CH172928A - Installation de signalisation ferroviaire. - Google Patents

Installation de signalisation ferroviaire.

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CH172928A
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Dupont Paul
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Dupont Paul
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    • BPERFORMING OPERATIONS; TRANSPORTING
    • B61RAILWAYS
    • B61LGUIDING RAILWAY TRAFFIC; ENSURING THE SAFETY OF RAILWAY TRAFFIC
    • B61L3/00Devices along the route for controlling devices on the vehicle or train, e.g. to release brake or to operate a warning signal
    • B61L3/02Devices along the route for controlling devices on the vehicle or train, e.g. to release brake or to operate a warning signal at selected places along the route, e.g. intermittent control simultaneous mechanical and electrical control
    • B61L3/08Devices along the route for controlling devices on the vehicle or train, e.g. to release brake or to operate a warning signal at selected places along the route, e.g. intermittent control simultaneous mechanical and electrical control controlling electrically
    • B61L3/10Devices along the route for controlling devices on the vehicle or train, e.g. to release brake or to operate a warning signal at selected places along the route, e.g. intermittent control simultaneous mechanical and electrical control controlling electrically using current passing between devices along the route and devices on the vehicle or train
    • B61L3/103Details of current transmitting conductors or contact brushes

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Electric Propulsion And Braking For Vehicles (AREA)

Description


  



  Installation de signalisation ferroviaire.



   La présente invention a pour objet une installation de signalisation ferroviaire. Cette   installation est caractérisée    en ce qu'elle com  prRn'l des organes installés    sur la voie et relies à des appareils de commande qui déter  minent leur état, des appareils signaleurs    situés dans un convoi circulant sur la voie et des organes   montéssuraumoins    un véhicule du convoi, organes conformés et disposés de manière qu'ils puissent coopérer avec les organes qui sont sur la voie pour commander lesdits appareils signaleurs lorsque les orpanes de la voie sont mis dans un état qui le leur permet.



   Le dessin   ei-a. nnexé représente, à    titre d'exemple, diverses formes d'exécution de l'installation suivant l'invention.



   La fig.   1    montre une partie d'une pre  mière    forme d'exécution, relative aux signaux d'approche d'une station ;
 La fig. 2 montre une autre partie de la même installation, relative aux   signaux d'ap-    proche d'un passage à niveau ;
 La fig.   3    est une coupe en travers de la voie qui peut être commune à cette première forme   d'exécution et à d'autres    ;
 Les fig. 4 et 5 montrent des variantes d'un détail concernant la coopération d'or  ganes installés, d'une    part, sur un véhicule, d'autre part, sur la voie.

   Il en est de même pour les fig.   11    et 12 ;
 La fig. 6 montre schématiquement une partie de l'installation située à l'intérieur d'un véhicule circulant sur la voie ;
 La fig. 7 montre une variante de cette partie de l'installation ;
 La fig. 8 montre plus complètement que   la,    fig.   1    une partie de l'installation voisine d'une station ;
 La fig. 9 montre un véhicule coopérant avec l'une des parties représentées en fig. 8 ;
 La fig. 10 représente une partie de   l'ins-    tallation aux abords d'une station sous une deuxième forme de réalisation ;

  
 La fig. 13 représente une tranche d'une partie de voie contenant celle des parties de l'installation installée sur la voie et destinée   Åa    coopérer avec les organes montés sur   véhi-    cule représentés par la fig. 14 ;
 La fig. 15 est un commutateur installé sur la voie, applicable en particulier à la partie d'installation représentée par la fig. 1 ;
 La   fig. 16    montre une autre application du levier représenté par la fig. 15 ;
 La fig. 17 représente une série de relais différents qui peuvent entrer dans plusieurs formes d'exécution de l'installation ;
 La   fig. 18 est    un schéma général montrant les'connexions à l'intérieur de la locomotive et leur relation avec les organes installés sur la voie, installation dans laquelle entrent en jeu les relais de la fig. 17 ;

  
 Les fie. 19 et 20 montrent en élévation et en plan un appareil qui caractérise une autre forme   d'exécution de l'installation    dont la fig.   21.    est un schéma général ;
 La fig. 22 montre une variante de détail 'de cette dernière forme ;
 La fig.   23    est une variante d'un dispositif contenu dans la fig. 17.



   1 et 2 désignent deux voies d'une même ligne de chemin de fer devant une station représentée schématiquement par le rectangle
C. Les trains sont supposés circuler selon le   e    sens de la   flèehe f sur    la voie 1 et selon le sens   de la flèche/'sur    la voie 2. Les proportions de la voie sont fortement faussées dans le   sens'd'une augmentation de    la   largeur    par rapport à la longueur.

   Entre les points A et   B    distants, par exemple de sept cents metres, sont installés des conducteurs 7 et 8, cela entre les rails 3 et 4 ; ces   conducteurs'constituent    les moyens de voie pour signaler, à l'intérieur d'une locomotive, l'autorisation ou la défense d'entrer dans la zone de la voie appartenant à la station pour les trains se dirigeant sur la voie 1. De même, les conducteurs 9 et 10 si  tuésentre    les rails 5 et 6 de la voie 2 transmettent les signaux d'entrée aux trains-se dirigeant sur la voie 2.

   Le rail 3 et les conducteurs 8,7,9 et 10 sont reliés   électrique-    ment par les fils   3',    7'et 8'à des organes de commande situés, par exemple, au poste d'ai  guillage de la    station C et destinés à mettre sous courant l'un ou l'autre d'entre eux selon que le train est autorisé à passer ou ne 1'est pas.



   La   fig. 2    montre des conducteurs analogues 11, 12 et   13,    disposés de part et d'autre d'un passage à niveau 14 sur une longueur de   plusieurs centaines de mètres. Ces conduc-    teurs sont relies, de même que le rail 3, à un poste de commande au moyen des fils   3',    11', 12'et 13'. Ils peuvent aussi être relies à des touches de contact installées sur les barrières elles-mêmes du passage à niveau, dans le but que la position de ces barrières détermine elle-même celui des conducteurs qui est alimenté en'courant. La fig. 3 montre en coupe comment les conducteurs   7    et 8 peuvent être monté3 sur des supports isolants fixés aux traverses et être connectés à des fils sonterrains.

   Cette coupe peut être la même que celle qui serait pratiquée selon la ligne
III-III de la   fig. 10.   



   Les fig.   4    et 5 montrent un fragment du   condtietpur 7 vu    par le côté, ainsi qu'une pièce 15 en fig. 4, et 16 en fig. 5, qui est montée sur un véhicule circulant sur la voie et destinée à prendre contact sur le conducteur.



  La pièce 15 présente la forme d'un levier et est soumise à un ressort disposé pour le cas   d'un véhicule circulant de gauche à    droite.



  Cette pièce est reliée par un   conducteur    électrique   7a    à   un    signal F montré par la fig. 6, signal qui est, d'autre part, relié par un balai 3a   ; a une    roue prenant contact sur le rail 3 ou à ce rail lui-même. Avant que le levier 15 vienne au-dessus du conducteur 7, son bras de droite est soulevé par le ressort, tandis que son bras de gauche vient au-dessous du niveau du conducteur 7, de manière que ; lors de leur rencontre, ils tournent jusqu'à faire frotter le bras de droite en même temps que lui sur le conducteur 7. La   pièce 16 de    la fig. 5 montre un organe de contact réduit à une simple lame flexible.

