Moteur asynchrone à induit en court-circuit. L'invention est relative à un moteur asynchrone à induit en court-circuit, et elle est caractérisée en ce que des masses mobiles en matière magnétique, peuvent être rappro chées et éloignées du noyau magnétique de l'induit, de façon à dériver une partie du flux magnétique émis par le stator.
.Aux dessins annexés, donnés à titre d'exemple: La fig. 1 est une coupe longitudinale d'un moteur asynchrone établi suivant l'in vention; La fig. 2 est une vue en bout de l'induit; La, fig. 3 est une vue de la face interne d'un plateau de dérivation magnétique; La fig. 4 montre une autre construction d'induit; La fig. 5 est un schéma montrant l'em ploi de résistances sur le rotor; La fig. 6 est une coupe par l'axe d'un moteur avec induit en anneau; La fig. 7 est une coupe perpendiculaire à l'axe du rotor; La fig. 8 est un détail montrant. les ré sistances; Les fig. 9 à. 13 montrent diverses disposi tions des conducteurs de liaison de l'induit; Les fig. 14 et 15 montrent deux disposi tions des extrémités des conducteurs périphé riques correspondant à la fig. 13; La fig. 16 montre un enroulement en forme de cadre;
Les fig. 17, 18, 19 montrent diverses dis positions suivant lesquelles les conducteurs de liaison sont remplacés par des rondelles métalliques, La fig. ?0 montre un moteur dont le ro tor a (les extrémités coniques: Les fig. 21 et ?? sont des détails.
On sait que le couple de démarrage pour un moteur quelconque à rotor en court-cir cuit soumis à un flux magnétique tournant uniforme, est égal au quotient de la puissance absorbée au démarrage dans le rotor. par la vitesse angulaire du flux magnétique tour nant. Cette relation reste exacte quelle que: soit la construction (lu rotor en court-circuit.
L'absorption de puissance pour donner le couple de démarrage voulu avec une intensité réduite peut être obtenue par les moyens suivants employés isolément ou simultanément: 1 Par effet Joule dans l'enroulement pro pre de l'induit et effet d'hystérésis dans les parties magnétiques; 2 Par les courants de Foucault dans le noyau de l'induit et dans les plateaux ou manchons de dérivation magnétique.- Les courants de Foucault sont importants même si le noyau de l'induit est composé de tôles minces, car au démarrage une grande partie de ces tôles est parcourue transversalement par le flux magnétique dérivé;
3 En reliant les conducteurs périphériques par des résistances (tous les conducteurs en tre eux ou une partie seulement). Ces résis tances peuvent être constituées soit par un cercle en métal magnétique ou non, de résis tance relativement élevée, soit par des élé ments disposés en U ou autrement comme on le fait d'ordinaire pour les induits munis de- résistances additionnelle. Elles peuvent aussi être constituées par les conducteurs radiaux reliant les conducteurs périphériques aiu cer cle central.
Le moteur à cage d'écureuil représenté aux fig. 1 à 4 comprend un inducteur 1 d'un type usuel et un rotor porté par l'arbre 2 et comprenant le noyau magnétique (formé dans la fig. 1 du moyeu 3. des tôles 4 et des flasques 5) et les conducteurs périphériques G qui sont < connectés aux cercles 7 par des :con ducteurs les prolongeant radialement ou con ducteurs (le liaison 8 qui forment une étoile de liaison. Sur l'arbre 2. sont montés deux pla teaux 9 en matière magnétique, qui sont clave- tés sur l'arbre et que l'on petut faire coulis ser sur lui par une fourchette ou tout autre dispositif.
Ces plateaux présentent sur leur face interne une rainure annulaire 1.0 (fig. 3 et 4) et des rainures radiales 11 dans lesquel les peuvent s'encastrer les cercles 7 et les conducteurs radiaux 8 correspondants. Les plateaux représentés fig. 1 n'ont pas de rai nures radiales et les conducteurs radiaux sont alors encastrés dans les flasques 5. Au début de la. période de démarrage, les plateaux 9 sont approchés du noyau de l'induit. On crée ainsi, artificiellement, des fuites magné tiques très importantes sur le rotor, qui ont pour effet d'augmenter beaucoup a résis tance apparente, ou impédance. au moment du démarrage et, par suite, de réduite l'inten sité du courant inducteur.
