CA2774160A1 - Dispositif de blocage de brins de fil - Google Patents
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Abstract
Dispositif de blocage (51) de brins de fil (31, 32, 48) comportant un corps creux (52) qui délimite une cavité (53), la cavité définissant au moins un chemin de passage (54, 55) des brins de fil (31, 32, 48), le dispositif de blocage (51) comprenant un organe de blocage (58), l'organe de blocage (58) étant mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif de blocage (51) fonctionnant par coopération de l'organe de blocage (58) avec chaque chemin (54, 55) pour le blocage de chaque brin de fil (31, 32, 48) par effet de coincement, un moyen élastique (59) sollicitant l'organe de blocage (58) vers la position de blocage. Le dispositif de blocage (51) agit pour au moins trois brins de fil (31, 32, 48), et au moins un chemin de passage (54, 55) est apte à recevoir deux brins de fil (31, 32, 48) superposés
Description
Dispositif de blocage de brins AIe fil L'invention concerne un dispositif mécanique de blocage de brins souples tels que des câbles, des cordes, des fils, des lacets, ou tout autre produit présenté sous un aspect similaire.
L'invention a trait plus particulièrement au blocage des lacets de chaussures, mais concerne aussi le blocage de cordes ou de fils destinés à serrer des parties d'articles tels que des vêtements, des casques, des sacs, ou autre.
L'invention concerne plus particulièrement encore le domaine du sport, et notamment les chaussures de ski de fond, de ski de piste, de surf sur neige ou snowboard, de marche, de course à pied, de randonnée, de vélo, ou autre.
Il est connu de bloquer des brins souples à l'aide d'un dispositif.
Par exemple, selon le document US 4 665 590, un dispositif de blocage comprend un corps creux qui délimite une cavité, laquelle définit un chemin de passage de brins de fil. Un organe de blocage est mobile dans la cavité, entre une position de blocage et une position de déblocage, pour bloquer les brins de manière réversible. Le dispositif selon le document US 4 665 590 est adapté par exemple au serrage réversible de deux quartiers d'une chaussure.
Il s'ensuit qu'un utilisateur peut ajuster le serrage au niveau souhaité.
Il est néanmoins apparu que le serrage n'est pas toujours satisfaisant en ce qui concerne sa répartition. En effet, il est parfois souhaitable que des zones différentes soient serrées différemment. C'est par exemple le cas dans le domaine de la chaussure, où
certaines parties du pied doivent être tenues, et d'autres parties laissées plus libres. Il a donc été proposé de différencier des zones de serrage.
Par exemple, selon le document WO 2007/057926, un dispositif permet le blocage réversible de quatre brins de fil. Parmi ceux-ci, deux sont affectés au serrage d'une première zone d'une chaussure, et deux autres au serrage d'une deuxième zone de la chaussure. Selon le document WO 2007/057926, pour agir sur les quatre brins de fil le dispositif de blocage délimite quatre cavités, chacune desquelles définissant un chemin de passage des brins.
Chaque cavité héberge un organe de blocage mobile entre une position de blocage et une position de déblocage. Pour chaque brin, le blocage est obtenu par effet de coincement entre l'organe de blocage et un chemin de passage défini dans la cavité, sachant qu'un moyen élastique sollicite l'organe de blocage vers sa position de blocage.
Pour la chaussure du document WO 2007/057926 le serrage est différencié selon deux zones, ce qui permet à l'utilisateur de mieux ajuster la tenue du pied par rapport à la tenue du bas de jambe. En conséquence l'utilisation de la chaussure est plus agréable.
On observe cependant que le dispositif selon ce document présente une structure complexe.
En effet, il faut quatre cavités, quatre chemins de passage, quatre organes de blocage et quatre moyens élastiques pour serrer les quatre brins de fil.
L'invention a trait plus particulièrement au blocage des lacets de chaussures, mais concerne aussi le blocage de cordes ou de fils destinés à serrer des parties d'articles tels que des vêtements, des casques, des sacs, ou autre.
L'invention concerne plus particulièrement encore le domaine du sport, et notamment les chaussures de ski de fond, de ski de piste, de surf sur neige ou snowboard, de marche, de course à pied, de randonnée, de vélo, ou autre.
Il est connu de bloquer des brins souples à l'aide d'un dispositif.
Par exemple, selon le document US 4 665 590, un dispositif de blocage comprend un corps creux qui délimite une cavité, laquelle définit un chemin de passage de brins de fil. Un organe de blocage est mobile dans la cavité, entre une position de blocage et une position de déblocage, pour bloquer les brins de manière réversible. Le dispositif selon le document US 4 665 590 est adapté par exemple au serrage réversible de deux quartiers d'une chaussure.
Il s'ensuit qu'un utilisateur peut ajuster le serrage au niveau souhaité.
Il est néanmoins apparu que le serrage n'est pas toujours satisfaisant en ce qui concerne sa répartition. En effet, il est parfois souhaitable que des zones différentes soient serrées différemment. C'est par exemple le cas dans le domaine de la chaussure, où
certaines parties du pied doivent être tenues, et d'autres parties laissées plus libres. Il a donc été proposé de différencier des zones de serrage.
Par exemple, selon le document WO 2007/057926, un dispositif permet le blocage réversible de quatre brins de fil. Parmi ceux-ci, deux sont affectés au serrage d'une première zone d'une chaussure, et deux autres au serrage d'une deuxième zone de la chaussure. Selon le document WO 2007/057926, pour agir sur les quatre brins de fil le dispositif de blocage délimite quatre cavités, chacune desquelles définissant un chemin de passage des brins.
Chaque cavité héberge un organe de blocage mobile entre une position de blocage et une position de déblocage. Pour chaque brin, le blocage est obtenu par effet de coincement entre l'organe de blocage et un chemin de passage défini dans la cavité, sachant qu'un moyen élastique sollicite l'organe de blocage vers sa position de blocage.
Pour la chaussure du document WO 2007/057926 le serrage est différencié selon deux zones, ce qui permet à l'utilisateur de mieux ajuster la tenue du pied par rapport à la tenue du bas de jambe. En conséquence l'utilisation de la chaussure est plus agréable.
On observe cependant que le dispositif selon ce document présente une structure complexe.
En effet, il faut quatre cavités, quatre chemins de passage, quatre organes de blocage et quatre moyens élastiques pour serrer les quatre brins de fil.
2 On remarque en plus que la mise en oeuvre du dispositif selon le document WO 2007/057926 est compliquée, car il faut ajuster séparément la tension des quatre brins. De plus le dispositif est encombrant, et coûteux à fabriquer.
Par rapport à cela, l'invention cherche globalement à améliorer un dispositif de blocage destiné à serrer, de manière réversible, deux zones différentes d'un article tel que ceux évoqués avant.
Plus spécifiquement un but de l'invention est de simplifier un dispositif de blocage réversible de brins de fil, en ce qui concerne sa structure, et aussi en ce qui concerne sa mise en oeuvre.
Un autre but de l'invention est de réduire autant que possible l'encombrement du dispositif Un but encore de l'invention est d'abaisser le coût de fabrication d'un dispositif de blocage.
Pour ce faire, l'invention propose un dispositif de blocage de brins de fil comportant un corps creux qui délimite une cavité, la cavité définissant au moins un chemin de passage des brins de fil, le dispositif de blocage comprenant un organe de blocage, l'organe de blocage étant mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif de blocage fonctionnant par coopération de l'organe de blocage avec chaque chemin pour le blocage de chaque brin de fil par effet de coincement, un moyen élastique sollicitant l'organe de blocage vers la position de blocage.
Le dispositif de blocage selon l'invention est caractérisé par le fait qu'il agit pour au moins trois brins de fil, et par le fait qu'au moins un chemin de passage est apte à
recevoir deux brins de fil superposés. Le dispositif agit pour les trois fils simultanément, et au moins deux fils sont logés dans le même chemin.