   La fig. 6 montre qu'un véhicule tel qu'une locomotive peut contenir un certain nombre de signaux E, E', C, C',
C", etc., dont les deux premiers concernent l'approche d'une station, les trois suivants l'approche d'un passage à niveau et les autres d'autres signaux comportant plusieurs   oti C'Lm sio-naux fixes    tels que ceux qui indiquent la pente de la voie, une vitesse    maximum, un passage non gardé, ou ordon-    nant un coup de sifflet.

   Le signal   B'peut être    constitue parun tableau, sur lequel est fi  gure    un sémaphore à bras oblique formant un   anglede45 ,tandis    que le signal E'montre un sémaphore à bras horizontal, signaux qui    ne s'éclairent que lorsqu'une lampe comprise    dans les circuits respectifs 7a et Ha est mise   fsous courant    par le contact de prises   corres-       pondantes telles que 15 avec leurs conduc-      teurs disposés sur la voie,    de manière à les   rencontrer. L'es signaux    C,   C',      C"peuvent    fi  gourer    les trois positions d'une barrière qui peut être soit ouverte, soit à demi-fermée, soit fermée.

   Les tableaux de signaux sont de pré  férence faits sur    verre translucide derrière   lesquels.    sont situées des lampes électriques.



     Les signaux jE, 2 ?',    C, C', etc. peuvent aussi être constitués par des appareils à organes mobiles qui sont la reproduction en petit des organes mobiles que comportent les sémaphores usuels, d'autres organes mobiles   installé : ; sur    les voies pour la signalisation, ou celle des barrières.



     La fig. 7 montre une    variante des   instal-      lations    intérieures cl'une locomotive corres   pondant au cas dan ? lequel le voltage du cou-    rant mis au conducteur et au rail ne convient pas Ó commander directement les appareils signaleurs E, E', etc. Les circuits fermÚs par contact avec les conducteurs tels que 7 et 8 commandent de relais simples dont la ligne de sortie est alimentée à partir d'une source disponible à l'intérieur de la locomotive, source qui consiste soit dans une batterie d'accumulateurs, soit dans le secondaire d'un transformateur prenant le courant sur la ligne dans le cas de la traction électrique.



   Les fig. 11 et   12    montrent des variantes de la   disposition des conducteurs installés    sur la voie et des frotteurs   montés sur la lo-    comotive. Des groupes simples, tels que celui de la fig.   11,    peuvent être disposés côte à côte. Dans le cas où l'installation doit comporter un grand nombre de signaux différents, il y aurait gain de place en largeur dans l'emploi d'une disposition telle que celle de la fig. 12 où les conducteurs voisins ont des hauteurs différentes. La disposition en forme de crochets montres par les fig. 11 et 12 est conçue en vue de maintenir la, surface de contact du conducteur fixe à, l'abri des poussières ou de la neige.



     Les pièces 23,    24,25 sont fixées par leurs deux extrémités sur deux traverses voisines alors que les pièces ou touches   de-contact 23,      26    et 27 sont fixées à la locomotive. Les pièces de contact de voie ainsi que celle de la   locomo-    tive sont isolées les   une-s des    autres. Tous les contacts de la locomotive peuvent être montés sur un support commun qui est mobile en hauteur et deux supports identiques peuvent être reliés par un levier permettant que l'un s'élève lorsque l'autre   s'abaisse,    ceia dans le but qu'une locomotive puisse à volonté être retournée sur une voie simple ou marcher en arrière sur une voie double.

   Ces mêmes effets peuvent être obtenus par un dispositif inversant toutes les connexions des touches avec les signaux.



   L'installation décrite jusqu'ici permet. d'obtenir les effets suivants : on supposera l'un des pôles d'une source de courant   cons-      tamment connecté avec    le rail   3,    alors qu'un commutateur situé dans un poste de commande approprié, ou   accouplé'à l'un    des signaux ordinaires d'une voie, branche l'autre   pôle de ladite source    sur l'un ou l'autre des conducteurs installes sur la voie, de manière que l'un ou l'autre commande le signal qui lui correspond sur la locomotive. Soit, par exemple, sur la fig. 1, le conducteur 7 correspondant avec un signal signifiant que la voie est libre et le conducteur 8 avec un signal si  gnifiant qu'elle    est fermée.

   Ces conducteurs commencent, par exemple, à la, distance à laquelle on place ordinairement le signal dit   "signal avancé"et    se terminent au signal dit "signal d'entrée". Le courant est ordinairement en permanence sur la conducteur 8 (fermé). Dès qu'un train parvient sur ce conducteur, le signal   E's'allume et avertit    le mécanicien qu'il peut avoir à arrêter le train au pied du   signal dit,, signal d'entrée" (point      7 ?).

   Mais    la distance   A-B étant    de 650   mè-    tres à 800 mètres, il peut arriver que la voie   e    s'ouvre avant que le train ne soit parvenu a point   B.      Le mécanien    se contente alors de ralentir seulement le convoi, de manière à pouvoir s'arrêter en B si le signal reste fermé.



  Si, par suite de l'achèvement   d'une    manoeuvre en gare, par exemple, la   voie devient libre    avant que le train n'y soit parvenu ou lorsqu'il y est arrêté, le poste de commande met le courant sur le conducteur   7.    Aussitôt, le signal's'éteint et le   signal E s'éclaire. Le    mécanicien sait alors qu'il peut continuer sa route. Le nombre des signaux qui doivent pouvoir être donnés le long d'une ligne ou sur le réseau que doivent parcourir les locomotives d'une même entreprise peut varier selon les   règlements de l'entreprise    et les usages du pays.

   Supposons que les genres et positions des signaux soient en tout au nombre de 20, la   largeur d'une loeomotive devra être divi-    sée en vingt parties, sur lesquelles se rangeront les touches de contact correspondant à ces divers signaux et la situation des conducteurs sur la voie correspondant à tel ou tel de ces signaux dépendra du rang de ce signal sur la locomotive. Pour qu'une locomotive puisse voyager dans les deux sens sur une voie, elle peut être munie d'un double jeu de touches de contact dont l'un est abaissé   lors-    qu'elle circule dans un sens, jeu qui est relevé et remplacé par l'autre lorsqu'elle circule dans l'autre sens.

   Elle peut aussi être munie, dans le même but, d'un commutateur inversant tous les circuits simultanément lors   d'un re-    tournement de la locomotive sur une voie simple ou de son recul sur une voie   double.   



   On peut aussi prévoir que les vingt si   gnauxenvisagéssontrépartissurla,moitié    seulement de la largeur et répétés dans'ordre inverse sur l'autre moitié. Les touches pourront dans ce cas disposer chacune de la place nécessaire par une disposition en quinconce sous la locomotive.



   Les signaux de sortie des gares peuvent ; être donnés de la même manière par des con  ducteurs disposés    aux lieux de stationnement des trains tels que les conducteurs   lEi    de la fig. 8. Mais, par   suite de la, complexité    des voies dans les gares, on pourra préférer des conducteurs 19   (fig.    9), situés à peu près à la hauteur du toit d'un vagon et en dehors de la voie. Dans ce cas, la locomotive 21 sera munie d'un levier dont un bras 20   (fig.    9), pourra être mis en contact avec ledit conductenir. Cette disposition pourra être conservée dans les formes décrites ci-après qui comportent des prises de contact discontinues pour les signaux situés hors des stations.



