CH172225A - Installation de télévision électrique. - Google Patents

Installation de télévision électrique.

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CH172225A
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Compagnie Generale De T France
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Television Procedes H De Franc
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  Installation de télévision électrique.    La     présente        invention    concerne les in     s-          tallations    de     télévision    électrique, dans les  quelles les éléments de l'image à     transmettre     sont analysés successivement dans le temps.  



       Les    installations connues de ce genre sont       toutes    basées sur un procédé consistant à im  pressionner l'émetteur     successivement    et  d'une manière continue avec les différents       points    de l'objet, dont l'image doit être  transmise, à l'aide d'une opération de ba  layage consistant à parcourir l'objet d'un  point au point voisin sur la même ligne d'ex  ploration d'une façon continue et graduelle.  On n'émet donc pas, à proprement parler, un  signal pour chaque point, mais un signal pour  chaque ligne d'exploration, -ce signal étant  soumis à des variations continues dans le  temps, traduisant les variations d'éclaire  ment le long de la ligne d'exploration.  



  Cette modulation continue d'un signal  correspondant à chaque ligne d'exploration    présente un très grave inconvénient qui est  le suivant:  On sait qu'une onde de fréquence     F,    mo  dulée à la fréquence f, donne des oscillations  de fréquence     F        i-    f et     F    - f; si la fréquence  <I>f</I> varie de 0<I>à<B>f</B>,</I> la modulation donnera nais  sance à deux bandes de fréquences symétri  ques par rapport à F     s'étendant    de     F    à     F          -f-        yf'    et de     F    -à     F    -<B>f</B>.

   En télévision, la lar  geur de     -ces    bandes de fréquence est très  grande, surtout lorsque l'on veut avoir une  très grande     vitesse    -d'exploration, ce qui est  en particulier nécessaire pour transmettre -des  images se succédant rapidement, celles d'un  film cinématographique par exemple.

   En ef  fet, l'intensité d'éclairement de la cellule et  par suite .celle du courant modulant l'onde  porteuse, varie :d'une façon non périodique,  parfois relativement lente, si l'exploration  parcourt sur l'image une grande plage d'é  clairement uniforme, et parfois très brusque,  si deux éléments consécutifs de     l'image    sont,      l'un très sombre, l'autre     très    clair; la loi de  variation du courant sera alors très compli  quée et, ,si l'on veut exprimer     cette    loi par  des fonctions sinusoïdales simples au moyen  de la série de Fourier, les harmoniques élevés  comme les harmoniques bas joueront un rôle  important.  



  Alors qu'en radiotéléphonie (les     fré-          quenees    émises d'ordre acoustique ne -dé  passant guère 5000 cycles), l'étendue     If--f'     à     F        -j-   <B><I>f</I></B> est suffisamment faible pour que  l'an puisse     recevoir    ces deux bandes<B>fit</B> fré  quences tout en ayant une bonne résonance,  en télévision au contraire, par suite des rai  sons exposées ci-dessus, on voit que, d'une  part, le poste émetteur émettra des ondes dont  la     fréquence    variera dans de très larges li  mites et pourra troubler les     communications     de     postes    voisins, d'autre part,

   on devra avoir  des postes récepteurs accordés pour     recevoir     des ondes dont la     fréquence    est comprise  dans ces limites très étendues et qui verront  leur réception troublée par les ondes émises  par d'autres postes.  



  L'installation, faisant l'objet     -de    la pré  sente     invention,    a pour but -de supprimer l'in  convénient exposé ci-dessus. Elle est caracté  risée par le fait que     l'émetteur    comporte -des  moyens par lesquels l'onde émise a sa modu  lation périodiquement et brusquement modi  fiée pendant une partie -de la durée     correspon-          dant    à. la transmission de chaque     élément,     l'émetteur et le     récepteur    étant, en outre,  rendus à la fois     suffisamment    résonants et  suffisamment amortis au moyen     d'organes     appropriés.  



  L'émission se trouve ainsi scandée à une  fréquence bien définie qui     déterminera    le  nombre -d'éléments distincts que l'on trans  mettra par seconde. Ce     scandage    peut se faire,  soit sur le circuit     lumineux,    soit sur le circuit  électrique de l'émetteur, par exemple, par des  moyens qui seront détaillés au cours de la  description et les avantages de ce mode d'é  mission peuvent être expliqués de la manière  suivante:

   si la courbe de la     fig.    1 représente,  par exemple, les variations en     fonetion    du         temps   <I>t</I> de l'intensité<I>I</I> -du courant de la cel  lule photoélectrique et si les longueurs     0A1,     <I>Al A=,</I> etc.,     représentent    le temps -d'explora  tion d'un élément, dans le cas du     scandage     point par point, ce courant n'agira que pen  dant des     temps   <I>OB,</I>     A,B1,        etc.     



