CA1141036A - Calculatrice de poche pour la prevision de cycles temporels - Google Patents

Abstract

Précis Une mémoire est destinée à être lue ou modifiée par un système logique électronique d'une calculatrice de poche. Elle comprend une pluralité de bascules électro-mécaniques bistables. Chaque bascule comprend une entrée de mise à 1 et une entrée de mise à zéro et une sortie. Les entrées sont reliées individuellement à un multiplexeur commandé par un circuit de commande. Le circuit de commande est en liaison à deux sens avec un processeur central via un bus. Le circuit de commande gère les lectures et les inscriptions dans la mémoire. La mémoire est destinée à mémoriser des données devant être conservées dans la calculatrice de manière sûre et commode, même si l'alimentation est coupée. La calculatrice est par exemple destinée à effectuer des calculs concernant l'application de la méthode Ogino, les données à mémoriser étant les durées des cycles antérieurs et la date de la dernière période.

Description

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Calculatrice de poche pour la prévislon de cycles temporels On sait réallser des calculatrices miniatures capables d'effectuer des calculs relativement complexes.
On connaIt d'autre part d&s méthodes permettant à une femme de prevolr, avec une marge donn~e, les périodes ou un rap-port sexuel sera probablement suivi d'une grossesse. Une telle Méthode est la méthode OginoO La réallsation d'une calculatrice miniature ~ffectee à la prévlsion des périodes selon une méthode ou une autre n'offre en principe aucune dlfficulté. ~'outefols il se pose un grave problème de la conservation des données de base. ~n effet, les calculatrlces courantes sont conçues de telle sorte que l'utllisateur doit fournir les ~onnees au moment où il d~sire r~soudre un probl~me, et préciser la nature des calculs, la mach~ne n'ayant en mémoire que des s~quences d'or-dres correspondant à des op~ratlons de ~ase et quelques constantes ~e ~ase. v'ha~itude la calcula~rlce n~est uas con~ue pour re-tenlr des donnée~. Or, si l'on veut effec~uer una prévlslon, 11 cst lndlspensable de dlsposer des dates de 4uel~ues pérlodes anterleures. Pour effectuer une prevlsion avec une marge de securité raisonnable, on tiendra compte, par exemple, d'une moyenne ~ortant sur les quatre dernl~res p~rlodes.
~ 'es donn6es sont importantes et elles dolvent être conserv~s de mois en mois. ~n ne peut ~vide~nent pas util~ser, pour ces donn~es, un çircult de mémoire usuel qui s'efface lorsque l'alimentation est coupée.
Pour certaines calcula~rices, on fait usage de cartes n~agnétiques minlatures. ~outefois un tel moyen ne repr~sente pas ici une sécurité absolue. ~n effet, la carte magnétique peut etre égarée et les donnees qu'elle contient peuvent se trouver ~-ffac~es ou alterées par l'influence d'un champ rnagnétique en-trant en contact avec la carte.
., 1 , La présente invention vise à fournir une solution com-mode et sure au problème de la conservation de quelques données essentielles, notamment pour le cas d'une calculatrice de poche servant à la prévision des cycles mentruels.
La calculatrice selon l'invention présente une solution commode aux personnes désirant utiliser une méthode de prévision telle que la méthode Ogino. Les données essentielles sont mémo-risées dans une mémoire spéciale incorporée à la calculatrice et non dans un support mémoire externe du genre carte magnéti-que. On ne risque donc pas de l'égarer.
De plus! la mémoire ainsiincorporée à la calculatrice ne court pratiquement aucun risque de se trouver directement en contact avec un aimant qui pourrait la perturber, et la mémoire est ainsi beaucoup plus s~re qu'une mémoire sur carte magnétique.
Enfin, si l'on choisit un type convenable d'élément électro-m~canique~ la mémoire électro-mécanique présentera une bonne immunité aux influences extérieures tels que chocs, varia-tions de température et de pression. Notamment, un type préféré
d'élément électro-mécanique est protegé contre une accélération de plusieurs dizaines de G.
La calculatrice peut 2tre réalisée de maniere que son emploi soit des plus simples et ne demande à l'utilisateur qu'un minimum de raisonnement et d'attention. A l'inverse, elle peut ~etre associée à une calculatrice relativement complexe et/ou à
une horloge digitale.
Parfois, la personne, pour des raisons physiologiques, pourra avoir besoin d'un programme de prévision différent dlun programme standard et fonction, par exemple~ des prescriptions d'un gynécologue A cette fin, on peut prévoir une forme de réalisation particulière où la mémoi~e supportant le programme comporte une partie amovible ou reprogrammable. Par exemple, le bloc memoire de la calculatrice peut consister en une mémoire ROM

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colnportant le pro~r~nme ~e prevision standard et remplaçable ~ar une mérl~oire différente, progra~née sur la base des prescriptlons du gynécologue; ou blen, le bloc mémoire comporte une mémolre ~PI~OM, c'est~ lre effaçable, en princlpe à l'aide de rayons ~lltraviolets intenses, et rcprograrnmable à l'aide d'un apparell auxiliaire qu~ pourralt détcnlr le gyriécologue ou la société
distribuant la calculatrice.
