"Marteau démolisseur hydraulique".
Matériau démolisseur hydraulique.
La présente invention concerne un marteau hydraulique amélioré, et en particulier un marteau démolisseur, ou un marteau perforateur.
Les travaux de démolition et de perforation sont aujourd'hui exécutés surtout au moyen de marteaux ayant un corps à double manche, une masse de percussion glissant à l'intérieur du corps sous l'action d'une poussée pneumatique dans le but de frapper un outil démolisseur sortant de l'extrémité inférieure du marteau. Les marteaux de ce type exigent dans la pratique une source d'air comprimé, provenant en général d'un distributeur et, par conséquent, ils sont très bruyants en raison de leur structure et du bruit causé par le distributeur d'alimentation qui, d'autre part, exige d'encombrants blindages pour l'usage en ville. On a déjà envisagé différentes réalisations de marteaux hydrauliques à même de remplacer les marteaux pneumatiques.
En effet, un marteau hydraulique, susceptible de donner les mêmes prestations qu'un marteau pneumatique de type conventionnel est souhaitable pour diverses raisons parmi lesquelles on peut citer une réduction dans l'absorption de puissance due à l'augmentation du rendement des machines hydrauliques, un bruit réduit grâce à l'absence d'expansion violente d'air comprimé, une durée de vie prolongée de ses éléments constitutifs intérieurs, qui sont très lubrifiés par l'huile hydraulique servant au fonc-tionnement, et encore un coût global réduit du groupe marteau-
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à l'absence de blindages coûteux contre le bruit, et enfin à l'utilisation possible, comme source de puissance, d'une installation hydraulique pour tracteurs, machines de travail du sol ou similaires, à la place d'un compresseur.
Mais, jusqu'à présent, les marteaux hydrauliques ne sont pas utilisés à grande échelle en raison de la moindre souplesse du circuit hydraulique par rapport au circuit pneumatique, qui entraîne une fatigue considérable de l'opérateur, sur
les bras duquel se déchargent en continu les chocs violents
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pas amortis par l'élasticité d'un fluide pneumatique.
Il serait donc souhaitable d'avoir à disposition un marteau hydraulique qui puisse réduire la fatigue de l'opérateur et l'usure des pièces constitutives du marteau, dues aux contrecoups incessants de la masse de percussion.
La présente invention a donc pour but de fournir un marteau hydraulique amélioré par rapport aux marteaux hydrauliques déjà connus et, en particulier, elle est caractérisée par le fait que la masse de percussion donne lieu à la percussion seulement si le foret est pressé contre la surface à percer ou à démolir. De cette façon, la fatigue de l'opérateur et l'usure du marteau sont réduits de façon considérable, étant donné qu'elles sont limitées aux périodes où le marteau est en fonctionnement actif.
Le marteau démolisseur hydraulique selon l'invention, qui comprend une masse de percussion coulissant dans une chambre axiale du corps du marteau, afin de frapper un outil monté
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fait que la masse de percussion est constituée par un élément cylindrique inférieur ayant une bague annulaire cylindrique du type à piston glissant en accouplement étanche avec le <EMI ID=4.1>
dans-un secteur moyen de cette chambre axiale est logée
une soupape-tiroir pour l'écoulement d'huile dans les conduites prévues dans la chambre axiale et par le fait encore que le marteau est équipé de moyens de démarrage et réglage de la fréquence de chocs de la masse.
Une forme de réalisation préférée de l'invention est décrite ci-après, à titre d'exemple, en référence aux dessins annexés, dans lesquels : la figure 1 est une vue en coupe axiale du marteau hydraulique selon l'invention, la masse de percussion étant au repos; la figure 2 est une vue du marteau hydraulique selon l'invention, en coupe axiale, la masse étant dans la phase de mouvement ascendant; la figure 3 est une vue du marteau hydraulique selon l'.invention, toujours en coupe axiale, la masse étant dans la phase de mouvement descendant; la figure 4 est une vue frontale schématique du chariot équipé avec le marteau et les outils du circuit électrique.
