BE882264A - Procede de decapage a la vapeur d'un revetement organique - Google Patents

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BE882264A
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Description


  La présente invention se rapporte à un procédé pour décaper des objets revêtus, de revêtements organiques.

  
Plus particulièrement, elle se rapporte à un procédé pour retirer ou décaper un revêtement obtenu de compositions

  
à base de résines organiques et/ou préparées avec des véhicules organiques, comme de la peinture, de la gomme laque, du vernis, de la laque et analogues, ainsi que diverses huiles et asphaltes. Le procédé selon l'invention est particulièrement utile pour retirer de tels revêtements d'objets ayant des surface irrégulières et de grandes surfaces, parmi lesquelles des surfaces verticales et inclinées à l'intérieur de grandes constructions, comme

  
des silos et réservoirs de stockage sur terre et des réservoirs de lest et des cales sur des navires.

  
Couramment, la peinture est décapée d'objets peints

  
à une petite échelle par application d'un solvant organique ou inorganique ou d'un mélange, comme cela est décrit dans ENCYCLOPEDIA OF CHEMICAL TECHNOLOGY, Vol. 14,pages 485-

  
493, 2ème Edition, John Wiley and Sons, 1967, de KirkOthmer .

  
Parmi les hydrocarbures solvants chlorés employés

  
dans de nombreuses formules, le chlorure de méthylène
(dichlorométhane) s'est r.4vélé être particulièrement 'efficace. Des compositions liquides de décapage contiennent habituellement des additifs parmi lesquels des agents épaississants, des agents retardant l'évaporation et des détergent.

  
Les formules de solvants organiques pour décaper la peinture et autres revêtements peuvent être du type à retirer en grattant ou au jet. En général, la composition de décapage est appliquée à l'objet revêtu ou enrobé par l'un des procédés ci-dessus et on laisse reposer pendant un certain temps et ensuite, le revêtement gonflé et/ou amolli est retiré de la surface, en grattant dans le cas

  
de formulesà gratter ou en rinçant avec de l'eau et/ou

  
en essuyant au moyen d'un chiffon humide dans le cas de formules à rincer.

  
Les procédés qui précèdent sont relativement coûteux, car le solvant organique, sauf dans le cas de l'application par immersion, n'est pas récupéré. Par ailleurs, tous les processus connus sont généralement dangereux et beaucoup trop coûteux lorsqu'il s'agit de grandes surfaces. De plus, les cires utilisées comme agen� retardant l'évaporation

  
dans de telles formules sont difficiles à retirer totalement et toute cire résiduelle interfère avec l'adhérence des revêtements subséquents sur les surfaces.

  
Des procédés ont également été décrits dans les brevets U.S. n[deg.] 2.689.198 au nom de Judd, n[deg.] 3.794.524

  
au nom de Nogueira et autres et n[deg.] 3.832.235 au nom de Cooper et autres, où la peinture est décapée d'un objet relativement petit par contact avec les vapeuis d'une composition d'un solvant bouilant. Dans ces procédés, les vapeurs chaudes se condensent en liquides sur la surface peinte.

  
Un procédé de nettoyage des réservoirs a été révélé dans le brevet U.S. n[deg.] 3.042.553 au nom de Kearney et autres, où un solvant est chauffé jusqu'à son point d'ébullition pour produire des vapeurs de solvant amenées

  
à un réservoir où elles se condensait et labiés parois du réservoir.

  
Ces procédés ne sont pas applicables pour retirer des revêtements organiques de surfaces étendues parce que le prix du chauffage d'une quantité suffisante du solvant

  
au reflux pendant une longue période de temps est prohibitif et par ailleurs, il faut des équipements coûteux d'étanchéité aux solvants, pour effectuer une telle opération à grande échelle. Par ailleurs, dans certaines constructions, comme de grands réservoirs et navires en métal, même une différence modérée de température d'une partie à l'autre 

  
de la construction peut être nocive.

  
Il est de pratique courante, dans l'industrie, de retirer la peinture et la plupart des autres revêtements protecteurs des grands réservoirs et autres grandes constructions par des processus lents, déplaisants,

  
coûteux et dangereux.. de jet abrasif. Il est important

  
qu'un réservoir de lest d'un bateau, qui contient habituellement de l'eau, soit anti-rouille. A cette fin, les réservoirs de lest sont enduits d'une couche de peinture. Si le revêtement de peinture s'écaille ou fait défaut d'une certaine façon, il est nécessaire de retirer la peinture

  
de l'intérieur du réservoir de lest et de le repeindre,

  
pour éviter la possibilité de rouille et de trous éventuels. Cela est particulièrement important pour des navires transportant du gaz naturel liquéfié. Un réservoir de lest d'un navire peut avoir une capacité atteignant 3.785.000 litres ou plus, et il a souvent une configuration complexe en

  
"nid d'abeille ridant difficile et laborieux le travail d'une sableuse. L'enlèvement et l'évacuation d'une grande quantité de particules abrasives ou de sable qui sont nécessaires, sont coûteux.