Une calculatrice ~elon l'invention peut donc avanta-~eusement être appllqu~e à la prévision de cycles menstruels de la femme, notan~ent selon la m~thode Oglno; cependant, les principes à la base de l'invention peuvent s'appllquer à tout problème que l'on peut soumettre ~ une calculatrlce mlniature Yt du ~enre où l'on désire conserver, d'une ~p~gue à une autre, un certaln nombre de données essentielles qui demandent une m~moire sûre, incorporée ~ la calculatrice et conservant les in-~ormations indépendamment de l'alimentation électrique.
La calculatrlce selon l'lnvention pourralt avantageu-selnent être adaptée au calcul des blorythmes. On connait une calculatrice de ~iorythme à fonctionnement essentlellement electronlque l~outefols cette calculatrlce connue pxesente l'lnconvénlent d'une mémoire volatlle, c'est-à-dire dont les donn~es 80nt per~ues lorsqu'on coupe l'allmentation. La calcu-latrice selon l'lnvention permettralt, dani6 un tel cas, de rem~-dler à cet inconvénient et de conserver en mémolre, même sl l'allmentation est coupee, une donn~e de calcul telle que la date de naissance, la m~moire étant à lecture et ~criture electriques, et utlllsable dès que l'alimentation est rétablle.
~sv i~--~ .
~ n conna~t par le brevet~578.766 une calculatrice de ~iorythrne où l'inscription des courbes est effectuée ~ l'aid~
d'organes electro-mécaniques. Si l'allmentatlon est coupée, 1PS
roues dentées conservent leur position de sorte que l'inscriptlon ~es courbes pourralt etre achevée après rétablissement de l'ali-mentatlon. Mais cornme on le voit, ceci ne constitue pas une verltable mémoire qui peut etre relue par un circuit de calcul et rien n'est prévu pour mémoriser une donn~e telle que la date de nalssance dans une mémolre electro-mccanlque conservant la ~onnée meme si l'alimentation est coupee, par exernple entre deux utilisations. La calculatrlce décrite dans ce brevet ne saurait ~-JI-C se comparer à la presente invention.
La presente invention pourrait également être avanta-geusement adaptée à un réveil digitaL pour conserver l'heure de l'actionnement de la sonnerie, même au cas o~ l'alimentation est coup~ .
On pourralt égalem~nt m~moriser de la sorte des dates, pour le cas o~ le réveil comporte un calendrler électronique et des moyens pour signaler l'imminence ou l'occurrence de la date que l'utilisateur a lnscrite dans la mémoire du reveil. Ces moyens de signalemen peuvent etre par exemple un cllgnotement d'une partle de l'affichage. La solutlon selon l'lnvention permettrait, par exemple, de changer les piles sans crainte qu~
la date lmportante ou l'heure notee ne solt perdue ou altérée.
Ce ~i précade montre l'intéret de la pr~sente inven-tion dans le domalne des calculatrices électronlques minlatures affect~e~ a la résolution de certalns problèmes pour lesquels 11 est ~ouhaitable de conserver des données de manl~re commode et fiable m~me ~i l'allmentatlon e~t coup~e, L'inventlon concexne ~galement le domalne des disposltlfs mlnlatures ~lectronlques qul ne sont pas de pures calculatrlces mais qul, cependant, comme par exemple un r~vell dlgltal, com-prennent une ou plusleurs fonctions utillsan~ des donn~es, par exemple l'heure de r~veil, donn~es qu'll est souhaitable de con-server de maniëre commode et flable, m~me sl l'allmentation est coup~e.
L'invention~sera mieux comprise a l'aide de la des-cription de quelques formes de realisation données ci-apres a tltre d'exemple et en reference aux dessins La flg. 1 represente une forme de r~alisation de la calculatrice selon lilnvention, la flg. 2 représente de manière schematique les cir-cuits de la calculatrlce de la fig. 1, la flg. 3 represente le schema d'une m~moire a el~-ments electro-mécaniques, : .' ~,;'. ~
la fig. 4 represente un élément ~e m~Moire ~lectro-mecanique, la fig. 5 illustre une autre forme de réalisation de la calculatrice, la fig. 6 illustre un~ troisieme forme d'execution de la calculatrice, les fig. 7 ~, B et C illustrent les états d'un élement ,ecial d'afflchage, les fig. 8 ~, ~ et C illustrent divers contenus possi-~les de l'affichage, et la fig. ~ représente de maniè~ sch~matique les cir-cuits de la calculatrice de la fig. 6.
