-~ ~76109 Cadre de ruche et sa fondation La présente invention concerne un cadre de ruche compre-nant plusieurs éléments assemblés retenant une fondation de cire non rigide susceptible d'être montée rapidement.
Les cadres de ruche sont généralement constitués de deux montants et de deux traverses en bois assemblés par clouage ou agrafage. Le montage des feuilles de cire gaufrée est long car ces cadres doivent être préalablement éguipés de fils métalliques pour assurer la tenue des feuilles avant leur construction par les abeilles et pour donner une résis-tance suffisante au futur rayon, indispensable lors de l'ex-traction du miel. La préparation complète d'un cadre de ru-che s'opère de la fason suivante : Il faut tout d'abord as-sembler les quatre éléments du cadre, puis percer les montants ou y fixer des crampons dans lesquels sont passés, puis ten-dus des fils métalliques et il est enfin nécessaire de souder la feuille de cire à ces fils.Ces différentes opérations re-présentent couramment dix minutes de travail par cadre. De plus, le résultat obtenu n'est souvent pas satisfaisant car cette feuille est fragile et peut se déformer ou se casser.
D'autres moyens connus sont proposés, soit pour conser-ver la fondation souple, soit pour la rigidifier avant mon-tage dans le cadre, soit pour utiliser une fondation synth~-tique rigide. Dans tous les cas ces moyens sont peu utilisés.
Par exemple, le brevet FR 75 02778 propose, pour conserver la fondation souple, un cadre en matière plastique injectée constitué de deux parties identiques assemblées suivant un plan de symétrie passant par la fondation, celle-ci étant préalablement armée de fils métalliques semi-rigides, en forme de W, dont les boucles qui dépassent sont ernboitées dans les tétons de centrage des deux parties de ce cadre ouvrant. Il s'agit là d'une solution coûteuse quant au prix de revient étant donnés l'importance du moule et la quantité
de matière à injecter D'autre part, l'ouverture du cadre est une opération assez délicate et le sectionnenent des fils ~k , .
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-- I l 76109 pour la découpe du rayon usagé est un inconvénient. Ce cadre entièrement en matière plastique, n'est par ailleurs pas suffisamment rigide.
Dans le brevet FR 74 09379, les montants de cadre en matière plastique sont percés de trous, destinés au passage des fils. Dans ceux-ci s'emboitent les traverses. Le cadre ainsi constitué accepte des fondations de cire souples couran-tes, mais il est toujours nécessaire de tendre des fils métal-liques et de souder la fondation. Ce cadre a donc pour sPul m~rite d'éviter le clouage des quatre éléments et le perçage des trous.
Dans le brevet FR 75 40407, la fondation de cire con-tient une armature synthétique, filet ou grille en matière plastique. Cette solution a le mérite de rendre la fondation plus solide tout en étant simple et économique, mais ne ré-sout absolument pas le problème de son montage dans le cadre, les fils métalliques étant toujours nécessaires. D'autre part, l'armature n'étant pas tendue, des contraintes internes dans cette dernière ou des différences de dilatation entre les deux matériaux peuvent provoquer des déformations de la feuil-le, Le brevet FR 1112037 propose un cadre constitué d'une traverse supérieure profilée et fermée,en forme de C, dans laquelle est glissée une feuille souple ordinaire, non armée, qui se trouve simplement suspendue à celui-ci. Les deux autres montants et la traverse inférieure sont constitués d'un pro-filé métallique plié qui s'emboite aux deux extrémités de la traverse supérieure. Cette solution présente de nombreux in-convénients. La résistance du rayon n'est pas suffisante ~ors de l'extraction du miel, par suite de l'absence d'armature.
D'autre part, le montage par glissement de la fondation dans la traverse supérieure est très difficile à réaliser, la feuille n'étant équipée d'aucun profil adapté. Il y a de plus des risques de déchirure au montage.
Le brevet GB 549740 propose une solution qui consiste à rigidifier une fondation de cire ordinaire au moyen de fils légèrement torsadés. Le cadre en bois utilisé comporte des montants ordinaires, mais au moins une des traverses .. .
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-' 1 176109 - est constituée de deux parties, la dernibre démontable, étaot clouée ou agrafée après montage de la fondation. La tenue de cette dernibre est donc assurée par les fils rigides verticaux dont les extrémités sont emprisonnées dans les traverses. Il n'est ainsi plus nécessaire de tendre des fils métalliques entre les montants et de souder la fondation sur ceux-ci, mais les cadres sont plus complexes et l'introduction des fils rigides dans la cire complique l'opération de gaufrage. De plus, la présence de ces fils très durs rend plus difficile la récupération du rayon usagé.
