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partiel ou complet, et revêtu de la surface catadioptrique habituellement utilisée en projection frontale. La caméra peut effectuer ses mouvements de zoom et de panoramique vertical, librement à l'intérieur de l'écran, en respectant les règles bien connues pour ces circonstances.
Par contre, les mouvements de panoramique horizontal ne s'effectuent pas à l'intérieur de l'image projetée, car la tête panoramique de la caméra est fixée et verrouillée pour rester solidaire du projecteur autour du bloc-support. Si on veut effectuer
un panoramique horizontal, c'est tout le bloc qui pivote et la projection accompagne la caméra dans son mouvement.
Toutefois, afin que l'image projetée reste fixe
à sa place dans l'espace-décor, je dis que, dans son projecteur, la diapositive doit se déplacer latéralement, dans le sens et à la vitesse voulus pour contrarier le mouvement imposé à l'ensemble du bloc. De cette façon, l'image projetée reste fixe dans;son décor, mais elle se complète en "se déroulant" à gauche ou à droite en fonction du mouvement de caméra demandé.
A l'usage, une fois les repères décor réel-décor projeté mis en superposition, il suffit de verrouiller le dispositif
de synchronisations pour que la diapositive apparaisse dans; l'image enregistrée par la caméra, au gré du cadreur, quels que soient les arrêts, les allers et retours et même les hésitations de ses mouvements.
Mise en oeuvre : Celle-ci fait appel à des matériels classiques. Seul, le projecteur est de conception nouvelle. En effet
- l'écran catadioptrique, la caméra ( cinéma ou vidéo ) et l'objectif de prise de vues ne subissent pas de modifications;
- peu importe que le bloc-support soit;assemblé dans un plan horizontal ou vertical. Par contre, le présent système implique que, en plus.des conditions connues, les conditions suivantes, nécessaires et suffisantes, soient réunies :
1) le bloc-support est construit autour d'un axe de rotation vertical.
2) se confondent avec cet axe : le point nodal d'incidence ou point nodal avant de l'objectif de prise de vues ; et le point nodal d'émergence ou point nodal avant de l'objectif de;projection.
3) la caméra est fixée sur une tête permettant des:, mouvements de panoramique vertical autour du point nodal d'incidence de son objectif.
4) la manivelle ou le manche permettant au cadreur d'effectuer un mouvement de panoramique horizontal entraîne solidairement tout le bloc, soit directement, soit par une liaison quelconque : mécanique, élec-
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trôle d'un ordinateur ou pas.
5) quelle que soit la solution retenue pour la fixation du bloc (déposé au sol,ou sur un engin de machinerie, ou suspendu au plafond ) celleci assure une rotation du bloc autour de l'axe vertical déjà évoqué,
et ce dans une horizontabilité absolue par rapport au décor. Le point de fixation, sol ou plafond, servant de référence immuable pour le repérage de l'image projetée dans le décor réel.
- la structure générale du projecteur doit répondre aux exigences suivantes :
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le bloc ( voir coïncidence des points nodaux).
2) par contre la fenêtre de projection est mobile dans deux sens, la profondeur-, pour permettre la mise au point de l'image sur l'écran ;
et la hauteur pour permettre le décentrement de l'axe de projection vers le haut ou le bas de l'écran.
3) la source lumineuse et son équipage optique sont également mobiles
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le mouvement de la fenêtre.
4) le couloir de projection, y compris la fenêtre, est courbé dans sa
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netteté de l'image projetée sur un écran courbe par un objectif normalement corrigé de la courbure de champ pour un plan focal plat.
5) le couloir est interchangeable, pour autoriser l'adoption de courbures variables selon les distances de projection souhaitées. Dans la plupart des cas une courbure moyenne, commune à plusieurs distances de projection, est calculable en fonction de la profondeur de foyer atteinte, par la fermeture du diaphragme, par l'objectif de projection. Par contre les variantes 3 et 4 proposées plus loin impliquent un couloir spécial tellement les conditions sont différentes, tant en ce qui concerne le diaphragme que la distance de projection.