   Pour les trains directs qui ne s'arrêtent pas à la station, des conducteurs spéciaux concer  naiit    le signal de sortie de la station peuvent voisiner sur une certaine longueur avec les conducteurs relatifs au signal d'entrée ou se placent juste à la   suite de ces derniers et'être    commandés presque en même temps que ceux du signal d'entrée.



   La   fig. 1. 0 concerne    une forme d'exécution dans laquelle les conducteurs installés sur la voie ne présentent que des tronçons relativement courts capables de venir en contact avec des pièces portées par une locomotive. Ces tronçons ont, par exemple, une longueur de deux mètres et sont disposés sur la voie à des distances de cent mètres les uns des autres.



  Ils sont reliés par un fil conducteur de section relativement petite, ce qui rend l'installation moins coûteuse. Ces conducteurs relativement courts peuvent présenter la forme décrite à propos des fi. 11 et 12.



   La fig. 13 montre que les moyens installés sur la voie peuvent être commandés mécaniquement, par exemple au moyen. de leviers tels que 28 reliés par câble à la station et   dé-    terminant la situation en hauteur de pièces mobiles 29 montées sur des guides   schémati-    quement représentés par la glissière 30. La fig. 13 ne représente qu'une tranche de ces éléments ; la pièce mobile 29 devrait avoir 1 à   2    mètres de long dans le sens de la voie.



   La fig. 14 est une vue par le côté de la voie montrant la pièce 29 sur le point d'être rencontrée par la touche flexible 31 d'une locomotive, pièce qui présente des rampes par lesquelles la pièce fixe 29 la force à se sou lever pour qu'elle vienne en contact avec une seconde touche 32 isolée de la première et bornant le même circuit. Ce circuit est alimente par une source située sur le véhicule et peut produire les mêmes effets que les   cir-    cuits fermés par les dispositif3 des formes précédemment décrites.



   La fig. 15 montre un commutateur installé sur la voie, par exemple à l'extrémité d'une zone de signalisation pour l'entrée   d'une    station   et destiné a être actionné méca-      niquement    par un organe monté sur la   loco-    motive. Pour cela, le levier 33 présente un bras   34 qui sort du carter 35    et est conformé de manière à pouvoir être actionné par   les t."tillS se dirigeant dans    le sens de la flèche.

   Deux autres bras 36 et 37 de ce le  vier permettent de réunir soit    les touches ou de contact 38 et   39,    soit les lames 40 et   41.    Les lames   38    et   40    sont respectivement reliées aux   conducteurs correspondant aux    signaux   signifiant., voie    libre"   (signal 42)      ou,, voie occupée" (signal 43), alors que    les   lame-      39    et   41    sont connectées à l'un des pôles   d'une source dont l'autre pôle est relié    à un rail.

   En   parvenant dans la position re-    le levier 33 s'accroche à un levier   44      après    1'avoir repoussé à l'encontre de   l'ac-    tion du ressort 45. Lorsque la voie doit être   -signalée comme étant à    nouveau libre, on exerce de la station une traction sur le câble 46 relié au levier 44, de manière qu'il le décroche, de sorte que Le levier 33 obéissant au ressort 47 (ou à l'action   d'un    contrepoids), réunit, par son bras 37, les lames 40 et   41,    ce qui a pour effet d'éclairer le signal   42    d'un train circulant sur le tronçon précédant ledit commutateur.

   S'il y a lieu d'interdire à nouveau le passage d'un train après qu'il avait été autorisé, on peut, en exerçant une traction sur le câble 48. ramener le levier   3*9J danq la position eonvenable. Ce n'est    que par   représentation toute schématique que les    signaux   42    et   43    ont été reliés directement aux touches de contact. Cette disposition simple pourrait cependant se trouver dans le cas des conducteurs continus de la fig.   1    et du schéma de la fig. 6.



   Quand l'installation comporte les moyens installés sur la voie sous la   forme représen-    tée en fig. 10, il est nécessaire que   leur-con-    tact avec la   locomotive soit-employé à ac-      tionner    des relais, afin que les signaux ne soient pas donnés dans un temps limité à quelques centièmes de secondes lorsqu'un train marche à   quatre-vingt-dix    kilomètres àl'heure.



   La fi,. 17 montre une série de relais   di-    vers. Le relais 51 a son électro-aimant 52 relié par des fils   49a    et 3a à des touches de contact telles que 15 ou   16,    disposées sur la locomotive, de manière qu'elles rencontrent les tronçons de conducteurs 49, 49'de ia fig. 10 relatives à un signal d'entrée   d'une    station. Un autre relais   semblable, non repré-    senté, est relié par des fils 50a et   4a à des    touches de contact disposées pour qu'elles se   rencontrentaveclestronçons50    et 50'du deuxième conducteur de ce signal d'entrée.



  Pour que le signal donné par l'un des tron  çons conducteurs dure le    temps   d'un    parcours   de cent mètres, c'est-à-dire    au moins le temps   nécessaire    au parcours d'un tronçon à l'autre, le relais 51 comprend un levier   53    dont un crochet rappelé par le ressort 71 est destiné à retenir l'armature 54 du relai dans la position pour laquelle elle ferme la ligne de sortie du relai en venant en contact avec le plot   55.    Pour que le signal E puisse cesser d'être donné dans le cas où la rencontre avec le tronçon 49'du conducteur a lieu lorsque ce conducteur n'est plus sous courant, il importe que le relais 51 puisse être décroché avant cette rencontre.

   Pour'cela, une roue 56 reliée par engrenages à l'un des essieux de la locomotive présente une dent 59 formant came par laquelle elle agit sur une barre 57 qui réunit toutes les pièces coulissantes 58 de plusieurs relais semblables disposés côte à côte. Ces pièces coulissantes   pré-    sentent un doigt qui dégage le crochet   53    chaque fois que la came 59 les repousse.

   Si la roue   56    ne présente qu'une seule came, sa vitesse relative à celle de l'essieu doit être telle qu'elle fasse un tour pour un parcours tout au plus égal à la distance qui sépare deux tronçons consécutifs du conducteur signaleur, par exemple pour un parcours de quatre-vingt-dix-huit ou'cent mètres si cette   distanceestdecentmètres.Larotation    de la roue correspondra exactement à cette distance si l'installation comporte le dispositif de mise au repère représenté par   l'électro-aimant    72 possédant une armature à crochet 73 rappelée par un ressort   74.    Ce crochet coopère avec une entaille 79 de la roue 56, comme décrit plus loin.

   Dans ce cas, la, roue 56 est montée à frottement gras sur son arbre, lequel est relie par engrenages à l'essieu Le frottement de la roue sur son   arbre est suf-    fisant pour qu'elle puisse effectuer le   ira-    vail de dégagement par came et, dans   cer-    tains cas, pour qu'elle puisse conduire une ou plusieurs autres roues agissant d'une manière analogue pour commander d'autres relais.



   La roue 60 est reliée par engrenages à l'essieu de la locomotive et à la roue 61 qui est solidaire de l'arbre sur lequel la roue 56 est montée à frottement. La roue 62 est solidaire de la roue 56 et transmet son mouvement par une roue   63    à une roue 64 qui porte un disque-came 69. La roue   64    tourne, par exemple, à une vitesse qui est le tiers de celle de la roue 56, c'est-à-dire qu'elle fait un tour pour un parcours de trois cents   mè-    tres du train et transmet son mouvement par les roues 65,66 et 67 à un disque-came 68 qui fait un tour pour huit cents mètres.