Selon la figure 1, un marteau hydraulique selon la présente invention comprend un corps 10 ayant une chambre axiale 12
de grande longueur, constituée substantiellement de cinq sections cylindriques coaxiales de diamètres différents, dans laquelle coulisse la masse de percussion 16, afin de frapper le foret ou fleuret 17 de l'appareil.
La masse de percussion comporte, dans sa partie inférieure, une bague annulaire cylindrique 11 de plus grand diamètre, coulissant à étanchéité en tant que piston dans la section
13 de la chambre axiale. La partie supérieure 14 de la masse de percussion, cylindrique, coulisse à étanchéité dans la section supérieure de la chambre axiale et présente un rétrécissement à rainure 18 ayant une section circulaire.
Dans la section médiane 20 de la chambre axiale est logée une soupape à tiroir 19, équipée de saillies annulaires extérieures afin d'ouvrir et fermer les orifices d'accès/sortie de l'huile provenant du réservoir 21 (schématisé) et alimentée par l'ensemble pompe (22) - moteur (23). A l'intérieur de
la cavité supérieure de la soupape à tiroir 19 est logé un ressort hélicoïdal 25, comprimable élastiquement contre la paroi supérieure de la section 20 de la chambre axiale du tiroir 19, comme décrit ci-après. Un dispositif de démarrage et de régulation 24, commandé par des manettes de commande
26, comprend un bouton 30 ayant une rainure 27 et soumis à la sollicitation élastique d'un ressort 28.
A l'intérieur du marteau, on a prévu des conduites pour le passage de l'huile provenant du réservoir et en communication avec les différentes sections de la chambre axiale, selon la description plus détaillée qui suit.
Le fond de la section 20 de la chambre axiale est en communication, par une conduite 39, avec une chambre 9 de récupération des pertes d'huile, dans laquelle est logée une garniture étanche 40.
Considérant la figure 1, la masse de percussion du marteau hydraulique selon l'invention est au repos, c'est-à-dire n'exerce plus aucune percussion sur le foret 17. On a déjà fait remarquer en effet qu'un des avantages de l'invention demeure dans le fait que la percussion n'a pas lieu si le foret n'est pas pressé contre la surface à percer. Ainsi,
au repos, la masse est appuyée sur le foret, sans se soulever ni se baisser pour le frapper.
Ceci résulte de l'observation du parcours du fluide dans cette condition, à savoir le circuit libre à travers lequel l'huile peut passer. Ce circuit est le suivant : l'huile, provenant de la pompe 22 monte dans la conduite 35, pénètre dans la section 31 de la chambre axiale dans laquelle débouche la conduite. D'ici, à travers la conduite 37, l'huile passe à l'intérieur de la cavité de la soupape à tiroir 19 et, par l'orifice de cette dernière, revient au réservoir 21.
Une certaine partie de l'huile qui monte dans la conduite 35, de même, peut pénétrer dans la partie inférieure de la section 20 de la chambre axiale, et de là, par la conduite 33, passer dans la section 13 de cette chambre, en exerçant une certaine pression sur la surface inférieure du piston 11. Cette pression est toutefois réduite au minimum, car son échappement a lieu surtout de la façon suivante : la pression s'exerçant sur la face inférieure du piston 11 est contrebalancée par la pression exercée sur la face supérieure du pis ton par l'huile provenant de l'orifice de la soupape à tiroir 19 à travers la conduite 34, selon les flèches.
Par conséquent, la masse de percussion est stable, c'est-àdire qu'elle n'est sollicitée ni à monter ni à descendre dans la chambre axiale. En d'autres termes, la foret de l'appareil n'est pas frappé.
La figure 2 se rapporte au contraire à la condition dans laquelle l'opérateur appuie le foret sur la surface à percer, la couronne 32 qui présente le foret étant poussée contre la surface inférieure 8 du corps du marteau. Il en résulte
la montée de la masse de percussion dans la chambre axiale d'une course suffisante pour fermer, au moyen de la partie supérieure 14 de cette masse, l'orifice d'accès dans la section 31 de la conduite d'huile 35. Par rapport à la situation de la figure 1, l'huile,provenant de la pompe par la conduite
35, ne peut pas pénétrer dans la partie supérieure de la chambre axiale, mais seulement dans la partie inférieure de sa section 20. L'huile s'écoule le long du fourreau extérieur de la soupape 19, passe dans la conduite 33 et, de là, par-vient au fond de la section 13 de la chambre axiale. Sur la face inférieure du piston 11 se produit alors une force considérable due à la pression de l'huile et la masse est sollicitée à monter.
