Ressort à lames. Cette invention a pour objet un ressort à lames, suivant la revendication du brevet principal, caractérisé par des moyens pour in jecter du lubrifiant sous pression à l'intérieur du paquet de lames.
A titre . d'exemple, on a représenté aux dessins annexés: Fig. 1 une vué en coupe longiÎuc1inale d'un ressort complet comportant deux -lames maîtresses; Fig. 2 une vue en plan correspondante; Fig. 3 une vue en coupe transversale, suivant la ligne III-III de la fig. 1; Fig. 4 et 5 une vue latérale et en plan des ferrures en forme de cavalier constituant la bride;
Fig. 6 et 7 des vues respectivement en plan et en coupe suivant la ligne VII-VII de la fi-. 6 d'un gousset de fixation des brides; Fig. 8 une vue en plan d'un patin frein quelconque.
La bride spéciale est constituée par deux ferrures 1-2 (fig. 4 et 5) présentant l'allure générale des cavaliers, et qui une fois posées sur le ressort sont maintenues dans leur posi tion définitive par des goussets (fig. 6 et 7). Les ferrures constituant la bride s'agrafent l'une à l'autre d'une part sur la partie supé rieure et d'autre part sur la partie infé rieure du paquet de lames. Cet agrafage pour rait être réalisé par un emboîtement quel conque.
Dans l'exemple représenté aux des-. sins annexés, les deux pièces, dont l'ensemble constitue une bride complète, comportent à chacune de leurs extrémités une protubérance 3, 23, 33, s'adaptant dans un logement cor respondant 4, 24, 34 de la partie opposée. La ligne de contact présente la forme,d'un S; et on se rend compte à la simple inspection de la fig. 5 que lorsque l'agrafage est réalisé, la forme des extrémités des ferrures consti tuant la bride s'oppose à leur dégagement.
Les goussets de fixation, dont l'épaisseur est calculée de manière à remplir exactement la partie en retrait 5 de la bride proprement dite, sont constitués par une tôle dont une partie est un cylindre 8 ayant pour base le profil -extérieur sensiblement demi-circulaire de la bride et qui comporte d'autre part des tenons 6 susceptibles de s'emboîter dans les logements correspondants 7, mais ménagés sur le ressort.
Dans l'exemple représenté aux dessins Iln- nelés, ces boussets sont établis en une seule. pièce convenablement découpée et conformée. La. tôle découpée dont on part est reliée à. droite et à gauche de manière que ses bords viennent se rejoindre suivant- la ligne 9 du plan inférieur du gousset, chacune des ailes de la tôle présentant un prolongement 10 dans lequel est prévue la matière suffisante pour obtenir par pliage le tenon 6.
Le montage de la bride s'effectue de la manière suivante: les lames rassemblées en paquet, on dispose d'abord sur les faces su périeure et inférieure un gousset en faisant p é enêtrer ses en.coelies dans les logements 7 correspondants des lamesupérieures et in férieures.
Les goussets étant mis en place, on vient ensuite présenter l'une des ferrur:=s, (11i forme de cavalier, de manière que chacune de ses extrémités pénètre dans le logement cylindrique de l'une des brides. On force à la presse cette ferrure à prendre sa. position définitive. On fait de même ensuite pour la, ferrure opposée, qui sous l'influence d'uut# pression s'emboîte dans la première. Sous l'in fluence d'une pression suffisante cet agral':@ -(, peut se réaliser par dilatation momentanée .du gousset.
La force fie cohésion de l'ensemble ainsi raf <B>6</B> est suffisante pour qu'on n'ait pas :i <B>al,</B> craindre le désassembla--e en marelle. La so lidit6 de l'assemblage peut encore être amé liorée en faisant traverser l'ensemble, gouss.-t et extrémités de la ferrure, par une goupille 20 en un métal approprié, en aluininiuni par exemple. Le démontage s'effectue simplement de la. manière suivante.
On introduit par for cement un outil entre la bride et le paquet de lames, et la demi-ferrure intéressée se dé,1nigre de la même manière qu'elle est entrée en cisaillant la petite goupille d'aluminium.
Naturellement le profil de l'agrafage ct la forme particulière du gousset peuvent être modifiés, pourvu que l'emboîtement par simple pression reste possible. Rentrent d'ail- leurs dans le cadre de 1 < Z présente invention toutes les brides en deux pièces, agrafées d'une manière quelconque même sans emploi de goussets, par exemple par le simple effet d'une clavette convenable.
