CA2566067C - Procede et dispositif de gestion d'un bus - Google Patents

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Abstract

Procédé et dispositif de gestion d'un bus (6) comprenant un nombre NLPP de ligne(s) conductrice(s) (6-1-6-4), où NLPP est égal ou supérieur à 1, par laquelle/lesquelles on transmet un ensemble de NB valeurs (A0-A19) destinées à être accessibles en parallèle, où NB est supérieur au nombre NLPP de ligne(s), caractérisé en ce qu'il consiste à conférer une double fonction aux lignes conductrices (6-1-6- 4)/à la ligne conductrice : une première fonction de constitution d'un sous-ensemble de valeurs (A4- A19) comprenant N SE valeur(s) dudit ensemble (A0-A19) ; et une deuxième fonction de constitution du complément dudit sous-ensemble, par présentation directe de la/les NB- NSE valeur(s) complémentaire(s) sur des/les lignes conductrices respectives (6-1-6-4)/ la ligne conductrice.

Description

2 PCT/FR2005/050301 Procédé et dispositif de gestion d'un bus L'invention concerne un procédé et dispositif de gestion d'un bus, par constitution d'un ensemble de valeurs accessibles en parallèle, au moyen d'un nombre réduit de lignes, par exemple pour réaliser un bus d'adresse d'un dispositif à
mémoire.
Dans l'exemple d'une mémoire semiconducteur, celle-ci comporte séparément un bus de données et un bus d'adresse. Cette dernière comprend un ensemble de lignes parallèles d'adresse, par lesquelles un mot binaire peut être exprimé pour préciser une adresse spécifique d'accès en lecture ou en inscription.
Chaque ligne d'adresse correspond à un rang spécifique du mot binaire. Ainsi, avec une adresse en parallèle, l'état instantané d'un bus d'adresse à n lignes d'adresse (où n est un entier) permet de sélectionner une adresse parmi 2'.
Le développement des capacités des mémoires fait accroître corrélativement le nombre n de lignes d'adresse nécessaires pour accéder à
tous les emplacements de stockage possibles. A titre indicatif, une mémoire de 2 MO
(Méga octets), soit 16 Méga bits, nécessite un bus d'adresse de 11 lignes pour un mode de fonctionnement sur un octet à accès sur un cycle, et une mémoire de 4 GO
nécessite 321ignes d'adresse en pareil cas.
L'évolution de la niniaturisation des produits qui intègrent des mémoires importantes, comme les téléphones mobiles, les assistants numériques personnels, etc., n'est pas compatible avec l'utilisation d'un bus d'adresse comportant de nombreuses lignes d'adresse parallèles. En effet, cela crée en premier lieu des problèmes de connectique, puisque chaque ligne d'adresse doit être reliée physiquement à un plot de connexion, généralement en périphérie de la puce contentant la mémoire. Il s'ajoute à cela des problèmes de support physique des pistes conductrices du bus, notamment en ce qui concerne la place occupée et les interférences électriques et électromagnétiques importantes entre les pistes lorsque celles-ci sont nombreuses et rapprochées, surtout lorsque les fréquences de cycles sont très élevées. Par ailleurs, chaque ligne étant consommateur de courant, leur démultiplication est coûteuse en terme d'énergie, surtout pour des applications embarquées.
Il a déjà été proposé dans le document US-A-4 644 469 des techniques de double conversion parallèle-série, série-parallèle visant à permettre d'accéder à 2 adresses d'une mémoire avec un bus d'adresse au nombre L de lignes parallèles inférieur à n. L'approche est basée sur l'hypothèse que dans un mode d'accès systématique à la mémoire, les états des lignes de poids fort (i.e. celles qui expriment les puissances de 2 les plus élevées des composantes du nombre binaire) varient moins fréquemment que les états des lignes de poids faible. Partant de là, il est proposé de réserver aux lignes de poids faible une adresse normale, en mode parallèle, mais de pratiquer la double conversion précitée pour les lignes de poids fort. La démarcation entre les lignes de poids faible et de poids fort est fixe. Pour les lignes de poids fort, une conversion parallèle-série est effectuée en tête du bus, notamment en sortie du processeur qui commande les adresses. Les bits de poids forts sont alors véhiculés sur un seul conducteur à côté des conducteurs parallèles des bits de poids faible. La conversion série-parallèle est effectuée soit juste en amont de la mémoire, dans lequel cas celle-ci peut garder un brochage classique avec n broches d'adresse, soit au sein de la mémoire. Dans ce dernier cas, la mémoire présente un nombre réduit de connexions au bus d'adresse, moyennant des éléments de circuit pour réaliser la conversion série-parallèle en interne.
Le convertisseur série-parallèle du côté de la mémoire mémorise les sorties parallèles de conversion et les présente en tant que bits de poids fort respectifs de la partie haute de l'adresse. Lorsque le contenu des sorties parallèles doit être modifié
pour suivre une évolution de l'adresse qui implique au moins un bit de poids fort, une commande est transmise au convertisseur série-parallèle sur une ligne spécifique du bus. En réponse, la mémoire se met en attente durant le chargement des bits série et leur apparition sur les sorties parallèles du convertisseur. A chaque cycle de conversion réalisé pour faire évoluer la partie haute de l'adresse, tous les bits de poids fort sont systématiquement transférés en série et convertis. On note donc que la conversion nécessite un nombre fixe de cycles d'horloge, qui est en fonction directe avec le nombre de lignes de poids sujettes à la conversion série-parallèle, et durant laquelle la mémoire est hors service.
Cette approche rigide n'est pas optimale, car elle impose un retard qui est lié non pas au nombre de bits à modifier lors d'une mise à jour de la partie haute de l'adresse, mais au nombre total de bits de la partie haute de l'adresse.
A titre indicatif, si 16 lignes de poids fort sont sujettes à la double conversion, et seulement le contenu du bit accessible en seizième position du convertisseur série-parallèle nécessite d'être rafraîchi, le temps mort à l'adresse sera d'au moins 16 cycles (sans compter les cycles de signalisation), même si le changement d'état logique n'implique qu'une seule de ces lignes.
Une autre technique connue par le document EP-A-0 628 916 vise à réduire le nombre total de lignes de connexion d'une mémoire, en proposant un bus multiplexé pour les bits d'adresse et de données, permettant notamment de réduire le nombre de terminaux externes d'une mémoire. Cette approche nécessite un
3 contrôleur de multiplexage et de démultiplexage complexe, et impose une diminution systématique est importante de la vitesse d'accès à la mémoire.
Au vu de ce qui précède, l'invention propose, selon un premier aspect, un procédé de gestion d'un bus comprenant un nombre NLPP de ligne(s) conductrice(s), où NLPP est égal ou supérieur à 1, par laquelle/lesquelles on transmet un ensemble de NB valeurs destinées à être accessibles en parallèle, où NB est supérieur au nombre NLPP de ligne(s), caractérisé en ce qu'il consiste à conférer une double fonction aux lignes conductrices/à la ligne conductrice :
- une première fonction de constitution d'un sous-ensemble de valeurs comprenant NSE valeur(s) dudit ensemble, et - une deuxième fonction de constitution du complément dudit sous-ensemble, par présentation directe de la/les NB-NsE valeur(s) complémentaire(s) sur des/les lignes conductrices respectives/la ligne conductrice.
Avantageusement, le nombre NLLp de lignes conductrices est supérieur à 1, et ces lignes conductrices, dans leur deuxième fonction, présentent les NB-NSE
valeurs complémentaires en parallèle sur des/les lignes individuelles respectives.
Le procédé peut comprendre les étapes suivantes :
- charger ledit sous-ensemble de valeurs dans des moyens de mémorisation selon un protocole préétabli, en utilisant les lignes conductrices/la ligne conductrice dans leur/sa première fonction, - présenter directement les/la NB-NsE valeur(s) complémentaire(s) en utilisant des/les lignes conductrices respectives/ la ligne conductrice selon leur/sa deuxième fonction.
Le procédé peut comprendre une gestion des moyens de mémorisation par blocs d'au moins une valeur, et peut comprendre en outre les étapes de :
- déterminer, pour chaque bloc, si la/chaque valeur déjà mémorisée est égale à la valeur qui doit correspondre dans l'ensemble de valeurs à
constituer, - dans l'affirmatif, maintenir le bloc en l'état, sans chargement de données, - dans le cas contraire, charger dans le bloc la/les valeurs qui doit/doivent correspondre, au moyens de la/les ligne(s) conductrice(s) selon le protocole préétabli, en utilisant les lignes conductrices/ la ligne conductrice dans leur/sa première fonction.