   Un relai à   aecroehement 75    du même type que le relai 51, mais qui en diffère par le moyen de décrochement, a son électro-aimant 76 branché sur un circuit que ferme une touche   spé-    ciale lors de sa rencontre avec l'un des organes installés sur la voie. Cet organe est situé avant le premier d'une série   d'entre eux cor-      respondant,    par exemple à un signal d'entrée et à une distance de celui-ci au moins égale à cent. mètres dans le cas considéré.   L'attrac-      tion de l'armature    77 ferme le circuit d'une source locale constituée par la ligne   78, 78'    sur l'électro-aimant 72.

   L'armature   73      s'ap-    puie par son   crochet contre la roue    56 roue est entraînée par frottement et dont le pourtour glisse contre le crochet 73 jusqu'à ce que l'entaile 79 laisse pénétrer le crochet en elle.



  Celui-ci arrête alors la roue 56 dans une position pour laquelle la came   59      a    déjà passé devant la tige   57.    La roue 61 continue à tourner, son arbre frottant à l'intérieur de la roue 56. IJn second organe de la voie, installé immédiatement avant ou en regard du premier organe donnant un signal, ferme le circuit de 1'électro-aimant 80 qui libère l'armature 77.



  Le circuit de l'électro-aimant 72 est alors rompu, le ressort   74    ramène le crochet 73 dans sa position initiale, et la roue 56 se met à tourner à partir de sa position d'arrêt.



  En même temps, ou presque en même temps, le circuit de 1'électro 52 est fermé pour donner le signal que la voie est occupée. L'armature 54 ferme alors le circuit de la   ligne 78,    78'sur le signal correspondant 81 en même temps que sur un relais   82,    dont l'armature 83 ne ferme le circuit propre que sous le contrôle de la came 69 sur le pourtour de laquelle elle s'appuie lorsqu'elle est attirée pour tomber dans une entaille une fois par tour,   c'est-      à-dire ici au bout    d'un parcours de trois cents mètres après la première excitation du relais 51. Le circuit que peut fermer l'armature 83 passe par une clé 84 et comprend, branchés en dérivation sur lui, des appareils 91 et   92    destinés à donner des signaux d'alarme et à arrêter le train.

   La clé 84 peut être commandée mécaniquement par le mécanicien qui dirige Je convoi. Pour cela, il peut exercer une pression sur le bout de gauche de l'armature 85 ou une traction, à l'aide d'un câble souple le reliant à son poste, sur sa partie de droite.



  Le mécanicien peut aussi commander cette clé au moyen du commutateur 86 branché avec l'électro 87 sur la ligne   78,    78'. De toutes fa  çons,    le mécanicien accroche l'armature 85 sur le levier 88 que rappelle le ressort 89, ce qui a pour effet de rompre le circuit des appareils d'alarme chaque fois que le   méeani-    cien est à son poste. Pour que la clé soit de nouveau prête à fonctionner pour un   aut e    tronçon de voie, la roue 68 agit sur le levier 88 au bout d'un parcours de huit cents mètres environ pour libérer l'armature 85 qui cède alors à l'action de son ressort 90.

   Ainsi, si le train se meut à   quacre-vingt-ix    kilomètres à l'heure, le mécanicien dispose au maximum de douze secondes pour presser sur le commutateur   86.   



   Le relais 51 peut actionner une sonnette   93    qui, pour qu'elle ne soit. pas constamment excitée mais attire seulement l'attention sur le fait qu'un   signal est donné, a. son circuit    fermé sur la source locale par la tige 58 rencontrant un ressort 94.



   La fig.   18 montre un schéma, généra, ! de    l'installation   comportant plusieurs des appa-    reils   décritsci-dessusetcorrespondantau    cas oit les moyens installés sur la. voie sont des    tondueteurs de courans 97* 97'... eorre3pon-    dant à des   touches 96, 96'...    de la locomotive et commandés par   les commutateurs 98'.   



  98"... branchés sur   une. source'commune qui    est de préférence un secteur de distribution et est représentée schématiquement par la   batterie 99. L'installation serait, la même    au point de vue   électrique    à l'intérieur de la locomotive si la commande était mécanique,   c'est-à-diremettait    en jeu les pièces de rencontre telles que   29    de la fig. 13 pour fermer les commutateurs des relais 51,51', 51"... sur une source locale située à l'intérieur de la locomotive, telle que la source 100. on distincte   d'elle.   
 droite de la figure, on   a    représenté schématiquement. les électro-aimants 76,73    et 80 de la fig. 17 ;

   on voit que l'électro 76    est conneetÚ Ó une touche spÚciale 96m; il ferme le circuit de l'électro   72    situé sur l'un quelconque des relais   51. L'électro    80 est connecté à la touche spéciale   96in..   



   On voit que les relais   51,    51',   51"...    commandent les signaux E, E', C, C'... et les relais   51',    51"commandent en même temps les relais 82'. 82"... du type décrit à propos de    la fio. 1 {. D'autres relai3 51x, 51'x... du    même type que les relais   51,    ne sont pas   associés à de'-    relais 82 et correspondent à des signaux   C5r.    II,   I,    X qui sont des signaux    fixes,c'est-à-direquisontinvariablement    donnés chaque fois que le train   passe à cer-    tains points de la voie.

   On peut brancher sur les relais commandant des groupes divers de   signaux,    des sonnettes telles que   93    et 95 ayant des sons différents. On pourrait, par exemple, subdiviser en deux groupes les signaux de la gauche de la figure dont les uns autorisent le passage du train et dont les autres l'interdisent, chacun de ces groupes ayant une sonnette propre qui a pour but d'attirer l'attention du mécanicien à l'intérieur de la locomotive lorsqu'il regarde Ó l'extrieur. On a représenté également sur ce schéma l'armature 85 de la clé 84 décrite ainsi que les appareils d'alarme et d'arrêt 91 et   92.   



   L'installation peut ne pas comporter de   relai du    type   82    ni les appareils   d'alarme.   



  Dans le cas où ceux-ci existent,   c'est    de préférence la roue 68 qui est conformée comme la roue 56 est représentée et c'est elle qui est commandée par le dispositif 72,74,79. Le premier organe de rencontre situé sur la voie serait dans ce cas situé à au moins huit cents mètres du premier organe donnant le signal.



  La roue 56 ne serait donc telle qu'elle est représentée que dans les cas où toute la partie de la fig. 17 situÚe Ó droite du relais 51 n'existerait pas.



   Voici un exemple du fonctionnement de l'installation dans le cas où un train s'appro  cherait    d'une barrière de passage à niveau qui peut prendre trois positions, selon qu'elle est ouverte, inclinée à   45# on    horizontale :
Le signal   C    montre une barrière ouverte, le   signal C'une barrière à 45"et    le signal C" une barrière fermée. Les premiers organes de contact des trois conducteurs qui correspondent, sur la voie, à ces trois signaux, sont situes à environ huit cents mètres de la bar  rière    et sont désignés sur le dessin par 97,   97'et 97".

