R,g et R,4 sont shuntées par des condensateurs<I>K.,', K, </I>, K7 et K". Les relais L,, L;, et L., présentent cha cun deux contacts 12, 13 et respectivement 14 connectés aux bornes N." N;, et respecti vement N, qui sont maintenues normalement séparées au moyen d'un ressort.
Lorsque les bobines sont; excitées, ces contacts se ferment et excitent les solénoïdes externes qui sont disposés pour faire fonctionner la machine, pour actionner un mécanisme et respective ment pour fermer le robinet d'air comprimé. Le relais L; présente trois contacts 15 reliés aux bornes N_. Le contact central et l'un des autres contacts (qui sera désigné comme le deuxième contact) sont normalement fermés par nu ressort.
Lorsque la bobine est excitée, le contact central est éloigné du deuxième contact el, se déplace contre le troisième con- lact. Le deuxième et: le troisième contact sont connectés chacun à une extrémité du solénoïde d'un contacteur principal Q, et Q2 (fig. 1). Les autres extrémités de ces deux solénoïdes sont connectées à l'une des con duites 16 d'alimentation (fig. 1). Le contact central est connecté à l'autre conduite par un interrupteur à came de la machine.
Le con tacteur Q, est; connecté à une borne intermé diaire du primaire 17 du transformateur 18 pour le soudage, donnant un voltage au se condaire relativement élevé, tandis que le con tacteur Q_ est connecté à la borne intermé diaire donnant; un voltage bas.
Lorsque 1,in terrupteur à, came se ferme, le solénoïde de Q, est excité en fermant ainsi ses contacts e1: en donnait un voltage relativement élevé clans l'enroulement secondaire 19 du trans- formaleur, enroulement qui est relié avec les électrodes qui sont en liaison électrique avec le chaînon 4. Lorsqu'une température appro priée est atteinte à, l'endroit de la soudure, le thyratron T., excite la bobine du relais L2 en ouvrant le contact central et le contact secondaire et en fermant le contact central et le troisième contact.
Ceci a pour effet que le contacteur Q, est ouvert et le contacteur Q2 fermé. De cette manière, un voltage inférieur est produit dans l'enroulement secondaire 19 du transformateur 18 et est appliqué au chaî non pendant la dernière partie du soudage. Lorsque la température de soudage requise est atteinte, les cellules photoélectriques mettent la machine en marche, le mouvement de l'arbre à came ainsi obtenu étant tel qu'il ouvre immédiatement l'interrupteur à came en interrompant ainsi le courant à travers le chaînon et en évitant une nouvelle élévation de température.
Les cellules photoélectriques pourraient aussi être disposées pour ouvrir un contacteur du circuit primaire du transfor mateur et en même temps pour mettre en marche la machine.
A la fig. 1, l'interrupteur û came est dé signé par le chiffre de référence 20, des con ducteurs 21 allant des bornes à la boîte 22 contenant des relais Ni, N2, N3 et N4 condui sant au solénoïde d'actionnement de l'em brayage. Des conducteurs 23 et 24 sont des tinés à relier respectivement les solénoïdes servant<B>à</B> actionner le mécanisme de soudage et le robinet à air.
Resistance sounding installation. The subject of the invention is a resistance welding installation, especially applicable to the electric welding of links.
Currently, one of the following two methods of controlling the length of time during which the joint of each link is subjected to heating by the electric current is employed in usual practice. According to one of these methods, the operator watches each joint during welding, the operator interrupting the electric current as soon as the joint has reached a temperature which, in his opinion, is sufficient to ensure a satisfactory weld. By this method, the strength and efficiency of the weld depend on the worker's experience in judging the correct temperature by eye.
The other method currently employed is automatic, the interruption of the current being controlled either by means of a cam which can be set to cut the electrical circuit after a predetermined interval of time, or by means of 'a radiation pyrometer sensitive to thermal radiation emitted by the solder and used to actuate the main control switch for the solder current, via a relay system.
The installation according to the invention is characterized in that it comprises at least one photosensitive cell capable of being in fluenced by the intensity of radiation emitted by the welding during the welding operation and of acting on at least an organ of the installation.
The cell likely to be influenced by the intensity of radiation emitted by the solder can be a photoelectric or selenium cell; it can be influenced by heat or light rays and act, for example, via an amplifier or a relay which can include a thermionic valve of the thyratron type, on a switch to cut off the current and interrupt the operation, when the radiations have an intensity:
determined, or on other parts of the installation, for example on a valve controlling the supply of compressed air for cooling to the tools used to clamp the parts to be welded against each other.
The installation may include, for example, two photoelectric cells operating in combination, one cell being more sensitive to visible radiation and the other more sensitive to invisible radiation, such as infrared radiation, an infrared filter being interposed between the solder and the cell most sensitive to infrared radiation.
The radiation emitted by the solder can be directed onto the cell by means of a system of lenses and prisms.
The appended drawing shows, by way of example, an embodiment of the installation according to the invention.