- Une autre solution consiste à utiliser une fondation ri-gide synthétique recouverte d'une fine couche de cire qui peut se monter dans un cadre en bois ou en matibre plastique adapté ou alors faire partie intégrante du cadre, comme dans le brevet FR 77 22694. Les cadres en bois ou en matière plastique adaptés comportent généralement des montants rai-nurés, comme dans les brevets CH 171617 et FR 7828467, l'une des traverses comportant une fente pour laisser le passage à la fondation dans le cas d'un cadre en bois, ou bien les quatre éléments s'emboitent les uns dans les autres dans le cas d'un cadre en matière plastique. Cette solution résoud le problème de la résistance et de la tenue de la fondation dans de bonnes conditions, mais elle n'est pas économique car il est fourni tres peu ou pas de cire aux abeilles qui doi-vent donc la produire. Or, pour élaborer un kilog de cire,les sbeilles doivent consommer environ sept kilogs de miel.
Les prix de ces produits n'étant pas du tout dans le même rapport, il en résulte une perte pour le producteur, d'autant plu8 importante que ces cadres sont plus coûteux à l'achat.
De plus, la récupération de la cire du rayon usagé est dif-ficile et il est ensuite nécessaire d'enduire à nouveau la fondation de cire pour faciliter son acceptation par les abeilles. Cette dernière est de toute façon rnoins bonne qu'avec une feuille de cire gaufrée ou plus courte dans la saison, ce qui constitue un inconvénient majeur.
L'invention dont il s'agit a pour but de pallier ces inconvénients et propose une solution économique, pratique, rationnelle et bien acceptée par les abeilles puisqu'elle . .
, - ` ~ l 76109 permet l utilisation d une feuille de cire gaufrée, son montage rapide sur un cadre adapté et l amélioration de sa résistance et de sa tenue.
L invention a donc pour object un cadre de ruche retenant une fondation de cire gaufrée souple et armée et comprenant deux montants en matiere moulée ou injectée de deux traverses en bois ou autre matière, dans lequel la fondation est tendue sur toute sa hauteur entre les montants au moyen de profils complémentaires permettant la retenue, prévus dans les montants du cadre et les bords correspondants de la fondation, -la distance séparant les deux faces des profils des montants est légèrement supérieure avant le mon-tage complet du cadre 3 celle correspondante des faces des profils de la fondation pour provoquer sa tension après son montage et 1 assemblage de l ensemble, les faces coopérant avec les faces~ et les ex-trémités des montants comportent au niveau de chaque travérse des moyens formant ressort qui tendent à repousser les montants des traverses et donc 3 tendre la fondation en cas de dilation.
La caractéristique fondamentale de l invention réside dans le fait que la fondation de cire est tendue entre les montants du cadre. A cet effet, les pet7ts c~tés de la fondation ainsi que les montants du cadre comportent des profils complémentaires permettant cette tension.
Suivant une autre caractéristigue de l invent70n, le montage de la fondation peut etre effectué de fa~on con-jointe avec le cadre pour qu elle ne soit tendue entre les montants qu après son introduction; ce montage est effectué
apres l assemblage des deux montants sur la traverse infé-rieure, la tension étant obtenue par le montage de la traver-se supérieure qui s embo~te et est verrouillée sur les extré-mités correspondantes des montants-, le cadre et sa fondation formant alors un ensemble indissociable.
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l .l 76109 Suivant une autre caractéristique de l'invention, la tension, selon un plan horizontal, de la fondation est maintenue en permanence, même en cas de dilatation de celle-ci grâce d des parties formant ressort situées à chaque extrémité des montants et tendant 3 éloigner ces derniers des traverses.
Le cadre avec sa fondation souple selon l'invention, peut remplacer tous ceux qui sont utilisés actuellement dans les types de ruches les plus courantes. En effet, il en a les m~mes dimensions extérieures et l'apiculteur pourra ainsi remplacer progress;vement ses anciens cadres en bénéficiant 'des avantages importants suivants pour la première fois réu-nis:
L'apiculteur conserve la possibilité d'utiliser des feuilles de cire gaufrée, solution la meilleure pour les 'abeilles qui l~acceptent plus'facilement et la plu9 économique pour lui par recyclage de la cire qu'il récupère et produit nécessairement, la solution proposée permettant un assemblage du cadre et un montage de la fondation en quelques secondes.
Aucun des accessoires ou outillages utilisés actuelle-3o ~ - 4a -... . - , , . , ;
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''. ~ ' . : . ' ': ' - I l76109 ment pour assembler les éléments du cadre,percer des trous ou fixer des crampons, souder la feuille sur les fils n'est plus nécessaire pour le montage. La tâche de l'apicul-teur est donc considérablement simplifi~e. Il n'a plus à
pr~parer ses cadres à l'avance et peut faire face rapidement u~ besoin imprévisible.
La tenue de la feuille, tendue en pe~manence entre les montants avant sa construction par les abeilles, est parfai-te. Sa résistance est meilleure que dans la solution couran-te actuelle. Son centrage dans le cadre est précis et cons-tant.