  
Actuellement, même si le sablage ou jet abrasif présente des inconvénients importants,.c'est pratiquement

  
le seul processus utilisé pour retirer la peinture de grandes surfaces ; on emploie quelquefois un hydrosablage et même un martèlement.

  
Il y a une demande très importante pour des procédés plus efficaces et moins laborieux de nettoyage de réservoirs fixes de stockage ainsi que de citernes de trains et camions^ de barges et soutes du goudron, brai, asphalte, pétrole et résidus d'huile végétales, avant changement du type de cargai-son, réparations des structures ou inspection par des agences gouvernementales. Certains de ces réservoirs et de  ces cales peuvent avoir une capacité dépassant 75.700.000 litres.

  
Actuellement, on les nettoie principalement par des courants à haute pression et tenus à la main d'eau ou de solutions à base d'eau ou émulsions, en grattant souvent ensuite au moyen de truelles et autres outils manuels. On peut également utiliser des solutions de soude caustique. Les prix sont très élevés et la propreté obtenue est  souvent marginale ou inacceptable. Les résidus sont habituellement perdus et leur évacuation pose un problème.

  
La présente invention a pour objet principal un procédé de décapage d'un revêtement organique d'un objet revêtu

  
ou enrobé par un processus économique évitant les problèmes

  
 <EMI ID=1.1> 

  
La présente invention a pour objet important un procédé de décapage de revêtement organiques sur des surfaces étendues, par exemple l'intérieur de grandes constructions comme des réservoirs de stockage, des réservoirs de lest 

  
et des cales de navires et des surfaces de toutesformes, qu'elfes soient complexes ou inclinées, par un processus plus

  
 <EMI ID=2.1> 

  
l'environnement et utilisant moins d'énergie.que les  procédés actuels, tout en évitant des additifs interférant avec un revêtement subséquent de la surface. 

  
La présente invention a.pour autre objet un procédé pour retirer des revêtements organiques et résidus restant après avoir drainé un réservoir d'un produit pétrolier ou d'une huile végétale. 

  
D'autres objets et avantages de l'invention deviendront mieux évidents à la lecture de la description qui suit.

  
En tenant compte des objets ci-dessus et d'autres encore de l'invention, on prévoit le décapage d'un revêtement organique d'une surface enduite ou enrobée, en mettant la surface en contact avec une composition de décapage en .phase gazeuse pouvant détruire l'adhérence entre le revêtement et la surface, et dans ce procédé, ni la composition de décapage ni la surface à décaper n'est sensiblement audessus de la température ambiante. Dans un mode de réalisation préféré de l'invention, la composition gazeuse de décapage est mise en contact avec la surface à décaper à peu près à la température ambiante, sensiblement en l'absence d'un condensât de composition liquide de décapage à la surface qui est décapée.

   Dans un autre mode de réalisation préféré de l'invention, soit la composition gazeuse de décapage ou la surface à décaper est en-dessous de la température  ambiante.

  
On a découvert que des revêtements organiques pouvaient être sensiblement détachés,et dans de nombreux cas., totalement décapés de surfaces, simplement par action des vapeurs d'une composition de décapage. Le terme revêtement organique indique tout revêtement à base d'une résine organique ou d'un véhicule organique, comme une peinture, une gomme laque, un vernis, une laque et analogues, pouvant être appliqué

  
à une surface en métal ou en bois. Le procédé peut être  utilisé pour retirer des revêtements organiques de protection appliqués à une surface pour sa protection et/ou son amélioration. De plus, le procédé peut être utilisé pour retirer des revêtements résiduels qui sont ne pas habituellement appelés protecteurs, et qui sont incorporés dans le sens de revêtement selon l'invention. Les revêtements résiduels comprennent des huiles brutes, des fuels lourds

  
 <EMI ID=3.1> 

  
de l'asphalt comme de l'asphalte soufflé ou bitume et des résidus de goudron sous vide, entre autres le résidu de distillation à vide poussé de certains pétroles bruts,

  
 <EMI ID=4.1> 

  
des cales ou réservoirs pour un changement de cargaison

  
ou quand il est nécessaire de les nettoyer pour des réparations, une inspection par les gardes côtiers et analogues.