   Supposons    que, par suite d'un retard dans la commande de la barrière par la station voisine, le courant soit laissé sur le   conducteur    97"alors qu'il n'est pas mis sur les deux   conducteurs 97"'et 97"". Dès    que la locomotive   vient en contact    par ses trois tou  ches sur ces trois conducteurs,    seul le signal
C s'éclaire et montre une barrière ouverte. Le mécanicien ralentit alors le convoi, de manière à pouvoir l'arrêter si la barrière ne se ferme pas avant qu'il y parvienne. Mais la manoeuvre de la barrière débutant, le contact se trouve mis   au conducteur 97"'e'c coupe    au conducteur 97", de sorte que le mécanicien est avisé de ce que la barrière se ferme. Il peut donc cesser cle ralentir le convoi.

   Enfin, le courant se trouve mis sur le conducteur 97""dès que la barrière est fermée, de sorte que le signal C"montre l'image de cette bar  rière fermée,    tandis que les deux autres ne       sont plus éclairés.



   Supposons, au contraire, que la barrière soit restée ouverte et que le mécanicien   n'ait    pas été en possession de ses   facuites. Le relai    51"qui commande le signal   C    et qui est clécroché tous les cent mètres, commande en même temps le relais 82"qui ferme son contact trois cents mètres après qu'un signal a été donné en C. Ce contact ferme le circuit des appareils 91 et 92 qui arrêtent le train à moins que le mécanicien ne soit à son poste et presse sur le commutateur 86 pour décrocher la clé 84 de la fig. 17 et dont l'armature 85 est visible en fig. 18. Ainsi, le train se trouve arrêté et les signaux d'alarme se trouvent donnés trois cents mètres après le signal indiquant que la barrière était ouverte. Il reste donc cinq cents mètres au train pour s'arrêter.

   On voit que la série des relais   82',    82"... fournit cette sécurité, quel que soit celui des appareils donnant un signal d'arrêt qui se trouve mis en action.



   Les fig. 19 et 20 montrent un ruban   flexi-    ble 101 entraîné par   l'un    de deux cylindres 102 et 103 qui le supportent, celui qui l'entraîne   étant relié par engrenages à l'essieu    de la locomotive. La longueur du ruban et le rapport de transmission sont, par exemple, tels que le ruban 101 1 fait un tour entier pour un parcours du train égal à cent ou deux cents kilomètres.

   Le ruban 101 peut présenter soit des proéminences   104,    soit des perforations 105 qui déterminent, par leur passage devant un clavier de lames de contact 106   la, fermeture de circuits correspon-    dant aux divers genres de signaux qui doivent pouvoir être donnés le long   d'une      cer-    taine ligne sur laquelle circule la locomotive.



     A    chaque ligne différente de chemin de fer correspond une bande telle que 101 et une disposition particulière des proéminences ou des perforations. Toutes celles qui   correspon-    dent aux signaux de même genre sont rangées dans le sens du mouvement de la. manière dont le sont, sur la voie, les tronçons de celle-ci, sur lesquels le signal de leur genre doit pouvoir être donne. Le temps durant lequel chaque dénivellation 104 ou 105 du   ru-    ban ferme le circuit qui lui correspond dépend de la longueur de cette dénivellation dans le sens du mouvement. Si l'installation comprend des relais à   accroehement du    type   51*    il suffit que ces dénivellations soient toutes brèves et de même durée.

   Mais on obtient une installation simplifiée en leur attribuant à chacune la longueur qui correspond au tronson de voie sur lequel doit être donné le signal propre à chacune ou une longueur supérieure. La fig. 21 est un schéma d'une   instal-    lation de ce genre. Les relais à accrochement du type 51 sont réduits au nombre de trois.



     51a, 51b, 51c    et correspondent aux trois positions différentes que peut comporter un signal d'approche d'une barrière par exemple.



  Les deux premiers peuvent correspondre aux deux conducteurs   d'un    signal d'entrée ou de sortie. Les conducteurs de la voie 107a, 107b et 107c sont situés de la même manière entre les deux rails ou en dehors d'eux, quel que soit le genre du signal, ear le genre du signal est déterminé par   celuidescircuitsqui    est fermé par le ruban 101 lorsque le train parcourt une zone quelconque de signalisation.



  Ainsi, la locomotive ne porte également que trois touches de rencontre pour tous les signous, au moins pour les signaux qui comportent plusieurs positions différentes. Elles peuvent en effet ne pas commander les appareils signaleurs de signaux fixes tels qu'indicateurs de pente, passages non gardés,   etc.,    qui peuvent être commandés directement par les circuits que ferme le ruban 101. Ces touches peuvent cependant commander les si  gnaux fixes F, F', comme le montre ia    fi  gure, alors    que les autres signaux   fixes F",      F"'seraient commandés directement    par le ruban.

   Pour que le ruban 101 ne glisse pas sur le rouleau qui l'entraîne il sera de préférence entraîné par une denture de ce rouleau correspondant à une perforation   régu-    lière pratiquée sur son propre bord.



   Au lieu d'un ruban, on peut avoir un   cy-    lindre unique de dimension convenable. Cette conception peut d'ailleurs prendre encore un grand nombre de formes différentes. L'organe relie par engrenages, à   l'essieu,    pourrait se mouvoir devant une surface fixe qui   présen-    terait les lames flexibles provoquant la fermeture des divers circuits lorsque l'organe mobile viendrait en contact avec elles. Celuiei serait, par exemple, le coulisseau formant l'écrou d'une vis à tourillons qui serait mue en rotation par lesdits engrenages. Il pourrait   y    avoir sur la locomotive autant de ces vis et de ces coulisseaux qu'il y   a    de lignes de chemin de fer différentes sur lesquelles   a même    locomotive doit pouvoir circuler.

   Ces coulisseaux se déplaceraient devant des zones d'une paroi plane portant les organes de contact correspondant à ces diverses lignes et il suffirait de mettre l'une ou l'autre en action selon que la locomotive circule sur l'une ou l'autre de ces lignes.



   Le schéma de la fig. 21 pourrait convenir aussi au cas de la commande mécanique des organes installés sur la voie, avec cette différence que la source 99 n'existerait pas et que la commande par commutateur serait remplacée par une commande par transmission mécanique. Une source locale alimenterait   les circuits des relais 51a, 51b    et   51e.   



   Les formes d'exécution comportant des organes tels que 101 limitant les conducteurs de la voie a un petit nombre et leur assignant une position invariable, permet d'utiliser plus facilement la conception de la fig. 1, dans laquelle les conducteurs sont continus. Dans ce cas, les   relais 51a, 51b, 51c peuvent etre    supprimés ou remplacés par des relais simples sans aecroehement.



   La fig. 22 montre la disposition des lames de contact dans le cas où le ruban 101 présente les perforations   105.    Lorsque la lame 113 repose par sa saillie sur la surface du ruban, elle est séparée de la lame   118, de    sorte que le circuit correspondant est ouvert.



  Quand la saillie tombe dans l'une des perforations, la lame 113 vient toucher la, lame 118 et ferme le circuit pour un temps qui est proportionnel à la longueur de la perforation. Au lieu de ce dispositif, on pourrait prévoir que   l'un des pôles    de tous les circuits    aboutisse au cylindre 102 supposé conducteur,    cylindre avec lequel les diverses lames telles que la lame   113    viendrait en contact au travers des perforations.