Le rayon usagé est aisément découpé au couteau a l'in-térieur des montants, aucun fil métallique ne genant cette découpe. Les différentes parties du cadre peuvent etre en-suite démontées ce qui facilite leur nettoyage, les montants pouvant être plongés dans une eau à plus de 63C pour les débarrasser des traces de cire restantes. Cette solution est économique, la partie injectée du cadre pouvant être limitée aux montants. Le moule est donc relativement simple 2û et la matière nécessaire de faib~e poids. La résistance du cadre est am~liorée par l'absence de clouage. L'épaisseur réduite des traverses facilite la désoperculation. L'apicul-teur qui le désire a la possibilité de fabriquer partielle-ment ses cadres en réalisant les deux traverses.
L'invention est expos~e ci-après plus en détail à
l'aide de dessins représentant seulement un mode d'exécu-tlon.
La figure 1 représente une vue éclatée en perspective dù cadre et de sa fondation, correspondant à l'ordre de 3û montage.
La figure 2 montre une coupe de l'assemblage cadre et fondation, au niveau a-a de la figure 1.
La figure 3 est une vue en coupe de la traverse supé-rieure du cadre, selon la ligne c-c de la figure 1.
La figure 4 est une vue en coupe de l'un des montants du cadre, selon la ligne a-a de la figure 1.
Les figures 5,6 et 7 représentent le profil de la fon-dation suivant trois variantes possibles, au niveau a-a de ~.~
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- ! 1 76 1 0 9 la figure 1 après montage de la fondation.
La figure ~ montre en détail le gaufrage ~ans le sens c~ur;ant d'~ne fo~dation selon l'invention.
La figure g montre en détail le gaufrage, dans un autre sens, d'une fondation selon l'invention.
La figure 10 est une vue en coupe longitudinale de la tête d'un montant, suivant la ligne d-d de la figure 1.
Les figures 11 et 12 illustrent le principe de montage et de verrouillage des montants et de la traverse supérieure.
10: La figure 13 est une vue en coupe de l'un des montants selon la iigne f-f de la figure 1.
Sur les dessins,on voit que le cadre est composé de deux montants 1, d'une traverse inférieure 17 et d'une traverse ~upérieure 3. Les deux montants 1 et la traverse inférieure 17 peuvent ne former qu'ùne seule pibce, mais sont de préfé-rence constitués de trois parties assemblées. La traverse 17 est dans ce cas en bois et à la forme générale de celles qui 80nt couramment utilisées. Les deux montants 1 sont constitués d'une matière plastique ou métallique, injectée ou moulée.
Ils sont fendus sur toute leur largeur et sur presque toute leur hauteur, les deux parties 18, ainsi constituées étant reliées aux deux extrémités : à la partie inférieure, la fente s'arrQtant juste au-dessus de la traverse 17 et à la partie supérieure 19, au niveau de l'épaulement. La fente est destinée à recevoir la fondation 2 équipée de profils complé-mentaires, la tension étant ainsi possible.
La partie médiane de la figure 1 représente la fondation -~ ~ 76109 Beehive frame and its foundation The present invention relates to a hive frame comprising nant several assembled elements retaining a foundation of non-rigid wax capable of being quickly mounted.
Beehive frames usually consist of two uprights and two wooden crosspieces assembled by nailing or stapling. The assembly of embossed wax sheets is long because these frames must first be de-skinned wire to keep the front sheets their construction by bees and to give resistance sufficient capacity for the future department, essential during the ex-pulling honey. The complete preparation of a ru-This is done in the following way:
appear the four elements of the frame, then drill the uprights or attach crampons in which have passed, then due to metal wires and it is finally necessary to solder the wax sheet to these threads.
commonly present ten minutes of work per frame. Of more, the result obtained is often not satisfactory because this sheet is fragile and can deform or break.
Other known means are proposed, either to preserve to the flexible foundation, either to stiffen it before mounting in the frame, either to use a synthetic foundation ~ -rigid tick. In all cases these means are little used.
For example, patent FR 75 02778 proposes, to keep the flexible foundation, a frame of injected plastic consisting of two identical parts assembled according to a plane of symmetry passing through the foundation, the latter being previously armed with semi-rigid metallic wires, in W shape, whose protruding loops are enclosed in the centering pins of the two parts of this frame opening. This is an expensive solution in terms of price.
given the importance of the mold and the quantity material to be injected On the other hand, the opening of the frame is a rather delicate operation and the sectioning of the wires ~ k , .
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- I l 76109 for cutting the used radius is a drawback. This frame completely made of plastic, is also not sufficiently rigid.
In patent FR 74 09379, the frame uprights in plastic material are drilled with holes, intended for passage sons. In these fit the crosspieces. The framework thus constituted accepts flexible wax foundations common your, but it is always necessary to tighten metal wires-and weld the foundation. This framework therefore has for sPul m ~ rite to avoid nailing the four elements and drilling Holes.