  .Si ce courant sert à moduler une onde       porteuse,    on voit sur la     fig.    2 comment va  riera l'amplitude -de cette onde; on voit que,  de 0 en     B,    l'amplitude de l'onde porteuse aura  une grande valeur, proportionnelle à celle .du  courant modulant, ensuite, -cette amplitude  tombera rapidement tendant vers un état sta  tionnaire, caractérisé par la valeur constante  OC (qui pourrait être nulle), jusqu'au temps       0-111,    où l'amplitude     augmentera    de nouveau  pour retomber ensuite à la valeur OC, à peu  près au temps     0B1    et ainsi de suite.

   Il y a  lieu de remarquer qu'il est nécessaire, pour  que ces brusques augmentations et diminu  tions de l'amplitude de     l'oscillation    émise  puissent avoir lieu, que les circuits oscillants  de l'émetteur reviennent très rapidement au  repos lorsqu'on interrompra le courant qui  les excite, c'est-à-dire que ces circuits soient  très amortis,     ce    qui veut dire qu'ils aient une  faible constante de temps; au poste     récepteur,     ces signaux agiront sur les circuits oscillants       à,    la façon d'une sorte de percussion, analogue  à celle que produit l'arrivée d'un     parasite    at  mosphérique;

   le poste récepteur     pourra:    être  réglé sur la fréquence de l'onde porteuse et  avec une grande     sélectivité.     



  Le     scaudage    étant obtenu dans un étage  quelconque -de     l'émetteur,    on veillera, comme  il a été dit plus haut, à ce que tous les cir  cuits qui suivent .cet étage, jusqu'au dernier  qui     est    l'aérien (ou le dispositif de couplage à  une ligne s'il s'agit de transmission par cou  rant porteur) soient suffisamment amortis  pour bien suivre les variations du courant à  la fréquence de     seandage.    Si cette condition  est remplie, on peut, sans aucun inconvénient  pour la qualité de l'image à la     réception,    fil  trer avec des circuits résonants et     amorti.     dont le détail sera donné plus loin à propos  des récepteurs,

   de façon à     réduire    à un ni-      veau, non pas tout à. fait nul, mais négligea  ble, l'énergie émise sur les     fréquences    autres  que celles de la bande de fréquence allouée  pour la transmission. Dans ces conditions, la  modulation réellement émise ne sera pas     ri-          boureusement    semblable à la modulation  fournie par la cellule et     scandée    ensuite,  mais,     grâce    à l'amortissement des circuits, elle       cn        aura,    conservé     ies    deux     proprietés    essen  tielles, savoir:

   le caractère scandé, avec     -an          aeciderit    brusque à chaque point, et     -,.me        aiii-          plituck    moyenne entre chaque accident brus  que proportionnelle à     l'éclairenieili;    du point à  transmettre.

   Ceci est évidemment nécessaire  et     suffisant    à une bonne transmission de     télé-          vision    et l'on est bien parvenu ainsi à: éviter  de brouiller les émission:; voisines en     encom-          brant    une bande de fréquence     exab,'#rée.    Des  essais     étendus    faits sur un pote     éïnettcur    de       ?0        htv.    ont du reste montré     l',exa@etitude    de    ces vues.  



  Le poste récepteur fonctionnera parfaite  ment sous les conditions ci-après: pour (lue  les courants résultant des signaux successifs  émis pendant les temps<B>OR,</B>     A,B,,        A@B,,   <I>etc.,</I>  soient parfaitement indépendants, il     ost    né  cessaire que ce récepteur puisse reprendre     sen-          iblenient    son régime de repos, entre     deux    si  gnaux successifs. Pour     cela,    il faut que l'a  mortissement soit très     grand    ou, autrement  dit, que sa constante de temps soit très petite.

    On sait, en effet, que l'amplitude d'une     as-          cillation    amortie dans un circuit oscillant sim  ple, ou     circuit-bouchon,    est .de la forme:  
EMI0003.0038     
    f<B>(1)</B> étant une fonction périodique et e la  base (les logarithmes     Népériens;    T est ce  qu'on appelle la     constante    de temps, c'est le  temps au bout duquel l'amplitude initiale sera  réduite à
EMI0003.0041  
    D'autre part, avec un     ciicuit    simple ou  circuit bouchon, l'amplitude des oscillations  forcées provoquées par une émission de fré  quence f varie avec cette fréquence et peut  être représentée, en fonction de ladite fré  quence, par la courbe connue de résonance:

      comme on le sait, cette courbe est en forme  de cloche     (fig.    3) présentant un maximum  lorsque la fréquence de l'oscillation     reçue    est  égale à la     fréquence    propre     fo    du circuit.