  
Selon la présente invention, une surface qui doit

  
être. décapée est mise en contact avec les vapeurs d'une composition de décapage jusqu'à ce que l'adhérence entre 

  
le revêtement et la surface soit détruite ou jusqu'à ce

  
que le revêtement forme une solution qui s'écoule jusqu'au sol.

  
Dans un mode de réalisation du procédé selon l'invention, la composition gazeuse de décapage est introduite

  
en contact avec la surface enduite à une concentration,

  
une pression et une température telles qu'il n'y ait  sensiblement pas de condensation de la composition gazeuse sur la surface enduite, et ainsi le procédé a lieu sensiblement en l'absence de condensat liquide. L'adsorption et/ou l'absorption des vapeurs se produit dans le revêtement  pendant le processus. Les vapeurs peuvent généralement

  
 <EMI ID=5.1> 

  
limite théorique inférieure de température dans le  procédé, tant que les produits chimiques de décapage ont  une faible pression de vapeur. De préférence, le procédé

  
 <EMI ID=6.1> 

  
raisons économiques.

  
Selon les conditions particulières, le temps requis pour supprimer ou détruire l'adhérence du revêtement est compris entre quelques minutes et quelques jours. On a trouvé que les revêtements organiques se décapaient généralement bien plus rapidement par contact avec une composition gazeuse de décapage à la température ambiante que ce 

  
à quoi l'on pourrait s'attendre en se référant au temps  requis à des températures supérieures, en considérant la plus forte concentration en composition gazeuse de décapage et la vitesse plus rapide attendue de toute réaction chimique à des températures supérieures.

  
Ce qui est encore plus surprenant, est la découverte

  
 <EMI ID=7.1> 

  
et certaines peintures étaient plus rapidement décapés si la composition gazeuse de décapage ou la surface à

  
 <EMI ID=8.1> 

  
température plus élevée. Par exemple, l'asphalte se décape plus rapidement à 22[deg.]C qu'à 32[deg.]C ou 36[deg.]C à des concentrations constantes des vapeurs d'une composition de décapage et de

  
 <EMI ID=9.1> 

  
ou la vapeur est refroidi.

  
Le procédé selon l'invention possède un avantage particulier qui est l'inutilité de chauffer la composition de décapage au reflux et dans de nombreux cas, il n'est pas du tout utile ou souhaitable de chauffer la composition gazeuse de décapage, car de préférence ce procédé est effectué sensiblement à la température de l'environnement ou en dessous. 

  
Quand on met en &#65533;uvre le procédé selon l'invention

  
a peu près à la température ambiante, il est généralement

  
 <EMI ID=10.1> 

  
procédé selon l'invention est habituellement préférable

  
à tous les autres procédés dont on dispose actuellement.

  
Dans certains cas, il est préférable de mettre le revêtement en contact avec la composition gazeuse de décapage alors que ni la composition de décapage ni la surface enduite n'est au-dessus de la température ambiante et que l'une des deux est refroidie en-dessous de la température ambiante.

  
Quand une surface peinte qui a été traitée selon le procédé de décapage à la vapeur de la présente invention est libérée de la composition gazeuse de décapage, par séchage à l'air ou autre moyen pratique, on trouve que dans de nombreux cas, le revêtement de peinture est soit tombé totalement ou peut être facilement retiré en le brossant, ne laissant que des petites taches de peinture. Dans la plupart des cas, la surface qui a été contactée par la composition gazeuse de décapage est dépourvue, à

  
 <EMI ID=11.1> 

  
Cependant, même s.'il reste une quantité gênante de revêtement, la surface peut être nettoyée par un jet abrasif

  
 <EMI ID=12.1> 

  
court que celui requis pour obtenir une surface propre

  
à 100% par un jet abrasif ou sablage abrasif seul.

  
En nettoyant des surfaces de substances huileuses ou goudronneuses, on obtient normalement un enlèvement de

  
 <EMI ID=13.1> 

  
Pendant le procédé selon l'invention, on.pense que la vapeur est adsorbée et/ou absorbée sur le revêtement, forçant ce dernier à subir des changements physiques et quelquef ois chimiques et à se libérer du substrat. De nombreux revêtements en époxy, en alkyde, en polyuréthane

  
et en polyester forment des flocons secs qui peuvent facilement et économiquement être évacués ou même vendus,

  
ce qui est encore un avantage inattendu du traitement au moyen d'une composition de décapage sensiblement en l'absence de condensat liquide selon la présente invention. Quand une surface est traitée par un liquide ou un condensat de vapeurs d'une composition au reflux, la composition liquide de décapage peut extraire les composants solubles du revêtement; avec de nombreux revêtements il en résulte une masse collante, dont le nettoyage est difficile et sensiblement moins économique que l'enlèvement des flocons secs.