In patent FR 75 40407, the wax foundation holds a synthetic frame, net or grid of material plastic. This solution has the merit of making the foundation more solid while being simple and economical, but does not absolutely not support the problem of mounting it in the frame, metal wires are always necessary. On the other hand, the reinforcement not being tensioned, internal stresses in the latter or differences in expansion between two materials can cause film deformation the, Patent FR 1112037 proposes a framework made up of a profiled and closed upper cross member, C-shaped, in which is slipped an ordinary flexible sheet, not reinforced, which just hangs on it. The two others uprights and the bottom crossbar are made of a pro-folded metal wire which fits at both ends of the upper crosspiece. This solution has many advantages.
conveniences. The spoke resistance is not sufficient ~ ors honey extraction, due to the absence of reinforcement.
On the other hand, the sliding mounting of the foundation in the top rail is very difficult to achieve, the sheet not having any suitable profile. There are more risk of tearing during assembly.
GB patent 549740 proposes a solution which consists to stiffen an ordinary wax foundation by means of slightly twisted wires. The wooden frame used has ordinary amounts, but at least one of the sleepers ...
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- '1 176 109 - consists of two parts, the last removable, nailed or stapled after mounting of the foundation. The holding of the latter is therefore ensured by the wires vertical rigid whose ends are trapped in the sleepers. It is no longer necessary to stretch metal wires between the studs and solder the foundation on these but the frameworks are more complex and the introduction of rigid wires into the complicated wax the embossing operation. In addition, the presence of these sons very hard makes it more difficult to recover the used spoke.
- Another solution is to use a foundation ri-synthetic gide covered with a thin layer of wax which can be mounted in a wooden or plastic frame adapted or be an integral part of the framework, as in patent FR 77 22694. The wooden or material frames suitable plastics generally include as in patent CH 171617 and FR 7828467, one sleepers with a slot to allow passage to the foundation in the case of a wooden frame, or four elements fit into each other in the case of a plastic frame. This solution solves the problem of resistance and holding the foundation in good conditions, but it is not economical because very little or no beeswax is supplied which must therefore produce it. However, to develop a kilog of wax, the sbeilles must consume about seven kilogs of honey.
The prices of these products are not at all in the same report, this results in a loss for the producer, all the more Most importantly, these frames are more expensive to purchase.
In addition, the recovery of wax from the used comb is diffe-and then it is necessary to coat the wax foundation to facilitate its acceptance by bees. The latter is in any case less good than with an embossed or shorter wax sheet in the season, which is a major drawback.
The invention in question aims to overcome these disadvantages and offers an economical, practical solution, rational and well accepted by bees since it . .
, - `~ l 76109 allows the use of an embossed wax sheet, its quick mounting on a suitable frame and improving its resistance and its behavior.
The object of the invention is therefore a hive frame retaining a flexible and reinforced embossed wax foundation and comprising two uprights of molded or injected material two wooden or other sleepers, in which the foundation is stretched over its entire height between the uprights by means of additional profiles allowing restraint, provided in the frame uprights and the corresponding edges of the foundation, -the distance separating the two faces of the profiles of the uprights is slightly higher before the full frame 3 frame corresponding to the faces of the profiles of the foundation to cause tension after mounting and 1 assembly of the assembly, the faces cooperating with the faces ~ and the ex-hoppers of the uprights comprise at each level means forming a spring which tend to push back the uprights of the crosspieces and so 3 stretch the foundation in case of expansion.
The fundamental characteristic of the invention lies in the fact that the wax foundation is stretched between the uprights of the frame. To this end, the small sides of the foundation as well as the uprights of the frame include additional profiles allowing this tension.
According to another characteristic of invent70n, mounting the foundation can be done in a way attached with the frame so that it is not stretched between the amounts only after its introduction; this assembly is carried out after assembling the two uprights on the lower cross the tension is obtained by mounting the cross is upper which fits and is locked on the corresponding mounts of the uprights-, the frame and its foundation thus forming an inseparable whole.
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l .l 76109 According to another characteristic of the invention, the tension, in a horizontal plane, of the foundation is permanently maintained, even in the event of expansion this thanks to the parts forming a spring located at each end of the uprights and tending 3 away from them sleepers.
The frame with its flexible foundation according to the invention, can replace all those currently used in the most common types of hives. Indeed, there are the same outside dimensions and the beekeeper will be able to progressively replace its former executives by benefiting '' the following important benefits for the first time nis:
The beekeeper retains the possibility of using embossed wax sheets, the best solution for 'bees who accept it more easily and more economically for him by recycling the wax he collects and produces necessarily, the proposed solution allowing an assembly of the frame and mounting of the foundation in seconds.
None of the accessories or tools used current-3o ~ - 4a -... -,, . ,;
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'' ~ '. :. '': ' - I l76109 to assemble the elements of the frame, drill holes or fix crampons, solder the sheet on the wires no longer required for mounting. The task of beekeeping tor is therefore considerably simplified. He no longer has to prepare executives in advance and can cope quickly u ~ unpredictable need.