4 L'ensemble de NB valeurs peut être constitué à un côté destination à partir de données émises d'un côté source, relié ai côté destination via lesdites lignes conductrices/ ladite ligne conductrice, le procédé pouvant comprendre les étapes de :
- mémoriser, du côté source, le contenu des moyens de mémorisation se situant du côté destination, - comparer, du côté source, les valeurs du sous ensemble à constituer avec les valeurs correspondantes du contenu mémorisé du côté source, - déterminer sur la base de cette comparaison la/les valeur(s) du sous-ensemble reçu à transmettre au côté destination pour actualiser le contenu des moyens de mémorisation du côté destination.
Dans un mode de réalisation, le côté source signale au côté destination l'identification du/des blocs, dont le contenu doit faire l'objet d'une mise à
jour, par un seul message durant un premier cycle, le no mbre de lignes étant au moins égal au nombre de blocs de mémorisation en quels sont décomposées les valeurs du sous-ensemble, et, du côté source, chaque bloc respectif peut être attribué à une ligne particulière selon un code de correspondance connu au niveau du côté source et du côté destination, la désignation d'un bloc étant signalée par un signal sur une ligne conductrice spécifiquement attribuée à ce bloc.
Le côté source peut transmettre via les lignes conductrices/la ligne conductrice les/la valeur(s) destinée(s) à être chargée(s) dans chaque/ le bloc identifié, afin d'actualiser ledit sous ensemble de valeurs, en utilisant un cycle de transmission de valeur(s) par bloc, selon un ordonnancement préétabli des cycles, par lequel le côté destination identifie le bloc destinataire de la valeur/des valeurs présente(s) sur les lignes conductrices/ la ligne conductrice en fonction du cycle.
Une mise à jour de l'ensemble de NB valeurs (A0-A19) accessibles en parallèle peut être effectuée par les cycles successifs suivants - un premier cycle comprenant :
- l'identification par le côté source du/des bloc(s) comportant au moins une valeur à changer pour la mise à jour, et - le signalement au côté destination, durant un premier cycle de mise à jour, du/des bloc(s) comportant au moins une valeur à changer pour la mise à jour, au moyen des lignes conductrices parallèles/ de la ligne conductrice, - suivi d'un cycle pour le ou chaque bloc identifié, comprenant :
- la transmission par le côté source de la valeur/l'ensemble des valeurs destinées au bloc, au moyen des lignes conductrices parallèles/ de la ligne conductrice, - au niveau du côté destination, le transfert et le chargement dans le bloc de mémorisation identifié, des valeurs transmises, et - suivi d'un cycle comprenant la transmission sur les lignes conductrices parallèles/la ligne conductrice des valeurs/de la/des valeur(s)
5 complémentaire(s) au sous-ensemble, de sorte à constituer l'ensemble complet des NB valeurs accessibles en parallèle, les valeurs du sous-ensemble étant accessibles en parallèle en sortie des blocs de mémorisation du côté
destination, et les valeurs/la valeur complémentaire(s) au sous-ensemble étant présentée(s) directement sur les lignes conductrices respectives/la ligne conductrice.
Dans le mode de réalisation - le nombre de blocs de mémorisation est égal au nombre NL,LP de lignes conductrices parallèles, et - le nombre de lignes de mémorisation par bloc est égal au nombre NLLP de lignes conductrices parallèles.
Les NB valeurs peuvent être des éléments binaires qui constituent collectivement un nombre binaire de NB bits, ledit sous-ensemble de valeurs pouvant constituer les bits de poids fort du nombre binaire.
Les valeurs de l'ensemble peuvent être utilisées en tant qu'adresse parallèle d'une mémoire.
Dans le mode de réalisation, les conductrices /la ligne conductrice constitue(nt) l'intégralité des lignes parallèles d'un bus/l'intégralité d'un bus utilisé(es) pour transmettre le nombre binaire de NB bits.
Selon un deuxième aspect, l'invention concerne un dispositif de gestion d'un bus comprenant un nombre nombre NLPP de ligne(s) conductrice(s), où NLPP est égal ou supérieur à 1, servant à transmettre un ensemble de NB valeurs destinées à
être accessibles en parallèle, où NB est supérieur au nombre NLPP de ligne(s), caractérisé
en ce les lignes conductrices/ la ligne conductrice ont/a une double fonction :
- une première fonction de constitution d'un sous-ensemble de valeurs comprenant NSE valeur(s) dudit ensemble, et - une deuxième fonction de constitution du complément dudit sous-ensemble, par présentation directe de la/les NB-NsE valeur(s) complémentaire(s) sur des/les lignes conductrices respectives/ la ligne conductrice.
Le nombre NLLp de lignes conductrices peut être supérieur à 1, et ces lignes conductrices peuvent, dans leur deuxième fonction, présenter les NB-NSE
valeurs complémentaires en parallèle sur des/les lignes individuelles respectives.
Le dispositif peut comprendre :
6 - des moyens pour charger ledit sous-ensemble de valeurs dans des moyens de mémorisation selon un protocole préétabli, en utilisant la les lignes conductrices/
ligne conductrice dans leur/sa première fonction, - des moyens pour présenter directement les/la NB-NsE valeur(s) complémentaire(s) en utilisant des/les lignes conductrices respectives/la ligne conductrice selon leur/sa deuxième fonction.
Le dispositif peut comprendre :
- des moyens de gestion des moyens de mémorisation par blocs d'au moins une valeur, - des moyens de gestion pour déterminer, pour chaque bloc, si la/chaque valeur déjà mémorisée est égale à la valeur qui doit correspondre dans l'ensemble de valeurs à constituer, ces moyens étant opérationnels pour :
- dans l'affirmatif, maintenir le bloc en l'état, sans chargement de données, - dans le cas contraire, charger dans le bloc la/les valeurs qui doit/doivent correspondre, au moyens de la/les ligne(s) conductrice(s) selon le protocole préétabli, en utilisant les lignes conductrices/ la ligne conductrice dans leur/sa première fonction.
L'ensemble de NB valeurs peut être constituée à un côté destination à partir de données émises d'un côté source, relié au côté destination via lesdites lignes conductrices/ ladite ligne conductrice, le dispositif pouvant comprendre :
- des moyens pour mémoriser, du côté source, le contenu des moyens de mémorisation se situant du côté destination, - des moyens pour comparer, du côté source, les valeurs du sous ensemble à constituer avec les valeurs correspondantes du contenu mémorisé du côté
source, - des moyens pour déterminer, sur la base de cette comparaison la/les valeur(s) du sous-ensemble reçu à transmettre au côté destination pour actualiser le contenu des moyens de mémorisation du côté destination.
Le dispositif peut comprendre des moyens, au côté source, pour signaler au côté destination l'identification du/des blocs, dont le contenu doit faire l'objet d'une mise à jour, par un seul message durant un premier cycle.
Dans un mode de réalisation, le nombre de lignes est au moins égal au nombre de blocs de mémorisation en quels sont décomposées les valeurs du sous-ensemble, et, du côté source, chaque bloc respectif peut être attribué à une ligne particulière selon un code de correspondance connu au niveau du côté source et du côté destination, et la désignation d'un bloc peut être signalée par un signal sur une ligne conductrice spécifiquement attribuée à ce bloc.
7 Le côté source peut comprendre des moyens pour transmettre, via les lignes conductrices /la ligne conductrice les/la valeur(s) destinée(s) à être chargée(s) dans chaque/le bloc identifié, afin d'actualiser ledit sous ensemble de valeurs, en utilisant un cycle de transmission de valeur(s) par bloc, selon un ordonnancement préétabli des cycles, par lequel le côté destination identifie le bloc destinataire de la valeur/des valeurs présente(s) sur les lignes conductrices/ la ligne conductrice en fonction du cycle.
Dans un mode de réalisation, le dispositif effectue une mise à jour de l'ensemble de NB valeurs accessibles en parallèle par les cycles successifs suivants - un premier cycle comprenant :
- l'identification par le côté source du/des bloc(s) comportant au moins une valeur à changer pour la mise à jour, et - le signalement au côté destination, durant un premier cycle de mise à jour, du/des bloc(s) comportant au moins une valeur à changer pour la mise à jour, au moyen des lignes conductrices parallèles / de la ligne conductrice, - suivi d'un cycle pour le ou chaque bloc identifié, comprenant :
- la transmission par le côté source de la valeur/l'ensemble des valeurs destinées au bloc, au moyen des lignes conductrices parallèles/ de la ligne conductrice, - au niveau du côté destination, le transfert et le chargement dans le bloc de mémorisation identifié, des valeurs transmises, et - suivi d'un cycle comprenant la transmission sur les lignes conductrices parallèles/la ligne conductrice des valeurs/de la/des valeur(s) complémentaire(s) au sous-ensemble, de sorte à constituer l'ensemble complet des NB valeurs accessibles en parallèle, les valeurs du sous-ensemble étant accessibles en parallèle en sortie des blocs de mémorisation du côté
destination, et les valeurs/la valeur complémentaire(s) au sous-ensemble étant présentée(s) directement sur les lignes conductrices respectives/la ligne conductrice.