    La sélectivité d'un tel circuit dépend de l'é  cartement plus ou moins grand :des branches       1VIP    et     ITIP'    de la courbe; on peut, par exem  ple, la. mesurer par la différence entre les fré  quences f" et f<B>\</B> pour lesquelles l'amplitude  est égale à la moitié de l'amplitude maxima;  cette différence est parfois appelée     "largeur     de la bande     passante"    et l'on sait que     cette     largeur varie en     raison    inverse -de la cons  tante de temps du circuit bouchon. .  



  Si donc on veut avoir un poste très sélec  tif, cette bande devra être très étroite,     c'est-          à-dire    que la constante :de temps devra être  très brande: or, on vient de voir plus haut  qu'il est nécessaire de la diminuer; il y a là  deux conditions en apparence contradictoires  qui nécessitent l'emploi -de circuits spéciaux,  qui seront     -décrits    ultérieurement.  



  Divers moyens peuvent être employés  pour produire la. brusque modification de la  modulation pendant les temps     BAi,        B,A.,,    etc.  D'une façon     générale,    si l'on considère la  chaîne des opérations qui donnent lieu à l'é  mission d'un signal, soit l'analyse lumineuse  d'un objet, la transformation du     signal    lumi  neux en courant électrique, l'amplification de  ce courant, son application à un dispositif des  tiné à moduler l'onde porteuse, la production  de la porteuse elle-même par un dispositif  oscillateur et amplificateur,

   il     est    facile de  comprendre que la brusque modification de  la modulation peut s'appliquer à l'une quel  conque des opérations de cette     cha"ine.     



  A titre d'exemples, on a décrit ci-dessous  et     rPpré,#enté    au dessin annexé quelques for  mes     d'exécution    -de l'invention.  



  Les     fib.    1, 2 et 3 sont, comme dit plus  haut, des figures purement théoriques expli  quant le principe de l'installation; ,  La     fib.    4 représente schématiquement un  dispositif mécanique     permettant    de faire le       scandage    sur le faisceau lumineux;  La     fig.        â    en est     -un    détail à plus brande  échelle;      La fi-.

   G est un schéma     -d'un    poste émet  teur, .dans lequel le     scandage    est fait électri  quement;  La fi-. 7 est le schéma d'ensemble d'une  installation comprenant un poste émetteur,  quelque peu différent de celui -de la     fig.    6, le       scandage    se faisant à un autre point du cir  cuit électrique, et d'un poste récepteur;  La     fig.    8 représente un     .dispositif    permet  tant d'assurer le     synchronisme    entre les deux  postes;  La fi-. 9 est un schéma des dispositifs de  couplage;

         Les        fig.    10 et<B>Il</B>     concernent    l'adaptation  d'un récepteur de télévision suivant l'inven  tion à l'écoute     radio-téléphonique    ou télégra  phique.  



  Dans le dispositif -de la     fig.    4, l'image 1  est éclairée par un faisceau -de lumière paral  lèle provenant d'une     source    lumineuse 2,  ayant traversé les lentilles 3 et 3', ce faisceau  rencontre entre 3 et 3' deux .disques parallèles  4 et 5, tournant autour d'axes décalés 6 et 7  à     -des        vitesses    différentes. Ces disques sont  percés chacun de fentes circulaires distinctes  décalées les unes par rapport aux autres, de  façon à former une sorte :de spirale.  



  Les lentes du disque 5 se succèdent l'une  à l'autre sans interruption,     c'est-à-dire     qu'elles ne présentent l'une par rapport à l'au  tre qu'un     décalage    radial, le rayon de l'arc  de cercle limitant une fente -du côté du centre  étant égal à     celui    de l'arc de .cercle limitant la  fente suivante du côté -de la périphérie du  disque. Les     fentes    :du disque 4 sont, en outre,  disposées -de telle sorte que le rayon limitant  une dé ces fentes fasse un certain angle avec  le rayon limitant la fente     suivante,    de sorte  qu'il     reste    sur le disque 4 des secteurs<B>Il</B> com  plètement opaques séparant les diverses  fentes 9, 10....  



