Appareil téléphonique. La présente invention a pour objet un appareil téléphonique, caractérisé par un coin- mutateur électromécanique de commande des divers circuits électriques connectés au télé phone et par un organe enregistreur et une clé associée amovibles, cette clé pouvant être engagée et déplacée dans le commutateur, en vue d'effectuer les divers changements successifs dans les circuits électriques, de façon que l'abonné puisse effectuer l'appel, et que, lorsqu'il a reçu une réponse,
le récep teur et le transmetteur soient .mis auto matiquement hors circuit et soient maintenus dans cette position jusqu'à ce que la clé ait été actionnée pour faire enregistrer l'ap pel par l'organe enregistreur auquel elle est associée et qu'immédiatement aprè3 les circuits électriques soient fermés afin d'établir instantanément la communication.
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'objet de l'invention.
La fig. 1 en est une élévation de face; Les fig. 2 à 17 en sont des vues de détail; Fig. 2 est un plan d'un côté du compteur, partie en coupe, le côté de la boîte ayant été enlevé, afin de montrer le mécanisme intérieur de ce côté, tous les organes étant dans leur position normale; La fig. 21, montre à part, dans une autre position, un détail de la fig. 2; La fig. 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la fig. 2 ;
La fig. 4 montre à part, dans une autre position, certains détails de la fig. 3; La fig. 5 est un plan de l'autre côté du compteur, partie en coupe, une partie de la clé ainsi qu'une partie de ce côté de la boîte étant enlevées afin de montrer que certains organes sont fixés au couvercle; La fig. 5 a montre à part un détail de la fig. 5 ;
Les fig. 6, 7, 7 et 8 sont des vues en pers pective montrant à part la clé engagée avec une partie du commutateur, la clé étant représentée respectivement dans la position qu'elle occupe lorsqu'elle est introduite (posi tion A fig. 1) dans sa position d'aiguillage (position B fig. 1) et dans sa position d'en- registrement et de conversation (position C fig. 1).
(Sur la fi---. 8 la clé est partie en coupe); La<B>fi-.</B> 9 est une vite en perspective avec parties en coupe montrant à part titi côté du commutateur; La fig. 10 est une vue analogue à la fig. 9, montrant à part le côté opposé du coin- mutateur; La fig. 10a montre à part en éléva tion latérale ut) détail de la fig. 10; La fig. 11 est une coupe longitudinale axiale du commutateur dont on a enlevé toutes les connexions électriques et dont. on a déta ché une partie pour plus de clarté;
La fig. 12 est une élévation de face du commutateur certaines parties étant enlevées et une autre étant représentée en coupe pour montrer un détail; Les fig. 12 a et 121, sont des détails en élévation latérale de la fig. 12; La fig. 13 est une vite en perspective; La fig. 13a montre à part, dans une autre position; un détail de la fig. 13; La fig. 14 montre à part, cri plan détaillé, les parties arrières du commutateur;
La fig. 14 a montre à part, dans une autre position, titi détail de la fig. 14; Les fig. 15, 16 et 17 montrent à part, cri élévation, des contacts à ressort cri position ouverte ; Les fig. 15 a, 16' et 17a sont des vites analogues respectivement aux<B>fi-.</B> 15, 16 et 17, montrant les mêmes contacts dans leur position fermée; La fig. 18 est un schéma des connexions électriques.
Le compteur se compose d'une boîte mé tallique 20 de forme ronde, peu profonde, dans laquelle se trouve le mécanisme enre gistreur.
La boîte est munie d'un saillant 21, constituant la clé, muni d'titr orifice longitu dinal 22 qui traverse également la boîte pour laisser passer un plongeur 23 coulissant dans la boîte. Un saillant 24 de forme circulaire, à embase, est. placé dans l'axe à l'intérieur et sur la base de la boîte 20. Un bras d'ar rêt 25 est monté sur le saillant 24 et sert d'organe d'espacement, dans un but décrit ci-dessous. Deux disques ou roues 26 et 2"7, munies respectivement d'une couronne de dents 28 et 29, sont montées rotatives sur le saillant 24, au-dessus du bras d'arrêt 25.
La roue 26 est d'titr diamùtre plus large que la roue 27 et les dents 28 sont plus profondes que les dents 29 pour permettre à ces dernières d'étre placées de façon con centrique et adjacente aux dents 28, chaque jeu de dents pouvant tourner avec leurs roues respectives, indf@pendamrnerit l'un de l'autre.
Le plongeur 23 est encoché en 23a, l'extrémité intérieure est recourbée vers le bas en 23u et l'autre extrémité eu forme de fourche de façon que l'extrémité fourchue du plongeur puisse glisser radialenrent sur la face intérieure de la roue 27, les organes de la fourche glissant sur les côtés opposés du saillant 24. Afin que le plongeur 23 revienne à sa position normale, titi trou 30 est foré transversalement dans le plongeur; un ressort en arc 31 passe dans ce trou, les extrémités de ce ressort reposant normalement dans une rainure 32 dans la face intérieure de la paroi latérale de la boîte 20.