6) dans=le couloir, la fenêtre de projection est réduite par des caches amovibles, choisis en fonction du format d'image souhaité ( du rapport 1,33/1 au rapport 2,35/1 ).
7) l'objectif est du type prise de vues ou agrandissement. Il est muni d'un diaphragme, de préférence gradué en échelle photométrique. Il doit
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cms.
8) la diapositive est réalisée par un appareil photographique panorami-
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foré 70mm inversible ou négatif.
9) le déplacement bilatéral du film dans le couloir est contrôlé par tout système : mécanique, électrique, électro-mécanique, électro-magnétique, électronique ou autre assurant une démultiplication constante et automatique basée sur la relation mathématique établie entre la rotation du
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sitif représentant ces mêmes 360 [deg.]. Cette démultiplication reste évidemment la même si le cyclorama n'est que partiellement utilisé.(cfr: rem 3) Remarque : Le projecteur peut être construit, selon exactement les mêmes conditions, dans; un autre format. Le 70mm n'est donné ici qu'à titre indicatif et paras qu'il semble, à l'analyse, le plus pratique et plus perf ormant .
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Deuxième variante : image-décor animée, en studio.
Principe La projection d'une image-décor animée implique l'usage d'un projecteur cinématographique fonctionnant à la même cadence que la caméra et dont l'obturateur est en phase avec l'obturateur de prise de vues.
Si, lors de l'enregistrement de cette image-décor, la caméra a effectué un ou plusieurs mouvements de panoramique, il faut, à la projection, pour que l'image-décor projetée reste à sa place dans l'espace-décor réel, que ce ou ces panoramiques soient reconstitués par le bloc caméra-projecteur avec une précision absolue.
L'ordinateur intervient pour assurer cette précision : - pendant la prise de vues de l'image-décor, il sort de sa mémoire ou de son programme tous les paramètres nécessaires à l'exécution du mouvement latéral correspondant. Et ce quelle que soit la cadence adoptée : normale, accélérée, ralentie ou même image par image.
: - pendant la prise de vues finale, il gère l'automaticité absolue de la restitution du mouvement mis en mémoire ainsi que la mise en phase des obturateurs.
Signalons encore qu'en cas de prise de vues en image par image d'un mouvement de panoramique rapide, le filage nécessaire à la perception continue et fluide du dit mouvement s'obtiendra en provoquant le déplacement de la caméra pendant la phase d'exposition de la pellicule et non le contraire. C'est là un des services
de plus que l'ordinateur apporte à cette technique.
Remarque pratique : La seule restriction impliquée par ce procédé réside dans l'obligation, pour le réalisateur, de soumettre le rythme de sa mise en scène au mouvement de caméra qui lui est imposé par
la machine. Remarquons toutefois que c'est le réalisateur lui-même qui a , préalablement, réglé ce mouvement ; qu'il a pu¯le répéter à blanc avec des doublures, le faire exécuter par son cadreur, en choisir la meilleure exécution qui, grâce à la mémoire de l'ordinateur, deviendra le mouvement "pilote" auquel toutes les fonctions ultérieures seront asservies.
Mise en oeuvre : Celle-ci fait appel à du matériel classique qu'il convient cependant de modifier comme suit :
1) la caméra, quel que soit son format, est équipée d'un moteur pas
à pas. Si la caméra est du type vidéo, elle sera synchronisée au projecteur au mieux selon la technique habituelle ou via l'ordinateur.
2) le projecteur est équipé d'un moteur pas; à pas.Toutefois il se peut , si la technique de synchronisation avec une caméra de télévision le souhaite, qu'il soit équipé d'un autre type de moteur.
k 3) le projecteur peut être équipé d'un compteur d'images électronique servant de référence temporelle à l'ordinateur si, par exemple, le moteur du projecteur doit être asservi au signal de synchronisation de=la caméra de télévision.