Il est à remarquf#r que ce mode particu lier d'établissement d es brides peut s'appli quer non seulement: aux ressorts faisant l'objet du brevet principal ci-dessus men tionné, mais à tous 1(#s n#ssorts à lames eli général, On peut remplacer la lame maîtresse unique par plusieurs laines divisionnaires, sans risque de rupture, dans le cas où la,
laine maîtresse comporte un moyen de fixa'- , tion à chacune de ses jeu x c@itrémitïés. C'est le cas, en particulier, (les lame: maîtresses & ressorts de suspension. dan: les voiture Citroën. Ce ressort fixé, par sa partie la.
plu; épais.-e, riP,idement au cliissis, comporte, pour la fixation â, l'os:ieii avant, nnF. pre mière lame, 1(rniiW(- suivant un profil particulier, commun(lrnent appelé "tour Ei- fel", et qui. est représenté en 71<B>il,</B> la.
fig. 2 et en outre suie lame maîtresse placée en dessous de la. première et dans laquelle on ménage deux. encoelies 1? destinées à recevoir les boulons de fixation. On se rend compte clans ces conditions que si.
l'on remplace la lame maîtresse unique par deux ou plusieurs lames de même forme. il leur sera, impossibl(> de jouer les unes par rapport aux autres, par suite de la présence des boulons de fixation logés dans les encoche: l?. Les lames d'un ressort ainsi constitué sont infailliblement brisée:, par suite<B>des,</B> force: développées pen dant la. marche.
Dans l'exemple représenté aux dessins annelés, la. lame maîtresse principale 13 est établie d'un seul tenant, mais la. lame coin- plémentaire 14, dont le profil est identique, est sectionnée en forme de<B>V</B> en 15.
Il est évident, de la sorte, qu'a.ueun risque de coincement d'est; plus à craindre. D'autre part, la lame, quoique coupée clans sa ]on gueur en deux pièce. peut agir avec une en tière efficaeit(# par suite de la présence de 1a série (le plaquettes 16 (dont l'ensemble cons- titue la lame supérieure du ressort) et des brides de serrage 1 et 2.
Le graissage sous pression n'est pas pos sible dans les ressorts ordinaires où les lames ne s'appuient les unes sur les autres qu'avec une force relativement faible et suivant un certain point seulement de leur longueur.
Le dispositif faisant l'objet du brevet principal et de la présente addition est ca ractérisé par le fait que les lames du ressort sont serrées les unes contre les autres par Lin ensemble de plaquettes et .de brides et permet, au contraire, de réaliser une lubrification sous pression des diverses surfaces inté rieures.
L'on peut gdopter pour réaliser ce grais- sa.ge des formes quelconques ,Île rainures et de perforations pratiquées dans l'épaisseur des lames, de manière à réaliser entre elles (les communications convenables. Dans l'ensemble représenté aux dessins annexés (fig. 1) le paquet de lames est muni d'un graisseur 17, qui peut être par exemple un graisseur "Técalémit" ou tout autre graisseur sous pression analogue alimentant des fentes lon gitudinales communiquant entre elles par re couvrement partiel.
Ce graisseur est en communication avec la première alvéole 18, pratiquée dans la. lame <B>11,</B> laquelle à son tour communique avec une alvéole 19, placée dans la lame suivante, et ainsi de suite; ces diverses perfora tions étant choisies en grandeur et en position de telle manière que l'huile puisse pénétrer successivement entre toutes les lames en divers points de chacune d'elles. Il a été constaté que dans ces conditions, si l'on injecte de l'huile sous pression par une extrémité du ressort, on voit au bout d'un moment percer de fines gouttelettes dans les interstices entre lames jusqu'à l'extrémité opposée.
Leaf spring. This invention relates to a leaf spring, according to the claim of the main patent, characterized by means for injecting lubricant under pressure inside the pack of leaves.
As . For example, the accompanying drawings have been shown: FIG. 1 a view in longitudinal section of a complete spring comprising two master leaves; Fig. 2 a corresponding plan view; Fig. 3 is a cross-sectional view, taken along line III-III of FIG. 1; Fig. 4 and 5 a side plan view of the rider-shaped fittings constituting the flange;
Fig. 6 and 7 respectively plan and sectional views along line VII-VII of fi-. 6 of a flange fixing gusset; Fig. 8 a plan view of any brake shoe.
The special flange is made up of two fittings 1-2 (fig. 4 and 5) presenting the general appearance of the jumpers, and which, once placed on the spring, are held in their final position by gussets (fig. 6 and 7 ). The fittings constituting the flange clip to one another on the one hand on the upper part and on the other hand on the lower part of the pack of blades. This stapling could be carried out by any interlocking.
In the example shown in des-. Sins attached, the two parts, the assembly of which constitutes a complete flange, comprise at each of their ends a protuberance 3, 23, 33, fitting into a corresponding housing 4, 24, 34 of the opposite part. The contact line has the shape of an S; and one realizes on simple inspection of FIG. 5 that when the stapling is carried out, the shape of the ends of the fittings constituting the flange opposes their release.