Dans un mode de réalisation :
- le nombre de blocs de mémorisation est égal au nombre NL,LP de lignes conductrices parallèles, et - le nombre de lignes de mémorisation par bloc est égal au nombre NLLP de lignes conductrices parallèles.
Les NB valeurs peuvent être des éléments binaires qui constituent collectivement un nombre binaire de NB bits, dont ledit sous-ensemble de valeurs constitue les bits de poids fort du nombre binaire.
8 Le bus peut être un bus d'adresse parallèle d'une mémoire.
Selon un troisième aspect, l'invention concerne un bus destiné
spécifiquement au dispositif selon le deuxième aspect, caractérisé en ce qu'il comprend lesdites lignes conductrices /la ligne conductrice, pour transmettre, lors d'un premier mode fonctionnement, des valeurs destinées à être mémorisées côté
réception pour constituer ledit sous-ensemble de valeurs parallèles et, lors d'un deuxième mode de fonctionnement, pour fournir, directement sur ses lignes conductrices respectives/la ligne conductrice, lesdites valeurs complémentaires à ce sous-ensemble.
Le bus peut être un bus d'adresse, un bus d'adresse d'une mémoire.
Selon un quatrième aspect, l'invention concerne un circuit destiné à recevoir en parallèle l'ensemble des valeurs du dispositif selon le deuxième aspect, caractérisé
en ce qu'il comprend une première série d'entrées/première entrée reliée(s) pour recevoir les sorties respectives du sous-ensemble de valeurs et une deuxième série d'entrées/deuxième entrée reliée(s) aux lignes conductrices/à la ligne conductrice pour recevoir le complément audit sous-ensemble.
Le circuit peut être une mémoire, les première et deuxième séries/première et deuxième entrées étant des entrées d'adresse.
L'invention et les avantages qui en découlent seront mieux compris à la lumière de la description des modes de réalisation préférés qui suit, donnée purement à titre indicatif et norr limitatif, par référence aux dessins annexés, dans lesquels :
- la figure 1 est un schéma de principe d'un mode de réalisation appliqué à
une mémoire, permettant de comprendre les principes mis en oeuvre conformément à
l'invention, - les figures 2a et 2b sont des organigrammes des étapes du déroulement du processus de gestion des adresses de la mémoire dans le cadre du mode de réalisation de la figure 1, la figure 2b étant plus particulièrement une routine exécutée à la suite de l'organigramme de la figure 2a lorsqu'il y a une évolution des bits de poids fort de l'adresse, - la figure 3 est un exemple d'une première possibilité de mise en oeuvre du mode de réalisation de la figure 1, pour ce qui concerne les moyens de gestion du côté de la mémoire (côté serveur), où ces moyens sont matériellement intégrés au composant contenant la mémoire, et - la figure 4 est un exemple d'une deuxième possibilité de mise en oeuvre du mode de réalisation de la figure 1, pour ce qui concerne les moyens de gestion du côté de la mémoire (côté serveur), où ces moyens sont matériellement dissociés du composant contenant la mémoire.
9 Ainsi que le montre la figure 1, le mode de réalisation de l'invention est basée sur une application 1 qui utilise un plan mémoire 2, comprenant un réseau de cellules mémoire et un décodeur d'adresses. Les adresses sont transmises par un dispositif client (générateur d'adresses) 4, qui peut être une unité centrale (CPU), un dispositif d'accès direct à la mémoire (connu par l'acronyme anglais DMA pour "direct memory access"), ou autre. Dans l'exemple, le décodeur d'adresses du plan mémoire 2 présente 20 entrées parallèles d'adresse A0 à A19, permettant de sélectionner 220 adresses différentes, où A0 est le bit le plus faible et A19 est le bit le plus fort. Le plan mémoire 2 est réceptif à une adresse lorsque son entrée de validation OE est actif (0E=1). Les adresses évoluent sur des cycles d'une horloge cp de cadencement.
Les données vers et du plan mémoire transitent par un bus de données BD à
part.
Conformément à l'invention, les valeurs des adresses A0 à A19 sont fournies depuis le dispositif générateur d'adresses 4 par un bus adresse 6 qui comporte un nombre de lignes d'adresse - en l'occurrence quatre - inférieur au nombre de bits d'adresse, d'où sa désignation de "bus adresse réduit". Chaque ligne est constituée par un conducteur électrique respectif de signal binaire, physiquement réalisé par des techniques classiques de métallisation. La longueur du bus 6 est arbitraire, dépendant de la séparation entre dispositif client 4 et le plan mémoire 2, lesquels peuvent être relativement éloignés.
Le signal de validation OE est fDurni au plan mémoire à partir du dispositif client 4 sur une ligne à part 8.
Dans ce qui suit, on désigne "côté client" l'extrémité du bus adresse réduit 6 située au niveau du dispositif client 4, et "côté serveur" l'extrémité opposée de ce bus adresse située au niveau du plan mémoire 2. (Le générateur d'adresses est considéré
comme "client" en ce sens qu'il demande l'accès à la mémoire aux adresses qu'il lui fournit ; la mémoire est considérée comme un serveur, en ce sens qu'elle émet les données stockées aux adresses qui lui sont transmises (en mode lecture), et (en mode inscription, dans le cas d'une mémoire inscriptible) réceptionne des données aux adresses qui lui sont transmises.) Les quatre conducteurs électriques 6-1 à 6-4 du bus d'adresse réduit ont une double fonction :
i) en mode évolution bits poids faible seulement : servir de lignes parallèles respectives des quatre bits de poids les plus faibles, les lignes 6-1 à 6-4 étant câblées respectivement aux connexions des bits d'adresse A0 à A3 du plan mémoire ; et ii) en mode évolution bits poids fort : véhiculer des signaux logiques permettant de faire évoluer les valeurs des adresses A4 à A19 de poids fort ("poids fort" relativement aux adresses A0-A3) aux entrées parallèles respectives du plan mémoire.
5 En raison de leur double fonction, les lignes 6-1 à 6-4 sont désignées également par le terme "ligne(s) polyvalente(s)".
Pour assurer la fonction en mode évolution poids fort, les lignes 6-1 à 6-4 sont en outre connectées, au côté serveur, à une entrée l0a sur quatre plots d'une unité logique 10 de séquencement et de routage, programmée en logique câblée.
10 Cette unité, désignée dans ce qui suit "unité logique serveur", constitue une machine d'états qui permet de produire les valeurs des bits d'adresse A4 à A19 et de les fournir au plan mémoire 2 via quatre registres 12-1 à 12-4, désignés globalement par le terme "registres serveurs" 12. Les états successifs de l'unité logique serveur évoluent sur des cycles d'une entrée d'horloge cp qui est synchronisée avec les phases de l'application 1.
Chaque registre serveur gère un bloc de quatre lignes parallèles d'adresse selon l'attribution suivante : registre 12-1 : lignes A4 à A7, registre 12-2 :
lignes A8 à
All, registre 12-3 : lignes A12 à A15, et registre 12-4 : lignes A16 à A19. A
cette fin, chaque registre comporte quatre lignes parallèles de mémorisation, chacune d'un élément binaire. Chaque ligne de mémorisation a une entrée de donnée reliée à
une sortie respective de l'unité logique serveur 10 et une sortie qui verrouille cette donnée, reliée à la ligne d'adresse correspondante du plan mémoire 2. Un registre est actif pour verrouiller les quatre états logiques présentés sur l'ensemble de ses quatre lignes d'entrée lorsque son entrée de positionnement (désigné SR-1 à SR-4 respectivement pour les registres 12-1 à 12-4) est à l'état logique 1. (Cette entrée est aussi connue par entrée "set" en terminologie anglo-saxonne.) Ces entrées de positionnement - SR4 sont pilotées individuellement par l'unité logique serveur 10, sur des sorties respectives de celle-ci. Lorsque l'entrée de positionnement est à l'état logique 0 pour un registre, les quatre sorties de ce dernier sont maintenues bloquées à
l'état mémorisé à la dernière mise à jour, quel q soit le contenu binaire présenté
ultérieurement en entrée des quatre lignes de mémorisation.
