CA2144191A1 - Pret-a-bruler - Google Patents

Abstract

Dans le but de compenser l'absence de connaissances dans le démarrage de feu pour la majorité de la population, nous avons conçu un "prêt-à-brûler" simplifié, accessible et dont l'efficacité tient du prodige. Celui-ci est un mélange de combustibles, savamment cordés, retenu ensemble adéquatement, dont l'une des trois versions proposées repose sur une base de démarrage de feu. Ce brevet améliore, notamment, le brevet américain no. 4621854, enregistré le 9 décembre 1986.

Description

21~~191

2.
MEMOIRE DESCRIPTIF
1) DOMAINE DE L'INVENTION
La présente invention se rapporte généralement au domaine du bois de chauffage, à sa préservation et à sa conservation, au domaine du "prêt-à-brûler", au traitement des combustibles en présence notamment pour stabiliser le pourcentage d'humidité, de la sève et des résines contenues dans le bois, à celui de la décoration, de la purification de l'air et au rangement des"prêts-à-brûler" en petits lots ou sur des palettes.

3.
2) DESCRIPTION DE L'ÉTAT ANTÉRIEUR DE LA TECHNIQUE
La façon conventionnelle de monter un feu de bois dans un foyer ou dans un poêle est de mettre à sa base du carton, du papier ou des brindilles, d'empiler adéquatement du bois sec finement fendu sur cette base de démarrage et ensuite de le recouvrir avec du plus gros bois en prenant soin de laisser suffisamment d'espace entre les morceaux pour que le feu respire et s'embrase facilement.
I1 va de soi que réussir le démarrage d'un feu à tout coup, pour la majorité des gens, tient du prodige. Des solutions pour faciliter son démarrage sont alors apparues. Nous avons vu naitre une panoplie de démarrages d'origines naturelles ou synthétiques et de bûches construites avec de la sciure de bois et des colles toxiques.
I1 est vrai que le consommateur jouit alors d'une flamme dans son espace de feu qui n'a rien à voir avec l'aspect esthétique d'un vrai feu avec son odeur, sa chaleur et les effets lumineux anticipés.
Dans le but de compenser cette lacune, nous avons mis au point notre prêt à brûler.

4.
En procédant aux recherches au bureau des brevets, nous nous sommes rendu compte qu'un brevet beaucoup plus limitatif que le nôtre, d'origine américaine No. 4627854, enregistré le 9 décembre 1986 existait. Nous l'avons comparé méticuleusement à notre invention et nous présentons dans ce brevet une série d'améliorations que nous revendiquons.

2i44i9i S.
3) SOMMAIRE DE L'INVENTION
Par rapport au brevet américain No. 4627854, les présentes améliorations se rapportent avantageusement à la simplification du procédé de fabrication et l'amélioration de l'efficacité.
Nous supprimons la bofte onéreuse à fabriquer et très polluante dans le foyer. Nous la remplaçons dans la version 1 par une base de démarrage mince, traitée et très efficace, voir presque magique, qui en plus de démarrer adéquatement le feu, sert à
retenir le bois en place.
Nous utilisons, de plus, une façon sûre, simple et efficace de placer le bois dessus la base pour stimuler la flamme. Nous faisons un savant mélange de plusieurs essences d'arbres et nous utilisons du bois sec et du bois qui contient beaucoup de sève. Nous retenons notamment le principe d'emballer les produits combustibles avec des matériaux qui ont des composantes élastiques et le savant traitement des combustibles en présence résulte en une série d'effets recherchés par les consommateurs avertis. Ceux-ci font que le feu démarre facilement, se consomme bien et dure des heures. De plus, ils désirent un montage esthétique, que la coloration, l'odeur dégagée et les effets lumineux soient modifiés ou accentués pour créer l'ambiance recherchée, ce que nous avons créé, sans qu'aucun inconvénient ou difficulté ne s'y rattache.