Il apparait donc que l'invention fait coopérer l'organe de blocage avec trois brins de fil, ou plus. On peut dire que l'organe de blocage du dispositif immobilise ou libère tous les brins de fil qui passent dans la cavité. De manière surprenante il s'est avéré que tous les brins de fil sont maintenus en situation de blocage, même lorsque chaque fil est soumis à
un effort de tension différent. Autrement dit le dispositif de blocage selon l'invention conserve les états de tension des fils.
Parmi les avantages qui en découlent on peut citer d'abord la simplicité. Le dispositif de blocage réversible selon l'invention présente une structure simple, et se met en oeuvre de manière simple. En effet, une seule action sur l'organe de blocage, contre l'action du moyen élastique, libère tous les brins de fil.
Un autre avantage du dispositif selon l'invention est celui d'un encombrement réduit. En effet, il faut un seul moyen de blocage pour tous les brins de fil. En conséquence, la mise en place du dispositif de blocage sur un article est plus facile.
Un autre avantage encore est une diminution du coût de fabrication, par rapport à d'autres dispositifs connus, en raison du nombre de pièces réduit.
Par rapport à cela, l'invention cherche globalement à améliorer un dispositif de blocage destiné à serrer, de manière réversible, deux zones différentes d'un article tel que ceux évoqués avant.
Plus spécifiquement un but de l'invention est de simplifier un dispositif de blocage réversible de brins de fil, en ce qui concerne sa structure, et aussi en ce qui concerne sa mise en oeuvre.
Un autre but de l'invention est de réduire autant que possible l'encombrement du dispositif Un but encore de l'invention est d'abaisser le coût de fabrication d'un dispositif de blocage.
Pour ce faire, l'invention propose un dispositif de blocage de brins de fil comportant un corps creux qui délimite une cavité, la cavité définissant au moins un chemin de passage des brins de fil, le dispositif de blocage comprenant un organe de blocage, l'organe de blocage étant mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif de blocage fonctionnant par coopération de l'organe de blocage avec chaque chemin pour le blocage de chaque brin de fil par effet de coincement, un moyen élastique sollicitant l'organe de blocage vers la position de blocage.
Le dispositif de blocage selon l'invention est caractérisé par le fait qu'il agit pour au moins trois brins de fil, et par le fait qu'au moins un chemin de passage est apte à
recevoir deux brins de fil superposés. Le dispositif agit pour les trois fils simultanément, et au moins deux fils sont logés dans le même chemin.
Il apparait donc que l'invention fait coopérer l'organe de blocage avec trois brins de fil, ou plus. On peut dire que l'organe de blocage du dispositif immobilise ou libère tous les brins de fil qui passent dans la cavité. De manière surprenante il s'est avéré que tous les brins de fil sont maintenus en situation de blocage, même lorsque chaque fil est soumis à
un effort de tension différent. Autrement dit le dispositif de blocage selon l'invention conserve les états de tension des fils.
Parmi les avantages qui en découlent on peut citer d'abord la simplicité. Le dispositif de blocage réversible selon l'invention présente une structure simple, et se met en oeuvre de manière simple. En effet, une seule action sur l'organe de blocage, contre l'action du moyen élastique, libère tous les brins de fil.
Un autre avantage du dispositif selon l'invention est celui d'un encombrement réduit. En effet, il faut un seul moyen de blocage pour tous les brins de fil. En conséquence, la mise en place du dispositif de blocage sur un article est plus facile.
Un autre avantage encore est une diminution du coût de fabrication, par rapport à d'autres dispositifs connus, en raison du nombre de pièces réduit.
3 On peut dire d'une manière large que l'invention améliore un dispositif de blocage destiné à
serrer, de manière réversible, deux zones différentes d'un article tel qu'une chaussure, un vêtement, un sac, ou autre.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à
l'aide de la description qui va suivre, en regard du dessin annexé illustrant, selon des formes de réalisation non limitatives, comment l'invention peut être réalisée, et dans lequel :
- la figure 1 est une vue en perspective avant d'une chaussure pour une première forme de réalisation de l'invention, qui fait apparaître un système de serrage de la tige de la chaussure, le système comprenant un dispositif de blocage réversible de plusieurs brins de fil, - la figure 2 est une vue schématique en perspective, dans l'esprit de la figure 1, qui met en évidence le cheminement des éléments constitutifs du système de serrage, - la figure 3 est une vue en perspective éclatée du dispositif de blocage utilisé sur la chaussure des figures 1 et 2, - la figure 4 est une vue extérieure de dessus du dispositif de blocage en position de blocage, ou de coincement, des brins de fil, - la figure 5 est une vue extérieure, similaire à la figure 4, du dispositif de blocage en position de déblocage des brins de fil, - la figure 6 est une vue en coupe, selon des lignes de contact des brins de fil et des chemins, du dispositif de blocage en position de blocage des brins de fil, - la figure 7 est une vue similaire à celle de la figure 6, avec le dispositif de blocage en position de déblocage des brins de fil, - la figure 8 est une coupe selon VIII-VIII de la figure 5, - la figure 9 est une vue similaire à celle de la figure 2, pour une deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 10 est une vue similaire à celle de la figure 8, pour la deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 11 est une vue similaire à celle de la figure 8, pour une troisième forme de réalisation de l'invention, - la figure 12 est une vue similaire à celle de la figure 7, pour une quatrième forme de réalisation de l'invention.
La première forme de réalisation de l'invention, qui va être décrite après, concerne plus spécialement des chaussures pour la pratique du ski de fond, ou de télémark.
Cependant l'invention s'applique à d'autres domaines tels que ceux évoqués avant.
La première forme est présentée ci-après à l'aide des figures 1 à 8.
Comme le montrent les figures 1 et 2, une chaussure de sport tel que le ski de fond est prévue pour accueillir le pied de l'utilisateur.
De manière connue, la chaussure 1 comprend une semelle de marche 2 et une tige 3. La chaussure 1 s'étend en longueur depuis une extrémité arrière ou talon 4 jusqu'à une extrémité
avant ou pointe 5, et en largeur entre un côté latéral 6 et un côté médial 7.
serrer, de manière réversible, deux zones différentes d'un article tel qu'une chaussure, un vêtement, un sac, ou autre.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention seront mieux compris à
l'aide de la description qui va suivre, en regard du dessin annexé illustrant, selon des formes de réalisation non limitatives, comment l'invention peut être réalisée, et dans lequel :
- la figure 1 est une vue en perspective avant d'une chaussure pour une première forme de réalisation de l'invention, qui fait apparaître un système de serrage de la tige de la chaussure, le système comprenant un dispositif de blocage réversible de plusieurs brins de fil, - la figure 2 est une vue schématique en perspective, dans l'esprit de la figure 1, qui met en évidence le cheminement des éléments constitutifs du système de serrage, - la figure 3 est une vue en perspective éclatée du dispositif de blocage utilisé sur la chaussure des figures 1 et 2, - la figure 4 est une vue extérieure de dessus du dispositif de blocage en position de blocage, ou de coincement, des brins de fil, - la figure 5 est une vue extérieure, similaire à la figure 4, du dispositif de blocage en position de déblocage des brins de fil, - la figure 6 est une vue en coupe, selon des lignes de contact des brins de fil et des chemins, du dispositif de blocage en position de blocage des brins de fil, - la figure 7 est une vue similaire à celle de la figure 6, avec le dispositif de blocage en position de déblocage des brins de fil, - la figure 8 est une coupe selon VIII-VIII de la figure 5, - la figure 9 est une vue similaire à celle de la figure 2, pour une deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 10 est une vue similaire à celle de la figure 8, pour la deuxième forme de réalisation de l'invention, - la figure 11 est une vue similaire à celle de la figure 8, pour une troisième forme de réalisation de l'invention, - la figure 12 est une vue similaire à celle de la figure 7, pour une quatrième forme de réalisation de l'invention.