Les valeurs d'adresse poids fort sont programmées dans les registres serveur 12 durant un mode de fonctionnement désigné "mode évolution bits poids fort".
Ces valeurs d'adresse sont alors obtenues en fonction de motifs de bits présentés à l'entrée l0a depuis les lignes conductrices polyvalentes 6-1 à 6-4 durant des cycles successifs de l'horloge cp de cadencement, selon les règles suivantes qui régissent les cycles de programmation des registres 12 :
11 1.1) Mise en mode évolution bits poids fort. Ce mode est signalé à l'unité
logique client 10 par un signal logique MPF (MPF=1) sur une ligne associée au bus 6.
En variante, le mode évolution bits poids fort peut être signalé uniquement par le positionnement du signal OE à 0E=0, si cela n'interfère pas avec d'autres mémoires reliées à la ligne 8 qui véhicule ce signal ;
1.2) Cycle initial de sélection de registre(s). Chaque ligne polyvalente 6-1 à
6-4 du bus désigne l'un des registres selon l'attribution suivante : registre
12-1 : ligne 6-1, registre 12-2 : ligne 6-2, registre 12-3 : ligne 6-3, et registre 12-4 :
ligne 6-4.
1.2.1) Un état logique 1 sur une ligne polyvalente indique que le contenu du registre qui lui est attribué doit être mis à jour ; un état logique 0 sur cette ligne indique que le contenu du registre correspondant reste inchangé pour l'intégralité des quatre lignes de mémorisation de ce dernier. On note qu'un registre ou plusieurs, voire tous, peut/peuvent être désigné(s) ainsi pour une mise à jour. L'unité
logique serveur 10 analyse l'état logique sur chacune des lignes 6-1 à 6-4 à son entrée 10a, et identifie ainsi le, ou chaque, registre désigné pour une mise à jour de son contenu.
1.2.2.) Si plusieurs registres sont désignés, l'unité logique serveur 10 prévoit l'ordre dans lequel les registres doivent être mis à jour. Dans l'exemple, cet ordre obéit l'ordre de priorité suivant : registres 12-1, 12-2, 12-3 puis 12-4. La mise à jour s'effectue donc d'abord sur les registres ayant les bits les moins forts.
1.2.3.) A la fin du cycle initial supra, l'unité logique serveur 10 sélectionne le registre désigné à mettre à jour (cas d'un seul registre à
mettre à jour), ou le premier registre à mettre à jour (cas de plusieurs registres à mettre à
jour) selon l'ordre précité. Cette sélection s'opère par la mise à l'état logique 1 de l'entrée de positionnement ("set") du registre sélectionné, les autres entrées de positionnement étant mises à l'état logique 0.
1.3.) Cycle(s) de programmation d'un registre désigné. Ce cycle suit immédiatement le cycle de sélection de registres.
1.3.1) Les états logiques présents en parallèle sur les quatre lignes polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus deviennent alors les quatre valeurs logiques que l'unité
logique serveur 10 transfert depuis son entrée l0a aux quatre lignes d'entrée respectives du registre sélectionné, selon les attributions suivantes : ligne 6-1 : ligne d'entrée de poids le plus faible (du registre désigné), ligne 6-2 : ligne d'entrée du deuxième poids le plus faible, ligne 6-3 : ligne d'entrée du deuxième poids le plus fort, ligne 6-4 : ligne d'entrée du poids le plus fort. Ensuite, l'entrée de positionnement du registre sélectionné est remise à l'état 0 pour verrouiller les états logiques venant d'y être inscrits .

1.3.2.) Si plusieurs registres ont été sélectionnés au cycle de sélection de registre(s), le cycle de programmation est effectué selon la règle 1.3.1.) successivement pour chaque registre sélectionné.
A la fin du ou des cycle(s) de programmation de registre(s), l'ensemble des valeurs des lignes d'adresse A4 à A19 en sortie des registres 12-1 à 12-4 est à jour.
Le mode évolution bits poids forts est alors terminé et le signal MPF passe à
MPF=O.
Ensuite, les lignes polyvalentes 6-1 à 6-4 signalent, conformément au mode évolution bits poids faible seulement, les valeurs logiques actuelles des bits de poids faible A0 à A3. L'ensemble des bits d'adresse A0 à A19 est alors actualisé en entrée du plan mémoire 2.
On note que le processus du mode évolution bits poids fort utilise un nombre variable de cycles pour réaliser la mise à jour des bits de poids forts, ce nombre étant égale au nombre de registres concernés par la mise à jour, augmenté de un (pour le cycle de sélection). Il n'y a donc pas de cycles superflus comme cela pourrait être le cas dans une approche de ré- inscription systématique des données de tous les registres à chaque évolution d'état intervenant sur le motif des bits de poids fort.
En mode évolution bits poids forts, le séquencement et la sortie des données nécessaires sur les lignes parallèles polyvalentes Er 1 à 6-4, ainsi que des signaux MPF et OE précités, sont assurés par une unité logique client 14, dite de comparaison et de transfert. Cette unité, située du côté client du bus 6, constitue une machine d'états réalisée en logique câblée, à l'instar de l'unité serveur 10. Les états successifs de l'unité logique client 14 évoluent en synchronisme avec le signal d'horloge cp précité, appliqué à son entrée. L'unité client 14 reçoit en entrée directement toutes les lignes de sortie d'adresse de poids fort A4 à A19 du dispositif client 4.
A partir de ces données, elle produit en sortie :
- d'une part des signaux logiques destinés à un ensemble de quatre registres, dits registres client 16-1 à 16-4, chacun comportant un bloc de quatre lignes parallèles de mémorisation. Les 16 lignes de mémorisation au total mémorisent les valeurs, désignées MA4 à MA19, des adresses de poids fort (respectivement A4-A19) à la dernière mise à jour des adresses (ou de la première adresse exprimée au démarrage). Les quatre registres client 16-1 à 16-4 (désignés génériquement 16) sont analogues, et appariés, respectivement aux quatre registres serveur 12-1 à 12-4, et mémorisent les mêmes états logiques aux extrémités respectives du bus 6. Pour cette raison, les registres client 16-1 à 16-4 sont considérés comme les registres miroirs des registres serveur 12-1 à 12-4 respectifs. (Par souci de simplification du schéma de principe, les lignes d'accès aux registres client 16 sont représentées comme étant
13 bidirectionnelles, chaque ligne servant fonctionnellement à l'inscription d'une donnée et à la lecture de cette donnée.) ; et - d'autre part les signaux bgiques destinés à chacune des lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus d'adresse réduit, durant le mode évolution bits poids forts, et aussi les signaux logiques destinés aux lignes de signaux MPF et OE.
En outre, l'unité logique client 14 émet un signal HALT à destination du dispositif client 4. Ce signal est actif (HALT=1) en mode évolution bits poids forts pour inhiber la sortie de nouvelles adresses depuis dispositif client.
Pour produire ces signaux logiques destinés à chacune des lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus d'adresse réduit, l'unité logique client 14 comprend un ensemble de quatre connexions de sortie 14a, chaque connexion étant câblée à
une ligne parallèle polyvalente respective. Ces sorties 14a peuvent forcer un état logique sur les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 durant le mode évolution bits poids fort. En effet, dans ce mode, lorsque HALT=1, les connexions des sorties A0 à

du dispositif client 4 sont orientées sur des états de haute impédance, grâce à un multiplexeur (non représenté).
Par contre, les sorties 14a de l'unité logique client se positionnent à un état de haute impédance en mode évolution bits poids faible seulement (HALT=O), afin de ne pas influencer les états logiques des bits d'adresse qui sont alors normalement produits aux sorties A0 à A3 du dispositif client d'adresses 4. De la sorte, en mode évolution bits poids faible seulement, le dispositif client d'adresses 4 peut émettre directement sur les ligne parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 les signaux d'adresse A0-A3 aux entrées correspondante A0-A3 du plan mémoire 2, sans perturbation par les sorties 14a de l'unité logique client 14.
