Dispositif pour l'enlèvement de la poussière, etc. L'objet de l'invention est un dispositif pour l'enlèvement dle la, poussière, etc.; -ce peut être, par exemple, une époussette, un balai.
Il comporte, comme d'autres dispositifs connus pour l'enlèvement @de la-poussière, etc., un corps -et une garniture. Mais il s'en dÏskin- gue par le fait que le corps- présente un lo gement longitudiual ouvert à l'une de ses extrémités .et recevant la garniture qui est maintenue en place au moyen d'au moins une attache.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, trois formes :d'exécùtion .du dis positif, constituées par une époussette.
Les iig. 1 et 2 montrent en persp#e.'ctive une première forme 4'egécution prépaxée en vue,d@e deux moides -d'emploi dif±6rents,-, Les fig. 3. à 6 ,se rapportent à des détails; Les fig. 7 ,et 8 sont une vue en perspec tive -et une coupe transversale d'tne seconde forme d'exécution;
Les fig. 9 et 10 sont de même une vue en perspective et une coupe transversale de la troisième forme -d'exécution.
Le corps de l'époussette représenté sur les fig. 1 à 6 est eo stitué par un manche rectiligne, cylindrique a, en bois, par exem ple; présentant un logement longitudinal b, ouvert à l'une de ses extrémités et occupant à peu près la moitié .de sa longueur, ainsi qu'un trou transversal cylindrique c.
La garniture a la forme d'une nappe épaisse d et @se compose de fibres textiles e maintenues par une bande centrale /' de tissu fermée ,sur elle-même, de manière ,à former un 0 autour -des fibres e. Des attaches g, h, en matière textile, par exemple, se trouvent à -l'une des 'extrémités de la bande f et :à proxi mité de 'l'autre.
Le logement b a une hauteur à peine supérieure à l'épaisseur de la bande f et -des fibres e.
Une coiffe i, en tissu, par exemple, com prend une partie supérieure j à peu près rec- tangulaire et un rebond k occupant les ,deux longs côtés, ainsi que l'un des petits; dans le rebord est ménagée une gaine 0û passe un cordonnet l en matière textile.
On .se sert comme suit de la forme @d'exé- cution dlécrite ci-4essus: On introduit la garniture d dans le Io- gemënt b par le about ouvert ide,celui-ci,
puis on<B>l</B>'y maintient longitudinalement en faisant passer l'attache g dans -le trou c et en nouant ensuite !l'un à l'autre les, bouts .de cette,der- nière. Grâce à la hauteur donnée au loge ment b, un déplacement latéral ode la .garni-. ture d n'est guère à craindre;
pour l'empê- cher -cepenidant,de manière plus. sûre encore, on passe les bouts #,de l'attache h autour du manche a .et an 'les noue l'un à l'autre (fâg. 1).
L'époussette peut alors être introduite par bout dans une ouverture; dans l'intervalle existant entre deux pièces, etc., pour les net foyer par -les ideuxbords longitudinaux ide la garniture d.
Après avoir dénoué !l'attache h, on peut enfiler la coiffe i entre la partie supérieure de la bande f jet la face inféarieure idu loge ment b, -ffirer fortement sur .elle -de .gauche à -droite au moyen,
du cordonnet et la fixer en nouant l'un à l'autre les bouts die .ce cor- donnet l sur-<B>la</B> manche<I>a</I> au delà ode la gar- niture-d. De cette façon, on rabat vers le bas les deux parties de la nappe- des fibres e (fig:
-2), ce qui permet id'utzliserr la forme d'exécution représentée à la manière -d'une époussette usuelle, pour nettoyer une seule surface à la fois.
Lorsqu'on lave la garniture _d, la, coiffe i ou qu'on les mouille pour une raison quelcon- -qüe, elles se raccourcissent -en général;
cela n'offre aucun, inconvénient pour 'lieur Temon- tage, @du fait ode leur fixation par les, attaches 9, h, <B>1.</B>
Selon les -ffig. 7 et 8 le rebord k de la coiffie i et le cordon d qui y .est p'laoé siont sup- primés. La coiffe m est munie ià. 'l'une de ses extrémités de ;
deux attaches flexibles n, o passant dans le trou. c -et nouées l'une à l'au- tre pour la maintenir -en place. Deux autres attaches <I>p, q</I> se trouvent vers 2e milieu de la longueur de la gaine m, sont nouées Tune à l'autre, après que l'une 4'eles- a 'été intro- duite dans la nappe en fibres e et passée sous le manche a,
et servent à empêcher un @d6pla- cement latéral .de cette gaine par rapport au manche a.
La coiffe peut encore présenter une gaine dorsale recevant - !Ia \-branche - eupé- rieure du manche a, de façon qu'elle soit solidement maintenue en place.
D'après les fig. 9 et 10, les fibres, e de la :garniture d au lieu: ;d'être saisies en leur milieu par la bande f, sont maintenues à l'une de leurs extrémités dans, une pièce r faite en une matière textile, de section transversale en U et ayant aussi en plan la forme :d'un U;
elles y sont maintenues, par une couture s re liant les,deux dèvxës, de-11a pièce r. Les parois intérieures des deux branches @de celle-ci pré sentent des replis externes horizontaux t, m réunis l'un à l'autre pax une couture v;
il existe de cette façon entre les deux branches une liaison tranvërsale de faible hauteur qui -est introduite dans le logement b du manche a.
La garniture e, r est maintenue en place longitudinalement par les attaches n, a pas- -s@ant id@ans 2ë troü c, latéralement parles, atta ches p, q.
La garniture peut @étre faite -en une@ma- tière autre qu'une matière textile animale, végétale ou minérale @et peut ne pas, avoir la forme indiquée; c'est ainsi qu'on peut utili ser du -cuir naturel, @clé la paille .de fer pour certains travaux.
On peut prévoir que la partie,du manche <I>a</I> qui présente le logement<I>b</I> et la garniture d seront placés d'anis une boîte lorsque le dis positif ne sera pas -en service.
Ce dernier peut ne pas être constitué par une -époussette, mais bien par un balai ,à long manche, par exemple, permettant -d!'ënlever la poussière du ,sol sans @se baisser. Dans ee cas, le -corps comporte un manche, -ainsi qu'une partie solidaire .de eélui-ci, mais transversale à ,lui -et présentant le logement longitudinal b.