Les pièces de dé rivation magnétique 9 et le noyau de l'induit forment alors, comme on le voit. des circuits magnétiques fermés autour des conducteurs de raccordement et des cercles de liaison et les plateaux doivent naturellement offrir une section suffisante au passage des flux dérivés. Les plateaux peuvent être amenés en contact direct avec le noyau de l'induit ou bien, on peut laisser subsister un entrefer. Pour pas ser à la, marche normale. on écarte les pla teaux simultanément ou alternativement. de sorte que la, marche normale est ainsi obtenue par une seule manouvre ou en deux temps.
Le couple de démarrage est obtenu comme dit plus haut. Il se produit d'ailleurs un effet pelliculaire. ou effet. de surface connu sous le nom de "skin-effect" fonction de la fréquence des courants induits, qui favorise la constance du couple pendant la mise en vitesse. Ce dis positif peut s'appliquer à tous les types exis- tants d'enroulements d'induit en court-circuit. aussi bien aux enroulements à cage d'@cureuil qu'aux enroulements formés de cadres. moyen nant une légère modification de la forme usuelle de ces enroulements. Les enroule ments peuvent être à éléments séparés ou groupés, isolés ou non. construits sur calibre ou bobinés, et appartenir aux types d'induit en tambour ou en anneaux.
Le noyau de l'induit peut être formé soit de tôles minces à la manière ordinaire comme indiqué à la fi-. 1 soit de rondelles en métal magnétique plus ou moins épaisses, les unes et les autres portant des trous ou des en coches aux profils usuels. On peut. aussi le former à la fois de tôles minces 4 et (le ron delles -1a (fig. 4-). Il petit aussi être fait d'une seule pièce massive.
Les plateaux de dérivation magnétique sont .construits en acier, fer ou fonte. Ils sont massifs ou plus ott moins divisés. no tamment par l'emploi de tôles minces, soit clans la partie annulaire proprement dite, soit dans les parties qui viennent s'appliquer con tre le-noyau de l'induit.
On peut obtenir le couple (le démarrage comme indiqué plus haut en 3 . en utilisant, en combinaison avec les pièces magnétiques mobiles, l'action des courants engendrés dans les circuits électriques fermés comprenant des résistances, qui seront placées sur le trajet (lu flux magnétique principal ou sur le trajet (lu flux magnétique dérivé par les pièces mobiles.
On voit dans le schéma de la fig. 5 un exemple .de circuits électriques comprenant des résistances r qui joignent -les conducteurs périphériques 6 et qui sont placés., par con séquent, sur le trajet du flux magnétique principal émis par le stator. Celui-ci pénètre entièrement par la périphérie du rotor en B A C D et en ressort de même en C D F E. Une petite partie seulement du flux passe sous les conducteurs périphériques en C D. La plus grande partie passe le long des bar res périphériques, de part et d'autre, sortant en A G H C et B I .7 D et rentrant en C II I E et D J K F en passant. par les pla teaux de dérivation magnétique. La force électromotrice induite clans les barnes péri phériques par le flux inducteur donne nais sance à un courant qui se dérive, d'une part.
en courant watté dans les résistances A C, B D, C E, D F et, d'autre part, en courant décalé en arrière dans les circuits A G II C, C H L E, B I J D et. D .7 K F devenus induc tifs par la présence des plateaux de dériva tion magnétique.
Les fig. 6 à 8 montrent le cas d'un induit à anneau pourvu de résistances de ce genre. Les conducteurs actifs périphériques 6 sont mis en court-circuit sur eux-mêmes à leurs extrémités par les parties 8. 8a. 8b, (lu même cadre. Un manchon mobile 9 muni de seg ments 9a vient à l'intérieur des parties 8a des cadres. Des résistances B en forme de U sont disposées de manière à re lier les cadres entre eux.
Dans tous les cas, le nombre de conduc teurs périphériques 6 de l'induit et le nombre de paires de pôles du moteur peuvent être quelconques. Sur les deux faces de l'induit, le nombre de branches 8 (le l'étoile de liaison peut être égal, multiple ou sous-multiple du nombre ales conducteurs périphériques.