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chambre axiale, au-dessus du piston 11, est envoyé dans la conduite 34 et, de là, dans la partie supérieure de la section 20 de la chambre axiale. En circulant autour de l'enveloppe extérieure de la soupape 19 et/ou en traversant la soupape, l'huile parvient à la conduite de retour 36 et revient au réservoir.
De même, le fluide présent dans la section 31 de la chambre axiale est poussé par la masse de percussion à s'écouler par la conduite 37 en communication avec l'intérieur de la valve
19 pour s'échapper ensuite par la conduite 36.
Par conséquent, la masse de percussion va continuer sa montée jusqu'à ce que la rainure 18, prévue dans sa partie supérieure 14 vienne s'aligner avec l'embouchure de la conduite 35 dans la section supérieure 31 de la chambre axiale, selon la figure 3. De cette façon, l'huile passe à travers cette rainure 18 et, par la conduite 38, entre dans la partie supérieure de la section 20 de la chambre axiale, en exerçant une force dirigée du bas en haut sur la soupape à tiroir
19, laquelle présente un collet supérieur en contact étanche avec cette section de la chambre axiale.
Il en résulte que la soupape à tiroir est poussée contre la voûte supérieure de la section 20, contre la force élastique du ressort 25. La soupape tiroir étant dans cette position, les orifices de passage de l'huila à la conduite 33 sont
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duite 34 sont au contraire ouverts. La direction d'écoulement de l'huile dans la conduite 34 est alors inversée par rapport à la situation de la figure 2, c'est-à-dire que le flux de l'huile qui était ascendant en 34 est maintenant descendant, de sorte que la pression de l'huile s'exerce maintenant sur la face supérieure du piston 11, et la masse de percussion est poussée vers le bas pour frapper le foret 17.
En fin de course, et le foret étant toujours appuyé contre la surface à percer, la disposition des pièces en mouvement du marteau hydraulique selon la présente invention sera à nouveau celle montrée sur la figure 2; la soupape à tiroir
19 sera dans sa position d'appui contre la base de la section
20 de la chambre axiale.
Cela est dû au fait que l'huile qui la maintenait soulevée, peut maintenant se décharger dans la section supérieure de la chambre axiale par la conduite 38 dont l'orifice d'accès au secteur 31 n'est plus obstrué. N'étant donc pas sollicitée vers le haut, la valve-tiroir 19 revient à la disposition
de la figure 2, ouvrant les orifices permettant au fluide d'arriver à la base de la section 13 de la chambre axiale, de sorte que la pression de l'huile peut s'exercer à nouveau sur la surface inférieure du piston 11, de façon à faire monter la masse. Les cycles correspondants aux figures 2 et 3 se répètent alternativement, tant que la couronne 32 est pressée sur la surface inférieure du marteau.
Un avantage considérable du marteau hydraulique selon la présente invention est dû au fait que la masse de percussion exerce l'action de percussion sur le foret jusqu'au percement de la surface à démolir, mais une fois que cette surface a cédé et qu'elle n'oppose ainsi plus aucune résistance à la percussion du foret, l'appareil revient immédiatement dans
la position montrée sur la figure 1, à savoix sans percussion et sans fatigue de l'opérateur ni détérioration des parties du marteau.
Un autre important avantage du marteau hydraulique selon l'invention réside dans la possibilité de régler la fréquence de choc de la masse de percussion sur le foret. Les marteaux hydrauliques connus jusqu'à présent ne fournissent que la possibilité d'ouvrir et de fermer le circuit de l'huile hydraulique, ils n'ont aucune régulation intermédiaire.
Le marteau hydraulique selon l'invention permet de coaliser de te ls réglages intermédiaires.