The holding of the sheet, stretched in pe ~ manence between the amounts before its construction by bees, is perfect you. Its resistance is better than in the standard solution current te. Its centering in the frame is precise and consistent.
so much.
The used spoke is easily cut with a knife inside.
inside of the uprights, no metal wire interfering with this cutting. The different parts of the frame can be disassembled following which facilitates their cleaning, the amounts can be immersed in water above 63C for rid them of the remaining wax traces. This solution is economical, the injected part of the frame can be limited to amounts. The mold is therefore relatively simple 2û and the necessary material of faib ~ e weight. The resistance of frame is improved by the absence of nailing. Thickness reduced cross members facilitates uncapping. The apicul-tor who so desires has the possibility of manufacturing partial-his executives by making the two crosspieces.
The invention is exposed ~ e below in more detail at using drawings representing only one mode of execution tlon.
Figure 1 shows an exploded perspective view of the framework and its foundation, corresponding to the order of 3û mounting.
Figure 2 shows a section of the frame assembly and foundation, at level aa in figure 1.
Figure 3 is a sectional view of the upper cross member frame, along line cc in Figure 1.
Figure 4 is a sectional view of one of the uprights of the frame, along line aa of Figure 1.
Figures 5,6 and 7 show the profile of the fun-dating according to three possible variants, at level aa of ~. ~
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-! 1 76 1 0 9 Figure 1 after mounting the foundation.
The figure ~ shows in detail the embossing ~ in the direction c ~ ur; ant d ~ ~ fo ~ dation according to the invention.
Figure g shows the embossing in detail, in another sense, of a foundation according to the invention.
Figure 10 is a longitudinal sectional view of the head of an upright, along line dd of figure 1.
Figures 11 and 12 illustrate the mounting principle and locking the uprights and the upper crosspiece.
10: Figure 13 is a sectional view of one of the uprights according to the line ff in FIG. 1.
In the drawings, we see that the frame is composed of two uprights 1, a lower cross member 17 and a cross member ~ upper 3. The two uprights 1 and the lower cross member 17 may form only one piece, but are preferably rence consisting of three assembled parts. Traverse 17 is in this case wooden and in the general shape of those which 80nt commonly used. The two amounts 1 are made up of a plastic or metallic material, injected or molded.
They are split across their entire width and over almost all their height, the two parts 18, thus formed being connected at both ends: at the bottom, the slot stopping just above cross member 17 and at the upper part 19, at the shoulder. The slot is intended to receive the foundation 2 equipped with complete profiles tension, thus being possible.
The middle part of figure 1 represents the foundation
2 adaptée. Celle-ci n'est pas auto-rigide, mais est de préfé-rence armée,son armature 4 (fig. 6 et 7 ) pouvant être un fi-let synthétique, moyen peu diffusé par suite surtout de l'absen-ce,: d'une solution de montage. Il pourrait æ'agir également d'une armature souple de matière quelconque, en particulier ~ous forme de feuille perforée . En effet,l'intérêt d'une feuille réside dans sa faible épaisseur et sa bonne résistance à la traction. Les perforations permettent une meilleure adhérence de la cire sur la feuille. De plus la cire peut s'échapper par les trous lors de la fusion du vieux rayon en éuitant la formation de poches.
4uelle que soit donc cette armature souple, l'objectif .
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' ~ ! ~ 76109 est de la tendre entre deux montants, la cire, matière très malléable, n'ayant d'autre possibilité que de se conformer à cette contrainte qui lui est soumise.On sait en effet que, SOU8 l'action de la chaleur de la ruche et du poids des abeil-les, les feuilles de cire se dilatent et s'allongent en parti-culier vers le bas ! ~ne armature souple quelconque non ten-due peut être l'obiet ou la cause de déformations nuisibles alors gue cette même armature, et donc l'ensemble de la fon-dation, ne se déformera pa~ dès lors que la tension sera main-tenue en permanence dans au moins une direction.
Pour obtenir la tension d'origine, l'éloignement desdeux profils 12 d'une fondation devra être, avant montage, lé-gèrement inférieur, de l'ordre de 1 à 2 mm, à l'éloignement respectif des profils complémentaires 11, des deux montants 1.
La partie supérieure de la figure 1 représente la tra~
verse horizontale 3. Celle-ci, comme la traverse 17, a la forme générale de celles couramment utilisées. Son épaisseur (R)est pourtant inférieure, ce qui facilite l'opération de désoperculation. Elle est de préférence en bois pour des raisons de résistance mécanique et d'économie, mais elle pourrait être, comme la traverse 17, en matière plastique ex-trudée. La distance (T) entre les deux épaulements est telle qu'elle permet de donner la tension d'origine à la fondation.
Son ~paisseur (S) est variable. Elle peut être fortement ré-duite pour les ruches divisibles par exemple, d'autant plus facilement que sa résistance est supérieure à celle des cadrescloués, la force transmise par chaque montant étant appliquée à sa partie supérieure et n'étant donc plus exercee par des pointes au milieu des traverses, ce qui favorise leur éclate-ment.