La fi,,,. 9) montre une disposition suivant laquelle les conducteurs radiaux 8 sont for més par des lames encastrées, d'une part, dans les conducteurs périphériques 6 et, d'au tre part, dans le cercle de liaison r. La fig. 10 montre que les lames 8' peuvent entourer des conducteurs périphériques et être soudées sur le cercle intérieur.
Suivant la fig. 11. chaque conducteur ra dial 8 est relié < à plusieurs conducteurs péri phériques 6 pour avoir une construction plus simple et plus robuste. Le cercle 7 peut alors être coulé d'une seule pièce avec les bras ra diaux qui présentent des épanouissements 8'.
Suivant la fig. 12. il existe plusieurs con ducteurs radiaux 8 pour chaque conducteur périphérique, à l'extrémité duquel peut être soudée une tête 6'. Ceci réduit au minimum les fuites magnétiques du rotor en fonctionne ment normal.
Si les encoches 12 (fig. 13) recevant les conducteurs périphériques 6 sont suffisam ment profondes, on peut supprimer les bran ches de l'étoile de liaison et relier directement les barres par un cercle conducteur central 7.
On peut aussi obtenir le même résultat en ramenant obliquement ou circulairement les conducteurs périphériques 6 jusqu'au cer cle de liaison 7 (fig. 1-1 et 15).
Les barres de l'enroulement ainsi que les branches de l'étoile de liaison peuvent être isolées ou non.
L'enroulement peut être constitué par des cadres séparés 6 (fig. 16) à une ou plusieurs spires, isolées ou non, en court-circuit sur eux-mêmes. Par exemple, l'enroulement peut être fait. à deux conducteurs par encoche, un dessous. l'autre dessus, correspondant aux deux parties périphériques (le chaque cadre. La partie centrale dIe l'ensemble de l'enroula- ment présentera l'aspcc-t d'un loronnage.
Le logement des conducteurs de raecorde- ment ou<B>(le</B> l'étoile de liaison ou des parties similaires, dans Je cas (le l'enroulement à. ca dres séparé, peut être pratiqué soit dans les plateaux (fig. d), soit dans le noyau (le l'in- doit (fig. 1, 6, î, 20), soit à la fois dans l'in duit et les plateaux ou manchons.
On peut. éviter d'avoir à faire le logement des branches de l'étoile, soit en ayant des branches d'étoile très aplaties formant entre- fer entre le noyau et le plateau magnétique, soit en construisant branches en métal magnétique conducteur et suffisamment épais ses. L'étoile de liaison peut dans ce cas être constituée simplement par une rondelle d e fer 8 (fig. 17, 18) soudée au cercle conducteur central ï et portant des traits de scie radieux 15. Le nombre de traits de soie peut être dif férent d11 nombre d e conducteurs périphéri ques.
Ces traits de scie peuvent ne glas descen dre jusqu'au cercle (fig. 18). On peut. même supprimer complètement les traits (de scie et avoir une rondelle continue (fig. 19). Dans ce cas, le flux dérivé, en passant transversale ment dans la rondelle (le fer provoque une ré sistance relativement forte au passage des cou lants de circulation portés à la périphérie. Afin d'augmenter la conductibilité dans le sens radial sans augmenter la conductibilité dans le sens circulaire, la rondelle (le fer 8 portant ou non des traits de scie peut être munie de lames de cuivre minces encastrées 16 (fig. 19).
Les fig. 17, 18, 1.9 montrent en pointillé le trajet des courants de circulation au dé marrage dans les différents cas. On peut ré gler l'importance (le (ces courants (de circula tion par le nombre (et la profondeur des traits de scie.
Les fig. 1 11 3 montrent les plateaux ou manchons mobiles en contact avec le noyau de l'induit suivant un(e surface plane.