       Le        disque    4 fait un tour entier pendant  que le     -disque    5 avance -de l'angle sous-tendu  par une de ses     fentes,        les        spirales    des deux  disques étant tracées de manière à se couper  orthogonalement pendant la rotation     -des    dis  ques.    Le fonctionnement du dispositif est le  suivant: tous les rayons lumineux sont arrê  tés par les deux disques, sauf l'étroit faisceau  de rayons qui passe par les deux     fentes    8 et  9 qui se trouvent, à l'instant considéré, en  regard l'une de l'autre.  



  On supposera, pour fixer les idées, qu'au  point de croisement des fentes, la fente 8 du  disque 5 est sensiblement verticale, et que la  fente 9 du disque 4 est sensiblement horizon  tale.  



  Si le disque 4 était enlevé, les rayons lu  mineux passant par la fente 8, éclaireraient  une bande 8' -de l'image; lorsque. le disque 4  est en place, seule une     petite    région 9' de la  bande 8' sera éclairée à travers la fente 9, et       cette    région 9' constituera un élément -de dé  composition de l'image. On voit que, lorsque  les disques tournent avec les vitesses de rota  tion indiquées, pendant un tour du disque 4,       ce    sera toujours la même fente du disque 5 qui  permettra le passage de la lumière, et     "celle-          ci    éclairera successivement les -divers élé  ments de la bande 8', au fur et à mesure  que les fentes .du disque 4 croiseront la  fente 8.  



  On voit également que, les fentes étant  orthogonales, tant que la lumière passera par  les deux mêmes     fentes    8 et 9,     ce    sera le  même élément 9' qui sera éclairé, et, d'autre  part, qu'entre l'éclairement -de deux éléments  successifs 9' et 10', il y aura un intervalle  d'obscurité dû au passage du secteur opaque  devant la fente 8.  



  Les éléments transmis seront donc des  points voisins les uns des autres sur l'image  1 et leur transmission sera décalée dans le  temps.  



  D'autres procédés pourront être employés  pour produire l'exploration lumineuse     inter-          mittente    -de l'image, on pourra, par exemple,  utiliser un .dispositif connu     quelconque    d'ana  lyse     continue    et prendre une source de lu  mière     intermittente,    par exemple une     'Lampe     à gaz luminescente alimentée en courant al  ternatif, à     1a    fréquence qui correspond au       nombre    d'éléments à transmettre par seconde.

    On pourra également, avec le même dispositif      d'analyse continu, placer sur le trajet des  rayons lumineux, avant ou après l'image, un  disque     percé    de fentes et tournant à une vi  tesse convenable pour produire, à la fréquence  voulue, les     interruptions    de lumière.  



  Toutefois, la réalisation des dispositifs  mécaniques présente de sérieuses difficultés       ,gin    raison -des grandes     vitesses    de rotation à       -atteindre    et à maintenir     constantes    pour les  disques;

   il est préférable d'avoir recours à  des dispositifs purement électriques, soit un  dispositif dans     lequeï    l'éclairage et l'explora  tion de l'image seraient faits par -des disposi  tifs connus     tels    que la roue :de     Nipkow    ou       celle    de     Weiller,    les interruptions portant sur  le courant de la     cellule    photoélectrique ou au  besoin sur celui de l'onde porteuse.  



  La     fig.    6 schématique montre un disposi  tif .de -ce genre.  



  Le poste émetteur représenté sur cette       fig.    6 comprend plusieurs lampes à trois élec  trodes dont, pour plus -de simplicité, on n'a  pas représenté les circuits -de     chauffage,    d'a  limentation, et     certains    circuits de filtrage  sur les fils d'alimentation.  



  La     source    lumineuse 12 fournit un fais  ceau dont une     partie    passe à travers le trou  d'un disque de     Nipkow    13, l'image de ce trou  se formant     à,    l'aide d'un système optique 14  sur l'objet 15, dont on veut transmettre  l'image. La lumière diffusée par 15 agit sur  la cellule photoélectrique 16, qui, à son tour,  agit sur un groupe     d'amplificatrices    basse  fréquence 17, dont la dernière module, par  contrôle d'anode, la lampe 18 excitée directe  ment par l'onde     porteuse    fournie par l'oscilla  teur 19. On envoie donc sur la grille de la  lampe 20 un signal modulé     tout,à    fait comme  dans une émission de télévision classique.

    Mais la brille -de la lampe 20, fortement pola  risé e, de manière qu'aucun courant -de     plaque          ne    passe au repos, subit en outre les impul  sions produites par une hétérodyne     21.,    dont  la fréquence est égale au nombre d'éléments  à transmettre par seconde; le courant de la  lampe 20, qui aura lieu pendant une partie  seulement de la période de l'hétérodyne 21,  sera donc scandé de cette manière et le -cou-    rani envoyé à l'antenne 22 sera doue un cou  rant modulé scandé.  