Le fonctionnement de l'unité logique client 14 est basé sur les règles suivantes :
2.1) Instauration du mode évolution bits poids fort. Ce mode est instauré si, lors d'un nouveau cycle d'adresse commandé par le dispositif client 4, au moins une ligne de poids fort A4-A19 en sortie de ce dernier change de valeur logique par rapport à celle du cycle d'adresse précédant. Les registres client 16 servent à détecter un tel changement, par comparaison entre la valeur MAi stockée et la valeur de la nouvelle adresse Ai en sortie du dispositif client 4, pour i=4 à i=19. Les valeurs des signaux A4 à A19 lues directement en sortie du dispositif client 4 pour réaliser cette comparaison sont verrouillées sur les entrées de l'unité logique client 14. De la sorte, celle-ci peut ensuite inhiber les sorties d'adresses de l'unité client 4, en émettant le signal HALT=1, sans perdre les valeurs A4 à A19 de la nouvelle adresse. Ces
14 nouvelles valeurs peuvent alors être utilisées durant les cycles ultérieurs de mise à
jour.
2.1.1.) Si un changement est ainsi détecté, l'unité logique client 14 instaure le mode évolution bits poids fort en inscrivant les états logiques :
MPF=1, 0E=0. Ces états sont maintenus pendant toute la durée du mode évolution bits poids fort. Dans le cas contraire, l'unité logique client maintient, ou instaure, le mode évolution bits poids faible seulement en maintenant ou en inscrivant les états logiques MPF=O, 0E=1.
2.2) Déroulement du mode évolution bits poids fort. Une fois que le mode évolution bits poids fort est instauré, l'unité logique client 14 produit sur les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus l'état/les états logique(s) de sélection du/des registre(s) serveur à mettre à jour, conformément au protocole de désignation précisée par les règles 1.2.1. et 1.2.2. supra. Cette inscription est effectuée durant le cycle d'adresse auquel se produit le changement dans les valeurs d'adresses parmi les lignes de poids fort A4-A19.
2.2.1.) Au cycle d'horloge suivant, l'unité logique client 14 produit sur les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus les valeurs binaires qui doivent être transférées pour la mise à jour du registre serveur 12-j (1<_j<_4) sélectionné
par l'unité
logique serveur 10. Pour ce faire, l'unité logique client 14 utilise la règle 1.3.1.) supra de correspondance entre les lignes et les entrées de registre pour respecter l'ordonnancement des données du côté client et du côté serveur.
2.2.2.) En parallèle, l'unité logique client 14 inscrit, dans celui 16-j des registres client qui est le miroir du registre serveur 12-j sélectionné selon la règle 2.2.1.) supra, les mêmes valeurs binaires que celles qui viennent d'être transférées vers ce registre serveur sélectionné 12-j. De la sorte, le registre serveur sélectionné
12-j et le registre client 16-j qui lui est son miroir ont les mêmes valeurs mises à jour pour les lignes d'adresse de poids fort qui leur sont attribuées.
2.2.3.) Si la mise à jour parmi les bits adresse de poids fort A4-A19 concerne plusieurs registres, l'unité logique 14 répète au cycle transfert et de mise à
jour du registre client 16-j correspondant, en répétant le processus décrit dans le cadre des règle 2.2.1.) et 2.2.2.) supra.
Les données ayant été inscrites sur les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à
6-4 sont lues par l'unité logique serveur 10 pour la mise à jour des registres serveur 12, comme expliqué surpra, dans l'ordre de mise à jour précisé. Cette règle 2.2.3.) est répétée autant de fois que nécessaire jusqu'à ce que tous les registres (client et, par conséquent, serveur) nécessitant une mise à jour soient traités.

2.2.4.) A l'issu du processus de la règle 2.2.3.) supra, l'unité logique client 14 bascule du mode évolution bits poids forts au mode évolution bits poids faible seulement, en inscrivant les états logiques MPF=O, 0E=1 et HALT=O. A la transition du signal HALT de 1 à 0, le dispositif client d'adresses 4 reproduit aussitôt 5 sur ses sorties d'adresse A0 à A19 les valeurs présentes juste avant l'inhibition. On retrouve alors les valeurs actuelles des adresses de poids faible A0 à A3 sur les lignes polyvalentes respectives 6-1 à 6-4 du bus, celles-ci remplissant alors le rôle de lignes parallèles d'adresse A0 à A3 de poids faible pour le plan mémoire 2. Les sorties 14a de l'unité logique client 14 n'émettent alors pas de signal et présentent une haute 10 impédance.
On remarque que si M est le nombre de registres nécessitant une mise à jour (1 <_ M<_ 4), le nombre de cycles occupé par le mode évolution bits poids forts est M+1. A l'issu de ce mode, les registres serveur 12 présentent les valeurs A4-A19 à
jour aux connexions d'entrée d'adresse correspondantes du plan mémoire 2, et de
15 même les lignes polyvalentes 6-1 à 6-4 présentent les valeurs A0 à A3 actuelles aux connexions d'entrée adresse correspondantes du plan mémoire.
Tant qu'une nouvelle adresse produite par le dispositif client 4 n'implique pas de changement de valeurs des bits adresse de poids fort A4-A19, les registres serveur 12 continueront à présenter les bonnes valeurs aux entrées adresse A4-du plan mémoire 2. Les différences d'adresse ne sont alors exprimées que par les bits de poids faible A0-A3, dont les évolutions sont communiquées simultanément et directement par les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus d'adresse réduite.
Les figures 2a et 2b sont des organigrammes qui illustrent les processus décrits supra, et qui permettent notamment de suivre les étapes exécutées du côté
client et du côté serveur, respectivement aux moitiés gauche et droite des organigrammes. Les étapes qui figurent dans ces organigrammes, étant en grande partie basées sur les explications présentées supra, ne sont décrites que brièvement.
L'organigramme de la figure 2a montre les étapes permettant de décider de la mise en mode évolution bits poids fort. Dans l'exemple, si l'adresse produite par le dispositif client 4 est la première depuis son démarrage (déterminé à l'étape E2), il est prévu de procéder de facto en mode évolution bits poids fort (routine R1).
En variante, l'obligation de passer en mode évolution bits poids fort pour le cas d'une première adresse après démarrage peut être levée, notamment s'il est estimé
qu'il est relativement probable que cette première adresse n'implique pas une reprogrammation des registres serveurs ; on peut alors éviter à ce moment le retard imposé par la routine. Suivant cette variante, le processus commence directement à
l'étape E4.
16 L'étape suivante (ou la première étape dans le cas de la variante supra) E4 comprend la comparaison des valeurs des bits Ai de poids forts A4-A19 de l'adresse courante (nouvelle adresse) indiquée par le dispositif client 4 avec les valeurs correspondantes MAi des registres client (miroirs) 16-1 à 16-4.
Si toutes les paires de valeurs Ai et MAi comparées sont identiques (cf.
étape E6), le mode évolution bits poids faible seulement est sélectionné ou maintenu.
En conséquence, l'unité logique client 14 positionne/maintient les valeurs des signaux MPF=O ; 0E=1 et HALT=O (étape E8), et se met en attente d'une nouvelle adresse (nouveau cycle d'adresse) du dispositif client (étape E10). Lorsqu'une nouvelle adresse apparaît, le processus retourne à l'étape E4 de comparaison.
Si au moins une paire de valeurs Ai et MAi comparée n'est pas identique (cf.
étape E6), le mode évolution bits poids fort est sélectionné ou maintenu. En conséquence, l'unité logique client positionne/maintient les valeurs des MPF=1 ;
0E=0 et HALT=1 (étape E12), et procède à la routine Rl du mode évolution bits poids fort.
En parallèle, l'unité logique serveur 10 surveille l'état du signal MPF (étape E14). Si elle détecte que MPF=O à la suite de l'étape E8 (par exemple en n'interrogeant la ligne porteuse de ce signal qu'après un laps permettant à
l'unité
logique client d'avoir exécuté cette étape E8 ou, le cas échéant l'étape E12), elle reste ou bascule en mode évolution bits poids faible seulement (étape E16).
Conformément à ce mode, une adresse du plan mémoire 2 est déterminée à partir des bits adresse de poids fort A4 à A19 en sortie des registres serveur 12-1 à 12-4 et des bits adresse de poids faible A0 à A3 sur les lignes parallèles polyvalentes respectives 6-1 à 6-4 du bus adresse réduit 6 (étape E18). Tous les bits adresse A0 à A19 sont alors lus en parallèle par le plan mémoire 2, et au cycle d'apparition de l'adresse actuelle, comme dans un fonctionnement classique.
Si l'unité logique serveur 10 détecte à l'étape E14 que MPF=1, elle procède à la routine Rl précitée.
La routine R1 du mode évolution bits poids fort, présentée à la figure 2b, débute par l'identification, au niveau de l'unité logique client 14, du/des registre(s) miroir(s) (désigné(s)16-x) qui stocke(nt) au moins une valeur MAi#Ai, où i=4 à
19 et Ai est le bit d'adresse de la nouvelle adresse (étape E20), cette/ces inégalité(s) ayant été détectée(s) et enregistrée(s) lors de l'étape de comparaison E4.