   La fig.   93    montre une autre forme   d'exé-      cution du dispositif    permettant que les roues commandant les relais partent, lors de chaque    zone de signalisation, d'une position détermi-    née et dont une forme a été décrite à propos de la fig. 17.

   La roue 56a dont la rotation   n    de un tour correspond à la distance séparant deux rencontres successives de la, locomotive avec un organe de la voie est solidaire de la partie d'un embrayage qui est folle sur   l'ar-    bre relie par engrenage à   l'essieu.    Cet embrayage peut être un embrayage magnétique présentant un électro-aimant cuirassé 115 et une armature   114    portant la roue   56a-.    et une    roue 62 qui transmet son mouvement au train    de roues 63,64 et 67 alors que l'électroaimant   115    porte la roue   61    reliée à l'essieu par la roue 60.

   Les deux extrémités de   l'en-    roulement de l'électro-aimant d'embrayage sont   reliées à.    bagues isolées sur lesquelles frottent respectivement des balais 116 et 117. Ceux-ei sont situés dans un circuit que le relai   75a    peut fermer sur une source locale   100.    Comme dans le cas de la fig. 17, un électro-aimant 76a est directement excité par la rencontre de la locomotive avec un or  gante de    la voie spécial. Lors de cette   exci-    tation, l'armature 77c du relai s'accroche dans la position pour laquelle le circuit est fermé.



  L'armature 114 est alors attirée et entraînée par   l'électro 115.    On remarque que la roue 56a présente une entaille 112 dans laquelle pénètre un galet 111 monté sur un ressort 110 et destiné à déterminer la position de laquelle part la roue 56a chaque fois qu'elle est mise en mouvement. L'organe de la voie qui commande l'électro 76a peut être situé tout près du premier des organes correspondant aux signaux proprement dits. La roue 67 tourne, par exemple, huit fois moins vite que
Ja roue 62, de manière que sa rotation d'un tour corresponde à la plus grande longueur que peut avoir une zone de signalisation.



  Dans la forme représentée par la fig. 23, c'est cette roue   67    qui est chargée, par la came 67a, de décrocher l'armature 77a. Pour cela, elle ferme un circuit en amenant en contact les lames 108 et 109, ce qui a pour effet d'exciter l'électro-aimant   80s    qui attire le crochet de l'armature 77a. Aussitôt,   l'em-    brayage relâche son armature   114    et la roue 56a s'arrête. Les choses sont disposées de manière que cet arrêt se produise lorsque le galet 111 est au moins partiellement engagé dans l'entaille 112. S'il ne   l'est    que partiellement, il force le train 56,53... à prendre une position déterminée qui correspond à celle de la roue   56a,    pour laquelle il touche aux deux flancs de l'entaille 112.



   Ce dispositif permet de   commander l'o-      rientation de    la roue 67 sans recourir à un organe de la voie situé à huit cents mètres du premier signal d'une zone donnée.



   Dans le cas où l'installation comporte sur la voie des organes de rencontre mobiles, ceux-ci peuvent l'être en hauteur ou horizontalement. De plus, la lame flexible ou le levier qu'ils forcent à s'approcher d'une autre pièce de contact portée par la locomotive pour fermer le circuit local, peut coopérer avec un crochet pour rester en position de contact.



   Dans   ce-cas,    il peut être prévu que les roues reliées par engrenage à l'essieu de la locomotive, aient pour effet d'agir directement sur ledit crochet, de sorte que les   relais élec-    triques sont beaucoup moins nombreux.



   L'installation peut être appliquée à donner des signaux qui n'existent pas actuellement. Par exemple, la combinaison du levier   de la fig.    15 avec les conducteurs et les cables montrés dans la fig. 16 permettraient qu'un train puisse déterminer, devant et der  rière    lui, des zones dont il met   les conduc-    leurs sous courant pour aviser de sa présence tout train qui se dirigerait vers lui par l'avant ou par   l'arrière.    Deux leviers tels que ceux de la fig. 15 pourraient, par exemple, être reliés I'un à l'autre par des câbles et être situés respectivement à une certaine distance des deux extrémités   d'un    tunnel.



   Les'divers états dans lesquels les moyens installés sur la voie peuvent être mis par la commande peuvent consister en des diffé  rences de potentiels    diverses entre eux et le rail. Dans   ce'cas, les'conducteurs    de la. voie sont de préférence à un niveau constant et commandent, dans la locomotive, un apareil   galvanométriquedontunorgane    mobile prend des positions qui dépendent de la différence de potentiel. La signalisation peut   être limi-    tée aux diverses indications données directement par cet organe. En effet, chacune de ses positions pourrait correspondre à un signal d'un certain genre qui serait indiqué sur le 'cadran devant lequel se déplacerait cet organe.

   Cette conception peut aussi s'allier avec   celle des fig.    19 à 22 dans le cas où les valeurs des différences de potentiels possibles seraient réduites à trois. Un électro-aimant à   a    noyau plongeur ou un appareil équivalent fermerait alors trois   circuitsdistincts    qui remplaceraient les circuits fermés par les relais 51a,   51b    et   51c    de la fig. 21. Les   conduc-    teurs installés sur la voie peuvent ainsi être remplacés par un seul qui peut être monté im  m'édia. tement à côté    d'un rail.



   L'installation peut comporter en plus des appareils signaleurs situés à l'intérieur des locomotives, des appareils signaleurs analogues situés dans les stations et branchés sur les mêmes circuits, de préférence selon le schéma de la fig. 18. Les roues décrochant les relais   seraient alors mues par un mouve-    ment d'horlogerie local. Ces appareils pourraient ainsi faire connaître dans une station la position d'un train qui s'en approche ou qui s'en éloigne. En effet, les appareils signaleurs dans la locomotive peuvent comporter un compteur de contacts   branché, par exem-    ple, comme le sont les sonnettes de la fig. 18.



  Un de ces appareils situé dans une station montrerai', clairement qu'un train approche ou s'arrête sur une zone de signalisation.


Claims (1)