4) le projecteur, s'il est du type à défilement horizontal, par exemple Vistavision, utilisera un couloir courbe incluant la fenêtre des projection. Dans les mêmes conditions et pour les mêmes raisons que le projecteur de diapositive décrit plus haut.
5) dans l'impossibilité de courber la fenêtre de projection autour d'un axe parallèle au sens de défilement ( 35 mm ou 70mm ), on pourra résoudre le problème de la netteté, sur écran cylindrique, d'une image projetée au départ d'un plan focal plat, par les voies optiques connues.
6) en fonction manuelle, la manivelle (ou le manche ) du cadreur agira sur un capteur-générateur d'impulsions relié à l'ordinateur.
7) le bloa-support est entrainé dans sa rotation par un ou plusieurs moteurs pas à pas gérés par l'ordinateur.
8) la programmation de l'ordinateur est complexe et dépasse le -cadre de la présente description. Disons que l'ordinateur doit pouvoir activer les moteurs du bloc en fonction des impulsions reçues du capteur, mettre ces: impulsions- en mémoire pour restituer le mouvement correspondant; gérer l'exécution automatique d'un mouvement programmé ou en mémoire quelle qu'en soit la cadence initiale et le restituer à une autre cadence; en prise de vues image par image assurer, à la demande, la mise en phase ou hors phase de l'exposition par rapport au déclanchement du mouvement; synchroniser la phase des obturateurs de projection et de prise de vues,etc. On comprendra que cette liste ne soit pas limitative.
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Troisième variante : image-décor fixe, en extérieur-jour.
Quatrième variante : image-décor animée, en extérieur-jour..
Principe : Partons de la vieille technique de la découverte peinte présentée, en avant-plan, dans la profondeur de champ de l'objectif de prise de vues et découpée selon la ligne de raccord avec le décor existant. Imaginons de remplacer cette peinture par un écran frontal cylindrique, également à l'avant plan,pareillement découpé sur lequel on projette une image fixe ou animée qui, selon les techni-
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Au centre de ce cyclo, on installe um simple viseur focal pivotant autour de son point nodal d'incidence. On peut aussi directement installer le bloc caméra-projecteur et bénéficier ainsi de la projection,de l'image décor. A l'aide de cette visée, accompagnée ou non de la projection, on trace sur le cyclo la ligne de raccord avec le décor réel. Ensuite, on découpe le cyclo, suivant cette ligne de sorte que seule subsiste la partie qui cache la por-
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cyclo en biseau afin que, dans la perspective de la prise de vues, on ne puisse pas déceler l'épaisseur du support formant le cyclo. Il reste à coller sur ce cyclo découpé l'écran catadioptrique habi-
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Le décor à incruster a préalablement été photographié ou filmé en vue de son utilisation avec le bloc déjà décrit. Cette dia ou ce film est réalisé et projeté sans aucun, masque puisque la partie inutile de.; cette image est projetée dans le vide, en dehors de l'écran.
Le problème de la puissance de la source lumineuse nécessaire à cette projection.en plein soleil ne se pose pas vraiment, étant donné la proximité de l'écran et la non-obligation de fermer le diaphragme de l'objectif des projection. En effet, ce diaphragme ne sert plus à augmenter la "profondeur de champ" de la projection ( ombres nettes des comédiens sur l'écran ) puisque cet écran est maintenant devant les comédiens. Ce diaphragme sert uniquement à doser la luminance de l'image projetée par rapport à la luminance du décor réel.
Mise en oeuvre Selon que l'on désire une image-décor fixe ou animée, on utilisera le matériel décrit dans la première ou deuxième variante. Ce matériel reste inchangé, à un détail près pour les projections en plein jour, la source lumineuse du projecteur doit atteindre une température de couleurs de 5.600 à 6.000 [deg.] Kelvin, soit par choix d'une lampe adéquate, soit par filtrage. Au delà de cette normalisation le filtre sera toujours le bienvenu pour adapter la projection aux conditions particulières de la prise de vues.