La première forme de réalisation de l'invention, qui va être décrite après, concerne plus spécialement des chaussures pour la pratique du ski de fond, ou de télémark.
Cependant l'invention s'applique à d'autres domaines tels que ceux évoqués avant.
La première forme est présentée ci-après à l'aide des figures 1 à 8.
Comme le montrent les figures 1 et 2, une chaussure de sport tel que le ski de fond est prévue pour accueillir le pied de l'utilisateur.
De manière connue, la chaussure 1 comprend une semelle de marche 2 et une tige 3. La chaussure 1 s'étend en longueur depuis une extrémité arrière ou talon 4 jusqu'à une extrémité
avant ou pointe 5, et en largeur entre un côté latéral 6 et un côté médial 7.
4 Telle que représentée la tige 3 comprend une portion basse 10, prévue pour entourer le pied, ainsi qu'une portion haute 11, prévue pour entourer la cheville.
Cependant, il pourrait être envisagé une tige comprenant seulement la portion basse.
Selon la première forme de réalisation décrite, la chaussure 1 s'étend en hauteur depuis la semelle 2 jusqu'à une extrémité supérieure 12, c'est-à-dire jusqu'à
l'extrémité libre de la portion haute 11 ou de la tige 3.
La chaussure 1 est structurée pour permettre une bonne flexion de la jambe ou un bon déroulement du pied, ainsi que la transmission d'informations sensorielles ou d'impulsions de conduite. C'est pourquoi la tige 3 est relativement souple. La semelle quant à
elle peut être relativement rigide, par exemple pour une pratique avec des pas de patineur, ou bien plus souple, par exemple pour une pratique avec des pas alternatifs.
La chaussure 1 comprend une partie latérale 15 et une partie médiale 16. Les parties 15, 16 comprennent des quartiers destinés à couvrir le pied.
Dans l'exemple reproduit les parties 15, 16 sont solidarisées à la semelle par des techniques connues telles que le collage, la couture, ou tout équivalent. Les parties 15, 16 sont agencées de façon que la chaussure 1 présente une ouverture de chaussage 17. Celle-ci 17 s'étend depuis l'extrémité supérieure 12 vers l'extrémité avant 5. Du côté de l'extrémité supérieure 12 l'ouverture 17 présente une subdivision supérieure 18 destinée à laisser passer le pied, et aussi à entourer la cheville après chaussage. Au niveau du cou-de-pied, entre l'extrémité supérieure 12 et l'extrémité avant 5, l'ouverture 17 présente une subdivision inférieure 19 qui autorise une variation de dimension de l'ouverture et du volume de chaussage. Bien entendu, les subdivisions supérieure 18 et inférieure 19 se prolongent l'une l'autre.
On observe que la tige 3 comprend une languette 20. Cette dernière 20 est disposée entre les parties latérale 15 et médiale 16, au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17, pour donner à la tige 3 sa continuité. Cependant il pourrait être prévu de ne pas utiliser de languette. Dans ce cas les parties 15, 16 peuvent rester séparées ou se superposer. Ou encore un soufflet peut relier l'une à l'autre les parties.
En complément, et de manière non obligatoire, la chaussure 1 comprend un rabat 25 prévu pour couvrir de manière réversible la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17. Le rabat 25 s'étend d'une partie 15, 16 à l'autre, pour améliorer l'étanchéité de la chaussure.
Selon la première forme de réalisation, le rabat 25 est solidarisé de manière fixe à la partie médiale 16. Une fermeture réversible 26 permet de solidariser le rabat 25 aussi à la partie latérale 15. Par exemple, la fermeture réversible 26 comprend une glissière.
Cependant, toute autre structure pourrait être prévue pour réaliser la fermeture. Par exemple une suite de bouton-pression.
La chaussure 1 comprend encore un système de serrage 30, prévu pour serrer des zones de la tige 3 de manière réversible. Le système de serrage 30 comprend un premier lien 31 et un deuxième lien 32, prévus pour exercer un serrage réversible de la tige 3, vers le cou-de-pied, au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17. Le système de serrage 30 comprend aussi un troisième lien 33, prévu pour exercer un serrage réversible autour du talon ou de la cheville, c'est-à-dire vers l'extrémité arrière ou talon 4.
En ce qui concerne la subdivision inférieure 19, de manière non limitative et selon la première forme de réalisation, le système de serrage 30 comprend des liaisons latérales 35, 36,
Cependant, il pourrait être envisagé une tige comprenant seulement la portion basse.
Selon la première forme de réalisation décrite, la chaussure 1 s'étend en hauteur depuis la semelle 2 jusqu'à une extrémité supérieure 12, c'est-à-dire jusqu'à
l'extrémité libre de la portion haute 11 ou de la tige 3.
La chaussure 1 est structurée pour permettre une bonne flexion de la jambe ou un bon déroulement du pied, ainsi que la transmission d'informations sensorielles ou d'impulsions de conduite. C'est pourquoi la tige 3 est relativement souple. La semelle quant à
elle peut être relativement rigide, par exemple pour une pratique avec des pas de patineur, ou bien plus souple, par exemple pour une pratique avec des pas alternatifs.
La chaussure 1 comprend une partie latérale 15 et une partie médiale 16. Les parties 15, 16 comprennent des quartiers destinés à couvrir le pied.
Dans l'exemple reproduit les parties 15, 16 sont solidarisées à la semelle par des techniques connues telles que le collage, la couture, ou tout équivalent. Les parties 15, 16 sont agencées de façon que la chaussure 1 présente une ouverture de chaussage 17. Celle-ci 17 s'étend depuis l'extrémité supérieure 12 vers l'extrémité avant 5. Du côté de l'extrémité supérieure 12 l'ouverture 17 présente une subdivision supérieure 18 destinée à laisser passer le pied, et aussi à entourer la cheville après chaussage. Au niveau du cou-de-pied, entre l'extrémité supérieure 12 et l'extrémité avant 5, l'ouverture 17 présente une subdivision inférieure 19 qui autorise une variation de dimension de l'ouverture et du volume de chaussage. Bien entendu, les subdivisions supérieure 18 et inférieure 19 se prolongent l'une l'autre.
On observe que la tige 3 comprend une languette 20. Cette dernière 20 est disposée entre les parties latérale 15 et médiale 16, au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17, pour donner à la tige 3 sa continuité. Cependant il pourrait être prévu de ne pas utiliser de languette. Dans ce cas les parties 15, 16 peuvent rester séparées ou se superposer. Ou encore un soufflet peut relier l'une à l'autre les parties.
En complément, et de manière non obligatoire, la chaussure 1 comprend un rabat 25 prévu pour couvrir de manière réversible la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17. Le rabat 25 s'étend d'une partie 15, 16 à l'autre, pour améliorer l'étanchéité de la chaussure.
Selon la première forme de réalisation, le rabat 25 est solidarisé de manière fixe à la partie médiale 16. Une fermeture réversible 26 permet de solidariser le rabat 25 aussi à la partie latérale 15. Par exemple, la fermeture réversible 26 comprend une glissière.
Cependant, toute autre structure pourrait être prévue pour réaliser la fermeture. Par exemple une suite de bouton-pression.
La chaussure 1 comprend encore un système de serrage 30, prévu pour serrer des zones de la tige 3 de manière réversible. Le système de serrage 30 comprend un premier lien 31 et un deuxième lien 32, prévus pour exercer un serrage réversible de la tige 3, vers le cou-de-pied, au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture 17. Le système de serrage 30 comprend aussi un troisième lien 33, prévu pour exercer un serrage réversible autour du talon ou de la cheville, c'est-à-dire vers l'extrémité arrière ou talon 4.