Pour le/chaque registre miroir 16-x identifié à l'étape E20, l'unité logique client 14 inscrit une valeur logique 1 sur la ligne parallèle polyvalente 6-x qui correspond à ce registre (1 <_ x<_ 4) (étape E22).
17 Ensuite, l'unité logique serveur 10 lit ces valeurs des lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus 6 (étape E24) et, à partir de ces informations, enregistre l'identification/les identifications du/des registre(s) serveur à
mettre à jour (étape E26).
Elle sélectionne ensuite le registre identifié (cas d'un seul registre serveur identifié), ou le premier registre serveur à mettre à jour (étape S28). Le registre à
mettre à jour à cette étape, sélectionné conformément à la règle 1.2.2. supra, porte la désignation 12-j (1 <_ j<_ 4). Cette sélection s'opère par les entrées de positionnement SR des registres, en positionnant celle SRj du registre sélectionné à 1, et tous les autres SRk (où k#j) à 0.
Ensuite, au cycle suivant, l'unité logique client 14 inscrit sur les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus les quatre valeurs des quatre bits respectifs d'adresse attribuées au registre serveur 12-j (étape E30).
En réponse, l'unité logique serveur 10 lit et inscrit les valeurs des lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 sur les quatre entrées de mémorisation respectives du registre 12-j (étape E32). En même temps, l'unité logique client 14 inscrit dans son registre miroir 16-j, apparié au registre serveur 12-j, les mêmes valeurs d'adresse que celles venant d'être inscrites dans le registre serveur 12-j (étape S34).
On note que cette étape d'inscription E34 peut être réalisée à tout moment, jusqu'à la prochaine étape de comparaison E4. L'unité logique client 14 peut aussi inscrire d'emblée toutes les données de mise à jour de l'ensemble de ses registres miroir 16-1 à 16-4 en une seule suite d'opérations, les données à inscrire étant identifiables et accessibles à partir des entrées de la logique client 14 qui reçoivent et verrouillent automatiquement les bits d'adresse A4 à A19 en sortie du dispositif client 4.
S'il y a un prochain registre serveur à mettre à jour (étape d'interrogation E36), ce prochain registre reprend la désignation 12-j, et de même son registre miroir côté client reprend la désignation 16-j (étape E38), et le processus est réitéré en ce qui concerne les étapes E28 à E38. Cette réitération est reprise si nécessaire jusqu'à
ce que tous les contenus des registres serveur et miroir soient à jour vis-à-vis des valeurs actuelles d'adresse de poids fort A4 à A19 du dispositif client 4.
A la fin de cette routine R1 du mode évolution bits poids fort, les unités logiques serveur 10 et client 12 se repositionnent automatiquement en mode évolution bits poids faibles seulement. A cette fin, l'unité logique client 14 positionne les valeurs MPF=O ; 0E=1 (réactivation du plan mémoire 2) ; HALT= 0 (réactivation de sorties d'adresses suivantes du dispositif client 4) (étape E40).
L'unité logique serveur 10 peut alors laisser le plan mémoire lire les bits adresse de poids fort A4 à A19 depuis les registres serveurs 12-1 à 12-4, et les bits adresse de
18 poids faible A0 à A3 depuis les lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 du bus adresse réduit 6.
Ensuite, le processus retourne à l'étape E4 de comparaison.
On note que les étapes E2 à E8, du côté client, de détermination d'une éventuelle évolution dans les bits de poids fort d'une adresse actuelle présentée et de positionner/maintenir le mode évolution bits poids faible seulement, s'opèrent suffisamment en avance de l'arrivée de l'adresse suivante (étape E10) pour assurer un cadencement normale des cycles d'adresse du plan mémoire lorsque l'on reste dans le mode évolution bits poids faible seulement.
La figure 3 illustre un dispositif à mémoire 18 qui intègre physiquement l'ensemble des moyens matériels côté serveur du mode de réalisation de la figure 1, à
savoir l'unité logique serveur 10 et les registres serveur 12. (Ces parties 10 et 12 sont présentées dans un bloc commun 20.) Dans cet exemple, l'ensemble du dispositif à mémoire 18 est intégré dans une même puce 22. Les connexions externes à cette puce nécessaires à l'adresse du réseau de cellules 24 du plan mémoire 24 se limitent aux lignes parallèles polyvalentes du bus d'adresse réduit 6. Celles-ci étant au nombre de quatre (lignes 6-1 à 6-4) dans l'exemple considéré, seuls quatre plots 26 de connexion sur la puce 22 sont donc nécessaires pour produire 20 lignes parallèles d'adresse A0 à A19 au niveau du décodeur d'adresses 28 de la mémoire. Les connexions des lignes parallèles d'adresse A4 à A19 sont réalisées en inter entre les sorties respectives des registres serveur 12 du bloc 20 et le décodeur d'adresses 28. La connexion externe de la ligne de signal MPF est reliée directement au bloc 20. Comme mentionné supra, cette ligne peut être omise si la ligne du signal OE est spécifique à
la mémoire adressée. Dans ce cas, on peut signaler l'interruption de l'adresse et en même temps l'instauration du mode évolution bits poids fort uniquement par ce signal OE. La figure 3 serait alors modifié par la suppression de la ligne de signal MPF, et par une connexion supplémentaire de la ligne OE sur l'entrée MPF, éventuellement avec une inversion logique selon la règle logique employée. On note que pour le cas de figure considéré, avec une gestion d'adresses sur 20 bits parallèles, on économise 15 ou 16 connexions externes, selon que l'on utilise ou pas la ligne dédiée de signal LPF (la ligne 8 de signal OE est généralement prévue dans une gestion classique de mémoire). Si la puce 22 est encapsulée dans un boîtier, le nombre de broches de connexion externes au boîtier serait réduit d'autant.
Pour des raisons de simplicité, la figure ne détaille pas les circuits 30 d'entrée/sorties des données en mémoire et le bus de données BD.
19 En variante, comme représenté par la figure 4, le bloc 20 comportant l'unité
logique serveur 10 et les registres 12 peut être physiquement extérieur au dispositif à
mémoire 22. Dans ce cas, il est prévu des plots de connexion supplémentaires 32 au niveau du dispositif à mémoire 18 pour recevoir les sorties des bits d'adresse de poids fort A4 à A19 en provenance du bloc 20. Toutefois, cette variante demeure intéressante du point vu du bus adresse 6 menant jusqu'au bloc 20, ce bus ayant un nombre réduit de lignes 6-1 à 6-1, tout comme dans le cas précédent.
L'invention permet une réduction très importante du nombre de connexions de lignes conductrices, et donc une diminution correspondante des perturbations électriques et électromagnétiques, ainsi que de la consommation d'énergie, dues à ces lignes. Par ailleurs, l'espace gagné par cette réduction est un atout majeur, notamment avec les nouvelles applications embarquées - et donc miniaturisées -fortes consommatrices en mémoire, comme les téléphones mobiles évolués offrant des services multimédias, etc.
Dans une application typique, le principe de la localité des adresses - selon lequel les adresses successives ont fréquemment des valeurs d'adresse également successives ou voisines - est très souvent suivie. Dans ce cas, des suites relativement longues d'adresses appelées n'impliquent que des emplacements d'adresse dans un même bloc, ou sous-group de blocs, de la mémoire. Les bits de poids fort ne servant généralement qu'à désigner un bloc particulier, ou un sous-group de blocs, il s'ensuit que la nécessité d'instaurer le mode évolution bits poids fort sera corrélativement peu fréquente par rapport au nombre d'adresses appelées.
Globalement, la vitesse moyenne d'exécution des adresses ne sera alors que peu affectée.
On comprendra que l'unité logique client 14 et/ou l'unité logique serveur 10 peut/peuvent être réalisée(s) selon différentes technologies. Dans l'exemple, ces deux unités sont en logique câblée. Leur construction est basée notamment sur des logiques de sélection, de commutation et de registres à décalage (par exemple pour analyser les états logiques à l'étape E24 supra), et peut être réalisée de diverses manière selon des techniques connues en elles-mêmes. Le nombre d'éléments logiques nécessaires pour les réaliser est faible comparativement au no mbre de transistors présents dans une mémoire typique. Il est donc relativement aisé
d'intégrer l'unité logique serveur 10 et ses registres 12 dans une puce mémoire sans pénalité significative en termes de surface occupée. En variante, l'une ou chacune des unités logiques serveur/client peut être réalisée à partir d'un processeur programmé pour exécuter les séquences de fonctionnement décrites.