  La     fig.    7 représente schématiquement une  installation     complète        comportant,    en haut, un       poste.d'émisaion,    quelque peu     .différent    :du  précédent en ce sens que le     scanda.ge    est pro  duit, comme on le verra, à un autre point de  la chaîne .des organes, et en bas le poste ré  cepteur.  



  Au poste d'émission se trouve     er_core    une  cellule photoélectrique 23, qui est excitée  par la lumière diffusée par l'objet .dont on  transmet l'image. Cette cellule 23 agit sur  l'amplificateur basse fréquence 24.     La    lampe  26 est une hétérodyne qui fournit la fré  quence de     scandage,    par exemple 100.000 cy  cles, qui est modulée par contrôle d'anode par  la.     lampe    25; la fréquence 100.000     modulée     est amplifiée par la lampe 27.

   La lampe 28,  dont la grille -est fortement polarisée, ne  donne un courant plaque que lorsque les al  ternances fournies par 27 sont positives; la  lampe 28 fournit .donc, par ce moyen, un -cou  rant de plaque scandé, lequel, par contrôle  d'anode, module l'émetteur supposé schéma  tiquement réduit à une     seule    lampe 29.  



  Le poste     récepteur    comprend une an  tenne 30, une lampe     bigrille    31,     changeuse     de fréquence, -dont une grille est     excitée    par  l'antenne 30, tandis que l'autre grille est  couplée -à l'anode, de manière à     engrendrer     une oscillation hétérodyne, un amplificateur  32 de la fréquence secondaire créée par 31,  une détectrice 33 et un amplificateur basse       fréquence    34.  



  Les courants sortant de cet amplificateur  actionnent une lampe luminescente à gaz 35  qui produit ainsi un éclairement qui, à cha  que instant, est proportionnel à l'éclairement  du point     eorrespondant    -de l'objet sur lequel  se forme l'image -d'un trou de la roue ,de       Nipkow    du poste d'émission.  



  Il suffit, pour voir l'image de l'objet, que  l'observateur 36 regarde     cette    lampe 35, à  travers une roue de     Nipkow    37.,     identique    à  celle du poste transmetteur et     tournant    syn  chroniquement avec     @eelle-ci.         Le maintien -du     synchronisme    entre le  poste transmetteur et le poste récepteur est  un problème très important; la fi-. 8 montre  un dispositif destiné à le résoudre.  



  A     chaque    tour .de la roue du poste émet  teur, un .courant beaucoup plus intense que  celui servant à la     transmission    -de l'image est  créé au poste émetteur;     cela    est facile à réa  liser, par exemple en prévoyant sur la roue  de     Nipkow    des trous supplémentaires plus  grands que ceux :destinés à l'exploration de  l'image, les rayons lumineux passant par ces  trous étant envoyés :directement sur la cel  lule 23.  



  Au poste     récepteur,    le moteur 38 entraî  nant la roue 37     (fig.    7 et 8) fait tourner à la  même vitesse que celle-ci un aimant 39  (fi-. 8) en fer à cheval, dont les     pôles    passent  devant ceux d'un     -électro-aimant    40 monté en  série dans le circuit .de la lampe luminescente  35. Ces organes sont disposés de telle sorte  que, lorsque le synchronisme existe, les pôles  de l'aimant 39 soient juste en face des pôles  de noms contraires de l'électro-aimant 40 au  moment où -le courant renforcé est envoyé.  



  On voit que, si le moteur 38 prend une  légère avance ou un léger retard, l'attraction  produite par l'électro-aimant -sur l'aimant per  manent tendra à ramener     ce    dernier en avant  ou en arrière; il y aura. ainsi une correction  à chaque tour de la roue et le synchronisme  sera parfaitement maintenu.  



  Sur les ;schémas     b    et 7, on a représenté  des couplages quelconques entre les lampes,  cela dans le but de simplifier les explications  et de faire comprendre clairement le fonction  nement;     toutefois,    comme il a été dit plus  haut, il est nécessaire,     tout    en     maintenant    à       l'ins;

  talla.tion    une     sélectivité    suffisante, de ré  duire la .constante     @de    temps, afin que l'am  plitude des signaux puisse atteindre sa. va  leur maxima     et,décroître    jusqu'à une valeur  sensiblement inférieure en un temps     court,     par     rapport    au temps alloué à     transmission     d'un élément, le nombre d'éléments à. trans  mettre par     seconde    étant de l'ordre de 40.000.  