  
Avec les huiles, les asphaltes et certaines peintures, la distillation de la solution résultante permet de récupérer la composition de décapage et le matériau de revêtement.

  
Dans un autre mode de réalisation préféré de l'invention, la surface à traiter est sensiblement scellée par rapport à l'atmosphère pour former une zone de décapage.

  
Un courant de la composition de décapage à l'état gazeux proche de la température ambiante ou, dans certains cas en-dessous, est introduit dans la zone de décapage en

  
contact avec la surface enduite. Si la composition de décapage est liquide à la température ambiante, le courant gazeux peut avantageusement être produit en soufflant de l'air sur la surface du liquide dans un évaporateur avec un conduit vers la zone de décapage. La zone de décapage est de préférence pourvue d'un conduit de retour vers le coté dépression du souffleur de gaz, ce qui permet à l'air et

  
à la composition gazeuse de décapage d'être remis en circulation. Comme la pression partielle de la composition gazeuse de décapage augmente dans la zone de décapage, de l'air

  
peut être purgé de la zone de décapage ; normalement, la densité de la composition gazeuse de décapage est supérieure à celle de l'air, l'air peut habituellement être purgé à proximité du sommet de la zone de décapage. Cela permet d'atteindre de fortes concentrations de la composition gazeuse de décapage et cela peut être utilisé pour empêcher une augmentation sensible de pression.

  
Les évaporateurs doivent être chauffés pour remplacer

  
la chaleur de vaporisation de la composition liquide de décapage afin d'empêcher cette composition de se refroidir excessivement. Mais il est généralement préférable que la composition gazeuse de décapage soit à la température ambiante ou en dessous dans le conduit et la zone de décapage. 

  
Dans le cas où le revêtement se décape plus rapidement à de basses températures, la chaleur d'évaporation peut ne pas avoir à être totalement remplacée; les vapeurs seront plus froides et il y aura économie d'énergie.

  
Il est également possible d'évaporer la composition liquide de décapage à l'intérieur de la zone de décapage de la peir.ture, auquel cas une zone spéciale d'évaporation peut être éliminée.

  
Des moyens pour la circulation de la composition gazeuse de décapage sont souhaitables, comme une pompe à gaz ou un souffleur ou ventilateur. L'efficacité du procédé selon l'invention est accrue et le temps requis pour détruire l'adhérence du revêtement et de la surface est diminué si la composition gazeuse de décapage est totalement mise en circulation dans toute la zone de décapage.

  
Dans la zone de décapage, le revêtement absorbe et/ou adsorbe la composition gazeuse de décapage et subit ainsi des changements physiques et/ou chimiques, et se libère du substrat. La composition gazeuse de décapage est alors

  
 <EMI ID=14.1> 

  
De l'air est soufflé dans la zone de décapage de peinture par un clapet de détente sous vide, pendant l'enlèvement de la composition gazeuse de décapage pour éviter la création d'une dépression éventuellement dangereuse et pour rendre les réservoirs plus sûrs pour y entrer.

  
La composition gazeuse de décapage peut être continuelle-

  
 <EMI ID=15.1> 

  
préférable, avec des compostions à forte pression de vapeur, de retirer continuellement l'air du sommet de la zone de décapage, ce qui peut être accompli par un clapet de détente établi à environ 0,07 - 0,14 kg/cm , jusqu'à ce que l'air

  
ait été sensiblement retiré et que les vapeurs très concentrées des composés plus denses de décapage soient éventées. Les vapeurs chimiques éventées peuvent Être facilement récupérées par condensation et/ou adsorption sur du charbon de bois pour une réutilisation, en évitant la pollution de l'air.

  
La composition gazeuse de décapage peut également être continuellement retirée de la zone de décapage et récupérée et maintenue à l'état gazeux et recyclée vers la zone de décapage de peinture ou, dans le cas où deux zones ou plus sont décapées, la composition gazeuse de décapage retirée d'une zone peut être mise en circulation vers une autre zone de décapage. Dans les opérations à grande échelle, on utilise des ventilateurs afin de distribuer les vapeurs sur toute

  
la structure en un temps raisonnable.