La calculatrlce représent~e à la fiq'; 1 comporte un ~oltier 1 renfermant les circuits et sur lequel sont disposés des organes de co~nande et de lecture.
Les organes de commande consistent en un clavler 2 com~ortant une touche ON/OFF 22 pour la mise Pn servlce et l'ar-r~t, des touches numériques telles que la touche 2~, des touches ~e fonctlon 25 pour lndlquer la nature de la donnée fournie, jour; mois, ann~e, une touche d'ordre 26 pour demander une pr~vl-sion, et une touche d'inscriptlon 29, munle d'une touche de sécurlt~ 2~ telle que l'lnscrlption ne se falt que sl l'on appule simultanément sur les touches 28 et 29.
La calculatrice comprend ~alement un affichag~ compre-nant des dlodes électrolumlnescentes verte 31, jaune 32 et rouge 33. ~es diodes sont destin~es ~ indiquer la proba~illté qu'un eiventuel rapport lntime solt suivi d'une grosse~se ~elon la con-vention suivante : lu~iere rouge, pro~abillté ~levée; lumière jaune, pro~abllité moyenne; lumière verte, pro~abllite fal~le.
L'affichage comporte également une partie digitalP com-prenant au moins six cellules 42 à sept segments, du type solt électroluminescent, soi~ ~ cristaux liquides, pour affichf~r numériquement ie jour, le mois et l'année (unités et dizaines ~u numéro de l'annee civile). Les inscriptlons 40 telles que "J~UI~", "MOI~", "AN" failitent la lecture de la date.
Les fonctions logiques necessaires sont en principe realisables à l'aide de circuits tels que portes, registres, compteurs, etc. En pratique toutefois, on partira de circuits plus evolués du genre microprocesseur, plus souples d'emploi et plus commodes à implanter dès que les fonctions à réaliser depassent le niveau des fonctions élémentaires telles qu'un compta~e simple ou un transfert condi-tionnel.
Le schéma de la fig. 2 comprend un système logique miniature organisé autour d'une unité de processeur central CPU 50, controlant des mémoires et des périphériques par l'intermédiaire d'un bus 52. Comme périphérique, on trouve le clavier 2 relié par des lignes 55 à un circuit d'interface 54 relié au processeur CPU 50 par le bus 52. Comme périphe-rique, on trouve également l'affichage 3 relié par des lignes 57 à un circuit d'interface 56 relié au bus 52.
Le programme destiné à etre exécuté par le proces-seur est loge dans une memoire ROM 60, c'est-à-dire destinée à être lue seulement. Une telle ROM peut en fait consister en une PROM, c'est-à-dire une mémoire ROM que l'on peut, à
l'aide d'appareils auxiliaires, programmer à volonté. Cette memoire est de préference implantée sous la forme d'un "chip"
amovible, c'est-à-dire un circuit miniature pourvu de broches destinées à se connecter dans un socle pourvu de connecteurs correspondants. ~n chip amovible peut ê~re sorti pour etre modifi~ ou remplacé. On peut utiliser une EPROM, ~lest-à-dire un circuit effaçable, en principe à l'aide de rayons ultra-violets intenses, et reprogrammable à l'aide d'un appareil auxiliaire ad hoc.
Les calculs font usage de variables auxiliaires et de données en provenance du clavier qui doivent être mémorisees dans une memoire RAM 62. Toutefois, si le nombre de ces va-riables n'est pas trop importantJ on peut considérer que le processeur comporte les moyens voulus pour les mémoriser. ~es processeurs connus comportent usuellement une pluralité de registres destinés à cet effet.

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Ainsi, la calculatrice vise ~ réaliser un certain nombre de fonctions pour résoudre le problème posé dans l'in-troduction. Pour ce faire, on utilise un microprocesseur commandant un certain nombre de périphériques comme expliqué
ci-dessus, au moyen d'un programme. N'importe quelle personne qualifiée dans le domaine des microprocesseurs est capable de réaliser ce programme logé dans la mémoire ROM 60 en lan-gage "ASSEMBI,EUR", en fonction du problème posé. Cette per-sonne utilisera par exemple un microprocesseur du type "6500", des mémoires ROM et RAM du type "8 bits" et des interfaces du type "5520", tous fabriqués par exemple chez "Synertec"
ou "Intel" t ces entreprises délivrant ~galement les manuels d'utilisation y relatifs décrivant exactement le fonctionne~
ment de ces dispositifs.
Il existe également des "chips" incorporant a la fois une mémoire PROM, une portion de mémoire EPROM, une mémoire RAM et le processeur central CPU lui-même. Le prin-cipe du schéma reste le meme, mais un tel circuit peut présenter l'avantage d'un encombrement r~duit. On se réf~rera de pré-férence au mod~le TMS 1000 de TEXAS INST~UMENTS.