6.
L'idée créatrice de ce "prêt à brûler" fait en sorte que tous, des enfants aux femmes, aux personnes agées, aux personnes handicapées physiques ainsi qu'aux personnes sans aucun bagage de connaissances en feu, démarrent à tout coup, en toute sécurité
un feu et ce à un tarif raisonnable.

7.
4) BREF EXPOSE DES DESSINS
Les dessins Nos. 1, 2, 3 et 18 démontrent le montage généralement retenu pour la conception de "prêt-à-brûler".
Les dessins Nos. 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13 et 18 démontrent nos préférences de formes retenues pour le montage de nos "prêts-à-brûler".
Les dessins Nos. 14, 15, 16, 17 et 18 expliquent le type de rangement conçu pour le transport de nos produits ainsi que le principe d'attaches pour retenir en place nos produits, notamment sur des palettes, des bases ou des boites.

$.

5) DESCRIPTION D'UN MODE DE REALISATION DE L'INVENTION
Le présent brevet comporte dans notre version #1, générale-ment, une base de bois ou de dérivés de bois (figure I,#1), soit dans la présente illustration du carton mince de type alvéole recyclée qui contenait initialement des neufs lequel est généralement traité avec des produits qui modifient son temps de combustion, prolongent son temps de feu et améliorent la qualité de la combustion.
La base (figure 1, #1) est recouverte de bois sec et serai sec de démarrage (figure 1, #2), de bois de feu sec, servi sec ou vert, (figure 1, #3), et enfin, d'une ou de plusieurs bûches de bois sec, serai sec ou vert (figure 1, #5) qui sont maintenues en place soit avec des sangles, (figure 1, #4) et/ou des filets (figure 2, #6) et (figure 3, #6) et/ou avec des produits d'emballage.
Ceux-ci sont fabriqués avec des matériaux de tous types et de toutes provenances, qu'ils soient extensibles ou non. Ce "prêt à brûler", est ensuite, selon Ies besoins, généralement recouvert d'un sac qui provient de matériaux naturels ou de synthëse, ajouré et/ou imprimé ou non.

9.
Dans notre version numéro 2 (figure 3), nous notons l'absence de base de feu pour ne conserver qu'un ballot de composantes de bois sec et/ou semi-sec et/ou vert ou de ses dérivés, traités ou non, en totalité ou en partie. Les formes seront soit un triangle, (figure 3), plus ou moins aplati un cercle (figure 4), un ovale (figure 5), un carré (figure 6), un rectangle (figure 7), un trapèze (figure 8), un pentagone (figure 10), un hexagone (figure 11), un heptagone (figure 12), un octogone (figure 13) et /ou une union qui allie plusieurs de ces formes pour citer à titre d'exemple un triangle monté sur une base rectangulaire (figure 9). Nous retenons de plus, une façon différente (version #3) de ranger le bois ensemble (figure 18) soit des bûches fendues, placées dos à dos avec des espaces d'air entre les pointes comme des dents d'une scie.
Nous retenons différentes façons d'emballer plusieurs "prêts à brûler", notamment en les rangeant avec des principes de rétention novateurs (figures 14, 15 et 16), tel que sur des palettes et/ou des bases et/ou des boites.

10.
Les palettes et/ou les bases et/ou les boites seront fabriquées avec ou sans côtés, (figure 14, Nos 1 à 6), (figure 15, Nos 3 et 6), (figure 15, No 5) et (figure 17, No 2, a.b.c.), qu'elles soient montées avec des matériaux rigides ou souples, opaques, (figure 14, Nos 2 et 4) ou transparents (figure 14, No 2) et/ou ajourés, (figure 14, nos 3, 4, 5 et 6), et/ou en filets, (figure 14, Nos 2, 3, 4 et 6), et (figure 16, Nos 5) et/ou avec un système de pentures, (figure 15 No 8) et (figure 17 No 2, b et c).
Une autre version de mécanisme de rétention des poteaux perpendiculaires à la palette est l'utilisation de pièces de rétention de charpente, (figure 17, No 2, a,b,c), soit une plaquette obtenue avec un principe de poinçonnage où les pointes de métal sont dégagées perpendiculairement de la plaque pour l'encrage. Ces plaquettes seront utilisées comme équerres, (figure 17, No 2,a), la planche (figure 17, No.l) descendant plus has pour s'appuyer sur la palette ou penture, (figure 17, No 5) ou une plaque dont l'extrémité de la première (figure 17, No 3,a) sert de partie mâle à la partie femelle, (figure 3, b), dont l'une s'embou e dans l'autre pour agir comme système autobloquant avec ou sans sangle de rétention (figure 15, No 5).