En effet, la rainure 27 du dispositif de réglage 24 peut être complètement ou partiellement placée en vis-à-vis de la conduite verticale 29, donnant lieu au circuit alternatif de by-pass pour l'huile, par rapport au circuit de la conduite
35. Ainsi, la pression de l'huile dans le circuit principal est réduite, tout en permettant un retour partiel de l'huile directement dans le réservoir par le by-pass 29, ce qui réduit en conséquence la fréquence de choc de la masse sur le foret.
Comme vu sur les dessins, dans le but d'illustrer un autre
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des marteaux de dimensions encombrantes, un accumulateur à membrane 42 est placé à l'extérieur de la chambre 31 dans la direction axiale de cette dernière, l'accumulateur étant en communication avec la chambre par la conduite intérieure 41.
Il a le but d'éviter des pulsations dangereuses aux conduites flexibles de retour d'huile 69, qui seront décrites ensuite (voir figure 4), sa membrane 43 prenant une position incurvée vers le bas en condition de repos du foret 17, figure 1, et une position incurvée vers le haut dans la condition d'opération du foret 17, figure 3.
Un autre accumulateur à membrane 44 est en communication, par une conduite 45, avec la soupape à tiroir 19, dans le but d'augmenter la puissance de la force de percussion de la' masse 15 sous l'effet de l'huile présente dans la conduite
45; en effet, l'huile y est introduite dans la phase de montée de la masse et au contraire s'en échappe au cours de la descente, produisant des incurvations correspondantes opposées de la membrane 46.
En se référant à la figure 4, 47 est un chariot équipé d'un marteau démolisseur selon l'invention, avec son circuit et ses équipements, ainsi que son moteur de démarrage.
Ce chariot 47 comprend un châssis 48, sur les côtés duquel est montée une.paire de roues 49 avec des pneus, un bras 50 équipé à son extrémité d'un élément élastique 51 d'appui sur le terrain, actif dans la phase de stationnement, ainsi qu'un autre bras 52 présentant à son extrémité un raccord à oeillet
53 pour l'accrochèrent du chariot à une remorque dans la phase de déplacement.
Sur le châssis 48 du chariot est monté un moteur à combustion interne 54, dont la rotation de l'arbre primaire 55, ayant un
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nécessaire à la réalisation du cycle actif du marteau démolisseur .
Ceci a lieu au moyen de la pompe aspirante à engrenages 57, ayant un reniflard 58, le tout placé sur la conduite de refoulement 59.
L'arbre moteur 55 est équipé en amont d'un ventilateur 60 pour refroidir le radiateur d'huile 61, placé sous le réservoir 62, muni d'un bouchon de remplissage 63 et d'un filtre
64.
Selon la caractéristique spécifique de l'invention, le circuit hydraulique est essentiellement constitué du petit tube
65 reliant le réservoir 62 et un. thermostat 66, connu, à champignon 67.
Ce thermostat 66 est raccordé, dans sa partie inférieure, au radiateur 61, �u moyen du petit tube 68 débouchant dans un <EMI ID=9.1>
tat 66 est également raccordé à la conduite de retour de l'huile 69.
Selon une autre caractéristique de l'invention, une soupape
73 à pointeau 71 et ressort cylindrique hélicoïdal 72 est montée,entre les deux conduites 59 et 69, par l'intermédiaire d'un petit tube 70.
Cette soupape 73 se raccorde au régulateur automatique indiqué dans son ensemble en 74 par un petit tube coudé 75, de diamètre réduit par rapport aux précédents. Le régulateur comprend un petit piston 76, dont la tête 77 es t en contact avec la vis de réglage minimum 78, tandis qu'en haut est placée la vis repère maximum 79.
En outre, la tête 77 du petit piston est reliée par un câble
80 avec un petit ressort hélicoïdal 81 articulé sur le levier de l'accélérateur 82, à son tour placé sur le moteur endothermique 54.
Les deux dispositifs nouveaux, mis en évidence dans les circuits, fonctionnent comme suit : le moteur 54 ainsi que la pompe aspirante 57 étant mis en marche, le fluide est envoyé au marteau par la conduite de refoulement 59, le cycle se terminant normalement par le retour du fluide par la conduite
69, puis par le petit tube 65 ou 66a.