  Théoriquement, pour que le     récepteur     puisse reproduire très     exactement    l'image, il    faudrait que sa constante de temps soit très  inférieure à la durée de transmission d'un  point.     .Supposons,    par exemple, que la cons  tante -de temps soit moitié moindre que cette  durée; après la transmission d'un point, le  courant fourni par ce point au récepteur re  tomberait alors à la     fraction        1/J    =     117,s     =     0,13    environ de sa valeur pendant la  transmission du point suivant; cette condi  tion est tout à fait acceptable. Il vaudrait  mieux, naturellement, pour la qualité, que la  constante de temps soit encore plus faible.

   Ce  pendant, il faut faire observer que     l'oeil,     quand il examine une reproduction (tableau,  photographie) dans des conditions -d'éclai  rage très éloignées de la     méalité,    ne demande  nullement que la     reproduction    lui restitue la  vraie valeur des contrastes. Pour les objets  en premier plan, il s'arrange en     particulier     de contrastes sensiblement plus faibles sur la  reproduction.

   Dans     l'installation    de télévi  sion de l'invention, cette circonstance a. l'ef  fet très favorable .de rendre tolérable une  constante -de temps notablement plus grande  que     celle    correspondant à la qualité parfaite,  et la     pratique    montre qu'une constante de  temps de l'ordre de grandeur de     la:    .durée de  transmission. d'un point est tout à fait adap  tée -à la qualité moyenne requise.  



       On    a rappelé plus haut que, pour un cir  cuit accordé simple, la constante de temps est  inversement proportionnelle à la,     largeur    de  la bande passante que l'on a également défi  nie plus haut. Il est, d'autre part, connu  que,     quand    un     récepteur    est constitué par  plusieurs circuits sélectifs couplés     pa.r    des  lampes-relais, la     constante    -de temps globale  du récepteur est sensiblement égale à la  somme des constantes de temps des     divers     circuits.

   Ceci n'est pas gênant pour la ré  ception     radiotéléphonique,    -car     celle-ci    ne  met guère en jeu des fréquences     acoustiques     au delà -de 9.000 périodes et l'on peut conci  lier une bonne qualité de réception     (c'est-à-          dire    une -     réception        convenable    de     toutes    les  fréquences de la bande passante) avec une  grande constante de temps (,c'est-à-dire avec  une courbe de résonance     aiguë).         C'est ainsi que, pour avoir un affaiblisse  ment de 1/´,     c'est-à-dire        1;

  \3    environ, aux li  mites des deux bandes passantes symétriques  de     5.000    périodes, on peut admettre -en ra  diotéléphonie les valeurs     suivantes    de la  constante de temps T:       Tl        =-    50 microsecondes avec un seul cir  cuit;       T@    = 32     X    2 avec deux .circuits de 32  microsecondes chacun accordés l'un     sur     l'autre;       T@    - 25     X    3 microsecondes avec trois  circuits accordés     @de    25 microsecondes chacun.

    Toutefois, ces chiffres ne sont en     pra-          lique    que des limites inférieures, car on est  enclin en radiotéléphonie ou télégraphie à  augmenter encore la constante de temps .des  récepteurs, afin d'augmenter le plus possible  l'amplification, en diminuant l'amortissement  des circuits et en sacrifiant ainsi la qualité  de la réception.  



  Tout compte fait, on ne connaît pas de       récepteur    de radiotéléphonie ou télégraphie  doués d'une sélection raisonnable, dont la  constante de temps soit inférieure à 80     micro-          seconde@    environ, quand le réglage est fait en       vile    du maximum de sélectivité.  



  Si on constituait un     récepteur    de télévi  sion au moyen d'un ensemble amplificateur  haute fréquence, détecteur et basse fréquence,       semblable    chacun aux éléments correspon  dants .des appareils de radiotéléphonie ou té  légraphie usuels ayant une constante de  temps de     l'ordre    de 80 microsecondes, on  n'aurait la. possibilité de recevoir au maxi-         mum    que  
EMI0007.0023     
    éléments par seconde,     ce    qui est très peu.  



  On donne ci-dessous, à titre d'exemple,  les moyens d'augmenter beaucoup ce nombre  d'éléments, tout en conservant la sélectivité  des appareils de radiodiffusion qui sont de  même classe quant au nombre des circuits et  des éléments tels que selfs,     capacités,        ete.     



  Ce résultat peut être obtenu par l'emploi  -de     circuits    complexes, c'est-à-dire d'ensembles    de circuits accordés     simples    formés chacun  par une self     e@    une capacité et couplés -direc  tement entre -eux sans     relais.     