Sur la figure 2, la forme complémentaire des deux profilsest mise en relief, On voit également que la fondation 2 tra-verse de part en part les montants 1, ceci pour faciliter son montage et la prise par pincement entre les doigts ; la partie des extrémités 13 qui dépasse est ensuite facilement découpée au couteau au niveau du montant.
La figure 3 montre que, comme dans les traverses usuçll~s la rainure 24 pratiquée à la partie inférieure a pour objet de .. ~ ~ , .
1 ~1 761~9 maintenir latéralement la fondation. Sa profondeur correspond 2 adapted. This is not self-rigid, but is preferably armed rence, its armature 4 (fig. 6 and 7) possibly being a synthetic let, medium not widely distributed mainly due to the absence of this: an assembly solution. It could also act a flexible reinforcement of any material, in particular ~ ou form of perforated sheet. Indeed, the interest of a sheet resides in its low thickness and good resistance tensile. The perforations allow better adhesion of the wax to the sheet. In addition, the wax can escape through the holes when merging the old ray into exhausting the formation of pockets.
No matter what this flexible frame is, the objective .
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'' ~! ~ 76109 is to stretch it between two uprights, wax, a very malleable, having no other option than to comply We are aware that, SOU8 the action of the heat of the hive and the weight of the bees the wax sheets partially expand and elongate culier down! ~ no flexible reinforcement of any kind due may be the object or cause of harmful deformations so that this same reinforcement, and therefore the whole of the foundation donation, will not deform pa ~ as soon as the tension is main-permanently held in at least one direction.
To obtain the original tension, the distance between the two profiles 12 of a foundation must be, before mounting, slightly lower, on the order of 1 to 2 mm, at a distance respective complementary profiles 11, two uprights 1.
The upper part of Figure 1 represents the tra ~
horizontal slope 3. This, like the crosspiece 17, has the general form of those commonly used. Its thickness (R) is however lower, which facilitates the operation of uncapping. It is preferably made of wood for reasons of mechanical strength and economy, but it could be, like the crosspiece 17, in plastic ex-trudée. The distance (T) between the two shoulders is such that it gives the original tension to the foundation.
Its ~ thickness (S) is variable. It can be strongly re-pick for divisible hives for example, all the more easily that its resistance is greater than that of nailed frames, the force transmitted by each upright being applied at its upper part and therefore no longer exercised by points in the middle of the sleepers, which favors their bursting is lying.
In Figure 2, the complementary shape of the two profiles is highlighted. We also see that the foundation 2 pay the amounts 1 right through, this to facilitate its mounting and gripping by pinching between fingers; the part ends 13 which protrudes is then easily cut out with a knife at the upright.
Figure 3 shows that, as in the usuçll sleepers ~ s the groove 24 made at the bottom is intended to .. ~ ~,.
1 ~ 1,761 ~ 9 laterally maintain the foundation. Its depth corresponds
3 la dimension des découpes effectuées à chacune des deux extrémités de la traverse 3 pour réaliser les épaulements.
La figure 4 détaille la forme du profil 11 de la fente.
Du côté extérieur au cadre, la largeur de la fente 7 peut avoir l'épaisseur de la fondation . Elle est plus faible du côté intérieur 6 de façon à permettre la tension de la feuil-le en évitant son glissement suivant un plan horizontal, les faces 10 ayant une action de retenue. Cette description ne correspond qu'à un exemple de solution possible, celle-ci pouvant être différente tout en restant dans le cadre de l'invention dès lors que les profils exercent une action de retenue sur la fondation et permettent sa tension. Les évidements 32 correspondent à des contraintes de moulage et à
un objectif d'éconcmie de matière.
Pour réaliser la fondation 2, plusieurs solutions sont envisageables. Le profil 12 de la fonda,tion représentée Figure 5 correspond à une première solution, la plus simple.
Le sens de gaufrage actuel est conservé (figure 8) et la partie 13 est donc gaufrée. Deux rainures 8 sont pratiquées de chaque côte; de la feuille, les faces 9 exercant l'action de retenue nécessaire au maintien de la tension de la feuille.
Selon une première amélioration, l'extrémité 13 de la fonda-tion située à droite des rainures n'est pas gaufrée ce qui évite la légère déformation des faces 9 due à la tension et à la temp~rature de la ruche, le sens de gaufrage étant alors perpendiculaire au sens actuel (figure 9).
Les figures 6 et 7 correspondent au nouveau sens de gaufrage proposé. Dans la figure 6 les faces 9 ne sont plus 3 en cire, elles sont constituées par ce]les 9 de deux bandes 5, en polyéthylène par exemple, soudées par impulsion sur l'armature avant gaufrage de la fondation. Tout risque de glissement entre les montants 1 est ainsi écarté. Dans la figure 7, les deux reliefs 33 n'ont pas été rapportés mais ont été obtenus directement au moment de l'élaboration de l'armature 4 dont ils font partie. L'opération de soudage préc~dente est ainsi évitée. Deux profils sont élabor~s de chaque côté de la feuille pour satisfaire deux longueurs - de cadres diff~rentes et ainsl couvrir par exemple pour la .