L'extrémité intérieure du saillant 24 est forée et filetée pour recevoir une vis 33 ser vant en partie à fixer certains organes en position et en partie à supporter d'autres organes. -Un ressort à lame 34 traverse dia- nrétralenrent la boîte 20, au-dessus de la fourche, les rayons de ce ressort étant de différentes longueurs de façon qu'une extrémité repose sur une ou plusieurs dents 28 de la roue extérieure 26, tandis que l'autre extré- rnité repose sur les dents 29 de la roue inté rieure 27,
afin de retenir les roues en posi tion, par frottement, après chaque mouvement. Un bras de levier recourbé 36 est fixé sur le côté inférieur du plongeur 23 ait moyen de vis 35. Un levier 38 est articulé au moyen d'tiri joint à rotule 37 au levier 36, et s'en gage avec une des dents 29 et la déplace, ainsi que la roue 27, à la position suivante, successivement, chaque fois que le plongeur 23 est déplacé vers hintérieur, radialement.
Toutes les dents 29, sauf une, de la roue <B>27,</B> sont légèrement eu avance des dents adjacentes 28, de la roue 26. La dent 29a fait exception et est plus petite que les autres pour, que 1o, levier articulé 38 puisse, une fois par rotation; faire saillie hors de la roue 27, de façon à engager les deux roues 26 et 27 et à les déplacer ensemble d'une dent.
Afin que le levier 38 soit maintenu normalement engagé sur les dents 29 de-la roue 27, une encoche 39 est faite dans le bras de levier recourbé 36 et une autre dans le levier 88, les extré mités d'uii ressort à ruban recourbé 40 étant montées dans ces encoches de façon à repousser 1e levier vers l'extérieur. Une petite plaque métallique 41 est fixée rigidement sur le bras de levier recourbé 36, au moyen de vis 42 et fait saillie par son extrémité libre au- dessus du joint à rotule 37 du levier 38 afin d'empêcher ce dernier de se dégager du bras de levier recourbé 36.
Une courte bande de métal 43, munie d'une perforation dans laquelle passe la vis 33, forme saillant vers l'extérieur depuis le centre, dans le sens opposé au plongeur 23; un organe en<B>T</B> en matière isolante 44 est fixé sur cette plaque 43 de façon à former une base sur laquelle est monté titi ther mostat électrique 45. Deux contacts à ressort 46 et 47 sont montés sur la vis 33, au-dessus delaplaque43 et sont isolés l'un de l'autre ainsi que des autres organes, au moyen de disques isolants 48, 49, 50, 50a et 506, la tête plate 38a de la vis pressant fortement sur le disque 50 afin de maintenir les divers orga nes rigides, lorsque la vis 33 est vissée à fond.
Les contacts à ressort 46 et 47 ont des queues respectivement 51 et 52, un conduc teur 53 étant relié à la queue 51 et l'autre conducteur 54 à la queue 52. Le câble 53 est relié à une extrémité à une bobine de résis tance isolée 55, enroulée autour de l'électro- thermostat, l'autre extrémité de la résistance étant reliée â une vis borne 56 qui est nor- malement en contact électrique avec la barre du thermostat sur laquelle est enroulée la bobine 55. Un autre fil isolé 57 passe à travers un trou 58 creusé dans la clé 21 et est connecté à un contact 59 venant à fleur de la surface supérieure de la clé 21,
et isolé de cette dernière au moyen d'une matière isolante 60. Le fil 54 passe à travers titi trou 61 et est relié à un contact 62 isolé de la clé 21 par une matière isolante 63. Lorsque le plongeur 23 est abaissé, comme le repré sente la fig. 9, sa face inclinée fait relever le ressort de contact 46 et l'amène ainsi en con tact électrique avec le ressort de contact 47. Une rainure hélicoïdale 64 est taillée sur le côté infé rieur de la roue 26 et un bras métallique plat 66 est monté à pivot en 65 sur la face intérieure de la boîte 20 et est muni d'un tourillon 67 s'engageant dans la rainure hélicoïdale 64.
Un côté arqué du bras à bascule 25 est maintenu en contact par friction avec l'extré mité libre du bras métallique plat 66 par un ressort 251, (fig. 5). Le prolongement de ce côté arqué du bras 26 est muni de crans pour que, lorsque le bras 66 est amené dans la position représentée en traits interrompus, (fig. 5) le bras d'arrêt 25 soit repoussé vers la gauche par le ressort 25a. L'extrémité libre du bras 66 s'engage d'abord avec le cran 68, puis avec le cran 69.
Le but de ce dou ble mouvement du bras d'arrêt 25 est de per mettre, d'abord, à une section en couleur, placée sur la face arrière du bras d'arrêt 25 d'apparaître sous un voyant 70 percé dans la base de la boîte 20, lorsque le dispositif d'enre gistrement est sur le point d'atteindre sa limite (cette section restant visible tant que le bras 66 reste dans le cran 68) puis à une autre section différemment colorée d'apparaître sous le voyant 70 pour indiquer que le compteur a atteint sa limite, lorsque le bras 66 pénètre dans le cran 69.