En ce qui concerne la subdivision inférieure 19, de manière non limitative et selon la première forme de réalisation, le système de serrage 30 comprend des liaisons latérales 35, 36,
5 37, 38, par exemple au nombre de quatre, disposées sur la partie latérale 15. Le système de serrage 30 comprend aussi des liaisons médiales 40, 41, 42, 43, par exemple au nombre de quatre, disposées sur la partie médiale 16. Les liaisons latérales et médiales sont solidarisées à
la tige 3 au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. Les liaisons 35 à 38 et 40 à 43 sont glissantes, pour que les liens 31, 32 puissent y glisser librement. On comprendra par la suite que cela facilite le serrage ou le desserrage de la tige.
Selon la première forme de réalisation, le premier lien 31 est un fil et le deuxième lien 32 est aussi un fil. On observe que le premier fil 31 et le deuxième fil 32 se prolongent l'un l'autre pour former une boucle, au niveau de la partie la plus avancée de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. On pourrait alternativement prévoir que les premier 31 et deuxième 32 fils restent distincts. Dans ce cas ils seraient attachés à la tige 3, au niveau par exemple de la partie la plus avancée de la subdivision inférieure 19.
Chaque fil 31, 32 chemine alternativement de la partie latérale 15 à la partie médiale 16, en passant par certaines des liaisons latérales 35 à 38 et médiales 40 à 43. Le serrage de la tige 3 au niveau de la subdivision inférieure 19, avec mise en tension des fils 31, 32 et maintien des tensions, sera expliqué un peu plus loin.
Au préalable, en ce qui concerne le serrage du talon ou de la cheville, le système de serrage comprend une liaison initiale latérale 45 située sur la partie latérale 15, à
la frontière entre la portion basse 10 et la portion haute 11 de la tige 3. Le système de serrage 30 comprend aussi une liaison intermédiaire latérale 46, située sur la partie latérale 15 entre la liaison 25 initiale 45 et l'extrémité avant 5. Les liaisons initiale 45 et intermédiaire sont glissantes, comme on le verra mieux après. Le système de serrage 30 comprend encore une liaison finale 47, située sur la partie médiale 16. La liaison finale 47 est fixe. On observe au passage qu'il eût été possible de prévoir l'inverse. Dans ce cas on aurait eu une liaison initiale glissante sur la partie médiale, puis une liaison intermédiaire glissante sur la partie médiale 16, et enfin une 30 liaison finale fixe sur la partie latérale 15.
Dans tous les cas le troisième lien 33 comprend un fil 48 et une sangle 49, le fil et la sangle se prolongeant l'un l'autre. Le troisième lien 33 passe par la liaison initiale glissante 45, puis par la liaison intermédiaire glissante 46, puis longe la tige 3 en contournant le talon 4, entre la semelle 2 et l'extrémité supérieure 12, pour arriver à la liaison finale fixe 47. Par corollaire le fil 48 passe par les liaisons glissantes 45, 46, et la sangle prolonge le fil 48 entre la liaison intermédiaire 46 et la liaison finale 47.
Au final le dispositif de blocage 51 selon la première forme de réalisation de l'invention agit pour exactement trois brins de fil 31, 32, 48.
la tige 3 au niveau de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. Les liaisons 35 à 38 et 40 à 43 sont glissantes, pour que les liens 31, 32 puissent y glisser librement. On comprendra par la suite que cela facilite le serrage ou le desserrage de la tige.
Selon la première forme de réalisation, le premier lien 31 est un fil et le deuxième lien 32 est aussi un fil. On observe que le premier fil 31 et le deuxième fil 32 se prolongent l'un l'autre pour former une boucle, au niveau de la partie la plus avancée de la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. On pourrait alternativement prévoir que les premier 31 et deuxième 32 fils restent distincts. Dans ce cas ils seraient attachés à la tige 3, au niveau par exemple de la partie la plus avancée de la subdivision inférieure 19.
Chaque fil 31, 32 chemine alternativement de la partie latérale 15 à la partie médiale 16, en passant par certaines des liaisons latérales 35 à 38 et médiales 40 à 43. Le serrage de la tige 3 au niveau de la subdivision inférieure 19, avec mise en tension des fils 31, 32 et maintien des tensions, sera expliqué un peu plus loin.
Au préalable, en ce qui concerne le serrage du talon ou de la cheville, le système de serrage comprend une liaison initiale latérale 45 située sur la partie latérale 15, à
la frontière entre la portion basse 10 et la portion haute 11 de la tige 3. Le système de serrage 30 comprend aussi une liaison intermédiaire latérale 46, située sur la partie latérale 15 entre la liaison 25 initiale 45 et l'extrémité avant 5. Les liaisons initiale 45 et intermédiaire sont glissantes, comme on le verra mieux après. Le système de serrage 30 comprend encore une liaison finale 47, située sur la partie médiale 16. La liaison finale 47 est fixe. On observe au passage qu'il eût été possible de prévoir l'inverse. Dans ce cas on aurait eu une liaison initiale glissante sur la partie médiale, puis une liaison intermédiaire glissante sur la partie médiale 16, et enfin une 30 liaison finale fixe sur la partie latérale 15.
Dans tous les cas le troisième lien 33 comprend un fil 48 et une sangle 49, le fil et la sangle se prolongeant l'un l'autre. Le troisième lien 33 passe par la liaison initiale glissante 45, puis par la liaison intermédiaire glissante 46, puis longe la tige 3 en contournant le talon 4, entre la semelle 2 et l'extrémité supérieure 12, pour arriver à la liaison finale fixe 47. Par corollaire le fil 48 passe par les liaisons glissantes 45, 46, et la sangle prolonge le fil 48 entre la liaison intermédiaire 46 et la liaison finale 47.
Au final le dispositif de blocage 51 selon la première forme de réalisation de l'invention agit pour exactement trois brins de fil 31, 32, 48.
6 Le serrage global de la tige 3, c'est-à-dire à la fois au niveau de la subdivision inférieure 19 et du talon ou de la cheville, peut maintenant être expliqué.
Tout d'abord le système de serrage 30 de la chaussure 1 comprend un dispositif de blocage 51 de brins de fil 31, 32, 48. Comme on le comprend non seulement à l'aide des figures 1 et 2, mais aussi à l'aide des figures 3 à 8, le dispositif de blocage 51 des brins de fil 31, 32, 48 comporte un corps creux 52 qui délimite une cavité 53. Celle-ci définit au moins un chemin de passage 54, 55 des brins de fil 31, 32, 48. Le dispositif de blocage 51 comprend un organe de blocage 58, qui est mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif 51 fonctionnant par coopération de l'organe de blocage 58 avec chaque chemin 54, 55 pour le blocage de chaque brin de fil 31, 32, 48 par effet de coincement.
Un moyen élastique 59 sollicite l'organe de blocage 58 vers la position de blocage.
Selon l'invention, le dispositif de blocage 51 agit pour au moins trois fils 31, 32, 48. En d'autres termes l'organe de blocage 58, qui est unique, coopère avec la totalité des fils, ici par exemple au nombre de trois. En conséquence l'organe de blocage 58 immobilise ou libère tous les fils. En situation de blocage tous les fils 31, 32, 48 sont maintenus en tension, même si chaque fil est tendu différemment. En fait le dispositif de blocage 51 selon l'invention conserve les états de tension des fils. Le dispositif 51 selon l'invention est avantageusement simple par sa structure, et est facile d'emploi.
Comme le montre plus particulièrement la figure 3, le dispositif de blocage 51 comprend trois pièces qui sont le corps creux 52, l'organe de blocage 58 de forme circulaire et un curseur ou poussoir 60 situé à l'extérieur du corps 52 et relié à l'organe de blocage 58 pour la manoeuvre de celui-ci. Le poussoir 60 actionne l'organe de blocage 58 en translation.