Claims (25)

1. La simplification du procédé original par:
a) l'utilisation d'une base de feu de démarrage, traitée ou non, qui retient ensemble les matériaux combustibles b) l'utilisation d'attaches et/ou de filets et/ou de sacs entre-autres mais non exclusivement peur les maintenir en place, soit pour l'esthétique, l'aspect promotionnel désiré et l'attirance commerciale.

2. Les formes allongées, en figure de triangle ou de pyramide plus ou moins aplatis (figure 1, 2 et 3), ronde (fig.4) ou ovale (fig.5) ou carrée (fig.6) ou rectangulaire, (fig.7) ou de trapèze, (fig.8) ou pentagonale, (fig.10) ou exagonale, (fig.11) ou heptagonale, (fig.12) ou octogonale (fig.13) et/ou le mélange des composantes en présence pour citer en exemple un triangle qui repose sur un rectangle (fig.9).

3. Le principe de rétention du bois sur la base de démarrage de feu notamment par adhérence et par le support latéral de la base de démarrage de feu.

12.

4. Le principe d'associer et d'intégrer ensemble dans un même emballage du bois de démarrage et du bois de feu, qu'il soit sec, semi sec ou vert, en petits et en plus gros morceaux, avec ou sans base de démarrage de feu.

5. Le principe d'intégrer ensemble du bois traité ou non provenant d'essences de toutes sortes, séché ou non, avec des méthodes naturelles et/ou artificielles. Ce bois peut être libre ou retenu ensemble en ballots par tous types d'attaches.

6. L'utilisation de produits du bois ou de dérivés, en forme d'alvéoles à la base uniforme et/ou trouée entre autre pour faciliter une circulation d'air qui favorise un démarrage progressif et uniforme du feu.

7. L'utilisation d'une base de feu perforée, notamment pour stimuler l'effet de succion par cheminée lors de la combustion et/ou pour réduire l'amoncellement d'eau dans la base durant la période de transport et d'entreposage pour faciliter son rangement et/ou pour modifier son aspect esthétique.

13.

8. Le traitement, principalement mais non exclusivement par trempage, dans des produits chauds ou non et par tous les autres processus connus qui permettent de traiter du bois, des produits combustibles, les bases de feu et/ou des attaches et/ou des filets et/ou des matières de recouvrement, tel que, mais non exclusivement par pression, par pulvérisation ou par application au pinceau.

Ceux-ci principalement, mais non exclusivement, sont un mélange à base d'eau, de matières graisseuses et/ou huileuses et/ou de leurs dérivés de toutes sortes, de résine et/ou de sève et/ou de gomme et/ou de minéraux, sous forme de dilué ou de concentré, qu'elles soient de provenance végétale et/ou minérale et/ou animale et/ou de synthèse, utilisées seules ou ensemble, de paraffine et de cires, d'insecticides, de stabilisateurs, d'aseptisateur, d'huiles essentielles et de parfums, de teintures, de produits de blanchiment, d'alcool et d'autres produits naturels et/ou chimiques et/ou de synthèse pour un traitement conçu pour:

14.

a) l'aseptisation, soit pour chasser ou éliminer les insectes, les vers, les chenilles et tous les autres types de parasites du bois, pour prévenir les détériorations de toutes sortes et réduire à éliminer la transmission de maladies de nos essences d'arbres' des pays producteurs qui peuvent être transmissibles à la végétation de d'autres pays.