Sur le schéma de la fig. 2, on trouve encore une mémoirè 80 à éléments ~lectro-mécaniques reliée à un circuit d'interfaee 70 par cles lignes 72 et 90. U~e telle m~moire présente des particularites liees aux pxi~cipes ~ la base de la présente invention. Cette mémoire est ~galement contrôlée par le microprocesseur progra~mé ~ cet effet.
La fig. 3 montre le schema de la m~moire ~lectro-mécanique 80 et de son interface 70.
La m~moire se compose d'une pluralité d'elements de mémoire électro-mécaniques 82. Chaque élément 82 peut etre assimilé ~ une bascule, pouvant donc m~moriser une informa-tion de 1 bit, et l'~lément sera décrit plus en détail à la fig. 4.
Chaque bascule comprend une entr~e S ~set) de mise à 1 et une entrée R (reset) de mise ~ zéro, et un-fil de sor-tie 78, tous les fils de sortie ~tant reliés en un fil de ~ ' - ~
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sortie unique 90 pour toute la mémoire 80.
Les entrees R et S de chaque element 82 sont reliées individuellement a l'une des sorties d'un multiplexeur 702.
Le choix de la sortie est command~ par les fils de commande 73 du multiplexeur et le fil 74 sert à définir si on veut un R
ou un S. Lorsque le multiplexeur a selectionne la sortie appropri~e en fonction de l'adresse (fils 73) et de la don-nee (fil 74), une impulsion de commande peut etre envoyee par le fil 75 et elie sera aiguill@e par le multiplexeur vers l'entrée choisie.
L'impulsion d'inscription R ou S doit avoir une certaine puissance et une certaine durée, par exemple 10 milli-ampères pen~ant 2 millisecondes~ pour exciter les organes électro-mecaniques de l'élément 82.
Pour lire, on envoie une impulsion egalement par le multiplexeur sur l'entree S de l'el@ment R2 qu'on veut lire, mais on envoie une impulsion beaucoup plus courte, par exemple 10 microsecondes. Cette impulsion ne peut pas alterer l'etat lo~ique de la bascule. A ce moment, si la bascule est a 1, la sortie 78 et le fil de donnee 90 fourhiront un 1 logique et sl 1~ bascule choisie est ~ zero~ la sortie 78 et le fil de donnee 90 resteront ~ 0~ de sorte qu'on dispose, pendant 10 microsecondes, de la valeur logique de la bascule cholsie sur le fil de donn~e 90, ce qui suf$1t pour la lecture.
Le multiplexeur 702 est lui-meme commande par le mlcroprocesseur au travers d'un ampliflcateur 701, le micro-processeur gerant les inscriptions et les lectures dans la memoire 80. L'amplificateur 701 est ~videmment en communica-tion à double sens au moyen du bus 52 avec le mlcroprocesseur 50 dont il depend. I1 peut etre simplement constitu~ d'un cir-cuit amplificateur ~ transistors~ Le circuit 701 et le multi-plexeur 702 peuvent etre consid~r@s comme formant l'inter-face de la m@moire 80.
La fig. 4 represente le sch~ma de l'element de me-moire electro-m~canique 82. L'élément comporte un contact ~ .
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bistable 85 comprenant une lame 89 reliee à une borne 86 et ~tablissant le contact soit avec la borne 88, comme sur la figure, soit avec la borne oppos~e 87. La commutation est commandee par deux bobinages 83 et 8~. Une impulsion sur 12 bobinage 83 fait venir la lame 89 dans la position represen-tee à la ~ig. 4 et une impulsion sur l'autre bobinage 84 fait venir la lame dans la position opposee, indiquee en pointille.
~ne bobine est reliee à l'entree S et l'autre bobine est re-liée à l'entrée R. De plus, l'entree S est reliée ~ la borne 88, pour permettre les lectures.
La matrice des memoires 80 representée à la fig. 3 est réalisable sous la forme d'une plaque de circuit imprimee portant une pluralite de relais bistables miniatures R2 SOU-des à la plaque par leurs bornes de contact. Un modèle de relais pouvant convenir est le relais de la serie TL fournie par la Compagnie Deutsch, Un tel relais resiste à des condi-tions telles qu'une vibration de 3000 Hz présentant un~ accé-lération de 30 g ou une accéleration de 100 g sur 6 milli-secondes. 50n encombrement est de l'ordre d'un centimètre cube ou moins de sorte qu'on peut aisément en loger plusieurs dizaines dans le bo~tier d'une calculatrice en restant dans des dimensions acceptables pour une calculatrice de poche.