Une partie de l'extrémité du bras d'arrêt 25 est repliée vers le haut pour former un doigt plat 71, se projetant verticalement entre la périphérie de la roue 26 et la face inté rieure de la paroi circulaire de la boîte 20. Une encoche 72 est entaillée dans le côté du plongeur 23 en un point correspondant air doigt<B>7t,</B> qui glisse dans cette encoche. simul tanément avec l'engagement de l'extrémité libre du bras 66 dans le cran 69.
Cette action a lieu lorsque la clé est retirée de l'interrupteur, après que le dernier appel a complété le nombre limite d'appels enregis trés par le compteur. L'engagement du doigt 71 dans l'encoche 72 empêche que le plongeur 23 ne soit abaissé de nouveau, rendant ainsi impossible d'utiliser la clé<B>21.</B> à nouveau pour établir titre communication téléphonique, tarit que ladite clé n'a pas été convenable tirent remise cri place.
Afin de maintenir le tourillon 67 engagé (laits la rainure hélicoï dale 64, un ressort cri U 73 est interposé entre la face intérieure de la base de la boîte 20 et le côté inférieur du bras 66 et pour compenser toit[ mouvement de bascule due ce tourillon pourrait imprimer aux roues 26 et 27, mi plot 74 est fixé sur la face intérieure de la base de la boîte sur le côté opposé par rapport air centre à celui qui est occupé par le bras 66. Ce plot est en léger contact par friction avec le côté intérieur de la roue 26.
La fig. 1 représente nu appareil téléphonique de table du type automatique, et ses con- nexions électriques sont placées dans la boîte 7 qui est fixée rigidement sur le support de l'appareil 76. La plaque (le face 7 7 et le logement de la clé du commutateur sont placés iminédiate.nent au-dessous dur disposi tif à cadran 78 oit la plaque est fixée à la paroi de la boite 75.
Le commutateur lui-même est monté dans et sur un châssis métallique convenable 79, les extrémités des parois latérales de ce châssis sont repliées vers l'extérieur pour former des potences 80 sur lesquelles sont fixés les organes constituant le dispositif d'arrêt du commutateur, air moyen de vis introduites par l'arrière des potences et s'engageant dans les trous de vis 81 dans des saillants 82.
Une bague métallique 83 repose sur les potences 80 et est munie d'titre rainure annulaire 84 recevant la bride 85 d'titi tambour 86, dont l'extrémité arrière est filetée pour recevoir un écrou de fixation 87 au moyen duquel les trois cames 88, 89 et 90 sont pressées sur l'embase 91.
Une cloison 92 est placée transversalement dans le châssis, un cylindre 93 est rigide avec cette cloison et forme saillant cri avant à travers le tambour 86, ce dernier pouvant tourner librement sur le cylindre. Un arbre rotatif 94 est monté dans le cylindre 93 et traverse la cloison 92 et l'arrière du châssis 79, un collier 95 est fixé sur cet arbre, entre la paroi 92 et la face intérieure de l'arrière du châssis 79.
La position normale du collier 95 est contre l'arrière de la paroi 92; il est maintenir par un ressort à bondit) 96, entou rant l'arbre 94, dont les extrémités sont fixées respectivement à l'arrière du châssis et air collier 95. L'extrémité arrière de l'arbre 94 est munie d'titre bride 100.
Uri disque isolant <B>101</B> est fixé sur cette brille air moyeu d'une vis centrale 99; la fonction de ce disque isolant est d'ouvrir et de fermer certains contacts électriques de la façon qui sera décrite ci-dessous.
Uri tourillon 102 est fixé sur la périphérie du collier 95, reposant iior- nialerrient dans l'@irrgle d'titre encoche à baïonnette en forme de<B>L</B> 103, entaillée dans titre plaque eu forure de<B>T</B> 104, fixée sur le sommet de la plaque<B>922,</B> par une vis 10.5 <B>à</B> titre extrémité et titi bouloir 106, < t l'autre extrémité.
Le boulon 106 est muni d\iin manchon d'accouplement 107 et un levier 108 est monté à pivot sur le boulon 106 au-dessus dur manchon, le nianeLon et le levier étant maintenus en position air moyen d'une ron delle<B>109</B> et d'tiri écrou 110.
Le levier 108 est muni d'un déclic 111 sur son côté infé rieur, dans le but de maintenir normalement un ressort plat 11'? ci) position élevée. L'extré- irrité opposée de ce ressort plat est fixée au moyen de la vis 1115. Le ressort plat 112 entoure partiellement et forme saillant au delà du manchon 107, la partie formant saillant reposant normalement sur le déclic 111, comme le représente la fig. 13.
Il est égale ment muni d'une projection latérale 113 (fis. 14) ayant un trou 114 clans lequel repose la cheville 10.''Y lorsque le ressort à lame est relâché par le déclic 111 et peut par suite occuper la position représentée sur la fig. 13a. Lorsque la cheville 102 est engagée dans le trou 114, le (:ommutateur est bloqué et ne peut pas fonctionner. Le levier<B>108</B> est com mandé par un relais 115 dont le fonctionne- ruent sera décrit plus en détail ci-après.