  La     fitr.    9 montre un mode de couplage en  tre la plaque p d'une lampe et la brille g  -de la suivante qui donne ce résultat: un pre  mier circuit oscillant L, C, amorti par une       résistance    R.     -dans    lequel débite la plaque p  d'une lampe, présente une inductance mu  tuelle     111    avec un autre circuit intermédiaire  <I>(L', C',</I>     R,'),    lui-même couplé     par-l'inductance     mutuelle<I>dl'</I> avec le circuit<I>(L", C", R")</I> d'at  taque de la. brille g -de la lampe suivante.

   Si  on donne aux constantes des circuits les va  leurs suivantes:       R.    = R' = R" = 7.000 Ohms  <I>L = L' = L"</I> = 0,06 Henrys  C =<B>C</B> = C" =     0,14.10-'        Microfarads          JZ        =-   <B><I>31'</I></B> = M"     =    0,0084 Henrys  et si on suppose que les lampes ainsi. couplées  sont -des lampes à résistance interne infi  nie. l'ensemble jouit des propriétés suivantes:  10 L'extinction des courants s'y fait .sen  siblement comme     e-b0.ooo        t.,    ce qui     ,donne     pour l'ensemble une constante -de temps de  16 microsecondes environ;

    20 La courbe     d'amplification    .de l'étage  comportant ce circuit comme couplage .d'une  lampe à la. suivante présente une     bande    pas  sante bien définie de - 10.000 cycles environ  autour de la fréquence de 55.000 cycles en  viron.  



  On voit qu'on     peut    utiliser un     tel    circuit  comme moyen sélectif dans un amplificateur  moyenne fréquence pour la télévision 'scan  dée. On peut envisager, par exemple, un ré  cepteur de télévision comportant une     bigrille     chanteuse de     fréquence        précédèe    par un cadre  très amorti de     constante        @ds    temps, 10 micro  secondes par exemple, suivi par un amplifi  cateur moyenne     fréquence    comportant le cir  cuit de la     .fia,.    9;

   l'ensemble aura une cons  tante de temps de 10     +        1.-6    = 26     micro-          secondes    et permettra de recevoir:  
EMI0007.0061     
    points par seconde, avec une netteté parfaite.      En utilisant, au lieu     de-lampes-écrans    des  lampes à faible résistance intérieure, par  exemple 9.000 ohms, la     -constante    de temps  tomberait à 2 microsecondes.  



  En employant, dans le récepteur, trois  circuits     conplexes    convenables, on aurait une  sélectivité très grande jointe à la constante  de temps très faible 3     X    2 = 6 microse  condes, permettant de     recevoir    jusqu'à:  
EMI0008.0006     
    points par seconde environ.  



  Le poste récepteur ci-dessus décrit peut  être aménagé de façon à ce qu'il puisse être  également utilisé pour la réception     radio-          téléphonique    ou télégraphique; en effet, les  circuits de ce poste,     tels    que décrits ci  -dessus, se trouvent amortis à un degré tout à  fait inutile pour cet usage, car la sensibilité  se trouve, dans le cas de l'écoute     radiotélépho-          nique,    diminuée pour le signal et augmentée  pour les parasites par cet amortissement  excessif.  



  Dans ce but, on prévoit des moyens pour  faire varier, de     préférence    par     l'empioi    -d'une       manette    ou     .d'un    bouton de commande uni  que, l'amortissement -des circuits de haute  fréquence -du poste. Ainsi, on pourra disposer,  comme le montre la     fig.    10, -en série dans les  circuits accordés .du poste (accordés sur la  haute fréquence et la moyenne     fréquence)    une       résistance,    relativement petite, qui sera     court-          circuitée    pour l'écoute téléphonique et mise  en circuit pour la télévision à l'aide des in  terrupteurs 41 et 42 à commande unique.  



  On pourra -de même     (fig.    11) .disposer en  parallèle sur chacun desdits circuits une ré  sistance relativement     @éievée,    qui sera laissée  en circuit pour la télévision et déconnectée  pour     l'écoute    téléphonique à l'aide d'inter  rupteurs appropriés 44 -et 45. ,  Les interrupteurs. permettant de passer du  régime très amorti au régime peu amorti  pourront être commandés soit à la main, soit  automatiquement par l'intermédiaire d'un  relais 43     (fig.    10) actionné par un signal spé  cial lancé par l'émetteur et mettant les ré-         cepteurs    .dans l'état voulu pour la réception  de télévision.

   Ce signal pourra, en outre,  par l'intermédiaire d'un     relais,    commander la  mise en marche -de tous les organes auxi  liaires:     moteurs,    lampes au néon et autres,  utilisés pour la télévision.