  1. REVENDICATION : Installation de signalisation ferroviaire, caractérisée on ce qu'elle comprend des or ganes installes sur la voie et reliés à des appareils de commande qui déterminent leur état, des appareils signaleurs situés dans un convoi eirculant sur la voie et des organes montés sur au moins un véhicule du convoi, organes conformés et disposés de manière qu'ils puissent coopérer avec les organes qui sont sur la voie pour commander lesdits appareils signaleurs lorsque les organes de la voie sont mis dans un état qui le leur permet.
    SOUS-REVENDICATIONS 1 Installation selon la revendication, carac térisée en ce que les appareils signaleurs sont commandes par des circuits électri- ques que la coopération des organes ins tallés respectivement sur le véhicule et sur la voie a pour effet de fermer.
    2 Installation selon la revendication, carafe- térisée en ce que les appareils signaleurs comportent des organes mobiles qui sont la reproduction en petitdeceux qui ap partiennent aux sémaphores usuels instal lés au bord des voies.
    3 Installation selon la revendication, carac térisée en ce que les appareils signaleurs proprement dits consistent en des tableaux translucides sur lesquels des signaux sont représentés sous leurs diverses formes et positions et derrière chacun desquels est au moins une lampe électrique.
    4 Installation selon la revendication, carac térisée en ce que les organes montés sur le véhicule sont des leviers destinés à ren contrer les organes installés sur la voie et à tourner par l'effet de cette rencontre.
    5 Installationselonlasous-revendication 1, caractérisée en ce que les organes montés sur le véhicule sont des pièces de contact dont chacune est l'une des bornes d'un cir- cuit dont l'autre borne est un balai assu rant sans cesse sa connexion par frotte ment avec un rail de roulement de la voie, circuit qui commande au moins un appa pareil signaleur.
    6 Installation selon la revendication, carac- térisée en ce que les organes installes sur la voie comportent des pièces mobiles dont diverses positions déterminent les divers états qui sont caratéristiques d'un signal particulier qu'ils sont destinés à trans mettre, pièces qui sont reliées mécani- quement à des postes de commande.
    7 Installation selon la sous-revendication 6, caractérisée en ce que les organes montés sur le véhicule sont des paires de pièces de contact dont l'une vient en contact avec l'autre, lorsqu'elle rencontre l'un des or ganes installés sur la voie lorsqu'il est placé par r la commande dans une position convenable, et ferme ainsi un circuit qui est alimenté en courant à partir du véhi- cule et qui commande au moins un appa reil signaleur.
    8 Installation selon la revendication, carac térisée en ce que les organes installés sur la voie sont des conducteurs destinés à venir en contact avec les moyens montés a sur le véhicule, conducteurs dont la mise sous courant constitue l'état permettant leur coopération, avec lesdits organes de véhicule.
    9 Installation selon les sous-revendications 5 et 8, caractérisée en ce que les conduc teurs mentionnés sont au même niveau relativement au rail sur plusieurs sein- taines de mètres.
    10 Installation selon les sous-revendications 5'et 8, caractérisée en ce que les conduc- teurs mentionnés ne présentent que des tronçons relativement courts situes assez haut pour qu'ils puissent prendre con tact avec les organes montés sur le véhi- cule et séparés par des distances d'envi ron cent mètres.
    11 Installation selon la revendication, carac- térisée en ce que les divers genres de si anaux susceptibles d'être donnés le long d'une voie se traduisent par des. états de même nature d'autant d'éléments dis tincts établis sur la voie qu'il y a de genres de signaux, et en ce que la dispo sition de ces éléments sur la voie est la même que celle des organes montés sur le véhicule, et correspondant respectivement aux signaux des divers genres.
    12 Installation selon les sous-revendications 1 et 8, caractérisée en ce que les circuits fermés par les organes mentionnes com mandent directement les appareils signa leurs.
    13 Installation selon les sous-revendications 1 et 8, caractérisée en ce que les circuit fermés par les'organes mentionnés com prennent chacun l'électro-aimant d'un re lais simple dont la ligne de sortie com mande l'appareil signaleur.
    14 Installation selon la sous-revendication 10, caractérisée en ce que les circuits fer més par les organes mentionnés co : n- prennent chacun l'électro-aimant d'un re lais dont l'armature reste accrochée après l'excitation, dont la ligne de sortie com mande au moins un appareil signaleur, et qui est associé avec une roue mue par transmission d'engrenage à partir d'un essieu du véhicule, roue qui porte mie came pouvant libérer l'armature dudit relais.
    15 Installation selon la sous-revendication 14, caractérisée en ce qu'elle comporte un nombre desdits relais égal l à celui des ap pareils signaleurs distincts, relais qui sont associés avec une roue comme suivant cette sous-revendication.
    16 Installation selon la sous-revendication 15, caractériséeence que, pour tous les signaux devant commander l'arret, dcl véhicule, une dérivation de la ligne de sortie du relai va à l'électro-aimant d'ml second relais dont l'armature ne peut obéir à l'attraction du noyau que sous la commande intermittente d'une roue reliée par engrenages à un essieu.
    17 Installation selon la sous-revendication 16, caractérisée en ce que les lignes de sortie des seconds relais mentionnés en sous-revendication 16, lignes dont les eir cuits ne sont fermés par les armatures correspondantes que sous la commande de la roue mentionnée, sont couplées ensem ble en parallèle et aboutissent aux con tacts d'un interrupteur intercalé dans le circuit d'appareils commandant l'arrêt du convoi, interrupteur que peut commander le conducteur du véhicule pour lui faire couper ce circuit, et qui est muni de moyens par lesquels il reste accroché en position de rupture de circuit jusqu'à ce qu'une roue, reliée par engrenages à un essieu, agisse sur lesdits moyens pour li bérer ledit interrupteur de ces moyens d'aecrochement,
    dans le but que les appa reils commandant l'arrêt soient de nou- veau prêts à fonctionner dans le casoù le conducteur ne serait plus en mesure de rompre le circuit lorsqu'un nouveau signal ordonnant l'arrêt du convoi serait donné.
    18 Installation selon la sous-revendication 17, dans laquelle les tronçons conducteurs sont distants de cent mètres, caractérisée en ne que la roue qui commande le décro- ehement des premiers relais a une vitesse telle, relativement à celle de l'essieu, et a un nombre de cames tel que ces relais sont décrochés tous les cent mètres, en ce que la roue qui commande la libération des seconds relais a une vitesse relative et un nombre de cames tel que cette libéra tion se fasse tous les trois cents mètres et en ce que la roue qui décroche l'inter- rupteur agit sur les moyens d'accroche ment tous les huit cents mètres.
    19 Installation selon la sous-revendication 18, caractérisée en ce qu'elle comporte, avant les conducteurs destinés aux si gnaux pour les trains qui s'en approchent, au moins un conducteur spécial commen- gant à cent mètres de ces conducteurs et une touche de contact y correspondant sur le véhicule pour commander un dispositif déterminant un intervalle constant pour chaque relais entre les instants où il est actionné par la roue et où il peut l'être électriquement par suite d'une rencontre entre un conducteur et une touche ordi naires.
    20 Installation selon la revendication, carac- térisée en ce qu'elle comporte, sur le véhi- cule, un. dispositif formé de deux parties, dont l'une comprend un organe relié par train de transmission à un essieu du véhi- cule et dont l'autre est fixe, l'une d'elles présentant une surface sur laquelle sont disposes des moyens capables chacun de fermer un circuit déterminé lorsqu'ils sont dans une certaine position relativement à l'autre partie, moyens qui sont répartis dans le sens du mouvement relatif de la manière dont le sont le long de la voie, les points en lesquels les signaux auxquels ils correspondent respectivement doivent être donnés et qui sont répartis, dans le sens tran : ;
    verse, selon la nature des signaux auxquels ils correspondent 21 Installation selon la sous-revendication 20, caractérisée en ce que l'organe mû par engrenage présente la surface sur laquelle sont disposés les moyens mentionnés qui sont des dénivellations de sa surface par lesquelles elle agit à la manière d'une came sur les extrémités libres de lames flexibles alignées devant l'organe mobile pour déterminer le contact desdites lames avee autant, d'autres pièces de contact qui coopèrent avec elles pour fermer les Ctir- cuits mentionnés.