  
 <EMI ID=16.1> 

  
organiques. Normalement, quelques expériences simples permettront à une personne d'une compétence ordinaire, de déterminer un composé ou mélange efficace. Des composés organiques et inorganiques connus comme étant utiles pour décaper la peinture, la gomme laque, le vernis et analogues, qui ont une pression partielle d'au moins environ 2 mm Hg

  
à la température ambiante peuvent être utilisés dans le procédé selon l'invention. Dans la pratique, on préfère utiliser des mélanges contenant un pourcentage relativement élevé en chlorocarbones inférieurs, en particulier des chlorocarbones contenant 1 à 3 atomes de carbone et 1 à 4 atomes de chlore. Le chlorure de méthylène est un agent

  
de décapage particulièrement utile du point de vue efficacité, ainsi que sécurité et économie. Cependant, d'autres chloroalcanes comme le 1,2-dichloroalcane et le chloroforme sont également avantageux. Non seulement ces mélanges sont habituellement efficaces et économiques, mais

  
 <EMI ID=17.1> 

  
d'explosion. Des compositions de décapage contenant du chlorure de méthylène en une quantité de l'ordre de 25 à
100% en volume, et mieux des compositions contenant du chlorure de méthylène comme ingrédient principal et encore mieux, en particulier pour l'économie et la sécurité, des compositions contenant environ 70, 80 ou 85 à 100% de chlorure,de méthylène sont utilisées.

  
Les composés qui se .sont révélés augmenter l'efficacité du chlorure de méthylène et d'autres chloroalcanes inférieurs avec divers revêtements sont les suivants : hydrocarbures aliphatiques contenant jusqu'à environ 8 atomes de carbone, eau, acides carboxyliques inférieurs comme l'acide formique, l'ammoniac, des alcoylamines inférieures, des alcanols inférieurs, et des alkyl éthers inférieurs, des esters,

  
des cétones, des nitriles, des amines, des arènes comme le benzène et le benzène substitué en halogène et en alcoyle inférieur , et des acides inorganiques volatils . Le terme "inférieur" indique un composé ayant de 1 à 4 atomes de carbone. En général, des compositions en phase vapeur

  
qui contiennent environ 70 à 95% de chlorure de méthylène, environ 1% d'eau et environ 4 à 29% en volume d'autres composés, tels que ceux qui viennent d'être indiqués sont très efficaces. On également trouvé que des alkyl amines

  
et dialkyl amines inférieures étaient des activateurs puissants du chlorure de méthylène en phase gazeuse ; 

  
des compositions contenant environ 70 à 90% en volume de chlorure de méthylène et 10 à 30% d'éthylamine aqueuse

  
à 33 à 75% sont particulièrement utiles. En général, les petites molécules avec des moments dipoles et d'un caractère acide ou basique semblent être les plus généralement utiles, seules ou avec du chlorure de méthylène pour le décapage de la pei nture.

  
Dans le cas où l'on choisit une composition gazeuse de décapage qui contient deux composants ou plus qui ne forment pas une solution homogène en phase liquide, il est préférable d'avoir des évaporateurs séparés pour chacun de ces composés.

  
La quantité particulière de la composition de décapage utilisée varie fortement, selon la nature -et l'épaisseur

  
du revêtement, la température ambiante et la composition particulière de décapage choisie, ainsi que le volume de

  
la zone de décapage et . l'aire de la surface enduite à traiter. En termes généraux, le rapport du poids de la composition de décapage utilisée à celui du revêtement retiré peut être de l'ordre de 0,5 : 1 à environ 4 : 1.

  
A condition que la zone à décaper puisse être sensiblement scellée par rapport à l'atmosphère, il n'y a pas de limite supérieure pratique à la dimension ou à la complexité des structures enduites que l'on peut traiter avec des compositions gazeuses de décapage selon l'invention. Le fait que le processus selon l'invention ne mette pas en danger

  
ou n'endommage pas la structure par un changement de pression ou de température, est un avantage important du procédé selon l'invention. Par ailleurs, aucun problème de corrosion n'a été observé, par rapport aux surfaces métalliques,en utilisant les compositions préférées de décapage révélées ci-dessus.

  
Le procédé selon l'invention est très économique, car le prix des produits chimiques est couramment bas et par ailleurs, la plupart de ces produits chimiques peuvent être récupérés pour une réutilisation. L'équipement nécessaire est commercialisé à un prix raisonnable et la force

  
humaine nécessaire est faible.

  
Le processus de décapage selon l'invention présente un autreavantage important, en effet,le personnel n'a pas

  
à être exposé aux agents chimiques de décapage ou aux revêtements, dont certains, comme certains produits du

  
 <EMI ID=18.1> 

  
pétrole, sont dangereux ; les produits chimiques peuvent être transférés de récipients d'expédition au système de décapage avec peu ou pas d'exposition à l'atmosphère,

  
il n'est donc pas nécessaire que les opérateurs entrent dans la zone de décapage jusqu'à ce que les vapeurs aient été remplacées par de l'air.

  
Les exemples qui suivent illustreront mieux la présente invention, mais ne doivent en aucun cas en limiter le cadre. Dans les exemples qui suivent, ainsi que dans la description générale, toutes les proportions des composants de décapage sont en volume à moins que cela ne soit indiqué autrement ; les proportions relatives des solvants au revêtement de peinture sont en poids .