Au cas où la température de l'huile augmente de façon exces-
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la sensibilité de ce dernier, se déplace par translation et obture la conduite 66a, interrompant le cycle normal de l'huile en le poussant exclusivement et immédiatement au réservoir 62 et ensuite au radiateur de refroidissement 61. Naturellement, à défaut de pression, le moteur 54 est au minimum de tours et, au contraire, si le marteau est en action dans la conduite de refoulement 59, la pression dans le circuit va augmenter.
Par conséquent, l'huile présente dans la conduite 75 soulève le petit piston 76, dont la tête 77, se déplaçant vers le haut, déplace le câble 80 contre l'action du ressort 81 et déplace en conséquence le levier accélérateur 82 au maximum de tours pour le moteur 54.
Ainsi, en agissant sur la vis 79 et, en conséquence, sur le levier accélérateur 82, on peut établir le régime maximum de tours du moteur endothermique 54, en fonction de la pression dans le circuit hydraulique de refoulement et on peut donc déterminer le débit de la pompe 57, aussi bien que la vitesse relative de percussion du marteau démolisseur.
Si le marteau n'est pas en action, il n'est pas nécessaire d'avoir de la pression dans le circuit hydraulique et le moteur 54 marche au minimum. On obtient par conséquent un bruit réduit de l'appareil, une économie de combustible du moteur et une réduction des gaz d'échappement, ce qui se traduit également par une amélioration du point de vue écologique.
Revendications.
1. Marteau démolisseur hydraulique ayant une masse de percussion coulissant dans une chambre axiale du corps du marteau afin de frapper un outil monté axialement sur ce corps,
caractérisé par le fait que la masse de percussion comprend
une partie cylindrique inférieure (16) ayant une bague annulaire cylindrique (11) du type à piston, coulissant à étanchéité dans une section (13) de la chambre axiale, et par
une partie cylindrique supérieure (14) réunie à la partie
inférieure en corps unique, et présentant une rainure annulaire, montée coulissante à étanchéité dans une section supérieure (31) de la chambre axiale, cette dernière présentant
en outre une section médiane (20) dans laquelle est placée
une soupape à tiroir (19) pour l'écoulement de l'huile dans
les conduites prévues dans le corps du marteau et débouchant
dans les différentes sections de la chambre axiale.
"Hydraulic breaker hammer".
Hydraulic demolition material.
The present invention relates to an improved hydraulic hammer, and in particular a demolition hammer, or a rotary hammer.
Demolition and perforation work is today carried out mainly by hammers having a double-handle body, a percussion mass sliding inside the body under the action of a pneumatic thrust in order to strike a demolition tool emerging from the lower end of the hammer. Hammers of this type in practice require a source of compressed air, usually from a distributor, and therefore are very noisy due to their structure and the noise caused by the feed distributor, which d 'on the other hand, requires bulky armor for city use. We have already considered various embodiments of hydraulic hammers capable of replacing pneumatic hammers.
Indeed, a hydraulic hammer, capable of giving the same benefits as a pneumatic hammer of conventional type is desirable for various reasons among which one can cite a reduction in the absorption of power due to the increase in the efficiency of hydraulic machines, reduced noise thanks to the absence of violent expansion of compressed air, an extended service life of its internal components, which are highly lubricated by the hydraulic oil used for operation, and still a reduced overall cost of the hammer group
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the absence of expensive noise shields, and finally the possible use, as a power source, of a hydraulic installation for tractors, tillage machines or the like, instead of a compressor.
But, until now, hydraulic hammers have not been used on a large scale because of the less flexibility of the hydraulic circuit compared to the pneumatic circuit, which causes considerable operator fatigue.
the arms from which the violent shocks are continuously discharged
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not absorbed by the elasticity of a pneumatic fluid.
It would therefore be desirable to have available a hydraulic hammer which can reduce operator fatigue and wear and tear on the constituent parts of the hammer, due to the incessant backlash from the impact mass.
The present invention therefore aims to provide an improved hydraulic hammer compared to already known hydraulic hammers and, in particular, it is characterized in that the impact mass gives rise to percussion only if the drill is pressed against the surface to pierce or demolish. In this way, operator fatigue and hammer wear are reduced considerably, since they are limited to the periods when the hammer is in active operation.