Les (deux parties à mettre eni contact peu vent aussi pénétrer l'une dans l'autre suivant un profil conique ou curviligne, convexe o11 concave, 0u1 suivant un profil quelconque (le solide de révolution permettant aux deux par ties de s'adapter l'une dans l'autre. Les (leux faces peuvent être ondulées à la manière (l'une denture (l'engrenage ou des deux par ties d'un manchon à griffes à angles vifs ou arrondi. Ces dispositions ont pour but soit d'augmenter l'importance des surfaces magné tiques en contact, soit de faciliter et de ren dre plus progressive la. séparation des pièce pour le passage à la marche normale. soit en core de mieux assurer la précision de la posi tion angulaire des parties mobiles.
Les conducteurs de liaison peuvent alors être disposés, par exemple suivant les géné ratrices d'un cône et on peut prolonger le noyau de l'induit d'une façon correspondante. Cette disposition est. représentée fig. 20 qui montre le noyau 3 de l'induit prolongé à ses deux extrémités par (les parties coniques 3a. 3b. Les fig. 21 et 2? montrent que l'on peut. donner diverses formes aux extrémités de conducteurs 6.
Quand les plateaux mobiles ne portent pas de parties évidées pour porter le,s parties radiales de l'enroulement. ils n'ont aucune position angulaire déterminée et peuvent être montés librement sur l'arbre. On peut faire en sorte qu'ils soient retirés de l'arbre pen dant la marche normale, en les faisant porter sur un prolongement du coussinet.
La ou les pièces de dérivation magnéti que peuvent ne pas être entraînees dans le mouvement de rotation (du rotor. Elles re poseront alors sur les parties fixes du mo teur et auront simplement un déplacement longitudinal. Elle: .seront. dans (ce cas, (1e forme annulaire et formées essentiellement d'une bande de tôle mince enroulée en spirale, pour éviter les courants (le Foucault qui di minueraient le couple (de démarrage.
Les pièces de dérivation magnétique peu vent également comporter (les saillies amovi bles. Dans ce cas, au lieu (le déplacer les demi-circuits magnétiques constitués par ces pièces mobiles, l'autre moitié étant constituée par le noyau de l'induit ou son prolongement, on peut ne faire mouvoir que les saillies amo vibles, c'est-à-dire les noyaux de ces circuit iuagliétiques mobiles un laissant fixes les liai- s()lis magnétiques <B>de</B> (@@s noyaux. On peut encore n'employer qu'un seul plateau de dérivation magnétique,
qui sera placé d'un côté de l'induit pour simplifier la construction. ' Les plateaux peuvent recouvrir seulement les conducteurs radiaux et laisser les cercles de liaison à découvert.
Si le noyau du stator est plus long que celui de l'induit, les plateaux peuvent péné trer sous le stator, partiellement ou entière ment., en venant contre l'induit. de. manière à réaliser une dérivation supplémentaire di recte du flux magnétique du stator ou une fuite magnétique supplémentaire directe, c'est-à-dire que cette partie du flux magnéti que émis par le stator ne passe pas longi tudinalement par le noyau du rotor comme précédemment.
Le mouvement (les plateaux peut être ob tenu à la main suivant les procédés usuels déjà employés pour les plateaux d'embrayage et débrayage ou encore automatiquement. On peut les commander à distance par électro aimant ou par servomoteur, électrique ou au tre, notamment pour les moteurs d'appareils de manutention ou pour les gros moteurs. On peut aussi utiliser l'action de la force centrifuge pour la commande automatique des plateaux, soit directement, soit par l'intermédiaire d'un dispositif quelconque. Comme exemple de cette .dernière disposition, on peut armer un ressort en rapprochant les plateaux avec un levier qui, en même temps, peut aussi fermer l'interrupteur du stator. A la vitesse voulue, le dispositif centrifuge permet au ressort d'entrer en action pour écarter les plateaux et faire ainsi passer le moteur au régime normal.
On peut également utiliser l'attraction magnétique susceptible d'être exercée au démarrage sur les plateaux par le champ magnétique de fuites du mo teur, à condition que ceux-ci soient suffisam ment approchés. Ce dernier procédé très sim ple, a toutefois l'inconvénient de laisser sub sister une fuite magnétique permanente pen dant la marche normale, du fait que les pla teaux doivent être suffisamment rapprochés pour pouvoir être attirés par le champ de fuite. D'autre part, il se produit une augmentation de l'intensité pendant le temps très court du mouvement (des plateaux.