Ici l'organe de blocage 58 est constitué par une roue munie de dents 65 sur sa périphérie.
Le centre de la roue 58 est percé par un trou 66 aligné avec un lamage 67 pour définir un oeil 68 de réception par encliquetage d'un axe 69 du curseur, qui constitue l'axe de rotation de la roue 58. L'axe 69, circulaire et directement issu du curseur 60, a un côté
sortant 70 destiné à la liaison avec la roue 58. Ce côté présente une fente axiale 71 sur une partie de sa longueur, et est creusé par une gorge périphérique d'accueil 72 destinée à recevoir la roue 58. L'extrémité
du côté sortant a la forme d'un tronc de cône. La roue 58 est donc montée rotative sur l'axe 69.
En pratique seule une rotation de quelques degrés est nécessaire pour parfaire l'équilibrage des tensions, lors du blocage. En alternative, la roue peut ne pas être rotative.
Cette structure permet l'assemblage par encliquetage de la roue 58 sur l'axe 69.
Le corps 52, tel que le montrent les figures 6 et 7, délimite intérieurement la cavité 53 destinée à loger la roue dentée 58 et définissant, ainsi qu'on le verra plus loin, deux chemins 54, 55 pour le passage et le coincement des brins de fil 31, 32, 48.
Pour le montage du dispositif de blocage 51, la roue 58 est mise en place à
l'intérieur de la cavité 53 du corps 52 en passant par une ouverture 78 prévue à une extrémité
axiale de ce corps, et le curseur 60 est encliqueté par son axe 69 dans l'ceil 68 de la roue 58 en traversant la
Tout d'abord le système de serrage 30 de la chaussure 1 comprend un dispositif de blocage 51 de brins de fil 31, 32, 48. Comme on le comprend non seulement à l'aide des figures 1 et 2, mais aussi à l'aide des figures 3 à 8, le dispositif de blocage 51 des brins de fil 31, 32, 48 comporte un corps creux 52 qui délimite une cavité 53. Celle-ci définit au moins un chemin de passage 54, 55 des brins de fil 31, 32, 48. Le dispositif de blocage 51 comprend un organe de blocage 58, qui est mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif 51 fonctionnant par coopération de l'organe de blocage 58 avec chaque chemin 54, 55 pour le blocage de chaque brin de fil 31, 32, 48 par effet de coincement.
Un moyen élastique 59 sollicite l'organe de blocage 58 vers la position de blocage.
Selon l'invention, le dispositif de blocage 51 agit pour au moins trois fils 31, 32, 48. En d'autres termes l'organe de blocage 58, qui est unique, coopère avec la totalité des fils, ici par exemple au nombre de trois. En conséquence l'organe de blocage 58 immobilise ou libère tous les fils. En situation de blocage tous les fils 31, 32, 48 sont maintenus en tension, même si chaque fil est tendu différemment. En fait le dispositif de blocage 51 selon l'invention conserve les états de tension des fils. Le dispositif 51 selon l'invention est avantageusement simple par sa structure, et est facile d'emploi.
Comme le montre plus particulièrement la figure 3, le dispositif de blocage 51 comprend trois pièces qui sont le corps creux 52, l'organe de blocage 58 de forme circulaire et un curseur ou poussoir 60 situé à l'extérieur du corps 52 et relié à l'organe de blocage 58 pour la manoeuvre de celui-ci. Le poussoir 60 actionne l'organe de blocage 58 en translation.
Ici l'organe de blocage 58 est constitué par une roue munie de dents 65 sur sa périphérie.
Le centre de la roue 58 est percé par un trou 66 aligné avec un lamage 67 pour définir un oeil 68 de réception par encliquetage d'un axe 69 du curseur, qui constitue l'axe de rotation de la roue 58. L'axe 69, circulaire et directement issu du curseur 60, a un côté
sortant 70 destiné à la liaison avec la roue 58. Ce côté présente une fente axiale 71 sur une partie de sa longueur, et est creusé par une gorge périphérique d'accueil 72 destinée à recevoir la roue 58. L'extrémité
du côté sortant a la forme d'un tronc de cône. La roue 58 est donc montée rotative sur l'axe 69.
En pratique seule une rotation de quelques degrés est nécessaire pour parfaire l'équilibrage des tensions, lors du blocage. En alternative, la roue peut ne pas être rotative.
Cette structure permet l'assemblage par encliquetage de la roue 58 sur l'axe 69.
Le corps 52, tel que le montrent les figures 6 et 7, délimite intérieurement la cavité 53 destinée à loger la roue dentée 58 et définissant, ainsi qu'on le verra plus loin, deux chemins 54, 55 pour le passage et le coincement des brins de fil 31, 32, 48.
Pour le montage du dispositif de blocage 51, la roue 58 est mise en place à
l'intérieur de la cavité 53 du corps 52 en passant par une ouverture 78 prévue à une extrémité
axiale de ce corps, et le curseur 60 est encliqueté par son axe 69 dans l'ceil 68 de la roue 58 en traversant la
7 paroi de la face supérieure 79 du corps 52 par une fente 80, ménagée dans cette face supérieure 79 selon une direction longitudinale axiale du corps.
Le curseur ou poussoir 60 ainsi monté est mobile en translation par rapport au corps 52, le long de la fente 80 et dans la direction longitudinale du corps creux 52, selon les sens des flèches L ou S montrées par exemple sur les figures 4 et 5.
Les dimensions de la gorge 72 et du trou 66 de la roue 58 sont prévues de façon que la roue 58 soit montée libre en rotation autour de l'axe 69.
Les figures 6, 7 et 8 montrent plus particulièrement la réalisation des chemins 54, 55 et la coopération de l'organe de blocage ou roue 58 avec ceux-ci.
Les chemins 54, 55 sont situés dans la cavité 53, le long de chacune des deux faces latérales 81, 82 du corps 52, et comportent des stries 83.
Les chemins 54, 55 ont, pour recevoir les fils 31, 32, 48, une section en forme de gorge qui peut être arrondie ou formée de segments droits 84, comme représenté sur la figure 8. On verra mieux par la suite que cela favorise un pincement fort des fils 31, 32, 48 entre l'organe de blocage 58 et chaque chemin 54, 55.
Selon la première forme de réalisation, la hauteur h de la cavité 53 est égale à l'épaisseur e de l'organe de blocage 58, augmentée d'un jeu fonctionnel j. Celui-ci j est compris entre 0 et 15% de l'épaisseur e de l'organe 58, sachant que des valeurs comprises entre 2 et 7% ont donné de bons résultats. La hauteur de la cavité et de l'organe de blocage correspond aussi à
celle de deux fils superposés.
La cavité 53 du corps creux 52 définit deux chemins de passage 54, 55 des fils 31, 32, 48, à
savoir un premier chemin 54 le long de la première face latérale 81 et un deuxième chemin 55 le long de la deuxième face latérale 82, et l'organe de blocage 58 est disposé
dans la cavité 53 entre les premier 54 et deuxième 55 chemins de passage des brins de fil 31, 32, 48. Il s'ensuit que chaque chemin de passage 54, 55 présente une hauteur égale à la hauteur h de la cavité 53 et est apte à recevoir au moins deux fils superposés. Cela guide les fils 31, 32, 48 en vis-à-vis de l'organe de blocage ou roue 58. Plus précisément ici le premier chemin 54 guide deux fils 31, 32, et le deuxième chemin 55 guide un seul fil 48. De manière surprenante en situation de blocage, comme on le verra après, le dispositif 51 maintient le serrage ou le blocage des trois brins de fil 31, 32, 48 même si ceux-ci présentent des différences de tension.