La face extérieure du collier 85 est dans le 'plan de la face extérieure de la bague métallique 83, dont deux sections segmen- taires opposées se projettent légèrement au delà de ce plan pour former deux oreilles 116, entre lesquelles pénètrent des portions 117 de la clé. Une bague 118 est encastrée entre la face intérieure de la boîte 75 et la bague métallique 83.
Cette bague 118 présente sur sa face arrière un retrait annulaire 119 pour recevoir les oreilles<B>116</B> et leur permettre d'être tournées librement par les leviers de fiche 117. Des encoches diamétralement opposées 120 sont taillées dans la bague 118 de façon à coïncider avec les solutions de continuité entre les deux oreilles 116, pour laisser pas sage aux portions 117 de la clé. Les portions pleines de la bague 118 entre les deux en coches 120 forment deux oreilles 121, se projetant intérieurement. et s'engageant dans les encoches 112a de la clé 21.
L'arbre 94 peut effectuer un mouvement longitudinal limité, tandis que le ressort 96 permet un mouvement de rotation limité; l'extrémité avant dépasse au delà de l'extré mité du cylindre 93, la partie for-nant sait lant 123 étant de forme rectangulaire de façon à pouvoir pénétrer dans l'ouverture 22 de la fiche, lorsque cette dernière a été ma- riaeuvrée de façon à amener le saillant 123 en position correspondant avec celle de l'ouver ture 22. Le ressort 96 étant plus fort que le ressort 31 de la clé, le plongeur 23 sera poussé à l'intérieur de la clé parle saillant 123.
Le cylindre 93 est percé de deux passa ges longitudinaux 124 (fig. 12b) un passage radial non représenté étant foré de façon à communiquer avec chacun de ces deux pas sages. Les passages 124 sont remplis d'une matière isolante 126. Les extrémités arrières des passages 124 sont filetées pour recevoir des vis 127.
A l'intérieur des remplissages 126 se trouvent des contacts commandés par ressort 128, dont les extrémités avant forment saillant à une faible distance au delà de l'extrémité du cylindre 93, tandis que. les extrémités arrières sont connectées aux fils souples 129 (fig. 12b) et 130 (fig, 9) respec tivement, un ressort de compression<B>131</B> étant intercalé entre chacune des vis 127 et les extrémités arrières de leurs contacts respec tifs 128. Lés extrémités formant saillants des contacts 128 sont disposées pour former contact électrique avec les contacts de face 62 lorsque la elle' est introduite dans le com mutateur.
Sur les fig. 6, 7, 7 a et 8, la fiche est représentée engagée dans l'interrupteur dans diverses positions. Lorsque la fiche estinsérée dans le commutateur et tournée dans le sens des aiguilles d'une montre, l'arbre 94 est déplacé et les leviers de fiche 117 entraî nent les oreilles 116 et avec elles le tam bour S6 et les cames 88, 89 et 90. La clé peut tourner d'un arc. de 135 sans en traîner dans sa rotation l'arbre 94.
Au delà de 1351 le saillant 123 pénètre dans l'ou verture 22 de la clé et, lorsque la clé est de nouveau tournée d'un nouvel angle de 45", elle entraîne avec elle le saillant 12-3 et l'arbre 93, ce qui a pour effet de remonter le ressort 96; à la fin de ce mouvement de rotation la clé ayant décrit titi angle de<B>1800,</B> si la conversation est terminée, la clé peut être déplacée et immédiatement le saillant 123 est dégagé de l'ouverture 22, le ressort 96 rappelant alors l'arbre 94 dans sa position normale.
Afin que la. personne se servant de l'ap pareil soit sûre que la clé a été tournée de la quantité voulue, le tambour 86 est muni de retraits circulaires en forme de dents 132 dans la même plaque et sur la surface exté rieure du tambour, immédiatement derrière la bague 83. Un ressort à lame 133 passe à travers ces dents, ses extrémités étant fixées par des vis 134 sur les côtés respectifs du châssis 79. Un petit saillant 135 est fixé sur le côté inférieur du ressort 133 et correspond successivement avec chaque dent 132 pour produire titi déclic perceptible.
Sur la surface périphérique du collier 85 sont ménagées deux encoches 136 coopérant avec un sautoir 137 travaillant dans tin passage radial 138 ménagé dans la bague 83. L'extrémité extérieure de ce sautoir est fixée à l'extrémité libre d'rrrr ressort à lame in curvé 139, dont l'autre extrémité est fixée à la périphérie de la bague<B>83</B> au moyen de vis 140 (fig. 12).
Les encoches 136 sont diamétralement opposées de façon que, lorsque le commuta teur est dans sa position normale, -le sautoir se trouve engagé dans l'une des encoches.
Ces encoches sont en forme de dents de loup de façon à ne permettre l'entraînement dit collier par la clé 21, d'un arc de 180 dans chaque opération, que dans titi sens seulement, afin que la personne se servant (le l'appareil ne puisse tourner la fiche dans le mauvais sens.