L'écran, par contre, est totalement différent. Il s'agit d'un écran cylindrique de, prenons ici un exemple, plus ou
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dépendent uniquement de la profondeur de champ de l'objectif de prise de vues. Donc des conditions d'exposition du décor réel.
Le support de l'écran est constitué de feuilles de plexiglace ( une ou plusieurs), ou de toute autre matière flexible et plus ou moins transparente, arrondies aux dimensions voulues et
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Une toile de tente, un chapiteau, ou un faux plafond protégera l'écran de la lumière du jour pour lui éviter un éclairement parasite nuisible au contraste de l'image projetée.
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PROJECTION FRONTALE SUR TRAVELING LATERAL. Image-décor animée, en studio.
Principe : La rotation autour d'un axe n'implique pas de déplace-
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animée d'une image-décor filmée à une échelles réduite sur une maquette tri-dimentionnelle est indispensable.
Le bloc caméra-projecteur est compact. Il peut prendre place sur tout traveling classique. Par contre il est nécessaire de trouver une référence linéaire constante solidaire du décor et d'asservir à cette référence, conjointement à la projection-prise de vues;, le déplacement du traveling. De sorte:que la caméra enregistre l'image du décor projeté avec sa perspective latérale en mouvement qui vient s'incruster dans la perspective du décor, réel.
Mise en oeuvre : Le matériel est le même que celui décrit dans. la deuxième variante. Toutefois :
I) l'écran est plat et relativement parallèle au traveling.
2) la courbure de la fenêtre du projecteur n'a plus les, raisons d'être évoquées plus haut.Cependant on pourra, classiquement et pour des raisons; mécaniques, maintenir une légère courbure dans les limites de la profondeur de foyer.
3) le traveling sera entraîné par un ou plusieurs moteurs pas à pas, qu'ils soient solidaires du chariot lui-même au,au contraire, soient à poste fixe en bout de rails agissant sur une chaîne ou un câble bouclé en va-et-vient autour du chariot.
4) ce ou ces moteurs pas à pas seront activés par l'ordinateur qui en contrôlera l'avance et la vitesse par rapport, soit à un chemin de contacts conducteur d'impulsions, soit à un tracé de références optiques ou magnétiques.
REMARQUES FINALES :
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cations du procédé. Je pense, en effet, que la projection frontale
est niche de possibilités esthétiques et dramatiques allant loin beaucoup plus loin dans la création que l'usage qui en a été fait jusqu'à présent.
2) D'autre part, j'ai spécifié dans l'en-tête la possibilité d'exploiter le procédé en extérieur, de nuit. Possibilité qui n'a pas été par la suite renseignée dans le texte. La raison tient à l'évidence que
si le procédé est possible en studio, il l'est aussi de nuit en extérieur... avec les:réserves;connues quant à la densité des noirs. Mais là encore, le procédé décrit en I, II, et III, permet, grâce à la courbure de l'écran permanente, l'usage systématique du matériau dit! 7615
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utilisable principalement en studio et accessoirement en extérieur, la nuit exclusivement. Dans. le même ordre d'idée, l'expression " en extérieur jour ", utilisée pour les troisième et quatrième variantes n'e�lut nullement la possibilité d'utiliser le procédé en studio.
Il y trouverait au contraire un champ d'applications d'une richesse extraordinaire .
3) A propos' du rapport de démultiplication entre la rotation du bloc et le déplacement de la diapositive, je dois constater que la formule <EMI ID=20.1>
ce focale de l'objectif de l'appareil photo panoramique ) prenne en compte l'allongement de tirage dû à la mise au point.
REVENDICATIONS :
Le présent-- procédé , avec ses variantes et son extrapolation, est caractérisé par le fait que le dispositif décrit permet :
I) de combiner la projection frontale avec le mouvement de panoramique
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2) de combiner la prise de vues en extérieur, en plein jour, avec un décor- photographié ou filmé, projeté en "pré-frontale" en panoramique
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3) de donner à la projection frontale l'avantage du traveling latéral en imbriquant les déplacements, de perspective du décor truqué dans le décor réel et ce sur des. longueurs théoriquement illimitées. Cette
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au studio et aux extérieurs, la nuit.
