CH124094A - Support d'échafaud. - Google Patents

Description

  Support d'échafaud.    L'objet de l'invention est un support  d'échafaud.  



  Il est caractérisé par le fait qu'il com  porte un organe métallique en L, dont l'une  des branches doit reposer sur une surface  non verticale de la construction pour laquelle  on se sert de l'échafaud et dont l'autre bran  che est destinée à prendre appui sur une sur  face non horizontale de cette construction,  ainsi qu'une pièce métallique portée par l'or  gane et supportant à son tour l'échafaud.  



  Le dessin annexé     représente,    à titre  d'exemple, deux     formes    d'exécution du sup  port.  



  Les fig. 1, 2, 3 sont une élévation laté  rale, une vue de face, une vue en perspective  d'une première forme d'exécution;  Les fig. 4 et 5 sont une élévation laté  rale et une vue de face de la seconde     forme     d'exécution.  



  L'organe a en L de la première forme  d'exécution est fait en métal, a une section  transversale en T et présente deux bran  ches de longueur inégale, disposées à angle  droit; l'une d'elles, b, repose par ses ailes  sur une surface horizontale c d'un mur     d       appartenant à la construction pour laquelle  on se sert de l'échafaud; l'autre, e, prend ap  pui par ses ailes sur l'une des faces verti  cales f de ce mur d.  



  Le long de l'âme g de la branche e peut  coulisser la pièce mobile     h    formée de deux  fers cornières i, j, dont l'un est prolongé par  un pan coupé obliquement en z et entre les  quels se trouve une fourrure 7c plus courte.  Cette pièce mobile est immobilisée à une po  sition     arbitrairement    choisie à l'aide de deux   chevilles<I>1,</I>     m    enfilées dans -des trous des  fers<I>i, j</I>et dans deux trous d'une série ver  ticale de trous     7a    pratiqués dans l'âme     g.     



  Pour établir l'échafaud, on dispose de dis  tance en     distance    des supports     selon.les        fig.     1 à 3 le long des deux murs d qui se font face  et dont un seul est représenté sur ces figures;  on amène les pièces mobiles     h    à la hauteur  voulue et on les y immobilise en enfonçant  les chevilles<I>1,</I>     in    dans les trous des fers<I>i,</I>     j     ainsi que dans deux des     trous    n;

   on place  alors une     longrine    o sur les supports et de  vant chacun -des murs, puis des poutres  transversales p sur ces     longrines,    enfin des  plateaux     longitudinaux        q    sur les     poutres   <I>p.</I>      L'échafaud étant ainsi mis en place, on peut  exécuter sur la surface horizontale     consti-          tnée    par les plateaux q tous les travaux vou  lus pour l'établissement du plancher, en bé  ton armé ou non par exemple, devant relier  les parties supérieures des deux murs d.  Pendant ce temps, l'une des chevilles 1, m  sert de sûreté pour le cas où l'autre vien  drait à céder; les fers i, j s'appuieraient alors  sur les ailes de la branche e.

   Lorsqu'il s'agit  d'écarter les plateaux du plancher pour le  décoffrage par exemple, on chasse les che  villes l, m des trous.  



  On se rend aisément compte par l'inspec  tion des fig. 1 à 3 due cette forme d'exécu  tion permet de supprimer les boisages ou  autres supports partant du bas des murs d  et destinés à donner appui à l'échafaud  o p q. ce qui est fort avantageux.  



  Dans la seconde forme d'exécution (fil. 4  et 5) la branche e de l'organe a en L porte  un bras r qui est rigidement fixé et renferme  tun écrou s donnant passage à une vis verti  cale t. La tête u de celle-ci se trouve en bas  et sa pointe supporte un chapeau v appar  tenant à la pièce mobile IV qui comporte en  core deux fers cornières i, j, un plateau x re  posant sur les fers i, jet destiné à supporte,r  la, longrine, deux fourrures auxquelles ces  furs, i, j sont fixés et qui se déplacent de  part et d'autre de l'âme g de la branche e  dje l'organe a.  



  L'organe a, la pièce mobile, les moyens  servant à immobiliser la seconde le long  de la première peuvent différer de ceux qui  ont été décrits et représentés; cet organe  et cette pièce peuvent comporter par exemple  clos parties tubulaires en U; ces moyens peu  vent présenter des crémaillères, des excen  triques.  



  L'échafaud destiné à reposer sur le sup  port peut être autre que celui qui a été in  diqué.    Au lieu d'être verticales et horizontales,  les surfaces sur lesquelles s'appuie le sup  port pourraient être obliques.

Claims (1)

1. REVENDICATION Support d'échafaud, caractérisé par le fait qu'il comporte un organe métallique en L, dont l'une des branclhes doit reposer sur une surface lnon verticale de la construc tion pour laquelle on se sert de l'échafaud et dont l'autre branche est destinée à pren dre appui sur une surface lnon horizontale rde cette construction, ainsi qu'une pièce mé- tallirque portée par l'organe et supportant à son tour l'échafaud. SOUS-REVEN DICATIONS 1 Support d'échafaud selon la revendication, caractérisé par le fait due la pièce est mo bile le long de la seconde branche de l'or gane et due des noyens sont prévus pour l'immobiliser a diverses positions le long de cette branche.

   Support d'éclhafa ud selon la revendication et la sous-revendication 1, caractérisé par le fait que les moyens mentionnés sont constitués, d'une part, par un troll mé nagé dans la pièce mobile et par une série de trous pratiqués le long de la se conde branche (le lorgane et, d'autre part, par une chevilla qu'on enfonce dans le trou de la pièce mobile, et dans un trou, arbitraircm.ent; clioi>:i, de la .série de trou de la seconde branche.

   3 Support d'échafaud selon la revendication et la sous-revendication 1, par le fait due les mo-,rens mentionnés sont constitués par ait moins une vis portée par la seconde branche de l'organe, paral lèlement à celle-ci, passant dans un écrou fixé à, cette seconde branche et supportant la. pièce mobile.