Sur le marche, on trouve de tels relaisn On utilisera de pre-ference des relais de la s~rie "TL" de ia Compagnie Deutsch.
v --~
~ vant de ~oursuivre la descrlption, il importe de rappeler approxlmativement en quoi consiste la métho~e connu~
pour la prevision.
La ~ersonne note les dates de ses règles successives.
~n calcule la duree, en nombre de jours, entre deux dates conse-cutives. Lorsque c~tte duree est regulière a quelques jours près pour plusieurs cycles successifs et que cette dur~e est conlprise ~ntre environ 21 et 37 jours, on peut raisonnableMent appli~uer la m~thode ~ui part du prlncipe que l'ovulation a 11eu 13 jours avant le d~but des r~gles. La probabillté qu'un rapport sexuel soit sulvi d'une grossesse est alors maxlmale au momen~ de l'ovulation. ~ette probabilit~ es~ ~alement elev~e pour les cluatre jours precedents et les trois jours sulvants.
Cette probablli~ devient en suite quasl nulle jusqu'aux prochaines r~gles~ Le reste du temps il subsiste une probabilite de grossesse relatlvement redulte.
Un exemple de méthode consiste donc ~ noter les dates ~es regles successlves dl, d2, ~.,0,~ calculer le~ dur~es correspondantes des CyCleB Cl ~ C2~ C3...~ ~ vérifler qu 1 il5 sont r~gullers, à établir la m~yenn~ cm et l'erreur probable ec. On calcule la date probable dp des prochaines r~gles. Cette date vaut~ bien s~r, la date des dernl~re~ rë~lQs d~ plus la dur~e moyenne du cycle cm, a~ec une incertltude em s dp - dn t cm ~ em On calcule combien de jours 11 y a entre la date d'aujour~'hui, da, et la date pro~able, dp. Soi~ g, ce nombre ~e jours :
g = d~ - da. S1 g e~comprls entre 14 + 4 + ec et 14 - 3 - ec, alors la pro~abilit~ d'une grossesse subs~quente est ~levee~
Si g est superieur ~ 14 t ec ~ 4, la probablllte est moyenne.
Si g est infexleur ~ 14 - ec - 4, alors la proba~llit~ est falble~
Concernant la calculatrice, on voit que les donnees importantes a memoriser sont : la date du debut des derniares r~gles et les durees des quatre derniers cycles pour pouvoir etablir une moyenne. La mémorlsation d'une date implique une . -10--03~i ~ortion de mémoire pouvant enregistrer un nombre j ayant une valeur ar~ltraire entre 1 et 365, pour le jour ~ans l'année, ainsi qu'un nombre "a" compris entre O et 99 pour déslgner l'ann~e~
La date requiert ainsi 9 bits pour j et 7 blts pour a.
Quant aux durées des cycles c, on les consld~re comme valables seulement si elles sont comprises entre 22 et 37. On enregistre~
alors seulement '1A différence dc entre la durée du cycle c et 22 :
dc = c - 22 Comme c vaut au plus 37, dc vaut au pluQ 15 :
15 ~ 37 - 22.
dc est donc comprls entre O et 15, ce qul requ~ert 4 bits. ~omme o~ enreglstre 4 pérlodes, cela deMande 4 ~ 4 G i6 bits. La capacité de la mémoire ~0 do~t ~tre au minimum donc de 16 Dlts pour 1PS duree~ ~e cycle~, plu~ 7 pour a, ~olt en tout 32 bits~
S1 pour chaque p~riode on prend clnq blts et non quatre, on peut blen entendu couvrir une plage de valeurs ayant une extenslon double, c'eRt-~-dire pour un dc allant de O ~ 31, Dans ce ca~ on pourra aalculer la dlff~rence dc ~ partlr d'une llmlte ln~rleure qui seralt plu~ ~a~se que 22~ et aller ~ une limlte sup~rleure plu~ ~lev~e que 37, La plage de~ valeurs ~our les dur~e~ c pourrait dtre comprl~e par e~e~ple ant~e 14 et 45.
Blen entendu, le programme devra tenlr comp~e de ce que les valeurQ extr~mes nP permettent pas d'appliquer la m~thode et faire apparaItre sur l~affichage un slgnal indlquant cela.
L'utilisation et le fonctionnement vont maintenant ~tre decrlts en r~ ence aux fly, l et, 2 particuli~rement.
~ n cuppose q~e la m~moire O contien~ la date ~es der-nières r~gles alnsi que les v~leurs (diminu~es de 223 des dur~es des quatre dernlers cycles, que l'on se trouve dans ~es condi-tions o~ la méthode Q8t applicable et que l'on est en mal lg88.
L'int~ressée d~slre obtenlr la pr~vision pour le lende- -main, qul est le 20 du moisO A cet effet, elle ac~lonne sur le clavier les touches portant les symboles selon la séquence suivante :
J 2 0 M 0 5 A 8 ~ *
~: ..