L'exemple de la description, délibérément simple par souci de simplicité et de clarté, porte sur un cas de 20 bits d'adresses A0 à A19 gérées au niveau du plan mémoire, à partir de quatre lignes parallèles polyvalentes 6-1 à 6-4 en externe. Bien entendu, les enseignements permettent de gérer un nombre arbitraire de bits d'adresse 5 avec un nombre NLPP arbitraire de Ignes parallèles polyvalentes en externe.
Par ailleurs, le rapport entre le nombre NB de bits d'adresse gérés et le nombre de lignes parallèles polyvalentes est également arbitraire. En effet, l'organisation et la configuration des registres serveur sont libres, et permettent d'accommoder toutes valeurs de NLPP et NB (NLPP < NB) indépendamment l'une de l'autre. Dans le mode 10 de réalisation décrit, on arrive au nombre de bits gérés NB en prévoyant un nombre de registres serveurs 12 individuels égal au nombre NLPP de lignes parallèles polyvalentes, et en attribuant à chaque registre serveur ce même nombre NLPP
de lignes parallèles de mémorisation, d'où 1~= NLPP2+NLPP (soit le nombre de bits supplémentaires NLPP2 (=NsE) gérés par le mode évolution bits poids fort + le nombre 15 de bits gérés NL,PP par le mode évolution bits poids faible seulement). Sur cette même base, on peut donc gérer différentes valeurs de 1,~ suivant cette équation.
D'autres valeurs NB:4-NLPP2+NLPP sont possibles selon plusieurs approches, pouvant être prises séparément ou en combinaison :
- par utilisation de registres serveurs dont un ou certains gère(nt) un nombre
20 d'entrées parallèles inférieur à NLPP défini supra, - par utilisation de techniques combinatoires et/ou de multiplexage sur les lignes parallèles polyvalentes pour désigner un registre serveur à mettre à
jour. Par exemple, les valeurs binaires présentes sur l'ensemble des lignes parallèles peuvent correspondre à un mot/nombre binaire parmi 2 puissance NLPP mots/nombres possibles, chacun ou certains étant attribué(s) spécifiquement à un registre serveur particulier, - par utilisation de techniques combinatoires et/ou de multiplexage sur les lignes parallèles polyvalentes pour charger des valeurs de bits sur les lignes parallèles de mémorisation d'un registre serveur désigné, - etc.
Certaines de ces approches peuvent requérir un nombre de cycles plus important pour réaliser le mode évolution bits poids fort, mais permettent en contrepartie de d'utiliser un nombre plus restreint de lignes parallèles polyvalentes, ou de gérer un plus grand nombre de bits parallèles.
Bien entendu, la gestion des registres serveur et client, et le fonctionnement des unités logiques serveur et client seront adaptés de manière correspondante.
21 Par ailleurs, il est clair que le terme registre utilisé accommode, inter alia, tout bloc unitaire de mémorisation pouvant être sélectionné individuellement, et comportant plusieurs voies parallèles d'entrée et de sortie de données, voire même une seule voie d'entrée et de sortie de données. Matériellement, cette mémorisation et la décomposition en blocs unitaires peut se faire par différents moyens, par exemple avec un seul registre compartimenté de manière appropriée.
Dans l'ensemble de la description supra, la mémoire/le plan mémoire peut être de tout type et de toute technologie faisant appel à des entrées d'adresse parallèles : les mémoires semiconducteurs vives, connues par l'acronyme du RAM
(mémoire vive) : - DRAM (mémoire vive dynamique), SRAM (mémoire vive statique), MRAM (mémoire vive à effet magnétique), etc., les mémoires programmables ou pré-programmées (connues par l'acronyme ROM) :- EEPROM
(mémoire programmable électriquement), "Flash", ROM masque, etc.
La mémoire/le plan mémoire supra peut être réalisé sous forme de puce spécifique à la mémorisation, ou il peut faire partie intégrante d'un circuit comportant d'autres éléments fonctionnels, tel qu'un microcontrôleur, une interface, un ensemble de plan mémoires reliés, etc.
Par ailleurs, les principes de l'invention peuvent être utilisés en outre sur d'autres applications qu'un bus adresse. A titre indicatif, les enseignements peuvent être transposés mutatis mutandis à un bus de données, par exemple d'une mémoire.
Dans ce cas, le transfert de données, en entrée ou en sortie, peut s'opérer sur un nombre restreint de lignes parallèles, à l'instar des lignes polyvalentes 6-1 à Er 1, utilisées à la fois en mode évolution de bits de poids faible seulement et en mode évolution bits de poids fort. Cette mise en oeuvre avec des lignes de données peut être avantageuse dans des applications où les données lues ou inscrites sont statistiquement fréquemment cantonnées à une plage restreinte de valeurs, pouvant être exprimé par les mêmes lignes parallèles, bien que leur étendue possible dépasse cette plage.
L'invention peut aussi être mise en oeuvre dans d'autres applications que les mémoires semiconducteurs, par exemple dans les mémoires optiques, magnétiques, etc.
L'invention a également des applications ailleurs que dans les dispositifs destinés à la mémorisation de données, pouvant servir par exemple dans le pilotage des lignes de commutation (la sélection de lignes s'effectuant par de bits d'adresse, par exemple), dans des dispositif d'affichage matriciels, etc.
22 PCT/FR2005/050301 Dans le cas d'une application avec des signaux optiques, chacune des lignes parallèles polyvalentes peut être une fibre optique individuelle, qui constitue alors une ligne conductrice de lumière.

Claims (20)

1. Procédé pour accéder à une cellule mémoire d'un plan mémoire (2) via une adresse mémoire, l'adresse mémoire comprenant un nombre N E d'un ensemble de valeurs (A0-A19) constituées sur N E lignes conductrices parallèles d'un générateur d'adresses (4) au moyen d'un bus d'adresse réduit (6) comprenant un nombre N LPP de lignes conductrices (6-1, 6-2 ; 6-3 ; 6-4), où NLPP est supérieur à 1 et inférieur à N E, le procédé comprenant:
- l'association de chacun des N E bits à l'un d'une pluralité de sous-ensembles de valeurs (A0 - A3, A4 - A7, A8 - A12, A13 - A15, A16 - A19), de telle sorte que chaque sous-ensemble de valeurs est associé à un nombre de bits de l'adresse mémoire qui est entre 1 et N LPP, - la transmission sur au moins l'une des lignes conductrices (6-1, 6-2 ; 6-3 ; 6-4) d'un signal logique indiquant la transmission du premier sous-ensemble (A4-A7) de l'adresse mémoire, - la transmission du premier sous-ensemble de valeurs (A4-A7) en parallèle sur les lignes conductrices â l'un d'une pluralité de moyens de mémorisation intermédiaires (12), chacun configuré pour mémoriser une partie des N E bits (A0-A19) correspondant à
l'un des sous-ensembles de valeurs, et - la fourniture au plan mémoire (2) d'au moins une partie des N E bits (A0-A19) de l'adresse mémoire via un ensemble de connexions parallèles entre la pluralité de moyens de mémorisation intermédiaires (12) et le plan mémoire (2).
2. Procédé selon la revendication 1, comprenant en outre la transmission sur les lignes conductrices (6-1, 6-2 ; 6-3 ; 6-4) d'un deuxième sous-ensemble (A0-A3) des bits (A0-A19) de l'adresse mémoire, par présentation directe du deuxième sous-ensemble de valeurs (A0-A3) sur les lignes conductrices respectives (6-1-6-4) au plan mémoire (2).
3. Procédé selon la revendication 2, dans lequel le deuxième sous-ensemble de valeurs (A0-A3) de l'adresse mémoire comprend les bits de plus faibles poids de l'adresse mémoire.
4. Procédé selon l'une quelconque des la revendications 1 à 3, caractérisé en ce qu'il comprend les étapes suivantes :
- charger ledit premier sous-ensemble de valeurs (A4-A19) dans des moyens de mémorisation (12) selon un protocole préétabli, en utilisant les lignes conductrices (6-1-6-4), - présenter directement le deuxième sous-ensemble de valeur(s) en utilisant des/les lignes conductrices respectives (6-1-6-4).