Finalement, les plateaux de dérivation magnétique peuvent être remplacés par des pièces ayant. d'autres formes, par exemple des bagues, manchons ou couronnes.
Short-circuited asynchronous armature motor. The invention relates to an asynchronous motor with an armature in short-circuit, and it is characterized in that the moving masses of magnetic material can be brought together and away from the magnetic core of the armature, so as to derive a part of the magnetic flux emitted by the stator.
In the accompanying drawings, given by way of example: FIG. 1 is a longitudinal section of an asynchronous motor established according to the invention; Fig. 2 is an end view of the armature; The, fig. 3 is a view of the internal face of a magnetic bypass plate; Fig. 4 shows another armature construction; Fig. 5 is a diagram showing the use of resistors on the rotor; Fig. 6 is a section through the axis of a motor with a ring armature; Fig. 7 is a section perpendicular to the axis of the rotor; Fig. 8 is a detail showing. resistance; Figs. 9 to. 13 show various arrangements of the armature connecting conductors; Figs. 14 and 15 show two arrangements of the ends of the peripheral conductors corresponding to FIG. 13; Fig. 16 shows a winding in the form of a frame;
Figs. 17, 18, 19 show various positions according to which the connecting conductors are replaced by metal washers, FIG. ? 0 shows a motor whose rotor has (the tapered ends: Figs. 21 and ?? are details.
It is known that the starting torque for any motor with a short-circuited rotor subjected to a uniform rotating magnetic flux is equal to the quotient of the power absorbed at start-up in the rotor. by the angular speed of the rotating magnetic flux. This relation remains exact whatever: either the construction (read rotor in short-circuit.
The power absorption to give the desired starting torque with a reduced current can be obtained by the following means used separately or simultaneously: 1 By Joule effect in the own winding of the armature and hysteresis effect in the parts magnetic; 2 By eddy currents in the core of the armature and in the plates or magnetic shunt sleeves - Eddy currents are important even if the core of the armature is made of thin sheets, because at start-up a large part of these sheets is traversed transversely by the derived magnetic flux;
3 By connecting the peripheral conductors by resistors (all the conductors together or only a part). These resistors can be formed either by a circle of metal, magnetic or not, of relatively high resistance, or by elements arranged in a U or otherwise as is usually done for armatures provided with additional resistances. They can also be formed by the radial conductors connecting the peripheral conductors aiu central key.
The squirrel cage motor shown in Figs. 1 to 4 comprises an inductor 1 of a conventional type and a rotor carried by the shaft 2 and comprising the magnetic core (formed in fig. 1 of the hub 3. of the sheets 4 and of the flanges 5) and the peripheral conductors G which are <connected to the circles 7 by: conductors extending them radially or conductors (the link 8 which form a connecting star. On the shaft 2. are mounted two plates 9 of magnetic material, which are keyed on the tree and that one can make coulis press on it by a fork or any other device.
These plates have on their internal face an annular groove 1.0 (fig. 3 and 4) and radial grooves 11 in which the circles 7 and the corresponding radial conductors 8 can be embedded. The trays shown in fig. 1 do not have radial grooves and the radial conductors are then embedded in the flanges 5. At the start of the. starting period, the plates 9 are approached to the core of the armature. Very significant magnetic leaks are thus created artificially on the rotor, which have the effect of greatly increasing the apparent resistance, or impedance. at the time of starting and, consequently, of reducing the intensity of the inducing current.
The magnetic derivation pieces 9 and the core of the armature then form, as can be seen. closed magnetic circuits around the connecting conductors and the connecting circles and the plates must naturally offer a sufficient section to the passage of the derivative flows. The plates can be brought into direct contact with the core of the armature or else an air gap can be left. To avoid normal walking. the plates are separated simultaneously or alternately. so that normal walking is thus obtained by a single maneuver or in two stages.
The starting torque is obtained as said above. There is also a dandruff effect. or effect. of surface known under the name of "skin-effect" function of the frequency of the induced currents, which favors the constancy of the couple during the starting up. This can be applied to all existing types of short-circuited armature windings. both with squirrel cage windings and windings formed by frames. means nant a slight modification of the usual shape of these windings. The windings can be with separate or grouped elements, isolated or not. gauge or wound, and belong to the drum or ring armature types.