b) l'amélioration de la valeur calorifique de la base de feu, des bois et des combustibles utilisés pour le feu c) générer une flamme ardente, stable, continue ainsi qu'une combustion prolongée d) retarder la combustion des filets, des attaches et des produits d'emballage qui maintiennent ensemble les composantes sur le "prêt à brûler"

e) favoriser une prise de feu uniforme et augmenter la stabilité et la fiabilité du démarrage 15.

f) générer une combustion contrôlée du démarrage jusqu'à
la fin du feu, au tout ou à une partie des combustibles utilisés dans le "prêt à brûler"

g) modifier en surface et/ou en profondeur la structure originale ou naturelle de la teinte soit pour le bois, les attaches, les sacs, les filets et les matériaux d'emballage h) modifier la coloration naturelle de la flamme i) l'amélioration de la puissance de la flamme, de son aspect esthétique et de ses effets lumineux j) la modification de l'odeur originale des essences de bois utilisé, de la base de feu et des produits qui servent au traitement avant, pendant et après la combustion k) la modification et/ou la stabilisation du pourcentage d'humidité de sève et de résine dans le bois et dans les autres produits de combustion.

16.

9. L'estampillage de l'emballage et/ou des composantes du "prêt à brûler. (fig.1, #7 et 8).

10. L'alignement uniforme ou non des pièces de bois, d'un seul ou de plusieurs des côtés à la fois. (fig.1,2,3,4,5,6,7, 8,9,10,11,12, et l3), (fig. 18), ou pour plusieurs "prêts-à-brûler, (fig. 16).

11. L'utilisation de matériaux en forme de filet en guise d'attache et/ou de rétention et/ou pour modifier son aspect esthétique.

12. L'utilisation de filets et/ou d'attaches et/ou de matériaux d'emballage fabriqués avec des composantes qui possèdent un pourcentage d'élasticité.

13. L'utilisation de produits ignifuges qui retardent et/ou modifient la durée de la combustion dans les matériaux utilisés pour le feu, l'emballage et la rétention des "prêts-à-brûler".

14. L'utilisation d'un mélange de bois naturel et/ou de dérivés de bois, traités ou non, et conçus pour être utilisés ensemble ou séparément, avec ou sans le rajout de produits combustibles additionnels.

17.

15. L'utilisation comme matériaux de recouvrement de produits combustibles, de sacs fermés hermétiquement et/ou poreux et/ou aérés et/ou troués et/ou tressés et/ou imprimés qui sont fabriqués avec des matériaux naturels et/ou de synthèse.

16. L'utilisation de fils métalliques comme attaches dont certains peuvent fondre lors de la combustion.

17. L'utilisation d'huiles essentielles et/ou de produits de synthèse pour masquer et/ou accentuer et/ou produire par évaporation des émanations qui purifient l'air d'une façon continue et/ou qui modifient l'odeur des essences de bois, des huiles, de la paraffine, des cires et d'autres produits qui traitent le mélange.

18. L'ajout de brindilles de bois, de foin, de copeaux, de sciure de bois, traités ou non, avec les produits et le processus de fabrication retenu à la revendication No. 8.

19. L'utilisation de matériaux de combustion recyclés et/ou neufs, sciés ou fendus, et/ou en rondins, utilisés seuls ou séparément.

20. L'utilisation d'une base de démarrage fabriquée de bois et/ou de dérivés, traités ou non.

18.

21. Traitement sécuritaire pour retarder la combustion, notamment mais non exclusivement, pour les périodes d'entreposage, d'étalage en magasins et pour la conservation au domicile des acheteurs.

22. Des filets, des attaches et des produits d'enrobage qui sont faits avec des matériaux combustibles, traités ou non avec des produits qui modifient leur durée de combustion.

23. Principes d'assemblage et d'emballage retenus:
a) Le bois est placé en paquets individuels ou en groupes de paquets ou au cordon ou à la corde et/ou au mètre cube, attaché ensemble ou non et/ou en sacs et/ou enrobé avec un filet b) l'idée originale est de ranger sur des bases et/ou des boites et/ou des palettes le bois de chauffage, le bois décoratif, le bois d'oeuvre et les "prêts à brûler"
(fig.#14,15 et 16). Le principe (fig.#14) est de retenir le bois en place par l'ajout à la palette (fig.14 #1) de côtés fixes ou amovibles, fabriqués en matériaux rigides et/ou souples et/ou élastiques (fig.14 #3), qu'ils soient pleins (fig.14 #2 et 4) ou ajourés (fig.14 19.

