NOUVEAU PRINCIPE D'ARMEMENT .
NOUVEAU PRINCIPE D'ARMEMENT .
On connait les armes primitives qui demandaient un chargement au coup le coup, de telle sorte qu'il fallait introduire manuellement avec un baton pousseur (baguette) une certaine charge
de poudre qui permettait, après l'action d'un silex, de mettre à feu cette poudre et de déclencher le départ d'une balle .
Notre brevet part du même principe .
Sauf que nous avons pré vu de rendre l'entrée
de la matière explosive, (gaz ou poudre) , totalement automatisée .
Il y a donc effet nouveau sur un point principal qui est de supprimer les douilles par
un approvisionnement automatique de matière explosive .
On sait également que, tant le régime de
Adolphe HITLER que les recherches américaines ont essayé de trouver un armement qui ne nécessite aucune douille . Cet armement mettait
la charge utile directement dans la balle, de telle sorte que l'on gagne de la place, du poids, de l'énergie et de la matière . Mais, automatiquement, un problême apparaissait : LES RESIDUS ou déchets provenant de la pastille qui obturait l'élément explosif (non éjectable) de la balle .
Notre brevet veut,également supprimer cet inconvénient .
Si l'on veut comprendre, également, que le
fait d'utiliser des douilles ( ou réserves
de poudre ) nécessite d'utiliser deux fois
plus de volume que si l'on travaille sans douille, l'on comprendra l'utilité du présent brevet . Mais, le principe voudrait
que l'on arrive à réduire le nombre de pièces en mouvement à un strict minimum .
On constatera, par la suite, que ces pièces
se trouveront au nombre de 1, 2, et peut-être 3 ...avec une possibilité supérieure tenant compte de la nécessité de protection
du présent brevet .
Définition du NOUVEAUIRINCIPE D'ARMEMENT
Par l'apport de gaz détonnant ou de poudre bakélisée ou autre, ce par ùncircuit indépendant, permettre à des balles d'être éjectées comme si elles étaient avec une
douille .C'est à dire, que nous souhaitons obtenir un circuit de distribution des balles
de telle sorte que l'on'réduise le volume d' armement et que l'on diminue le prix de revient des munitions .
Il est bon de savoir, à cette étape de brevet,
que diverses possibilités d'approvisionnement sont prévues et que, en outre, nous proposerons certaine innovations quant au canon .
Nous avons cherché de mettre dans un seul brevet ce qui qurait pu faire partie de plusieurs brevets Continuons le principe :
Outre à l'élément de revendication repris cidessus, il faut comprendre que ces balles sont totalement indépendantes du système de propulsion .
C'est à dire que l'on peut utiliser, indifféremment de la poudre solidifiée ou du gaz comme élément propulsif ou explosif .
Par ailleurs, il est évident que ce principe est applicable au fusil, au piltolet, à
la mitraillette, au canon, ou à toute autre sorte d'arme à feu .
Dans un croquis annexé, nous décrivons un certain nombre de possibilités quant à l'in-
<EMI ID=1.1>
arme .
En figure 1 :
a et b sont deux roues crantées s'entrainant mutuellement, soit par la simple présence de
e (balle) soit par un simple système de roues dentées appliquées contre ces deux roues (ou cylindres) crantées . On constatera que, à chaque fois que ces deux roues crantées( a et b) arrivent au point e , automatiquement elles créent une chambre de mise à feu qui est sise face au canon . d servant de guide pour les balles et c étant le système chargeur où les balles sont poussées, soit par un tiroir ou piston mû par la récupération d'une petite
des gaz provoqués par la mise à feu, soit par une part négligeable des gaz utilisés pour la mise à feu, soit par un simple ressort . L'ensemble repris en cette figure 1 étant défini à titre d'exemple réalisable dans le cadre du présent brevet .
En figure 2 :
a étant le canon, b est un tiroir qui par un mouvement de va et vient latéral, approvisionne le canon (a) en balle ou projectile . Il est évident que ce tiroir, ou curseur d'approvisionnement peut être incurvé de manière à obtenir un effet différent .
En figure 3 :
a étant le canon, b est une glissière permettant l'admission des balles . Il est clair que cette glissière fonctionne par l'action des gaz, en faible part bien sûr, produits
par l'explosion de la matière de mise à feu .
Par ailleurs, elle est repoussée en position
" fermée " par un ressort arrière, ce, dés
que la balle s'est positionnée dans la chambre de mise à feu .
En figure 4 :
a étant le canon, b étant le barillet, c étant le chargeur, les balles (d) sont introduites automatiquement dans le barillet (b), de telle sorte qu'elles se positionnent, l'une après l'autre, face au canon . Le barillet servant,
à ce moment, de chambre de mise à feu .
L'introduction des balles pouvant se faire
par l'arrière, dans le présent cas de figure, ou par l'avant, dans un autre cas de figure .
Le barillet tournant et se positionnant, automatiquement, notamment par un système de crémaillière . Les balles étant amenées en position de pénétration du barillet par un ressort ou par un poussoir tel que décrit en Figure 1 .