The core of the armature can be formed either of thin sheets in the ordinary manner as shown in fig. 1 or more or less thick magnetic metal washers, each bearing holes or notches with the usual profiles. We can. also form it from both thin sheets 4 and (the ron delles -1a (fig. 4-). It can also be made from one massive piece.
Magnetic bypass trays are constructed from steel, iron or cast iron. They are massive or more or less divided. in particular by the use of thin sheets, either in the annular part proper, or in the parts which come to be applied against the core of the armature.
The torque can be obtained (starting as indicated above in 3. By using, in combination with the moving magnetic parts, the action of the currents generated in the closed electrical circuits comprising resistors, which will be placed on the path (read flux main magnetic or on the path (read magnetic flux derived by moving parts.
It can be seen in the diagram of FIG. 5 an example of electrical circuits comprising resistors r which join the peripheral conductors 6 and which are placed, consequently, in the path of the main magnetic flux emitted by the stator. This penetrates entirely by the periphery of the rotor in BACD and emerges from it in the same way in CDF E. Only a small part of the flux passes under the peripheral conductors in C D. Most of it passes along the peripheral bars, and other, exiting in AGHC and BI .7 D and returning in C II IE and DJKF by the way. by the magnetic bypass plates. The electromotive force induced in the peripheral bars by the inducing flux gives rise to a current which is drifted, on the one hand.
in watted current in the resistors A C, B D, C E, D F and, on the other hand, in current shifted back in the circuits A G II C, C H L E, B I J D and. D .7 K F become inductive by the presence of the magnetic derivation plates.
Figs. 6 to 8 show the case of a ring armature provided with resistors of this kind. The peripheral active conductors 6 are short-circuited on themselves at their ends by the parts 8. 8a. 8b, (same frame. A movable sleeve 9 provided with segments 9a comes inside parts 8a of the frames. U-shaped resistors B are arranged so as to connect the frames together.
In all cases, the number of peripheral conductors 6 of the armature and the number of pairs of poles of the motor can be any. On both sides of the armature, the number of branches 8 (the connecting star can be equal, multiple or submultiple of the number of peripheral conductors.
The fi ,,,. 9) shows an arrangement according to which the radial conductors 8 are formed by plates embedded, on the one hand, in the peripheral conductors 6 and, on the other hand, in the connecting circle r. Fig. 10 shows that the blades 8 'can surround peripheral conductors and be soldered to the inner circle.
According to fig. 11. each ra dial conductor 8 is connected <to several peripheral conductors 6 to have a simpler and more robust construction. The circle 7 can then be cast in one piece with the radial arms which have openings 8 '.
According to fig. 12. there are several radial conductors 8 for each peripheral conductor, at the end of which a head 6 'can be welded. This minimizes magnetic leakage from the rotor during normal operation.
If the notches 12 (fig. 13) receiving the peripheral conductors 6 are sufficiently deep, the branches of the connecting star can be removed and the bars directly connected by a central conductive circle 7.
The same result can also be obtained by returning the peripheral conductors 6 obliquely or circularly to the connecting ring 7 (fig. 1-1 and 15).
The bars of the winding as well as the branches of the connecting star may or may not be isolated.
The winding can be formed by separate frames 6 (FIG. 16) with one or more turns, isolated or not, short-circuited on themselves. For example, winding can be done. with two conductors per slot, one below. the other above, corresponding to the two peripheral parts (each frame. The central part of the whole winding will present the aspcc-t of a loronnage.
The housing of the connecting conductors or <B> (the </B> connecting star or similar parts, in the case of the separate frame winding, can be made either in the trays ( fig. d), either in the core (the in- must (fig. 1, 6, î, 20), or both in the insert and the plates or sleeves.
We can. avoid having to accommodate the branches of the star, either by having very flattened star branches forming an air gap between the core and the magnetic plate, or by building branches of conductive magnetic metal and sufficiently thick. The connecting star can in this case be constituted simply by an iron washer 8 (fig. 17, 18) welded to the central conducting circle ï and bearing radiant saw cuts 15. The number of silk lines can be different. d11 number of peripheral conductors.