The hydraulic demolition hammer according to the invention, which comprises a percussion mass sliding in an axial chamber of the body of the hammer, in order to strike a mounted tool
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fact that the percussion mass consists of a lower cylindrical element having a cylindrical annular ring of the sliding piston type in tight coupling with the <EMI ID = 4.1>
in-a middle sector of this axial chamber is housed
a slide valve for the flow of oil in the lines provided in the axial chamber and by the fact also that the hammer is equipped with starting means and adjustment of the impact frequency of the mass.
A preferred embodiment of the invention is described below, by way of example, with reference to the accompanying drawings, in which: FIG. 1 is a view in axial section of the hydraulic hammer according to the invention, the mass of percussion being at rest; Figure 2 is a view of the hydraulic hammer according to the invention, in axial section, the mass being in the upward movement phase; Figure 3 is a view of the hydraulic hammer according to the invention, still in axial section, the mass being in the downward movement phase; Figure 4 is a schematic front view of the carriage equipped with the hammer and the tools of the electrical circuit.
According to Figure 1, a hydraulic hammer according to the present invention comprises a body 10 having an axial chamber 12
of great length, consisting essentially of five coaxial cylindrical sections of different diameters, in which the percussion mass 16 slides, in order to strike the drill or bit 17 of the apparatus.
The percussion mass comprises, in its lower part, a cylindrical annular ring 11 of larger diameter, sliding with sealing as a piston in the section
13 of the axial chamber. The upper part 14 of the percussion mass, cylindrical, slides sealed in the upper section of the axial chamber and has a narrowing in groove 18 having a circular section.
In the middle section 20 of the axial chamber is housed a slide valve 19, equipped with external annular projections in order to open and close the access / exit orifices for the oil coming from the reservoir 21 (shown diagrammatically) and supplied by the pump (22) - motor (23) assembly. Inside of
the upper cavity of the slide valve 19 is housed a helical spring 25, compressible elastically against the upper wall of the section 20 of the axial chamber of the slide 19, as described below. A starting and regulating device 24, controlled by control levers
26, comprises a button 30 having a groove 27 and subjected to the elastic stress of a spring 28.
Inside the hammer, lines are provided for the passage of oil from the reservoir and in communication with the different sections of the axial chamber, according to the more detailed description which follows.
The bottom of the section 20 of the axial chamber is in communication, via a pipe 39, with a chamber 9 for recovering oil losses, in which is housed a tight seal 40.
Considering FIG. 1, the percussion mass of the hydraulic hammer according to the invention is at rest, that is to say no longer exerts any percussion on the drill 17. It has already been pointed out in fact that one of the advantages of the invention remains in the fact that the percussion does not take place if the drill is not pressed against the surface to be drilled. So,
at rest, the mass is pressed on the drill, without lifting or lowering to strike it.
This results from the observation of the path of the fluid in this condition, namely the free circuit through which the oil can pass. This circuit is as follows: the oil, coming from the pump 22 rises in the pipe 35, enters section 31 of the axial chamber into which the pipe opens. From here, through line 37, the oil passes inside the cavity of the slide valve 19 and, through the orifice of the latter, returns to the reservoir 21.
A certain part of the oil which rises in the pipe 35, likewise, can penetrate into the lower part of the section 20 of the axial chamber, and from there, via the pipe 33, pass into the section 13 of this chamber, by exerting a certain pressure on the lower surface of the piston 11. This pressure is however reduced to a minimum, because its escape takes place mainly in the following manner: the pressure exerted on the lower face of the piston 11 is counterbalanced by the pressure exerted on the upper face of the udder by the oil coming from the orifice of the slide valve 19 through the line 34, according to the arrows.
Consequently, the percussion mass is stable, that is to say that it is not urged to go up or down in the axial chamber. In other words, the drill bit of the device is not struck.
FIG. 2 relates on the contrary to the condition in which the operator presses the drill on the surface to be drilled, the crown 32 which presents the drill being pushed against the lower surface 8 of the body of the hammer. The result
the rise of the percussion mass in the axial chamber of a stroke sufficient to close, by means of the upper part 14 of this mass, the access orifice in the section 31 of the oil line 35. Relative in the situation of FIG. 1, the oil coming from the pump through the line
35, cannot penetrate into the upper part of the axial chamber, but only into the lower part of its section 20. The oil flows along the outer sheath of the valve 19, passes through line 33 and, from there, comes to the bottom of section 13 of the axial chamber. On the underside of the piston 11 a considerable force then occurs due to the pressure of the oil and the mass is urged to rise.