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partial or complete, and coated with the catadioptric surface usually used in frontal projection. The camera can perform its vertical zoom and pan movements, freely inside the screen, respecting the rules well known for these circumstances.
On the other hand, the horizontal pan movements are not carried out inside the projected image, because the panoramic head of the camera is fixed and locked to remain integral with the projector around the support block. If we want to perform
a horizontal pan is the whole block that pivots and the projection accompanies the camera in its movement.
However, so that the projected image remains fixed
in its place in the decor space, I say that, in its projector, the slide must move laterally, in the direction and at the speed required to counteract the movement imposed on the entire block. In this way, the projected image remains fixed in its decor, but it is completed by "unrolling" to the left or to the right depending on the camera movement requested.
In use, once the real decor-projected decor markers are superimposed, it is enough to lock the device
synchronizations so that the slide appears in; the image recorded by the camera, at the option of the cameraman, whatever the stops, back and forth and even the hesitations of his movements.
Implementation: This uses conventional materials. Only the projector is of new design. Indeed
- the retro-reflecting screen, the camera (cinema or video) and the shooting objective are not modified;
- it does not matter whether the support block is; assembled in a horizontal or vertical plane. On the other hand, the present system implies that, in addition to known conditions, the following conditions, necessary and sufficient, are met:
1) the support block is constructed around a vertical axis of rotation.
2) merge with this axis: the nodal point of incidence or nodal point before the shooting objective; and the emergence nodal point or nodal point before the projection objective.
3) the camera is fixed on a head allowing :, movements of vertical pan around the nodal point of incidence of its lens.
4) the crank or the handle allowing the cameraman to carry out a horizontal panning movement integrally drives the whole block, either directly or by any link: mechanical, electrical
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computer or not.
5) whatever the solution chosen for fixing the block (placed on the ground, or on machinery, or suspended from the ceiling), this ensures rotation of the block around the vertical axis already mentioned,
and this in an absolute horizontability compared to the decoration. The fixing point, floor or ceiling, serving as an immutable reference for locating the image projected in the actual setting.
- the general structure of the projector must meet the following requirements:
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the block (see coincidence of the nodes).
2) on the other hand the projection window is movable in two directions, the depth-, to allow the development of the image on the screen;
and the height to allow the offset of the projection axis up or down the screen.
3) the light source and its optical equipment are also mobile
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the movement of the window.
4) the projection corridor, including the window, is curved in its
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sharpness of the image projected on a curved screen by a lens normally corrected for the curvature of field for a flat focal plane.
5) the corridor is interchangeable, to allow the adoption of variable curvatures according to the desired projection distances. In most cases an average curvature, common to several projection distances, can be calculated as a function of the depth of focus reached, by closing the diaphragm, by the projection objective. By cons variants 3 and 4 proposed below involve a special corridor so the conditions are different, both as regards the diaphragm as the projection distance.
6) in = the corridor, the projection window is reduced by removable covers, chosen according to the desired image format (from the ratio 1.33 / 1 to the ratio 2.35 / 1).
7) the objective is of the type of shots or enlargement. It is provided with a diaphragm, preferably graduated on a photometric scale. He must
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cms.
8) the slide is produced by a panoramic camera
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drilled 70mm reversible or negative.
9) the bilateral movement of the film in the corridor is controlled by any system: mechanical, electrical, electro-mechanical, electromagnetic, electronic or other ensuring constant and automatic reduction based on the mathematical relationship established between the rotation of the
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sitive representing these same 360 [deg.]. This reduction obviously remains the same if the cyclorama is only partially used. (Cfr: rem 3) Note: The projector can be built, under exactly the same conditions, in; another format. The 70mm is given here only as an indication and paras that it seems, on analysis, the most practical and more efficient.