23, b) #3,4,5,6). Les matériaux employés, d'origine naturelle ou de synthèse sont (fig. 14,#2) soit du tissus ou une fine membrane de plastique expansible, qu'elle soit opaque ou transparente et (fig.14 #3) des produits de rétention ajourés en forme de filet, faits avec les mêmes matériaux ou avec d'autres qui contiennent un pourcentage d'élasticité

c) tel qu'illustré à la figure # 15, le bois pourra être retenu en place par des bâtons perpendiculaires placés aux extrémités de la base et/ou de la boite et/ou des palettes (fig.15 #1) soit généralement par des clous ou des vices (fig.15 #4) et/ou maintenus en place par des attaches (fig.15 #2) et/ou retenus coincés en place par une cloison sur le rebord de la palette (fig.
15,#7) et/ou une penture retient la base du poteau de rétention à la palette ce qui lui permet de se rabattre sur la palette (fig.15 #8). De plus, une attache (fig.15 #5) pourra relier les bâtons (fig.15 #6) des deux (2) côtés opposés. Illustré à la figure #16, une courroie (fig.16,#5) tendue retient le lot de bois sur la palette (fig.16 #1).

20.

d) le poteau de rétention (figure 17, No 1) est retenu avec des plaquettes d'assemblage de charpente, munies de pointes d'encrage, (figure 17, No 4). Les bras de rétention (figure 17, No 1) pourront être maintenus en place, verticalement, par une équerre, (figure 17 No 2, a) ou soit par une penture, (figure 17, No 2,b) ou par un nouveau type d'encrage que nous avons créé, (figure 17 No 2,c, 17 No 3, et 17 Nos 3, a et b).
Celui-ci, par la jonction d'une partie mâle (figure 17 No 3,a) à une partie femelle, (figure 17, No 3, b) de rétention, permet de soutenir la pression du chargement sur le poteau d'encrage (figure 17 No 1) et d'absorber les chocs e) à la figure 14, pour retenir le bois en place sur la base et/ou la boite et/ou la palette (fig 14 #1) les matériaux employés seront d'origine naturelle ou de synthèse, transparents ou opaques, en matériaux pleins tel le bois ou ses dérivés, les métaux légers et les plastiques, qu'ils soient en espaces remplis (fig.14 #4) ou continus (fig.14 #5) en forme de filet ou ajouré
(fig.14 #6) ou en filet élastique (fig.14 #3) f) la base et/ou la boite et/ou la palette (fig. 14,15 et 16 #1) pourront être recouvertes de matériaux imperméables pour protéger le bois des intempéries g) les "prêts à brûler" seront rangés sur des bases et/ou des boites et/ou des palettes de telle sorte qu'il soit possible d'utiliser au maximum l'espace de rangement. Ils seront soit placés la pointe en l'air (fig.16 #2) ou la tête en bas (fig.16,#3) ou en position plus ou moins perpendiculaire (fig.16,#4) et/ou un mélange de ces positions.

24. Nous retenons que le "prêt à brûler" soit aussi utilisé
comme un objet décoratif ou un article de décoration généralement pour le foyer, la maison, le bureau et/ou pour l'extérieur.

25. L'idée originale du cordage du bois dont les bûches sont placées dos à dos et les pointes sont distancées, perpendiculaires et dirigées vers l'extérieur, notamment vers le haut, (figure 18 de a à d) et vers le bas, (figure 18 de e à h). Ceux-ci sont retenus par des sangles (figure 18 No.1) et ou des filets, (figure 18 No.2) qui possèdent ou non un pourcentage d'élasticité. Les filets pourront être placés dans le sens longitudinal ou transversal.