L'encoche à baïonnette 103 permet la liberté de mouvement de la cheville 102, lorsqu'elle effectue titi mouvement normal avec le collier 95 et l'arbre 94. Orr voit cependant d'après la fig. 14 que., lorsque la clé a été introduite dans le commutateur et tournée dans la position C (fig. 1) lorsque l'extrémité formant saillant 123, de l'arbre, a pénétré dans le passage 22 de la clé 21, cette der nière ne petit tourner dans une position en sens inverse soit par erreur ou frauduleuse- tuent,
car elle est engagée sur titi côté de la partie longitudinale de l'encoche à baïonnette 103. Par suite, ce mouvement de rotation d'rrrr arc de<B>180'</B> doit être fait lorsque la position C a été atteinte par la clé, ce mou vement étant possible grâce à la direction de la course de la cheville 102 l'entraînant dans la partie transversale de l'encoche à baïon nette 103.
La rotation de l'arbre 94 à travers cette partie comprise entre<B>1350</B> et<B>1800</B> exerce une action d'enroulement sur le ressort 96, de sorte que, lorsque la clé est retirée du commutateur, libérant ainsi l'extrémité du saillant 123, l'arbre peut revenir à sa posi- tion normale sous l'action du ressort 96 qui tend à se dérouler.
La disposition dit levier 108 et des orga- rres associés est représentée sur les fig. 10, 10a, 13 et 13n. Le levier est commandé par le mouvement (le l'armature 141 du relais 115 qui est fixé à une console réglable 14\?, fixée à soir tour sur le côté du châssis" 79 ait rnoy en de vis.
La console 1.12 porte éga lement titi jeu de contacts à ressort couve- nablenrent isolés, une extrémité de l'un d'entre eux 143 s'étend au delà des autres et est à angle droit avec l'armature 141.<B>Un</B> bloc ou pièce intercalaire 144 est fixé sur le côté du contact 143 adjacent à l'extrémité de l'armature 141,
de façon à maintenir le contact 143 normalement écarté de l'extrémité de l'armature 1.11. Sur l'autre côté du contact 143 est fixé art moyen d'une vis 145 titi organe 146 à gorge, dans la gorge annulaire duquel repose l'extrémité extérieure du levier 108.
Dans sa position de fonctionnement le relais 115 sera excité et le contact 143 sera repoussé vers l'extérieur, de sorte que l'extré mité de l'armature reposera sur le côté du bloc 144 adjacent, comme le représente la fig. 10 a, en même temps, l'extrémité libre du ressort à lame 112 s'élèvera et se placera sur le cliquet 111, de sorte que la perfora tion 114 sera au-dessus de la cheville 102.
Lorsque certains circuits électriques sont fermés, de façon à ce que le relais 115 soit excité, l'armature tombera au-dessous du bloc 144 et le contact 143 3 se déplacera vers l'extrémité de l'armature 1-11, entraînant dans ce mouvement le levier 108.
Le cliquet 111 sera alors déplacé suffisamment pour être dégagé de l'extrémité du ressort à lame 112 qui tombera dans la position représentée sur la fig. 13@, lorsque la cheville 102 s'engagera dans l'orifice 11-1; empêchant ainsi tout nou veau mouvement de l'arbre, soit longitudinal, soit de rotation.
Le mouvement décrit ci- dessus a lieu lor#sqn'rrne fausse clé est intro duite dans le commutateur et est tournée dans la position C; dans laquelle le saillant 123 s'engage dans titi orifice correspondant à l'ouverture 22, de sorte que la fausse clé est effectivement bloquée dans le commutateur et rie peut être libérée que lorsque le ressort à lame 112 sera relevé de nouveau afin de dégager la, cheville 102 de la perforation 114.
On voit que les jeux de contacts à ressort vont par paires, une paire de contacts corres pondant à la came 88 et commandés par cette came (fig. 15), quatre paires correspon dent à la came 89 et commandés par celle- ci (fig. 16) et cinq paires correspondent à la carne 90 et commandés par' cette came (fig. 17).
Dans chaque cas une extrémité du contact inférieur de la paire la plus inférieure des contacts est prolongée et recourbée vers le bas, de façon à reposer normalement sur les périphéries des cames 88, 89 et 90.
Un des contacts de chaque paire de con tacts est prolongé au delà de l'extrémité de l'autre contact, les extrémités les plus longues étant munies de pièces intercalaires 150 convenablement fixées entre elles, afin de les maintenir à un écartement donné.
Tous les ressorts de contact sont munis de deux trous dans lesquels passent les bou lons 151 et sont isolés électriquement l'un de l'autre par une pièce isolante 152, les trois jeux sont montés sur des consoles 153, ajustées sur le châssis 79 du commutateur au moyen de vis (non représentées), les boulons 151 traversent les consoles 153, des rondelles isolantes 155, la plaque d'arrêt 156, les ressorts de contact et les pièces isolantes, une rondelle métallique 157 étant placée sur la pièce isolante supérieure 152, le tout étant fixé cri place au moyen des écrous. La plaque d'arrêt 156 est au-dessous du levier recourbé de chaque jeu de contacts à ressort et sert de support.