Claims (1)

  1. REVENDICATION Installation de télévision électrique, dans laquelle les éléments de l'image :à transmettre sont analysés successivement dans le temps, caractérisée par le fait que l'émetteur com porte,des moyens par lesquels l'onde émise a sa modulation périodiquement et brusque ment modifiée pendant une partie -de la durée correspondant à la transmission de chaque élé ment, l'émetteur et le récepteur étant, en outre, rendus à la fois suffisamment réso nants et suffisamment amortis au moyen d'organes appropriés. SOUS-REVENDICATIONS 1.
    Installation suivant la revendication, ca ractérisée par le fait que la brusque modi fication de la modulation est obtenue par -des moyens interrompant l'émission pen dant une partie -de la durée correspon- ,dant à la transmission de chaque élé ment, l'émetteur comportant, en outre, après l'organe de scandage, des moyens d'amortissement par lesquels il est ap- proximativem-ent ramené au repos pendant le temps -de ladite interruption & l'émis sion.
    2 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par le fait que la brusque modi fication de la modulation est obtenue par des moyens ramenant l'intensité de la mo dulation Ù une valeur constante, l'émet teur comportant, en outre, après l'organe de scandage, des moyens d'amortissement par lesquels il est approximativement ra mené au repos pendant le temps où l'in tensité de la modulation est ramenée à une valeur constante. 3 Installation suivant la revendication, oa- ra-ctérisée par le fait que l'émetteur com porte des moyens par lesquels la brus- que modification de la modulation est opé rée sur le circuit lumineux.
    4 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 3, caractérisée par le fait que la brusque modification de la lumière est obtenue au moyen d'une source lumineuse d'intensité variable. 5 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 3 et 4, caractérisée par le fait que la source -de lumière à in tensité variable est un tube à décharge alimenté par un courant alternatif.
    6 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 3, caractérisée par le fait que l'interruption périodique de la lumière est obtenue au moyen d'un sys tème de deux disques tournants, paral lèles, munis chacun d'une série -de fentes en arc de cercle disposées en spirale dis continue, l'un -de ces disques faisant un tour complet pendant que l'autre ne tourne que de la longueur d'une fente, les fentes du :disque le plus rapide étant séparées par des secteurs opaques, les fentes des disques étant orthogonales dans leurs positions de coopération.
    7 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par le fait que l'émetteur com- porte -des moyens par lesquels la brusque modification de la modulation indiquée dans la revendication est opérée sur le circuit électrique.
    S Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 7, caractérisée par le fait que l'interruption de la modu lation est obtenue au moyen d'un hété rodyne modulée par le courant de la cel lule photoélectrique et agissant sur une lampe très polarisée, de façon telle que le courant de plaque de cette lampe servant à moduler l'onde porteuse n'existe que pendant une fraction de la période de l'hétérodyne.
    9 Installation suivant la revendication et les sous-revendications 1 et 7, caractérisée par le fait que l'interruption -de la modu- lation est obtenue au moyen .d'une hété rodyne agissant sur une lampe plaeép en tre la lampe oscillatrice engendrant l'onde porteuse modulée par le courant de la cellule photoélectrique et l'antenne dé mission, -de façon -à empêcher l'actionne ment de l'antenne pendant une fraction de la période de ladite hétérodyne.
    10 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par le fait que la partie de l'émetteur qui suit l'étage où se fait la brusque modification -de la modulation, et la partie .du récepteur qui précède la dernière détection fournissant la basse fréquence, sont pourvues de moyens qui, tout en leur conservant une bonne r6so- nance comparable à celle -des bons récep teurs de radiotéléphonie ou de radiotélé graphie, leur donnent un fart amortisse ment,
    c'est-à-dire une constante de temps inférieure au temps de transmission d'un élément de l'image pendant laquelle la modulation est interrompue, soit de l'or dre de 40 microsecondes. 11 Installation suivant la revendication et la sous-revendication 10, caractérisée par le fait que les moyens donnant à la fois une résonance et un amortissement suffi sants sont constitués par -des circuits complexes comprenant un ensemble de circuits oscillants simples constitués par une self et une capacité et couplés direc tement entre eux sans relais.
    12 Installation suivant la revendication, ca ractérisée par le fait que le récepteur comporte des commutateurs permettant de modifier les résistances, de façon à augmenter la constante de temps, c'est-à- dire à diminuer l'amortissement en vue de l'utilisation dudit récepteur pour la réception .des radiocommunications télé phoniques ou télégraphiques.
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