Figure 5 :
<EMI ID=2.1>
ration, permettre, suite à un movement de va
et vient circulaire, l'entrée de la balle
dans le canon (a) ou dans la chambre de mise
à feu, b étant mû par un simple levier contrarié par un ressort de rappel et poussé par une faible part des gaz dégagés par l'explosion de la matière de mise à feu .
A ce stade de l'explicatif, nous résumerons comme suit :
Il existe diverses manières d'introduire les balles dans la chambre de mise à feu, que
cette chambre soit partie intégrante du canon ou qu'elle se constitue soit par un barillet ou par des cylindres crantés, le principal est que l'on apporte la balle face au canon avec un minimum de pièces en mouvement
et, donc, avec un minimum de perte de puissance ainsi qu'avec un minimum de risque d'enrayage . On aura compris que ce principe, quel qu'en soit le système mécanique simple, permettra d'atteindre une très grande cadence
de tir ainsi qu'une excellente capacité de chargement tout en restant d'un prix de revient faible et d'un poids inférieur à la moyenne d'armements similaires .
Nous soulignerons, également, qu'il est parfaitement possible, dans le cas où le gaz
ne pouvait s'appliquer dans des cas d'espèce,
de faire "entrer" dans la chambre de mise à
feu, simultanément, et la balle et la poudre . Ceci pouvant faire, si nécessaire, l'objet
d'une annexe au présent brevet .
Système de mise à feu :
Pour des raisons de dimunitions des pièces en mouvement, le présent brevet prévoit d'utiliser un allumage, ou mise à feu, électronique .
On connait, à ce sujet, les briquets dits "piezzo électronic" dont les étincelles, provoquées par une simple pression du doigt, sont
en nombre quasiment illimité . Or, cette étincelle est largement suffisante pour provoquer la
la mise à feu du produit déflaqrant .
Pour des raisons évidentes, dans le cadre du présent brevet, nous prévoirons, également,
la mise à feu par un système conventionnel, telle la percution avec un apport éventuel d'étincelle . ( La première description en
page 2 permet de comprendre cette solution) Systèmes particuliers :
Nous envisageons, voir figure 6, d'utiliser,
en un cas particulier, des projectiles (a)
munis de deux, ou plus, ou moins, "jupes"
ou cerclages légers de telle sorte qu'ils servent, d'une part, de guides dans le chargeur et, d'autre part, qu'ils s'écrasent lors
de la pénétration dans le canon et servent, en quelque sorte, de "bourre" ou frein de base
à l'éjection du projectile .
Par ailleurs, voir figure 7, nous pourrions,
en un cas de figure, prévoir à l'entrée du canon une, deux ou plusieurs traceurs (b) de
telle sorte que ces "jupes" ou cerclages légers soient marqués en spirale et provoquent
la rotation de ce projectile sur lui-même .
Ceci éviterait de devoir utiliser un canon
rayé et diminuerait d'autant le prix de revient . Ceci permettrait, en outre, figure 8, de disposer d'un canon (a) dont la partie interne (b) serait en porcelaine . ( On connait, particulièrement au Japon, les recherches actuelles pour garnir les parois internes d'un cylindre de moteur à explosion de cette matière particulièrement résistante aux frottements, à la chaleur
et présentant l'avantage de ne nécessiter qu' une lubrification négligeable .)
Comme, de toute évidence, en ce cas particulier, le rayurage du canon apparait difficile, le cas de figure repris en figure 7 semble particuliè-ment approprié .
En figure 9, en a, nous trouvons le chargeur pour les balles et, en b, le chargement de poudre solidifiée .
On comprendra que les deux, a et b, s'introduiront simultanément dans la chambre de mise
à feu après être passé par un système d'armement tel que repris dans les figures de 1 à 5 .
Et, ce, dans un cas de figure non limitatif quant au présent brevet .
Dans l'état actuel, si nous voulons résumer
un cas particulier d'utilisation, nous dirons :
Partant de la figure 1 où par l'intermédiaire de deux cylindres crantés faisant ofiice, en leur axe commun, de chambre de mise à feu, utilisant un chargeur dont les projectiles
sont poussés par un tiroir faisant office de piston, suite à l'intervention d'une faible part des gaz dégagés par la mise è feu, tenant compte que la mise à feu se fait par l'intervention d'une décharge électrique, tenant compte que l'explosion est le résultat de l'introduction de gaz explosif dont la bonbonne, sous pression, est sise dans la crosse,; utilisant, en outre, (figure 6) des projectiles disposant de 2 jupes (b) et étant rainurés automatiquement (figure 7), permettre une grande cadence de tir tout en évitant l'échauffement du canon grâce à l'adjonction d'une âme de porcelaine dans le canon ( figure 8 - b) .
Il est clair que diverses formules sont possibles et que les diverses formules reprises pourraient être développées dans le présent brevet . Nous nous réservons de le faire dans d'annexes au présent brevet .
REVENDICATIONS :
Oltelles que, partant du principe de base qui
est bien de déclencher le départ d'une balle sans intervention d'une douille;