Tous les contacts à ressort sont munis à une extrémité de pointes de contact 159 dis posées pour former contact par paire, les autres extrémités de tous les contacts dans chaque jeu étant disposés pour la pose des connexions électriques.
Un jeu de contacts à ressort P (fig. 14) de construction semblable à celle des contacts des fig. 15, 16 et 17 est monté sur la console 1.60, qui est ajustée sur le châssis 79 au moyen de vis ,161. Ces contacts sont com mandés par le mouvement du disque isolant 101 avec l'arbre 94, le jeu de contacts étant représenté dans sa position normale.
La position de ce même jeu de contacts est représentée sur la fig. 14a., après que la clé 21 a été introduite dans le commutateur, . comme représenté sur la fig.6, le disque isolant 101 ayant été repoussé dans la posi tion représentée en traits interrompus sur la fig. 14.
Un jeu de contacts à ressort<I>DR</I> (fig. 10a) de même construction que les contacts représentés sur les fig. 15, 16 et 17 sont commandés par le mouvement de l'armature 1.11, comme on l'a dit précédemment, les contacts étant représentés dans leur position normale. On voit que le contact DR4 est double.
Les relais différentiels <I>DR</I> et -DR', les condensateurs .S et S', le relais de polarisa tion<I>PR,</I> la résistance non inductive I1 <I>TIR</I> et les autres dispositifs représentés sur le schéma de la fig. 18 sont connus. Ces dispositifs sont logés dans une boîte séparée lorsqu'on em ploie un appareil de table, ou sont contenus dans la cabine, lorsqu'on a un appareil mural.
Lorsqu'on désire se servir du téléphone on introduit' la clé 21 dans le commutateur, comme le représente la fig. 6, l'organe formant saillie 123 de l'arbre 94 est ainsi déplacé contre l'action du ressort 96.
La clé est maintenant tournée dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, les leviers de fiche 117 s'engageant dans la saillie du tambour 116, se déplaçant ainsi d'un arc de<B>90.0</B> en entraînant avec lui le tambour 96 et avec lui les cames 88, 89 et 90 dans la position représentée sur la fig. 7;
ce mouvement amène la pointe 162 de la came 88 dans la. position représentée sur la fig. 1511, soulevant le levier 1.47, fermant ainsi la paire de contacts AL On enlève ensuite le récepteur du crochet du commutateur de téléphone SK (fig. 18), le crochet du commu- tuteur établit ainsi le contact au moyen des ressorts de crochet de commutateur SR-' et SH ', ce même mouvement coupant le circuit de la sonnerie dans lequel se trouve le dis positif d'appel BB et le condensateur<B>SI.</B> Conformément à,
la pratique actuelle, dès que le récepteur est décroché; le circuit du relais (le ligne du commutateur de ligne primaire (1101i représenté sur les dessins) associé avec la ligne, est formé au moyen du fil 251_). Ceci commande le commutateur de ligne primaire (hoir représenté sur les dessins) qui, à soir tour, commande le commutateur de ligne secondaire (non représenté sur les dessins) et finalement le premier sélecteur dans le central.
Le commutateur de ligne primaire qui vient d'être mentionné: doit être installé de façon à rie pas fonctionner jusqu'à ce que le récepteur ait été décroché et la clé placée dans le commutateur et tournée pour fermer les contacts Q11, car son fonctionnement est dépendant d'une mise à la, terre temporaire, étant connecté air conducteur 250, de sorte que,
si le récepteur était décroché sans que la clé soit introduite et tournée .pour fermer les eoritacts <B>AI-,</B> le commutateur de ligne primaire rie fonctionnerait pas. Ceci est effec- tué cri fermant la paire (le contacts .U (fig.
15'i), fermant ainsi les contacts de mise à la terre temporaire _11(fig. 18). Les commutateurs suivant, c'est-à-dire les cominiitateurs rais en circuit après que le commutateur de ligne primaire a été commandé, sont commandés au moyen des conducteurs 249 et<B>250,</B> par l'appareil.
On tourne ensuite la clé 21 vers la position représentée sur la fig. 7#'; portant la pointe 162 de la canne 88 près du levier recourbé 147 et le laissant retourner dans sa position normale (fig.15) interrompant ainsi les contacts<B><I>AI</I></B> (fig. <I>18)</I> et;
par suite, supprimant ainsi la mise â la terre tempo raire d11 conducteur 250. Lorsque la, clé a atteint la position représentée sur la fig. 7, la pointe ltC' de la came 89 aura élevé le levier 148 de façon à commander les jeux de contacts B, formant la paire de contact B', B-, <I>B'</I> et ouvrant la paire de contacts B' (fig. 16n);
le circuit est maintenant fermé par le fil 250, le fil 201, les contacts DR' et DR', le fil 226, SH' et SH3, le fil 225, F et C, le fil 202, le transmetteur T, le récepteur b',, le fil '?03, <I>PR,</I> le fil 204, l'en- roulement supérieur de DR , les fils 205, '106, P', 209 en parallèle avec 208, C',
210 puis le fil 211 et le fil 2.19.