, ~ .1 7~1~9 g France environ 90 ~ des besoins (ruches Dadant et Langstrot'h), Les figures 8 à 9 mettent en relief l'importance du sens de gaufrage pour les profils de la fondation. Dans la figure 8, le sens de gaufrage actuel (M) est conservé et la fonda-tion est donc obligatoirement gaufrée sur toute sa surface.
Il faut remarquer que pour une amorce de cellule 28 par exem-ple,, avec ce sens de gaufrage (M), deux faces de l'hexagone sont parallèles à l'axe des cylindres de gaufrage et parallè-les aux rainures 8. Dans la figure 9, un nouveau sens de gaufrage (N) est proposé. Son intérêt est double : d'une part toute la surface n'est plus nécessairement gaufrée et notamment l'extrémité 13 située à droite de la rainure 8 ne l'est plus, les faces 9 étant ainsi plus résistantes, sur-tout s'il s'agit d'une des solutions à renforts 5,33 du profil, celles-ci n'étant possibles qu'avec ce sens (N).
D'autre part, les rainures ~ sont obtenues directement au moment du gaufrage et ne nécessitent plus une opération suplémentaire comme avec le sens précédent (M). Pour pouvoir gaufrer des feuilles dans ce sens (N), il est nécessaire de fabriquer des cylindres dont l'axe sera perpendiculaire à
celui-ci. Les amorces de cellules 27 doivent, après gaufrage, ~tre indentiques dans la forme et l'orientation aux cellules 28, deux faces de l'hexagone devant être verticales pour que les fondations soient acceptées par les abeilles. Il sera donc nécessaire de fabriquer une molette tenant compte de ces considérations pour obtenir ce nouveau type de cylindres.
La figure 10 montre qu'une partie,20 formant ressort a été prévue sur la tête de chaque montant 1. Cette partie 20 est représentée en position de travail, appuyant sur l'extrémité de la traverse 3. En position de repos elle est inclinée sur la gauche, vers l'intérieur du cadre. Ce ressort a donc tendance à éloigner respectivement chacun des montants 1 de la traverse 3.
ûn a vu précédemment que la fondation est tendue entre les montants 1 du fait que ses profils sont, avant son monta-ge, légèrement moins éloignés que ceux des montants 1. Cette dernière distance entre les pr,o~ils des morltants 1 est déterminée à la fois par la longueur de la traverse 17 et la distance (T) entre les épaulements de la traverse 3. La ~; . ,, ~ . .
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-- 10 _ dilatation de l~armature pourrait, suiuant la matière utili-sée, devenir supérieure à l'~cart entre ces deux longueurs ;
la fondation n'étant plus tendue, risquerait de se déformer.
C'est alors qu'interviennent ces ressorts 20, les montants 1 coulissant légèrement, en sens opposé, sur les traverses 3 et 17 en laissant apparaitre un léger jeu (U) entre la face 16 des montants et la face 15 correspondants de l'épaulement de la traverse 3. La force imprimée par les ressorts 20, inférieure au moment du montage et à température ordinaire, vient donc en relais de la force initia~e de tension imprimée à l'armature qui a tendance à décro~tre au fur et à mesure que la température s'élève.
La figure 11 illustre le principe de montage et de verrouillage de la traverse 3 sur les têtes des montants 1.
La traverse 3 est embo~tée verticalement, les faces 14 s'écartant alors sous la pression. Sur la figure cette tra-verse eit en position intermédiaire. Les parties amincies 21 ~ la base des faces 14 améliorent la flexibilité. Sur la figure 12 la traverse 3 est arrivée dans sa position défini-tive. Les lèvres 22 se sont refermées sur elle et l'immobi-lisent complètement. A ce stade du montage, l'assemblage du cadre est terminé et toutes les pièces sont automatiquement verrouillées les unes par rapport aux autres et ne peuvent se désolidariser.
La figure 13 montre un montant 1 au niveau de l'emboi-tage de la traverse inférieure 17. On voit en particulier les deux parties 35 formant ressort et dont le but est iden-tique à ceux 20 de la tête des montants. A l'origine, au moment du montage, l'extrémité de la traverse 17 vient en butée dans le fond du logement 36. En cas de légère dilata-tion de la fondation, les mo~tants 1 sont Dépous~és de la traverse 17 par les ressorts inférieurs 35,ce qu'illustre la figure.
-,, , 3 the size of the cuts made for each of the two ends of the cross-member 3 to make the shoulders.
Figure 4 details the shape of the profile 11 of the slot.