Exemple 1.

  
Décapage de peinture.

  
 <EMI ID=19.1> 

  
été soumise à un jet abrasif et peinte au pistolet de deux

  
 <EMI ID=20.1> 

  
soumise à un jet de sable ou grès jusqu'à une condition

  
d'un métal presque blanc au moyen d'un pistolet "Sandblasting Gun" Speedaire (4,8 mm de diamètre interne de la tubulure)

  
en utilisant des particules abrasives ou grès "Stanblast"
(résidus de four) et une pression de 5,6 kg/cm<2>. Le temps requis était de 85 secondes.

  
 <EMI ID=21.1> 

  
plus grande partie du revêtement époxy exposé s'était délaminée en fragments et était tombée dans le bêcher. On laissa la plaque au repos à l'air à 23[deg.]C pendant 4 heures.

  
 <EMI ID=22.1> 

  
à un jet abrasif juaqu'à un métal blanc, en utilisant l'équipement et les conditions ci-dessus. Cela ne prit que quelques balayages ne dépassant pas 5 secondes, seulement 6% du temps nécessaire pour le revêtement non traité.

  
Exemples 2 à 15.

  
Décapage de diverses peintures.

  
Des panneaux d'essai enduits de diverses peintures jurant: exposés à une composition gazeuse de décapage en plaçant un panneau d'essai enduit au sommet d'un récipient

  
 <EMI ID=23.1> 

  
récipient fermé tel qu'un bac fermé, un dessiccateur ou une chambre de chromatographie en couche mince (TLC) contenant une masse de composition liquide de décapage

  
à l'exception de l'exemple n[deg.] 15. Dans tous les cas, le panneau d'essai n'était pas en contact avec la composition liquide de décapage, et l'enlèvement du revêtement n'était dû qu'à l'action de la composition de décapage à l'état gazeux.

  
 <EMI ID=24.1> 

  
à l'intérieur d'un réceptacle de 4 litres pourvu de conduites d'alimentation en vapeur et de retrait, et

  
scellé par rapport à l'atmosphère ; une composition de décapage à l'état gazeux y était continuellement en circulation.

  
Tous les panneaux d'essai étaient en métal à l'exception des exemples 8 et 9, où l'on utilisa des panneaux d'essai en bois. De même, tous les exemples furent effectués à la température ambiante spécifiée sauf les exemples 7a

  
et 7b où une chambre de TLC contenant une masse de la

  
 <EMI ID=25.1> 

  
papiers buvards pour accélérer l'équilibre entre les phases vapeur et liquide dans la chambre.

  
Les conditions et résultats du décapage des exemples 2 à 15 sont indiqués au tableau 2. Le numéro de référence de peinture au tableau 2 est le numéro de la peinture du tableau 1, où les peintures décapées dans tous les exemples sont identifiées. Quand elle a été mesurée, l'épaisseur de la peinture est indiquée entre parenthèses en dessous du numéro de référence de la peinture, au tableau 2.

  
Les abréviations qui suivent ont été utilisées pour les composants des compositions de décapage dans tous les exemples : 

  

 <EMI ID=26.1> 
 

  
Tableau 1 .

REVETEMENTSDE PEINTURE RETIRES PAR LES COMPOSITIONS GAZEUSES

DE DECAPAGE.

  

 <EMI ID=27.1> 
 

  

 <EMI ID=28.1> 


  

 <EMI ID=29.1> 
 

  

 <EMI ID=30.1> 


  

 <EMI ID=31.1> 
 

  

 <EMI ID=32.1> 


  

 <EMI ID=33.1> 
 

Exemple 16.

  
Décapage de la peinture de l'intérieur d'un réservoir.

  
 <EMI ID=34.1> 

  
 <EMI ID=35.1> 

  
la pellicule à sec de 0,23 mm. Plusieurs mois après, la

  
 <EMI ID=36.1> 

  
Au côté externe d'une pompe à gaz GM 3-53, on relia deux évaporateurs en acier, récipients A et B, en série, en utilisant un tube d'acier de 2,5 cm et un tuyau flexible en matière plastique resistant aux produits chimiques. Les évaporateurs étaient des récipients cylindriques en acier équipés de verresde visée, et pourvus, au sommet, de tubes d'entrée et de sortie de 2,5 cm, et ils furent placés dans