La direction du courant est telle que Pr (fig. 18) rie doit fonctionner que lorsque la bobine de DR= est excitée et attire son armature, ouvrant ainsi les contacts DR"-' (fig. 18).
L'ouverture des contacts B4 fait dispa- raitre le court-circuit dur commutateur F, G; il faut noter dire le commutateur F, G, n'est ouvert que lorsque la clé est dans lot position représentée sur la fig. 7", empêchant ainsi l'emploi irrégulier du commutateur.
La fermeture des contacts BI (fig. 1611) permet de court-circuiter le récepteur et le transmetteur, lorsque le commutateur à aiguille est actionné, le courant qui passe normale ment par<I>7' et R</I> est dérivé air moyen (les contacts B 3 et des fils 225, 211 et 249.
Le motif de ceci est de permettre aux commutateurs du central de fonctionner dans les conditions les plus favorables permises par les circonstances et aussi d'empêcher que la personne se servant du téléphone ne perçoive des crépitements.
La fermeture des contacts B' <I>et</I> B2 em pêche titi emploi frauduleux et est décrite ci-dessous. L'abonne indique avec le cadran le numéro qu'il veut appeler.
Tant que la personne appelée n'a pas décroché son récep teur, la personne qui appelle petit tourner la fiche dans la position de la fig. 8 oui dans celle de la<B>fi-.</B> 6 et dans ce dernier cas la fiche est retirée, aucun) enregistrement n'aura lieu sur le compteur et tous les contacts et circuits repr'endr'ont leur position normale (fig. 18).
Lorsque la personne appelée décroche soir récepteur, PR est excité (fig. 18) et les trois contacts<I>PR'.</I> PR, et Pli' sont alors fermés (fig. 18). La personne qui appelle est maintenant dans la situation de pouvoir en- tendre, mais sans pouvoir répondre.
Si la personne qui appelle constate qu'elle a été reliée au numéro-exact, la clé 21 sera tournée dan, la position de la fig. 8 et pendant ce mouvement la pointe 1621, de la came 89 se détachera et permettra au levier 148 et au jeu B de contacts de reprendre leurs posi tions normales.
Lorsque la clé atteint la position indiquée sur la fig. 8, la pointe 162v de la came 90 relèvera le levier recourbé 149, plaçant ainsi <B>le.,</B> contacts CI, C2, C3, C4 et C5, comme représenté sur la fig. 1711- La saillie 123 de l'arbre 94 est maintenant dans l'alignement du plongeur 23 dans la clé 21, le ressort coin- primé 96 est libéré et force la saillie 123 à pénétrer dans l'ouverture 22 de la clé 21, le plongeur 23 pénètre alors dans la clé,
empê chant ainsi la clé d'être tournée en arrière. Le mouvement vers l'intérieur du plongeur 23 ferme les contacts 46 et 47 dans la clé et simultanément (aussi exactement que le réglage le permettra) les contacts P\ et P2 (fig. 14) sont fermés.
Les contacts<B>CI</B> et<B><I>CI</I></B> (fig. 171, et<B>18)</B> sont maintenant fermés; ceci étant nécessaire afin que l'établissement du courant dans<I>DR</I> et<I>DR'</I> (fig. 18) soit correctement coordonné avec les autres opérations.
Les contacts C3 (fig. 17a et 18) sont fer més dans le but mentionné dans le prochain paragraphe.
Jusqu'à ce moment<I>DR\</I> (fig. 18) était excité taudis que<I>DR</I> était resté inactif. Le courant passe alors de 249 au fil 212 par la résistance de compensation<I>CR,</I> le fil 213, un des enroulements de<I>DR,</I> le fil 205 et un des enroulements de<B>DR',</B> le fil 204 jusqu'à PR, tandis que dans l'autre embranchement on a le courant passant par les fils 214, l'autre enroulement de<I>DR,</I> le fil<B><I>216,</I></B> CI, le fil 217, P2, le fil 218, les contacts de commutateur 128, le contact de clé 62, le contact<I>TC,</I> la résistance<I>T</I> et les contacts KC dans la clé, le contact 59 de la clé et le contact 128, le fil 221, P', le fil 220, CI,
le fil 221 et l'autre enroulement de DR', les fils 222, 223, les contacts DR5 et<I>DR', les</I> fils 224 et 204, le courant des deux branches venant se rejoindre en PR et passant ensuite par le fil 203, R, T, le fil 202, le commu tateur r, G, le fil 225,<B>SR<I>1,</I></B> SH2 et SH, le fil 226, les contacts<I>DR'</I> et<B>-DR"-*,</B> le fil 201 et le fil 250.