These saw cuts cannot go down to the circle (fig. 18). We can. even completely remove the saw cuts (and have a continuous washer (fig. 19). In this case, the by-pass flow, passing transversely through the washer (the iron causes a relatively strong resistance to the passage of circulating flows). worn at the periphery In order to increase the conductivity in the radial direction without increasing the conductivity in the circular direction, the washer (the iron 8 with or without saw cuts can be fitted with thin copper plates 16 (fig. 19).
Figs. 17, 18, 1.9 show in dotted lines the path of the circulation currents at start-up in the various cases. The importance (the (these currents (of circulation) can be adjusted by the number (and the depth of the saw cuts.
Figs. 1 11 3 show the movable plates or sleeves in contact with the core of the armature along a (e flat surface.
The (two parts to be brought into contact can also penetrate one into the other following a conical or curvilinear profile, convex o11 concave, 0u1 according to any profile (the solid of revolution allowing the two parts to adapt l 'one inside the other. The (the two faces can be undulated in the manner (one toothing (the gear or both parts of a claw sleeve with sharp or rounded angles. These provisions are intended either to '' increase the importance of the magnetic surfaces in contact, either to facilitate and make more progressive the separation of the parts for the passage to normal operation. or even to better ensure the precision of the angular position of the moving parts .
The connecting conductors can then be arranged, for example along the generators of a cone, and the core of the armature can be extended in a corresponding manner. This provision is. shown in fig. 20 which shows the core 3 of the armature extended at its two ends by the conical parts 3a. 3b. Figures 21 and 2 show that the ends of conductors 6 can be given various shapes.
When the movable plates do not carry recessed parts to carry the, s radial parts of the winding. they have no fixed angular position and can be mounted freely on the shaft. They can be made to be removed from the tree during normal walking by having them bear on an extension of the bearing.
The magnetized bypass part (s) may not be involved in the rotational movement (of the rotor. They will then rest on the fixed parts of the motor and will simply have a longitudinal displacement. They: .will be. In (this case, (1e annular shape and essentially formed of a strip of thin sheet metal wound in a spiral, to avoid eddy currents (the eddy which would reduce the torque (starting.
The magnetic bypass parts can also include (the removable protrusions. In this case, instead (the move the magnetic half-circuits formed by these moving parts, the other half being constituted by the core of the armature or its extension, we can only move the removable protrusions, that is to say the cores of these movable iuaglietic circuits, leaving fixed the magnetic links () <B> of </B> (@@ s cores. It is still possible to use only one magnetic derivation plate,
which will be placed on one side of the armature to simplify construction. 'The plates can cover only the radial conductors and leave the connecting circles exposed.
If the core of the stator is longer than that of the armature, the plates can penetrate under the stator, partially or entirely, by coming against the armature. of. so as to achieve an additional direct derivation of the magnetic flux of the stator or an additional direct magnetic leakage, that is to say that this part of the magnetic flux emitted by the stator does not pass longitudinally through the core of the rotor as before .
The movement (the plates can be obtained by hand following the usual methods already used for the clutch and disengagement plates or even automatically. They can be controlled remotely by electromagnet or by servomotor, electric or otherwise, in particular for motors for material handling equipment or for large motors The action of centrifugal force can also be used for automatic control of the trays, either directly or through some device. last arrangement, a spring can be loaded by bringing the plates together with a lever which, at the same time, can also close the stator switch. At the desired speed, the centrifugal device allows the spring to come into action to move the plates apart. and thus bring the engine to normal speed.
It is also possible to use the magnetic attraction capable of being exerted on start-up on the plates by the magnetic field of leaks from the engine, provided that the latter are sufficiently approached. This last very simple process, however, has the drawback of allowing a permanent magnetic leakage to exist during normal operation, because the plates must be sufficiently close together to be able to be attracted by the leakage field. On the other hand, there is an increase in intensity during the very short time of movement (plateaus.
Eventually, the magnetic bypass trays can be replaced with parts having. other shapes, for example rings, sleeves or crowns.