    22Installationselon la sous-revendication 21, caractérisée en ce que les dénivella- tion. ? mentionnées déterminent, par leur longueur dans le sens du mouvement, celle du parcours durant lequel elles maintien nent fermés leurs circuits respectifs.
    23 Installation selon la sous-revendication 20, caractérisée en ce qu'au moins quel- ques-uns des circuits fermés par le dis positif mentionné commandent directe ment les signaux.
    24 Installation selon les sous-revendications 14 et 20, dans laquelle des relais du type défini dans la sous-revendication 14 et associés à une roue comme suivant cette sous-revendication, sont au moins en nom bre au nombre maximum de signaux distincts qui doivent pouvoir être donnés en un même tronçon de la voie, caracté- risée en ce qu'au moins quelques-uns des circuits fermés par le dispositif de la sous- revendication 20 sont des dérivations branchées sur les lignes de sortie desdits relais.
    25 Installation selon les sous-revendications 14 et 20, dans laquelle des rela. is du type défini dans la, sous-revendication 14 et associés Åa une roue comme suivant cette sous-revendication, sont au moins en nom bre égal au nombre maximum dé signaux distincts qui doivent pouvoir être donnés en un même tronçon de la voie,
    caractérí- sée en ce qu'au moins quelques-uns des circuits fermés par le dispositif de la sous revendication 20 ont leurs sources propres et excitent d'autres relais de même type qui ferment des dérivations branchées sur les lignes de sortie des premiers relais pour des parcours que déterminent les roues de décrochement de ces autres relais et dont les longueurs sont réglées selon la nature des signaux branchés dans lesdites dérivations.
    26 Installation selon la sous-revendication 8, caractérisée en ce qu'elle comprend, au bout des conducteurs installés sur la voie. des commutateurs actionnés mécanique ment par le véhicule pour faire passer la connexion d'une source de courant de l'un à l'autre des conducteurs.
    27 Installation selon la sous-revendication 8, caractérisée en ce que la mise sous courant des conducteurs est commandée par la manoeuvre de commutateurs situés dans les postes d'aiguillage des stations.
    28 Installation selon la sous-revendication 8, caractérisée en ce que la mise sous cou rant d'au moins quelques-uns des conduc teurs est commandée par des commuta teurs reliés mécaniquementàdesséma- phores usuels.
    29 Installation selon la sous-revendication 8, caractérisée en. ce que la mise sous courant de l'un des conducteurs de groupes qui en comprennent au moins deux est comman dés par les barrières de passages à niveau munies pour cela d'organes de commuta tion qui mettent sous courant l'un des conducteurs lorsqu'elle est ouverte et l'autre lorsqu'elle est fermée.
    0 Installation selon la sous-revendication 26, caractérisée en ce que l'organe mobile du commutateur mentionné est un levier à trois bras, dont l'un peut être rencontré par une barre montée. sur le véhicule et dont les deux autres peuvent respective ment connecter un pôle d'une source de courant avec l'un et avec 1'autre de deux conducteurs parallèles d'un même tronçon de voie.
    31 Installation selon la sous-revendication 30, caractérisée en ce que le levier à trois bras est soumis à une force de rappel et associé à un crochet-qui le maintient à l'encontre de cette force dans la position que lui donne le véhicule à son passage, crochet qui est relié mécaniquement au poste de commande des signaux de même quele levier lui-même.
    32 Installation selon la sous-revendication 30, caractérisée en ce que les conducteurs installés sur quelques-uns des tronçons d'une voie sont reliés à chacune de leurs extrémités à un levier à trois bras et en ce que les deux leviers disposés aux extré mités de l'un des dits tronçons sont reliés par câbles de traction, dans le but qu'ils se commandent mutuellement et que, après qu'un véhicule a mis sous courant le con clucteur signalant aux trains qui circu- lent devant ou derrière lui sur ce tronçon que celui-ci est occupé, il puisse, en quit tant ce tronçon, mettre sous courant le conducteur signalant que le tronçon est libre et remettre dans sa position initiale le levier qu'il a actionné en s'y engageant.
    33 Installation selon la sous-revendication 39, caractérisée en ce que des conducteurs de même longueur équipés de deux leviers à trois bras comme suivant la sous-reven . dication 2, sant dispases l. e lonb cle la voie, de manière que lorsque le véhicule rencontre un levier, il mette sous courant le conducteur placé à l'avant et coupe le courant d'un conducteur assez éloigne à l'arrière, dans le but qu'il existe une zone e de protection en avant et en arrière de tout convoi, grâce au fait qu'un autre con voi engage sur un conducteur aliment, en courant reçoit le signal signifiant que le tronçon de voie correspondant est occupé.
    34 Installation selon la sous-revendication 19, caractérisée en ce qu'une roue com mandant les premiers relais de l'installa tion est montée à frottement sur un ar- bre relié aux essieux par engrenages et présente un organe destiné. à s'accrocher à l'armature d'un relais lorsque cette arma ture a obéi à une attraction et est mainte nue accrochée dans sa position la plus pro che de 1'électro-aimant, jusqu'à, ce qu'un courant lancé dans un autre électro-aimant rompe le circuit d'excitation de l'électro aimant agissa. nt sur ladite armature et li bère celle-ci pour qu'elle se dégage de la dite roue qui est alors entraînée par son arbre à partir d'une position qui est tou jours la même.
    35 Installation selon la sous-revendication 34, caractérisée en ce que la roue qui est montée à frottement sur son arbre est elle-même reliée par engrenages réduc teurs aux roues qui-commandent les a. u- tres relais.
    36 Installation selon la sous-revendication 14, caractérisée en ce que tous les signaux de même espèce sont donnés sur des tron gons de voie comportant des nombres égauxdeconducteurscourts et en ce que des compteurs électro-magnétiques de con tacts sont branchés chacun sur tous les re lais correspondant à des signaux de même espèce dans le but qu'ils indiquent au mécanicien le nombre des contacts qui ont eu lieu à partir du début de toute si g, nalisation s'éíenda. nt sur un certain tron çon de voie.
    37 Installation selon la sous-revendication 5, caractérisée en ce que les états dans les quels peuvent être mis les organes instal- lés sur la voie consistent en autant de po tentiels différents, relativement au rail, que l'installation doit pouvoir donner de signaux de genres distincts, et en ce qu'au moins un circuit branché entre eux et le rail comprend un appareil galvano métrique dont le cadran porte les ind ea- tions des divers signaux qui correspondant aux diverses positions d'équilibre de son organe indicateur.
    38 Installation selon la sous-revendication 24, caractérisée en ce que les états dans lesquels peuvent être mis les orbe, nets ins tallés sur la voie'consistent en au moins deux potentiels différents, de sorte qu'un seul conducteur installé sur la voie et une seule touche de contact montée sur le véhicule commandent un relai dont l'ar mature peut prendre au moins deux posi tions distinctes dont chacune correspond à l'un des potentiels qui définissent les états différents d'un signal, positions dans chacune desquelles l'armature ferme le circuit d'une ligne distincte sur laquelle sont branchées des dérivations qui com mandentles appareils signaleurs et qui sont fermées par un dispositif suivant la sous-revendication 20.
    39 Installation selon la sous-revendication 5, dans laquelle des appareils de commande sont situés à une station ou gare, caracté risée en ce qu'elle comporte en outre, en cette station ou gare, des appareils signa leurs analogues à ceux qui sont installés sur le véhicule et commandés de la même manière lorsque les circuits correspondant auxsignaux qu'ils donnent sont fermés par le passage d'un véhicule, appareils dans lesquels les roues dégageant les re lais sont mues par un moteur local.
    40 Installation selon la revendication, carac térisée en ce que les appareils signaleurs comprennent au moins une sonnette.
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* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR3082817A1 (fr) * 2018-06-22 2019-12-27 Sncf Mobilites Dispositif de contact et systeme de transmission de signaux ferroviaires

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