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ce qui veut dire : .
~our : 20, mois : 5 9 ann~e : 88, ordre de calculer ~touche 263.
Le processeur 50 commande l'afflchage de ce6 nombres d~s que la p~rsonne les i~scrlt au clavier, Le proce~seur 50 calcule la duree moyenne cm du cycle sux la base des quatre dernlers cy-cles, l'errPur probable ec, le nombre g de ~ours entre cette date prob~ble et la date du 20, en consultant bien sûr la m~molre 80, sans l'altérer.
Le processeur ~value, d'après g, cm et em, si la proba-blllt~ est ~lev~e, moyenne ou falble et, ~elon le x~sultat, allume l'une de3 troi~ dlode~ rouge 31, jaune 32 ou Yerte 33, respectlvement.
Concernant le calcul dea lntervalles~de temps entre dlff~rentes date~, la calculatrice met en oeuvre de~ ~oyens analogue~ ~ ceux mls en oeuvr~ dans certalne~ calculatrlce3 flnancl~res de poche, qul ~ont dot~es de ce qu'on appelle un calendrler perpetuel ~lectronlque. Vans le ca~ de.l~ c~lculatrice décrltc ici, le~ dits moyen~ comprendront slmplement un pro-~ramme ad~quat et quelque~ donn~e~.flxe~, toute~ lnscrlte~ dan~
une portlon de la m~molre ~OM 6~ qu~ est explolt~ par le ~oces-seur 50.
Blen entenduO le programme po~sad~ en outre, de pr~
f~rcnce, de8 routlnes permettant de d~ce ~ le~ caa o~ on ne peut pas ~tabl~r de pr~vl~ion ralsonnable, par ~xemple p~rce qu~la date pour laquell~ on veut la pr~vlfilon est ~rop ~lolgn~ ou lmpo3~1ble, ou par c~ que les cycles ~ont trop irx~guller~ ou trop court~. De pr~f~ence~ le programme pr~voit al~r~ l'aPflch~ge de la lettre E, pour "arreur" sulvie ~ventuell~ment d'un num~ro indlquant ~ nature de l'erreur, permettant A la per~onne de ~ r r~f~rer A la notlce d'emplol g~n~lement ~oln~e ~ la calculatxl-ce ~u lmprim~e au do~ de la calculatrlce, Blen entendu il conviendrait de renselgner lej acqué-reurs pour ~vi~er qu'lls n'attrl~uent ~ la calculatrlce des possibllit~s exager~es.
Concernant la modificatlon des donnees, elle in~er-vlen~ lorsque la per onne 1nscrlt la date de ses dernieres , .
: - ' 3~
regles. Sl elles interviennent, par ex~mple, le 28 mai 1~8, la ~ersonne actionnera les touches J 2 8 .~ 0 5 A 8 8 , elle vérifie sur l'affichage que la date est blen correcte yuis elle actionne simultanement la touche d'enregistrement 29 ~t la touche ~e securite 28.
Cecl actionne un programme ~e mise ~ jour des ~onnées de la memoire ~0.! Ce progra~e calcule la dernlère dur~e de cycle par difference entre la date des règles précedentes encore lns-crite en memoire 8~, et la date des r~gles récentes, qui vient d'~tre fournie par le moyen du clavier 2. Il ~limine, parmi les ~uatre durées de cycles memoris6es celles qul concernent le cycle le plus ancien, d~cale les trois autres e~ inscrlt la dur~e ~u cycle le plus r~cent. Le programme remplace encore la date des r~gles par la derniare date.
~ len entendu, la mémoire ~0 comporte ~e préférence un nom~re d'61éments sup~rieurs au mlnimum requis, qui est de 32 comme on l'a vu, pour ~tre ~ m~me d'lnscrlre avant d'effacex afln qu'on ne perde pas les donn~e~ au caq où l'allmentatlon est coup~e penda~t le transfert. ~a m8molre comportera en outre des ~it8 d'~tat pour lndlquer Bi l~Op~rat101- d~enregl~trelnent est achev~e ou lnachev~e, pour ~acllit~r la r~cup~ratlon de~
donn~es au cas o~ l'al~mentation est coupe~ pendant le transfert~
~ e plus, pour lé~ quatre durees de cycle 9 la m~molre L)eut comporter un polnteur qul dit lequel de~ quatre est le plus recent, ~tant entendu que les autre~ sont ordonn~s selon un "stack" clrculalre, Deux blts suffl~ent pour le polnteur.
La m~thode ~lno peut ~tre compl~t~e par un te~t con-cernant la temp~rature. Le prlncipe es~ suf~t~amment ~crit dans la litt~rature m~dicale.