8i le circuit est exactement équilibré au point de vue électrique, les enroulements sur chaque relais différentiel se neutraliseront l'un l'autre; par suite,<I>DR</I> n'est pas actionné et DR' est désexcité et en conséquence relâ che .son armature. Lorsque DR' est excité, son armature, en retombant, forme, au moyen de DR2 'un circuit qui met<I>PR</I> en court- circuit, ainsi que les deux relais différentiels et les contacts de clé correspondants. PR relâche son armature, les contacts<I>PR', PR'</I> et PR' sont ainsi ouverts (fig. 18). Le trans metteur est par suite libéré ainsi que le récepteur R. II faut remarquer que le conden sateur 3 est également mis hors shunt dans cette opération.
Les conditions de conversa tion sont maintenant exactement les mêmes que celles obtenues avec un système télépho nique automatique ordinaire. Les contacts C4 (fig. 171, et 18) sont maintenant fermés. Si ces contacts C4 n'étaient pas fermés il serait possible d'interrompre une connexion et d'en établir une autre en _ manipulant le crochet de commutateur sans déplacer la clé de la position représentée sur la fig. 8.
Les contacts P3 (fig. 14 et 18) seront ouverts lorsque la saillie 123 de l'arbre 194 pénètre dans l'orifice de la clé, ouvrant ainsi les contacts P3 (fig. 18). Ces contacts P3 -avec les contacts P' mettent normalement en court-circuit l'enrou lement supérieur de<I>DR.</I> Les contacts C" (fig. 1711) sont ouverts lorsque la clé 21 est dans la position représentée à la fig. 8.
Lorsque la conversation est terminée, le récepteur est replacé et la clé tournée pour terminer son mouvement d'un arc de 180 et elle occupera la position inverse de celle de la fig. 6 et pourra être retirée du commuta teur.
Les contacts B' et B2 sont employés dans le but d'empêcher un emploi frauduleux d'une clé après que le plongeur de la clé aurait été forcé à l'intérieur et fixé dans cette position, dans le but d'obtenir frauduleuse ment un service illimité.
Dans ces conditions; les contacts de clé 46 et 47 seraient fermés et dés que la clé aurait atteint la position représentée de la fig. 7a, Lin circuit aurait été fermé au moyen de la clé, ce qui tic serait pas le cas normalement, jusqu'à ce que la clé ait été tournée dans la position repré sentée sur la fig. 8, ceci établirait un pont entre les conducteurs 2.19 et 250 et mettrait l'appareil en shunt où le courant passerait dans l'enroulement de thermostat 55, de la chaleur serait ainsi produite, le thermostat fonctionnerait et rendrait la clé temporaire ment inutile.
Le résultat de cette introduction fraudu leuse de la clé, de la façon décrite, est que, lorsque l'appareil ne fonctionne pas, le ther mostat 45 fonctionne et, lorsque le thermostat fonctionne, le téléphone reste inutilisable et la fiche est entièrement inutile.
Si par une cause quelconque, telle que l'emploi d'une clé frauduleuse, le circuit des relais différentiels n'est pas convenablement équilibré lorsque le plongeur est relâché, les électro-aimants des relais sont excités et atti rent leurs armatures respectives, en consé quence PR (fig. 18) maintiendra le transmet teur T en court-circuit et le récepteur R en shunt. Lorsque<I>DR</I> (fig. 18) est excité, le levier 108 (fig. 10) est relâché et bloque l'arbre 94, comme on l'a expliqué précédem ment et empêche tout mouvement ultérieur de la clé.
En même temps, les contacts DRI et<I>DR'</I> sont ouverts, mettant ainsi le télé phone hors du circuit, tandis que les contacts <I>DR'</I> et<I>DR</I> sont interrompus, mettant ainsi la clé hors circuit; ceci empêchera que l'on essaie ou expérimente différentes valeurs de résistance, si c'était possible avec la clé em ployée. II faut noter que, immédiatement après que le levier 108 a été commandé, lorsque DR est excité, le commutateur est bloqué mécaniquement, comme on l'a expliqué précédemment.
Lorsqu'un abonné, pour un motif quelcon que, par exemple pour défaut dans le service, désire appeler un surveillant, il est nécessaire seulement de tourner la clé dans la position représentée sur la fig. 9a, les circuits du cen tral étant tels que la batterie n'est pas ren versée sur la ligne d'appel et, par suite, PR n'est pas actionné. Lorsque la conversation est terminée, l'abonné retourne la fiche dans la position (le la<B>fi.-.</B> 6, sans qu'aucun enre gistrement rie soit effectué par le compteur.
La sonnerie fonctionne de façon intermit- tente, comme dans les cas ordinaires. Lorsque le récepteur est décroché, la sonnerie est mise hors circuit et la conversation a lieu. L'opération ou mouvement du crochet du commutateur, lorsque le récepteur est di,cro- ché, amène l'interruption du courant de sonnerie et le passage du courant continu est établi par le fil 24.9 de la ligne, les contacts C5 et PI en parallèle, l'enroulement DR', l'enroulement de<I>PR,
</I> RT, les contacts FC, SR1 et SRP du crochet du commutateur. les contacts 5 et 4 du relais<I>DR,</I> et le fil '2a0 de la ligne. Les courants de conversation passent par le fil 249 de la ligne, le conden sateur S, R, TR, <I>FG...,</I> et le fil 250 de la ligne.