  
 <EMI ID=37.1> 

  
fond du réservoir d'essai. Du sommet du réservoir, une tuyauterie conduisait au côté entrée du ventilateur. A la sortie du réservoir, des raccords en T conduisaient à un tube d'évent. Des réactifs de décapage MC (16 1) et MA
(3 1) furent introduits dans les récipients A et B, respectivement ; le ventilateur fût mis en marche, forçant environ
280 1/ mn d'air du réservoir sur les surfaces des réactifs de décapage, qui furent suffisamment chauffés pour maintenir le courant de vapeur à environna température ambiante, variant de 1 à 21 [deg.]C pendant l'essai. La pompe fonctionna pendant 8 heures et à ce moment les parois du réservoir étaient presque nues et les flocons de peinture tombaient

  
 <EMI ID=38.1> 

  
phère et on le laissa au repos pendant une nuit, ensuite  seuls quelques fragments de peinture étaient visibles sur les parole et le plafond.

  
 <EMI ID=39.1> 

  
refroidis avec un jet d'eau et de glace et là direction de

  
 <EMI ID=40.1>  vapeurs de décapage par de l'air et permit la récupération . de la plupart des réactifs utilisés. On ouvrit les écoutilles du réservoir et les flocons secs de peinture
(11,5 kg) furent rapidement retirés au moyen d'un aspirateur. Une inspection précise des surfaces internes montrèrent quelques petites taches de peinture restant dans le motif,

  
 <EMI ID=41.1> 

  
la peinture avait été enlevée, et on jugea que la surface était suffisamment propre pour être repeinte sans jet abrasif .

  
Exemples 17 à 24 et exemples de comparaison 17C à 21C.

  
Décapage de revêtement d'asphalte et d'huile à diverses

  
températures du substrat.

  
Des éprouvettes pesées de 12,5 cm x 0,9 cm furent enduites d'un substrat et suspendues dans la phase vapeur au-dessus de la composition liquide spécifiée de décapage à la température ambiante dans une chambre couverte de feuilles métalliques.

  
Pour représenter la mise en pratique de l'invention, on laissa l'un des tubes resterà la température ambiante : 
22[deg.]C, ou il fût maintenu à environ 21 [deg.]C par refroidissement avec de l'eau du robinet.

  
Pour une comparaison, une seconde éprouvette enduite 

  
 <EMI ID=42.1> 

  
chauffée par passage d'un courant d'eau chaude à travers elle.

  
On mesura la quantité du substrat retiré de la surface extérieure de chaque éprouvette, après exposition à la phase vapeur dans la chambre en verre, soit par séchage et en  pesant les tubes après un temps donné ou en pesant le  revêtement tombé du tube après évaporation des gaz absorbés et/ou adsorbés.. 

  
Des buvards plongeant dans le liquide aidèrent à  maintenir la phase vapeur proche de la saturation, cependant la concentration de la vapeur dans tous ces exemples et exemples de comparaison est bien inférieure à la quantité maximum possible, environ 50% dans le cas du chlorure de méthylène.

  
Le revêtement, sa quantité, la composition gazeuse de décapage et le pourcentage d'enlèvement du revêtement à différentes températures sont indiqués au tableau 3, où les lettres RG et AB indiquent respectivement de l'asphalte pour étanchéité et de l'asphalte soufflé. 

  
 <EMI ID=43.1> 

DECAPAGE DE REVETEMENTS D'ASPHALTE ET D' HUILE.

  

 <EMI ID=44.1> 
 

  
Exemples 25 et 26.

  
Décapage d'huile à diverses températures de la

  
composition gazeuse de décapage.

  
Le température du revêtement fût maintenue constante dans ces exemples, en faisant couler de l'eau dans les tubes enduits et la température de la vapeur de décapage fût modifiée tandis que sa concentration dans l'air -était  constante. Des éprouvettes enduites furent suspendues dans

  
 <EMI ID=45.1> 

  
feuille d'aluminium . On fit couler de l'eau de robinet dans les tubes de ces exemples. Un courant d'air contenant 30%

  
 <EMI ID=46.1> 

  
 <EMI ID=47.1> 

  
constants , et on fit passer à travers un. réchauffeur à serpentin de cuivre à 78[deg.]C, puis au centre du réservoir. A l'exemple 26, le réservoir était refroidi dans un bain d'eau à 12[deg.]C tandis qu'à l'exemple 25, il état totalement exposé à l'atmosphère.

  
Quand l'un des revêtements sur le tube fût si mince que l'on pouvait voir, à travers lui, une croix rouge sur

  
 <EMI ID=48.1> 

  
de revêtement restant sur l'éprouvette presque transparente

  
 <EMI ID=49.1> 

  
Tableau 4
 <EMI ID=50.1> 
 Exemples 27 à 30.

  
Décapage avec une composition gazeuse de décapage à la

  
température ambiante et en dessous.