Une varlante de la calcul~trice peut alors comprendre un moyen pour l'introductlon ~e la donn~e relative ~ la tempéra-ture et des programmes pour compléter les calculs par une fonctlon tenant compte de ces donnees. Comm~ moyen d'entrée; une touche supplémentaire sufflt. Soit T une telle touche supplementaire.

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, L'utilisation pourrait ~tre la suivante : lor~yue la personne demande une prevision, elle inscrit au claviex non seu-lement la date, mais encore la tPmpérature ~ par exemple 37,3~C, avant de demander la prévision en actionnant la touche 26. La sé~uence serait :
J 2 0 ~ 0 5 ~ 8 ~
puis, apr~s v~rlfication sur l'affichage : T 3 7 3 puis *
pour ordonner lq~calcul d'une pr~vision.
Concernant l'inscription d'une date au clavier, il ~;t bien clair que l'on pourrait inscrire le jour, le mois et l'ann~e dans un ordre différent. ~e plus~ si on se rend compte que l'une des lndications, par exemple le mois, est erronée, il suffit d'actlonner à nouveau la touche M puls ~es touches numérlques coxrectes.
On peut encore remarquer que la touche * 26 peut ~tre elimin~. bans ce cas, le programme est agencé de manlère ~
effectuer la prévislon pour toute date que l'on lnscrit et qui appara$t sur l'afflchage. Ce qui pr~cède concerne un exemple de r~allsatlon et nombre de modlficatlons peuvent ~txe effectuées sans ~ortlr du cadre de la pr~sente inventlon.
La flg. 5 illustre une deuxi~me forme de r~all~ation qui se ~lstlngue par une certalne slmpliclt~ du clavler, Le syst2me logique d'une telle calculatrlce po~s~dè es~entiellement la structure d~crlte ~ la ~igr 2. Toutefoi~ le~ pro~rammes tlennent compte du clavier partlculier à cs~te forme d'exkcutio~.
L'u~illsatlon et le fonctionnement 80nt d~crit6 cl-apr~s ~n m~me temp6 que llon décrlt les fonc~lons d~s diff~rent~s touches.
~ a touche "l" 127 sert ~ la mlse en servlce, elle bran-che l'allmentatlon. La touche ~n~ 128 sert ~ l'arret e~ coupe l'aLimentation. ~outefois, même si l'on n'actionne pac la touche "O", l'afflchage es~ mis en vellleuse au bout d'une minute si l'on n'a actlonn~ aucune touche du clavier. L'affichage est à
nouveau activé sl l'on presse ~ nouveau la touche l ou aussl si l'on actionne une autre touche, mais à l'exclusion de la ~ou~he O
~ui arr~te tout. Si l'onnactionne aucune touche pendant 5 minutes, , .. ,. :
' ' ' ~h le systeme est egalement mis à l'arr~t.
La touche J sert à modlfier un compteur num~rique dont le contenu est affich~ sur les deux digit~ de la fenetre 141.
Le dit compteur numerique est evidemment de nature essentiellement logicielle (soft); il n'y a donc pas lieu de le decrlre lci.
S1 le nombre affiche est superleur à la date du jour clue l'utlllsateur veut afflcher, l'util~sateur peut utlllser la touche d'inversion 125; laquelle a pour effet d'lnverserle sens de comptage.
Le prograrnme est agenc~ pour que le comptage soit rela-tivement lent lorsqu'on actlonne la touche J, puis au bout de quelques secondes, le comptage accelère si l'on malntient la uche J. '~
La touche M 122 permet d'afficher le mois ~ur le~
digits de la fen~tre 142 et la touche A 123 permet d'afficher l'ann~e sur le~ deux dlgits de la fenêtre 143. Les touches M et ont de~ fonctions analogues à celle de la touche J et sont également lnfluenc~es par la touche d'inversion 125.
~ e cla~ier pe~t comporter une tou~he 126 ordonnant le calcul d'une pr~vlslo~. On a vu qu'une telle ~ou~h0 n'est pas indlspensable. Le ~lavier comporte en~ln les ouches d'insc~lptlon 2B et de sécurlte 29 do~t 1~ fonctlon a d~ te d~crite.
La ~ig. 6 lllustre un exe~ple de r~al~atlon qul, ~
l'lnver~e de celul de la fig. 5, ~e ~lstingue par u~e certaine complexlt~, Le clavler comports dafi touche~ num~riqueQ et dlver ~es touches de fonctlon et pourrait par~altement convenlr pour une calculatrice scientiflque, flnancièret arithm~tique ou autr~, ainsi qu'à une horloge ~lectronique. Le clavler comporte en outre une touche d'ln~crlptlon 29 et une touche de s~curlt~
2~.
L'affichage 3 comprend, dans l'exemple donnk, une zone alpllanum~rique 301 de trois pos~tions, une zone num~rique 302 de quatre positions et une zone speciale 303 pour l'affichage du calcul de prediction.