On the outside of the frame, the width of the slot 7 can have the thickness of the foundation. It is weaker from inner side 6 so as to allow the tension of the foil avoiding its sliding along a horizontal plane, the faces 10 having a retaining action. This description does not corresponds to an example of a possible solution, this may be different while remaining within the framework of the invention when the profiles exert an action of retained on the foundation and allow its tension. The recesses 32 correspond to molding constraints and an objective of saving material.
To achieve foundation 2, several solutions are possible. Profile 12 of the foundation represented Figure 5 corresponds to a first solution, the simplest.
The current embossing direction is retained (Figure 8) and the part 13 is therefore embossed. Two grooves 8 are made on each side; of the sheet, the faces 9 exerting the action restraint necessary to maintain sheet tension.
According to a first improvement, the end 13 of the foundation tion located to the right of the grooves is not embossed which avoids slight deformation of the faces 9 due to tension and at the temperature of the hive, the embossing direction then being perpendicular to the current direction (Figure 9).
Figures 6 and 7 correspond to the new sense of proposed embossing. In figure 6 the faces 9 are no longer 3 in wax, they are constituted by this] the 9 of two bands 5, in polyethylene for example, pulse welded on the reinforcement before embossing the foundation. Any risk of sliding between the uprights 1 is thus discarded. In the Figure 7, the two reliefs 33 have not been reported but were obtained directly during the development of the frame 4 of which they are part. The welding operation prec ~ dente is thus avoided. Two profiles are developed on each side of the sheet to satisfy two lengths - different frames and thus cover for example for the .
, ~ .1 7 ~ 1 ~ 9 g France around 90 ~ needs (Dadant and Langstrot'h hives), Figures 8 to 9 highlight the importance of meaning for the profiles of the foundation. In the figure 8, the current embossing direction (M) is retained and the foundation tion is therefore necessarily embossed over its entire surface.
It should be noted that for a cell primer 28 for example-ple ,, with this direction of embossing (M), two sides of the hexagon are parallel to the axis of the embossing cylinders and parallel to the grooves 8. In Figure 9, a new sense of embossing (N) is proposed. Its interest is twofold:
apart the whole surface is no longer necessarily embossed and in particular the end 13 situated to the right of the groove 8 does not is more, the faces 9 thus being more resistant, everything if it is one of the 5.33 reinforcement solutions of profile, these are only possible with this direction (N).
On the other hand, the grooves ~ are obtained directly at embossing time and no longer require an operation additional as with the previous meaning (M). To can emboss sheets in this direction (N), it is necessary to manufacture cylinders whose axis will be perpendicular to this one. The cell primers 27 must, after embossing, ~ be identical in shape and orientation to cells 28, two sides of the hexagon must be vertical so that the foundations are accepted by the bees. He will be therefore necessary to make a wheel taking into account these considerations to get this new type of cylinders.
Figure 10 shows that a part, 20 forming a spring has been provided on the head of each amount 1. This part 20 is shown in the working position, pressing the end of the cross member 3. In the rest position it is tilted to the left, towards the inside of the frame. This spring therefore tends to distance each one respectively uprights 1 of the cross member 3.
We saw previously that the foundation is stretched between the amounts 1 because its profiles are, before it is mounted ge, slightly less distant than those of the uprights 1. This last distance between pr, o ~ morltants 1 is determined by both the length of the crosspiece 17 and the distance (T) between the shoulders of the cross member 3. The ~; . ,, ~. .
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- 10 _ expansion of the frame could, depending on the material used sée, become greater than the cart between these two lengths;
as the foundation is no longer stretched, there is a risk of deformation.
This is where these springs 20 come in, the uprights 1 sliding slightly, in opposite direction, on the crosspieces 3 and 17, leaving a slight clearance (U) between the face 16 of the uprights and the corresponding face 15 of the shoulder of the cross member 3. The force imparted by the springs 20, lower at the time of assembly and at ordinary temperature, therefore comes in relay from the initial force of printed voltage to the frame which tends to decrease gradually as the temperature rises.
Figure 11 illustrates the principle of mounting and locking the cross member 3 on the heads of the uprights 1.
The cross 3 is embo ~ tée vertically, the faces 14 then deviating under pressure. In the figure this tra-poured in the intermediate position. Thin parts 21 ~ the base of the faces 14 improve flexibility. On the Figure 12 the cross 3 has arrived in its final position tive. The lips 22 closed over her and the immobilizer read completely. At this stage of assembly, the assembly of the frame is finished and all pieces are automatically locked to each other and cannot disassociate themselves.
Figure 13 shows an amount 1 at the level of the box tage of the lower cross member 17. We see in particular the two parts 35 forming a spring and the purpose of which is identical tick to those 20 of the head of the uprights. Originally, at at the time of assembly, the end of the cross member 17 comes in stop in the bottom of the housing 36. In the event of slight dilation tion of the foundation, the mo ~ tants 1 are Removed ~ és of the cross member 17 by the lower springs 35, which is illustrated the figure.
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