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Second variant: animated decor in the studio.
Principle The projection of an animated decorative image implies the use of a cinematographic projector operating at the same rate as the camera and the shutter of which is in phase with the shooting shutter.
If, during the recording of this decor image, the camera has carried out one or more panning movements, it is necessary, at projection, so that the projected decor image remains in its place in the real decor space , that this or these panoramas are reconstructed by the camera-projector unit with absolute precision.
The computer intervenes to ensure this precision: - during the shooting of the decor image, it leaves its memory or its program all the parameters necessary for the execution of the corresponding lateral movement. And whatever the rate adopted: normal, accelerated, slowed down or even frame by frame.
: - during the final shooting, it manages the absolute automaticity of the restitution of the movement stored in memory as well as the phasing of the shutters.
We should also point out that in the case of image-by-image shooting of a rapid pan movement, the wiring necessary for the continuous and fluid perception of said movement will be obtained by causing the camera to move during the exposure phase. film and not the other way around. This is one of the services
more than the computer brings to this technique.
Practical note: The only restriction implied by this process resides in the obligation, for the director, to subject the rhythm of his staging to the camera movement which is imposed on him by
the machine. Note, however, that it was the director himself who previously regulated this movement; that he could repeat it blank with liners, have it executed by his cameraman, choose the best execution which, thanks to the computer's memory, will become the "pilot" movement to which all subsequent functions will be enslaved .
Implementation: This uses conventional equipment which should however be modified as follows:
1) the camera, whatever its format, is equipped with a step motor
step by step. If the camera is of the video type, it will best be synchronized to the projector using the usual technique or via the computer.
2) the projector is equipped with a step motor; However, it may be, if the synchronization technique with a television camera so wishes, that it is equipped with another type of motor.
k 3) the projector can be equipped with an electronic image counter serving as a time reference for the computer if, for example, the projector motor has to be controlled by the synchronization signal of = the television camera.
4) the projector, if it is of the horizontal scrolling type, for example Vistavision, will use a curved corridor including the projection window. Under the same conditions and for the same reasons as the slide projector described above.
5) in the impossibility of bending the projection window around an axis parallel to the direction of travel (35 mm or 70mm), we can solve the problem of the sharpness, on a cylindrical screen, of an image projected from 'a flat focal plane, by known optical channels.
6) in manual function, the crank (or handle) of the cameraman will act on a pulse generator-sensor connected to the computer.
7) the bloa-support is driven in its rotation by one or more stepper motors managed by the computer.
8) computer programming is complex and goes beyond the scope of this description. Let us say that the computer must be able to activate the motors of the block according to the pulses received from the sensor, put these: pulses- in memory to restore the corresponding movement; manage the automatic execution of a programmed movement or in memory whatever the initial cadence and restore it to another cadence; in image-by-image shooting, ensure, on demand, the phasing or phasing of the exposure in relation to the triggering of the movement; synchronize the phase of the projection and shooting shutters, etc. It will be understood that this list is not exhaustive.
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Third variant: fixed decor image, outdoor-day.
Fourth variant: animated decor, outdoor-day.
Principle: Let's start from the old technique of painted discovery presented, in the foreground, in the depth of field of the shooting objective and cut out according to the connection line with the existing decor. Imagine replacing this painting with a cylindrical front screen, also in the foreground, similarly cut on which we project a fixed or animated image which, depending on the techniques
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In the center of this cyclo, we install a single focal sight pivoting around its nodal point of incidence. You can also directly install the camera-projector unit and thus benefit from the projection, the decor image. With the help of this aim, whether or not accompanied by the projection, the connecting line is drawn on the cyclo with the actual decor. Then, we cut the cyclo, following this line so that only the part that hides the door remains.
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cyclo bevel so that, from the perspective of shooting, we can not detect the thickness of the support forming the cyclo. It remains to stick on this cut out cyclo the retro catadioptric screen
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The decor to be inlaid has been previously photographed or filmed for use with the block already described. This slide or film is produced and projected without any mask, since the useless part of .; this image is projected in a vacuum, outside the screen.