Une probabilite faible est affichee de la manl~re .:: :' ' ~ ~ :
-indi~u~e à la fig. 7A, une prohabllit~ moyenne ést affich~e de la manière indiquee à la fig. 7B, une probabllité élev~e est affich~e comme indique ~ la flg. 7C et, en outre, par un cligno-tement de l'element d'affichage spécial 303. L'affichage 300 peut être reallsé avantageusement, mals non exclusivement, selon la technique ~es cristaux liquides.
La flg. 9 montre le schema d'une calculatrlce compor-tant une partie servant ~ la mesure du temps. Cette partie com-porte une base de temps 174 reli~e ~ un ensemble de circuits loglques de mesure du temps 170 qul fonctionnent en permanence et, entre au~res, ~valuQnt non seulement l'heure ~ la seconde près, mais encore la date. Ces circuits 170, 174 sont destlnés fonctionner sans lnterruption.
Un tel circult de mesure permanente du temps repré-sente un moyen commode ~our faire apparaltre, comme donnee, la date du jour. Cette date peut ensulte être exploltée pour un calcul de pr~vislon ou une inscription.
La fig. 8 lllu~tre quelque~ ~tat~ pos6ibles de l'affi-chage 300.
La flg, 8~ 111us~re l'afflchage de l'heur~, 10 h 25 du matln dans l'exeMple donn~. La zone alph~num~rique es~ utill~ée pour distinguer le matln ~"AM") de 1~apr~s-mldl ("PM"3.
La flg. 8~ lllu~tre l'afflchag;e~d~une date, 12 novembre 1988 dan~ l'exemple donn~, ain~l que l'afflchage d'un calcul de prévision qui indique, dans l'exemple donn~, une probabilit~ moyenne.
La flg. ~C indique un troi~l~e emplol de l'afflchage, prevu pour le cas ou l'on ~eut fournlr au pro~ramme de calcul de pr6vlsion une donn~e concernan~ la temperature, qui est de 37,3~C
dans l'exempl~ donn~.
Les exemples d~crlt ci-de~su~ ~e r~f~rent speclalement ~ un~ calculatrlce agencee sp~cialement pour ex~cuter le3 calculs requis par la m~thode Ogino ou une méthode analogue. Toutefols, le princlpe consistant à utlllser une m~molre ~lec~ro-m~canique composee d'une pluralit~ de relais bistable~ et de circuits de ', , ' .'' ' 3~
lecture et dlenregistrement peut s'app~iquer 3 d'autres calcula-trices ou d'autres dispositifs électronlques comportant une par-tie digitale utillsant des donnees, pour le cas o~ certaines ~onnees imE,ortantes doivent etre mémorisées de façon commode et s~re et conservées même en l'absence d'alimentation.

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Claims

La réalisation de l'invention, au sujet desquelles un droit exclusif de propriété ou de privilège est revendiqué, sont définies comme il suit:

1. Calculatrice de poche pour la prévision de cycles temporels,comprenant: une alimentation électrique, des moyens d'entrée permettant de communiquer des données comprenant des dates et des ordres de calcul, ces moyens comprenant au moins une sortie et délivrant à cette sortie les dites données et les dits ordres sous forme de signaux électriques, des moyens de calculs électroniques compre-nant des entrées pour les dits signaux, des circuits de calcul et de mémoire agencés pour effectuer les calculs de prévision en réponse à des ordres communiqués aux moyens d'entrée, et au moins une sortie pour des signaux corres-pondant aux résultat demandés, et des moyens d'affichage commandés par les signaux de sortie, et comprenant en outre pour conserver des données valables essentielles, une mémoire électro-mécanique formée d'unités de mémoire électro-mécaniques, chaque unité de mémoire électro-mécanique se présentant sous la forme d'un relais miniature électro-mécanique bistable ayant au moins un solénoide de commande et conservant sa position mécanique même en l'absence d'alimentation électrique, de manière à préserver les données variables essentielles même si l'alimentation est coupée, les contacts.
du relais servant à la lecture de l'unité mémoire constituée par le relais, la mémoire comprenant des circuits d'in-scription permettant de transmettre à volonté une impulsion à chaque solénoide, et des circuits de lecture permettant à volonté de tester l'état, ouvert ou fermé, de chaque contact, les dits circuits de lecture étant commandés par les moyens de calcul, caractérisée en ce que la mémoire électromécanique est agencée pour être lue seulement par les moyens de calcul et pour être mise à jour par introductions successives de données par actionnement manuel des moyens d'entrée, et en ce que, pour l'inscription de données dans la mémoire électromécanique, la calculatrice comporte une touche de commande et une touche de sécurité agencées de telle sorte que pour inscrire des données dans la mémoire électro-mécanique, il faut presser les deux touches.