The fixing gussets, the thickness of which is calculated so as to exactly fill the recessed part 5 of the flange itself, consist of a sheet, part of which is a cylinder 8 having as its base the substantially semi-circular exterior profile of the flange and which also comprises tenons 6 capable of fitting into the corresponding housings 7, but provided on the spring.
In the example shown in the drawings Iln- nelés, these boussets are established in one. suitably cut and shaped part. The cut sheet from which we start is connected to. right and left so that its edges come together along line 9 of the lower plane of the gusset, each of the flanges of the sheet having an extension 10 in which sufficient material is provided to obtain the tenon 6 by bending.
The flange is assembled in the following way: with the slats gathered in a bundle, a gusset is first placed on the upper and lower faces by letting its coelies enter the corresponding housings 7 of the upper slats and lower.
With the gussets in place, we then present one of the ferrur: = s, (11i in the form of a jumper, so that each of its ends penetrates into the cylindrical housing of one of the flanges. This fitting to take its final position. The same is then done for the opposite fitting, which under the influence of uut # pressure fits into the first. Under the influence of sufficient pressure this agral ' : @ - (, can be achieved by momentary expansion of the gusset.
The strength and cohesion of the whole thus raf <B> 6 </B> is sufficient so that one does not have: i <B> al, </B> fear the disassembly in hopscotch. The solidity of the assembly can be further improved by passing the assembly, gouss.-t and ends of the fitting, by a pin 20 of a suitable metal, aluminum for example. Disassembly is done simply from the. following way.
A tool is introduced by force between the flange and the pack of blades, and the half-fitting concerned is released, 1nigre in the same way as it entered by shearing the small aluminum pin.
Naturally, the profile of the stapling and the particular shape of the gusset can be modified, provided that the fitting by simple pressure remains possible. Moreover, all flanges in two pieces, stapled in any way even without the use of gussets, for example by the simple action of a suitable key, fall within the scope of the present invention.
It should be noted that this particular method of establishing flanges can be applied not only to: the springs covered by the main patent mentioned above, but to all 1 (# sn # ssorts à Eli blades general, We can replace the single master blade by several divisional wools, without risk of breakage, in the event that the,
master wool has a means of attachment to each of its sets x c @ itrémitïés. This is the case, in particular, (the leaves: masters & suspension springs. Dan: Citroën cars. This fixed spring, by its part la.
enjoyed; thick.-e, riP, idly to the cliissis, comprises, for fixation â, the bone: ieii before, nnF. first blade, 1 (rniiW (- following a particular, common profile (lrnent called "Eifel tower", and which. is represented in 71 <B> il, </B> la.
fig. 2 and further soot master blade placed below the. first and in which we have two. encoelies 1? intended to receive the fixing bolts. We realize in these conditions that if.
the single master blade is replaced by two or more blades of the same shape. it will be impossible for them (> to play against each other, due to the presence of the fixing bolts housed in the notches: l ?. The leaves of a spring thus constituted are infallibly broken :, consequently <B > of, </B> force: developed during. walking.
In the example shown in the ringed drawings, the. main master blade 13 is established in one piece, but the. additional wedge blade 14, the profile of which is identical, is cut in the shape of a <B> V </B> at 15.
It is obvious, in this way, that there is a risk of jamming is; more to fear. On the other hand, the blade, although cut in its own right, is cut into two pieces. can act with full efficaeit (# due to the presence of the series (the plates 16 (the assembly of which constitutes the upper leaf of the spring) and the clamps 1 and 2.
Pressure lubrication is not possible in ordinary springs where the leaves press on each other with relatively little force and only at a certain point in their length.
The device which is the subject of the main patent and of the present addition is characterized by the fact that the leaves of the spring are clamped against each other by the set of plates and flanges and, on the contrary, makes it possible to achieve a pressure lubrication of the various interior surfaces.
To achieve this greasing, we can opt for any shapes, grooves and perforations made in the thickness of the blades, so as to achieve between them (the appropriate communications. Overall shown in the accompanying drawings ( Fig. 1) the pack of blades is provided with a lubricator 17, which may for example be a "Técalémit" lubricator or any other similar pressure lubricator feeding longitudinal slots communicating with each other by partial covering.
This lubricator is in communication with the first cell 18, made in the. blade <B> 11, </B> which in turn communicates with a cell 19, placed in the next blade, and so on; these various perforations being chosen in size and in position so that the oil can penetrate successively between all the blades at various points on each of them. It has been found that under these conditions, if oil is injected under pressure through one end of the spring, after a moment we see fine droplets pierce in the interstices between the blades to the opposite end. .