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axial chamber, above the piston 11, is sent through the pipe 34 and, from there, into the upper part of the section 20 of the axial chamber. By circulating around the outer casing of the valve 19 and / or crossing the valve, the oil reaches the return line 36 and returns to the reservoir.
Likewise, the fluid present in section 31 of the axial chamber is pushed by the percussion mass to flow through line 37 in communication with the interior of the valve.
19 and then escape via line 36.
Consequently, the percussion mass will continue to rise until the groove 18, provided in its upper part 14 comes to align with the mouth of the pipe 35 in the upper section 31 of the axial chamber, according to the Figure 3. In this way, the oil passes through this groove 18 and, via line 38, enters the upper part of section 20 of the axial chamber, exerting a force directed from the bottom up on the valve to drawer
19, which has an upper collar in sealed contact with this section of the axial chamber.
As a result, the slide valve is pushed against the upper arch of section 20, against the elastic force of the spring 25. The slide valve being in this position, the orifices for the passage of the oil to the pipe 33 are
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pick 34 are on the contrary open. The direction of flow of the oil in line 34 is then reversed with respect to the situation in FIG. 2, that is to say that the flow of oil which was ascending at 34 is now descending, from so that the oil pressure is now exerted on the upper face of the piston 11, and the impact mass is pushed downwards to strike the drill 17.
At the end of the stroke, and the drill being still pressed against the surface to be drilled, the arrangement of the moving parts of the hydraulic hammer according to the present invention will again be that shown in FIG. 2; the slide valve
19 will be in its support position against the base of the section
20 of the axial chamber.
This is due to the fact that the oil which kept it raised, can now be discharged in the upper section of the axial chamber via the line 38, the sector access port 31 of which is no longer obstructed. So not being pressed upwards, the valve-drawer 19 returns to the arrangement
in FIG. 2, opening the orifices allowing the fluid to reach the base of section 13 of the axial chamber, so that the pressure of the oil can be exerted again on the lower surface of the piston 11, so as to raise the mass. The cycles corresponding to FIGS. 2 and 3 are repeated alternately, as long as the crown 32 is pressed on the lower surface of the hammer.
A considerable advantage of the hydraulic hammer according to the present invention is due to the fact that the percussion mass exerts the percussion action on the drill until the surface to be demolished is pierced, but once this surface has given way and has no longer imposes resistance to percussion of the drill, the device immediately returns to
the position shown in Figure 1, so without percussion and without operator fatigue or deterioration of the parts of the hammer.
Another important advantage of the hydraulic hammer according to the invention lies in the possibility of adjusting the impact frequency of the impact mass on the drill. The hydraulic hammers known so far only provide the possibility of opening and closing the hydraulic oil circuit, they have no intermediate regulation.
The hydraulic hammer according to the invention makes it possible to coalesce intermediate settings.
In fact, the groove 27 of the adjustment device 24 can be completely or partially placed opposite the vertical pipe 29, giving rise to the alternative by-pass circuit for the oil, relative to the circuit of the pipe.
35. Thus, the oil pressure in the main circuit is reduced, while allowing partial return of the oil directly to the reservoir by bypass 29, which consequently reduces the frequency of impact of the mass on the drill.
As seen on the drawings, in order to illustrate another
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hammers of bulky dimensions, a membrane accumulator 42 is placed outside the chamber 31 in the axial direction of the latter, the accumulator being in communication with the chamber via the inner pipe 41.
Its purpose is to avoid dangerous pulsations at the flexible oil return lines 69, which will be described next (see FIG. 4), its diaphragm 43 taking a curved downward position in the rest condition of the drill 17, FIG. 1 , and an upwardly curved position in the operating condition of drill bit 17, FIG. 3.