5. Procédé selon la revendication 4, caractérisé en ce qu'il comprend une gestion des moyens de mémorisation (12) par blocs (12-1-12-4) d'au moins une valeur, et comprend en outre les étapes de :
- déterminer, pour chaque bloc, si la/chaque valeur déjà
mémorisée (Ai) est égale à la valeur qui doit correspondre dans l'ensemble de valeurs à constituer, - dans l'affirmatif, maintenir le bloc en l'état, sans chargement de données, - dans le cas contraire, charger dans le bloc la/les valeurs qui doit/doivent correspondre, au moyens de la/les ligne(s) conductrice(s) (6-1-6-4) selon le protocole préétabli, en utilisant les lignes conductrices (6-1-6-1).
6. Procédé selon l'une quelconque des revendications 4 à 5, où ledit ensemble de NB valeurs est constituée à un côté destination (10, 12) à partir de données émises d'un côté source (4, 14), relié au côté destination via lesdites lignes conductrices (6-1-6-4)/ladite ligne conductrice, caractérisé en ce qu'il comprend les étapes de:

- mémoriser (16), du côté source, le contenu des moyens de mémorisation (12) se situant du côté destination, - comparer, du côté source, les valeurs (A4-A19) du premier sous-ensemble à constituer avec les valeurs correspondantes (MA4-MA19) du contenu mémorisé du côté
source, - déterminer sur la base de cette comparaison la/les valeur(s) du premier sous-ensemble reçu à transmettre au côté destination pour actualiser le Contenu (A4-A19) des moyens de mémorisation (12) du côté destination.
7. Procédé selon la revendication 6, caractérisé en ce que le côté source (4, 14) signale au côté destination (10, 12) l'identification du/des blocs, dont le contenu doit faire l'objet d'une mise à jour, par un seul message durant un premier cycle, en ce que le nombre de lignes (6-1-6-4) est au moins égal au nombre de blocs de mémorisation (12-1-12-4) en lesquels sont décomposées les valeurs (A4-A19) du premier sous-ensemble, et en ce que, du côté source (4, 14), chaque bloc respectif est attribué à une ligne particulière selon un code de correspondance connu au niveau du côté source et du côté
destination, et en ce que ladite désignation d'un bloc est signalée par un signal sur une ligne conductrice spécifiquement attribuée à ce bloc.
8. Procédé selon la revendication 7, caractérisé en ce que le côté source transmet via les lignes conductrices (6-1-6-4)/la ligne conductrice les/la valeur(s) destinée(s) à être chargée(s) dans chaque/le bloc identifié (12-i), afin d'actualiser ledit premier sous ensemble de valeurs (A4-A19), en utilisant un cycle de transmission de valeur(s) par bloc, selon un ordonnancement préétabli des cycles, par lequel le côté
destination identifie le bloc destinataire de la valeur/des valeurs présente(s) sur les lignes conductrices/la ligne conductrice en fonction du cycle.
9. Procédé selon l'une quelconque des revendications 5 à 8, caractérisé en ce qu'une mise à jour de l'ensemble de NB valeurs (A0-A19) accessibles en parallèle est effectuée par les cycles successifs suivants:
- un premier cycle comprenant:
- l'identification par le côté source (14, 16) du/des bloc(s) (12-1-12-4) comportant au moins une valeur à
changer pour la mise à jour, et - le signalement au côté destination (10, 12), durant un premier cycle de mise à jour, du/des bloc(s) (12-1-12-4) comportant au moins une valeur à changer pour la mise à
jour, au moyen des lignes conductrices parallèles (6-1-6-4)/ de la ligne conductrice, - suivi d'un cycle pour le ou chaque bloc identifié, comprenant :
- la transmission par le côté source de la valeur/l'ensemble des valeurs destinées au bloc, au moyen des lignes conductrices parallèles (6-1-6-4)/de la ligne conductrice, - au niveau du côté destination, le transfert et le chargement dans le bloc de mémorisation identifié, des valeurs transmises, et - suivi d'un cycle comprenant la transmission sur les lignes conductrices parallèles (6-1-6-4)/la ligne conductrice des valeurs (A0-A3)/de la/des valeur(s) complémentaire(s) au sous-ensemble, de sorte â constituer l'ensemble complet des NE valeurs (A0-A19) accessibles en parallèle, les valeurs du sous-ensemble étant accessibles en parallèle en sortie des blocs de mémorisation (12) du coté destination, et les valeurs/la valeur complémentaire(s) au sous-ensemble étant présentée(s) directement sur les lignes conductrices respectives/la ligne conductrice.
10. Procédé selon l'une quelconque des revendications 5 â 9, caractérisé en ce que :
- le nombre de blocs de mémorisation (12-1-12-4) est égal au nombre NLLP de lignes conductrices parallèles (6-1-6-4), et - le nombre de lignes de mémorisation par bloc est égal au nombre NLLP de lignes conductrices parallèles (6-1-6-4).
11. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 â 10, caractérisé- en ce que lesdites NB valeurs (A0-A19) sont des éléments binaires qui constituent collectivement un nombre binaire de NB bits, et en ce que lesdits sous-ensembles de valeurs (A4-A19) constituent les bits les plus significatifs du nombre binaire.
12. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 â 11, caractérisé en ce que lesdites valeurs (A0-A19) de l'ensemble sont utilisées en tant qu'adresse d'une mémoire parallèle (2 ; 22).
13. Procédé selon l'une quelconque des revendications 11 ou 12, caractérisé en ce que lesdites lignes conductrices (6-1-6-4) constituent l'intégralité des lignes parallèles d'un bus d'adresse (6) pour transmettre le nombre binaire de NB bits.
14. Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel les lignes conductrices (6-1-6-4) sont accouplées à la mémoire (2) de sorte que chaque valeur du deuxième sous-ensemble de valeurs (A0-A3) de l'adresse mémoire est transmise sur une ligne respective des lignes conductrices (6-1-6-4) â la mémoire (2) en parallèle.
15. Procédé selon la revendication 14, dans lequel les lignes conductrices sont également accouplées à
une unité logique (10) qui reçoit les signaux logiques sur les lignes conductrices (6-1-6-4) et détermine au moins l'un des sous-ensembles de valeurs (A4-A19) de l'adresse mémoire en utilisant les signaux logiques reçus et transmet le au moins un sous-ensemble de valeurs déterminé (A4-A19) à la mémoire (2) via une pluralité de blocs de mémorisation (12-1-12-4)
16. Procédé selon la revendication 15, dans lequel chacun de la pluralité de blocs de mémorisation (12-1-12-4) est accouplé à la mémoire (2) via une pluralité de lignes parallèles de sorte que l'intégralité de l'ensemble de valeurs (A0-A19) de l'adresse mémoire sont transmises à la mémoire (2) sur des connexions parallèles individuelles.
17. Procédé selon la revendication 16, dans lequel la pluralité de blocs de mémorisation (12-1-12-4) est constituée de quatre blocs de mémorisation (12-1-12-4) et chacun des quatre blocs de mémorisation (12-1-12-4) gère un bloc respectif de quatre lignes parallèles qui y sont accouplées de sorte que chaque bloc de mémorisation (12-1-12-4) transmet à la mémoire (2) quatre valeurs complémentaires consécutives des sous-ensembles de valeurs (A4-A19).
18. Procédé selon la revendication 17, dans lequel chaque bloc de memorisation (12-1-12-4) est accouplé à
l'unité logique (10) via quatre lignes parallèles de sorte que l'unité logique (10) stocke quatre valeurs des sous-ensembles de valeurs déterminés (A4-A19) dans chacun des quatre blocs de mémorisation (12-1-12-4) via les lignes parallèles accouplées entre eux.
19. Procédé selon la revendication 18, comprenant en outre :
la détermination, par l'unité logique (10), de nouvelles valeurs pour les sous-ensembles de valeurs (A4-A19) sur la base de nouveaux signaux logiques reçus sur les lignes conductrices pour éventuellement remplacer les anciennes valeurs des sous-ensembles de valeurs (A4-A19) actuellement stockées dans les blocs de mémorisation (12-1-12-4) ;
la détermination pour chaque bloc respectif de quatre lignes parallèles accouplées entre chaque bloc de mémorisation (16-1-16-4) et l'unité logique (10) de l'égalité de l'ancienne valeur pour chaque valeur actuellement stockée en son sein (Ai) à la nouvelle valeur correspondante déterminée par l'unité logique (10) ; et si les anciennes valeurs sont égales aux nouvelles valeurs correspondantes pour l'un quelconque des blocs, le maintien de ces blocs sans charger les nouvelles valeurs.
20. Procédé selon la revendication 19, comprenant en outre, si les anciennes valeurs ne sont pas égales aux nouvelles valeurs correspondantes pour l'un quelconque des blocs, le chargement des nouvelles valeurs dans ces blocs.
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