Dans le but de maintenir chacun des brins de fil 31, 32, 48 au contact du chemin de passage 54, 55 il est prévu que, lorsque l'organe de blocage ou roue 58 est dans une position de déblocage, la distance la plus courte entre l'organe de blocage 58 et un chemin de passage 54, 55 est comprise entre 40 et 75% de la hauteur h de la cavité. La hauteur h vaut deux fois le diamètre des fils, ou un peu plus. Cela garantit la superposition des fils.
Ainsi les première 91 et deuxième 92 ouvertures de passage des fils, délimitées respectivement par les premier 54 et deuxième 55 chemins de passage, la roue 58, la face supérieure 79 et la face inférieure 85, présentent chacune une forme allongée dans une direction perpendiculaire aux faces supérieure 79 et inférieure 85. Cela maintient les deux brins de fil 31, 32 l'un au-dessus de
Le curseur ou poussoir 60 ainsi monté est mobile en translation par rapport au corps 52, le long de la fente 80 et dans la direction longitudinale du corps creux 52, selon les sens des flèches L ou S montrées par exemple sur les figures 4 et 5.
Les dimensions de la gorge 72 et du trou 66 de la roue 58 sont prévues de façon que la roue 58 soit montée libre en rotation autour de l'axe 69.
Les figures 6, 7 et 8 montrent plus particulièrement la réalisation des chemins 54, 55 et la coopération de l'organe de blocage ou roue 58 avec ceux-ci.
Les chemins 54, 55 sont situés dans la cavité 53, le long de chacune des deux faces latérales 81, 82 du corps 52, et comportent des stries 83.
Les chemins 54, 55 ont, pour recevoir les fils 31, 32, 48, une section en forme de gorge qui peut être arrondie ou formée de segments droits 84, comme représenté sur la figure 8. On verra mieux par la suite que cela favorise un pincement fort des fils 31, 32, 48 entre l'organe de blocage 58 et chaque chemin 54, 55.
Selon la première forme de réalisation, la hauteur h de la cavité 53 est égale à l'épaisseur e de l'organe de blocage 58, augmentée d'un jeu fonctionnel j. Celui-ci j est compris entre 0 et 15% de l'épaisseur e de l'organe 58, sachant que des valeurs comprises entre 2 et 7% ont donné de bons résultats. La hauteur de la cavité et de l'organe de blocage correspond aussi à
celle de deux fils superposés.
La cavité 53 du corps creux 52 définit deux chemins de passage 54, 55 des fils 31, 32, 48, à
savoir un premier chemin 54 le long de la première face latérale 81 et un deuxième chemin 55 le long de la deuxième face latérale 82, et l'organe de blocage 58 est disposé
dans la cavité 53 entre les premier 54 et deuxième 55 chemins de passage des brins de fil 31, 32, 48. Il s'ensuit que chaque chemin de passage 54, 55 présente une hauteur égale à la hauteur h de la cavité 53 et est apte à recevoir au moins deux fils superposés. Cela guide les fils 31, 32, 48 en vis-à-vis de l'organe de blocage ou roue 58. Plus précisément ici le premier chemin 54 guide deux fils 31, 32, et le deuxième chemin 55 guide un seul fil 48. De manière surprenante en situation de blocage, comme on le verra après, le dispositif 51 maintient le serrage ou le blocage des trois brins de fil 31, 32, 48 même si ceux-ci présentent des différences de tension.
Dans le but de maintenir chacun des brins de fil 31, 32, 48 au contact du chemin de passage 54, 55 il est prévu que, lorsque l'organe de blocage ou roue 58 est dans une position de déblocage, la distance la plus courte entre l'organe de blocage 58 et un chemin de passage 54, 55 est comprise entre 40 et 75% de la hauteur h de la cavité. La hauteur h vaut deux fois le diamètre des fils, ou un peu plus. Cela garantit la superposition des fils.
Ainsi les première 91 et deuxième 92 ouvertures de passage des fils, délimitées respectivement par les premier 54 et deuxième 55 chemins de passage, la roue 58, la face supérieure 79 et la face inférieure 85, présentent chacune une forme allongée dans une direction perpendiculaire aux faces supérieure 79 et inférieure 85. Cela maintient les deux brins de fil 31, 32 l'un au-dessus de
8 l'autre, au niveau de l'organe de blocage 58, dans la direction perpendiculaire aux faces 79, 85.
En d'autres termes chacun des brins de fil 31, 32 est en regard à la fois du chemin de passage 54 et de l'organe de blocage 58. Il s'ensuit que les brins sont bloqués ou débloqués simultanément.
Comme le montrent les figures 6 et 7, les chemins de passage 54, 55 sont sensiblement rectilignes et leurs directions non parallèles convergent pour se croiser sur l'axe de symétrie 93 du dispositif de blocage 51, dans la direction S.
Il existe deux positions extrêmes du curseur 60 qui correspondent l'une au blocage des brins de fil 31, 32, 48, l'autre au déblocage des brins.
La position de blocage est représentée notamment aux figures 6 et 8.
Comme le montre la figure 6, en position de blocage, la roue 58, qui est sollicitée en permanence dans le sens S, serre les brins de fil 31, 32, 48 en appuyant ces derniers au fond des chemins 54, 55 du corps 52.
Le blocage des brins de fil 31, 32, 48 est donc réalisé par effet de coincement grâce à la coopération des chemins 54, 55 et de la roue 58.
L'avantage, procuré par le blocage par effet de coincement, est que la valeur de serrage des brins de fil 31, 32, 48 par la roue 58 est proportionnelle aux efforts de traction exercés sur les brins et résulte uniquement de ces efforts.
Un autre avantage, lié au fait que la roue 58 est montée rotative autour de l'axe 69, est qu'une différence dans les efforts de traction F1, F2 sur les brins de fil n'entraîne pas un coincement du système ou un glissement relatif de l'un des brins par rapport à
l'organe de blocage 58.
Un moyen élastique, montré notamment aux figures 4 et 5, est également intégré
au dispositif de blocage 51. Ce moyen élastique peut prendre différentes formes.
Le moyen élastique comprend par exemple deux languettes 95 élastiques qui s'étendent en forme de V à partir du centre du curseur 60, languettes 95 dont les extrémités libres sont prévues de façon à prendre appui sur un talon 96 formé par un rebord du corps 52 pour solliciter le curseur 60 dans la direction de blocage S montrée à la figure 4.
Bien entendu les languettes 95 peuvent également avoir une forme différente.
Ces languettes 95 sollicitent donc également, dans cette direction de blocage S, la roue 58 par l'intermédiaire de son axe 69 qui est solidaire du curseur 60.
Ainsi, l'organe de blocage 58 est sollicité élastiquement dans le sens de blocage des fils 31, 32, 48 par l'intermédiaire de son axe de rotation 69.
Ici l'axe 69, le curseur 60 et les languettes 95 forment un élément unique.
Les pièces et le fonctionnement décrits ci-avant procurent l'avantage d'effectuer un blocage de fil précis et immédiat sans qu'il soit nécessaire d'agir extérieurement sur l'organe de blocage 58.
En d'autres termes chacun des brins de fil 31, 32 est en regard à la fois du chemin de passage 54 et de l'organe de blocage 58. Il s'ensuit que les brins sont bloqués ou débloqués simultanément.
Comme le montrent les figures 6 et 7, les chemins de passage 54, 55 sont sensiblement rectilignes et leurs directions non parallèles convergent pour se croiser sur l'axe de symétrie 93 du dispositif de blocage 51, dans la direction S.
Il existe deux positions extrêmes du curseur 60 qui correspondent l'une au blocage des brins de fil 31, 32, 48, l'autre au déblocage des brins.
La position de blocage est représentée notamment aux figures 6 et 8.
Comme le montre la figure 6, en position de blocage, la roue 58, qui est sollicitée en permanence dans le sens S, serre les brins de fil 31, 32, 48 en appuyant ces derniers au fond des chemins 54, 55 du corps 52.