Another membrane accumulator 44 is in communication, via a line 45, with the slide valve 19, with the aim of increasing the power of the impact force of the mass 15 under the effect of the oil present in the driving
45; in fact, the oil is introduced there into the phase of rising mass and, on the contrary, escapes therefrom during the descent, producing opposite corresponding curvatures of the membrane 46.
Referring to Figure 4, 47 is a carriage equipped with a demolition hammer according to the invention, with its circuit and its equipment, as well as its starting motor.
This carriage 47 comprises a chassis 48, on the sides of which is mounted a pair of wheels 49 with tires, an arm 50 equipped at its end with an elastic element 51 for bearing on the ground, active in the parking phase , as well as another arm 52 having at its end a grommet connection
53 for hooking the carriage to a trailer during the movement phase.
On the chassis 48 of the carriage is mounted an internal combustion engine 54, including the rotation of the primary shaft 55, having a
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necessary for carrying out the active cycle of the demolition hammer.
This takes place by means of the gear suction pump 57, having a breather 58, the whole placed on the discharge line 59.
The motor shaft 55 is fitted upstream with a fan 60 for cooling the oil radiator 61, placed under the tank 62, provided with a filling plug 63 and a filter
64.
According to the specific characteristic of the invention, the hydraulic circuit essentially consists of the small tube
65 connecting the reservoir 62 and a. thermostat 66, known, with mushroom 67.
This thermostat 66 is connected, in its lower part, to the radiator 61, moyen by means of the small tube 68 opening into a <EMI ID = 9.1>
tat 66 is also connected to the oil return line 69.
According to another characteristic of the invention, a valve
73 with needle 71 and helical cylindrical spring 72 is mounted, between the two pipes 59 and 69, by means of a small tube 70.
This valve 73 is connected to the automatic regulator indicated as a whole at 74 by a small bent tube 75, of reduced diameter compared to the previous ones. The regulator comprises a small piston 76, the head 77 of which is in contact with the minimum adjustment screw 78, while at the top is placed the maximum reference screw 79.
In addition, the head 77 of the small piston is connected by a cable
80 with a small helical spring 81 articulated on the accelerator lever 82, in turn placed on the endothermic engine 54.
The two new devices, highlighted in the circuits, operate as follows: the motor 54 as well as the suction pump 57 being started, the fluid is sent to the hammer by the discharge line 59, the cycle normally ending with the return of the fluid through the pipe
69, then through the small tube 65 or 66a.
If the oil temperature rises excessively-
<EMI ID = 10.1>
the sensitivity of the latter, moves by translation and closes the pipe 66a, interrupting the normal oil cycle by pushing it exclusively and immediately to the reservoir 62 and then to the cooling radiator 61. Naturally, in the absence of pressure, the engine 54 is at a minimum of turns and, on the contrary, if the hammer is in action in the discharge line 59, the pressure in the circuit will increase.
Consequently, the oil present in the line 75 lifts the small piston 76, the head 77 of which moves upwards, displaces the cable 80 against the action of the spring 81 and consequently displaces the accelerator lever 82 to the maximum of engine revolutions 54.
Thus, by acting on the screw 79 and, consequently, on the accelerator lever 82, it is possible to establish the maximum speed of revolutions of the endothermic motor 54, as a function of the pressure in the hydraulic discharge circuit and we can therefore determine the flow rate of pump 57, as well as the relative impact speed of the demolition hammer.
If the hammer is not in action, it is not necessary to have pressure in the hydraulic circuit and the motor 54 runs at minimum. This results in reduced noise from the device, fuel economy of the engine and reduction of exhaust gases, which also translates into an improvement from an ecological point of view.
Claims.
1. Hydraulic breaker hammer having a percussion mass sliding in an axial chamber of the hammer body in order to strike a tool mounted axially on this body,
characterized by the fact that the percussion mass comprises
a lower cylindrical part (16) having a cylindrical annular ring (11) of the piston type, sliding with sealing in a section (13) of the axial chamber, and by
an upper cylindrical part (14) joined to the part
lower in single body, and having an annular groove, slidingly mounted with sealing in an upper section (31) of the axial chamber, the latter having
further a middle section (20) in which is placed
a slide valve (19) for the flow of oil into
the pipes provided in the hammer body and emerging
in the different sections of the axial chamber.