The problem of the power of the light source necessary for this projection. In direct sunlight does not really arise, given the proximity of the screen and the non-obligation to close the diaphragm of the projection lens. Indeed, this diaphragm is no longer used to increase the "depth of field" of the projection (sharp shadows of the actors on the screen) since this screen is now in front of the actors. This diaphragm is only used to measure the luminance of the projected image in relation to the luminance of the actual decor.
Implementation Depending on whether a fixed or animated decor image is desired, the material described in the first or second variant will be used. This material remains unchanged, except for one detail for projections in broad daylight, the light source of the projector must reach a color temperature of 5.600 to 6.000 [deg.] Kelvin, either by choice of an adequate lamp, or by filtering. Beyond this standardization, the filter will always be welcome to adapt the projection to the particular conditions of the shooting.
The screen, on the other hand, is completely different. This is a cylindrical screen of, let's take an example here, more or
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depend only on the depth of field of the shooting lens. So the conditions of exposure of the actual decor
The screen support consists of sheets of plexiglass (one or more), or of any other flexible and more or less transparent material, rounded to the desired dimensions and
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A tent, a marquee, or a false ceiling will protect the screen from daylight to avoid stray light harmful to the contrast of the projected image.
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FRONTAL PROJECTION ON LATERAL TRAVELING. Animated decor in the studio.
Principle: The rotation around an axis does not imply displacement-
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animated with a decorative image filmed at a reduced scale on a three-dimensional model is essential.
The camera-projector unit is compact. It can take place on any classic traveling. On the other hand, it is necessary to find a constant linear reference integral with the decor and to enslave this reference, jointly with the projection-shooting ;, the displacement of the traveling. So: that the camera records the image of the projected decoration with its moving lateral perspective which is embedded in the perspective of the real decoration.
Implementation: The material is the same as that described in. the second variant. However:
I) the screen is flat and relatively parallel to traveling.
2) the curvature of the projector window no longer has the reasons to be mentioned above. However, we can, conventionally and for reasons; mechanical, maintain a slight curvature within the limits of the depth of focus.
3) the traveling will be driven by one or more stepping motors, that they are integral with the carriage itself to, on the contrary, are at a fixed position at the end of the rails acting on a chain or cable looped back and forth - comes around the cart.
4) this or these stepping motors will be activated by the computer which will control the advance and the speed with respect either to a path of contacts conducting pulses, or to a trace of optical or magnetic references.
FINAL REMARKS:
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process cations. I think, in fact, that the frontal projection
is a niche of aesthetic and dramatic possibilities going far much further in creation than the use that has been made of it so far.
2) On the other hand, I specified in the header the possibility of operating the process outdoors, at night. Possibility which was not subsequently indicated in the text. The reason is obvious that
if the process is possible in the studio, it is also possible at night outdoors ... with: reservations; known as to the density of blacks. But here again, the process described in I, II, and III, allows, thanks to the curvature of the permanent screen, the systematic use of the said material! 7615
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mainly usable in the studio and incidentally outdoors, at night only. In. the same idea, the expression "outdoors day", used for the third and fourth variants was in no way the possibility of using the process in the studio.
On the contrary, he would find there a field of applications of extraordinary richness.
3) Regarding the reduction ratio between the rotation of the block and the displacement of the slide, I must note that the formula <EMI ID = 20.1>
this focal length of the panoramic camera lens) takes into account the elongation of the print due to the focusing.
CLAIMS:
The present process, with its variants and its extrapolation, is characterized by the fact that the device described allows:
I) to combine the frontal projection with the pan movement
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2) to combine outdoor shooting, in broad daylight, with a photographed or filmed backdrop, projected in "pre-frontal" in panoramic
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3) to give to the frontal projection the advantage of the lateral traveling by nested the displacements, of perspective of the rigged decoration in the real decoration and this on. theoretically unlimited lengths. This
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in the studio and outside, at night.