Le blocage des brins de fil 31, 32, 48 est donc réalisé par effet de coincement grâce à la coopération des chemins 54, 55 et de la roue 58.
L'avantage, procuré par le blocage par effet de coincement, est que la valeur de serrage des brins de fil 31, 32, 48 par la roue 58 est proportionnelle aux efforts de traction exercés sur les brins et résulte uniquement de ces efforts.
Un autre avantage, lié au fait que la roue 58 est montée rotative autour de l'axe 69, est qu'une différence dans les efforts de traction F1, F2 sur les brins de fil n'entraîne pas un coincement du système ou un glissement relatif de l'un des brins par rapport à
l'organe de blocage 58.
Un moyen élastique, montré notamment aux figures 4 et 5, est également intégré
au dispositif de blocage 51. Ce moyen élastique peut prendre différentes formes.
Le moyen élastique comprend par exemple deux languettes 95 élastiques qui s'étendent en forme de V à partir du centre du curseur 60, languettes 95 dont les extrémités libres sont prévues de façon à prendre appui sur un talon 96 formé par un rebord du corps 52 pour solliciter le curseur 60 dans la direction de blocage S montrée à la figure 4.
Bien entendu les languettes 95 peuvent également avoir une forme différente.
Ces languettes 95 sollicitent donc également, dans cette direction de blocage S, la roue 58 par l'intermédiaire de son axe 69 qui est solidaire du curseur 60.
Ainsi, l'organe de blocage 58 est sollicité élastiquement dans le sens de blocage des fils 31, 32, 48 par l'intermédiaire de son axe de rotation 69.
Ici l'axe 69, le curseur 60 et les languettes 95 forment un élément unique.
Les pièces et le fonctionnement décrits ci-avant procurent l'avantage d'effectuer un blocage de fil précis et immédiat sans qu'il soit nécessaire d'agir extérieurement sur l'organe de blocage 58.
9 En complément, comme montré notamment sur la figure 8, le corps 52 présente respectivement sur ses faces supérieure et inférieure des cavités 97, 98 destinées à faciliter la prise ergonomique du corps 52 lors du blocage.
Les empreintes des cavités 97, 98 du corps 52 correspondent chacune sensiblement à celle d'un doigt orienté de façon à exercer un effort dans la direction S de la figure 6.
Il est donc plus facile pour l'utilisateur de tirer sur les fils avec une main et d'appuyer sur le dispositif de blocage 51 avec l'autre main pour le déplacer sur les fils jusqu'à la position de blocage souhaitée. Une fois cette position atteinte, il suffit de lâcher le dispositif 51, sans avoir à exercer aucune autre action sur le curseur, pour que le serrage souhaité
soit obtenu, la roue 58 sollicitée par les languettes 95 exerçant automatiquement l'effet de coincement souhaité. Un avantage est que la manipulation de blocage est des plus aisées.
L'opération de déblocage, quant à elle se fait avec une seule main, par traction sur le dispositif de blocage 51. Il est nécessaire que la traction sollicite le curseur 60 dans un sens de déblocage, selon la direction L de la figure 7. L'opération de déblocage est donc elle aussi des plus aisées.
Les autres formes de réalisation de l'invention sont présentées ci-après à
l'aide des figures 9 à 12. Pour des raisons de commodité, les éléments communs avec la première forme sont désignés par les mêmes références. Ainsi seules les différences sont mises en évidence.
La deuxième forme est abordée à l'aide des figures 9 et 10. On retrouve donc une chaussure 1 avec un système de serrage 30, lequel comprend un dispositif de blocage 51.
Ce qui est spécifique à la deuxième forme de réalisation, c'est que le dispositif de blocage 51 agit pour exactement quatre brins de fil 31, 32, 48, 111. Les deux premiers fils 31, 32 sont identiques ou similaires à ceux de la première forme : ils serrent la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. Les deux autres fils 48, 111, quant à eux, participent au serrage du talon ou de la cheville.
Le système de serrage 30 comprend toujours une liaison initiale latérale 45 et une liaison intermédiaire 46 situées comme on l'a vu sur la partie latérale 15. Dans le même esprit le système de serrage 30 comprend cette fois une liaison initiale médiale 115 et une liaison intermédiaire médiale 116 situées sur la partie médiale 16. Le troisième lien 117 comprend successivement le fil latéral 48, une sangle de contournement 118, et le fil médial 111.
Pour serrer de manière réversible la tige 3, les quatre brins de fil 31, 32, 48, 111 coopèrent avec le dispositif de blocage 51. Ce dernier reçoit deux fils sur chaque chemin de passage 54, 55. Le fonctionnement et les effets obtenus sont identiques ou similaires à
ceux selon la première forme de réalisation.
La troisième forme de réalisation est maintenant abordée à l'aide de la figure 11.
Il s'agit simplement de préciser que le système de serrage 30 fonctionne aussi lorsque le dispositif de blocage 51 opère pour deux fils 31, 32 uniques, bien qu'il soit conçu pour accepter au moins trois fils.
Dans ce cas les brins de fil 31, 32 occupent une place réduite des ouvertures de passage 91, 92.
La quatrième forme de réalisation est présentée à l'aide de la figure 12. Ce qui lui est particulier est dû à la structure de l'organe de blocage 128. Ce dernier présente la forme 5 générale d'un coin. Par exemple, de manière non limitative, l'organe de blocage 128 présente une forme trapézoïdale. En conséquence le serrage des brins de fil 31, 32, 48 est obtenu par le seul effet de coincement.
D'une manière générale, l'invention est réalisée à partir de matériaux et selon des techniques de mise en oeuvre connus de l'homme du métier. En particulier, il est préféré de
Les empreintes des cavités 97, 98 du corps 52 correspondent chacune sensiblement à celle d'un doigt orienté de façon à exercer un effort dans la direction S de la figure 6.
Il est donc plus facile pour l'utilisateur de tirer sur les fils avec une main et d'appuyer sur le dispositif de blocage 51 avec l'autre main pour le déplacer sur les fils jusqu'à la position de blocage souhaitée. Une fois cette position atteinte, il suffit de lâcher le dispositif 51, sans avoir à exercer aucune autre action sur le curseur, pour que le serrage souhaité
soit obtenu, la roue 58 sollicitée par les languettes 95 exerçant automatiquement l'effet de coincement souhaité. Un avantage est que la manipulation de blocage est des plus aisées.
L'opération de déblocage, quant à elle se fait avec une seule main, par traction sur le dispositif de blocage 51. Il est nécessaire que la traction sollicite le curseur 60 dans un sens de déblocage, selon la direction L de la figure 7. L'opération de déblocage est donc elle aussi des plus aisées.
Les autres formes de réalisation de l'invention sont présentées ci-après à
l'aide des figures 9 à 12. Pour des raisons de commodité, les éléments communs avec la première forme sont désignés par les mêmes références. Ainsi seules les différences sont mises en évidence.
La deuxième forme est abordée à l'aide des figures 9 et 10. On retrouve donc une chaussure 1 avec un système de serrage 30, lequel comprend un dispositif de blocage 51.
Ce qui est spécifique à la deuxième forme de réalisation, c'est que le dispositif de blocage 51 agit pour exactement quatre brins de fil 31, 32, 48, 111. Les deux premiers fils 31, 32 sont identiques ou similaires à ceux de la première forme : ils serrent la subdivision inférieure 19 de l'ouverture de chaussage 17. Les deux autres fils 48, 111, quant à eux, participent au serrage du talon ou de la cheville.
Le système de serrage 30 comprend toujours une liaison initiale latérale 45 et une liaison intermédiaire 46 situées comme on l'a vu sur la partie latérale 15. Dans le même esprit le système de serrage 30 comprend cette fois une liaison initiale médiale 115 et une liaison intermédiaire médiale 116 situées sur la partie médiale 16. Le troisième lien 117 comprend successivement le fil latéral 48, une sangle de contournement 118, et le fil médial 111.