Fig. 1 is a diagram of the general arrangement of the complete installation; Fig. 2 is a diagram of the control unit of the welding apparatus; Fig. 3 is a schematic view of the single photocell unit. The photocell unit is generally designated by the reference numeral 1 (fig. 1 and 3), and it has two photocells C, and C2, the cell C, being more sensitive to visible radiation. , cell C_ being more sensitive to infrared radiation, this characteristic being achieved by placing an infrared filter 2 in front of cell C_.
Each cell has, in series with itself, a strong resistance R, and R_, to limit the ionization current in the case where a gas-filled cell is employed, although it is preferably employed. empty gas cells.
The cells C, and C. ,,, receive current which flows through them in one direction, by means of the windings of the transformer TR ,, of the rectifying valve V_, of the equalizing resistor Ii ", and of the capacitors K1 and K_, the positive wire being connected to the resistance R, and the negative wire to the resistor R_. In parallel with the cells C, and C, and the resistors R, and R_ are:
the resistors R ;, and R, ç and the potentiometer PO., <I> the </I> resistors R ;, and R4 being adjustable. The point of junction 3 of the cells is connected again to the grid of the lamp 1'1, the cathode of this lamp being connected to the tap point of the potentiometer P0.
Therefore, the gate potential of the lamp V, will depend on the relative values of the resistances of the cells C1 and C_, while the cathode potential will depend, on the setting of the potentiometer <I> P0. </I> When the temperature of the welding increases, the total radiation emitted by the hot metal increases until the equivalent resistance of each cell decreases. Also, when the temperature. increases, the proportion of visible light increases.
The equivalent resistance of the -C cell; ('with its infrared filter) does not tend to decrease because of this, and in reality, if this was the only change occurring (i.e. if the total radiation did not increase, but only the proportion of visible radiation increases), the equivalent resistance of this cell would increase. However, the C cell is highly sensitive to visible radiation and, therefore, its equivalent resistance decreases as a result of the increased proportion of visible energy.
Thus, the equivalent resistance of cell C decreases for two reasons, namely the increase in total radiation and the increase in the proportion of visible radiation. The equivalent resistance of the C cell decreases, however, only as a result of the increase in total radiation, the increasing proportion of visible radiation tending to have the opposite effect, and so the sum of the effects is that the equivalent resistance of cell C1 decreases much faster than that of cell C_. Consequently, the potential at their junction point 3 (and therefore also that of the grid of the lamp V 1) becomes less and less negative as the temperature of the metal to be welded increases.
The PO potentiometer is adjusted so that at the start the cathode of the lamp Y is more positive than the grid, that is to say the grid is negatively polarized. As explained above, as the temperature of the solder increases, the potential of the @ grid becomes less and less negative. The potential of the cathode, once the potentio meter PO is set, however remains constant, and in this way the negative polarization of the grid of the lamp Y, continuously decreases as the temperature increases. Therefore, the DC resistance of the lamp from the cathode to the anode also decreases steadily as the temperature of the metal to be welded increases.
The link which is to be welded is signed by the reference numeral 4 and is represented in FIG. 1, the visible and invisible radiation emitted by the solder passing through lenses 5 and 6 and prisms 7 and 8 to reach cells C, <I> and C </I> (fig. Â).
The grids of the thyratron type tubes T "T2, <I> T3 </I> and T4 are all connected to the junction point 9 of the resistor R, and the lamp ca thode <I> Y,. </ I> The lamp <I> Y, </I> and the resistor R ,, receive current in only one direction, by means of the windings of the transformer TR ,, of the rectifier valve <I> Y, </ I > the equalizing inductance L, and the capacitors K3 and K4, the positive connection going to the anode of the lamp Y,
and the negative .at the end of resistor Bg remote from the lamp. Therefore, the potential of the gates of the thyratrons (which are all the same) depends on the relative values of resistance B, and the dc resistance of the lamp Y ,. The latter resistance decreases when the temperature of the solder increases, while the resistance RE remains constant. Therefore, as the temperature of the solder increases, the gate potential of the thyratrons becomes more and more positive (ie less and less negative).
For thyratron T4, its cathode is connected to the cursor of potentiometer P4. This is in series with the resistors R, and R $ and the resistor R ,, the potentiometer P4 as well as the resistor R $ are in parallel with the lamp Y, and the resistor R6, and in this way the resistor R ,, the potentiometer P4 and the resistor R $ are traversed by a direct current.
The potential of the cathode therefore depends on the setting of potentiometer P4. This is set so that at the start the thyratron cathode is more positive than its grid, i.e. the grid is negatively polarized, and when the solder temperature rises, the thyratron grid becomes less and less negative, that is to say that the negative polarization of the grid decreases regularly.
At a certain critical polarization potential, the thyratron will suddenly turn off current and actuate relay L4 which, in turn, will close a valve of a pressurized air line through which a flow of compressed air. , was previously focused on the tools used to clamp the parts to be welded against each other, in order to cool these tools before the link is heated! to its correct welding temperature. In this way, the supply of compressed air to said tools is automatically interrupted according to the temperature of the link.