  
Des tubes enduits d'un substrat furent exposés aux vapeurs d'une composition de décapage dans une chambre,

  
 <EMI ID=51.1> 

  
refroidi à une température spécifiée. Les conditions et résultats de chaque exemple sont indiqués au tableau 5.

  
Tableau 5.

DECAPAGE A LA TEMPERATURE AMBIANTE ET EN-DESSOUS.

  

 <EMI ID=52.1> 


  
Ainsi, dans un mode de réalisation du présent procédé, il est particulièrement avantageux de refroidir la composition de décapage ou la surface à décaper à environ 10 à environ

  
 <EMI ID=53.1> 

  
Par conséquent, dans un mode de réalisation préféré de l'invention, le procédé est de préférence mis en &#65533;uvre entre

  
 <EMI ID=54.1> 

  
 <EMI ID=55.1>  

  
Bien entendu, l'invention n'est nullement-limitée aux modes de réalisation décrits qui n'ont été donnés qu'à titre d'exemple. En particulier, elle comprend tous les moyens constituant des équivalents techniques des moyens décrits ainsi que leurs combinaisons si celles-ci sont exécutées suivant son esprit et mises en ouvre dans le cadre de la protection comme revendiquée. 

REVENDICATIONS

  
1. Procédé pour décaper un revêtement organique de la surface d'un objet enduit caractérisé en ce qu'on met ladite surface en contact avec une composition de décapage à l'état gazeux, pouvant détruire l'adhérence entre ledit revêtement et ladite surface, la température de ladite surface et de ladite composition gazeuse de décapage pendant ce contact, et la pression, n'étant pas sensiblement supérieures à la température et la pression ambiantes.

Claims (1)

  1. 2. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que le contact précité est effectué sensiblement en l'absence d'un condensat liquide à la surface de l'objet revêtu.
    3. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que le contact précité est effectué tandis que la surface précitée ou la composition de décapage précitée est refroidie en dessous de la température ambiante.
    4. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la composition précitée de décapage contient un chlorocarbone comme ingrédient principal.
    5. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la composition de décapage précitée se compose essentiellement d'un mélange d'un chlorocarbone comme ingrédient principal et d'au moins un composant supplémentaire choisi dans le groupe consistant en eau, ammoniac, hydrocarbure aliphatique, alcoylamine, acide carboxylique, alcanol, alkyl éther, alkyl ester, alkyl nitrile, amide de l'acide carboxylique, alkyl cétone, benzène, benzène substitué en halogène et en alcoyle inférieur, composés hétéroaromatiques contenant jusqu'à 8 atomes de carbone et acides volatils inorganiques, ledit composant ayant une pression de vapeur d'au moins environ 2 mm Hg à la température ambiante.
    6. Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que la composition précitée de décapage est normalement liquide à la température ambiante et ce qu'un courant
    de ladite composition de décapage en phase gazeuse est formé par passage d'un courant d'air au-dessus de ladite composition de décapage, sans chauffer ladite composition
    à la température de reflux.
    7. Procédé selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le revêtement organique précité se compose de peinture, asphalte ou huile.
    8. Procédé selon l'une quelconque des revendications
    1 à 6, caractérisé en ce qu'il comprend de plus les étapes de sceller la surface à décaper par rapport à l'atmosphère dans une zone de décapage de mettre la composition
    de décapage en phase gazeuse précitée en circulation dans ladite zone, et de maintenir ladite composition de décapage en phase gazeuse en contact avec ladite surface,jusqu'à ce que l'adhérence entre le revêtement et la surface soit sensiblement détruite.
    9. Procédé selon l'une quelconque des revendications
    1 à 6, du type où le revêtement organique est décapé d'une surface interne enduite d'une .grande construction, en particulier l'intérieur d'un réservoir de stockage à terre ou d'une cale ou d'un réservoir de lest sur un navire ou une barge, caractérisé en ce qu'il comprend de plus les étapes de : obturer ladite surface interne par rapport
    à l'atmosphère pour former une zone de décapage, former un courant d'une composition de décapage en phase gazeuse, pouvant détruire l'adhérence entre ledit revêtement et ladite surface interne à une température et une pression qui ne sont pas sensiblement supérieures à la température et la pression ambiante, introduire ladite composition de décapage en phase gazeuse dans ladite zone de décapage en contact avec ladite surface interne, faire circuler ladite composition de décapage dans ladite zone de décapage,
    et maintenir ladite composition de décapage en phase gazeuse en contact avec ladite surface enduite, à une température et une pression qui ne sont pas sensiblement au-dessus de la température et la pression ambiantes, jusqu'à ce que l'adhérence entre le revêtement et la surface soit sensiblement détruite.
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