Pour serrer de manière réversible la tige 3, les quatre brins de fil 31, 32, 48, 111 coopèrent avec le dispositif de blocage 51. Ce dernier reçoit deux fils sur chaque chemin de passage 54, 55. Le fonctionnement et les effets obtenus sont identiques ou similaires à
ceux selon la première forme de réalisation.
La troisième forme de réalisation est maintenant abordée à l'aide de la figure 11.
Il s'agit simplement de préciser que le système de serrage 30 fonctionne aussi lorsque le dispositif de blocage 51 opère pour deux fils 31, 32 uniques, bien qu'il soit conçu pour accepter au moins trois fils.
Dans ce cas les brins de fil 31, 32 occupent une place réduite des ouvertures de passage 91, 92.
La quatrième forme de réalisation est présentée à l'aide de la figure 12. Ce qui lui est particulier est dû à la structure de l'organe de blocage 128. Ce dernier présente la forme 5 générale d'un coin. Par exemple, de manière non limitative, l'organe de blocage 128 présente une forme trapézoïdale. En conséquence le serrage des brins de fil 31, 32, 48 est obtenu par le seul effet de coincement.
D'une manière générale, l'invention est réalisée à partir de matériaux et selon des techniques de mise en oeuvre connus de l'homme du métier. En particulier, il est préféré de
10 réaliser chaque composant à partir d'une matière plastique.
Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation ci-avant décrites, et comprend tous les équivalents techniques pouvant entrer dans la portée des revendications qui vont suivre.
Par exemple, si l'organe de blocage 58 a été décrit sous la forme d'une roue ou d'un coin, il peut alternativement présenter une autre forme.
L'organe de blocage peut aussi comprendre plusieurs pièces. Par exemple on peut prévoir deux roues montées sur l'axe 69 du curseur 60 pour bloquer quatre fils. On remarque dans ce cas que chaque organe de blocage agit pour au moins deux fils, le dispositif de blocage agissant bien pour au moins trois brins de fil, et que le moyen élastique est unique, celui-ci sollicitant tous les organes de blocage.
Il est prévu que chaque fil, et par corollaire que chaque brin de fil présente le même diamètre. Cela facilite la mise en oeuvre du dispositif de blocage. Mais il peut alternativement être prévu des fils de diamètres différents.
L'invention s'applique à un système de serrage 30 qui comprend un dispositif de blocage 51 tel que décrit avant.
L'invention s'applique aussi à un article qui comprend un système de serrage avec le dispositif de blocage. En particulier, l'invention concerne une chaussure 1 qui comprend le système de serrage décrit avant.
Bien entendu, l'invention n'est pas limitée aux formes de réalisation ci-avant décrites, et comprend tous les équivalents techniques pouvant entrer dans la portée des revendications qui vont suivre.
Par exemple, si l'organe de blocage 58 a été décrit sous la forme d'une roue ou d'un coin, il peut alternativement présenter une autre forme.
L'organe de blocage peut aussi comprendre plusieurs pièces. Par exemple on peut prévoir deux roues montées sur l'axe 69 du curseur 60 pour bloquer quatre fils. On remarque dans ce cas que chaque organe de blocage agit pour au moins deux fils, le dispositif de blocage agissant bien pour au moins trois brins de fil, et que le moyen élastique est unique, celui-ci sollicitant tous les organes de blocage.
Il est prévu que chaque fil, et par corollaire que chaque brin de fil présente le même diamètre. Cela facilite la mise en oeuvre du dispositif de blocage. Mais il peut alternativement être prévu des fils de diamètres différents.
L'invention s'applique à un système de serrage 30 qui comprend un dispositif de blocage 51 tel que décrit avant.
L'invention s'applique aussi à un article qui comprend un système de serrage avec le dispositif de blocage. En particulier, l'invention concerne une chaussure 1 qui comprend le système de serrage décrit avant.
Claims (15)
1- Dispositif de blocage (51) de brins de fil (31, 32, 48, 111) comportant un corps creux (52) qui délimite une cavité (53), la cavité définissant au moins un chemin de passage (54, 55) des brins de fil (31, 32, 48, 111), le dispositif de blocage (51) comprenant un organe de blocage (58, 128), l'organe de blocage (58, 128) étant mobile entre une position de blocage et une position de déblocage, le dispositif de blocage (51) fonctionnant par coopération de l'organe de blocage (58, 128) avec chaque chemin (54, 55) pour le blocage de chaque brin de fil (31, 32, 48, 111) par effet de coincement, un moyen élastique (59) sollicitant l'organe de blocage (58, 128) vers la position de blocage, caractérisé par le fait qu'il agit pour au moins trois brins de fil (31, 32, 48, 111), et par le fait qu'au moins un chemin de passage (54, 55) est apte à recevoir deux brins de fil (31, 32, 48, 111) superposés.
2- Dispositif de blocage (51) selon la revendication 1, caractérisé par le fait que la hauteur (h) de la cavité (53) est égale à l'épaisseur (e) de l'organe de blocage (58, 128), augmentée d'un jeu fonctionnel (j).
3- Dispositif de blocage (51) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé par le fait que la cavité (53) du corps creux (52) définit deux chemins de passage (54, 55) des fils (31, 32, 48, 111), et par le fait que l'organe de blocage (58, 128) est disposé dans la cavité (53) entre les premier (54) et deuxième (55) chemins de passage des brins de fil (31, 32, 48, 111).
4- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisé par le fait que lorsque l'organe de blocage (58, 128) est dans une position de déblocage, la distance la plus courte entre l'organe de blocage (58, 128) et un chemin de passage (54, 55) est comprise entre 40 et 75% de la hauteur (h) de la cavité (53).
5- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 4, caractérisé par le fait que l'organe de blocage (58, 128) est unique.
6- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisé par le fait qu'il comprend trois pièces qui sont le corps creux (52), l'organe de blocage (58, 128) et un curseur (60) situé à l'extérieur du corps creux (52) et relié à l'organe de blocage (58) pour la manoeuvre de celui-ci.
7- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que l'organe de blocage (58) est constitué par une roue.
8- Dispositif de blocage (51) selon la revendication 7, caractérisé par le fait que la roue (58) est à l'intérieur de la cavité (53), et par le fait que le curseur (60) est encliqueté par son axe (69) dans la roue (58) en traversant la paroi de la face supérieure (79) du corps (52) par une fente (80), ménagée dans cette face supérieure (79) selon une direction longitudinale axiale du corps.
9- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 6, caractérisé par le fait que l'organe de blocage (128) présente la forme générale d'un coin.
10- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 6 à 9, caractérisé par le fait que le moyen élastique (59) comprend deux languettes (95) élastiques qui s'étendent à partir du curseur (60), languettes (95) dont les extrémités libres sont prévues de façon à prendre appui sur un talon (96) formé par un rebord du corps (52) pour solliciter le curseur (60) dans la direction de blocage.
11- Dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 10, caractérisé par le fait que chaque brin de fil (31, 32, 48, 111) présente le même diamètre.
12- Système de serrage (30), caractérisé par le fait qu'il comprend un dispositif de blocage (51) selon l'une des revendications 1 à 11.
13- Système de serrage (30) selon la revendication 12, caractérisé par le fait que le dispositif de blocage (51) agit pour exactement trois brins de fil (31, 32, 48).
14- Système de serrage (30) selon la revendication 12, caractérisé par le fait que le dispositif de blocage (51) agit pour exactement quatre brins de fil (31, 32, 48, 111).
15- Article (1), caractérisé par le fait qu'il comprend un système de serrage (30) selon l'une des revendications 12 à 14.
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