It will be easily understood that for any given setting of the potentiometer P0, the temperature of the solder at which the thyratron T4 operates depends on the value of its initial gate potential, that is to say it depends on the setting of potentiometer P4. Similarly, and for any given setting of the potentiometer P0, the temperatures of the welds, at which thyratrons T3, T2, T,
function (thyra- trons controlling the welding mechanism, an oil tap, the welding voltage and respectively the welding temperature), depend on the settings of potentiometers P3, P, and respectively P4; the thyratrons T3, T, and T, serving to actuate the mechanism and the switches respectively controlling the supply of the welding current.
With any given setting of the potentiometers PI, P_, P .; and P ,, the temperatures at which the thyratrons operate can all be increased or decreased simultaneously by changing the setting of the potentiometer P0, which, by changing the cathode potential of the lamp 1'1, changes the initial potential of. grid and therefore its initial cathode-anode resistance. This n \ - sistaice in turn modifies the initial grid potential of all thyratrons.
The resistors R ;; and R, are variable, so that all cells, however greatly their characteristics vary, can be satisfactorily balanced in their circuitry. The resistor 13,., Which is of a relatively high value, connects the grid of the lamp T ', to the earth, so as to constitute a leakage path in the event of the flow of the grid current, while that a resistance R., is also provided on the. pipe going to the thyratron grids.
Note that <I> PO </I> is the potentiometer used to control the temperature; if the potentiometer P were used for this purpose, each modification of the setting of P would require adjustments of P_, P3, P ,, but the setting of the potentiometer PO changes the operating temperatures of all the thyra- trons simultaneously. The potentiometer P, is intended to adjust the point of the gate voltage / anode current characteristic of the lamp T ',. in which the thyratron T, works To facilitate this adjustment, terminals 11'I are provided on the anode wire of the lamp T ',, to which a milliammeter can be connected.
The heating bodies of the valve and of the thyratrons are supplied from a winding 10 of the transformer TRI on which a pilot light 0 is. connected to show when power is plugged into the device. Separate windings 11 of the transformer TR2 send alternating current through the anode and cathode of each of the thyratrons T ,, T_, T3 and T., which are thus automatically put into operating condition 50 times per second or otherwise. number of times depending on the frequency of the source.
In the anode circuits of the thyria are connected the actuating windings of the relays .L ,, L2, L .., and L, and the resistors limiting the current <I> Ri ,, </I> R ", <I> Ri :, </I> and R".
The coils of relays <I> L ,, </I> L2, L ;, and L, efi resistors Ri ,, R, _, R, g and R, 4 are shunted by capacitors <I> K., ', K, </I>, K7 and K ". The relays L ,, L ;, and L. each have two contacts 12, 13 and 14 respectively connected to terminals N." N ;, and N respectively, which are normally kept separate by means of a spring.
When the coils are; When energized, these contacts close and energize the external solenoids which are arranged to operate the machine, to actuate a mechanism and respectively to close the compressed air valve. The relay L; has three contacts 15 connected to terminals N_. The central contact and one of the other contacts (which will be referred to as the second contact) are normally closed by a spring.
When the coil is energized, the central contact is moved away from the second contact e1, moves against the third contact. The second and: the third contact are each connected to one end of the solenoid of a main contactor Q, and Q2 (fig. 1). The other ends of these two solenoids are connected to one of the supply conduits 16 (FIG. 1). The central contact is connected to the other conduit by a machine cam switch.
The contactor Q is; connected to an intermediate terminal of the primary 17 of the transformer 18 for welding, giving a voltage to the condar relatively high, while the contactor Q_ is connected to the intermediate terminal giving; low voltage.
When 1, the cam switch closes, the solenoid of Q is energized thus closing its contacts e1: by giving a relatively high voltage in the secondary winding 19 of the transformer, which winding is connected with the electrodes which are in electrical connection with link 4. When an appropriate temperature is reached at the place of the weld, thyratron T., energizes the coil of relay L2 by opening the central contact and the secondary contact and closing the central contact and the third contact.
This has the effect that contactor Q, is open and contactor Q2 closed. In this way, a lower voltage is produced in the secondary winding 19 of the transformer 18 and is applied to the chain during the last part of the welding. When the required welding temperature is reached, the photoelectric cells start the machine, the movement of the camshaft thus obtained being such that it immediately opens the cam switch thereby interrupting the current through the link and avoiding a further rise in temperature.
The photoelectric cells could also be arranged to open a contactor of the primary circuit of the transformer and at the same time to start the machine.
In fig. 1, the cam switch is designated by reference numeral 20, conductors 21 going from the terminals to the box 22 containing relays Ni, N2, N3 and N4 leading to the actuating solenoid of the clutch . Conductors 23 and 24 are connected respectively to the solenoids serving <B> to </B> actuate the welding mechanism and the air valve.